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Mercredi 20 novembre 2024 / N° 274

SOMMAIRE ANALYTIQUE

LOIS

1 LOI no 2024-1039 du 19 novembre 2024 visant à renforcer les outils de régulation des meublés
de tourisme à l’échelle locale

Décrets, arrêtés, circulaires

textes généraux

Premier ministre

2 Décret no 2024-1040 du 19 novembre 2024 relatif à l’entrée en vigueur immédiate d’un arrêté

ministère de la justice

3 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant le nombre de promotions offertes à l’examen professionnel


pour l’accès au troisième grade de secrétaire administratif du ministère de la justice au titre
de l’année 2025
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère du partenariat avec les territoires


et de la décentralisation

4 Arrêté du 6 novembre 2024 pris pour l’application en 2024 des prélèvements sur fiscalité au
titre du retraitement de la dotation forfaitaire des communes 2023, du renouvellement de la
contribution au redressement des finances publiques des communes 2017, du renouvelle­
ment de la contribution au redressement des finances publiques des régions 2017, du
renouvellement de la contribution au redressement des finances publiques des établisse­
ments publics de coopération intercommunale à fiscalité propre 2018 et de la
recentralisation sanitaire des départements 2015
5 Arrêté du 19 novembre 2024 portant dérogation temporaire aux règles en matière de temps de
conduite pour les conducteurs assurant le transport d’équipements militaires dans le cadre
l’opération Atlantic Resolve 24
6 Décision du 5 novembre 2024 portant délégation de signature (centre ministériel de
valorisation des ressources humaines [CMVRH])

ministère de l’intérieur

7 Décret no 2024-1041 du 18 novembre 2024 relatif aux modalités de réalisation de l’examen


médical à distance en cas de prolongation de garde à vue
8 Arrêté du 31 octobre 2024 désignant l’opération de restructuration ouvrant droit aux dispositifs
d’accompagnement des agents dans le cadre de la réorganisation des services territoriaux de
la direction départementale des territoires et de la mer du Nord
9 Arrêté du 12 novembre 2024 autorisant au titre de l’année 2025 l’ouverture d’un concours
externe et d’un concours interne pour le recrutement d’adjoints administratifs principaux de
2e classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région Ile-de-France
10 Décision du 18 novembre 2024 portant délégation de signature (direction générale de la
gendarmerie nationale - service d’information et de relations publiques des armées -
gendarmerie)

ministère de l’éducation nationale

11 Arrêté du 1er octobre 2024 modifiant l’arrêté du 12 mars 2014 modifié portant création de la
spécialité « installateur, dépanneur en froid et conditionnement d’air » de brevet
professionnel et fixant ses modalités de délivrance
12 Arrêté du 8 octobre 2024 portant abrogation de la spécialité « gouvernante » de brevet
professionnel
13 Arrêté du 21 octobre 2024 modifiant l’arrêté du 17 décembre 2018 portant création de la
spécialité « métiers du commerce et de la vente » de baccalauréat professionnel et fixant ses
modalités de délivrance
14 Arrêté du 22 octobre 2024 relatif aux taux de promotion dans certains corps de fonctionnaires
relevant du ministère de l’éducation nationale
15 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant la liste des écoles de production prévue à l’article L. 443-6
du code de l’éducation
16 Arrêté du 18 novembre 2024 portant reconnaissance par l’Etat des écoles techniques privées
17 Décision du 30 octobre 2024 portant délégation de signature (direction du numérique pour
l’éducation)

ministère des armées et des anciens combattants

18 Arrêté du 16 octobre 2024 fixant le nombre de postes offerts au recrutement en 2025 dans les
corps des ingénieurs de l’armement et des ingénieurs des études et techniques
de l’armement
19 Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 13 mai 2014 portant institution de régies de
recettes et d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des élèves des lycées de
la défense
20 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 les montants de l’allocation
de reconnaissance définie par l’article 6 de la loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant
reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés
21 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 le montant de l’allocation
viagère définie par l’article 133 de la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances
pour 2016
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère de la transition écologique, de l’énergie, du climat


et de la prévention des risques

22 Arrêté du 22 octobre 2024 relatif aux coefficients à appliquer à la formule du fonds de


péréquation de l’électricité pour l’année 2024
23 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant au titre de l’année 2024 le nombre de postes offerts à
l’examen professionnel pour l’accès au grade d’assistant principal de service social des
administrations de l’Etat
24 Arrêté du 18 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations
standardisées d’économies d’énergie, l’arrêté du 4 septembre 2014 fixant la liste des
éléments d’une demande de certificats d’économies d’énergie et les documents à archiver
par le demandeur et l’arrêté du 29 décembre 2014 relatif aux modalités d’application du
dispositif des certificats d’économies d’énergie et modifiant les arrêtés modificatifs
du 22 août 2024 et du 6 septembre 2024

ministère de l’économie, des finances et de l’industrie

25 Décret no 2024-1042 du 19 novembre 2024 relatif à l’agence Business France


26 Arrêté du 31 octobre 2024 portant approbation de la participation de la Régie autonome des
transports parisiens (RATP) à une augmentation de capital de la société RATP
Participations
27 Arrêté du 31 octobre 2024 portant approbation de la participation de la Régie autonome des
transports parisiens (RATP) à une augmentation de capital de la société RATP Cap Ile-de-
France
28 Arrêté du 12 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 6 mars 2023 portant délégation de signature
aux agents chargés de l’animation de la politique ministérielle de prévention affectés à la
sous-direction des politiques sociales et des conditions de travail
29 Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours interne
pour le recrutement d’un ingénieur des mines
30 Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un examen
professionnel pour le recrutement d’un ingénieur des mines
31 Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours externe
sur titres pour l’accès au corps des ingénieurs des mines
32 Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours
pour le recrutement de deux ingénieurs-élèves des mines parmi les élèves des écoles
normales supérieures
33 Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours pour le
recrutement de quatre ingénieurs-élèves des mines parmi les élèves de l’Ecole nationale
supérieure des mines de Paris et les élèves de Télécom Paris
34 Arrêté du 19 novembre 2024 portant application des articles L. 562-3 et suivants du code
monétaire et financier

ministère de la santé et de l’accès aux soins

35 Arrêté du 5 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge
en sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la
sécurité sociale
36 Arrêté du 13 novembre 2024 portant ouverture des examens cliniques objectifs structurés
donnant accès au troisième cycle des études de médecine au titre de l’année
universitaire 2025-2026
37 Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à
l’usage des collectivités et divers services publics
38 Arrêté du 18 novembre 2024 portant renouvellement et modification des conditions
d’inscription de la pince myoélectrique pour prothèse externe du membre supérieur
AXON-HOOK de la société OTTO BOCK France inscrite au titre II de la liste des produits
et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
39 Arrêté du 18 novembre 2024 portant renouvellement d’inscription du substitut osseux sur
mesure non résorbable GLACE de la société DISPOMED inscrit au titre III de la liste des
produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité
sociale
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère des solidarités, de l’autonomie


et de l’égalité entre les femmes et les hommes
40 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant pour 2024 le taux de couverture minimal mentionné à
l’article 2 du décret no 2024-726 du 6 juillet 2024 relatif au complément de financement
versé aux départements par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie

ministère du logement et de la rénovation urbaine


41 Décret no 2024-1043 du 18 novembre 2024 portant diverses dispositions relatives aux
autorisations d’urbanisme
42 Arrêté du 13 novembre 2024 relatif à l’extension de compétence de la société anonyme
coopérative d’intérêt collectif d’habitations à loyer modéré (SCIC d’HLM) LE TOIT
GIRONDIN sur la région Occitanie
43 Décision du 7 novembre 2024 portant agrément en qualité de bureau d’études
44 Décision du 7 novembre 2024 portant agrément en qualité de contrôleur technique
45 Décision du 7 novembre 2024 portant agrément en qualité de contrôleur technique
46 Décision du 7 novembre 2024 portant agrément en qualité de contrôleur technique

ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire


et de la forêt
47 Décret no 2024-1044 du 18 novembre 2024 relatif à la production de vins issus de jeunes vignes
pour les eaux-de-vie de vin sous appellation d’origine
48 Arrêté du 7 novembre 2024 portant retrait de la reconnaissance de la coopérative laitière
VALSUD en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur caprin
49 Arrêté du 15 novembre 2024 portant extension d’un accord interprofessionnel relatif au
financement des actions interprofessionnelles du comité interprofessionnel du pruneau
d’Agen (CIPAg) pour la campagne 2024-2025 conclu dans le cadre de l’Association
nationale interprofessionnelle des fruits et légumes transformés (ANIFELT)
50 Arrêté du 18 novembre 2024 modifiant le cahier des charges de l’appellation d’origine
contrôlée « Crémant d’Alsace »
51 Arrêté du 18 novembre 2024 homologuant le cahier des charges de l’appellation d’origine
protégée « Pouilly-Vinzelles »
52 Arrêté du 18 novembre 2024 relatif aux dispositions de la décision interprofessionnelle conclue
dans le cadre du conseil interprofessionnel des vins de Bordeaux (CIVB) relative à la mise
en œuvre du volume régulateur

ministère des sports, de la jeunesse et de la vie associative


53 Arrêté du 8 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 27 avril 2016 portant organisation de la
spécialité « animateur » du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et
du sport
54 Arrêté du 8 novembre 2024 portant modification du code du sport (partie arrêtés)

ministère auprès du Premier ministre, chargé du budget


et des comptes publics
55 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au
concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe
supérieure relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
56 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au
concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe
exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances

mesures nominatives

ministère du partenariat avec les territoires


et de la décentralisation
57 Décret du 18 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration du port autonome
de Strasbourg
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

58 Arrêté du 8 novembre 2024 portant nomination au conseil de surveillance de la Société du


Canal Seine-Nord Europe
59 Arrêté du 18 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration de la société
concessionnaire française pour la construction et l’exploitation du tunnel routier sous
le Mont-Blanc

ministère de l’intérieur

60 Arrêté du 11 novembre 2024 portant nomination au sein de la mission opérationnelle de


sécurité et de défense auprès du ministre de l’intérieur

ministère de l’Europe et des affaires étrangères

61 Arrêté du 4 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration de l’Agence pour


l’enseignement français à l’étranger

ministère de la transition écologique, de l’énergie, du climat


et de la prévention des risques

62 Arrêté du 8 novembre 2024 portant nomination au conseil de surveillance du grand port


maritime de Nantes-Saint-Nazaire
63 Arrêté du 12 novembre 2024 portant habilitation en vue de l’exercice du contrôle des matières
nucléaires
64 Arrêté du 13 novembre 2024 portant nomination à la Commission supérieure nationale du
personnel des industries électriques et gazières

ministère de l’économie, des finances et de l’industrie

65 Arrêté du 12 novembre 2024 portant avancement au grade d’attaché économique principal au


titre de l’année 2024

ministère de la santé et de l’accès aux soins

66 Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application
des dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de
l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité
sociale pour 2007 modifiée
67 Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application
des dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique
68 Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste
des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de
la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée
69 Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste
des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de
la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée
70 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions
du B du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la
sécurité sociale pour 2007 modifiée
71 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi
no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère du logement et de la rénovation urbaine


72 Arrêté du 10 octobre 2024 portant nomination au comité du contrôle et des suites de l’Agence
nationale de contrôle du logement social (ANCOLS)
73 Arrêté du 12 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration de l’établissement
public chargé de l’aménagement de la ville nouvelle de Sénart

ministère du travail et de l’emploi


74 Arrêté du 31 juillet 2024 portant promotion de grade (inspection du travail)

ministère auprès du Premier ministre, chargé du budget


et des comptes publics
75 Arrêté du 12 novembre 2024 portant nomination au conseil de surveillance du grand port
maritime de Nantes-Saint-Nazaire
76 Arrêté du 12 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration de l’établissement
public foncier d’Occitanie

conventions collectives

ministère du travail et de l’emploi


77 Arrêté du 10 octobre 2024 portant extension d’un avenant à un accord conclu dans le secteur de
la transformation laitière (20166)

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique


78 Décision no 2024-1027 du 16 octobre 2024 autorisant l’association RCF Corsica à exploiter un
service de radio de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé RCF Corsica
79 Décision no 2024-1030 du 16 octobre 2024 autorisant la SAS Business FM à exploiter un
service de radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé BFM Business
80 Décision no 2024-1032 du 16 octobre 2024 autorisant la SAS Bella’Com à exploiter un service
de radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé
Chérie FM Corse
81 Décision no 2024-1036 du 16 octobre 2024 autorisant la SAS Europe 1 Télécompagnie à
exploiter un service de radio de catégorie E par voie hertzienne terrestre en modulation de
fréquence dénommé Europe 1
82 Décision no 2024-1039 du 16 octobre 2024 autorisant la SARL Jazz Développement à exploiter
un service de radio de catégorie B par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé Jazz Radio

Commission nationale de l’informatique et des libertés


83 Décision du 7 novembre 2024 relative à l’organisation des services de la Commission nationale
de l’informatique et des libertés

Naturalisations et réintégrations
84 Décret du 18 novembre 2024 portant déchéance de la nationalité française
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
85 Décret du 18 novembre 2024 rapportant un décret de naturalisation
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"

Informations parlementaires

Assemblée nationale
86 ORDRE DU JOUR
87 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS
88 GROUPES POLITIQUES
89 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE
90 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS

Sénat
91 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES
92 DOCUMENTS DÉPOSÉS
93 DOCUMENTS PUBLIÉS
94 RÉSOLUTIONS

Avis et communications

avis de concours et de vacance d'emplois

Premier ministre
95 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur

ministère de la justice
96 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur (administration centrale)

ministère de l’intérieur
97 Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel (direction
départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations
de la Corse-du-Sud)
98 Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel adjoint (direction
départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations de
la Corse-du-Sud)
99 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur de l’achat et du suivi de l’exécution des
marchés (administration centrale : secrétariat général/direction de l’évaluation de la
performance, de l’achat, des finances et de l’immobilier)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire

ministère auprès du Premier ministre, chargé du budget


et des comptes publics
100 Avis fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au concours professionnel pour
l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure relevant des ministres
chargés de l’économie et des finances
101 Avis fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au concours professionnel pour
l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe exceptionnelle relevant des ministres
chargés de l’économie et des finances

avis divers

ministère du partenariat avec les territoires


et de la décentralisation
102 Avis no 29 relatif à la fermeture de certains quotas et/ou sous-quotas de pêche pour l’année
2024

ministère de la santé et de l’accès aux soins


103 Avis relatif aux prix de spécialités pharmaceutiques publiés en application de l’arti­
cle L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale
104 Avis relatif à la tarification du substitut osseux sur mesure non résorbable GLACE visé à
l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale

Annonces
105 Demandes de changement de nom (textes 105 à 117)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117

LOIS
LOI no 2024-1039 du 19 novembre 2024 visant à renforcer
les outils de régulation des meublés de tourisme à l’échelle locale (1)
NOR : TECX2330139L

L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté,


Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :

Article 1er
I. – Le code du tourisme est ainsi modifié :
1o L’article L. 324-1-1 est ainsi modifié :
a) Le II est abrogé ;
b) Le III est remplacé par des III et III bis ainsi rédigés :
« III. – Toute personne qui offre à la location un meublé de tourisme procède préalablement en personne à une
déclaration soumise à enregistrement auprès d’un téléservice national opéré par l’organisme public unique
mentionné au premier alinéa du II de l’article L. 324-2-1.
« La déclaration indique si le meublé de tourisme offert à la location constitue la résidence principale du loueur,
au sens de l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant
modification de la loi no 86-1290 du 23 décembre 1986. Si tel est le cas, le loueur en apporte la preuve dans sa
déclaration.
« A la réception de la déclaration complète, le téléservice délivre sans délai un avis de réception électronique
comprenant un numéro de déclaration. Le numéro de déclaration ainsi que les informations et les pièces
justificatives reçues dans le cadre de la déclaration sont mis sans délai à la disposition de la commune dans laquelle
est situé le meublé de tourisme et, le cas échéant, de l’établissement public de coopération intercommunale
compétent en matière de tourisme. En Corse, ces données sont également transmises à la collectivité de Corse.
« Le loueur met à jour la déclaration en cas de changement des informations et des pièces justificatives fournies
et renouvelle sa déclaration à l’expiration d’un délai fixé par décret.
« Un décret détermine les informations et les pièces justificatives qui sont exigées pour l’enregistrement de la
déclaration préalable, notamment la production d’un avis d’imposition sur le revenu établi au nom du loueur
incluant l’adresse du meublé de tourisme mis en location comme lieu d’imposition afin d’attester du respect de
l’exigence prévue au deuxième alinéa du présent III. Il détermine également les autres informations et pièces
justificatives pouvant être jointes à la déclaration afin de permettre le contrôle par la commune du respect des règles
applicables aux meublés de tourisme, notamment celles prévues aux articles L. 141-2, L. 442-3-5 et L. 631-7
à L. 631-10 du code de la construction et de l’habitation ainsi qu’à la présente section.
« III bis. – Outre les cas mentionnés à l’article 6 du règlement (UE) 2024/1028 du Parlement européen et du
Conseil du 11 avril 2024 concernant la collecte et le partage des données relatives aux services de location de
logements de courte durée, et modifiant le règlement (UE) 2018/1724, le maire peut également suspendre la
validité d’un numéro de déclaration et émettre une injonction aux plateformes numériques de location de courte
durée de retirer ou de désactiver l’accès au référencement d’une annonce lorsque le local concerné est visé par un
arrêté de mise en sécurité ou de traitement de l’insalubrité pris en application des articles L. 511-11 ou L. 511-19
du code de la construction et de l’habitation. » ;
c) Le IV est ainsi modifié :
– au début du premier alinéa, les mots : « Dans les communes ayant mis en œuvre la procédure d’enregistrement
de la déclaration préalable mentionnée au III, » sont supprimés ;
– la première phrase du second alinéa est complétée par les mots : « , que celui-ci constitue ou non sa résidence
principale » ;
d) Le IV bis est ainsi modifié :
– au premier alinéa, les mots : « ayant mis en œuvre la procédure d’enregistrement prévue au III » sont
remplacés par les mots : « où le changement d’usage des locaux d’habitation est soumis à autorisation
préalable, au sens des articles L. 631-7 à L. 631-9 du code de la construction et de l’habitation » ;
– le troisième alinéa est supprimé ;
2o Au second alinéa de l’article L. 324-2, les mots : « mentionnée au II de l’article L. 324-1-1 contient le numéro
de déclaration mentionné à cet article » sont remplacés par les mots : « d’un meublé de tourisme mentionné à
l’article L. 324-1-1 contient le numéro de déclaration mentionné au III du même article L. 324-1-1 » ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117

3o L’article L. 324-2-1 est ainsi modifié :


a) Le I est ainsi modifié :
– à la première phrase, les mots : « , le cas échéant, » sont supprimés ;
– au début de la seconde phrase, les mots : « Lorsque ce meublé de tourisme est soumis au même III, » sont
supprimés ;
b) Le II est ainsi modifié :
– au début de la première phrase du premier alinéa, les mots : « Dans les communes ayant mis en œuvre la
procédure d’enregistrement mentionnée au III de l’article L. 324-1-1, » sont supprimés ;
– au début de la première phrase du deuxième alinéa, les mots : « Dans ces mêmes communes, » sont
supprimés ;
c) A la seconde phrase du IV, les mots : « mentionnées au II de l’article L. 324-1-1 et » sont remplacés par les
mots : « qui offrent à la location un meublé de tourisme mentionné au I de l’article L. 324-1-1 et par les personnes
mentionnées ».
II. – Le I, à l’exception du dernier alinéa du c du 1o, entre en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard
le 20 mai 2026.
Article 2
Le I de l’article L. 521-2 du code de la construction et de l’habitation est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque le local visé par l’arrêté mentionné au deuxième alinéa du présent I est un meublé de tourisme, au sens
du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, les sommes versées en contrepartie de la location cessent d’être
dues à compter du jour suivant l’envoi de la notification de l’arrêté ou de son affichage à la mairie et sur la façade
de l’immeuble, jusqu’au jour suivant l’envoi de la notification ou l’affichage de l’arrêté de mainlevée. Toute
somme indûment perçue par le propriétaire, l’exploitant ou la personne ayant mis à disposition les locaux est
restituée au locataire. »
Article 3
I. – La section 1 du chapitre IV du titre II du livre III du code du tourisme est complétée par un
article L. 324-2-2 ainsi rédigé :
« Art. L. 324-2-2. – Les meublés de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1, respectent les niveaux de
performance énergétique d’un logement décent définis à l’article 6 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à
améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi no 86-1290 du 23 décembre 1986, sauf lorsque le
local loué en meublé de tourisme constitue la résidence principale du loueur au sens de l’article 2 de la même loi.
« Le maire peut demander à tout moment au propriétaire d’un meublé de tourisme de lui transmettre dans un
délai de deux mois le diagnostic de performance énergétique en cours de validité prévu à l’article L. 126-26 du
code de la construction et de l’habitation. A l’expiration de ce délai, l’absence de transmission de ce diagnostic de
performance énergétique est passible d’une astreinte administrative de 100 € par jour, recouvrée au profit de la
commune dans les conditions prévues par les dispositions relatives aux produits communaux.
« Le propriétaire qui loue ou maintient en location un meublé de tourisme qui ne respecte pas les niveaux de
performance d’un logement décent prévus au premier alinéa du présent article est puni d’une amende
administrative dont le montant ne peut excéder 5 000 € par local concerné. L’amende est recouvrée, dans les
conditions prévues par les dispositions relatives aux produits communaux, au bénéfice de la commune. Le
propriétaire est mis à même de présenter ses observations écrites, dans un délai d’un mois, sur le projet de
sanction. »
II. – L’article L. 631-10 du code de la construction et de l’habitation est ainsi rétabli :
« Art. L. 631-10. – I. – Pour l’obtention de l’autorisation préalable prévue à l’article L. 631-7 ou à
l’article L. 631-7-1 A en vue d’une mise en location de meublés de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du
code du tourisme, les propriétaires des locaux concernés présentent un diagnostic de performance énergétique
mentionné à l’article L. 126-26 du présent code, dont le niveau, au sens de l’article L. 173-1-1, doit être compris
entre les classes A et E ou, à compter du 1er janvier 2034, entre les classes A et D.
« II. – Le présent article n’est applicable qu’en France métropolitaine. »
III. – Le I entre en vigueur le 1er janvier 2034.
Article 4
I. – L’article L. 324-1-1 du code du tourisme est ainsi modifié :
1o Après le premier alinéa du IV, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« La commune peut, sur délibération motivée, abaisser le nombre maximal de jours de location mentionné au
premier alinéa du présent IV, dans la limite de quatre-vingt-dix jours. » ;
2o Au premier alinéa du IV bis, les mots : « à usage commercial » sont remplacés par les mots : « qui n’est pas à
usage d’habitation, au sens de l’article L. 631-7 du code de la construction et de l’habitation, » ;
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3o Le V est ainsi modifié :


a) Au premier alinéa, le mot : « civile » est remplacé par les mots : « administrative prononcée par la
commune, » et, à la fin, le montant : « 5 000 € » est remplacé par le montant : « 10 000 € » ;
b) Après le même premier alinéa, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :
« Toute personne qui effectue de fausses déclarations dans le cadre de la déclaration préalable prévue au III ou
qui utilise un faux numéro de déclaration est passible d’une amende administrative prononcée par la commune,
dont le montant ne peut excéder 20 000 €.
« Toute personne qui ne se conforme pas aux obligations résultant du III bis est passible d’une amende civile
dont le montant ne peut excéder 50 000 € par meublé de tourisme objet du manquement. » ;
c) A la fin du deuxième alinéa, le montant : « 10 000 € » est remplacé par le montant : « 15 000 € » ;
d) Le début de la première phrase du dernier alinéa est ainsi rédigé : « Les amendes prévues aux troisième,
quatrième et avant-dernier alinéas du présent V sont… (le reste sans changement). »
II. – A la troisième phrase du premier alinéa du II de l’article L. 324-2-1 du code du tourisme, dans sa rédaction
résultant de la loi no 2024-449 du 21 mai 2024 visant à sécuriser et à réguler l’espace numérique, après le mot :
« jours », sont insérés les mots : « ou plus du nombre maximal de jours fixé conformément au deuxième alinéa
du IV de l’article L. 324-1-1 ».
III. – A la première phrase du deuxième alinéa du II de l’article L. 324-2-1 du code du tourisme, après le mot :
« jours », sont insérés les mots : « ou plus du nombre maximal de jours fixé conformément au deuxième alinéa
du IV de l’article L. 324-1-1 ».
IV. – A. – Le 1o du I et le III entrent en vigueur le 1er janvier 2025.
B. – Le 3o du I entre en vigueur à la date fixée par le décret mentionné au II de l’article 1er.

Article 5
I. – Le code de la construction et de l’habitation est ainsi modifié :
1o L’article L. 631-7 est ainsi modifié :
a) Après le mot : « communes », la fin de la première phrase du premier alinéa est ainsi rédigée : « dont la liste
est fixée par le décret mentionné au I de l’article 232 du code général des impôts. » ;
b) A la fin de la seconde phrase du même premier alinéa, les mots : « destinés à l’habitation est, dans les
conditions fixées par l’article L. 631-7-1, soumis à autorisation préalable » sont remplacés par les mots : « à usage
d’habitation peut être soumis, sur décision de l’organe délibérant, à autorisation préalable dans les conditions fixées
à l’article L. 631-7-1 » ;
c) Au deuxième alinéa, les mots : « destinés à l’habitation » sont remplacés par les mots : « à usage
d’habitation » ;
d) Les troisième et quatrième alinéas sont remplacés par quatre alinéas ainsi rédigés :
« Pour l’application de la présente section, un local est réputé à usage d’habitation s’il était affecté à cet usage
soit à une date comprise entre le 1er janvier 1970 et le 31 décembre 1976 inclus, soit à n’importe quel moment au
cours des trente dernières années précédant la demande d’autorisation préalable au changement d’usage ou la
contestation de l’usage dans le cadre des procédures prévues au présent livre, et sauf autorisation ultérieure
mentionnée au quatrième alinéa du présent article. Cet usage peut être établi par tout mode de preuve, la charge de
la preuve incombant à celui qui veut démontrer un usage illicite. Toutefois, les locaux construits ou ayant fait
l’objet de travaux après le 1er janvier 1970 sont réputés avoir l’usage pour lequel la construction ou les travaux ont
été autorisés, sauf autorisation ultérieure mentionnée au même quatrième alinéa.
« Lorsqu’une autorisation administrative a été accordée après le 1er janvier 1970 pour changer l’usage d’un local
mentionné au troisième alinéa, le local dont le changement d’usage a été autorisé et, dans le cas où cette
autorisation a été accordée contre compensation, le local ayant servi à compensation sont réputés avoir l’usage
résultant de l’autorisation.
« Une autorisation d’urbanisme ayant pour conséquence de changer la destination de locaux à usage d’habitation
ne constitue un mode de preuve valable que si elle est accompagnée d’une autorisation de changement d’usage.
« L’usage d’habitation s’entend de tout local habité ou ayant vocation à l’être même s’il n’est pas occupé
effectivement, notamment en cas de vacance ou lorsqu’il a fait l’objet d’un arrêté pris sur le fondement du livre V
du présent code. » ;
e) Au dernier alinéa, les mots : « destiné à l’habitation de manière répétée pour de courtes durées à une clientèle
de passage qui n’y élit pas domicile » sont remplacés par les mots : « à usage d’habitation en tant que meublé de
tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, » ;
2o L’article L. 631-7-1 A est ainsi modifié :
a) Après le mot : « physique », la fin du premier alinéa est ainsi rédigée : « ou à une personne morale de louer un
local à usage d’habitation en tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du
tourisme. » ;
b) La dernière phrase du deuxième alinéa est complétée par les mots : « ou personne morale » ;
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c) Après le même deuxième alinéa, sont insérés trois alinéas ainsi rédigés :
« La délibération peut également fixer, sur tout ou partie du territoire de la commune, dans une ou plusieurs
zones géographiques qu’elle délimite, le nombre maximal d’autorisations temporaires qui peuvent être délivrées ou
la part maximale de locaux à usage d’habitation pouvant faire l’objet d’une autorisation temporaire de changement
d’usage. Dans ce cas, dans les zones concernées, aucune autorisation permanente de changement d’usage de locaux
à usage d’habitation ne peut être délivrée sur le fondement de l’article L. 631-7 dans le but de louer un local à usage
d’habitation en tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, sauf si elle
est accordée contre une compensation. Toutes les autorisations sont délivrées pour une durée identique, inférieure à
cinq ans. La délibération définit la procédure de sélection entre les candidats, qui prévoit des garanties de publicité
et de transparence applicables de manière identique aux demandes initiales et aux demandes de renouvellement.
« Un local situé dans une résidence-services définie à l’article L. 631-13 du présent code, lorsqu’il est loué en
tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, et qu’il constitue, en dehors
de la somme des périodes pendant lesquelles il est loué en meublé de tourisme, une résidence principale au sens de
l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la
loi no 86-1290 du 23 décembre 1986, n’est pas inclus dans le calcul du nombre maximal d’autorisations
temporaires pouvant être délivrées ou de la part maximale de locaux à usage d’habitation pouvant faire l’objet
d’une autorisation temporaire sur le fondement du présent article.
« L’autorisation de changement d’usage ne peut être demandée que si le changement d’usage est conforme aux
stipulations contractuelles prévues dans le règlement de copropriété. Le demandeur en atteste par la production
d’une déclaration sur l’honneur. » ;
3o Le premier alinéa de l’article L. 631-9 est ainsi modifié :
a) Les mots : « par décision de l’autorité administrative sur proposition du maire ou, pour les communes dont la
liste est fixée par le décret mentionné au I de l’article 232 du code général des impôts, » sont supprimés ;
b) Est ajoutée une phrase ainsi rédigée : « Cette délibération est motivée par un déséquilibre entre l’offre et la
demande de logements entraînant des difficultés sérieuses d’accès au logement sur l’ensemble du parc résidentiel
existant. » ;
4o L’article L. 651-2 est ainsi modifié :
a) Au premier alinéa, les mots : « de l’article L. 631-7 » sont remplacés par les mots : « des articles L. 631-7 ou
L. 631-7-1 A », les mots : « dudit article » sont remplacés par les mots : « des mêmes articles L. 631-7 et
L. 631-7-1 A » et le montant : « 50 000 € » est remplacé par le montant : « 100 000 € » ;
b) A la première phrase du deuxième alinéa, après le mot : « transformé », sont insérés les mots : « , de l’autorité
organisatrice de l’habitat, de l’établissement public de coopération intercommunale compétent en matière
d’urbanisme » ;
5o Après le même article L. 651-2, il est inséré un article L. 651-2-1 ainsi rédigé :
« Art. L. 651-2-1. – Toute personne qui se livre ou prête son concours à la commission de l’infraction prévue à
l’article L. 651-2, contre rémunération ou à titre gratuit, par une activité d’entremise ou de négociation ou par la
mise à disposition de services, à l’exception de la mise à disposition d’une plateforme numérique, est condamnée à
une amende civile dont le montant ne peut excéder 100 000 € par local irrégulièrement transformé.
« Cette amende est prononcée par le président du tribunal judiciaire, statuant selon la procédure accélérée au
fond, sur assignation de la commune dans laquelle est situé le local irrégulièrement transformé ou de l’Agence
nationale de l’habitat. Le produit de l’amende est intégralement versé à la commune dans laquelle est situé ce local.
Le tribunal judiciaire compétent est celui dans le ressort duquel est situé le local. »
II. – Le code de l’urbanisme est ainsi modifié :
1o Après l’article L. 151-14, il est inséré un article L. 151-14-1 ainsi rédigé :
« Art. L. 151-14-1. – Le règlement peut délimiter, dans les zones urbaines ou à urbaniser, des secteurs dans
lesquels toutes les constructions nouvelles de logements sont à usage exclusif de résidence principale, au sens de
l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la
loi no 86-1290 du 23 décembre 1986.
« La délimitation mentionnée au premier alinéa du présent article est possible lorsque, dans le périmètre du
règlement, la taxe annuelle sur les logements vacants mentionnée à l’article 232 du code général des impôts est
applicable ou lorsque les résidences secondaires représentent plus de 20 % du nombre total d’immeubles à usage
d’habitation.
« A peine de nullité, toute promesse de vente, tout contrat de vente ou de location ou tout contrat constitutif de
droits réels portant sur des constructions soumises à l’obligation prévue au présent article en porte la mention
expresse.
« Les logements concernés par l’obligation prévue au présent article ne peuvent faire l’objet d’une location en
tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, en dehors de la location
temporaire de la résidence principale dans les conditions prévues au premier alinéa du IV du même
article L. 324-1-1.
« Lorsque le règlement est modifié et supprime un secteur soumis à l’obligation prévue au présent article, les
logements concernés ne sont plus soumis à ladite obligation. » ;
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2o L’article L. 153-31 est complété par un III ainsi rédigé :


« III. – Lorsqu’ils ont pour objet de délimiter les secteurs dans lesquels les constructions nouvelles de logements
sont à usage exclusif de résidence principale, au sens de l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à
améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi no 86-1290 du 23 décembre 1986, les changements
mentionnés au 1o du I du présent article et la modification des règles applicables aux zones urbaines ou à urbaniser
en vue de délimiter ces secteurs en application de l’article L. 151-14-1 relèvent de la procédure de modification
simplifiée prévue aux articles L. 153-45 à L. 153-48. » ;
3o Au 4o de l’article L. 153-45, après la référence : « II », sont insérés les mots : « et au III » ;
4o Le chapitre Ier du titre VIII du livre IV est complété par un article L. 481-4 ainsi rédigé :
« Art. L. 481-4. – I. – En cas d’occupation d’un logement en méconnaissance de l’obligation prévue à
l’article L. 151-14-1, constatée par l’agent d’une collectivité publique commissionné par le maire en application de
l’article L. 480-1, le maire, après avoir invité l’intéressé à présenter ses observations, met en demeure le
propriétaire du logement ou, le cas échéant, le locataire de régulariser la situation.
« II. – Le maire fixe le délai de mise en demeure, qui ne peut excéder un an, en appréciant la nature de la
méconnaissance de l’obligation et des moyens à la disposition de l’intéressé pour y remédier. Il peut proroger ce
délai, pour une durée qui ne peut excéder un an, afin de tenir compte des difficultés rencontrées par l’intéressé pour
s’exécuter.
« III. – Le maire peut, en tenant compte de la situation de l’intéressé et des circonstances de l’espèce, assortir la
mise en demeure d’une astreinte d’un montant qu’il fixe et qui ne peut dépasser 1 000 € par jour de retard.
« Le montant total des sommes résultant de cette astreinte journalière ne peut excéder 100 000 €.
« IV. – En l’absence de régularisation de la situation, l’astreinte peut être prononcée à tout moment après
l’expiration du délai de mise en demeure, le cas échéant prolongé, après que l’intéressé a été invité à présenter ses
observations. »
III. – L’article L. 4424-11 du code général des collectivités territoriales est complété par un III ainsi rédigé :
« III. – Dans les communes qui ne sont pas couvertes par un plan local d’urbanisme, lorsque la taxe annuelle sur
les logements vacants mentionnée à l’article 232 du code général des impôts est applicable ou lorsque les
résidences secondaires représentent plus de 20 % du nombre total d’immeubles à usage d’habitation, le plan
d’aménagement et de développement durable de Corse peut délimiter, dans les zones urbaines ou à urbaniser, des
secteurs dans lesquels toutes les constructions nouvelles de logements sont à usage exclusif de résidence principale,
au sens de l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant
modification de la loi no 86-1290 du 23 décembre 1986, dans les conditions prévues pour le règlement d’urbanisme
à l’article L. 151-14-1 du code de l’urbanisme. »
IV. – La loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la
loi no 86-1290 du 23 décembre 1986 est ainsi modifiée :
a) Le g de l’article 4 est complété par les mots et une phrase ainsi rédigée : « , ou, lorsque le logement est soumis
à l’obligation prévue à l’article L. 151-14-1 du code de l’urbanisme, que le non-respect de l’obligation de l’occuper
exclusivement à titre de résidence principale. Dans ce dernier cas, la résiliation ne peut intervenir qu’à l’expiration
d’un délai de mise en demeure fixé par le maire conformément au II de l’article L. 481-4 du même code ; »
b) L’article 7 est complété par un h ainsi rédigé :
« h) Lorsque le logement est soumis à l’obligation prévue à l’article L. 151-14-1 du code de l’urbanisme, de
l’occuper exclusivement à titre de résidence principale, le non-respect de cette clause entraînant la résiliation de
plein droit du bail. »

Article 6
La loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis est ainsi modifiée :
1o Après l’article 8-1, il est inséré un article 8-1-1 ainsi rédigé :
« Art. 8-1-1. – Les règlements de copropriété établis à compter de l’entrée en vigueur de la loi no 2024-1039
du 19 novembre 2024 visant à renforcer les outils de régulation des meublés de tourisme à l’échelle locale
mentionnent de manière explicite l’autorisation ou l’interdiction de location de meublés de tourisme, au sens du I
de l’article L. 324-1-1 du code de tourisme. » ;
2o Après le quatrième alinéa de l’article 26, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :
« d) La modification du règlement de copropriété qui concerne l’interdiction de location des lots à usage
d’habitation autres que ceux constituant une résidence principale, au sens de l’article 2 de la loi no 89-462
du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi no 86-1290
du 23 décembre 1986, en meublés de tourisme au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme.
« La modification prévue au d du présent article ne peut être décidée que dans les copropriétés dont le règlement
interdit toute activité commerciale dans les lots qui ne sont pas spécifiquement à destination commerciale. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117

Article 7
I. – Le code général des impôts est ainsi modifié :
A. – L’article 50-0 est ainsi modifié :
1o Le 1 est ainsi modifié :
a) A la fin du 1o, les mots : « , autres que ceux mentionnés aux 2o et 3o du III de l’article 1407 » sont supprimés ;
b) Le 1o bis est ainsi rédigé :
« 1o bis 15 000 € s’il s’agit d’entreprises dont l’activité principale est de louer directement ou indirectement des
meublés de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, autres que ceux mentionnés aux 2o
et 3o du III de l’article 1407 du présent code ; »
c) Les cinquième à avant-dernier alinéas sont remplacés par trois alinéas ainsi rédigés :
« Lorsque l’activité d’une entreprise se rattache à plusieurs catégories définies aux 1o, 1o bis et 2o, le régime
défini au présent article n’est applicable que si le chiffre d’affaires hors taxes global de l’entreprise respecte la
limite mentionnée au 1o et si le chiffre d’affaires hors taxes afférent aux activités mentionnées aux 1o bis et 2o est
inférieur ou égal aux limites respectives mentionnées aux mêmes 1o bis et 2o.
« Le résultat imposable, avant prise en compte des plus-values ou des moins-values provenant de la cession des
biens affectés à l’exploitation, est égal au montant du chiffre d’affaires hors taxes diminué d’un abattement de 71 %
pour le chiffre d’affaires provenant d’activités de la catégorie mentionnée au 1o, d’un abattement de 50 % pour le
chiffre d’affaires provenant d’activités de la catégorie mentionnée au 2o et d’un abattement de 30 % pour le chiffre
d’affaires provenant d’activités de la catégorie mentionnée au 1o bis. Ces abattements ne peuvent être inférieurs
à 305 €.
« Les plus-values ou les moins-values mentionnées au sixième alinéa sont déterminées et imposées dans les
conditions prévues aux articles 39 duodecies à 39 quindecies, sous réserve de l’article 151 septies. Pour
l’application de la première phrase du présent alinéa, les abattements mentionnés au sixième alinéa du présent 1
sont réputés tenir compte des amortissements pratiqués selon le mode linéaire. » ;
d) Au dernier alinéa, après la référence : « 1 », sont insérés les mots : « , à l’exception du seuil prévu au 1o bis, » ;
2o Au a du 2, le mot : « quatrième » est remplacé par le mot : « cinquième » ;
B. – Au premier alinéa du III de l’article 151-0, les mots : « du douzième » sont remplacés par les mots : « de
l’avant-dernier ».
II. – Le présent article s’applique aux revenus perçus à compter du 1er janvier 2025.
III. – Pour l’imposition des revenus perçus en 2024, l’article 50-0 du code général des impôts s’applique dans sa
rédaction antérieure à la loi no 2023-1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024.
Article 8
Après l’article 9-1 de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, il
est inséré un article 9-2 ainsi rédigé :
« Art. 9-2. – Lorsqu’un lot de copropriété fait l’objet de la déclaration prévue à l’article L. 324-1-1 du code du
tourisme, le copropriétaire ou, par son intermédiaire, le locataire qui y a été autorisé en informe le syndic. Un point
d’information par le syndic relatif à l’activité de location de meublés touristiques au sein de la copropriété est
inscrit à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale. »
La présente loi sera exécutée comme loi de l’Etat.
Fait à Rio de Janeiro, le 19 novembre 2024.
EMMANUEL MACRON
Par le Président de la République :
Le Premier ministre,
MICHEL BARNIER
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
CATHERINE VAUTRIN
La ministre de la transition écologique, de l’énergie,
du climat et de la prévention des risques,
AGNÈS PANNIER-RUNACHER
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
ANTOINE ARMAND
La ministre du logement
et de la rénovation urbaine,
VALÉRIE LÉTARD
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Le ministre auprès du Premier ministre,


chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
La ministre déléguée auprès du ministre
de l’économie,des finances et de l’industrie,
chargée de l’économie du tourisme,
MARINA FERRARI

(1) Travaux préparatoires : loi no 2024-1039.


Assemblée nationale [Seizième législature] :
Proposition de loi no 1176 ;
Rapport de M. Inaki Echaniz et Mme Annaïg Le Meur, au nom de la commission des affaires économiques, no 1928 ;
Discussion les 6 décembre 2023 et 29 janvier 2024 et adoption, après engagement de la procédure accélérée, le 29 janvier 2024
(TA no 231).
Sénat :
Proposition de loi adoptée par l’Assemblée nationale, no 292, (2023-2024) ;
Rapport de Mme Sylviane Noël, au nom de la commission des affaires économiques, no 586 (2023-2024) ;
Avis de M. Jean-François Husson, au nom de la commission des finances, no 579 (2023-2024) ;
Texte de la commission no 587 (2023-2024) ;
Discussion et adoption le 21 mai 2024 (TA no 131, 2023-2024).
Sénat :
Rapport de Mme Sylviane Noël et M. Jean-François Husson, au nom de la commission mixte paritaire, no 85 (2024-2025) ;
Texte de la commission no 86 (2024-2025) ;
Discussion et adoption le 5 novembre 2024 (TA no 16, 2024-2025).
Assemblée nationale [Dix-septième législature] :
Proposition de loi modifiée par le Sénat no 159) ;
Rapport de Mme Annaïg Le Meur et M. Inaki Echaniz, au nom de la commission mixte paritaire, no 492 ;
Discussion et adoption le 7 novembre 2024 (TA no 7).
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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

PREMIER MINISTRE

Décret no 2024-1040 du 19 novembre 2024


relatif à l’entrée en vigueur immédiate d’un arrêté
NOR : PRMX2431231D

Le Premier ministre,
Vu le code civil, notamment son article 1er ;
Vu l’urgence,
Décrète :
Art. 1 . – Entre en vigueur immédiatement, à compter de sa publication au Journal officiel de la République
er

française, l’arrêté du 19 novembre 2024 portant dérogation temporaire aux règles en matière de temps de conduite
pour les conducteurs assurant le transport d’équipements militaires dans le cadre l’opération Atlantic Resolve 24.
Art. 2. – Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur
immédiatement.
Fait le 19 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Arrêté du 18 novembre 2024 fixant le nombre de promotions offertes à l’examen professionnel


pour l’accès au troisième grade de secrétaire administratif du ministère de la justice au titre de
l’année 2025
NOR : JUST2429828A

Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 18 novembre 2024, le nombre de promotions
offertes à l’examen professionnel pour l’accès au troisième grade de secrétaire administratif du ministère de la
justice au titre de l’année 2025, est fixé à 52.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Arrêté du 6 novembre 2024 pris pour l’application en 2024 des prélèvements sur fiscalité au titre
du retraitement de la dotation forfaitaire des communes 2023, du renouvellement de la
contribution au redressement des finances publiques des communes 2017, du renouvellement
de la contribution au redressement des finances publiques des régions 2017, du renouvelle­
ment de la contribution au redressement des finances publiques des établissements publics
de coopération intercommunale à fiscalité propre 2018 et de la recentralisation sanitaire des
départements 2015
NOR : PTDB2427662A

La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation et le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L. 2334-7-2, L. 2334-7-3 et L. 3334-1 ;
Vu la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances pour 2015, notamment son article 107 ;
Vu la loi no 2017-1837 du 30 décembre 2017 de finances pour 2018, notamment son article 159 ;
Vu la loi no 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019, notamment son article 250 ;
Vu le décret no 2021-1291 du 4 octobre 2021 relatif aux dotations de l’Etat aux collectivités territoriales et à la
péréquation des ressources fiscales, notamment son article 9,
Arrêtent :
Art. 1 . – En application des dispositions prévues aux articles L. 2334-7-2, L. 2334-7-3 et L. 3334-1 du code
er

général des collectivités territoriales, à l’article 107 de la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances
pour 2015, à l’article 159 de la loi no 2017-1837 du 30 décembre 2017 de finances pour 2018 et à l’article 250 de la
loi no 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019, le produit de la fiscalité directe locale des
communes, des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, des départements et des
régions dont la liste figure en annexe est diminué en 2024 à hauteur des montants figurant dans cette même annexe.
Art. 2. – La directrice générale des collectivités locales, la directrice générale des finances publiques, les
préfets et les directeurs départementaux et régionaux des finances publiques des départements et régions
d’appartenance des communes, établissements publics de coopération intercommunale, départements et régions
concernés sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal
officiel de la République française.
Fait le 6 novembre 2024.
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
La directrice générale des collectivités locales,
C. RAQUIN
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
chargé de la 5e sous-direction
de la direction du budget,
C. BOISNAUD
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ANNEXE
LISTE DES COMMUNES, ÉTABLISSEMENTS PUBLICS DE COOPÉRATION INTERCOMMUNALE À FISCALITÉ
PROPRE, DÉPARTEMENTS ET RÉGIONS QUI FONT L’OBJET D’UN PRÉLÈVEMENT SUR FISCALITÉ EN 2024
EN APPLICATION DES DISPOSITIONS PRÉVUES AUX ARTICLES L. 2334-7-2, L. 2334-7-3 ET L. 3334-1
DU CODE GÉNÉRAL DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES, À L’ARTICLE 107 DE LA LOI No 2014-1654
DU 29 DÉCEMBRE 2014 DE FINANCES POUR 2015, À L’ARTICLE 159 DE LA LOI No 2017-1837
DU 30 DÉCEMBRE 2017 DE FINANCES POUR 2018 ET À L’ARTICLE 250 DE LA LOI No 2018-1317
DU 28 DÉCEMBRE 2018 DE FINANCES POUR 2019
1. Prélèvements (en euros) au titre de l’article L. 2334-7-2 du code général des collectivités territoriales
Prélèvement sur fiscalité 2024
Code département Code INSEE au titre du retraitement
de la commune de la commune Nom commune de la dotation forfaitaire des communes 2023
(article L. 2334-7-2 du CGCT)

01 01390 SAINT-VULBAS 116 273

39 39001 ABERGEMENT-LA-RONCE 53 897

50 50041 LA HAGUE 41 550

59 59195 ENGLOS 13 849

59 59437 NOYELLES-LES-SECLIN 137 589

62 62147 BOIRY-SAINTE-RICTRUDE 58 597

62 62727 RUITZ 77 808

64 64300 LACQ 11 769

73 73026 AVRIEUX 1 193

76 76660 SANDOUVILLE 81 552

77 77282 MAUREGARD 84 656

78 78501 PORCHEVILLE 41 651

87 87131 SAILLAT-SUR-VIENNE 14 238

Total des prélèvement sur fiscalité 2024 liés au retraitement de la dotation forfaitaire des communes 734 622

2. Prélèvements (en euros) au titre de l’article L. 3334-1 du code général des collectivités territoriales et
de l’article 107 de la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances pour 2015
Prélèvement sur fiscalité 2024
Code département Libellé du département au titre de la recentralisation
sanitaire des départements
(article 107 de la loi no 2014-1654 de finances pour 2015)

06 ALPES MARITIMES 1 070 444

75 PARIS 1 757 047

Total des prélèvements sur fiscalité 2024 au titre de la recentralisation sanitaire des 2 827 491
départements (article 107 de la loi de finances no 2014-1654 de finances pour 2015)

Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre de la recentralisation
Code département Libellé du département sanitaire des départements
(I de l’article 252 de la loi no 2020-1721 de finances pour 2021)

75 PARIS 7 486 347

91 ESSONNE 614 942

95 VAL-D’OISE 65 216

Total des prélèvements sur fiscalité 2024 au titre de la recentralisation sanitaire des 8 166 505
départements (article L. 3334-1 du code général des collectivités territoriales)

3. Prélèvements (en euros) au titre de l’article L. 2334-7-3 du code général des collectivités territoriales,
de l’article 159 de la loi no 2017-1837 du 30 décembre 2017 de finances pour 2018 et de l’article 250 de la
loi no 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

01 01014 ARBENT 17 731

01 01051 BOLOZON 429

01 01058 BREGNIER-CORDON 13 789

01 01063 BRION 13 885

01 01130 BRESSE VALLONS 11 345

01 01189 INJOUX-GENISSIAT 10 289

01 01192 IZERNORE 1 597

01 01228 MAILLAT 7 627

01 01268 MURS-ET-GELIGNIEUX 4 179

01 01282 OUTRIAZ 1 056

01 01390 SAINT-VULBAS 169 821

02 02212 CONDREN 263

02 02387 ITANCOURT 18 669

02 02525 MORCOURT 6 217

02 02741 THENELLES 3 193

03 03018 BAYET 11 399

03 03264 SAINT-YORRE 31 461

04 04066 CURBANS 11 748

04 04150 PIEGUT 2 721

05 05078 MONETIER-ALLEMONT 761

06 06018 BIOT 15 626

06 06019 BLAUSASC 5 531

06 06025 BROC 117 123

06 06068 GOURDON 18 320

06 06085 MOUGINS 12 679

06 06146 TOURNEFORT 13 261

06 06152 VALBONNE 178 729

07 07076 CRUAS 81 078

07 07157 MEYSSE 29 969

08 08122 CHOOZ 149 483

08 08125 CLIRON 3 205

08 08175 FOISCHES 10 947

08 08183 FROMELENNES 15 461

08 08194 GLAIRE 389

08 08226 HIERGES 1 036

08 08284 MAZURES 25 119

08 08432 SURY 921


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Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

09 09139 HOSPITALET-PRES-L’ANDORRE 14 934

09 09176 LUZENAC 11 233

09 09200 MONTBEL 2 921

09 09240 QUIE 4 149

09 09330 VERNAUX 1 770

10 10124 DIERREY-SAINT-JULIEN 5 766

10 10264 NOÉ-LES-MALLETS 1 935

10 10363 SAINT-THIBAULT 1 609

10 10372 SOULAINES-DHUYS 29 786

10 10381 TORVILLIERS 862

10 10411 VILLE-AUX-BOIS 1 374

10 10429 VILLETTE-SUR-AUBE 4 040

11 11077 CASTELNAU-D’AUDE 2 231

11 11127 ESCOULOUBRE 248

11 11398 TREILLES 13 038

11 11436 VILLESEQUE-DES-CORBIERES 23 186

12 12036 BROMMAT 15 142

12 12151 MONTEZIC 6 392

12 12203 ROQUEFORT-SUR-SOULZON 57 383

12 12226 SAINT-HIPPOLYTE 13 039

12 12284 TRUEL 12 684

12 12305 VIVIEZ 3 229

13 13011 BAUX-DE-PROVENCE 36 590

13 13014 BERRE-L’ETANG 965 826

13 13026 CHATEAUNEUF-LES-MARTIGUES 149 119

13 13039 FOS-SUR-MER 1 240 794

13 13042 GEMENOS 86 746

13 13056 MARTIGUES 1 770 004

13 13060 MEYREUIL 42 265

13 13061 SAINT-PIERRE-DE-MEZOARGUES 4 783

13 13067 ORGON 13 112

13 13076 PLAN-D’ORGON 15 140

13 13087 ROUSSET 395 529

13 13090 SAINT-ANTONIN-SUR-BAYON 8 385

13 13093 SAINT-ESTEVE-JANSON 19 040

13 13095 SAINT-MARC-JAUMEGARDE 19 308

13 13099 SAINT-PAUL-LES-DURANCE 43 917


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Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

14 14097 BRETTEVILLE-LE-RABET 2 820

14 14137 CARPIQUET 44 076

14 14181 CORMELLES-LE-ROYAL 31 153

14 14437 MONDEVILLE 175 216

15 15182 SAINT-ETIENNE-CANTALES 4 137

15 15206 SAINT-PIERRE 23 672

16 16089 CHATEAUBERNARD 22 774

16 16217 MERPINS 2 568

17 17074 BUSSAC-FORET 368

18 18025 BEFFES 33 331

18 18163 NEUVY-DEUX-CLOCHERS 5 420

18 18255 SUBDRAY 383

19 19222 SAINT-MARTIN-LA-MEANNE 7 968

21 21150 CHASSAGNE-MONTRACHET 3 886

21 21233 DRAMBON 9 615

21 21244 EGUILLY 1 754

21 21435 MONTLIOT-ET-COURCELLES 4 088

21 21684 VIGNOLES 4 210

24 24023 BANEUIL 5 569

24 24229 LE LARDIN-SAINT-LAZARE 7 018

24 24382 SAINT-CAPRAISE-DE-LALINDE 14 748

25 25583 VALONNE 199

26 26284 ROUSSAS 44 085

26 26293 SAINT-AVIT 3 879

26 26337 SAULCE-SUR-RHONE 1 612

26 26349 TERSANNE 2 512

27 27008 ALIZAY 95 110

27 27151 CHARLEVAL 33 546

27 27330 HERQUEVILLE 758

28 28121 DAMBRON 8 696

28 28140 EPERNON 17 057

28 28169 GARANCIERES-EN-BEAUCE 10 120

28 28177 GELLAINVILLE 5 001

28 28236 ARCISSES 1 701

29 29018 BRENNILIS 2 877

20A 2A253 QUASQUARA 5 667

20B 2B149 LUGO-DI-NAZZA 14 667


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Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

20B 2B320 TALLONE 20 706

30 30012 ARAMON 26 705

30 30081 CHUSCLAN 56 119

30 30084 CODOLET 65 093

30 30312 SAUVETERRE 2 327

30 30344 VERGEZE 46 310

31 31069 BLAGNAC 634 047

31 31084 BOUSSENS 21 304

31 31130 CAZARIL-TAMBOURES 309

31 31182 FENOUILLET 28 049

31 31293 LESPINASSE 41 051

31 31324 MARTRES-TOLOSANE 13 651

31 31404 OO 1 065

32 32202 LAUJUZAN 6 834

33 33004 AMBES 51 218

33 33073 BRAUD-ET-SAINT-LOUIS 82 924

33 33230 LAPOUYADE 24 220

34 34134 LAVERUNE 385

34 34271 SAINT-JULIEN 1 403

35 35324 SELLE-EN-LUITRE 7 467

36 36182 SAINT-BENOIT-DU-SAULT 6 952

37 37011 AVOINE 183 710

38 38005 ALLEMOND 45 646

38 38018 AUBERIVES-EN-ROYANS 448

38 38026 BALME-LES-GROTTES 1 212

38 38039 BERNIN 52 305

38 38057 BRESSON 32 324

38 38068 CHAMPAGNIER 2 155

38 38092 CHATELUS 2 326

38 38100 CHEYLAS 71 927

38 38116 COGNET 2 894

38 38139 CREYS-MEPIEU 25 689

38 38140 CROLLES 164 401

38 38158 EYBENS 184 111

38 38170 FONTANIL-CORNILLON 43 200

38 38173 FRENEY-D’OISANS 6 741

38 38181 GONCELIN 3 990


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Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

38 38200 JARRIE 55 946

38 38217 MARCIEU 4 128

38 38224 MAYRES-SAVEL 2 831

38 38237 MIZOEN 6 936

38 38249 MONTBONNOT-SAINT-MARTIN 48 813

38 38254 MONTEYNARD 6 625

38 38289 OZ 47 768

38 38317 PONT-DE-CLAIX 243 170

38 38378 SAINT-CLAIR-DU-RHONE 57 592

38 38403 SAINT-JEAN-D’HERANS 3 485

38 38425 SAINT-MAURICE-L’EXIL 56 502

38 38468 SALAISE-SUR-SANNE 316 051

38 38475 SATOLAS-ET-BONCE 14 485

38 38527 VAUJANY 460 366

38 38540 VEUREY-VOROIZE 29 966

39 39001 ABERGEMENT-LA-RONCE 38 281

39 39015 ARDON 24

39 39462 ROCHEFORT-SUR-NENON 27 579

40 40075 CASTETS 34 767

40 40122 HAUT-MAUCO 8 515

41 41049 CHEMERY 16 228

41 41060 CORMENON 4 024

41 41114 LESTIOU 535

41 41220 SAINT-LAURENT-NOUAN 13 315

41 41276 VILLEBAROU 22 704

42 42005 ANDREZIEUX-BOUTHEON 196 941

44 44045 CORDEMAIS 59 695

44 44074 INDRE 62 153

44 44103 MONTOIR-DE-BRETAGNE 124 847

45 45034 BOIGNY-SUR-BIONNE 9 350

45 45100 COMBLEUX 1 202

45 45122 DAMPIERRE-EN-BURLY 97 274

45 45154 GIDY 22 888

45 45216 MORMANT-SUR-VERNISSON 1 656

45 45235 ORMES 115 903

45 45272 SAINT-CYR-EN-VAL 9 827

45 45273 SAINT-DENIS-DE-L’HOTEL 43 603


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

47 47095 FAUILLET 8 911

49 49058 CERQUEUX 1 031

49 49129 ECOUFLANT 31 515

50 50006 AMIGNY 1 891

50 50036 BAUPTE 1 411

50 50176 ETANG-BERTRAND 4 651

50 50184 FLAMANVILLE 74 065

51 51043 BAZANCOURT 23 214

51 51099 BUSSY-LETTREE 853

51 51106 CERNON 3 539

51 51115 CHAMPFLEURY 5 944

51 51165 CONNANTRE 37 470

51 51268 GERMINON 2 910

51 51285 HAUSSIMONT 3 380

51 51392 MUTIGNY 2 028

51 51474 SAINT-BRICE-COURCELLES 32 359

51 51493 SAINT-LEONARD 2 443

51 51504 SAINT-MARTIN-SUR-LE-PRE 63 227

51 51576 TOURS-SUR-MARNE 10 837

51 51617 VEUVE 9 005

52 52184 EFFINCOURT 1 341

52 52219 GERMISAY 411

53 53061 CHARCHIGNE 5 076

54 54051 BATILLY 73 003

54 54079 BLENOD-LES-PONT-A-MOUSSON 66 671

54 54110 CERVILLE 13 848

54 54296 LANEUVELOTTE 5 542

54 54320 LOISY 547

54 54390 MOUSSON 5 442

54 54427 PIERRE-PERCEE 9 279

54 54469 SAINT-AIL 6 296

54 54470 SAINT-BAUSSANT 200

54 54546 VANDIERES 5 349

55 55059 BONNET 25

55 55087 BURE 24 557

55 55476 SAVONNIERES-DEVANT-BAR 17 348

55 55484 SEPTSARGES 493


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

55 55534 VAUDEVILLE-LE-HAUT 1 931

56 56072 GUELTAS 6 822

56 56225 SAINT-LERY 2 817

57 57028 ARGANCY 10 813

57 57043 AY-SUR-MOSELLE 9 248

57 57124 CATTENOM 75 809

57 57125 CHAILLY-LES-ENNERY 1 889

57 57193 ENNERY 63 080

57 57219 FLEVY 23 952

57 57242 GANDRANGE 39 643

57 57287 BASSE-HAM 39 339

57 57303 HAUCONCOURT 54 571

57 57314 HEMING 2 634

57 57438 MALROY 364

57 57452 MAXE 6 708

57 57582 RICHEMONT 27 985

57 57606 SAINT-AVOLD 69 563

57 57645 SEMECOURT 19 936

57 57677 TREMERY 66 953

59 59192 EMERCHICOURT 1 363

59 59195 ENGLOS 19 852

59 59206 ESCAUDOEUVRES 676

59 59225 FEIGNIES 3 836

59 59256 FRETIN 48 596

59 59268 GORGUE 27 678

59 59271 GRANDE-SYNTHE 1 019 381

59 59273 GRAVELINES 1 544 369

59 59313 HORDAIN 35 071

59 59340 LEFFRINCKOUCKE 66 432

59 59343 LESQUIN 25 519

59 59346 LEZENNES 51 444

59 59348 LIEU-SAINT-AMAND 61 813

59 59359 LOON-PLAGE 150 295

59 59437 NOYELLES-LES-SECLIN 42 980

59 59475 PROUVY 32 678

59 59515 ROUVIGNIES 30 515

59 59597 TILLOY-LEZ-CAMBRAI 6 072


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

59 59603 TRITH-SAINT-LEGER 558 096

59 59633 WALLERS-EN-FAGNE 1 296

60 60209 LA CORNE-EN-VEXIN 4 821

60 60281 GOURNAY-SUR-ARONDE 10 513

60 60351 LATAULE 3 931

60 60441 MOYVILLERS 4 208

60 60459 NEUVILLE-SUR-RESSONS 1 548

60 60528 REILLY 1 941

60 60589 SAINT-MAXIMIN 69 272

62 62132 BILLY-BERCLAU 77 091

62 62147 BOIRY-SAINTE-RICTRUDE 12 428

62 62156 BONNINGUES-LES-CALAIS 25 000

62 62239 COQUELLES 77 911

62 62727 RUITZ 43 718

62 62853 VIEIL-MOUTIER 4 749

63 63054 BROC 6 217

63 63268 PARDINES 3 089

63 63454 VERTOLAYE 3 923

64 64003 ABIDOS 10 076

64 64117 BESINGRAND 4 857

64 64185 CETTE-EYGUN 3 111

64 64300 LACQ 51 490

64 64320 LARUNS 56 374

64 64396 MONT 73 262

64 64418 NOGUERES 4 913

64 64443 PARDIES 37 966

65 65092 BEYREDE-JUMET-CAMOUS 4 932

65 65250 LALANNE-TRIE 2 203

65 65411 SASSIS 2 136

65 65435 SOULOM 4 117

65 65478 VISCOS 2 653

66 66170 SAINTE-COLOMBE-DE-LA-COMMANDERIE 4 354

67 67101 DORLISHEIM 17 182

67 67142 FORT-LOUIS 5 647

67 67258 LANDERSHEIM 2 110

68 68020 BANTZENHEIM 23 813

68 68036 BIESHEIM 69 183


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

68 68064 CHALAMPE 77 731

68 68091 FESSENHEIM 46 275

68 68104 GEISWASSER 472

68 68135 HESINGUE 52 189

68 68144 HOMBOURG 22 252

68 68149 HUNINGUE 125 222

68 68253 OTTMARSHEIM 60 713

68 68276 RIMBACHZELL 2 092

68 68300 SAUSHEIM 86 071

68 68351 VOGELGRUN 9 353

691 69116 LIMONEST 43 060

691 69149 OULLINS-PIERRE-BENITE 11 240

69 69270 CHAPONNAY 70 185

691 69271 CHASSIEU 166 523

691 69276 FEYZIN 171 531

69 69299 COLOMBIER-SAUGNIEU 153 841

70 70138 CHASSEY-LES-SCEY 941

70 70388 NOIDANS-LES-VESOUL 43 912

71 71567 VERGISSON 3 674

72 72035 BESSE-SUR-BRAYE 9 397

73 73003 GRAND-AIGUEBLANCHE 29 775

73 73026 AVRIEUX 46 357

73 73028 BALME 1 882

73 73049 BONVILLARET 1 211

73 73067 CHAMBRE 9 087

73 73135 LA-TOUR-EN-MAURIENNE 17 594

73 73175 MONTSAPEY 5 018

73 73180 MOTZ 15 812

73 73187 LA LÉCHÈRE 15 561

73 73194 ORELLE 71 081

73 73221 SAINT-ALBAN-DES-VILLARDS 7 029

73 73223 SAINT-ANDRE 5 637

73 73232 SAINTE-FOY-TARENTAISE 7 563

73 73252 SAINT-LEGER 5 514

73 73255 SAINTE-MARIE-DE-CUINES 5 616

73 73297 TOURNON 5 074

73 73308 VENTHON 683


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

73 73320 VILLARGONDRAN 505

73 73323 VILLAROGER 28 143

74 74019 ARGONAY 42 709

74 74068 CHENE-EN-SEMINE 5 269

74 74130 FRANCLENS 9 707

74 74159 MAGLAND 17 775

74 74165 MARIGNY-SAINT-MARCEL 10 676

74 74199 NERNIER 727

74 74235 SAINT-GERMAIN-SUR-RHONE 9 139

74 74278 THYEZ 9 061

74 74312 VOUGY 1 410

76 76178 CLEON 88 192

76 76260 FERRIERES-EN-BRAY 7 810

76 76305 GONFREVILLE-L’ORCHER 922 467

76 76319 GRAND-COURONNE 204 239

76 76414 MARTIN-EGLISE 4 618

76 76489 OUDALLE 28 647

76 76493 PALUEL 93 320

76 76497 PETIT-COURONNE 31 452

76 76533 ROGERVILLE 81 474

76 76545 ROUXMESNIL-BOUTEILLES 26 733

76 76657 SAINT-VIGOR-D’YMONVILLE 12 964

76 76660 SANDOUVILLE 61 771

76 76705 TOURVILLE-LA-RIVIERE 50 412

76 76750 YAINVILLE 17 805

77 77016 BAGNEAUX-SUR-LOING 36 684

77 77058 BUSSY-SAINT-GEORGES 212 519

77 77111 CHESSY 61 512

77 77121 COLLEGIEN 11 338

77 77123 COMPANS 121 417

77 77146 CROISSY-BEAUBOURG 61 122

77 77181 FERRIERES 54 955

77 77196 FRESNES-SUR-MARNE 12 543

77 77204 GERMIGNY-SOUS-COULOMBS 6 611

77 77282 MAUREGARD 105 830

77 77291 MESNIL-AMELOT 266 563

77 77306 MONTEREAU-SUR-LE-JARD 18 732


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

77 77323 MOUSSY-LE-VIEUX 5 521

77 77342 OBSONVILLE 425

77 77356 PASSY-SUR-SEINE 1 216

77 77363 PIN 22 702

77 77368 POIGNY 6 326

77 77369 POINCY 2 526

77 77448 SEPT-SORTS 5 558

77 77482 VARENNES-SUR-SEINE 57 932

77 77511 VILLENEUVE-SOUS-DAMMARTIN 292

77 77518 VILLIERS-EN-BIERE 18 575

78 78117 BUC 116 004

78 78133 CHAMBOURCY 1 326

78 78168 COIGNIERES 71 573

78 78238 FLINS-SUR-SEINE 38 987

78 78296 GUITRANCOURT 9 891

78 78501 PORCHEVILLE 149 574

78 78615 THIVERVAL-GRIGNON 537

78 78640 VELIZY-VILLACOUBLAY 592 056

79 79108 DOUX 3 528

79 79137 GRANZAY-GRIPT 8 603

80 80024 ARGOEUVES 5 648

80 80036 AUBIGNY 1 256

80 80375 GAUVILLE 9 895

80 80379 GLISY 8 815

80 80542 MESNIL-SAINT-NICAISE 15 404

80 80557 ESTREES-MONS 8 510

80 80579 MUILLE-VILLETTE 14 396

80 80795 VILLE-LE-MARCLET 732

81 81036 BOUT-DU-PONT-DE-LARN 7 580

82 82072 GOLFECH 128 105

83 83122 SALLES-SUR-VERDON 1 374

84 84013 BEAUMETTES 437

84 84049 GIGONDAS 4 804

85 85245 SAINT-MARTIN-DES-FONTAINES 2 474

86 86077 CIVAUX 138 487

86 86111 INGRANDES 61 043

87 87131 SAILLAT-SUR-VIENNE 52 842


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


Code département Code INSEE au titre du renouvellement de la contribution
de la commune de la commune Nom commune au redressement des finances publiques 2017
(Art. L. 2334-7-3 du CGCT)

88 88206 GIRONCOURT-SUR-VRAINE 11 665

88 88253 JEUXEY 484

88 88260 LANGLEY 1 910

89 89195 GRON 22 813

89 89296 PERRIGNY-SUR-ARMANCON 1 362

90 90004 ARGIESANS 24 252

91 91041 AVRAINVILLE 10 779

91 91136 CHAMPLAN 51 979

91 91363 MARCOUSSIS 26 388

91 91458 NOZAY 78 181

91 91538 SAINT-AUBIN 51 802

91 91560 SAINT-JEAN-DE-BEAUREGARD 1 443

91 91648 VERT-LE-GRAND 39 485

91 91661 VILLEBON-SUR-YVETTE 279 487

91 91666 VILLEJUST 77 032

91 91679 VILLIERS-LE-BACLE 21 664

92 92062 PUTEAUX 1 545 670

93 93073 TREMBLAY-EN-FRANCE 893 352

93 93074 VAUJOURS 13 237

94 94065 RUNGIS 539 366

95 95088 BONNEUIL-EN-FRANCE 60 126

95 95094 BOUQUEVAL 5 413

95 95154 CHENNEVIERES-LES-LOUVRES 8 239

95 95212 EPIAIS-LES-LOUVRES 8 217

95 95271 GENICOURT 6 702

95 95492 PLESSIS-GASSOT 12 236

95 95527 ROISSY-EN-FRANCE 470 945

95 95633 VAUDHERLAND 1 526

95 95675 VILLERON 7 087

972 97234 BELLEFONTAINE 50 974

973 97358 SAINT-ELIE 17 472

Total des prélèvement sur fiscalité 2024 au titre du renouvellement de la contribution au redressement
des finances publiques 2017 26 533 151

Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre du renouvellement de la contribution
Département siège Numéro SIREN Nom EPCI au redressement des finances publiques
de l’EPCI (II de l’article 250 de la loi no 2018-1317
du 28 décembre 2018 de finances pour 2019)

COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION HAUT-BUGEY


01 200042935 AGGLOMÉRATION 246 939

01 240100800 CC DE MIRIBEL ET DU PLATEAU 400 084


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Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre du renouvellement de la contribution
Département siège Numéro SIREN Nom EPCI au redressement des finances publiques
de l’EPCI (II de l’article 250 de la loi no 2018-1317
du 28 décembre 2018 de finances pour 2019)

01 240100883 CC DE LA PLAINE DE L’AIN 9 411

02 200040426 CC DU VAL DE L’OISE 22 896

02 200071983 CC DE LA THIÉRACHE SAMBRE ET OISE 57 069

05 240500439 CC BRIANCONNAIS 245 787

05 240500462 CC DU PAYS DES ECRINS 74 540

09 200066231 CC DES PORTES D’ARIÈGE PYRÉNÉES 416 040

09 200066363 CC DE LA HAUTE ARIÈGE 382 575

09 240900464 CC PAYS OLMES 36 884

10 200000545 CC DES PORTES DE ROMILLY SUR SEINE 15 225

10 200006716 CC DU NOGENTAIS 202 860

10 200066892 CC VENDEUVRE-SOULAINES 48 214

10 200071777 CC ARCIS MAILLY RAMERUPT 23 338

18 241800457 CC FERCHER 39 602

20A 200038958 CC DE LA PIEVE DE L’ORNANO 67 584

20B 200036499 CC DE MARANA-GOLO 32 866

25 200065647 PAYS DE MONTBÉLIARD AGGLOMÉRATION 2 463 820

25 242500338 CC DU GRAND PONTARLIER 50 526

26 200042901 CC DRÔME SUD PROVENCE 32 941

27 200065787 CC DE PONT AUDEMER / VAL DE RISLE 139 548

27 200089456 CA SEINE-EURE 1 280 713

29 242900645 DOUARNENEZ COMMUNAUTÉ 33 649

29 242900744 CC POHER COMMUNAUTE 44 686

30 243000569 CC DU RHÔNY VISTRE VIDOURLE 338 581

30 243000593 CC DE PETITE CAMARGUE 197 984

30 243000684 CC DU PONT DU GARD 25 962

31 200034957 CC DU FRONTONNAIS 99 806

33 243300811 CC L’ESTUAIRE 308 874

33 243301165 CC JALLE-EAU BOURDE 160 758

33 243301249 CC LES RIVES DE LA LAURENCE 114 919

36 243600236 CC PAYS ISSOUDUN 248 911

36 243600327 CHÂTEAUROUX MÉTROPOLE 202 694

37 200043081 CC CHINON VIENNE ET LOIRE 791 992

38 200018166 CC LE GRESIVAUDAN 903 683

38 200085751 ENTRE BIEVRE ET RHONE 671 867

38 243800745 CC DE L’OISANS 949 652

39 200026573 CC HAUT-JURA SAINT-CLAUDE 6 319

39 243900610 CC LA GRANVALLIERE 56
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre du renouvellement de la contribution
Département siège Numéro SIREN Nom EPCI au redressement des finances publiques
de l’EPCI (II de l’article 250 de la loi no 2018-1317
du 28 décembre 2018 de finances pour 2019)

40 244000543 CC DE MIMIZAN 135 461

40 244000691 CC DU PAYS MORCENAI 69 579

40 244000766 CC DU PAYS TARUSATE 45 561

40 244000857 CC COTE LANDES NATURE 36 135

43 244300307 HAUT PAYS DU VELAY COMMUNAUTE 164 119

44 200072734 CC ESTUAIRE ET SILLON 52 831

44 244400644 CA DE LA REGION NAZAIRIENNE ET DE L’ESTUAIRE 221 076

45 200070100 CC DU VAL DE SULLY 12 348

45 244500211 CC GIENNOISES 303 158

48 244800405 CC COEUR DE LOZERE 46 185

51 200034718 CC VITRY CHAMPAGNE ET DER 20 556

COMMUNAUTÉ D’AGGLOMÉRATION EPERNAY,


51 200067684 COTEAUX ET PLAINE DE CHAMPAGNE 364 224

51 245100615 CC GRANDE VALLEE DE LA MARNE 141 335

53 200083392 LAVAL AGGLOMÉRATION 19 594

54 200041515 CC DU BASSIN DE PONT-A-MOUSSON 165 361

54 245400189 CC DES PAYS DU SEL ET DU VERMOIS 115 044

54 245400601 CC DU BASSIN DE POMPEY 494 351

57 200039949 CC RIVES DE MOSELLE 283 691

58 200067429 CC HAUT NIVERNAIS-VAL D’YONNE 97 526

59 200042190 CA DE LA PORTE DU HAINAUT 255 271

60 246000129 CC DU LIANCOURTOIS 13 939

60 246000582 CC DES SABLONS 40 381

60 246000756 CC DU PAYS NOYONNAIS 60 855

60 246000772 CC DEUX VALLEES 345 191

60 246000897 CC DE LA PLAINE D’ESTREES 149 639

62 246200380 CC DE LA TERRE DES DEUX CAPS 121 192

63 246300966 CC DU SANCY 875

64 200039204 CC LACQ-ORTHEZ 139 153

67 200030526 CC DU RIED DE MARCKOLSHEIM 39 662

67 200041283 CC DE LA PLAINE DU RHIN 61 945

67 246700967 CC SELESTAT 335 218

67 246701064 CC DE MOLSHEIM - MUTZIG 85 957

68 200036465 CC DE THANN CERNAY 281 500

68 200066025 CC ALSACE RHIN BRISACH 280 510

68 246800395 CC DU VAL D’ARGENT 18 900

68 246800494 CC PAYS DE ROUFFACH, VIGNOBLES ET CHATEAUX 108 954

68 246800551 CC VALLEE KAYSERSBERG 8 531


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre du renouvellement de la contribution
Département siège Numéro SIREN Nom EPCI au redressement des finances publiques
de l’EPCI (II de l’article 250 de la loi no 2018-1317
du 28 décembre 2018 de finances pour 2019)

68 246800577 CC DU PAYS DE RIBEAUVILLE 150 266

68 246800676 CC VALLEE DE LA DOLLER ET DU SOULTZBACH 88 683

69 246900575 CC EST LYONNAIS 690 508

69 246900757 CC DE LA VALLEE DU GARON 131 980

69 246900765 CC DU PAYS DE L’OZON 19 916

72 247200090 CC DU PAYS SABOLIEN 529 693

72 247200348 CC DU PAYS FLECHOIS 41 839

73 200040798 CC VAL VANOISE 290 873

73 200041010 CC CŒUR DE SAVOIE 22 192

73 200070340 CC HAUTE MAURIENNE VANOISE 484 544

73 200070464 CC CŒUR DE MAURIENNE ARVAN 333 484

73 247300015 CC DES VALLÉES D’AIGUEBLANCHE 270 869

73 247300254 CC DE HAUTE TARENTAISE 540 974

73 247300452 CC MAURIENNE GALIBIER 282 775

73 247300528 CC VAL GUIERS 2 600

73 247300676 CC PORTE DE MAURIENNE 33 685

73 247300817 CC LES VERSANTS D’AIME 284 637

74 200000172 CC DE FAUCIGNY GLIERES 293 681

74 200023372 CC DE LA VALLEE DE CHAMONIX-MONT-BLANC 833 072

76 200010700 CAUX SEINE AGGLO 2 155 741

76 200069839 CC DE LA CÔTE D’ALBÂTRE 1 209 408

76 200084952 CU LE HAVRE SEINE MÉTROPOLE 1 777 356

77 247700339 VAL D’EUROPE AGGLOMÉRATION 977 068

77 247700644 CC OREE DE LA BRIE 12 380

78 200058782 SAINT QUENTIN EN YVELINES 995 301

79 247900798 CC DU THOUARSAIS 31 335

80 200037059 CC DE LA HAUTE SOMME 54 584

80 200070928 CC TERRE DE PICARDIE 91 079

80 200070944 CC DU VIMEU 321 328

80 200070977 CC DU GRAND ROYE 103 675

80 200070985 CC DE L’EST DE LA SOMME 213 720

82 248200016 CC DES DEUX RIVES 444 984

82 248200057 CC DU QUERCY CAUSSADAIS 39 157

83 248300410 CC VALLEE GAPEAU 111 627

84 200000628 CC RHONE LEZ PROVENCE 551 742

84 248400251 CA DU GRAND AVIGNON 453 387

84 248400293 CA LES SORGUES DU COMTAT 15 456


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117

Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre du renouvellement de la contribution
Département siège Numéro SIREN Nom EPCI au redressement des finances publiques
de l’EPCI (II de l’article 250 de la loi no 2018-1317
du 28 décembre 2018 de finances pour 2019)

CC PAYS DES SORGUES ET DES MONTS DE VAU­


84 248400319 CLUSE 184 532

84 248400335 CC VAISON VENTOUX 183 380

85 248500191 CC DE L’ILE DE NOIRMOUTIER 144 378

85 248500258 CC OCEAN MARAIS DE MONTS 119 015

88 200068682 CC TERRE D’EAU 66 899

91 249100595 CC LE DOURDANNAIS EN HUREPOIX 1 078

Total des prélèvements sur fiscalité 2024 au titre du renouvellement de la contribution au redressement
des finances publiques des EPCI à fiscalité propre 32 110 544

Prélèvement sur fiscalité 2024


au titre du renouvellement de la contribution
Code région Nom de la région au redressement des finances publiques 2017
(Article 159 de la loi no 2017-1837 de finances pour 2018)

01 GUADELOUPE 33 406

03 GUYANE 574 966

94 CORSE 3 466 086

Total des prélèvements sur fiscalité opérés en 2024 au titre du renouvellement de la contribution
au redressement des finances publiques des régions 4 074 458
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Arrêté du 19 novembre 2024 portant dérogation temporaire aux règles en matière de temps de
conduite pour les conducteurs assurant le transport d’équipements militaires dans le cadre
l’opération Atlantic Resolve 24
NOR : PTDT2431149A

La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation,


Vu le règlement no 561/2006/CE du Parlement européen et du Conseil du 15 mars 2006 relatif à l’harmonisation
de certaines dispositions de la législation sociale dans le domaine des transports par route, modifiant les règlements
(CEE) no 3821/85 et (CE) no 2135/98 du Conseil et abrogeant le règlement (CEE) no 3820/85 du Conseil,
notamment son article 14.2 ;
Vu le code des transports, notamment ses articles L. 3312-1, R. 3312-50 à R. 3312-52 et R. 3313-6-1 ;
Considérant le déroulement de l’opération « Atlantic Resolve 24 », qui implique le transit de la frontière
espagnole à la frontière allemande de plusieurs dizaines d’équipements militaires lourds par convois
exceptionnels ; considérant l’arrivée des convois à la frontière française le 20 novembre 2024 ; considérant que
les manifestations d’agriculteurs en cours imposent de mettre les convois en sécurité pour éviter leur imbrication
dans les actions de blocage envisagées sur l’itinéraire de transit ; considérant que l’aire de l’Océan (Landes) est la
première aire de repos qui correspond aux besoins en termes de stationnement et de sécurité depuis le
franchissement de la frontière par des convois ; considérant que, compte tenu du trajet qui aura déjà été effectué par
les transporteurs depuis leur base de départ en Espagne, les conducteurs ne peuvent rejoindre l’aire de l’Océan sans
faire une pause conformément à la réglementation en vigueur ; considérant que les manifestations d’agriculteurs
engendrent de fréquents ralentissements et blocages en de multiples lieux, répartis sur l’ensemble du territoire
national, de nature à occasionner sur la suite du parcours des convois exceptionnels d’autres difficultés ralentissant
leur acheminement vers les points de rassemblement sécurisés prévus pour les besoins de l’opération ; considérant
que cette situation est de nature à contraindre les conducteurs à dépasser, involontairement, les plafonds de temps
de conduite prévus par le règlement du 15 mars 2006 susvisé ; considérant que cette situation constitue un cas
d’urgence, mentionné à l’article 14.2 de ce règlement, justifiant la mise en œuvre de dérogations temporaires aux
règles en matière de temps de conduite,
Arrête :
Art. 1 . – Les conducteurs civils assurant le transport des équipements militaires de la 3e brigade de
er

la 1re Division blindée de l’armée de Terre des Etats-Unis d’Amérique depuis le département des
Pyrénées-Atlantiques et jusqu’au département du Haut-Rhin, bénéficient, par dérogation à l’article 6 du règlement
du 15 mars 2006 susvisé, des dérogations temporaires suivantes :
1. – Dépassement de la durée maximale de conduite quotidienne dans la limite de deux heures ;
2. – Dépassement de la durée maximale de conduite hebdomadaire dans la limite de quatre heures.
Art. 2. – Les dérogations prévues à l’article 1er s’appliquent dans le respect des dispositions du code des
transports relatives aux temps de travail et de repos applicables aux conducteurs, notamment celles prévues aux
articles L. 3312-1 et R. 3312-50 à R. 3312-52.
Art. 3. – Les dérogations prévues à l’article 1er s’appliquent jusqu’au 24 novembre 2024 inclus.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française et fera l’objet d’une
notification à la Commission européenne en application de l’article 14.2 du règlement susvisé.
Fait le 19 novembre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Décision du 5 novembre 2024 portant délégation de signature


(centre ministériel de valorisation des ressources humaines [CMVRH])
NOR : PTDK2429419S

La directrice des ressources humaines,


Vu le décret no 97-464 du 9 mai 1997 modifié relatif à la création et à l’organisation des services à compétence
nationale ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement ;
Vu le décret no 2008-680 du 9 juillet 2008 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère
de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire ;
Vu le décret no 2024-908 du 10 octobre 2024 relatif aux attributions de la ministre du partenariat avec les
territoires et de la décentralisation ;
Vu le décret no 2024-915 du 10 octobre 2024 relatif aux attributions de la ministre de la transition écologique, de
l’énergie, du climat et de la prévention des risques ;
Vu le décret no 2024-919 du 10 octobre 2024 relatif aux attributions de la ministre du logement et de la
rénovation urbaine ;
Vu l’arrêté du 9 juillet 2008 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère de l’écologie,
de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire ;
Vu l’arrêté du 30 mars 2012 modifié portant création et organisation d’un service à compétence nationale
dénommé « centre ministériel de valorisation des ressources humaines » (CMVRH) ;
Vu l’arrêté du 4 août 2023 portant nomination d’une adjointe au directeur du centre ministériel de valorisation
des ressources humaines (direction des ressources humaines),

Décide :
Art. 1er. – Délégation de signature est donnée à Mme Émilie MERLEN, attachée principale d’administration de
l’Etat, adjointe au directeur du centre ministériel de valorisation des ressources humaines, à l’effet de signer, au
nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général défini par le décret du 9 juillet 2008 susvisé, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions du centre ministériel de valorisation
des ressources humaines (CMVRH).
Art. 2. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 1, dans la limite des attributions
qui sont confiées à leur entité, à l’effet de signer, au nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général
défini par le décret du 9 juillet 2008 susvisé, tous actes et décisions, à l’exclusion des actes suivants : décrets,
arrêtés, protocoles transactionnels, baux, et actes de commande publique d’un montant égal ou supérieur à 25 000 €
hors taxes.
Art. 3. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 2, dans la limite des attributions
qui leur sont confiées, à l’effet de signer, au nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général défini par le
décret du 9 juillet 2008 susvisé, tout acte de commande publique inférieur à 25 000 € hors taxes ainsi que tous les
actes cités à l’article 4.
Art. 4. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 3, dans la limite des attributions
qui leur sont confiées, à l’effet de signer, au nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général défini par le
décret du 9 juillet 2008 susvisé, tout acte relevant de leurs attributions, ainsi que tout acte relatif à l’exécution
budgétaire et comptable dans les outils de gestion budgétaire et comptable dans la limite de 25 000 € hors taxes.
Art. 5. – La décision du 31 juillet 2024 portant délégation de signature au centre ministériel de valorisation des
ressources humaines est abrogée à la date d’entrée en vigueur de la présente décision.
Art. 6. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117

Fait le 5 novembre 2024.


A. DEBAR

ANNEXES
ANNEXE 1
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 2

Directeurs
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

ALLA Isabelle ICTPE Directrice du CVRH d’Aix-en-Provence CVRH d’Aix-en-Provence

RENARD Émilie AAE HC Directrice du CVRH d’Arras-Valenciennes CVRH d’Arras-Valenciennes

MAUDUIT Valéry ICTPE Directeur du CVRH de Clermont-Ferrand CVRH de Clermont-Ferrand

CALANDRA Aniela AAE HC Directrice du CVRH de Mâcon CVRH de Mâcon

BOURY Martine IDAE Directrice du CVRH de Nancy CVRH de Nancy

BENCHETRIT Lionel ICTPE Directeur du CVRH de Nantes CVRH de Nantes

NATIVITE Aurore AAE HC Directrice du CVRH de Paris CVRH de Paris

LEPICARD Dominique IDIM Directrice du CVRH de Rouen CVRH de Rouen

CLAIN Annie AAE HC Directrice du CVRH de Tours CVRH de Tours

ARILLA Ghislaine ITPE HC Directrice du CVRH de Toulouse CVRH de Toulouse

LUCIDOR Benoit IDTPE Directeur du CEDIP CEDIP

CALLIER Hubert AUE C Directeur du CMA CMA

Directeurs adjoints
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

TARDIF Delphine ICTPE Directrice adjointe du CVRH d’Aix-en-Provence CVRH d’Aix-en-Provence

DUEE Emmanuel ICTPE Directeur adjoint du CVRH d’Arras-Valenciennes CVRH d’Arras-Valenciennes

LESAVRE Perrine APAE Directrice adjointe du CVRH d’Arras-Valenciennes CVRH d’Arras-Valenciennes

WIERSCH Jérémy IDTPE Directeur adjoint du CVRH d’Arras-Valenciennes CVRH d’Arras-Valenciennes

BRETEAU Alexandre IDTPE Directeur adjoint du CVRH de Clermont-Ferrand CVRH de Clermont-Ferrand

ROY Stéphane APAE Directeur adjoint du CVRH de Mâcon CVRH de Mâcon

AUDIBERT Jean-Jacques APAE Directeur adjoint du CVRH de Mâcon CVRH de Mâcon

ROEHRIG Emmanuelle AAE HC Directrice adjointe du CVRH de Nancy CVRH de Nancy

ALLARD Marc IDTPE Directeur adjoint du CVRH de Nantes CVRH de Nantes

BRETON Virginie APAE Directrice adjointe du CVRH de Nantes CVRH de Nantes

DESSEIGNE Pascale AAE HC Directrice adjointe du CVRH de Nantes CVRH de Nantes

VANSTEENKISTE Alain AAE HC Directeur adjoint du CVRH de Paris CVRH de Paris

BORRAS Georges ITPE HC Directeur adjoint du CVRH de Paris CVRH de Paris

DENISSE Lydie AAE HC Directrice adjointe du CVRH de Rouen CVRH de Rouen

RODIER Daniel ICPEF Directeur adjoint du CVRH de Toulouse CVRH de Toulouse

FORTIN Thomas APAE Directeur adjoint du CVRH de Tours CVRH de Tours

PRETESEILLE Eric ITPE HC Directeur adjoint du CVRH de Tours CVRH de Tours


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117

Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

CAFFIAUX Delphine AUE C Directrice adjointe du CEDIP CEDIP

VEDRENNE Guy ITPE Directeur adjoint du CMA CMA

Adjoint au directeur du site de Valenciennes


Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

JOLY Geneviève AAE HC Adjointe au chef de département et au directeur de site CVRH d’Arras-Valenciennes

ANNEXE 2
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 3

Secrétaires généraux
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

MOOTHOOCARPEN Anne ITPE Secrétaire générale du CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités

HACHIN Laurence APAE Secrétaire générale du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités

BAUGNIES Laetitia AAE Secrétaire générale adjointe du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités

DANYLAK-MATON Audrey AAE Adjointe au secrétaire général du CVRH de Clermont-Ferrand Toutes les entités

ARRACHART Jean-Marc AAE Secrétaire général du CVRH de Mâcon Toutes les entités

MALY Lucas à compter du


1er septembre 2024 AAE Secrétaire général du CVRH de Nancy Toutes les entités

LENORMAND Bruno ITPE Secrétaire général du CVRH de Paris Toutes les entités

Chargée de mission en organisation et fonctionnement du


DONUTI Gabriela AAE CVRH de Rouen Toutes les entités

BATAILLE Pauline APAE Secrétaire générale du CVRH de Tours Toutes les entités

ANNEXE 3
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 4

Secrétaires généraux
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

GIRAUD Thierry TSCDD Secrétaire général du CVRH de Clermont-Ferrand Toutes les entités

BONHOMME Christine SACDD CE Secrétaire générale du CVRH de Toulouse Toutes les entités

Agents en charge de la comptabilité


Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

JULIEN Jean-Paul SACDD CE Adjoint à la secrétaire générale du CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités

MACHENSKI Joëlle TSCDD Secrétaire générale adjointe du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités

Gestionnaire comptable et financier au CVRH d’Arras-Valen­


HURLUPE Delphine TSPDD ciennes Toutes les entités

Responsable de l’unité gestion et RH au CVRH d’Arras-


AGUIRRE Aurélien TSCDD Valenciennes Toutes les entités

Chargée des ressources humaines et affaires financières au


BIREMBAUX Sophie TSPDD CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités

Chargé des ressources humaines et affaires financières au


ALLEMAND David TSPDD CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités

LE FLOCH Mikaël SACDD CS Adjoint à la secrétaire générale du CVRH de Nantes Toutes les entités
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117

Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH

TORAN Anne-Claude SACDD CE Consultante au CVRH de Nantes Toutes les entités

GUGGENBUHL Céline SACDD CN Gestionnaire comptable des CVRH de Paris et Nancy Toutes les entités

GICQUEL Carole à compter du


1er octobre 2024 TSCDD Gestionnaire comptable du CVRH de Nancy Toutes les entités

FERREIRA-MARTINS Béatrice SACDD CS Adjointe au secrétaire général du CVRH de Paris Toutes les entités

BRANILOVIC Sarah SACDD CS Adjointe au secrétaire général du CVRH de Rouen Toutes les entités

DUCROS Marie-Claude SACDD CS Gestionnaire financière au CVRH de Toulouse Toutes les entités

DENES Patricia AAP1 Gestionnaire de crédits au CVRH de Tours Toutes les entités

DECONIHOUT Cindy SACDD CN Gestionnaire comptable au CVRH de Tours Toutes les entités
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Décret no 2024-1041 du 18 novembre 2024 relatif aux modalités de réalisation


de l’examen médical à distance en cas de prolongation de garde à vue
NOR : INTD2419526D

Publics concernés : magistrats, officiers et agents de police judiciaire, agents de l’office national anti-fraude,
médecins, et justiciables.
Objet : modalités de réalisation de l’examen médical par vidéotransmission ou tout autre moyen de
télécommunication audiovisuelle en cas de prolongation de garde à vue.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le jour de sa publication.
Notice : le décret modifie la partie réglementaire du code de procédure pénale pour préciser les conditions de
réalisation de l’examen médical par vidéo transmission ou par tout autre moyen de télécommunication
audiovisuelle en cas de prolongation de garde à vue. Par renvoi de l’article 323-5 du code des douanes, il est aussi
applicable à la prolongation de la retenue douanière.
Références : le décret est pris en application du cinquième alinéa de l’article 63-3 du code de procédure pénale,
modifié par l’article 6, 5o de la loi no 2023-1059 d’orientation et de programmation du ministère de la justice
2023-2027. Le décret ainsi que les dispositions du code de procédure pénal qu’il modifie peuvent être consultés sur
le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, du ministre de l’intérieur et de la ministre de la santé et
de l’accès aux soins,
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 63-3 et R. 53-38 ;
Vu le code des douanes, notamment ses articles 323-5 et 323-6 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Après la section 3 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la partie réglementaire du code de procédure
er

pénale, il est inséré une section 4 ainsi rédigée :


« Section 4
« De l’examen médical réalisé par vidéotransmission ou tout autre moyen
de télécommunication audiovisuelle en cas de prolongation de garde à vue
« Art. R. 15-33-83. – Lorsqu’un examen médical visant à permettre à un médecin de se prononcer sur
l’aptitude au maintien en garde à vue d’une personne est réalisé par vidéotransmission ou par tout autre moyen de
télécommunication audiovisuelle en application du cinquième alinéa de l’article 63-3, le local utilisé, distinct de la
cellule de garde à vue, doit être adapté et de nature à assurer le bon déroulement de cet examen dans le respect des
conditions définies à l’article 63-3.
« Les caractéristiques techniques des moyens de télécommunication audiovisuelle utilisés doivent permettre
d’assurer la qualité, la confidentialité et la sécurité de l’examen médical.
« Cet examen est réalisé dans des conditions garantissant l’authentification du médecin intervenant dans
l’examen et l’identification de la personne gardée à vue.
« Lorsque la personne gardée à vue sollicite un examen médical lors de la prolongation de la garde à vue et qu’il
est envisagé de recourir à un moyen de télécommunication audiovisuelle, l’officier de police judiciaire s’assure que
l’intéressée n’est pas concernée par les cas d’exclusion mentionnés à l’article 63-3 et qu’elle donne son accord
exprès à ce que cet examen se déroule selon ces modalités.
« Lorsque l’examen médical est demandé par l’officier de police judiciaire ou le procureur de la République, et
que ce dernier autorise le recours à un moyen de télécommunication audiovisuelle, l’officier de police judiciaire
s’assure que l’intéressée n’est pas concernée par les cas d’exclusion mentionnés à l’article 63-3 et ne s’oppose pas
à ce que cet examen se déroule selon ces modalités.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 117

« Ces vérifications font l’objet d’une mention au procès-verbal de déroulement de la garde à vue émargée par
l’intéressée.
« L’autorisation du procureur de la République et, le cas échéant, l’accord exprès des personnes mentionnées au
premier alinéa du I de l’article 63-2 et au troisième alinéa de l’article 63-3 peuvent être recueillis par tout moyen. Il
en est fait mention au dossier.
« Lorsque l’examen médical est réalisé par vidéotransmission ou par tout autre moyen de télécommunication
audiovisuelle, il en est fait mention au procès-verbal de réquisition du médecin.
« Lorsque le médecin requis estime que l’examen à distance n’est pas adapté, il transmet à l’officier de police
judiciaire une attestation indiquant qu’un examen physique direct de la personne gardée à vue est nécessaire.
« L’examen médical donne lieu à la rédaction d’une attestation de réalisation transmise à l’officier de police
judiciaire par le médecin requis qui mentionne tout incident ayant perturbé la qualité de la vidéotransmission ou du
moyen de télécommunication audiovisuelle. Si le ou les incidents ont empêché la réalisation de l’examen, l’officier
de police judiciaire peut demander de procéder à un nouvel examen médical à distance, dès que possible. Dans le
cas où les obstacles techniques ne peuvent être levés, l’officier de police judiciaire demande sans délai la réalisation
d’un examen médical physique.
« Le médecin requis transmet le certificat médical par voie de communication électronique sécurisée à l’officier
de police judiciaire l’ayant désigné. Ce certificat est versé au dossier. »
Art. 2. – Aux I, II et III de l’article R. 251 du code de procédure pénale, les mots compris entre : « dans sa
rédaction résultant du » et « , sous réserve des adaptations prévues au présent titre. » sont remplacés par les
mots : « décret no 2024-1041 du 18 novembre 2024 ».
Art. 3. – Le garde des sceaux, ministre de la justice, le ministre de l’intérieur, la ministre de la santé et de
l’accès aux soins, le ministre auprès du Premier ministre, chargé des outre-mer, et le ministre auprès du Premier
ministre, chargé du budget et des comptes publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’intérieur,
BRUNO RETAILLEAU
Le garde des sceaux,
ministre de la justice,
DIDIER MIGAUD
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
GENEVIÈVE DARRIEUSSECQ
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé des outre-mer,
FRANÇOIS-NOËL BUFFET
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 31 octobre 2024 désignant l’opération de restructuration ouvrant droit aux dispositifs
d’accompagnement des agents dans le cadre de la réorganisation des services territoriaux de la
direction départementale des territoires et de la mer du Nord
NOR : INTA2429473A

La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’intérieur et le ministre de


la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’action publique,
Vu le code général de la fonction publique, notamment le chapitre II du titre IV de son livre IV ;
Vu le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 modifié instituant une prime de restructuration de service et une
allocation d’aide à la mobilité du conjoint ;
Vu le décret no 2019-1441 du 23 décembre 2019 relatif aux mesures d’accompagnement des restructurations
d’un service de l’Etat et de ses établissements publics ;
Vu l’arrêté du 26 février 2019 fixant les montants de la prime de restructuration de service et de l’allocation
d’aide à la mobilité du conjoint instituées par le décret no 2008-366 du 17 avril 2008 ;
Vu l’avis du comité social d’administration de la direction départementale des territoires et de la mer du Nord en
date du 14 octobre 2024,

Arrêtent :
Art. 1 . – La réorganisation des services territoriaux de la direction départementale des territoires et de la mer
er

du Nord constitue une opération de restructuration de service au sens du décret du 23 décembre 2019 susvisé.
Conformément à l’article 1er du décret du 23 décembre 2019 susvisé, cette opération de restructuration ouvre
droit, pour chaque emploi et fonctions concernés, aux dispositifs indemnitaires et d’accompagnement énumérés à
l’article 2 du présent arrêté.
Art. 2. – Les fonctionnaires, dont le poste est identifié en annexe, concernés par l’opération de restructuration
mentionnée à l’article 1er du présent arrêté peuvent bénéficier de la prime de restructuration de service et de
l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint dans les conditions fixées par le décret du 17 avril 2008 susvisé.
Art. 3. – Le bénéfice des dispositions prévues à l’article 2 est ouvert du 1er mars 2024 jusqu’au 1er mars 2025.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 31 octobre 2024.
Le ministre de l’intérieur,
Pour le ministre et par délégation :
Le secrétaire général,
D. MARTIN
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
L’adjointe à la directrice
des ressources humaines,
C. TRANCHANT
Le ministre de la fonction publique, de la simplification
et de la transformation de l’action publique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice de la synthèse statutaire,
des politiques territoriales et des partenariats,
H. MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 117

ANNEXE
LISTE DES POSTES CONCERNÉS PAR L’OPÉRATION DE RESTRUCTURATION RELATIVE À LA RÉORGANI­
SATION DES SERVICES TERRITORIAUX DE LA DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES TERRITOIRES ET DE LA
MER DU NORD
Intitulé des postes avant réorganisation Service de rattachement avant réorganisation

Chef d’unité territoires et milieux Service territorial du Hainaut

Chargé de mission territoires et milieux Service territorial Centre

Chargé de mission territoires et milieux Service territorial Centre


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 9 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 12 novembre 2024 autorisant au titre de l’année 2025 l’ouverture d’un concours externe
et d’un concours interne pour le recrutement d’adjoints administratifs principaux de 2e classe
de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région Ile-de-France
NOR : INTA2429945A

Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 12 novembre 2024 :


I. – Sans préjudice des dispositions législatives et réglementaires relatives aux emplois réservés aux bénéficiaires
du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et aux bénéficiaires de l’obligation d’emploi
mentionnée à l’article L. 351-1 du code général de la fonction publique, est autorisée, au titre de l’année 2025,
l’ouverture d’un concours externe et d’un concours interne pour le recrutement d’adjoints administratifs principaux
de 2e classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région Ile-de-France.
II. – L’annexe du présent arrêté fixe le calendrier prévisionnel d’organisation des concours susmentionnés.
III. – Le nombre de postes offerts pour chacun des concours sera fixé par arrêté ministériel.
IV. – Les formulaires d’inscription sont disponibles :
– par téléchargement sur le site internet du ministère de l’intérieur, rubrique « recrutements ouverts » :
– pour le concours interne : https://www.interieur.gouv.fr/ministere/metiers-du-ministere/je-suis-deja-agent-
public/adjoint-administratif-de-linterieur ;
– pour le concours externe : https://www.interieur.gouv.fr/ministere/metiers-du-ministere/je-veux-devenir-
agent-public/adjoint-administratif-de-linterieur ;
– par voie postale en joignant une enveloppe (format A4) affranchie au tarif en vigueur pour une lettre jusqu’à
100 g (libellée aux nom et adresse du candidat) au ministère de l’intérieur, SG/DRH/SDRF/BRPP/Section
concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes.
L’enregistrement de l’inscription s’effectue au choix du candidat :
– par voie électronique sur le site internet du ministère de l’intérieur (même adresse) ;
– par voie postale. Le candidat adresse son dossier d’inscription au ministère de l’intérieur,
SG/DRH/SDRF/BRPP/Section concours, 27, cours des Petites-Ecuries, 77185 Lognes.
Tout dossier incomplet ou mal renseigné est rejeté.
V. – En vue des épreuves, les candidats adressent les documents requis pour l’inscription au plus tard à la date de
clôture des inscriptions fixée à l’annexe du présent arrêté.
VI. – Les candidats en situation de handicap peuvent obtenir des aménagements d’épreuve. Ils doivent pour cela
produire un certificat médical établi par un médecin agréé, daté de moins de 6 mois avant le déroulement des
épreuves et précisant la nature des aides et aménagements sollicités.
La date limite d’envoi (le cachet de la poste faisant foi) ou de dépôt du certificat médical au service organisateur
est fixée à trois semaines avant le début des épreuves, délai de rigueur, conformément au décret no 2020-523
du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux
dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des agents
publics et des candidats en situation de handicap.
VII. – La composition du jury fera l’objet d’un arrêté du ministre de l’intérieur qui sera affiché, de manière à être
accessible au public, sur les lieux des épreuves pendant toute leur durée ainsi que, jusqu’à la proclamation des
résultats, sur le site internet du ministère de l’intérieur.
ANNEXE
CALENDRIER PRÉVISIONNEL D’ORGANISATION DES CONCOURS
Inscriptions par voie électronique ou postale
(le cachet de la poste faisant foi) Epreuves d’admissibilité Epreuves d’admission
20 novembre 2024

Date limite d’envoi


Concours Session Date limite des documents
Date d’ouverture de retrait Date de clôture en vue des épreuves
des inscriptions du formulaire des inscriptions Date Lieu par voie électronique Date Lieu
d’inscription ou postale (le cachet
de la poste faisant foi)

Adjoint administratif principal de 2e classe Région Communiquée Région


(concours externe) 2025 9 décembre 2024 12 janvier 2025 12 janvier 2025 4 mars 2025 Île-de-France / ultérieurement Île-de-France

Adjoint administratif principal de 2e classe Région Communiquée Région


(concours interne) 2025 9 décembre 2024 12 janvier 2025 12 janvier 2025 4 mars 2025 Île-de-France / ultérieurement Île-de-France
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Texte 9 sur 117
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Décision du 18 novembre 2024 portant délégation de signature (direction générale de la


gendarmerie nationale - service d’information et de relations publiques des armées -
gendarmerie)
NOR : INTJ2430040S

Le directeur général de la gendarmerie nationale,


Vu le code de la défense ;
Vu le code de la sécurité intérieure ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement, notamment son article 3 ;
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ;
Vu le décret no 2013-728 du 12 août 2013 modifié relatif à l’organisation de l’administration centrale du
ministère de l’intérieur et du ministère des outre-mer ;
Vu l’arrêté du 12 août 2013 modifié portant organisation de la direction générale de la gendarmerie nationale,
Décide :
Art. 1er. – Délégation est donnée, à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur ou du ministre des
armées et des anciens combattants, dans la limite des attributions du service d’information et de relations publiques
des armées - gendarmerie, tous actes et documents administratifs à :
– M. le colonel Olivier Coulbeau, adjoint au chef du service d’information et de relations publiques des armées -
gendarmerie ;
– M. le major Jérôme Perrin, chef du service administratif et financier du service d’information et de relations
publiques des armées - gendarmerie.
Art. 2. – Délégation est donnée, à l’effet de signer, au nom du ministre de l’intérieur ou du ministre des armées
et des anciens combattants, tous actes ou documents relevant de la compétence de l’ordonnateur s’agissant des
dépenses et de recettes de l’UO « centrale cabinet du BOP national commandement et soutien », à :
– M. le colonel Olivier Coulbeau, adjoint au chef du service d’information et de relations publiques des armées -
gendarmerie, dans la limite de 39 000 euros ;
– M. le major Jérôme Perrin, chef du service administratif et financier du service d’information et de relations
publiques des armées - gendarmerie, dans la limite de 39 000 euros.
Art. 3. – En cas d’absence ou d’empêchement, le chef du service d’information et de relations publiques des
armées - gendarmerie est suppléé par M. le colonel Olivier Coulbeau, adjoint au chef du service d’information et de
relations publiques des armées - gendarmerie.
Art. 4. – La présente décision prend effet au 1er décembre 2024 et abroge toute décision antérieure portant
délégation de signature (direction générale de la gendarmerie nationale - service d’information et de relations
publiques des armées - gendarmerie).
Art. 5. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
H. BONNEAU
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Arrêté du 1er octobre 2024 modifiant l’arrêté du 12 mars 2014 modifié portant création de la
spécialité « installateur, dépanneur en froid et conditionnement d’air » de brevet professionnel
et fixant ses modalités de délivrance
NOR : MENE2426031A

La ministre de l’éducation nationale,


Vu le code de l’éducation, notamment ses articles D. 337-95 à D. 337-124 ;
Vu l’arrêté du 12 mars 2014 modifié portant création de la spécialité « installateur, dépanneur en froid et
conditionnement d’air » de brevet professionnel et fixant ses modalités de délivrance ;
Vu l’arrêté du 10 mars 2021 modifié portant création de la spécialité « métiers du froid et des énergies
renouvelables » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’éducation en date du 12 septembre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – A l’article 8 de l’arrêté du 12 mars 2014 modifié susvisé, après les mots : « l’arrêté du 3 mai 2006
er

modifié susvisé » sont ajoutés les mots : « ou du baccalauréat professionnel “métiers du froid et des énergies
renouvelables” créé par l’arrêté du 10 mars 2021 modifié susvisé ».
Art. 2. – La directrice générale de l’enseignement scolaire et les recteurs d’académie sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 1er octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de l’instruction publique,
et de l’action pédagogique, adjointe
à la directrice générale de l’enseignement scolaire,
R.-M. PRADEILLES-DUVAL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Arrêté du 8 octobre 2024 portant abrogation


de la spécialité « gouvernante » de brevet professionnel
NOR : MENE2426867A

La ministre de l’éducation nationale,


Vu le code de l’éducation, notamment ses articles D. 337-95 à D. 337-124 ;
Vu le code du travail, notamment ses articles L. 6211-2 et L. 6222-7 ;
Vu l’avis conforme de la commission professionnelle consultative « Services et produits de consommation » en
date du 19 juin 2024 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’éducation en date du 12 septembre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – La dernière session d’examen de la spécialité « gouvernante » de brevet professionnel organisée
er

conformément aux dispositions de l’arrêté du 3 septembre 1997 portant définition et fixant les conditions de
délivrance du brevet professionnel Gouvernante aura lieu en 2026 avec une session supplémentaire en 2027 pour
les candidats qui se sont présentés à une session précédente.
Art. 2. – A l’issue de cette session qui s’achève le 31 décembre 2027, l’arrêté du 3 septembre 1997
susmentionné sera abrogé.
Art. 3. – La directrice générale de l’enseignement scolaire et les recteurs d’académie sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 8 octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de l’instruction publique
et de l’action pédagogique, adjointe
à la directrice générale de l’enseignement scolaire,
R.-M. PRADEILLES-DUVAL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Arrêté du 21 octobre 2024 modifiant l’arrêté du 17 décembre 2018 portant création de la spécialité
« métiers du commerce et de la vente » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités
de délivrance
NOR : MENE2428487A

La ministre de l’éducation nationale,


Vu le code de l’éducation, notamment ses articles D. 337-51 à D. 337-94-1 ;
Vu l’arrêté du 17 décembre 2018 portant création de la spécialité « métiers du commerce et de la vente » de
baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance,
Arrête :
Art. 1 . – L’annexe II b de l’arrêté du 17 décembre 2018 susvisé est remplacée par l’annexe figurant au présent
er

arrêté.
Art. 2. – La directrice générale de l’enseignement scolaire et les recteurs d’académie sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 21 octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de l’instruction publique
et de l’action pédagogique, adjointe
à la directrice générale de l’enseignement scolaire,
R.-M. PRADEILLES-DUVAL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 117

ANNEXE
ANNEXE II b
RÈGLEMENT D’EXAMEN
Spécialité : – élèves dans un établis­ – élèves dans un établisse­ Stagiaires de la forma­
sement public ou privé ment privé hors contrat ; tion professionnelle
MÉTIERS DU COMMERCE ET DE LA VENTE sous contrat ; – apprentis dans un CFA non continue dans un
du Baccalauréat professionnel – apprentis dans un CFA habilité au CCF ; établissement public
porté par un EPLE, habilité au CCF inté­
Option A Animation et gestion GRETA ou GIP-FCIP – stagiaires de la formation
professionnelle continue gral.
de l’espace commercial assurant toute la forma­
tion ; en établissement privé ;
– apprentis dans un CFA – candidats de l’enseigne­
habilité au CCF ; ment à distance ;
Option B Prospection clientèle – stagiaires de la forma­ – c a n d i d a t s j u s t i fi a n t
et valorisation de l’offre commerciale tion professionnelle de 3 années d’activités
continue dans un éta­ professionnelles.
blissement public.

Epreuves Unités Coef. Mode Durée Mode Durée Mode Durée

E1 Epreuve scientifique et technique 2

Ponctuel Ponctuel
Sous-épreuve E11 : Economie-droit U 11 1 écrit 2 h 30 écrit 2 h 30 CCF

Ponctuel
Sous-épreuve E12 : Mathématiques U 12 1 CCF écrit 1h CCF
et pratique

E2 Analyse et résolution de situations profession­


nelles

– Option A Animation et gestion de l’espace Ponctuel Ponctuel


commercial U2 4 écrit 3h écrit 3h CCF

– Option B Prospection clientèle et valorisation de Ponctuel Ponctuel


l’offre commerciale U2 4 écrit 3h écrit 3h CCF

E3 Pratique professionnelle 9

Ponctuel
Sous épreuve E31 : Vente-conseil U31 3 CCF oral 30 min CCF

Ponctuel
Sous-épreuve E32 : Suivi des ventes U32 2 CCF oral 30 min CCF

Sous-épreuve E33 : Fidélisation de clientèle et Ponctuel


développement de la relation client U33 3 CCF oral 40 min CCF

Ponctuel Ponctuel
Sous épreuve E34 Prévention santé environnement U34 1 écrit 2h écrit 2h CCF

E4 Epreuves de Iangue vivante 4

Ponctuel 20 min
Sous-épreuve E41 Langue vivante 1 U44 2 CCF oral CCF
(1)

Ponctuel 20 min
Sous-épreuve E42 Langue vivante 2 U42 2 CCF oral CCF
(1)

E5 Epreuve de français, histoire géographie et


enseignement moral et civique 5

Ponctuel Ponctuel
Sous-épreuve E51 : Français U54 2,5 écrit 2 h 30 écrit 2 h 30 CCF

Sous-épreuve E52 : Histoire géographie et ensei­ Ponctuel Ponctuel


gnement moral et civique U52 2,5 écrit 2h écrit 2h CCF

Ponctuel
E6 Epreuve d’arts appliqués et cultures artistiques U6 1 CCF écrit 1 h 30 CCF

E7 Epreuve d’éducation physique et sportive U7 1 CCF Pratique CCF

UF1 Ponctuel 20 min Ponctuel 20 min 20 min


Epreuves facultatives (2) Oral
UF2 oral (1) oral (1) (1)

(1) Dont 5 minutes de préparation.


(2) La langue vivante choisie au titre de l’épreuve facultative est obligatoirement différente de celle choisie au titre de l’épreuve obligatoire. Seuls les points excédant
10 sont pris en compte pour le calcul de la moyenne générale en vue de l’obtention du diplôme et de l’attribution d’une mention.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Arrêté du 22 octobre 2024 relatif aux taux de promotion dans certains corps de fonctionnaires
relevant du ministère de l’éducation nationale
NOR : MENH2425205A

La ministre de l’éducation nationale,


Vu le code général de la fonction publique ;
Vu le décret no 2005-1090 du 1er septembre 2005 relatif à l’avancement de grade dans les corps des
administrations de l’Etat ;
Vu l’avis conforme du ministre de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l’action
publique et du ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, en date du
24 septembre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – Les taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des avancements de grade
er

pouvant être prononcés au titre de l’année 2025 dans certains corps du ministère de l’éducation nationale en
application du décret du 1er septembre 2005 susvisé figurent en annexe du présent arrêté.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 22 octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des ressources humaines,
B. MELMOUX-EUDE

ANNEXE
CORPS ET GRADES TAUX APPLICABLE

1. – Personnels de la filière administrative

Corps des secrétaires administratifs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur régi par le décret no 2009-
1388 du 11 novembre 2009 modifié portant dispositions statutaires communes à divers corps de fonctionnaires de la
catégorie B et le décret no 2016-581 du 11 mai 2016 modifiant divers décrets relatifs à l’organisation des carrières des
fonctionnaires de catégorie B de la fonction publique de l’Etat

Secrétaire administratif de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur de classe supérieure :

Pour 2025 18 %

Secrétaire administratif de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur de classe exceptionnelle :

Pour 2025 14 %

Corps des adjoints administratifs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur régi par le décret no 2016-580
du 11 mai 2016 modifié relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires de catégorie C de la fonction publique de
l’Etat et le décret no 2006-1760 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux dispositions statutaires communes applicables
aux corps d’adjoints administratifs des administrations de l’Etat

Adjoint administratif de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur principal de 2e classe :

Pour 2025 28 %

Adjoint administratif de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur principal de 1re classe :

Pour 2025 16,5 %

2.– Personnels de la filière ouvrière


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 117

CORPS ET GRADES TAUX APPLICABLE

Corps des adjoints techniques des établissements d’enseignement du ministère de l’éducation nationale régi par le
décret no 91-462 du 14 mai 1991 modifié fixant les dispositions statutaires applicables au corps des adjoints techniques
des établissements d’enseignement et le décret no 2016-580 du 11 mai 2016 modifié relatif à l’organisation des carrières
des fonctionnaires de catégorie C de la fonction publique de l’Etat

Adjoint technique des établissements d’enseignement principal de 2e classe :

Pour 2025 28 %

Adjoint technique des établissements d’enseignement principal de 1re classe :

Pour 2025 16,5 %

3. – Personnels de la filière santé et sociale

Corps des infirmières et infirmiers du ministère chargé de l’éducation nationale régi par le décret no 94-1020 du 23
novembre 1994 modifié fixant les dispositions statutaires communes applicables aux corps des infirmières et infirmiers
des services médicaux des administrations de l’Etat

Infirmier de classe supérieure :

Pour 2025 14 %
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Arrêté du 18 novembre 2024 fixant la liste des écoles de production


prévue à l’article L. 443-6 du code de l’éducation
NOR : MENF2427689A

La ministre de l’éducation nationale et la ministre du travail et de l’emploi,


Vu le code de l’éducation, notamment ses articles L. 443-2 et L. 443-6,
Arrêtent :
Art. 1 . – L’annexe au présent arrêté fixe la liste des écoles de production prévue à l’article L. 443-6 du code
er

de l’éducation.
Art. 2. – L’arrêté du 17 novembre 2023 fixant la liste des écoles de production prévue à l’article L. 443-6 du
code de l’éducation est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’éducation nationale,
ANNE GENETET
La ministre du travail et de l’emploi,
ASTRID PANOSYAN-BOUVET

ANNEXE
LISTE DES ÉCOLES DE PRODUCTION
PRÉVUE À L’ARTICLE L. 443-6 DU CODE DE L’ÉDUCATION

1 Ecole de production industrielle de couture et confection (EPICC),


139, rue des Arts à Roubaix (59100)

2 Ecole de production La Fabrique – Académie de mécanique,


847, route de Frans à Villefranche sur Saône (69400)

3 Ecole de production Maurice Leroux,


Z.A. Les Cousseaux à Salbris (41300)

4 Ecole de production O’TECH Sud Oise,


2 B rue Clément Bayard à Compiègne (60200)

5 Ecole de production Saint Eloi,


12 quater Faubourg des Balmettes à Annecy (74 000)

6 Ecole de production du Hainaut, école Privée de Production Environnement Durable (EPPED),


9, rue des Champs à Quiévrechain (59920)

7 Ecole de production Institut de Formation Technique de l’Ouest (IFTO), Vaillé Rochereau Nueil-sur Layon,
à Lys Haut Layon (49560)

8 Ecole de production Eccofor - écouter, comprendre, former - Juralternance,


24, chemin Champ Dez à Dole (39100)

9 Ecole de production de Besançon (EPB),


4, rue Sophie Germain à Besançon (25043)

10 Ecole de production L’Atelier Ecole (ATEC),


1, avenue Marcel Pagnol à Monistrol-sur-Loire (43120)
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11 Ecole de production ICAM Paris Sénart,


Carré Sénart 34 Points de Vue à Lieusaint (77127)

12 Ecole de production de Chalon sur Saône (EDPC),


75 Grande rue Saint Cosme à Chalon sur Saône (71104)

13 Ecole de production Jean Marie Vianney,


22, rue Hector Berlioz à La Côte Saint André (38260)

14 Ecole de production ICAM Lille,


6, rue Auber à Lille (59000)

15 Ecole de production Automobile de Lens (EPAL),


69 bis route de Béthune à Lens (62300) ;

16 Ecole de production La Cordée Limoges,


117, rue de Nexon à Limoges (87000) ;

17 Ecole de production de Briacé,


au Landreau (44430) ;

18 Ecole de production Les Etablières,


route de Nantes à La Roche-sur-Yon (85015) ;

19 Ecole de production ICAM Nantes,


35, avenue du Champ de Manœuvres à Carquefou (44470) ;

20 Ecole technique privée de production AGAPE ANJOU,


12, avenue Jean-Joxé à Angers (49000) ;

21 Ecole de production ICAM Vendée,


28 boulevard d’Angleterre à La Roche-sur-Yon (85000) ;

22 Ecole de production T’CAP T’PRO,


84, rue des Patureaux à Saumur (49400) ;

23 Ecole de production Lemonnier 100% Bosco,


60, rue d’Hérouville à Caen (14000) ;

24 Ecole d’Usinage du Cotentin,


ZA de la Verangerie - BP25 Picauville (50360) ;

25 Ecole de production des Semeurs,


2, Rue des Forges à Beaumesnil (27410) ;

26 Ecole de production Le P’tit Plat,


6 place Waldeck-Rousseau, Le Petit Quevilly (76140) ;

27 Ecole de production Education et formation L’Usin’Eure,


63 Rue de Rome à Evreux (27000) ;

28 Ecole de production ICAM Toulouse,


75, avenue de Grande Bretagne, à Toulouse (31000).

29 Association forézienne d’écoles de production (AFEP),


7, rue du Vercors – BP 80223 à Saint Étienne (42013) ;

30 Ecole de production « Boisard »,


148, avenue Franklin-Roosevelt à Vaulx-en-Velin (69120)

31 Ecole catholique d’apprentissage par l’automobile (ECAUT),


301, route de Brégny à Viuz-en-Sallaz (74250) ;

32 Ecole technique du bois,


120, route de l’Alagnier, à Cormaranche-en-Bugey (01110) ;

33 Ecole libre d’apprentissage de Grenoble (ELAG),


31, rue de la Bajatière à Grenoble (38000) ;

34 Ateliers d’apprentissage de la Giraudière,


La Giraudière à Brussieu (69690) ;

35 Atelier d’apprentissage de « Gorge de Loup »,


105, avenue Sidoine-Apollinaire à Lyon (69009) ;

36 Ecole de production Centre de Formation Professionnelle Charles de Foucauld Les jardiniers de Macheville,
2, rue Macheville, Lamastre (07270) ;

37 Ecole de production Ferme école Graines d’Avenir,


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 117

2, rue Pierre Nicole, Magny-les-Hameaux (78114) ;

38 Ecole de production de la métropole Havraise,


34, rue Denis-Cordonnier, Le Havre (76620) ;

39 Ecole de production Paris Grand Nord Iron Academy,


50, avenue du Colonel Rol-Tanguy, Stains (93240) ;

40 Ecole de production Je fabrique mon avenir, site d’Istres,


Pôle aéronautique Jean-Sarrail, Chemin des bellons, Quartier Prignan, Istres (13800) ;

41 Ecole de production Fask Academy,


35, boulevard Capitaine Gèze, Parc Eiffel des Aygalades, Bat E, Marseille (13014) ;

42 Ecole de production Garage Ecole du Mans,


7, rue Blaise Pascal, Allonnes (72700) ;

43 Ecole de production automobile du Pévèle,


18, rue Carrière Dorée, Orchies (59310) ;

44 Ecole de production MétalTech,


32, rue Lavoisier, Nogent (25800) ;

45 Ecole de production Je fabrique mon avenir, site de la Seyne-sur-Mer,


94, avenue Marcel-Berre, La Seyne-sur-Mer (83500) ;

46 Ecole de production de Thiérarche et de la Serre - Etincelle,


24, route d’Hirson, zone Créapôle, Vervins (02140) ;

47 Ecole de production Flamme,


18, rue de Verdun, Ham (80400) ;

48 Ecole de production La Prod’Factory,


ZI de l’Omois, 8, avenue du Pré des Barres, Epaux-Bézu (02400) ;

49 Ecole de production de Belfort - EPB,


Tech’hom 5, 11, rue Marcel-Pangon, Cravanche (90300) ;

50 Ecole de production Avenir Bois Formation,


9 bis, rue de la Viotte, Saint-Loup-sur-Semouse (70800) ;

51 Ecole de production du Morvan - EDPM58,


La Charnizot, Biches (58110) ;

52 Ecole de production industrie 21 - EDPI21,


6 ,allée André-Bourland, Dijon (21000) ;

53 Ecole de production ECOPRA,


715, route de Saint-Félix, Rumilly (74150) ;

54 Ecole de production de Béthune Bruay - EP2B,


135, rue Raymond Deruy, Bruay-La-Buissière (62700) ;

55 Ecole de production de la région dunkerquoise Littoral Tech - EPRD,


Parc industriel des Repdyck, rue de l’Abbé Grégoire, Bâtiment 8, Grande-Synthe (59760) ;

56 Ecole de production Métallik Vallée Sud Mayenne - MWSM,


25, rue Gutenberg, Château-Gontier-sur-Mayenne (53200) ;

57 Ecole de production Wood Up,


29 bis, rue de la Gare, Châteaubriant (44110) ;

58 Ecole de production Usin’Up academy,


58, rue de Roumanie, Le Mans (72000) ;

59 Ecole de production garage mécanique auto Argentan - GM2A,


23, rue Maurice-Ravel, Argentan (61200) ;

60 Ecole de production Fil en Normandie,


rue des Drakkars, Condé sur Noireau, Condé en Normandie (14110) ;

61 Ecole de production Académie Industrielle Ha-Py,


Zone Pyrène Aéropôle, Lanne (65380).
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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Arrêté du 18 novembre 2024 portant reconnaissance


par l’Etat des écoles techniques privées
NOR : MENF2427687A

La ministre de l’éducation nationale,


Vu le code de l’éducation, notamment son article L. 443-2 ;
Vu les avis du Conseil supérieur de l’éducation en date du 10 octobre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – La reconnaissance par l’Etat est accordée aux établissements techniques privés figurant à l’annexe au
er

présent arrêté.
Art. 2. – La directrice des affaires financières est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
ANNE GENETET

ANNEXE
LISTE DES ÉCOLES TECHNIQUES PRIVÉES RECONNUES PAR L’ÉTAT
Ecole de production de Thiérarche et de la Serre - Etincelle, 24, route d’Hirson, zone Créapôle, Vervins (02140).
Ecole de production Flamme, 18, rue de Verdun, Ham (80400).
Ecole de production La Prod’Factory, ZI de l’Omois, 8, avenue du Pré-des-Barres, Epaux-Bézu (02400).
Ecole de production de Belfort - EPB, Tech’hom 5, 11, rue Marcel-Pangon, Cravanche (90300).
Ecole de production Avenir Bois Formation, 9 bis, rue de la Viotte, Saint-Loup-sur-Semouse (70800).
Ecole de production du Morvan - EDPM58, La Charnizot, Biches (58110).
Ecole de production industrie 21 - EDPI21, 6, allée André-Bourland, Dijon (21000).
Ecole de production ECOPRA, 715, route de Saint-Félix, Rumilly (74150).
Ecole de production de Béthune Bruay - EP2B, 135, rue Raymond-Deruy, Bruay-La-Buissière (62700).
Ecole de production de la région dunkerquoise Littoral Tech - EPRD, Parc industriel des Repdyck, rue de l’Abbé
Grégoire, bâtiment 8, Grande-Synthe (59760).
Ecole de production Métallik Vallée Sud Mayenne - MVSM, 25, rue Gutenberg, Château-Gontier-sur-Mayenne
(53200).
Ecole de production Wood Up, 29 bis, rue de la Gare, Châteaubriant (44110).
Ecole de production Usin’Up Academy, 58, rue de Roumanie, Le Mans (72000).
Ecole de production Garage Mécanique Auto Argentan - GM2A, 23, rue Maurice-Ravel, Argentan (61200).
Ecole de production Fil en Normandie, rue des Drakkars, Condé sur Noireau, Condé en Normandie (14110).
Ecole de production Académie Industrielle Ha-Py, Zone Pyrène Aéropôle, Lanne (65380).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION NATIONALE

Décision du 30 octobre 2024 portant délégation de signature


(direction du numérique pour l’éducation)
NOR : MENA2428128S

Le directeur du numérique pour l’éducation,


Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement, notamment son article 3 ;
Vu le décret no 2014-133 du 17 février 2014 modifié fixant l’organisation de l’administration centrale des
ministères de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de l’enseignement supérieur et de la recherche ;
Vu le décret du 23 juin 2021 portant cessation de fonctions et nomination du directeur du numérique pour
l’éducation des ministères de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de l’enseignement supérieur, de
la recherche et de l’innovation ;
Vu l’arrêté du 17 février 2014 modifié fixant l’organisation de l’administration centrale des ministères de
l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports et de l’enseignement supérieur et de la recherche,
Décide :
Art. 1 . – Délégation est donnée M. Stéphane TRAINEL, directeur de projet, chef de la mission de la
er

programmation et des affaires générales, à l’effet de signer, au nom du ministre chargé de l’éducation nationale,
tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission de la
programmation et des affaires générales.
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 octobre 2024.
A. LE BARON
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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES ARMÉES ET DES ANCIENS COMBATTANTS

Arrêté du 16 octobre 2024 fixant le nombre de postes offerts au recrutement en 2025


dans les corps des ingénieurs de l’armement et des ingénieurs des études et techniques
de l’armement
NOR : ARMH2428405A

Par arrêté du ministre des armées et des anciens combattants en date du 16 octobre 2024 :
I. – Le nombre de postes d’ingénieurs de l’armement offerts en 2025 au titre des recrutements prévus aux
articles 4, 5-1o, 5-2o, 6-1o, 6-2o, 6-3o du décret no 2008-941 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier
du corps militaire des ingénieurs de l’armement est ainsi fixé :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES

Article 4 : tableau de classement de sortie de l’école polytechnique 26

Article 5-1o : recrutement à titre initial d’ingénieurs de l’armement stagiaires par concours sur épreuves 0

Article 5-2o : recrutement à titre initial d’ingénieurs de l’armement stagiaires par concours sur titres 7

Article 6-1o : recrutement en cours de carrière par concours sur épreuves au grade d’IA 3

Article 6-2o : recrutement en cours de carrière par concours sur épreuves au grade d’IPA 3

Article 6-3o : recrutement en cours de carrière par concours sur titres au grade d’ICA 0

TOTAL 39

Les places non pourvues au titre des recrutements visés à l’article 4, au 2o de l’article 5 et aux 1o et 2o de
l’article 6 mentionnées ci-dessus peuvent être reportées sur un ou plusieurs autres recrutements.
II. – Le nombre de places offertes en 2025 aux concours prévus aux articles 6, 7 et 8 du décret no 2008-944
du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier de corps d’officiers de l’armement est ainsi fixé pour le
corps des ingénieurs des études et techniques de l’armement :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES

Article 6 - concours sur épreuves M.P.I. 4

Article 6 - concours sur épreuves M.P. 14

Article 6 - concours sur épreuves P.C. 9

Article 6 - concours sur épreuves P.S.I. 13

Article 6 - concours sur épreuves P.T. 4

TOTAL 44

Les places offertes aux concours prévus à l’article 6 qui ne sont pas pourvues dans une ou plusieurs filières
peuvent être réparties entre les autres filières.
Recrutement à titre initial d’ingénieurs des études et techniques de l’armement par concours sur titres prévus à
l’article 7 :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES

Article 7 10
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Recrutement en cours de carrière par concours sur épreuves prévus à l’article 8 pour le recrutement au grade
d’ingénieur des études et techniques de l’armement :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES

Article 8 1
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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES ARMÉES ET DES ANCIENS COMBATTANTS

Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 13 mai 2014 portant institution de régies de
recettes et d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des élèves des lycées de la
défense
NOR : ARMF2430682A

Le ministre des armées et des anciens combattants,


Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ;
Vu le décret no 2019-798 du 26 juillet 2019 relatif aux régies de recettes et aux régies d’avances des organismes
publics ;
Vu l’arrêté du 24 février 2014 habilitant le ministre de la défense à instituer des régies de recettes et des régies
d’avances pour la gestion des comptes nominatifs des élèves des lycées de la défense ;
Vu l’arrêté du 13 mai 2014 modifié portant institution de régies de recettes et d’avances chargées de la gestion
des comptes nominatifs des élèves des lycées de la défense ;
Vu l’arrêté du 23 avril 2015 modifié portant délégation des pouvoirs d’ordonnateur du ministre de la défense ;
Vu l’arrêté du 30 décembre 2019 modifié portant organisation de la direction des affaires financières ;
Vu l’arrêté du 25 aout 2020 habilitant le ministre de la défense à créer des régies de recettes et des régies
d’avances auprès des états-majors, directions, et services relevant de son autorité et des organismes qui leur sont
rattachés ;
Vu la décision du 7 mai 2024 portant délégation de signature (direction des affaires financières) ;
Vu l’avis de la direction départementale des finances publiques du Var en date du 28 aout 2024,
Arrête :
Art. 1 . – A la deuxième colonne de la quatrième ligne de l’article 1er, les mots : « 7 000 » sont remplacés par
er

les mots : « 15 000 ».


Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 novembre 2024.
Pour le ministre et par délégation :
La cheffe du bureau gestion publique
de la direction des affaires financières,
C. CABIOCH
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES ARMÉES ET DES ANCIENS COMBATTANTS

Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 les montants de l’allocation
de reconnaissance définie par l’article 6 de la loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant
reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés
NOR : ARMH2426925A

Le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, et le ministre délégué auprès
du ministre des armées et des anciens combattants,
Vu la loi no 2005-158 du 23 février 2005 modifiée portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale
en faveur des Français rapatriés, notamment son article 6,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le montant annuel de la rente viagère mentionnée au 1o du II de l’article 6 de la loi du 23 février 2005
er

susvisée est fixé à 9 407 euros à compter du 1er octobre 2024.


Art. 2. – Le montant annuel de la rente viagère mentionnée au 2o du II de l’article 6 de la loi du 23 février 2005
susvisée est fixé à 6 839 euros à compter du 1er octobre 2024.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
Le ministre délégué auprès du ministre
des armées et des anciens combattants,
JEAN-LOUIS THIÉRIOT
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES ARMÉES ET DES ANCIENS COMBATTANTS

Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 le montant de l’allocation
viagère définie par l’article 133 de la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances
pour 2016
NOR : ARMH2426929A

Le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, et le ministre délégué auprès
du ministre des armées et des anciens combattants,
Vu la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 modifiée de finances pour 2016, notamment son article 133,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le montant annuel de l’allocation viagère mentionnée au I de l’article 133 de la loi du
er

29 décembre 2015 susvisée est fixé à 9 407 euros à compter du 1er octobre 2024.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
Le ministre délégué auprès du ministre
des armées et des anciens combattants,
JEAN-LOUIS THIÉRIOT
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DE L’ÉNERGIE, DU CLIMAT


ET DE LA PRÉVENTION DES RISQUES

Arrêté du 22 octobre 2024 relatif aux coefficients à appliquer


à la formule du fonds de péréquation de l’électricité pour l’année 2024
NOR : TECR2426785A

Publics concernés : gestionnaires de réseaux publics de distribution d’électricité.


Objet : fixation des coefficients de la formule du fonds de péréquation de l’électricité et publication des montants
associés que doivent verser ou recevoir les gestionnaires de réseaux publics de distribution d’électricité.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de la publication.
Notice : cet arrêté établit les coefficients à appliquer pour l’année 2024 au fonds de péréquation de l’électricité.
Références : l’arrêté peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
La ministre déléguée auprès de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention
des risques,
Vu le code de l’énergie, notamment ses articles R. 121-51 et suivants ;
Vu l’avis du conseil du fonds de péréquation de l’électricité en date du 14 octobre 2024 ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie en date du 17 octobre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – Pour l’année 2024, en application de l’article R. 121-58 du code de l’énergie, les valeurs des
er

coefficients servant au calcul de la péréquation forfaitaire sont :


λ = 0,6
β=1
ε=1
α = 0,0313633254584932
a1 = 1613,0
a2 = 2419,6
a3 = 3226,1
a4 = 3226,1
a5 = 4226,2
a6 = 806,5
a7 = 80652,4
a8 = 106461,2
a9 = 39,8
Art. 2. – En application de l’article R. 121-58 du code de l’énergie, à partir des déclarations faites en
application de l’article R. 151-51 du même code, adressées en 2024 et portant sur l’année 2023, les gestionnaires de
réseau public de distribution d’électricité qui versent une contribution au fonds et le montant de cette contribution
sont les suivants :
Gestionnaire de réseau public
de distribution d’électricité Contribution 2024 (€)

COOPÉRATIVE D’ÉLECTRICITÉ DE VILLIERS 11 804,85 €

COOPÉRATIVE ÉLECTRIQUE DE ST-MARTIN-DE-LONDRES 24 945,55 €

ENEDIS 30 224 151,09 €

ÉNERGIE DÉVELOPPEMENT SERVICES DU BRIANÇONNAIS 32 579,23 €

ÉNERGIE ET SERVICES DE SEYSSEL 15 295,81 €


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Gestionnaire de réseau public


de distribution d’électricité Contribution 2024 (€)

ÉNERGIES ET SERVICES HAGONDANGE 7 374,72 €

ÉNERGIES SERVICES AMNEVILLE 719,26 €

ÉNERGIES SERVICES LANNEMEZAN 715,51 €

ÉNERGIES SERVICES LAVAUR 1 862,63 €

ÉNERGIES SERVICES OCCITANS 5 719,79 €

ÉNERGIES SERVICES TALANGE 4 919,99 €

ENERGIS 6 436,51 €

GAZ DE BARR 6 407,50 €

GAZELEC DE PÉRONNE 15 513,54 €

GIGNAC ÉNERGIE - RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ 7 652,53 €

GREENALP 381 740,96 €

HUNELEC 5 217,91 €

PRIMEO RÉSEAU DE DISTRIBUTION 42 223,12 €

RCEEM 8 917,20 €

RÉGIE COMMUNALE DE MONTDIDIER 16 756,94 €

RÉGIE COMMUNALE D’ÉLECTRICITÉ DE SAULNES 1 264,30 €

RÉGIE COMMUNALE D’ÉLECTRICITÉ GATTIÈRES 6 168,83 €

RÉGIE COMMUNALE DU CÂBLE ET DE L’ÉLECTRICITÉ DE MONTATAIRE 22 192,27 €

RÉGIE D’ÉLECTRICITÉ DE BITCHE 2 054,17 €

RÉGIE D’ÉLECTRICITÉ DE THONES 9 364,43 €

RÉGIE D’ÉLECTRICITÉ D’ELBEUF 16 899,91 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE D’AUSSOIS 2 510,66 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE D’AVRIEUX 567,87 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE BONNEVAL-SUR-ARC 899,02 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE MONTVALEZAN 6 201,08 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE SAINTE FOY TARENTAISE 2 391,94 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE TIGNES 21 230,43 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DES HOUCHES 8 811,78 €

RÉGIE GAZ ÉLECTRICITÉ DE BONNEVILLE 14 911,14 €

RÉGIE GAZ ÉLECTRICITÉ DE SALLANCHES 15 453,21 €

RÉGIE INTERCOM ÉLECTRICITÉ TÉLÉSERVICES DE NIEDERBRONN-REICHSHOFFEN 21 536,27 €

RÉGIE MUNICIPALE BAZAS ÉNERGIES 1 672,13 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE VARILHES 1 133,43 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE CAZÈRES 5 120,19 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE CREUTZWALD 11 583,36 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE LARUNS 437,69 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE LOOS 787,31 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MARANGE SILVANGE 4 764,15 €


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Gestionnaire de réseau public


de distribution d’électricité Contribution 2024 (€)

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE QUIÉ 191,75 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE SAINT PAUL CAP DE JOUX 668,53 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE SALINS LES BAINS 983,90 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE SARRE-UNION 4 865,29 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE TARASCON SUR ARIÈGE 1 890,97 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ LA BRESSE 405,10 €

RÉGIE MUNICIPALE ÉLECTRIQUE DE SAINT LEONARD DE NOBLAT 810,77 €

RÉGIE MUNICIPALE MULTISERVICE DE LA RÉOLE 3 739,90 €

RÉGIE SDED ÉRÔME-GERVANS 211,28 €

RÉSÉDA 485 992,57 €

S.I.C.A.E. DE CARNIN 773,99 €

S.I.C.A.E. DE LA VALLÉE DU SAUSSERON 4 536,07 €

S.I.C.A.E. OISE 37 055,11 €

SAEML UME ERSTEIN 25 945,99 €

SAIC PERS-JUSSY 1 245,15 €

SEM BEAUVOIS DISTRELEC 1 237,32 €

SEML GEDIA 45 862,17 €

SOREA 23 562,15 €

STRASBOURG ÉLECTRICITÉ RESEAU 1 954 558,56 €

SYNDICAT DES ÉNERGIES ÉLECTRIQUES DE TARENTAISE SEET 4 133,84 €

SYNELVA COLLECTIVITES 76 349,78 €

SYNERGIE MAURIENNE 2 893,55 €

VIALIS 137 167,77 €

Art. 3. – En application de l’article R. 121-58 du code de l’énergie, à partir des déclarations faites en
application de l’article R. 151-51 du même code, adressées en 2024 et portant sur l’année 2023, les gestionnaires de
réseau public de distribution d’électricité qui reçoivent une dotation et le montant de cette dotation sont les
suivants :
Gestionnaire de réseau public
de distribution d’électricité Dotation 2024 (€)

ÉNERGIE QUILLAN OCCITANIE 49 392,01 €

ENES SCHOENECK 57 778,92 €

GASCOGNE ÉNERGIES SERVICES 19 661,90 €

OMEGA (ÉNERGIES & SERVICES) ROMBAS 134 624,26 €

RÉGIE COMMUNALE D’ÉLECTRICITÉ DE PIERREVILLERS 3 404,91 €

RÉGIE COMMUNALE D’ÉLECTRICITÉ DE SAINTE-MARIE AUX CHÊNES 112 513,12 €

RÉGIE D’ÉLECTRICITÉ DE FONTPEDROUSE 13 283,01 €

RÉGIE D’ÉLECTRICITÉ DE LA CABANASSE 10 671,20 €

RÉGIE D’ÉLECTRICITÉ DE MONT LOUIS 862,15 €

RÉGIE DU SYNDICAT D’ÉLECTRICITÉ DES COMMUNES DE ST QUIRC-CANTE-LISSAC-LABATUT 89 894,04 €

RÉGIE ÉLECTRICITÉ DE ROQUEBILLIÈRE 21 908,68 €


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Gestionnaire de réseau public


de distribution d’électricité Dotation 2024 (€)

RÉGIE ÉLECTRICITÉ SUD-RÉOLE 1 656 353,30 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE BESSANS 69 227,84 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE CAPVERN 70 296,19 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE VILLARODIN-BOURGET 74 801,51 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE DE VILLAROGER 27 933,41 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE MUNICIPALE DE PRATS DE MOLLO LA PRESTE 117 659,96 €

RÉGIE ÉLECTRIQUE MUNICIPALE ST LAURENT DE CERDANS 149 552,06 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE COUNOZOULS 5 659,42 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE DALOU 7 613,12 €

RÉGIE MUNICIPALE DE HOMBOURG-HAUT 43 188,51 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ D’ARIGNAC 593,59 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE CAZOULS LES BEZIERS 991,21 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE CLOUANGE 44 428,28 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE L’HOSPITALET 5 875,90 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MARTRES TOLOSANE 66 763,34 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MAZÈRES 198 931,68 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MERCUS-GARRABET 12 560,75 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MERENS LES VALS 7 838,34 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MIRAMONT DE COMMINGES 24 729,51 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE MONTOIS-LA-MONTAGNE 9 705,36 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE SAVERDUN 180 500,77 €

RÉGIE MUNICIPALE D’ÉLECTRICITÉ DE VICDESSOS 17 342,19 €

RÉGIE SERVICES ÉNERGIE – SAINT ANDRÉ DE CORCY 517 856,77 €

S.I.C.A.E. DE LA SOMME ET DU CAMBRAISIS 972 939,76 €

S.I.C.A.E. DE L’AISNE 2 783 608,66 €

S.I.C.A.E. DE PRÉCY-SAINT-MARTIN 693 983,52 €

S.I.C.A.E. DES CANTONS DE LA FERTE ALAIS ET LIMITROPHES 152 592,01 €

S.I.C.A.E. DU CARMAUSIN 1 814 208,66 €

S.I.C.A.E. ELY 12 158,97 €

S.I.C.A.E. EST 2 637 981,96 €

S.I.C.A.P. PITHIVIERS 362 375,18 €

SIVOM ÉNERGIE PAYS TOY 32 390,78 €

SRD 20 427 020,97 €

SYNDICAT INTERCOMMUNAL ARC ÉNERGIES MAURIENNE 1 180,61 €

SYNDICAT INTERCOMMUNAL D ’ÉLECTRICITÉ DE LABERGEMENT-SAINTE-MARIE 99 153,42 €

Art. 4. – Le directeur de l’énergie est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 117

Fait le 22 octobre 2024.


Pour la ministre et par délégation :
Le directeur de l’énergie,
L. KUENY
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DE L’ÉNERGIE, DU CLIMAT


ET DE LA PRÉVENTION DES RISQUES

Arrêté du 15 novembre 2024 fixant au titre de l’année 2024 le nombre de postes offerts à l’examen
professionnel pour l’accès au grade d’assistant principal de service social des administrations
de l’Etat
NOR : TECK2429390A

Par arrêté de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, de la ministre de la transition
écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques et de la ministre du logement et de la rénovation
urbaine en date du 15 novembre 2024, le nombre total des postes offerts à l’examen professionnel pour l’accès au
grade d’assistant principal de service social des administrations de l’Etat, au titre de l’année 2024, est fixé à 3.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DE L’ÉNERGIE, DU CLIMAT


ET DE LA PRÉVENTION DES RISQUES

Arrêté du 18 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations
standardisées d’économies d’énergie, l’arrêté du 4 septembre 2014 fixant la liste des éléments
d’une demande de certificats d’économies d’énergie et les documents à archiver par le
demandeur et l’arrêté du 29 décembre 2014 relatif aux modalités d’application du dispositif des
certificats d’économies d’énergie et modifiant les arrêtés modificatifs du 22 août 2024
et du 6 septembre 2024
NOR : TECR2428116A

Publics concernés : bénéficiaires et demandeurs dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie.
Objet : révision de fiches d’opérations standardisées d’économies d’énergie et corrections de certaines
dispositions des arrêtés demandes, contrôles et modalités dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie.
Entrée en vigueur : le présent arrêté entre en vigueur le lendemain de sa publication, à l’exception des
dispositons de l’article 1er qui s’appliquent aux opérations engagées à compter du 1er janvier 2025.
Notice : l’article 1er révise les fiches d’opérations standardisées suivantes en y actualisant la norme
d’application obligatoire définissant l’évaluation de la résistance thermique des isolants réfléchissants :
BAR-EN-101 « Isolation de combles ou de toiture », BAR-EN-102 « Isolation des murs », BAR-EN-103 « Isolation
d’un plancher », BAR-EN-105 « Isolation des toitures terrasses », BAR-EN-106 « Isolation de combles ou de
toitures (France d’outre-mer) », BAR-EN-107 « Isolation des murs (France d’outre-mer) », BAT-EN-101
« Isolation de combles ou de toitures », BAT-EN-102 « Isolation des murs », BAT-EN-103 « Isolation d’un
plancher », BAT-EN-106 « Isolation de combles ou de toitures (France d’outre-mer) », BAT-EN-107 « Isolation
des toitures terrasses » et IND-EN-102 « Isolation de combles ou de toitures (France d’outre-mer). La norme
d’accréditaiton COFRAC est actualisée pour les fiches suivantes : BAR-EN-102, BAR-EN-105, BAR-EN-107,
BAT-EN-102, BAT-EN-107. Une date d’abrogation à compter du 1er mai 2027 est introduite pour les fiches
suivantes : BAR-EN-102, BAR-EN-105, BAR-EN-107, BAT-EN-102, BAT-EN-107. L’article 2 corrige les fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-171 « Pompe à chaleur de type air/eau » et BAR-TH-172 « Pompe à chaleur
de type eau/eau ou sol/eau » en y précisant que la marque et la référence du régulateur doivent être mentionnées
dans les documents justifiant l’opération. L’article 3 corrige la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177
« Rénovation globale de bâtiment résidentiel collectif (France métropolitaine) » en y ajoutant une date
d’abrogation de la fiche. L’article 4 corrige le référentiel de contrôle relatif à la BAR-TH-177 et au Coup de pouce
« Rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif (France métropolitaine) » avec l’ajout de la partie sur
le contrôle à l’achèvement des travaux et corrige la référence réglementaire faisant foi dans le cadre d’une
demande de permis de construire ou une déclaration préalable de travaux dans le cas de bâtiments décidant de
travaux relevant de la fiche BAR-TH-145 avant 1er novembre 2024. L’article 5 vient préciser les modalités de
remplissage des tableaux récapitulatifs dans le cas d’une demande de certificats d’économie d’énergie, pour les
opérations relatives à la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177. L’article 6 modifie la charte Coup de pouce
« Rénovation d’ampleur des maisons et appartements individuels » en y précisant qu’un organisme de contrôle ne
peut effectuer le contrôle d’une opération pour laquelle il a, le cas échéant, réalisé l’audit énergétique.
Références : l’arrêté peut être consulté dans sa rédaction issue de ces modifications sur le site Légifrance
(https://www.legifrance.gouv.fr).
La ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques,
Vu le code de l’énergie, notamment ses articles R. 221-9, R. 221-14 et R. 221-18 ;
Vu l’arrêté du 4 septembre 2014 modifié fixant la liste des éléments d’une demande de certificats d’économies
d’énergie et les documents à archiver par le demandeur ;
Vu l’arrêté du 22 décembre 2014 modifié définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie ;
Vu l’arrêté du 29 décembre 2014 modifié relatif aux modalités d’application du dispositif des certificats
d’économies d’énergie ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Vu l’arrêté du 22 août 2024 modifiant l’arrêté du 4 septembre 2014 modifié fixant la liste des éléments d’une
demande de certificats d’économies d’énergie et les documents à archiver par le demandeur, l’arrêté
du 22 décembre 2014 modifié définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie et l’arrêté
du 28 septembre 2021 modifié relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie ;
Vu l’arrêté du 6 septembre 2024 modifiant le Coup de pouce « Rénovation performante de bâtiment résidentiel
collectif » du dispositif des certificats d’économies d’énergie ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie du 17 octobre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – Les fiches d’opérations standardisées figurant en annexe A au présent arrêté remplacent les fiches
er

portant les mêmes références figurant en annexe 2 à l’arrêté du 22 décembre 2014 susvisé.
Art. 2. – Les fiches d’opérations standardisées figurant en annexe B au présent arrêté remplacent les fiches
portant les mêmes références figurant en annexe B à l’arrêté du 22 août 2024 susvisé.
Art. 3. – La fiche d’opération standardisée figurant en annexe C au présent arrêté remplace la fiche portant la
même référence figurant en annexe A à l’arrêté du 6 septembre 2024 susvisé.
Art. 4. – L’arrêté du 6 septembre 2024 susvisé est ainsi modifié :
I. – Le II de l’article 3 est remplacé par les dispositions suivantes :
« II. – Après la partie E bis de l’annexe III, est insérée une partie E ter ainsi rédigée :
« “E ter. Fiche d’opération standardisée BAR-TH-177 « Rénovation globale d’un bâtiment résidentiel
collectif (France métropolitaine) » :
« “Le contrôle de ces opérations est réalisé sur les parties visibles et accessibles, sans sondage ou prélèvements
destructifs. De façon générale, tout constat de non-qualité manifeste de nature à remettre en cause la performance
énergétique, la pérennité ou la sécurité des matériaux et équipements doit conduire à classer l’opération en « non
satisfaisant ».
« “L’organisme d’inspection mène des opérations de contrôle en fin de phase d’audit énergétique et avant la
réalisation des travaux (cf. partie E ter.I ci-dessous) et à l’achèvement des travaux (cf. partie E ter.II ci-dessous).
« “E ter.I. – En fin de phase d’audit énergétique, l’organisme d’inspection réalise un contrôle du contenu
de l’audit énergétique, et vérifie, lors d’une visite sur site, la cohérence avec les données d’entrée de la
situation initiale de l’audit.
« “E ter.I.1. Contrôle du contenu de l’audit énergétique :
« “Les critères suivants doivent conduire à un classement « non satisfaisant » de l’opération :
« “1) L’audit énergétique n’a pas été réalisé à l’aide d’un logiciel répondant aux exigences de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-177 ; le rapport de contrôle mentionne, dans tous les cas, le nom et la version du
logiciel utilisé ;
« “2) L’audit énergétique ne mentionne pas les valeurs des consommations conventionnelles en énergie primaire
et en énergie finale avant et après l’opération ;
« “3) Il est constaté un écart de surface habitable de plus de 10 % (écart = (surface déclarée – surface mesurée) /
surface mesurée * 100) ; la surface mesurée correspond à une surface évaluée par l’organisme d’inspection ;
« “4) L’audit énergétique montre que le niveau de confort thermique de la situation après travaux est inférieur à
celui de la situation initiale, y compris en période de rigueur hivernale, notamment au travers de la note de calcul de
dimensionnement du nouveau générateur de chauffage le cas échéant ;
« “5) L’audit énergétique retranche des consommations conventionnelles d’énergies primaire ou finale la
production d’électricité autoconsommée ou exportée ;
« “6) L’audit énergétique prend en compte des installations de chauffage qui ne sont pas fixes.
« “E ter.I.2. Dans le cas où l’opération s’inscrit dans le cadre du Coup de pouce « Rénovation performante
de bâtiment résidentiel collectif », l’organisme d’inspection identifie, dans le rapport d’audit, les scénarios
de travaux qui satisfont aux critères du Coup de pouce sur la base des critères suivants, et donne un avis
« non satisfaisant » dès lors qu’aucun scénario de travaux ne satisfait à ces critères :
« “7) La consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire après travaux, rapportée à la surface de
référence du bâtiment, est inférieure à 331 kWh/(m2.an) ;
« “8) La baisse de consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire est conforme à celle attendue par
la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177 ;
« “9) Les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, rapportées à la surface de référence du
bâtiment, sont inférieures ou égales à la valeur initiale de ces émissions avant travaux ;
« “10) Les changements d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire le cas échéant
préconisés, hors raccordement à un réseau de chaleur, ne conduisent :
« “a. Ni à l’installation d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire consommant du
charbon ou du fioul ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

« “b. Ni à l’installation d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire incluant l’installation
d’au moins une chaudière au gaz, dont le taux de couverture défini comme le rapport entre la quantité de chaleur
fournie par l’ensemble des chaudières au gaz du système et les besoins annuels de chaleur pour les usages couverts
par le système, est supérieur à 30 % ;
« “c. Ni à une hausse des émissions de gaz à effet de serre.
« “E ter.I.3. Dans le cas où l’opération ne s’inscrit pas dans le cadre du Coup de pouce, l’organisme
d’inspection identifie, dans le rapport d’audit, les scénarios de travaux qui satisfont aux critèresde la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-177 sur la base des critères suivants, et donne un avis « non satisfaisant »
dès lors qu’aucun scénario de travaux ne satisfait à ces critères :
« “11) La consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire après travaux, rapportée à la surface de
référence du bâtiment, est inférieure à 331 kWh/(m2.an) ;
« “12) La baisse de consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire est conforme à celle attendue
par la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177 ;
« “13) Les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, rapportées à la surface de référence du
bâtiment, sont inférieures ou égales à la valeur initiale de ces émissions avant travaux.
« “E ter.I.4. Le contrôle de l’audit énergétique conduit, par ailleurs, à un résultat « non satisfaisant » dès
lors qu’un écart manifeste est constaté entre les données d’entrée de la situation initiale utilisées dans l’audit
énergétique et les éléments constatés lors de la visite sur site (avant travaux), concernant les points suivants :
« “14) Niveau d’isolation des parois du bâtiment, et surfaces mises en jeu ;
« “15) Niveau d’isolation des menuiseries, et surfaces mises en jeu ;
« “16) Nature des combles (aménagés, perdus) ;
« “17) Description des systèmes de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire, de la génération à
l’émission ;
« “18) Description des systèmes de ventilation ;
« “19) Description des systèmes de refroidissement, le cas échéant.
« “E ter.II. – Contrôles à l’achèvement des travaux :
« “L’organisme d’inspection s’assure d’un avis satisfaisant donné à l’audit énergétique.
« “L’organisme d’inspection réalise l’inspection sur le lieu de l’opération.
« “Les critères suivants doivent conduire à un classement non satisfaisant de l’opération :
« “1) Les travaux réalisés ne font pas partie des scénarios de travaux de l’audit énergétique éligibles au Coup de
pouce Rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif, alors que l’opération s’inscrit dans ce Coup de
pouce ; ou, pour les opérations hors Coup de pouce, les travaux réalisés ne font pas partie des scénarios de travaux
de l’audit énergétique respectant les critères de la fiches d’opération standardisée BAR-TH-177 ;
« “2) Un écart est relevé entre les équipements et matériaux mis en place et le scénario retenu de l’audit
énergétique ou les factures des travaux en quantité et en qualité (performances thermiques et énergétiques) ;
« “3) Des non-qualités manifestes sont relevées, susceptibles, notamment, de remettre en cause le volume de
consommation conventionnelle annuelle d’énergie primaire ou d’énergie finale économisée du bâtiment rénové, la
pérennité des travaux ou les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, ou susceptibles de
remettre en cause la sécurité des installations ou l’usage normal des lieux ; à cette fin, l’organisme d’inspection se
fonde, le cas échéant, sur les listes des éléments à contrôler de la présente annexe III correspondant aux travaux
réalisés geste par geste, à l’exception des parties A. 1 (point 3), B. 1.1.1, C. I. A, D. I. A et F. I. A.” ; ».
II. – Le III de l’article 4 est remplacé par les dispositions suivantes :
« III. – Par dérogation aux dispositions du I du présent article, s’agissant des bâtiments autres que ceux
mentionnés au II du présent article et pour lesquels une demande de permis de construire ou une déclaration
préalable de travaux a été déposée avant le 1er novembre 2024, la date du récépissé mentionné à l’article R.* 423-3
du code de l’urbanisme faisant foi, relative à des travaux relevant de la fiche BAR-TH-145, les dispositions de
l’article 1er, des II et III de l’article 2 et de l’article 3 s’appliquent aux opérations engagées à compter
du 1er mars 2025 et les dispositions du I de l’article 2 s’appliquent aux opérations engagées à compter du
1er mars 2025 ou achevées à compter du 1er mai 2027. Dans ces cas, le demandeur de certificats archive une copie
du récépissé susmentionné.
« Dans ces cas, les dispositions de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-145 s’appliquent aux opérations
engagées jusqu’au 28 février 2025, achevées au plus tard le 30 avril 2027 et incluses dans une liste transmise, au
plus tard le 31 mars 2025, par le demandeur de certificats au ministre chargé de l’énergie, suivant le modèle intitulé
“Tableau de recensement des engagements BAR-TH-145” établi par la DGEC et mis à disposition sur le site
internet du ministère. »
Art. 5. – L’annexe 6 de l’arrêté du 4 septembre 2014 susvisé est ainsi modifié :
I. – L’alinéa commençant par les mots : « – pour la date de facture ou la date d’achèvement des travaux : » est
remplacé par les dispositions suivantes :
« – pour la date de facture ou la date d’achèvement des travaux : pour les opérations relevant des fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-174, BAR-TH-175 et BAR-TH-177, la date de facture ou la date
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

d’achèvement des travaux correspond à la date de la dernière facture ou la dernière date d’achèvement des
travaux ; ».
II. – L’alinéa commençant par les mots : « – pour le SIREN et la raison sociale du professionnel : » est remplacé
par les dispositions suivantes :
« – pour le SIREN et la raison sociale du professionnel : le professionnel est le professionnel ayant mis en
œuvre ou assuré la maîtrise d’œuvre de l’opération, ou à défaut, s’agissant de travaux relatifs aux fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-174, BAR-TH-175 et BAR-TH-177 le professionnel ayant réalisé les
travaux les plus coûteux du projet de travaux, signataire de l’attestation prévue au point I-9o de l’annexe 4 ou
au point 5 de l’annexe 5. La raison sociale peut être remplacée par le nom commercial du professionnel ou son
sigle, tels que portés au registre du commerce et des sociétés. Le cas échéant, pour les opérations relevant de
la fiche d’opération standardisée BAR-TH-174 et BAR-TH-175 valorisée par l’agence mentionnée à
l’article L. 321-1 du code de la construction et de l’habitation, ces colonnes correspondent respectivement au
SIREN et à la raison sociale de l’accompagnateur mentionné à l’article L. 232-3 du code de l’énergie ; ».
III. – L’alinéa commençant par les mots : « – pour les commentaires : » est remplacé par les dispositions
suivantes :
« – pour les commentaires : toute information nécessaire à la compréhension du dossier de demande par le Pôle
national des certificats d’économies d’énergie (PNCEE), notamment concernant le respect des dispositions du
troisième alinéa de l’article R. 221-15 du code de l’énergie. Dans le cas des opérations relevant des fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-174, BAR-TH-175 et BAR-TH-177 il s’agit d’indiquer la liste des
références des fiches d’opérations standardisées correspondant aux différents postes de travaux. Dans le cas
des opérations relevant de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-164, il convient d’indiquer le numéro de
la ligne correspondante du “Tableau de recensement des engagements BAR-TH-164” selon les cas de l’onglet
“Personnes physiques” ou de l’onglet “Personnes morales”. Dans le cas des opérations relevant de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-145, il convient d’indiquer le numéro de l’opération correspondante du
“Tableau de recensement des engagements BAR-TH-145” ou du “Tableau de recensement des engagements
BAR-TH-145 Dérogations” selon les cas de l’onglet “Personnes physiques” ou de l’onglet “Personnes
morales”. »
Art. 6. – L’annexe IV-5 au présent arrêté remplace l’annexe portant la même référence figurant dans l’arrêté
du 29 décembre 2014 susvisé.
Art. 7. – Les dispositions de l’article 1er s’appliquent aux opérations engagées à compter du 1er janvier 2025.
Art. 8. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
Pour la ministre par délégation :
La directrice du climat,
de l’efficacité énergétique et de l’air,
D. SIMIU
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ANNEXES
ANNEXE A
CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE
Opération no BAR-EN-101

Isolation de combles ou de toiture

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place d’un procédé d’isolation thermique en comble perdu ou en rampant de toiture. Un procédé
d’isolation est constitué de l’association d’un matériau isolant et de dispositifs de fixation et de protection (tels que
des revêtements, parements, membranes continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son exposition aux
environnements extérieurs et intérieurs (telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige, les chocs,
l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à :
– 7 m2.K/W en comble perdu ;
– 6 m2.K/W en rampant de toiture.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel effectue, au plus tard avant l’établissement du devis, une visite technique du bâtiment au cours
de laquelle il valide que la mise en place du procédé d’isolation dans les combles ou en toiture de ce bâtiment est en
adéquation avec ce dernier. Le cas échéant, il s’assure, lors de cette visite, que l’isolation existante peut être
conservée en l’état. Dans le cas contraire, il est procédé, lors des travaux, soit à la remise en état de l’isolation
existante, soit à sa dépose.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o, du 13o ou du 14o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération comporte les mentions de :
– la mise en place d’une isolation de combles ou de toiture ;
– les marque et référence ainsi que l’épaisseur et la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage) ;
– la date de la visite du bâtiment.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée ainsi que la date de la visite du bâtiment par le professionnel et elle est
complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace économique européen et
accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre
organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de la
coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
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nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac par m2 d’isolant en fonction de la zone climatique Surface d’isolant (m2)

H1 H2 H3
X S
1 700 1 400 920

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-EN-101,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-EN-101 (v. A64.6) : Mise en place d’un procédé d’isolation thermique en comble perdu ou en
rampant de toiture
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
* Date de la visite préalable du bâtiment où ont eu lieu les travaux : ..................................................................
* Date de début des travaux (pose de l’isolant) : ...................................................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ Oui □ Non
* Type de pose (l’isolation est réalisée entre un espace chauffé et un espace non chauffé) :
□ en combles perdus ;
□ en rampant de toitures.
Caractéristiques de l’isolant posé :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Épaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
L’isolation thermique réalisée a nécessité la mise en place d’un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant
d’atteindre un résultat équivalent : □ Oui □ Non
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : pour la mise en place d’une isolation thermique en comble perdu, la résistance thermique R doit être supérieure ou
égale à 7 m2.K/W. Pour la mise en place d’une isolation thermique en rampant de toiture, la résistance thermique R doit être
supérieure ou égale à 6 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique de l’isolation existante n’est pas, le cas échéant, prise en compte pour la détermination de la
résistance thermique ci-dessus.
NB3 : La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939
pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants. La résistance thermique
est établie conformément à l’annexe 7 à l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations standardisées d’économies
d’énergie.
NB4 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marques et références de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o, du 13o ou du 14o du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
* Nom .......................................................................................................................................................................
* Prénom ..................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAR-EN-102
Isolation des murs

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place d’un procédé d’isolation (complexe ou sur ossature) sur mur(s) en façade ou en pignon. Un
procédé d’isolation est constitué de l’association d’un matériau isolant et de dispositifs de fixation et de protection
(tels que des revêtements, parements, membranes continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son
exposition aux environnements extérieurs et intérieurs (telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige,
les chocs, l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à 3,7 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel effectue, avant l’établissement du devis, une visite technique du bâtiment au cours de laquelle il
valide que la mise en place du procédé d’isolation sur les murs de ce bâtiment est en adéquation avec ce dernier. Le
cas échéant, il s’assure, lors de cette visite, que l’isolation existante peut être conservée en l’état. Dans le cas
contraire, il est procédé, lors des travaux, soit à la remise en état de l’isolation existante, soit à sa dépose.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o ou du 12o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation installée ;
– et la date de la visite technique préalable par le professionnel.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des
organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur). En cas de mention
d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour
les références proposées en différentes épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance
thermique de l’isolation installée, doit impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Zone climatique Montant en kWh cumac par m2 d’isolant Surface d’isolant (m2)

H1 1 600

H2 1 300 X S

H3 880
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Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-EN-102,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur.
A/ BAR-EN-102 (v.A64.3) : Mise en place d’un procédé d’isolation (complexe ou sur ossature) sur mur(s)
en façade ou en pignon
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ Oui □ Non
Caractéristiques de l’isolant posé en façade ou en pignon :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : pour la mise en place d’une isolation thermique des murs, sa résistance thermique R doit être ≥ 3,7 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique de l’isolation existante n’est pas, le cas échéant, prise en compte pour la détermination de la
résistance thermique ci-dessus.
NB3 : la résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939
pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants. La résistance thermique
est établie conformément à l’annexe 7 à l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations standardisées d’économies
d’énergie.
NB4 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marques et références de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o ou du 12o du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation
(sous traitant par exemple) :
* Nom .......................................................................................................................................................................
* Prénom ..................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE

Opération no BAR-EN-103

Isolation d’un plancher

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
– mise en place d’un procédé d’isolation sur/sous un plancher bas situé entre un volume chauffé et un sous-sol
non chauffé, un vide sanitaire ou un passage ouvert. Un procédé d’isolation est constitué de l’association d’un
matériau isolant et de dispositifs de fixation et de protection (tels que des revêtements, parements, membranes
continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son exposition aux environnements extérieurs et
intérieurs (telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige, les chocs, l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à 3 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel effectue, au plus tard avant l’établissement du devis, une visite technique du bâtiment au cours
de laquelle il valide que la mise en place des isolants en plancher bas de ce bâtiment est en adéquation avec ce
dernier. Le cas échéant, il s’assure, lors de cette visite, que l’isolation existante peut être conservée en l’état. Dans
le cas contraire, il est procédé, lors des travaux, soit à la remise en état de l’isolation existante, soit à sa dépose.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
15o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation thermique d’un plancher bas ;
– les marque et référence ainsi que l’épaisseur et la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au niveau de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage) ;
– la date de la visite technique préalable par le professionnel.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau d’isolation en
plancher bas avec ses marque et référence et la surface de matériau installée ainsi que la date de la visite préalable
par le professionnel et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace
économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation
(COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans
le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

4. Durée de vie conventionnelle


30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Montant en kWh cumac par m2 d’isolant en fonction de la zone climatique Surface d’isolant (m2)

H1 H2 H3
X S
1 100 890 590

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-EN-103,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-EN-103 (v. A64.6) : Mise en place d’un procédé d’isolation sur/sous un plancher bas situé entre
un volume chauffé et un sous-sol non chauffé, un vide sanitaire ou un passage ouvert.
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .................../ .................../ ...................
* Date de la visite préalable, par le professionnel, du bâtiment où ont eu lieu les travaux : ........ /......... / .........
* Date de début des travaux (pose de l’isolant) : ................................/ ............................... /................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ..................../ ..................../ ....................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ Oui □ Non
Caractéristiques de l’isolant posé :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique R (m2.K/W) : .....................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
L’isolation thermique réalisée a nécessité la mise en place d’un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant
d’atteindre un résultat équivalent : □ Oui □ Non
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant mis en place ne sont pas mentionnées sur la preuve de
réalisation de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : pour l’isolation thermique d’un plancher bas, la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 3 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique de l’isolation existante n’est pas, le cas échéant, prise en compte pour la détermination de la
résistance thermique ci-dessus.
NB3 : la résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939
pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants. La résistance thermique
est établie conformément à l’annexe 7 à l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations standardisées d’économies
d’énergie.
NB4 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marques et références de chacun des isolants posés
ainsi que la résistance thermique R globale et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
15o du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
* Nom .......................................................................................................................................................................
* Prénom ..................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE

Opération no BAR-EN-105

Isolation des toitures terrasses

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place, en toiture terrasse, d’un procédé d’isolation extérieur. Un procédé d’isolation est constitué de
l’association d’un matériau isolant et de dispositifs de protection (tels que des revêtements, parements, membranes
continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son exposition aux environnements extérieurs et intérieurs
(telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige, les chocs, l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à 4,5 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le cas échéant, le professionnel s’assure que l’isolation existante peut être conservée en l’état. Dans le cas
contraire, il est procédé soit à la remise en état de l’isolation existante, soit à sa dépose.
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
13o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation installée.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des
organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur). En cas de mention
d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an aprés sa date de fin de validité. Pour
les références proposées en différentes épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance
thermique de l’isolation installée, doit impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Surface d’isolant
Zone climatique Montant en kWh cumac par m2 d’isolant
en m2

H1 1 200

H2 1 000 X S

H3 670
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-EN-105,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-EN-105 (v.A64.4) : Mise en place, en toiture terrasse, d’un procédé d’isolation extérieur.
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ Oui □ Non
Caractéristiques de l’isolant posé :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et modèle de l’isolant posé ne sont pas mentionnés sur la preuve de réalisation de
l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : pour la mise en place d’une isolation thermique des toitures terrasses, la résistance thermique R doit être ≥ 4,5 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique de l’isolation existante n’est pas, le cas échéant, prise en compte pour la détermination de la
résistance thermique ci-dessus.
NB3 : la résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939
pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants. La résistance thermique
est établie conformément à l’annexe 7 à l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations standardisées d’économies
d’énergie.
NB4 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marques et références de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
13o du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant, par exemple) :
* Nom .......................................................................................................................................................................
* Prénom ..................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAR-EN-106
Isolation de combles ou de toitures
(France d’outre-mer)

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants ou neufs en France d’outre-mer à l’exception des bâtiments neufs à la Réunion
construits à une altitude supérieure à 600 m.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en comble perdu ou en rampant de toiture.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,5 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Le professionnel effectue, au plus tard avant l’établissement du devis, une visite du bâtiment au cours de laquelle
il valide que la mise en place des isolants dans les combles ou en toiture de ce bâtiment est en adéquation avec ce
dernier.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Lorsque le bénéficiaire est une personne physique, le professionnel qui procède à la réalisation de l’opération est
titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812
du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code général des impôts
et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes pris pour son
application.
Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du 4 du I de l’article 46 AX de l’annexe III du code général
des impôts.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation installée évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon les normes NF EN
12664, NF EN 12667, NF EN 12939 ou NF EN ISO 22097 ;
– la date de la visite du bâtiment ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac par m2 d’isolant posé


Surface d’isolant posé
Type de logement (m2)
logement existant logement neuf
X
Maison individuelle 320 210
S
Bâtiment collectif 380 250
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-EN-106,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-EN-106 (v. A64.5) : Mise en place d’une isolation thermique en comble perdu ou en rampant de
toiture
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
* Date de la visite préalable, par le professionnel, du bâtiment où ont eu lieu les travaux : ..............................
* Date de début des travaux (pose de l’isolant) : ....................................................................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment résidentiel en France d’outre-mer : □ OUI □ NON
A La Réunion, le bâtiment ne se situe pas dans une zone au-dessus de 600 m d’altitude.
* Type de logement :
□ Existant □ Neuf □ Maison individuelle □ Bâtiment collectif
Caractéristiques de l’isolant posé :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être ≥ 1,5 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939
pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
NB3 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marques et références de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
Lorsque le bénéficiaire est une personne physique, le professionnel qui procède à la réalisation de l’opération est
titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812
du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code général des impôts
et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes pris pour son
application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du 4 du I de l’article 46 AX de l’annexe III du
code général des impôts.
Identité du professionnel titulaire du signe qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
* Nom : .....................................................................................................................................................................
* Prénom : ................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAR-EN-107

Isolation des murs


(France d’outre-mer)

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants ou neufs en France d’outre-mer à l’exception des bâtiments neufs à la Réunion
construits à une altitude supérieure à 600 m.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur mur(s) en façade ou en pignon.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 0,5 m2.K/W. Elle est évaluée selon les
normes suivantes :
– pour les isolants non réfléchissants : normes NF EN 12664, NF EN 12667 ou NF EN 12939 ;
– pour les isolants réfléchissants : norme NF EN ISO 22097.
Lorsque le bénéficiaire est une personne physique, le professionnel qui procède à la réalisation de l’opération est
titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812
du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code général des impôts
et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes pris pour son
application.
Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du 3 du I de l’article 46 AX de l’annexe III du code général
des impôts.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation installée évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon les normes NF
EN 12664, NF EN 12667, NF EN 12939 ou NF EN ISO 22097.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des
organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon les normes NF EN 12664, NF EN 12667, NF EN 12939 ou NF EN ISO 22097. En cas de
mention d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de
validité. Pour les références proposées en différentes épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la
résistance thermique de l’isolation installée, doit impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac / m2 d’isolant posé


en fonction de la résistance R de l’isolant (en m2.K/W)
Surface d’isolant posé
Bâtiment existant Bâtiment neuf (m2)
Type de logement
0,5 ≤ R < 1,2 1,2 ≤ R 0,5 ≤ R < 1,2 1,2 ≤ R

Maison individuelle 200 240 130 150


X S
Bâtiment collectif 240 280 160 180
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-EN-107,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-EN-107 (v. A64.4) : Mise en place d’un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur mur(s) en
façade ou en pignon
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment résidentiel en France d’outre-mer : □ OUI □ NON
A La Réunion, le bâtiment ne se situe pas dans une zone au-dessus de 600 m d’altitude.
* Type de logement :
□ Existant
□ Neuf
□ Maison individuelle
□ Bâtiment collectif
Caractéristiques de l’isolant posé en façade ou en pignon :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être ≥ 0,5 m2.K/W. Elle est évaluée selon les normes suivantes :
– pour les isolants non réfléchissants : normes NF EN 12664, NF EN 12667 ou NF EN 12939 ;
– pour les isolants réfléchissants : norme NF EN ISO 22097.
NB2 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marques et références de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
Lorsque le bénéficiaire est une personne physique, le professionnel qui procède à la réalisation de l’opération
doit être titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret
no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code général
des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes pris pour
son application.
Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du 3 du I de l’article 46 AX de l’annexe III du code général
des impôts.
Identité du professionnel titulaire du signe qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous traitant par exemple) :
* Nom : .....................................................................................................................................................................
* Prénom : ................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAT-EN-101

Isolation de combles ou de toitures

1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en plancher de combles perdus ou en rampant de toiture.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 6 m2.K/W en plancher de comble
perdu ou en rampant de toiture.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Une opération ne peut être engagée moins de douze mois suivant l’engagement d’une opération portant sur un
même bâtiment et un même bénéficiaire.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation de combles ou de toiture ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac


Zone climatique par m2 d’isolant Surface d’isolant
Secteur d’activité Facteur correctif en m2

Bureaux, Enseignement,
H1 2 600 0,6
Commerces

Hôtellerie - Restauration 0,7


X X S
H2 2 100
Santé 1,2

H3 1 400 Autres secteurs 0,6


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAT-EN-101,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAT-EN-101 (v. A64.4) : Mise en place d’une isolation thermique en plancher de combles perdus ou en
rampant de toiture
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
NB : une opération ne peut être engagée moins de douze mois suivant l’engagement d’une opération portant sur
un même bâtiment et un même bénéficiaire.
* Date de début des travaux (pose de l’isolant) : ....................................................................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ..........................................................................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
* Code postal : .........................................................................................................................................................
* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment tertiaire existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
* Secteur d’activité (une seule case à cocher) :
□ Bureaux □ Hôtellerie / Restauration □ Santé □ Autres secteurs
□ Enseignement □ Commerces
* Energie de chauffage : □ Electricité □ Combustible
Caractéristiques de l’isolant posé :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
L’isolation thermique réalisée a nécessité la mise en place d’un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant
d’atteindre un résultat équivalent : □ Oui □ Non
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 6 m2.K/W. Elle est évaluée selon la norme NF EN 12664, la
norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les
isolants réfléchissants.
NB2 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marque et référence de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAT-EN-102
Isolation des murs

1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur murs par l’intérieur ou par l’extérieur.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 3,7 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation des murs ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination
européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac par m2 d’isolant

Surface d’isolant
Energie de chauffage Secteur d’activité Facteur correctif en m2
Zone climatique
Electricité Combustible
Bureaux, Enseignement,
0,6
Commerces
H1 3 000 4 800

X Hôtellerie - Restauration 0,7 X S


H2 2 500 3 900
Santé 1,3

H3 1 600 2 600 Autres secteurs 0,6

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAT-EN-102,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAT-EN-102 (v. A64.3) : Mise en place d’un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur murs par
l’intérieur ou par l’extérieur
* Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : .............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ..........................................................................................
* Adresse des travaux : ............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

* Code postal : .........................................................................................................................................................


* Ville : .....................................................................................................................................................................
* Bâtiment tertiaire existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
* Secteur d’activité :
□ Bureaux □ Enseignement □ Hôtellerie / Restauration □ Santé
□ Commerces □ Autres secteurs
*Energie de chauffage : □Electricité □ Combustible
Caractéristiques de l’isolant posé (l’isolation est réalisée entre un espace chauffé et un espace non chauffé) :
* Surface d’isolant posé (m2) : ................................................................................................................................
* Résistance thermique : R (m2.K/W) : ...................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
* Epaisseur (mm) : ...................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
* Marque(s) : ............................................................................................................................................................
* Référence(s) : ........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 3,7 m2.K/W. Elle est évaluée selon la norme NF EN 12664, la
norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les
isolants réfléchissants.
NB2 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marque et référence de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAT-EN-103

Isolation d’un plancher

1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage isolant sur/sous plancher bas situé sur un sous-sol non chauffé, sur un vide sanitaire
ou sur un passage ouvert.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 3 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date début des
travaux (pose de l’isolant).
Une opération ne peut être engagée moins de douze mois suivant l’engagement d’une opération portant sur un
même bâtiment et un même bénéficiaire.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation d’un plancher ; et
– la surface d’isolant installé ; et
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au niveau de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Zone climatique Montant en kWh cumac par m2 d’isolant


Secteur d’activité Facteur correctif Surface d’isolant
en m2

Bureaux, Enseignement,
H1 5 200 0,6
Commerces

Hôtellerie - Restauration 0,7


X X S
H2 4 200
Santé 1,2

H3 2 800 Autres secteurs 0,6


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAT-EN-103,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAT-EN-103 (v. A64.4) : Mise en place d’un doublage isolant sur/sous plancher bas situé sur un sous-
sol non chauffé, sur un vide sanitaire ou sur un passage ouvert.
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ...............................................................
NB : Une opération ne peut être engagée moins de douze mois suivant l’engagement d’une opération portant sur un même
bâtiment et un même bénéficiaire.
*Date de début des travaux (pose de l’isolant) :......................................................................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ..........................................................................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment tertiaire existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
*Secteur d’activité :
□ Bureaux □ Enseignement □ Hôtellerie / Restauration □ Santé
□ Commerces □ Autres secteurs
*Energie de chauffage : □ Electricité □ Combustible
Caractéristiques de l’isolant posé (l’isolation est réalisée entre un espace chauffé et un espace non chauffé) :
*Surface d’isolant posé (m2) : ..................................................................................................................................
*Résistance thermique : R (m2.K/W) : ....................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
*Epaisseur (mm) : ....................................................................................................................................................
L’isolation thermique réalisée a nécessité la mise en place d’un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant
d’atteindre un résultat équivalent : □ Oui □ Non
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
*Marque(s) : .............................................................................................................................................................
*Référence(s) : ..........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 3 m2.K/W. Elle est évaluée selon la norme NF EN 12664, la
norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les
isolants réfléchissants.
NB2 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marque et référence de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAT-EN-106
Isolation de combles ou de toitures
(France d’outre-mer)

1. Secteur d’application
Bâtiments tertiaires existants ou neufs, en France d’outre-mer.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en comble perdu, en rampant de toiture ou en toiture terrasse.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation installée ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac par m2 d’isolant posé


Secteur d’activité Surface d’isolant posé (m2)
Bâtiment existant Bâtiment neuf

Bureaux 1 400 1 000

Commerce 1 800 1 300

Hôtellerie 2 800 2 000


X S
Enseignement 1 600 1 100

Santé 2 500 1 800

Autres secteurs 1 400 1 000

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAT-EN-106,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAT-EN-106 (v. A64.3) : Mise en place d’une isolation thermique en comble perdu, en rampant de
toiture ou en toiture terrasse
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ...............................................................
*Date de début des travaux (pose de l’isolant) : ....................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................


Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
*Nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ...........................................................................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment tertiaire en France d’outre-mer : □ OUI □ NON
*Type de construction :
□ Existant
□ Neuf
*Secteur d’activité :
□ Bureaux □ Enseignement □ Hôtellerie □ Santé □ Commerces □ Autres secteurs
Caractéristiques de l’isolant posé :
*Surface d’isolant posé (m2) : ..................................................................................................................................
*Résistance thermique R (m2.K/W) : .......................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939
pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
*Epaisseur (mm) : ....................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
*Marque(s) : .............................................................................................................................................................
*Référence(s) : ..........................................................................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAT-EN-107
Isolation des toitures-terrasses

1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage extérieur isolant en toiture terrasse ou couverture de pente inférieure à 5 %.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 4,5 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation de toiture-terrasse ; et
– la surface d’isolant installé ; et
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination
européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Montant en kWh cumac par m2 d’isolant

Surface d’isolant
Energie de chauffage Secteur d’activité Facteur correctif en m2
Zone climatique
Electricité Combustible
Bureaux, Enseignement,
0,6
Commerces
H1 1 800 2 800

X Hôtellerie - Restauration 0,7 X S


H2 1 500 2 300
Santé 1,3

H3 1 000 1 500 Autres secteurs 0,6

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAT-EN-107,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAT-EN-107 (v. A64.3) : Mise en place d’un doublage extérieur isolant en toiture-terrasse ou
couverture de pente inférieure à 5 %
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ...............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
* Nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ..........................................................................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

*Bâtiment tertiaire existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
*Secteur d’activité :
□ Bureaux □ Enseignement □ Hôtellerie / Restauration □ Santé
□ Commerces □ Autres secteurs
*Energie de chauffage : □ Electricité □ Combustible
Caractéristiques de l’isolant posé :
*Surface d’isolant posé (m2) : ..................................................................................................................................
*Résistance thermique : R (m2.K/W) : ....................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
*Epaisseur (mm) : ....................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
*Marque(s) : .............................................................................................................................................................
*Référence(s) : ..........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 4,5 m2.K/W. Elle est évaluée selon la norme NF EN 12664, la
norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les
isolants réfléchissants.
NB2 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marque et référence de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no IND-EN-102
Isolation de combles ou de toitures (France d’outre-mer)

1. Secteur d’application
Bâtiment industriel existant ou neuf en France d’outre-mer.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en plancher de combles, en rampant de toiture ou en toiture terrasse.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation installée ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant en kWh cumac


Surface d’isolant posé (m2)
par m2 d’isolant posé

Bâtiment existant 1 600


X S
Bâtiment neuf 1 400

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée IND-EN-102,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ IND-EN-102 (v. A64.3) : Mise en place d’une isolation thermique en plancher de combles, en rampant
de toiture ou en toiture terrasse
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ...............................................................
*Date de début des travaux (pose de l’isolant) :......................................................................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
*Nom du site des travaux : ......................................................................................................................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment industriel en France d’outre-mer : □ OUI □ NON
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

*Type de construction :
□ Existant
□ Neuf
Caractéristiques de l’isolant posé :
*Surface d’isolant posé (m2) : ..................................................................................................................................
*Résistance thermique R (m2.K/W) : .......................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
*Epaisseur (mm) : ....................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
*Marque(s) : .............................................................................................................................................................
*Référence(s) : ..........................................................................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

ANNEXE B
CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE
Opération no BAR-TH-171
Pompe à chaleur de type air/eau

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place d’une pompe à chaleur (PAC) de type air/eau.
Ne donnent pas lieu à la délivrance de certificats d’économies d’énergie au titre de la présente fiche, les PAC
associées à un autre système de chauffage et les PAC utilisées uniquement pour le chauffage de l’eau chaude
sanitaire.
La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC installée au titre de la présente fiche est utilisée pour le chauffage et
l’eau chaude sanitaire.
La présente fiche s’applique aux opérations engagées jusqu’au 30 juin 2028.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
L’efficacité énergétique saisonnière pour le chauffage des locaux (ηs) de la PAC selon le règlement (EU)
no 813/2013 de la Commission du 2 août 2013, déterminée selon l’application de la PAC installée, est supérieure ou
égale à :
– 126 % pour une application basse température au sens du règlement susmentionné ;
– 111 % pour une application moyenne ou haute température.
La PAC est équipée d’un régulateur relevant de l’une des classes IV, V, VI, VII ou VIII telles que définies au
paragraphe 6.1 de la communication de la Commission 2014/C 207/02.
Le professionnel rédige une note de dimensionnement du générateur par rapport aux déperditions calculées à
T = Tbase. Les déperditions concernent les pièces du logement desservies par le réseau de chauffage, sans
considération des éventuels autres générateurs présents. Cette note est remise au bénéficiaire à l’achèvement des
travaux.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une pompe à chaleur de type air/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
– l’installation d’un régulateur ainsi que la classe, la marque et la référence de celui-ci.
L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de
chauffage des locaux (hors dispositif de régulation).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et
référence et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace
économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation
(COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans
le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des organismes
d’accréditation.
Ce document indique :
– que l’équipement de marque et référence mis en place est une pompe à chaleur de type air/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

– que l’équipement est équipé d’un régulateur, en précisant la classe, la marque et la référence de celui-ci.
En cas de mention d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date
de fin de validité.
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :
– la note de dimensionnement susmentionnée ;
– la décision de qualification ou de certification du professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles
prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
17 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Pour un appartement :

Efficacité énergétique Montant Facteur correctif Surface chauffée S Facteur correctif Zone
saisonnière (Etas) Usage kWhc selon la surface en m2 selon la zone géographique
chauffée géographique

Chauffage
et ECS 26 000 0,5 S < 35 1,2 H1
111 %≤ Etas<140 %
Chauffage 16 600 0,7 35 ≤ S < 60 1 H2

Chauffage
et ECS 42 000 1 60 ≤ S < 70 0,7 H3
140 %≤Etas<170 %
Chauffage 26 900 X 1,2 70 ≤ S < 90 X

Chauffage 52 700 1,5 90 ≤ S < 110


et ECS
170 %≤Etas<200 %
Chauffage 33 700 1,9 110 ≤ S ≤ 130

Chauffage 57 600 2,5 130 < S


et ECS
200 %≤Etas
Chauffage 36 800

Pour une maison individuelle :

Facteur correctif Facteur correctif


Efficacité énergétique Usage Montant selon la surface Surface chauffée S selon la zone Zone
saisonnière (Etas) kWhc chauffée en m2 géographique géographique

Chauffage 47 800 0,5 S < 70 1,2 H1


et ECS
111%≤ Etas<140%
Chauffage 37 600 0,7 70 ≤ S < 90 1 H2

Chauffage 77 300 1 90 ≤ S < 110 0,7 H3


et ECS
140%≤Etas<170%
Chauffage 60 800 X 1,1 110 ≤ S < 130 X

Chauffage
et ECS 97 100 1,6 130 ≤ S
170%≤Etas<200%
Chauffage 76 300

Chauffage
et ECS 106 000
200%≤Etas
Chauffage 83 300

NB : la surface prise en compte est la surface chauffée par la PAC installée.

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-TH-171,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-TH-171 (v. A62.2) : Mise en place d’une pompe à chaleur (PAC) de type air/eau.
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ...............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

*Pour les personnes morales, nom du site des travaux ou nom de la copropriété : .............................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
*Type de logement : □ Maison individuelle □ Appartement
*Surface chauffée par la PAC installée (m2) : ........................................................................................................
Caractéristiques de la pompe à chaleur (PAC) :
*La pompe à chaleur est de type air/eau et est installée pour une application :
□ à basse température
□ à moyenne ou haute température
NB : Une application à basse température est une application dans laquelle un dispositif de chauffage des locaux par pompe à
chaleur fournit sa puissance calorifique déclarée pour une température de sortie de l’échangeur thermique intérieur de 35 °C.
NB : Une application à moyenne ou haute température est une application dans laquelle un dispositif de chauffage des locaux
par pompe à chaleur fournit sa puissance calorifique déclarée pour une température de sortie de l’échangeur thermique intérieur
d’au moins 55 °C.
NB : Une solution mixte de chauffage des locaux associe différents types d’émetteurs de chauffage fonctionnant à basse
température pour les uns et à moyenne ou haute température pour les autres ; elle est alors considérée comme une application à
moyenne ou haute température.
*Classe du régulateur : ..............................................................................................................................................
*Efficacité énergétique saisonnière (ηs) (en %) : ...................................................................................................
L’efficacité énergétique saisonnière (ηs) est calculée selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013.
NB : L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de chauffage
des locaux (hors dispositif de régulation).
*Usage couvert par la PAC :
□ Chauffage
□ Chauffage et eau chaude sanitaire
*Une note de dimensionnement a été remise au bénéficiaire : □ OUI □ NON
A ne remplir que si les marque et référence de la pompe à chaleur ne sont pas mentionnées sur la preuve de
réalisation de l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence du régulateur ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation de
l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
NB : La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant des fiches BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC est utilisée pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
*Nom ........................................................................................................................................................................
*Prénom ....................................................................................................................................................................
*Raison sociale : .......................................................................................................................................................
*No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE


Opération no BAR-TH-172

Pompe à chaleur de type eau/eau ou sol/eau

1. Secteur d’application
Maisons individuelles existantes.
2. Dénomination
Mise en place d’une pompe à chaleur (PAC) de type eau/eau ou sol/eau.
Ne donnent pas lieu à la délivrance de certificats d’économies d’énergie au titre de la présente fiche, les PAC
associées à un autre système de chauffage et les PAC utilisées uniquement pour le chauffage de l’eau chaude
sanitaire.
La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC installée au titre de la présente fiche est utilisée pour le chauffage et
l’eau chaude sanitaire.
La présente fiche s’applique aux opérations engagées jusqu’au 30 juin 2028.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
L’efficacité énergétique saisonnière pour le chauffage des locaux (ηs) de la PAC selon le règlement (EU)
no 813/2013 de la Commission du 2 août 2013, déterminée selon l’application de la PAC installée, est supérieure ou
égale à :
– 126 % pour une application basse température au sens du règlement susmentionné ;
– 111 % pour une application moyenne ou haute température.
La PAC est équipée d’un régulateur relevant de l’une des classes IV, V, VI, VII ou VIII telles que définies au
paragraphe 6.1 de la communication de la Commission 2014/C 207/02.
Le professionnel rédige une note de dimensionnement du générateur par rapport aux déperditions calculées à
T = Tbase. Les déperditions concernent les pièces du logement desservies par le réseau de chauffage, sans
considération des éventuels autres générateurs présents. Cette note est remise au bénéficiaire à l’achèvement des
travaux.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une pompe à chaleur de type eau/eau ou sol/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
– l’installation d’un régulateur ainsi que la classe, la marque et la référence de celui-ci.
L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de
chauffage des locaux (hors dispositif de régulation).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et
référence et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace
économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation
(COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans
le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des organismes
d’accréditation.
Ce document indique :
– que l’équipement de marque et référence mis en place est une pompe à chaleur de type eau/eau ou sol/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
– que l’équipement est équipé d’un régulateur, en précisant la classe, la marque et la référence de celui-ci.
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En cas de mention d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date
de fin de validité.
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :
– la note de dimensionnement susmentionnée ;
– la décision de qualification ou de certification du professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles
prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
20 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac

Montant pour Facteur correctif Facteur correctif


Efficacité énergétique Usage une maison selon la surface Surface chauffée S selon la zone Zone
saisonnière (ns) individuelle, chauffée en m2 géographique géographique
en kWhc

Chauffage
et ECS 53 400 0,5 S < 70 1,2 H1
111 %≤ Etas<140 %
Chauffage 42 000 0,7 70 ≤ S < 90 1 H2

Chauffage 86 400 1 90 ≤ S < 110 0,7 H3


et ECS
140 %≤Etas<170 %
Chauffage 67 900 X 1,1 110 ≤ S < 130 X

Chauffage 108 400 1,6 130 ≤ S


et ECS
170 %≤Etas<200 %
Chauffage 85 200

Chauffage
et ECS 124 200
200 %≤Etas<230 %
Chauffage 97 600

Chauffage
et ECS 131 600
230 %≤Etas
Chauffage 103 500

NB : la surface prise en compte est la surface chauffée par la PAC installée.

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-TH-172,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-TH-172 (v. A62.2) : Mise en place d’une pompe à chaleur (PAC) de type eau/eau ou sol/eau.
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ...............................................................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ................................................................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
*Pour les personnes morales, nom du site des travaux ou nom de la copropriété : .............................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
*Le logement est une maison individuelle : □ OUI □ NON
*Surface chauffée par la PAC installée (m2) : ........................................................................................................
Caractéristiques de la pompe à chaleur (PAC) :
*La pompe à chaleur est de type eau/eau ou sol/eau et est installée pour une application :
□ à basse température
□ à moyenne ou haute température
NB : Une application à basse température est une application dans laquelle un dispositif de chauffage des locaux par pompe à
chaleur fournit sa puissance calorifique déclarée pour une température de sortie de l’échangeur thermique intérieur de 35 °C.
NB : Une application à moyenne ou haute température est une application dans laquelle un dispositif de chauffage des locaux
par pompe à chaleur fournit sa puissance calorifique déclarée pour une température de sortie de l’échangeur thermique intérieur
d’au moins 55 °C.
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NB : Une solution mixte de chauffage des locaux associe différents types d’émetteurs de chauffage fonctionnant à basse
température pour les uns et à moyenne ou haute température pour les autres ; elle est alors considérée comme une application à
moyenne ou haute température.
*Classe du régulateur : ..............................................................................................................................................
*Efficacité énergétique saisonnière (ηs) (en %) : ...................................................................................................
L’efficacité énergétique saisonnière (ηs) est calculée selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission
du 2 août 2013.
NB : L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de chauffage
des locaux (hors dispositif de régulation).
*Usage couvert par la PAC :
□ Chauffage
□ Chauffage et eau chaude sanitaire
*Une note de dimensionnement a été remise au bénéficiaire : □ OUI □ NON
A ne remplir que si les marque et référence de la pompe à chaleur ne sont pas mentionnées sur la preuve de
réalisation de l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence du régulateur ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation de
l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
NB : La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC installée au titre de la présente fiche est utilisée pour le chauffage et l’eau chaude
sanitaire.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
*Nom ........................................................................................................................................................................
*Prénom ....................................................................................................................................................................
*Raison sociale : .......................................................................................................................................................
*No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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ANNEXE C
CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE
Opération no BAR-TH-177
Rénovation globale d’un bâtiment résidentiel collectif (France métropolitaine)

1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels collectifs existants en France métropolitaine.
2. Dénomination
Rénovation thermique globale d’un bâtiment résidentiel collectif existant.
L’approche globale consiste à déterminer et à mettre en œuvre un bouquet de travaux optimal sur le plan
technico-économique.
Cette opération n’est pas cumulable avec d’autres opérations relevant d’autres fiches et ayant une date
d’engagement égale ou posterieure à la présente opération, pouvant donner lieu à la délivrance de certificats
d’économies d’énergie pour des travaux concernant le chauffage ou sa régulation, la production d’eau chaude
sanitaire, la ventilation, l’isolation de l’enveloppe du bâtiment, l’isolation du réseau hydraulique de chauffage ou
d’eau chaude sanitaire ou les systèmes d’automatisation et de contrôle du bâtiment dès lors que ces travaux sont
valorisés au titre de la présente fiche.
La présente fiche s’applique aux opérations engagées jusqu’au 31 octobre 2029.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
Pour chaque catégorie de travaux intégrée dans le projet de rénovation globale et mentionnée aux 1o à 16o du I de
l’article 1er du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts, le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences
prévues à l’article 2 du même décret et dans les textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à
des travaux relevant soit du 17o du I de l’article 1er du décret précité, soit de l’une des catégories mentionnées aux 1o
à 16o du I du même décret correspondant aux travaux réalisés.
Un audit énergétique est réalisé préalablement aux travaux de rénovation globale du bâtiment. Cet audit
énergétique respecte les dispositions de l’article 8 de l’arrêté du 17 novembre 2020 relatif aux caractéristiques
techniques et modalités de réalisation des travaux et prestations dont les dépenses sont éligibles à la prime de
transition énergétique. Il est établi par une personne répondant aux conditions mentionnées au VII de l’article 2 du
décret du 14 janvier 2020 relatif à la prime de transition énergétique.
Les travaux permettent d’atteindre une performance énergétique globale minimale du bâtiment, déterminée par
l’audit énergétique, qui satisfait aux deux critères suivants :
– consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire après travaux, rapportée à la surface de référence
des logements, inférieure à 331 kWh/m2.an pour les usages chauffage, refroidissement, production d’eau
chaude sanitaire, éclairage, et les auxiliaires de chauffage, de refroidissement, d’eau chaude sanitaire et de
ventilation ;
– gain énergétique d’au moins 35 % par rapport à la consommation conventionnelle annuelle en énergie
primaire avant travaux pour les usages définis ci-dessus.
Hors raccordement à un réseau de chaleur, les changements d’équipements de chauffage ou de production d’eau
chaude sanitaire ne doivent conduire ni à l’installation de chaudières consommant du charbon ou du fioul, ni à
l’installation d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire incluant l’installation d’au moins
une chaudière au gaz, dont le taux de couverture défini comme le rapport entre la quantité de chaleur fournie par
l’ensemble des chaudières au gaz du système et les besoins annuels de chaleur pour les usages couverts par le
système, est supérieur à 30 %.
Les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, rapportée à la surface de référence du bâtiment,
sont inférieures ou égales à la valeur initiale de ces émissions avant travaux.
La preuve de réalisation de l’opération mentionne la liste des travaux réalisés avec leurs niveaux de
performance.
Les bâtiments d’habitation collectifs éligibles à la présente fiche sont ceux disposant d’au moins trois foyers
fiscaux distincts rattachés à des logements distincts.
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :
– le rapport de synthèse de l’audit énergétique, ainsi que sa mise à jour éventuelle, précisant les données de
consommations conventionnelles en énergie primaire et en énergie finale (sans déduction de la production
d’électricité autoconsommée ou exportée), avant et après travaux ainsi que le gain énergétique apporté par la
rénovation du bâtiment et les quantités annuelles de gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère avant et après
travaux du fait de la quantité d’énergie consommée, rapportés à la surface de référence du bâtiment. Ce
rapport précise le nom du logiciel de calcul utilisé dans le cadre de l’opération et son numéro de version ;
– le fichier source de l’audit énergétique (format « .xml » ou équivalent) retraçant l’ensemble des paramètres
utilisés pour la réalisation de l’audit énergétique ;
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– la liste des travaux préconisés avec leurs niveaux de performance et la correspondance avec la liste des
travaux réalisés, datée et signée par le bénéficiaire, le professionnel ayant réalisé l’audit énergétique et chaque
professionnel mettant en œuvre ou assurant la maîtrise d’œuvre de tout ou partie de l’opération, permettant
d’atteindre les performances énergétiques requises ;
– la liste des entreprises ayant effectué les travaux de rénovation en indiquant la nature de ces travaux et la
référence de leur qualification ou certification lorsque celle-ci est requise ;
– les attestations fiscales d’au moins trois foyers fiscaux distincts rattachés à des logements distincts ;
– les attestations déclarations préalables de travaux (DP) déposées par le propriétaire correspondant aux
surfaces supplémentaires rendues habitables par un nouvel aménagement intérieur du bâtiment existant
(aménagement de cave, de combles ou de tout autre espace, etc.) ou par une extension neuve ;
– dans le cas de bâtiments relèvant de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 modifiée fixant le statut de la
copropriété des immeubles bâtis, l’accord de la copropriété autorisant les travaux pour les logements de la
copropriété.
Lorsque les travaux mis en œuvre diffèrent des travaux préconisés, l’audit énergétique est mis à jour sur la base
des travaux effectivement réalisés.
Le rapport de synthèse de l’audit énergétique, ainsi que sa mise à jour éventuelle, sont datés et signés par le
prestataire les ayant réalisés. Ils comportent les mentions des valeurs suivantes :
– la consommation conventionnelle (en kWh/m2.an) du bâtiment (sans déduction de la production d’électricité
autoconsommée ou exportée), en précisant les usages considérés :
– d’énergie primaire, avant les travaux de rénovation : Cep initial ;
– d’énergie primaire, après les travaux de rénovation : Cep projet ;
– d’énergie finale, avant les travaux de rénovation : Cef initial ;
– d’énergie finale, après les travaux de rénovation : Cef projet ;
– le rejet de CO2 exprimé en kgeqCO2/m2.an, avant les travaux de rénovation ;
– le rejet de CO2 exprimé en kgeqCO2/m2.an, après les travaux de rénovation ;
– la surface habitable du bâtiment après rénovation, exprimée en m2 : Shab.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Le volume de certificats d’économies d’énergie est déterminé comme suit :

Montants en kWh cumac/m2


X Surface habitable du bâtiment Shab (m2)
2 100

Shab est la surface de habitable (exprimée en m2) du bâtiment après rénovation.

Annexe 1 à la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177,


définissant le contenu de la partie A de l’attestation sur l’honneur
A/ BAR-TH-177 (v. A63.1) : Rénovation thermique globale d’un bâtiment résidentiel collectif existant.
*Date d’engagement de l’opération (ex : date d’acceptation du devis) : ..................../ ................... /....................
Date de preuve de réalisation de l’opération (ex : date de la facture) : ..................../ ..................../ ....................
Référence de la facture : ..........................................................................................................................................
*Pour les personnes morales : nom du site des travaux ou nom de la copropriété : ............................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment résidentiel collectif existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ Oui □
Non
*Surface de habitable du bâtiment résidentiel Shab (m2) : ........................................................................................
NB1 : Shab est la surface habitable (exprimée en m2) du bâtiment après rénovation.
*Nombre de logements distincts : ...........................................................................................................................
* Nombre de foyers fiscaux distincts rattachés à des logements distincts : ..........................................................
*Le bâtiment relève de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 modifiée fixant le statut de la copropriété des
immeubles bâtis :
□ Oui □ Non
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*Numéro d’immatriculation de la copropriété prévu par les articles L. 711-1 et suivants du code de la
construction et de l’habitation : ...................................................................................................................................
*Préalablement aux travaux de rénovation thermique, il a été réalisé un audit énergétique respectant les
dispositions de l’article 8 de l’arrêté du 17 novembre 2020 relatif aux caractéristiques techniques et modalités de
réalisation des travaux et prestations dont les dépenses sont éligibles à la prime de transition énergétique : □ Oui □
Non
Caractéristiques du bâtiment données par l’audit énergétique :
*Consommation conventionnelle en énergie primaire avant les travaux de rénovation : Cep initial (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Consommation conventionnelle en énergie primaire après les travaux de rénovation : Cep projet (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Consommation conventionnelle en énergie finale avant les travaux de rénovation : Cef initial (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Consommation conventionnelle en énergie finale après les travaux de rénovation : Cef projet (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Gain énergétique du projet par rapport à la consommation conventionnelle en énergie primaire avant travaux :
... %
NB2 : les consommations conventionnelles (en kWh/m2.an) du bâtiment s’entendent sans déduction de la production
d’électricité (autoconsommée ou exportée) et prennent en compte les usages pour le chauffage, le refroidissement, la production
d’eau chaude sanitaire, l’éclairage et les auxiliaires de chauffage, de refroidissement, d’eau chaude sanitaire et de ventilation.
* Hors raccordement à un réseau de chaleur, les changements d’équipements de chauffage ou de production
d’eau chaude sanitaire conduisent à l’installation de chaudières consommant du charbon ou du fioul, ou à
l’installation d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire incluant l’installation d’au moins
une chaudière au gaz, dont le taux de couverture défini comme le rapport entre la quantité de chaleur fournie par
l’ensemble des chaudières au gaz du système et les besoins annuels de chaleur pour les usages couverts par le
système, est supérieur à 30 % : □ Oui □ Non
*Type d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire avant travaux : .............................
*Type d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire après travaux : .............................
*Les émissions de gaz à effet de serre après rénovation, exprimées en kgeqCO2/m2.an, sont inférieures ou égales
à la valeur initiale de ces émissions avant travaux : □ Oui □ Non
Coordonnées de l’entreprise ayant effectué l’audit énergétique de l’opération au regard des exigences de la fiche
standardisée :
*Raison sociale : .......................................................................................................................................................
*Numéro SIREN : ....................................................................................................................................................
*Date de l’audit énergétique : ..................................................................................................................................
*Référence de l’audit énergétique : .........................................................................................................................
Logiciel de calcul utilisé pour réaliser l’audit énergétique :
* Nom du logiciel et de son éditeur : .....................................................................................................................
* Date et no de version : ..........................................................................................................................................
NB3 : cette opération n’est pas cumulable avec d’autres opérations relevant d’autres fiches et ayant une date d’engagement
égale ou posterieure à la présente opération, pouvant donner lieu à la délivrance de certificats d’économies d’énergie pour des
travaux concernant le chauffage ou sa régulation, la production d’eau chaude sanitaire, la ventilation, l’isolation de l’enveloppe
du bâtiment, l’isolation du réseau hydraulique de chauffage ou d’eau chaude sanitaire ou les systèmes d’automatisation et de
contrôle du bâtiment dès lors que ces travaux sont valorisés au titre de la présente fiche.
Qualification ou certification du (ou des) professionnel(s)
En cas d’intervention de plusieurs professionnels, il convient de dupliquer pour chaque professionnel les
informations du cartouche suivant en précisant le domaine des travaux qu’il a effectué :
Identification du professionnel ayant réalisé les travaux :
*Nom du représentant : ............................................................................................................................................................................................................................................
*Prénom : ....................................................................................................................................................................................................................................................................
*Raison sociale : .........................................................................................................................................................................................................................................................
*No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
*Domaine des travaux réalisés : ..............................................................................................................................................................................................................................
*Référence de la qualification ou certification : ............................................. Date : ............................................./ ............................................./ .............................................

La qualification ou certification de l’entreprise est mentionnée dans le cas où cette dernière a réalisé des travaux
relevant de l’une au moins des catégories de travaux mentionnées aux 1o à 17o du I de l’article 1er du
décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code
général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes
pris pour son application.
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IV-5

Engagement pris par : ......................................................... (1) No SIREN :..........................................................


Pour les délégataires d’obligations CEE :
Date de la notification du statut de délégataire par le PNCEE : ........................ /......................../ ........................
Adresse du siège social du signataire : ...................................................................................................................
Date de prise d’effet de la charte (postérieure à la date de signature) : / / Je participe à l’opération « Coup de
pouce Rénovation d’ampleur des maisons et appartements individuels », dans le cadre du dispositif des certificats
d’économies d’énergie (CEE). Cette opération a pour objectif d’inciter financièrement les propriétaires de maisons
individuelles ou d’appartements individuels en France métropolitaine à réaliser une rénovation d’ampleur de leur
patrimoine immobilier.
Je suis informé du fait que je ne peux pas proposer l’offre « Coup de pouce Rénovation d’ampleur des maisons
et appartements individuels » à une personne physique propriétaire occupant ou bailleur d’un logement occupé à
titre de résidence principale, ou une personne physique titulaire d’un droit réel immobilier conférant l’usage d’un
logement occupé à titre de résidence principale.

Offres financières
Je m’engage à mettre en place une offre pour la rénovation d’ampleur des maisons individuelles ou des
appartements individuels, au moyen de travaux conformes à la fiche d’opération standardisée CEE BAR-TH-174
« Rénovation d’ampleur d’une maison individuelle (France métropolitaine) » ou à la fiche d’opération standardisée
CEE BAR-TH-175 « Rénovation d’ampleur d’un appartement (France métropolitaine) » en vigueur.
Cette offre prévoit une incitation financière, pour des opérations engagées jusqu’au 31 décembre 2025 et
achevées au plus tard le 31 décembre 2026.
L’incitation financière s’établit aux valeurs minimales suivantes pour les maisons ou appartements individuels :

Montant Facteur correctif selon


Nombre de sauts de classe minimum la surface habitable Shab Surface habitable Shab en m2
en €

2 4 700 0,4 Shab < 35

3 5 800 X 0,5 35 ≤ Shab < 60

4 ou plus 7 400 0,8 60 ≤ Shab < 90

1 90 ≤ Shab < 110

1,2 110 ≤ Shab ≤ 130

1,3 130 < Shab

Shab est la surface habitable (exprimée en m2) de la maison avant les travaux de la première ou l’unique étape
de travaux.
La date d’engagement de l’opération est égale ou postérieure à la date de prise d’effet de la charte.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Couverture géographique
Je m’engage à proposer cette offre en France métropolitaine dans au moins 10 départements ou une région ou
une métropole.

Objectif
Je m’engage à suivre mensuellement le déploiement de mes offres au travers des critères suivants :
– le nombre de bénéficiaires aidés ;
– le nombre total de maisons individuelles ou d’appartements rénovés ;
– la surface totale habitable des maisons individuelles ou d’appartements rénovés ;
– le bilan statistique de la rénovation des bâtiments en fonction de leur classe énergétique et de leur énergie de
chauffage, avant et après travaux ;
– le montant des travaux engagés et le montant des travaux achevés ;
– le montant des contributions financières associées aux offres proposées, aux travaux de rénovation engagés et
aux travaux de rénovation achevés ainsi que le montant des primes versées ;
– le nombre de logements faisant l’objet de travaux de changement de chauffage engagés et achevés, en
distinguant l’énergie de chauffage remplacée (fioul, charbon, gaz, électricité) et l’énergie de chauffage après
travaux.

Cumul des aides


Les offres financières prévues par la présente charte ne sont pas cumulables avec les autres incitations mises en
place dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie en particulier avec les aides de l’Agence
nationale de l’habitat valorisant les certificats d’économies d’énergie des travaux subventionnés.

Accompagnement des bénéficiaires


Je m’engage à proposer à chaque bénéficiaire, directement ou par l’intermédiaire d’un partenaire, une prestation
d’assistance à maîtrise d’ouvrage afin de l’assister dans la réalisation du projet notamment sur le choix des options
techniques, la sélection des professionnels intervenant, le suivi des travaux et leur réception, de constituer son plan
de financement et de l’aider dans sa démarche pour l’obtention des aides auxquelles il peut prétendre. Le
bénéficiaire formule par écrit sa décision sur l’acceptation ou le refus des prestations proposées.
Je m’engage à proposer des solutions de financement conduisant à un plan de financement complet avec un
calendrier de paiement des subventions adapté et la distribution de prêts et/ou d’éco-prêts à taux zéro soit
directement soit en partenariat avec un organisme sous réserve d’obtention de l’agrément de l’Autorité de contrôle
prudentiel et de résolution pour l’octroi de crédits (agrément ACPR). Je peux également à cet effet faire appel à un
intermédiaire en opérations de banque et en service de paiement (courtiers ou mandataires bancaires).
Je m’engage à diffuser auprès des bénéficiaires de mes offres des informations sur le réseau France Rénov’.

Site internet
Je m’engage, avant la prise d’effet de ma charte, à présenter mes offres et mes engagements résultant de la
présente charte au travers d’un site internet accessible aux bénéficiaires de mes offres comprenant notamment :
– une présentation du dispositif, de ses objectifs et des offres proposées ;
– une présentation synthétique des prestations d’assistance à maîtrise d’ouvrage et des solutions de financement
que je propose dans le cadre de mes offres ;
– une présentation des modalités d’obtention par les bénéficiaires des incitations financières que je mets en
place, qui m’identifie clairement comme à l’origine des primes versées ;
– les montants de primes ainsi que les critères techniques et exigences à respecter pour les travaux à réaliser ;
– les critères d’éligibilité des bénéficiaires notamment l’étendue de la zone de couverture géographique de mes
offres ;
– la politique de contrôle par des organismes tiers mise en place dans le cadre de la charte ;
– les informations sur les dispositifs d’aides existants ou les liens renvoyant vers ces informations ainsi que la
promotion du réseau France Rénov’.

Politique de contrôle
Je m’engage à mettre en place une politique de contrôle sur site des opérations relevant de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-174 ou de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-175, réalisées avec mon
concours dans le cadre de la présente charte et à compter de la date de prise d’effet de mon engagement.
Ces contrôles sont réalisés sur chacune des opérations de rénovation d’ampleur réalisées correspondant à la fiche
BAR-TH-174 ou la fiche BAR-TH-175, engagées à compter de la date de prise d’effet de mon engagement. Ils sont
réalisés préalablement au dépôt de demandes de CEE auprès du Pôle national des certificats d’économies
d’énergie (PNCEE).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117

Ces contrôles sont conduits par un organisme de contrôle accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17020
applicable en tant qu’organisme d’inspection de type A pour le domaine « Inspection d’opérations standardisées
d’économies d’énergie dans le cadre du dispositif de délivrance des certificats d’économies d’énergie ».
Un organisme de contrôle ne peut effectuer le contrôle d’une opération pour laquelle il a, le cas échéant, réalisé
l’audit énergétique.
Chaque opération contrôlée fait l’objet d’un rapport.
Le rapport de contrôle atteste :
– de la date de la visite sur site de l’organisme de contrôle ;
– des informations d’identification du bénéficiaire (nom, adresse, nombre et nature des lots) ;
– de la conformité des travaux au référentiel de contrôle défini en partie E bis de l’annexe III de l’arrêté
du 28 septembre 2021 relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie ;
– de la qualification des entreprises intervenantes à la date d’engagement de l’opération lorsque cette
qualification est requise.
Je m’engage à archiver et à tenir à la disposition du PNCEE les rapports de contrôle des opérations contrôlées.
Une synthèse des contrôles menés sur les opérations d’un dossier de demande est réalisée par l’organisme de
contrôle. Cette synthèse comprend notamment la liste des opérations contrôlées, les paramètres contrôlés, les
résultats obtenus, les écarts constatés y compris sur la qualité des travaux et les contrôles non satisfaisants.
Je m’engage à tenir à disposition du PNCEE, pour chaque dossier de demande contenant des opérations relevant
de la présente charte, la synthèse des contrôles menés sur les opérations incluses dans cette demande ainsi que des
informations sur les suites données aux contrôles non satisfaisants.
Je m’engage à apporter des mesures correctives en cas de problème détecté lors des contrôles.
En cas de mesures correctives jugées insuffisantes, le présent engagement est caduc après mise en demeure par le
ministère chargé de l’Energie non suivie d’effets.

Reconnaissance et suivi de mon engagement


Afin de faire reconnaître mon engagement dans cette opération, je transmets à la Direction générale de
l’énergie et du climat (DGEC) :
– la présente charte dûment complétée, datée et porteuse de ma signature et de mon cachet commercial ;
– les références de l’offre d’incitation financière répondant à la présente charte, que je m’engage à mettre en
œuvre dans les 60 jours suivant sa signature : nom commercial de l’offre, coordonnées du porteur de l’offre,
lien internet de présentation de l’offre et coordonnées de contact pour les bénéficiaires.
Dès publication des références de mon offre sur le site internet du ministère chargé de l’énergie, je serai autorisé
à:
– utiliser la dénomination « Coup de pouce Rénovation d’ampleur des maisons et appartements individuels » ;
– bénéficier de la bonification prévue par l’article 3-5-2 de l’arrêté du 29 décembre 2014 modifié relatif aux
modalités d’application du dispositif des certificats d’économies d’énergie, pour les opérations engagées
jusqu’au 31 décembre 2025 inclus, et achevées d’ici le 31 décembre 2026.
Je prends acte que je peux mettre fin à mon engagement dans les conditions fixées à l’article 3-8 de l’arrêté
du 29 décembre 2014 relatif aux modalités d’application du dispositif des certificats d’économies d’énergie et que
le ministre chargé de l’énergie peut retirer le bénéfice des droits attachés à la présente charte, en cas de
manquement à cette charte ou aux dispositions relatives aux certificats d’économies d’énergie, après mise en
demeure non suivie d’effet. Mes offres sont alors retirées du site internet du ministère chargé de l’énergie et je
m’engage à supprimer toute référence à mon engagement dès que ma charte est résiliée ou m’est retirée.
Fait à .........................................................................................................................................................................
Le ........................................................./ ........................................................ /.........................................................
(Nom et qualité du signataire, signature et cachet)

(1) Nom de l’obligé ou de l’éligible au dispositif CEE, hors ANAH.


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Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Décret no 2024-1042 du 19 novembre 2024


relatif à l’agence Business France
NOR : ECOT2427548D

Publics concernés : les représentants de l’Etat membres du conseil d’administration de Business France et le
contrôleur budgétaire de l’agence Business France.
Objet : modification du décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 relatif à Business France concernant le
régime comptable et la représentation de l’Etat au conseil d’administration.
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication. Ses dispositions relatives à la
composition du conseil d’administration sont applicables à compter du prochain renouvellement du mandat d’un
membre représentant de l’Etat et celles concernant le contrôle économique et financier à compter de l’exercice
budgétaire et comptable de l’année 2025.
Notice : ce texte actualise le décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 relatif à l’EPIC Business France. Les
modalités de désignation des représentants de l’Etat au conseil d’administration sont modifiées pour assurer une
désignation par les fonctions. Cela vise à garantir une représentation stable, tout en simplifiant les procédures
administratives de désignation. Cette modification nécessite une révision de l’article 7 du décret no 2014-1571. Par
ailleurs, la modification prévoit la suppression de l’obligation de tenue d’une comptabilité budgétaire, tout en
maintenant la comptabilité publique. Il vise à instaurer un contrôle économique et financier à la place du contrôle
budgétaire existant. En ce sens, les articles 10, 11 et 14 du décret sont modifiés.
Références : le décret est pris en application de l’article 50 de la loi no 2003-721 du 1er août 2003 pour
l’initiative économique, ainsi que des articles 10, 11 et 14 du décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 relatif à
l’agence Business France. Il se réfère également au décret no 55-733 du 26 mai 1955 modifié relatif au contrôle
économique et financier de l’Etat, notamment le 4o de son article 3, ainsi qu’au décret no 2012-1246
du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique, notamment ses titres Ier et III.
Il peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,
Vu la loi no 2003-721 du 1er août 2003 pour l’initiative économique, notamment son article 50 ;
Vu le décret no 55-733 du 26 mai 1955 modifié relatif au contrôle économique et financier de l’Etat notamment
le 4o de son article 3 ;
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique,
notamment ses titres Ier et III ;
Vu le décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 modifié relatif à l’agence Business France,
Décrète :
Art. 1 . – Le décret du 22 décembre 2014 susvisé est modifié conformément aux dispositions des articles 2 à 5
er

du présent décret.
Art. 2. – Le I de l’article 7 est ainsi modifié :
1o Le 2o est remplacé par les dispositions suivantes :
« De trois membres de droit représentant l’Etat :
« a) Au titre du ministère chargé des affaires étrangères, le directeur général de la mondialisation ou son
représentant ;
« b) Au titre du ministère chargé de l’économie, le directeur général du Trésor ou son représentant ;
« c) Au titre du ministère chargé de l’aménagement du territoire, le directeur général des collectivités locales ou
son représentant » ;
2o Au dernier alinéa, après les mots : « A l’exception des parlementaires », sont insérés les mots : « , des
représentants de l’Etat, ».
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 117

Art. 3. – I. – A l’article 10, les mots : « le contrôleur budgétaire » sont remplacés par les mots : « l’autorité
chargée d’exercer le contrôle économique et financier ».
II. – Aux articles 10 et 11, les occurrences des mots : « du contrôleur budgétaire » sont remplacées par les mots :
« de l’autorité chargée d’exercer le contrôle économique et financier ».
Art. 4. – Le premier alinéa de l’article 14 est complété par les mots : « à l’exception des 1o et 2o de l’article 175
et des articles 178 à 183, 204 à 208 et 220 à 228 ».
Art. 5. – Après l’article 14, il est inséré un nouvel article ainsi rédigé :
« Art. 14 bis. – L’agence est soumise au contrôle économique et financier de l’Etat prévu par le décret
du 26 mai 1955 susvisé. »
Art. 6. – I. – Les dispositions introduites par l’article 2 du présent décret sont applicables à compter du
prochain renouvellement du mandat d’un membre représentant l’Etat.
II. – Les dispositions introduites par l’article 4 du présent décret sont applicables à compter de l’exercice
budgétaire et comptable 2025.
Art. 7. – La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’Europe et des
affaires étrangères, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et la ministre déléguée auprès du
ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargée du commerce extérieur et des Français de l’étranger, sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
Fait le 19 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
CATHERINE VAUTRIN
Le ministre de l’Europe
et des affaires étrangères,
JEAN-NOËL BARROT
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
ANTOINE ARMAND
La ministre déléguée auprès du ministre de l’Europe
et des affaires étrangères, chargée du commerce extérieur
et des Français de l’étranger,
SOPHIE PRIMAS
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 31 octobre 2024 portant approbation de la participation de la Régie autonome des


transports parisiens (RATP) à une augmentation de capital de la société RATP Participations
NOR : ECOA2426103A

La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’économie, des finances et
de l’industrie et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le décret no 53-707 du 9 août 1953 modifié relatif au contrôle de l’Etat sur les entreprises publiques
nationales et certains organismes ayant un objet d’ordre économique ou social, notamment son article 2 ;
Vu le décret no 2022-251 du 24 février 2022 relatif au statut de la Régie autonome des transports parisiens,
notamment son article 8 ;
Vu la délibération du conseil d’administration de la Régie autonome des transports parisiens en date
du 13 septembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – La souscription par la RATP à une augmentation de capital réservée de la société anonyme RATP
er

Participations, à hauteur de 239 838 435 d’actions d’une valeur nominale de 1 euro chacune, soit
239 838 435 euros, est approuvée. La RATP conserve l’intégralité du capital de la société RATP Participations.
Art. 2. – Le commissaire aux participations de l’Etat, le directeur général des infrastructures, des transports et
des mobilités et la directrice du budget sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 31 octobre 2024.
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
Le commissaire aux participations de l’Etat,
A. ZAJDENWEBER
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice du budget,
M. JODER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 31 octobre 2024 portant approbation de la participation de la Régie autonome des


transports parisiens (RATP) à une augmentation de capital de la société RATP Cap Ile-de-France
NOR : ECOA2426107A

La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’économie, des finances et
de l’industrie et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le décret no 53-707 du 9 août 1953 modifié relatif au contrôle de l’Etat sur les entreprises publiques
nationales et certains organismes ayant un objet d’ordre économique ou social, notamment son article 2 ;
Vu le décret no 2022-251 du 24 février 2022 relatif au statut de la Régie autonome des transports parisiens,
notamment son article 8 ;
Vu la délibération du conseil d’administration de la Régie autonome des transports parisiens en date
du 13 septembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – La souscription par la RATP à une augmentation de capital réservée de la société par actions
er

simplifiée unipersonnelle RATP Cap Ile-de-France, à hauteur de 103 000 000 d’actions d’une valeur nominale
de 0,88 euro chacune, soit 90 640 000 euros, est approuvée. La RATP conserve l’intégralité du capital de la société
RATP Cap Ile-de-France.
Art. 2. – Le commissaire aux participations de l’Etat, le directeur général des infrastructures, des transports et
des mobilités et la directrice du budget sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 31 octobre 2024.
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
Le commissaire aux participations de l’Etat,
A. ZAJDENWEBER
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice du budget,
M. JODER
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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 12 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 6 mars 2023 portant délégation de signature
aux agents chargés de l’animation de la politique ministérielle de prévention affectés à la sous-
direction des politiques sociales et des conditions de travail
NOR : ECOP2430367A

Le sous-directeur des politiques sociales et des conditions de travail,


Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres
du Gouvernement ;
Vu le décret no 2010-444 du 30 avril 2010 modifié relatif aux attributions du secrétaire général des ministères
économiques et financiers et portant création du secrétariat général ;
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique ;
Vu le décret du 22 décembre 2022 portant nomination de la secrétaire générale des ministères économiques
et financiers ;
Vu l’arrêté du 15 janvier 2002 modifié relatif à l’organisation et au fonctionnement de l’action sociale ;
Vu l’arrêté du 18 décembre 2019 modifié portant organisation du secrétariat général des ministères économiques
et financiers ;
Vu l’arrêté du 6 mars 2023 portant délégation de signature aux agents chargés de l’animation de la politique
ministérielle de prévention affectés à la sous-direction des politiques ministérielles d’action sociale et des
conditions de travail,
Arrête :
Art. 1 . – L’annexe de l’arrêté du 6 mars 2023 listant les agents chargés de l’animation de la politique
er

ministérielle de prévention est modifiée comme suit à compter du 1er décembre 2024 :
– pour la région Ile-de-France, ajouter : « Laura PICARD » ;
– pour la région Pays de Loire, ajouter : « Serge MAROQUIN » et supprimer : « Evelyne GANDIER » ;
– pour la région Hauts-de-France, supprimer : « Olivier RADER ».
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 12 novembre 2024.
J.-C. MAUBOUSSIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025


d’un concours interne pour le recrutement d’un ingénieur des mines
NOR : ECOG2427533A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours interne pour le recrutement d’un ingénieur des mines.
Ce concours est ouvert aux fonctionnaires et agents publics de l’Etat, des collectivités territoriales, des
établissements publics qui en dépendent, ainsi qu’aux candidats en fonction dans une organisation internationale
intergouvernementale, appartenant à un corps ou cadre d’emplois ou occupant un emploi de catégorie A ou de
niveau équivalent.
Ce concours est également ouvert, dans les mêmes conditions, aux candidats ressortissants de l’un des Etats
mentionnés à l’article L. 321-2 du code général de la fonction publique conformément aux dispositions de
l’article L. 325-5 du même code.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 15 décembre 2024.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2025 à 13 heures.
Les dossiers de candidatures doivent être transmis au plus tard le 20 janvier 2025, à 13 heures (heure de Paris),
par internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
experimente-interne-examen-professionnel-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, notamment le lien d’inscription susvisé, se trouvent sur la page www.economie.
gouv.fr/cge/concours
Le mémoire doit être transmis au plus tard le 12 mai 2025, à 13 heures (heure de Paris), par internet en utilisant
le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-experimente-interne-
examen-professionnel-corps-des-mines-2025, et par voie postale, le cachet de la poste faisant foi, au ministère
de l’économie, des finances et de l’industrie : 139, rue de Bercy, Télédoc 333, 75572 Paris Cedex 12.
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 20 janvier 2025, à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025


d’un examen professionnel pour le recrutement d’un ingénieur des mines
NOR : ECOG2427539A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’un ingénieur des mines.
Cet examen professionnel est ouvert aux ingénieurs divisionnaires de l’industrie et des mines et aux ingénieurs
de l’industrie et des mines.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 15 décembre 2024.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2025, à 13 heures.
Les dossiers de candidatures doivent être transmis au plus tard le 20 janvier 2025, à 13 heures (heure de Paris),
par internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
experimente-interne-examen-professionnel-corps-des-mines-2025
Des précisions sur cet examen professionnel, et notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page
www.economie.gouv.fr/cge/concours
Le mémoire doit être transmis au plus tard le 12 mai 2025, à 13 heures (heure de Paris), par internet en utilisant
le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-experimente-interne-
examen-professionnel-corps-des-mines-2025, et par voie postale, le cachet de la poste faisant foi, au ministère
de l’économie, des finances et de l’industrie : 139, rue de Bercy, télédoc 333, 75572 Paris Cedex 12.
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 20 janvier 2025 à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025


d’un concours externe sur titres pour l’accès au corps des ingénieurs des mines
NOR : ECOG2427630A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours externe sur titres pour le recrutement d’un ingénieur des mines.
Ce concours est ouvert aux candidats titulaires d’un diplôme de doctorat dans un domaine de compétence du
corps ou justifiant de qualifications au moins équivalentes attribuées dans les conditions prévues par le décret
no 2007-196 du 13 février 2007 relatif aux équivalences de diplômes requises pour se présenter aux concours
d’accès aux corps et cadres d’emplois de la fonction publique.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 1er janvier 2025.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 3 février 2025 à treize heures.
Les dossiers de candidature doivent être transmis au plus tard le 3 février 2025 à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
externe-docteurs-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, et notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page www.
economie.gouv.fr/cge/concours
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 3 février 2025 à treize heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05 ; mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours
pour le recrutement de deux ingénieurs-élèves des mines parmi les élèves des écoles normales
supérieures
NOR : ECOG2427631A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours pour le recrutement de deux ingénieurs-élèves des mines.
Ce concours est ouvert aux élèves des écoles normales supérieures accomplissant la 3e ou la 4e année de scolarité.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 1er janvier 2025.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 14 février 2025, à 13 heures.
Les dossiers de candidature doivent être transmis au plus tard le 14 février 2025, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, et notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page www.
economie.gouv.fr/cge/concours
Les dossiers de sélection doivent être transmis au plus tard le 11 avril 2025, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par
le décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste
de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en
faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales
de déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un
aménagement des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été
établi moins de six mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves
nécessaires et doit être transmis au plus tard le 14 février 2025, à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours pour le
recrutement de quatre ingénieurs-élèves des mines parmi les élèves de l’Ecole nationale
supérieure des mines de Paris et les élèves de Télécom Paris
NOR : ECOG2427632A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours pour le recrutement de quatre ingénieurs-élèves des mines.
Ce concours est ouvert aux élèves de l’Ecole nationale supérieure des mines de Paris et aux élèves de Télécom
Paris accomplissant la dernière année de scolarité.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 1er janvier 2025.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 24 février 2025, à 13 heures.
Les dossiers de candidature doivent être transmis au plus tard le 24 février 2025, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page www.
economie.gouv.fr/cge/concours
Les dossiers de sélection doivent être transmis au plus tard le 19 mai 2024, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 24 février 2025, à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 19 novembre 2024 portant application des articles L. 562-3


et suivants du code monétaire et financier
NOR : ECOT2431036A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 19 novembre 2024, vu la résolution
1591 (2005) du 29 mars 2005 concernant le Soudan, vu la décision du comité du conseil de sécurité créé par la
résolution 1591 (2005) concernant le Soudan du 8 novembre 2024 de procéder à l’ajout deux personnes sur sa liste
relative aux sanctions concernant les personnes et entités visées par les mesures imposées par le Conseil de sécurité
et adoptées en vertu du chapitre VII de la Charte des Nations unies, vu le règlement (UE) no 747/2014 du Conseil
concernant des mesures restrictives eu égard à la situation au Soudan et abrogeant les règlements (CE) no 131/2004
et (CE) no 1184/2005, vu le code monétaire et financier, notamment ses articles L. 562-3 et suivants,
Les fonds et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés par les personnes
désignées ci-dessous font l’objet d’une mesure de gel des avoirs jusqu’à l’entrée en vigueur d’un règlement
européen d’exécution ajoutant leurs noms à l’annexe I du règlement (UE) no 747/2014 et au plus tard six mois après
la date de publication du présent arrêté.
ABDEL RAHMAN JUMA BARKALLA
Général de division des Forces d’appui rapide et Commandant au Darfour occidental.
Date de naissance : 1er janvier 1969.
Lieu de naissance : Bahr el Arab, Darfour oriental (Soudan).
Nationalité : Soudan.
Numéro de passeport : passeport soudanais numéro P07834700.
Numéro national d’identification : numéro soudanais d’identification 21052659309.
Renseignements divers : Sexe : masculin.
OSMAN MOHAMED HAMID MOHAMED
Général de division des Forces d’appui rapide et Chef du Département des opérations des Forces d’appui rapide.
Date de naissance : 1er janvier 1966.
Lieu de naissance : Kadiqali, Darfour méridional (Soudan).
Nationalité : Soudan.
Numéro national d’identification : numéro soudanais d’identification 11540384888.
Renseignements divers : Sexe : masculin.
La mise à disposition, directe ou indirecte, et l’utilisation de fonds ou ressources économiques au profit de ces
personnes sont interdites jusqu’à l’entrée en vigueur d’un règlement européen d’exécution ajoutant leurs noms à
l’annexe I du règlement (UE) no 747/2014 et au plus tard six mois après la date de publication du présent arrêté.
Le présent arrêté entre en vigueur à la date de sa publication par extrait au Journal officiel de la République
française.

Notification des voies et délais de recours


Le présent arrêté peut être contesté dans les deux mois à compter de sa notification, soit par recours gracieux
adressé au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie au 139, rue de Bercy, 75572 Paris cedex 12,
télédoc 233, ou à sanctions-gel-avoirs@dgtresor.gouv.fr, soit par recours contentieux auprès du tribunal
administratif de Paris, 7, rue de Jouy, 75181 Paris Cedex 04, téléphone : 01-44-59-44-00, télécopie : 01-44-59-46-
46, urgences télécopie référés : 01-44-59-44-99, greffe.ta-paris@juradm.fr . En l’absence de réponse à un recours
gracieux dans les deux mois qui suivent la date du recours, il y a rejet implicite de la demande et le tribunal
administratif de Paris pourra être saisi dans les deux mois suivant le rejet implicite.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 5 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en
sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité
sociale
NOR : MSAS2429850A

La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 162-22-7, R. 162-37-2 et R. 162-37-3 ;
Vu l’arrêté du 4 avril 2005 modifié pris en application de l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale et
fixant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge par l’assurance maladie en sus des prestations
d’hospitalisation,
Arrêtent :
Art. 1 . – La liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations d’hospitalisation visée à
er

l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en
annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La cheffe du pôle
du financement Recherche et accès à l’innovation,
du système de soins, J. LAGRAVE
C. DELPECH
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH

ANNEXE
(Extensions d’indications)
La prise en charge en sus des prestations d’hospitalisation de la spécialité ci-dessous est étendue aux indications
suivantes :
– en association à la gemcitabine et au cisplatine dans le traitement de première ligne des patients adultes
atteints d’un carcinome des voies biliaires localement avancé non résécable ou métastatique ;
– en association à une chimiothérapie à base de sels de platine et de fluoropyrimidine, est indiqué dans le
traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un adénocarcinome gastrique ou de la jonction
oesogastrique, localement avancé non résécable ou métastatique, HER-2 négatif et dont les tumeurs expriment
PD-L1 avec un CPS ≥ 10 ;
– en association au lenvatinib, en traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un carcinome rénal
avancé uniquement à cellules claires ou comportant un contingent de cellules claires ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 117

– en monothérapie dans le traitement adjuvant des patients adultes atteints d’un carcinome rénales uniquement à
cellules claires à risque accru de récidive post néphrectomie, ou après une néphrectomie et une résection des
lésions métastatiques ;
– en association à une chimiothérapie comme traitement néoadjuvant, puis poursuivi après la chirurgie en
monothérapie comme traitement adjuvant, dans le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du sein
triple négatif localement avancé ou de stade précoce à haut risque de récidive.
Laboratoire exploitant
Dénomination Libellé ou titulaire
Commune de la spécialité pharmaceutique Code UCD Libellé de l’UCD de l’autorisation
Internationale de mise sur le marché

KEYTRUDA 25 mg/mL, solution à


PEMBROLIZUMAB diluer pour perfusion 3400894197232 KEYTRUDA 25MG/ML PERF FL4ML MSD FRANCE
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 36 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 13 novembre 2024 portant ouverture des examens cliniques objectifs structurés
donnant accès au troisième cycle des études de médecine au titre de l’année universi­
taire 2025-2026
NOR : MSAN2430890A

Par arrêté de la directrice générale du Centre national de gestion en date du 13 novembre 2024, le Centre
national de gestion transmet par voie dématérialisée la liste des candidats admis à participer aux examens cliniques
objectifs structurés (ECOS) aux centres d’épreuves concernés au plus tard le 14 mars 2025. Les centres d’épreuves
sont chargés de convoquer les étudiants concernés.
Les ECOS sont organisés selon le calendrier suivant :
Ils se déroulent lors d’une session unique les 20 et 21 mai 2025. Chaque jour, cinq stations sont organisées. Les
horaires seront précisés par chaque centre d’épreuves dans la convocation.
La durée unitaire d’une station d’ECOS est de dix minutes comprenant huit minutes d’épreuve intégrant la
lecture de la vignette et deux minutes de déplacement d’une station à l’autre.
Les candidats se présentent à l’heure indiquée sur la convocation délivrée par leur centre d’épreuves de
rattachement identique à celui attribué lors du passage des épreuves dématérialisées. La date prévue pour toute
reprogrammation qui pourrait s’avérer nécessaire est le 22 mai 2025.
Le jury national des épreuves dématérialisées et des ECOS délibère le 6 juin 2025 et transmet les notes des
candidats aux ECOS au Centre national de gestion au plus tard le 10 juin 2025.
En cas d’empêchement à participer à tout ou partie des ECOS dans les conditions prévues à l’alinéa 2 du IV de
l'article R. 632-2-3 du code de l'éducation, les candidats sont tenus d’adresser au Centre national de gestion, dans le
mois qui suit le déroulement de ceux-ci, la demande de participer aux ECOS organisés l’année universitaire
suivante.
Cette demande accompagnée des pièces justificatives doit être effectuée par envoi recommandé à l’adresse
suivante : Centre national de gestion, département Autorisations d’exercice-Concours-Coaching, bureau des
concours nationaux (EN) ; immeuble Le Ponant B, 21, rue Leblanc, 75737 Paris Cedex 15.
Cette demande concerne les étudiants qui n’ont pas pu se présenter aux examens cliniques objectifs structurés
pour des raisons de force majeure ou pour une raison médicale dûment justifiées.
Les candidats en situation de handicap tel que le définit l’article L. 114 du code de l’action sociale et des
familles, qui demandent à bénéficier d’aménagement et d’adaptation des stations des ECOS, adressent à leur centre
d’épreuves de rattachement (service de la scolarité de l’UFR concernée) :
1o La demande dûment signée ;
2o L’avis délivré par un médecin de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) ou par un
médecin désigné par la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) qui spécifie,
pour les ECOS, les aménagements et adaptations proposés conformément aux articles D. 613-26 et D. 613-27 du
code de l’éducation.
Le dossier comprenant la demande de l’étudiant et l’avis du médecin, doit être adressé par lettre recommandée
avec accusé de réception au plus tard le 10 mars 2025 au centre d’épreuves (service de la scolarité de l’UFR
concernée), qui transmet son avis motivé sur la demande d’aménagement au Centre national de gestion avec
présentation du dossier, par voie dématérialisée au plus tard le 28 mars 2025.
Cet avis du centre d’épreuves (UFR concernée) tient compte de la situation de handicap du candidat et doit être
en cohérence avec les aménagements ou adaptations dont il a bénéficié durant sa formation, sauf dans le cas où la
situation de handicap s’est révélée ou s’est modifiée après la mise en œuvre des aménagements ou adaptations
facultaires.
Au regard de l’avis du centre d’épreuves présentant le dossier de demande, le Centre national de gestion décide
des aménagements accordés au candidat pour les ECOS, conformément à la règlementation relative aux
aménagements d’examens et concours prévue aux articles D. 613-26 à D. 613-30 du code de l’éducation.
La décision d’aménagement des ECOS prise par le Centre national de gestion est notifiée au candidat à partir
du 22 avril 2025 sur son compte « Even », dont le lien d’accès est disponible sur le site internet : www.cng.sante.fr
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques


agréées à l’usage des collectivités et divers services publics
NOR : MSAS2430154A

La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 5123-2, L. 5123-3 et D. 5123-4 ;
Vu le code de la sécurité sociale ;
Vu le code général des impôts, notamment son article 281 octies ;
Vu les avis de la Commission de la transparence des 14 décembre 2022, 18 janvier 2023, 14 février 2024,
28 février 2024 et 27 mars 2024, avis notifiés au laboratoire concerné en application de l’article R. 163-16 du code
de la sécurité sociale et consultables sur le site internet de la Haute Autorité de santé,
Arrêtent :
Art. 1er. – La liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des collectivités et divers services publics
est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH E. COHN
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH

ANNEXE
(5 extensions d’indications pour une spécialité)
La prise en charge de la spécialité ci-dessous est étendue aux cinq indications suivantes :
– en association à la gemcitabine et au cisplatine dans le traitement de première ligne des patients adultes
atteints d’un carcinome des voies biliaires localement avancé non résécable ou métastatique ;
– en association à une chimiothérapie à base de sels de platine et de fluoropyrimidine, dans le traitement de
première ligne des patients adultes atteints d’un adénocarcinome gastrique ou de la jonction oesogastrique,
localement avancé non résécable ou métastatique, HER-2 négatif et dont les tumeurs expriment PD-L1 avec
un CPS ≥ 10 ;
– en association au lenvatinib, en traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un carcinome rénal
avancé uniquement à cellules claires ;
– dans le traitement adjuvant des patients adultes atteints d’un carcinome rénal uniquement à cellules claires, à
risque accru de récidive post néphrectomie, ou après une néphrectomie et une résection des lésions
métastatiques ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 117

– en association à une chimiothérapie comme traitement néoadjuvant, puis poursuivi après la chirurgie en
monothérapie comme traitement adjuvant, dans le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du sein
triple négatif localement avancé ou de stade précoce à haut risque de récidive.
Code CIP Présentation

KEYTRUDA 25 mg/mL (pembrolizumab), solution à diluer pour perfusion, flacon (verre) de 4 ml, boîte de 1 flacon (B/1) (laboratoires
34009 550 243 1 6 MSD FRANCE)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 18 novembre 2024 portant renouvellement et modification des conditions d’inscription


de la pince myoélectrique pour prothèse externe du membre supérieur AXON-HOOK de la
société OTTO BOCK France inscrite au titre II de la liste des produits et prestations
remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale

NOR : MSAS2430931A

La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 165-1 à L. 165-5 et R. 165-1 à R. 165-28 ;
Vu l’avis de la Commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé
du 10 septembre 2024,

Arrêtent :
Art. 1er. – Au titre II de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 7, section 1 « appareillage du
membre supérieur », sous-section C « prothèses du membre supérieur mues par énergie électrique, prothèses
myoélectriques », au paragraphe 3 « Adjonctions », dans la rubrique « Société OTTO BOCK », dans la section
« Mains et pinces pour patients avec membre résiduel de l’épaule à l’avant-bras », la nomenclature du code
2759611 relatif à la pince myoélectrique AXON-HOOK est modifiée comme suit :
a) Dans le paragraphe « DESCRIPTION », les dispositions suivantes sont ajoutées :
« AXON-HOOK est une pince myoélectrique composée d’une tige latérale fixe et d’une tige médiane mobile,
toutes deux en forme de crochet pour assurer la préhension des objets selon un mouvement angulaire. Les tiges en
titane sont recouvertes d’un revêtement en polyuréthane.
« L’amplitude d’ouverture de la pince est de 130 mm.
« Un moteur central associé à une boîte de vitesse permet d’actionner la tige médiale. AXON-HOOK dispose
d’un poignet flexible orientable et verrouillable en flexion/extension afin de positionner la pince par rapport à
l’objet à saisir. Le positionnement et le verrouillage/déverrouillage est assuré par le membre controlatéral. Un
système mécanique de crémaillère permet de le bloquer dans sept positions différentes allant de 75° de flexion
à 45° d’extension. La rotation du poignet peut être passive ou motorisée. Le poignet d’AXON-HOOK est recouvert
par une manchette de protection. » ;
b) La date de fin de prise en charge est portée au 15 décembre 2029.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice L’adjoint à la sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH C.-E. BARTHELEMY
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 117

Le ministre auprès du Premier ministre,


chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 18 novembre 2024 portant renouvellement d’inscription du substitut osseux sur


mesure non résorbable GLACE de la société DISPOMED inscrit au titre III de la liste des produits
et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
NOR : MSAS2430934A

La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 165-1 à L. 165-5 et R. 165-1 à R. 165-28 ;
Vu l’avis de la Commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé
du 30 janvier 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – Au titre III de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 1er, section 3, sous-section 4,
er

au paragraphe 2 « Autres éléments de substitution et de comblement à matrice bio-inerte avec ou sans bio-activité
de surface », au paragraphe « Implant cranio-faciale sur mesure », la rubrique « Société DISPOMED », est
remplacée comme suit :
CODE NOMENCLATURE

Société DISPOMED (DISPOMED)

GLACE
DESCRIPTION
GLACE est un substitut osseux sur mesure non résorbable. Il est composé de plaques en composite renforcé de fibres (CRF) tissées, assemblées
sous forme de multicouches au moyen de tiges unidirectionnelles continues en CRF. En fonction de la taille de l’implant et des exigences de
résistance, l’implant peut contenir une ou plusieurs barres CRF unidirectionnelles.
Les espaces libres créés entre les plaques par ces tiges sont remplis de particules de verre bioactif S53P4.
Les éléments composant l’implant GLACE sont les suivants :
– les plaques en composite renforcé de fibres (CRF) sont un assemblage de fibres de verre (de diamètre de 15-17 µm) renforcées par un polymère
(ou résine) ;
– les tiges en CRF unidirectionnelle continues utilisées dans la partie poreuse de l’implant GLACE, ont une résistance à la flexion de 1200 MPa et les
plaques en CRF tissées de la surface externe et interne ont une résistance de 400 à 600 MPa ;
– matrice polymère : les fibres de verre sont protégées, stabilisées et rendues inertes par une matrice polymère. Cette matrice est une résine de
diméthacrylate (Bis GMA TEGDMA) polymérisées à un degré élevé de conversion monomérique, améliorant la biocompatibilité et la bio-stabilité
de l’implant ;
– particules de verre S53P4 : ces granules de verre sont incorporés dans l’espace présent entre les différentes couches de l’implant. La taille
moyenne des particules est de 500µm3. Ces particules de verre bioactif sont destinées à guider l’intégration de l’implant à l’os crânien environnant
et à éradiquer les infections bactériennes locales.
Conception de l’implant :
L’implant GLACE est réalisé sur mesure à partir des données tomodensitométriques du patient. Celles-ci sont téléchargées au format DICOM sur la
plateforme du fabricant. Les données sont traitées par le logiciel MIMICS qui modélise la forme nécessaire au comblement du défect osseux.
Un moulage en résine du crâne du patient est réalisé ainsi qu’un moulage du défect osseux. Le projet de conception doit être validé par le médecin
prescripteur avant la mise en production de l’implant. La modélisation permet la réalisation d’un moule par impression 3D. Les différentes
couches de fibres de verre, les particules de verre bioactif et les barres de renforcement sont placées manuellement dans le moule par un
technicien de laboratoire qualifié. L’implant est ensuite exposé à la lumière UV puis cuit au four. A la fin de la cuisson, les trous pour fixation de
l’implant et ceux pour la suspension de la dure-mère sont percés manuellement dans les barres de renfort transversales.
Le délai total de fabrication et de livraison de l’implant au prescripteur est garanti sous 10 jours ouvrables à partir de la validation par le prescripteur
de la proposition du fabricant.
INDICATIONS PRISES EN CHARGE
Reconstruction crânienne, sur entente préalable :
– soit en première intention, en cas de défect osseux :
– situé dans la zone fronto-temporale ;
– ou de grande taille (supérieur à 35cm2).
– soit en deuxième intention, après échec ou impossibilité de l’autogreffe.
MODALITES DE PRESCRIPTION ET D’UTILISATION
La prise en charge de GLACE est subordonnée à l’accord préalable de l’Assurance Maladie.
Modalités de prescription
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 117

CODE NOMENCLATURE

La prescription doit notamment être associée aux résultats d’un examen tomodensitométrique dont l’épaisseur des coupes doit être idéalement de
1mm et au maximum de 3mm.
Conditions d’utilisation
La mise en place de GLACE nécessite le fraisage du contour ou des berges du déficit osseux. La zone à fraiser est de 6 à 8 mm de largeur et de 1 mm
de profondeur afin de permettre la pose du rebord de l’implant. L’implant est fixé par des vis à tête plate utilisant les trous pré percés dans ce
rebord.
IRM compatibilité :
GLACE est un substitut osseux et ne contient pas d’éléments métalliques, magnétiques ou conducteurs.
Selon la notice du marquage CE, le dispositif implantable GLACE est IRM compatible sans conditions.

3172374 Implant cranio-faciale sur mesure, < 125 cm2, DISPOMED, GLACE
Implant sur mesure GLACE de taille inférieure à 125 cm2.
REFERENCE PRISE EN CHARGE
SIC-1000-1.
Date de fin de prise en charge : 1er mars 2029.

3196653 Implant cranio-faciale sur mesure, ≥ 125 cm2 ≤ 180 cm2, DISPOMED, GLACE
Implant sur mesure GLACE de taille comprise entre 125cm2 et 180 cm2.
REFERENCE PRISE EN CHARGE
SIC-1000-2.
Date de fin de prise en charge : 1er mars 2029.

3198132 Implant cranio-faciale sur mes, > 180 cm2 et implants complexes, DISPOMED, GLACE
Implant sur mesure GLACE de taille supérieur à 180 cm2 et/ou forme complexe.
REFERENCE PRISE EN CHARGE
SIC-1000-3.
Date de fin de prise en charge : 1er mars 2029.

Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice L’adjoint à la sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH C.-E. BARTHELEMY
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS, DE L’AUTONOMIE


ET DE L’ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

Arrêté du 15 novembre 2024 fixant pour 2024 le taux de couverture minimal mentionné à
l’article 2 du décret no 2024-726 du 6 juillet 2024 relatif au complément de financement versé
aux départements par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie
NOR : SAES2430909A

Le ministre des solidarités, de l’autonomie et de l’égalité entre les femmes et les hommes et le ministre auprès du
Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le code de l’action sociale et des familles ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment son article L. 223-8 ;
Vu la loi no 2023-1250 du 26 décembre 2023 de financement de la sécurité sociale pour 2024, notamment son
article 86 ;
Vu le décret no 2024-726 du 6 juillet 2024 relatif au complément de financement versé aux départements par la
Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie en application de l’article 86 de la loi de financement de la sécurité
sociale du 26 décembre 2023 pour 2024 ;
Vu l’avis du conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie en date du 8 novembre 2024 ;
Vu l’avis du conseil de la Conseil national d’évaluation des normes en date du 7 novembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – Pour l’année 2024, le taux de couverture minimal mentionné à l’article 2 du décret du 6 juillet 2024
er

susvisé est fixé ainsi qu’il suit :


– pour les départements dont le potentiel fiscal par habitant en 2023 est inférieur à 1,8 fois le potentiel fiscal
moyen par habitant : 43,31 % ;
– pour les départements dont le potentiel fiscal par habitant en 2023 est supérieur à 1,8 fois le potentiel fiscal
moyen par habitant : 23,50 %.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 novembre 2024.
Le ministre des solidarités, de l’autonomie
et de l’égalité entre les femmes et les hommes,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général de la cohésion sociale,
J.-B. DUJOL
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La cheffe de service,
adjointe au directeur de la sécurité sociale,
D. CHAMPETIER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Décret no 2024-1043 du 18 novembre 2024


portant diverses dispositions relatives aux autorisations d’urbanisme
NOR : LRUL2413182D

Publics concernés : Etat, collectivités territoriales et leurs groupements, particuliers.


Objet : le décret a pour objet de modifier et de simplifier plusieurs dispositions liées au régime des autorisations
d’urbanisme.
Entrée en vigueur : les dispositions de l’article 1er s’appliquent aux demandes d’autorisation d’urbanisme
déposées à compter du 1er janvier 2025. Les dispositions de l’article 2 s’appliquent aux demandes d’autorisation
d’urbanisme déposées à compter de l’expiration d’un délai de trente jours suivant la publication du présent décret.
Notice : le décret crée une obligation de transmission par voie électronique, pour les personnes morales, des
demandes d’autorisation d’urbanisme dans les communes de plus de 3 500 habitants. Il crée également une
nouvelle modalité du permis d’aménager, en permettant à celui-ci d’être réalisé et garanti financièrement par
tranches en fonction de l’achèvement de ces dernières.
Références : les textes modifiés par ce décret peuvent être consultés, dans leur version issue de cette
modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre du logement et de la rénovation urbaine,
Vu le code de l’urbanisme, notamment ses articles L. 423-3, R. 151-21, R.* 442-6, R.* 442-13 et R.* 442-14 ;
Vu les avis du Conseil national d’évaluation des normes en date des 2 mai et 6 juin 2024 ;
Le Conseil d’Etat (section des travaux publics) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – La sous-section 1 de la section 1 du chapitre III du titre II du livre IV du code de l’urbanisme est
er

complétée par un article R. 423-2-1 ainsi rédigé :


« Art. R. 423-2-1. – Dans les communes mentionnées à l’article L. 423-3, les demandes ou déclarations
émanant de personnes morales sont adressées par voie électronique. »
Art. 2. – Le même livre du même code est ainsi modifié :
1o L’article R.* 442-6 est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« c) Dans le cas prévu à l’article R. 442-13-1, un plan faisant apparaître les différentes tranches de travaux ainsi
qu’une attestation de la garantie à fournir au titre de la première tranche. » ;
2o Après l’article R.* 442-13, il est inséré un article R. 442-13-1 ainsi rédigé :
« Art. R. 442-13-1. – Le permis d’aménager ou un arrêté ultérieur pris par l’autorité compétente pour délivrer
le permis autorise, sur sa demande, le lotisseur à procéder à la vente ou à la location des lots au fur et à mesure de la
réalisation de tranches de travaux, avant l’exécution de tout ou partie des travaux prescrits par le permis
d’aménager au titre d’une tranche, lorsque le lotisseur justifie, s’agissant de la tranche en cause, d’une garantie
d’achèvement des travaux établie dans les conditions prévues à l’article R. 442-14.
« La garantie mentionnée au premier alinéa est levée lors du dépôt de la déclaration, prévue à l’article R. 462-3,
attestant l’achèvement et la conformité des travaux relatifs à la tranche en cause, accompagnée de la justification de
la garantie d’achèvement des travaux relatifs à la tranche suivante à réaliser. Le dépôt de ces documents autorise le
lotisseur à procéder à la vente ou à la location des lots au titre de la tranche suivante. » ;
3o Après l’article R. 462-2, il est inséré un article R. 462-3 ainsi rédigé :
« Art. R. 462-3. – Dans le cas prévu à l’article R. 442-13-1, la déclaration attestant l’achèvement et la
conformité des travaux relatifs à une tranche est accompagnée de la justification de la garantie d’achèvement des
travaux relatifs à la tranche suivante à réaliser, établie dans les conditions prévues à l’article R. 442-14. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 117

Art. 3. – I. – Les dispositions de l’article R. 423-2-1 du code de l’urbanisme, dans sa rédaction résultant de
l’article 1er du présent décret, s’appliquent aux demandes d’autorisation d’urbanisme déposées à compter
du 1er janvier 2025.
II. – Les dispositions du c de l’article R.* 442-6, de l’article R. 442-13-1 et de l’article R. 462-3 du même code,
dans leur rédaction résultant de l’article 2 du présent décret, s’appliquent aux demandes d’autorisation d’urbanisme
déposées à compter de l’expiration d’un délai de trente jours suivant la publication du présent décret.
Art. 4. – La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation et la ministre du logement et de
la rénovation urbaine sont chargées, chacune en ce qui la concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
La ministre du logement
et de la rénovation urbaine,
VALÉRIE LÉTARD
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
CATHERINE VAUTRIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Arrêté du 13 novembre 2024 relatif à l’extension de compétence de la société anonyme


coopérative d’intérêt collectif d’habitations à loyer modéré (SCIC d’HLM) LE TOIT GIRONDIN
sur la région Occitanie
NOR : LRUL2422676A

Par arrêté de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 13 novembre 2024, la SCIC d’HLM
LE TOIT GIRONDIN (no SIRET 456 201 334 000 20), dont le siège social est situé à Bordeaux (33), est autorisée
à exercer ses compétences sur la région Occitanie.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Décision du 7 novembre 2024


portant agrément en qualité de bureau d’études
NOR : LRUL2428283S

Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément pour
la réalisation des attestations relatives au respect des règles de construction prévues aux articles L. 122-9
à L. 122-12 du code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de deux ans à compter de la
présente décision à la société NRJ DIAGS sise, Cité de l’Habitat, rue de Thann, 68460 Lutterbach pour la
réalisation des attestations relatives à la règlementation suivante :
– performance énergétique et environnementale (article L. 122-9 du code de la construction et de l’habitation).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Décision du 7 novembre 2024


portant agrément en qualité de contrôleur technique
NOR : LRUL2428299S

Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément en
qualité de contrôleur technique au titre des dispositions des articles L. 125-1 à L. 125-6 et R. 125-1 à R. 125-16 du
code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de trois ans à compter de la présente décision,
à la société Contrôles et Coordinations, 14, rue Albert-Einstein, 74420 Champs-sur-Marne pour les domaines B.2,
C.4, C.5 et C.6 définis à l’annexe I de l’arrêté du ministre chargé de la construction du 26 novembre 2009, ci-après
reproduits :
« B.2 Ouvrages de catégorie B (viabilité, fondation, ossature, clos et couvert et équipements indissociablement
liés à un ouvrage) pour ce qui concerne la solidité et tous ouvrages de bâtiment en tant qu’ils ont un rapport avec la
sécurité des personnes (y compris personnes à mobilité réduite et personnes à transporter sur brancards) : bâtiments
autres que ceux visés à l’article R.125-17 du code de la construction et de l’habitation. »
« C.4 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement pour l’isolation thermique et les
économies d’énergie. »
« C.5 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement pour l’isolation phonique à l’égard du
bruit extérieur et du bruit intérieur. »
« C.6 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement ayant trait à la protection de
l’environnement, à l’hygiène, à la santé, à l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, au transport de
brancards. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Décision du 7 novembre 2024


portant agrément en qualité de contrôleur technique
NOR : LRUL2428301S

Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément en
qualité de contrôleur technique au titre des dispositions des articles L. 125-1 à L. 125-6 et R. 125-1 à R. 125-16 du
code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de deux ans à compter de la présente décision,
à la société MTNV TETRAGRAMME, 168, rue Robert-Schuman, 77310 Saint-Fargeau-Ponthierry pour les
domaines B.2, C.3, C.4 et C.6 définis à l’annexe I de l’arrêté du ministre chargé de la construction
du 26 novembre 2009, ci-après reproduits ;
« B.2 Ouvrages de catégorie B (viabilité, fondation, ossature, clos et couvert et équipements indissociablement
liés à un ouvrage) pour ce qui concerne la solidité et tous ouvrages de bâtiment en tant qu’ils ont un rapport avec la
sécurité des personnes (y compris personnes à mobilité réduite et personnes à transporter sur brancards) : bâtiments
autres que ceux visés à l’article R. 125-17 du code de la construction et de l’habitation. »
« C.3 Ouvrages de bâtiment : installations sanitaires ; stockage et distribution des fluides : eau, gaz, tous fluides
médicaux et spécialisés. »
« C.4 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement pour l’isolation thermique et les
économies d’énergie. »
« C.6 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement ayant trait à la protection de
l’environnement, à l’hygiène, à la santé, à l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, au transport de
brancards. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Décision du 7 novembre 2024


portant agrément en qualité de contrôleur technique
NOR : LRUL2428304S

Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément en
qualité de contrôleur technique au titre des dispositions des articles L. 125-1 à L. 125-6 et R. 125-1 à R. 125-16 du
code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de 18 mois à compter de la présente décision, à
la société SECO FRANCE, 130, boulevard de la Liberté, 59000 Lille pour le domaine D définis à l’annexe I de
l’arrêté du ministre chargé de la construction du 26 novembre 2009, ci-après reproduits et uniquement pour le
projet du Pont de la Salpêtrière – Austerlitz Sud :
« D. Tous ouvrages de génie civil pour toutes missions de contrôle. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE


ET DE LA FORÊT

Décret no 2024-1044 du 18 novembre 2024 relatif à la production de vins issus


de jeunes vignes pour les eaux-de-vie de vin sous appellation d’origine
NOR : AGRT2418873D

Publics concernés : producteurs d’eaux-de-vie de vin sous appellation d’origine.


Objet : introduction d’un article D. 645-21-2 au sein des dispositions du code rural et de la pêche maritime
(CRPM) applicables aux eaux-de-vie de vin, en vue d’interdire au sein de la zone de production de produire du vin
à partir de raisins issus des vignes en 1re ou 2e feuille.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : la production des jeunes vignes est régie par l’article D. 645-8 du CRPM, relatif aux vins à appellation
d’origine contrôlée qui interdit au sein de la zone de production de produire du vin à partir de raisins issus des
vignes en 1re ou 2e feuille. Ne s’appliquant pas aux eaux de vie, il ne permet donc pas d’éviter de façon
systématique l’utilisation de raisins issus des jeunes vignes de leur aire géographique afin de produire des vins.
L’introduction d’une disposition identique à l’article D. 645-8 du CRPM constitue pour les AOC d’eaux-de-vie de
vin, un outil utile de maîtrise de la production permettant d’éviter à la suite de périodes de forte plantation, la mise
sur le marché de volumes conséquents de vins sans IG.
Références : le code rural et de la pêche maritime modifié par le décret peut être consulté, dans sa rédaction
issue de cette modification, sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt,
Vu le titre IV du livre VI du code rural et de la pêche maritime, notamment son article L. 640-3 ;
Vu la proposition du comité national des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons alcoolisées et
des eaux-de-vie de l’Institut national de l’origine et de la qualité en date du 25 juin 2024,

Décrète :
Art. 1 . – Après l’article D. 645-21-1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article D. 645-21-2
er

ainsi rédigé :
« Art. D. 645-21-2. – Les raisins obtenus sur les parcelles de jeunes vignes situées à l’intérieur de la zone de
production des raisins d’une eau-de-vie de vin bénéficiant d’une appellation d’origine contrôlée et répondant aux
conditions d’encépagement définies dans le cahier des charges ne peuvent être utilisés pour produire du vin :
« a) L’année de la plantation en place avant le 31 juillet et l’année suivante, dans le cas d’utilisation de greffés-
soudés ou de plants francs de pied ;
« b) L’année du greffage sur place ou du surgreffage réalisé avant le 31 juillet, dans le cas d’utilisation de plants
racinés de porte-greffe ou du surgreffage.
« Les produits issus de ces raisins ne peuvent circuler qu’à destination de la destruction par envoi aux usages
industriels. »
Art. 2. – Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, la ministre de l’agriculture, de la
souveraineté alimentaire et de la forêt et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes
publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal
officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 117

La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
ANNIE GENEVARD
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
ANTOINE ARMAND
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 117

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TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE


ET DE LA FORÊT

Arrêté du 7 novembre 2024 portant retrait de la reconnaissance de la coopérative laitière


VALSUD en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur caprin
NOR : AGRT2423093A

La ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt,


Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment le titre V de son livre V et ses articles L. 553-1, D. 551-1
à D. 551-6, D. 551-18 à D. 551-30 et D. 553-1 à D. 553-5 ;
Vu l’arrêté du 20 mars 1969 modifié portant reconnaissance d’un groupement de producteurs dans le secteur de
l’élevage pour les caprins ;
Vu le courrier en date du 20 juin 2024 par lequel la SCA AGRIAL demande le retrait de reconnaissance de la
coopérative laitière VALSUD en qualité d’organisation de producteurs dans le secteur caprin, celle-ci ayant cessé
son activité suite à son absorption par fusion avec la SCA AGRIAL ;
Vu l’avis de la commission nationale technique spécialisée du Conseil supérieur d’orientation et de coordination
de l’économie agricole et alimentaire du 17 octobre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – La reconnaissance en qualité d’organisation de producteurs accordée à la coopérative Laitière
er

VALSUD (ex : Laiterie coopérative de Crest et de la région) dont le siège social est situé à Crest (Drôme),
SIREN : 301 642 328, sous le numéro 26-74-176, dans le secteur caprin est retirée.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 novembre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur Compétitivité,
S. BOUVATIER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE


ET DE LA FORÊT

Arrêté du 15 novembre 2024 portant extension d’un accord interprofessionnel relatif au


financement des actions interprofessionnelles du comité interprofessionnel du pruneau
d’Agen (CIPAg) pour la campagne 2024-2025 conclu dans le cadre de l’Association nationale
interprofessionnelle des fruits et légumes transformés (ANIFELT)
NOR : AGRT2429000A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et la ministre de l’agriculture, de la souveraineté


alimentaire et de la forêt,
Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment ses articles L. 632-1 à L. 632-11 ;
Vu le décret no 2014-572 du 2 juin 2014 relatif à la reconnaissance des organisations interprofessionnelles ;
Vu le décret no 2015-226 du 26 février 2015 relatif aux modalités d’extension des accords conclus par les
organisations interprofessionnelles agricoles ;
Vu l’arrêté du 4 octobre 1976 portant reconnaissance de l’association interprofessionnelle des fruits et légumes
transformés (ANIFELT) ;
Vu l’arrêté du 6 février 2015 relatif aux demandes d’extension des accords conclus dans le cadre d’une
organisation interprofessionnelle reconnue ;
Vu l’accord du 12 août 2024 relatif à la prune d’Ente séchée et au pruneau, conclu par les organisations
professionnelles membres de l’association interprofessionnelle des fruits et légumes transformés (ANIFELT),

Arrêtent :
Art. 1 . – Les dispositions de l’accord interprofessionnel relatif au financement des actions interprofession­
er

nelles du comité interprofessionnel du pruneau d’Agen signé le 12 août 2024 et conclu dans le cadre de
l’Association interprofessionnelle des fruits et légumes transformés sont étendues à tous les producteurs de prunes
d’ente séchées et/ou des pruneaux mi-cuits produits en France et destinés à une transformation, ainsi qu’à tous les
transformateurs des produits à base de prune d’ente séchées et/ou de pruneaux mi-cuits d’origine française
énumérés à l’article 2 de l’accord interprofessionnel et commercialisés en France, pour la campagne 2024-2025
(1er septembre au 31 août).
Art. 2. – L’accord interprofessionnel est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture, de la
souveraineté alimentaire et de la forêt (BO Agri), et peut être consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.
gouv.fr/boagri/document_administratif-7da4e3e5-b7fa-4dc3-9931-1d20f35d3ef5
Il peut également être consulté :
– au ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt, bureau fruits et légumes et produits
horticoles, 3, rue Barbet-de-Jouy, 75007 Paris ;
– au siège de l’ANIFELT, 44, rue d’Alésia, 75014 Paris.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur
des filières agroalimentaires,
N. CHEREL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 117

Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et des marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE


ET DE LA FORÊT

Arrêté du 18 novembre 2024 modifiant le cahier des charges


de l’appellation d’origine contrôlée « Crémant d’Alsace »
NOR : AGRT2419376A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, la ministre de l’agriculture, de la souveraineté


alimentaire et de la forêt et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le règlement (UE) no 2024/1143 du Parlement européen et du Conseil du 11 avril 2024 concernant les
indications géographiques relatives au vin, aux boissons spiritueuses et aux produits agricoles, ainsi que les
spécialités traditionnelles garanties et les mentions de qualité facultatives pour les produits agricoles, notamment
son article 24 ;
Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles ;
Vu le code de la consommation ;
Vu le code des douanes ;
Vu le code des impôts ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, en particulier son article L. 641-7 ;
Vu le décret no 2011-1373 du 25 octobre 2011 modifiant l’ordonnance no 45-2675 du 2 novembre 1945 relative à
la définition des appellations d’origine contrôlées des vins d’Alsace et homologuant les cahiers des charges des
appellations d’origine contrôlées « Alsace » ou « Vin d’Alsace » et « Crémant d’Alsace » et des cinquante et une
appellations « Alsace grand cru » ;
Vu la proposition du comité national des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons alcoolisées et
des boissons spiritueuses de l’Institut national de l’origine et de la qualité en date du 30 juin 2023, du 6 février 2024
et du 25 juin 2024 et de la commission permanente des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons
alcoolisées et des boissons spiritueuses de l’Institut national de l’origine et de la qualité en date du 28 mars 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le III du chapitre Ier du cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Crémant d’Alsace »,
er

homologué par le décret du 25 octobre 2011 susvisé, est modifié comme suit :
1o Au premier paragraphe du 1o, la référence : « 2022 » est remplacée par la référence : « 2024 » ;
2o Au b du 1o pour le département du Bas-Rhin :
– le nom de la commune de « Mittelhausen » est supprimé ;
– les dispositions suivantes sont ajoutées : « Commune retenue en partie : Wingersheim les Quatre Bans (pour
le seul territoire de la commune déléguée de Mittelhausen) » ;
3o Au premier paragraphe du 2o, les mots : « et 25 juin 2024 » sont ajoutés après les mots : « 30 novembre 2022 ».
Art. 2. – Le V du chapitre Ier du cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Crémant d’Alsace »,
homologué par le décret du 25 octobre 2011 susvisé, est modifié comme suit :
1o Le d du 1o est complété par le paragraphe suivant :
« Lorsque l’irrigation est autorisée, conformément aux dispositions de l’article D. 645-5 du code rural et de la
pêche maritime, la charge maximale moyenne à la parcelle des parcelles irriguées est fixée à 12 000 kilogrammes
par hectare. » ;
2o Le 3o est remplacé par les dispositions suivantes :
« 3o Irrigation
« a) L’irrigation peut être autorisée conformément aux dispositions de l’article D. 645-5 du code rural et de la
pêche maritime ;
« b) L’aspersion sur le feuillage est interdite ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 117

« c) L’apport de fertilisant (fertirrigation) est interdit. »


Art. 3. – Le I du chapitre II du cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Crémant d’Alsace »,
homologué par le décret du 25 octobre 2011 susvisé, est modifié comme suit :
1o Le 3 est remplacé par les dispositions suivantes :
« Déclaration d’irrigation
« Une déclaration d’irrigation est adressée à l’organisme de défense et de gestion et à l’organisme de contrôle au
plus tard 2 jours avant l’irrigation, conformément aux dispositions de l’article D. 645-5 du code rural et de la pêche
maritime. Cette déclaration est établie selon le modèle défini par l’organisme de défense et de gestion. » ;
2o Le 3 devient le 4, le 4 devient le 5, le 5 devient le 6, le 6 devient le 7, le 7 devient le 8, le 8 devient le 9.
Art. 4. – Le lien https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-f7042583-60cc-
4be8-aeb0-3abf768df337 permet de consulter le cahier des charges publié au Bulletin officiel du ministère de
l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt.
Art. 5. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur
des filières agroalimentaires,
N. CHEREL
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le chef de bureau
des contributions indirectes,
J. COUDRAY
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE


ET DE LA FORÊT

Arrêté du 18 novembre 2024 homologuant le cahier des charges


de l’appellation d’origine protégée « Pouilly-Vinzelles »

NOR : AGRT2422294A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, la ministre de l’agriculture, de la souveraineté


alimentaire et de la forêt et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles ;
Vu le règlement (UE) no 2024/1143 du Parlement européen et du Conseil du 11 avril 2024 concernant les
indications géographiques relatives au vin, aux boissons spiritueuses et aux produits agricoles, ainsi que les
spécialités traditionnelles garanties et les mentions de qualité facultatives pour les produits agricoles, notamment
son article 24 ;
Vu le code de la consommation ;
Vu le code des douanes ;
Vu le code des impôts ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment son article L. 641-7 ;
Vu la proposition du comité national des appellations d’origine relatives aux vins et aux boissons alcoolisées, et
des boissons spiritueuses de l’Institut national de l’origine et de la qualité prise en séance du 25 juin 2024,

Arrêtent :
Art. 1er. – Le cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Pouilly-Vinzelles » est homologué.

Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt peut
être consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-
5a8ac97a-e1f0-44bd-87fd-3e0602b468d2
Art. 2. – Le décret no 2011-1797 du 6 décembre 2011 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Pouilly-
Vinzelles » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur
des filières agroalimentaires,
N. CHEREL
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 117

Le ministre auprès du Premier ministre,


chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le chef de bureau
des contributions indirectes,
J. COUDRAY
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE


ET DE LA FORÊT

Arrêté du 18 novembre 2024 relatif aux dispositions de la décision interprofessionnelle conclue


dans le cadre du conseil interprofessionnel des vins de Bordeaux (CIVB) relative à la mise en
œuvre du volume régulateur
NOR : AGRT2422788A

Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, la ministre de l’agriculture, de la souveraineté


alimentaire et de la forêt et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le règlement (UE) no 1308/2013 du Parlement européen et du Conseil du 17 décembre 2013 portant
organisation commune des marchés des produits agricoles ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, notamment ses articles L. 632-1 à L. 632-11, relatifs aux organisations
interprofessionnelles agricoles ;
Vu le décret no 2014-572 du 2 juin 2014 relatif à la reconnaissance des organisations interprofessionnelles ;
Vu l’arrêté du 3 juin 2014 relatif à la reconnaissance en qualité d’organisation interprofessionnelle du conseil
interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB) ;
Vu les délibérations de l’assemblée générale du conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux en date
du 9 juillet 2024,

Arrêtent :
Art. 1er. – Les dispositions de la décision interprofessionnelle adoptée lors de l’assemblée générale du conseil
interprofessionnel du vin de Bordeaux en date du 9 juillet 2024 et relative à la mise en œuvre du volume régulateur
sont approuvées et rendues obligatoires jusqu’au 31 juillet 2025 aux opérateurs revendiquant des vins bénéficiant
d’une appellation d’origine contrôlée mentionnés dans la décision.
Art. 2. – Le lien https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-2c2f3441-b8cb-
4a9f-8528-e51fd0b1bd2e permettra de consulter la décision approuvée par le présent arrêté dès qu’il aura été
publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt. Il peut
également être consulté :
– au ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt, bureau du vin et des autres boissons,
3, rue Barbet-de-Jouy, 75349 Paris SP 07 ;
– au siège conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB), 1, cours du 30-Juillet, 33075 Bordeaux
Cedex.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 117

Le ministre auprès du Premier ministre,


chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le chef de bureau
des contributions indirectes,
J. COUDRAY
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE

Arrêté du 8 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 27 avril 2016 portant organisation de la spécialité
« animateur » du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport
NOR : SPOV2424074A

Le ministre des sports, de la jeunesse et de la vie associative,


Vu le code du sport, notamment ses articles L. 212-1, R. 212-10-5 et D. 212-14 à D. 212-56 ;
Vu l’arrêté du 27 avril 2016 modifié portant organisation de la spécialité « animateur » du brevet professionnel
de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport,
Arrête :
Art. 1 . – A l’article 1er de l’arrêté du 27 avril 2016 susvisé :
er

a) Les premier, deuxième, troisième, quatrième et cinquième alinéas sont remplacés par l’alinéa suivant :
« La spécialité “animateur” du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport
mentionnée à l’article D. 212-21 du code du sport est organisée en mention liée à un champ particulier définie par
arrêté. » ;
b) L’alinéa :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – le cas échéant, les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
c) Au dernier alinéa, après le mot : « dispenses », sont ajoutés les mots : « , les allègements ».
Art. 2. – A l’article 2 du même arrêté, après le mot : « centre », sont ajoutés les mots : « de formation, lorsque
le diplôme est délivré en unités capitalisables et de 900 heures dont 540 heures en centre de formation, lorsque le
diplôme est délivré en blocs de compétences ».
Art. 3. – A l’article 3 du même arrêté, il est ajouté les sept alinéas suivants :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, il confère à son titulaire les compétences suivantes :
« Dans les deux blocs communs quelle que soit la spécialité :
« BC1 : Concevoir et mettre en œuvre des projets d’animation dans le cadre de l’organisation de travail d’une
structure du champ du sport ou de l’animation ;
« BC2 : Valoriser les activités et les projets d’une structure du sport ou de l’animation ;
« Dans les deux blocs de la mention :
« BC3 : Concevoir, conduire, en sécurité et évaluer, des séquences d’animation et des séances d’activités,
culturelles, éducatives ou sociales dans le cadre du projet et de l’organisation de travail de la structure ;
« BC4 : Organiser et encadrer le “vivre ensemble” avec les publics accueillis au sein d’une structure proposant
des activités de loisirs et d’animation socioculturelle. »
Art. 4. – A l’article 4 du même arrêté, il est ajouté les huit alinéas suivants :
« La situation d’évaluation certificative des blocs de compétences communs (BC1 et BC2) est réalisée au moyen
de :
« Pour le BC1 : production d’un document écrit personnel explicitant la conception, la mise en œuvre et la
réalisation d’un projet d’animation s’inscrivant dans celui de la structure d’alternance pédagogique.
« Ce document constitue le support d’un entretien comprenant :
« – une présentation orale par le candidat d’une durée de vingt minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de trente minutes au maximum.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 117

« Pour le BC2 : production d’un ou plusieurs support(s) au choix du candidat, présentant deux séquences de
valorisation d’activité ou de projet qu’il a mis en œuvre au sein de la structure d’alternance pédagogique, auprès de
deux publics différents. Ce ou ces support(s) comprend(nent) notamment les outils de communication utilisés et
constitue(nt) le support de l’entretien comprenant :
« – une présentation orale illustrée par le candidat d’une durée de dix minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de quinze minutes au maximum. »
Art. 5. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 8 novembre 2024.
Pour le ministre et par délégation :
La directrice des sports, Le directeur de la jeunesse,
F. BOURDAIS de l’éducation populaire
et de la vie associative,
T. DE SAINT POL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE

Arrêté du 8 novembre 2024 portant modification du code du sport


(partie arrêtés)
NOR : SPOV2424078A

Le ministre des sports, de la jeunesse et de la vie associative,


Vu le code du sport, notamment ses articles L. 212-1 et D. 212-14 à D. 212-56,

Arrête :
Art. 1 . – L’article A. 212-2 du code du sport est ainsi modifié :
er

a) L’alinéa :
« – les unités capitalisables constitutives du diplôme ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – les unités capitalisables ou les blocs de compétences, constitutifs du diplôme ; »
b) L’alinéa :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – le cas échéant, les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
c) Au dernier alinéa, après le mot : « dispenses », sont ajoutés les mots : « , les allègements ».
Art. 2. – A l’article A. 212-26 du même code, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :
« Le coordinateur de la session de formation et le tuteur du stagiaire ne peuvent être évaluateurs de celui-ci. Seul
l’un des deux évaluateurs peut être un formateur de la session de formation à laquelle le stagiaire est inscrit. »
Art. 3. – A l’article A. 212-27 du même code, les mots : « L’objet, la nature, les modalités et la durée des »,
sont remplacés par le mot : « Les ».
Art. 4. – A l’article A. 212-47 du même code :
a) Les deuxième, troisième, quatrième, cinquième et sixième alinéas sont supprimés ;
b) Après le mot : « dispenses », est ajouté le mot : « , allègements » ;
c) A l’avant-dernier alinéa, les mots : « acquis professionnels liés à la sécurité des pratiquants et des tiers », sont
remplacés par les mots : « compétences professionnelles permettant l’obtention du certificat d’aptitude à
l’encadrement en sécurité de certaines activités physiques ou sportives mentionné à l’article R. 212-1 ».
Art. 5. – A l’article A. 212-47-1 du même code, après le mot : « centre », sont ajoutés les mots : « lorsque le
diplôme est délivré en unités capitalisables et de 900 heures dont 540 heures en centre de formation, lorsque le
diplôme est délivré en blocs de compétences ».
Art. 6. – Après l’article A. 212-47-1 du même code, il est inséré un article A. 212-47-1 bis ainsi rédigé :
« Art. 212-47-1 bis. – Pour l’inscription dans une formation préparant à la spécialité “éducateur sportif” du
brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, le dossier du candidat mentionné à
l’article A. 212-36 est complété par la production de l’un des certificats relatifs au secourisme suivants :
« – a minima, le certificat de compétences de l’unité d’enseignement “prévention et secours civiques de niveau
1” (PSC1) ou équivalent ;
« – le certificat de “sauveteur secouriste du travail” (SST) assorti de la validation de la formation “maintien-
actualisation des compétences obligatoires” (MAC), le cas échéant. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117

Art. 7. – A l’article A. 212-47-2 du même code, sont ajoutés les sept alinéas suivants :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, il confère à son titulaire les compétences suivantes :
« Dans les deux blocs communs quelle que soit la spécialité :
« BC1 : Concevoir et mettre en œuvre des projets d’animation dans le cadre de l’organisation de travail d’une
structure du champ du sport ou de l’animation ;
« BC2 : Valoriser les activités et les projets d’une structure du sport ou de l’animation ;
« Dans le bloc de la mention ou de l’option ;
« BC3 : Concevoir, animer ou conduire en sécurité et évaluer des séances et des cycles de séances dans le champ
de la mention ou de l’option, dans le cadre du projet et de l’organisation de travail de la structure ;
« Le cas échéant, le diplôme comprend un bloc de compétences supplémentaires (BC4) nécessaires de par les
particularités du contexte professionnel. »
Art. 8. – A l’article A. 212-47-3 du même code, sont ajoutés les huit alinéas suivants :
« La situation d’évaluation certificative des blocs de compétences communs (BC1 et BC2) est réalisée au
moyen de :
« Pour le BC1 : production d’un document écrit personnel explicitant la conception, la mise en œuvre et la
réalisation d’un projet d’animation s’inscrivant dans celui de la structure d’alternance pédagogique.
« Ce document constitue le support d’un entretien comprenant :
« – une présentation orale par le candidat d’une durée de vingt minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de trente minutes au maximum.
« Pour le BC2 : production d’un ou plusieurs support(s) au choix du candidat, présentant deux séquences de
valorisation d’activité ou de projet qu’il a mis en œuvre au sein de la structure d’alternance pédagogique, auprès de
deux publics différents. Ce ou ces support(s) comprend(nent) notamment les outils de communication utilisés et
constitue(nt) le support de l’entretien comprenant :
« – une présentation orale illustrée par le candidat d’une durée de dix minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de quinze minutes au maximum. »
Art. 9. – A l’article A. 212-49 du même code :
a) Les cinq premiers alinéas sont remplacés par les alinéas suivants :
« La spécialité “perfectionnement sportif” du diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport
est organisée en mention disciplinaire ou pluridisciplinaire définie par arrêté. Dans le cas d’une mention
pluridisciplinaire, le diplôme peut être délivré au titre d’une option.
« L’arrêté précité précise notamment :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ;
« – les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ;
« – les dispenses, allègements et équivalences avec d’autres certifications.
« – le cas échéant, les conditions de la vérification du maintien des compétences professionnelles permettant
l’obtention du certificat d’aptitude à l’encadrement en sécurité de certaines activités physiques ou
sportives mentionné à l’article R. 212-1. » ;
b) Au sixième alinéa, avant les mots : « Le référentiel professionnel », sont insérés les mots : « Lorsque le
diplôme est délivré en unités capitalisables, » et les mots : « aux articles D. 212-37 et » sont remplacés par les
mots : « à l’article » ;
c) Après le sixième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, les référentiels d’activités, de compétences et
d’évaluation figurent en annexes de l’arrêté de mention. »
Art. 10. – L’article A. 212-50 du même code est abrogé.
Art. 11. – A l’article A. 212-51 du même code :
a) Au sixième alinéa, le mot : « discipline » est remplacé par le mot : « mention » ;
b) L’alinéa :
« UC 4 : Encadrer la discipline sportive définie dans la mention en sécurité. »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« UC 4 : Encadrer la mention ou l’option en sécurité. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117

Art. 12. – L’article A. 212-52-1 du même code est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. A. 212-52-1. – Pour l’inscription dans une formation préparant à la spécialité “perfectionnement sportif”
du diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, le dossier du candidat mentionné à
l’article A. 212-36 est complété par la production de l’un des certificats relatifs au secourisme suivants :
« – a minima, le certificat de compétences de l’unité d’enseignement “prévention et secours civiques de niveau
1” (PSC1) ou équivalent ;
« – le certificat de “sauveteur secouriste du travail” (SST) assorti de la validation de la formation “maintien-
actualisation des compétences obligatoires” (MAC), le cas échéant. »
Art. 13. – A l’article A. 212-53 du même code :
a) Après le mot : « culturelle », sont insérés les mots : « ou de la spécialité “animation socio-éducative, culturelle
et/ou sportive” » ;
b) Les mots : « du 20 novembre 2006 » sont supprimés.
Art. 14. – A l’article A. 212-54 du même code :
a) Les six premiers alinéas sont remplacés par les alinéas suivants :
« La spécialité “performance sportive” du diplôme d’Etat supérieur de la jeunesse, de l’éducation populaire et du
sport est organisée en mention disciplinaire ou pluridisciplinaire définie par arrêté. Dans le cas d’une mention
pluridisciplinaire, le diplôme peut être délivré au titre d’une option.
« L’arrêté précité précise notamment :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ;
« – les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ;
« – les dispenses, allègements et équivalences avec d’autres certifications ;
« – le cas échéant, les conditions de la vérification du maintien des compétences professionnelles permettant
l’obtention du certificat d’aptitude à l’encadrement en sécurité de certaines activités physiques ou
sportives mentionné à l’article R. 212-1. » ;
b) Au septième alinéa :
– avant les mots : « Le référentiel professionnel », sont insérés les mots : « Lorsque le diplôme est délivré en
unités capitalisables, » ;
– les mots : « aux articles D. 212-53 et », sont remplacés par les mots : « à l’article » ;
c) Après le sixième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, les référentiels d’activités, de compétences et
d’évaluation figurent en annexes de l’arrêté de mention. »
Art. 15. – L’article A. 212-55 du même code est abrogé.
Art. 16. – A l’article A. 212-56 du même code :
a) Au sixième alinéa, le mot : « discipline » est remplacé par le mot : « mention » ;
b) L’alinéa :
« UC 4 : Encadrer la discipline sportive définie dans la mention en sécurité. »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« UC 4 : Encadrer la mention ou l’option en sécurité. »
Art. 17. – L’article A. 212-57-1 du même code est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 212-57-1. – Pour l’inscription dans une formation préparant à la spécialité “performance sportive” du
diplôme d’Etat supérieur de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, le dossier du candidat mentionné à
l’article A. 212-36 est complété par la production de l’un des certificats relatifs au secourisme suivants :
« – a minima, le certificat de compétences de l’unité d’enseignement “prévention et secours civiques de niveau
1” (PSC1) ou équivalent ;
« – le certificat de “sauveteur secouriste du travail” (SST) assorti de la validation de la formation “maintien-
actualisation des compétences obligatoires” (MAC), le cas échéant. »
Art. 18. – A l’article A. 212-101-1 du même code :
a) L’alinéa :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – le cas échéant, les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
b) L’alinéa :
« – les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ; »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117

est remplacé par l’alinéa suivant :


« – le cas échéant, les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ; »
c) Après le mot : « dispenses », est inséré le mot : « , allègements ».
Art. 19. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 8 novembre 2024.
Pour le ministre et par délégation :
La directrice des sports, Le directeur de la jeunesse,
F. BOURDAIS de l’éducation populaire
et de la vie associative,
T. DE SAINT POL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE AUPRÈS DU PREMIER MINISTRE, CHARGÉ DU BUDGET


ET DES COMPTES PUBLICS

Arrêté du 15 novembre 2024 fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au
concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure
relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430696A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics, en date du 15 novembre 2024, le nombre de postes offerts, au titre de
l’année 2024, au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure
relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 12.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

TEXTES GÉNÉRAUX

MINISTÈRE AUPRÈS DU PREMIER MINISTRE, CHARGÉ DU BUDGET


ET DES COMPTES PUBLICS

Arrêté du 15 novembre 2024 fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au
concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe
exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430699A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics, en date du 15 novembre 2024, le nombre de postes offerts, au titre de
l’année 2024, au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe exceptionnelle
relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 5.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Décret du 18 novembre 2024 portant nomination


au conseil d’administration du port autonome de Strasbourg
NOR : PTDT2428674D

Par décret en date du 18 novembre 2024, M. Jacques WITKOWSKI, préfet de la région Grand Est, préfet de la
zone de défense et de sécurité Est, préfet du Bas-Rhin, est nommé membre du conseil d’administration du port
autonome de Strasbourg en remplacement de Mme Josiane CHEVALIER.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Arrêté du 8 novembre 2024 portant nomination


au conseil de surveillance de la Société du Canal Seine-Nord Europe
NOR : PTDT2428966A

Par arrêté de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation en date du 8 novembre 2024,
Mme Aurore BIVAS, cheffe du bureau Transports et agriculture à la direction générale du Trésor, est nommée
membre du conseil de surveillance de la Société du Canal Seine-Nord Europe, en qualité de représentant de l’Etat,
en remplacement de Mme Eléonore TRIGANO.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Arrêté du 18 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration de la société


concessionnaire française pour la construction et l’exploitation du tunnel routier sous
le Mont-Blanc
NOR : PTDT2426572A

Par arrêté de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation et du ministre délégué auprès
de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, chargé des transports, en date
du 18 novembre 2024, Mme Séverine FEBVRE, ingénieure en chef des ponts, des eaux et forêts, est nommée
membre du conseil d’administration de la société concessionnaire française pour la construction et l’exploitation du
tunnel routier sous le Mont-Blanc, en qualité de représentant de l’Etat, en remplacement de Mme Christine
DEFFAYET.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Arrêté du 11 novembre 2024 portant nomination au sein de la mission opérationnelle


de sécurité et de défense auprès du ministre de l’intérieur
NOR : INTK2430473A

Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 11 novembre 2024, Mme Cindy CAQUINEAU, commandant
divisionnaire fonctionnel de police, est nommée membre de la mission opérationnelle de sécurité et de défense
auprès du ministre de l’intérieur, en qualité de chargée de mission auprès du conseiller police, rattachée
directement au préfet, directeur du cabinet.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES

Arrêté du 4 novembre 2024 portant nomination


au conseil d’administration de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger
NOR : EAEM2428340A

Par arrêté du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 4 novembre 2024, sont nommés membres
du conseil d’administration de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger en qualité :
1o De représentant d’organismes gestionnaires conventionnés :
Sur proposition de la Fédération d’associations de parents d’élèves de l’enseignement français à l’étranger
(FAPEE) :
M. Bruno Georges DAVID, suppléant, en remplacement de M. Brice BULTOT ;
2o De représentants des fédérations d’associations de parents d’élèves de l’enseignement français à l’étranger :
Sur proposition de la Fédération d’associations de parents d’élèves de l’enseignement français à l’étranger
(FAPEE) :
M. Brice BULTOT, titulaire ;
M. Younes EL HIMDY, suppléant, en remplacement de Mme Catherine BABILLON ;
3o De représentants du personnel en service tant dans les établissements d’enseignement à l’étranger que dans les
services centraux de l’agence, désignés par les organisations syndicales représentatives :
a) Sur proposition du Syndicat national des enseignements de second degré (SNES-FSU) :
M. Patrick SOLDAT, titulaire ;
M. Gauthier ACKERMAN, titulaire ;
b) Sur proposition du Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC (SNUipp-
FSU) :
Mme Isabelle HELENE, suppléante, en remplacement de M. Bruno RIBARD ;
c) Sur proposition de l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA-Education) :
M. Boris FAURE, titulaire, en remplacement de M. Serge FAURE ;
M. Jean DAYET, suppléant, en remplacement de M. Boris FAURE.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DE L’ÉNERGIE, DU CLIMAT


ET DE LA PRÉVENTION DES RISQUES

Arrêté du 8 novembre 2024 portant nomination


au conseil de surveillance du grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire
NOR : TECL2430072A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques en date
du 8 novembre 2024, Mme Anne BEAUVAL, ingénieure générale des mines, est nommée membre du conseil de
surveillance du grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire, en qualité de représentante du ministre chargé de
l’environnement.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DE L’ÉNERGIE, DU CLIMAT


ET DE LA PRÉVENTION DES RISQUES

Arrêté du 12 novembre 2024 portant habilitation


en vue de l’exercice du contrôle des matières nucléaires
NOR : TECK2430065A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques en date
du 12 novembre 2024, M. Louis CANET et M. Louis OLIVIER sont habilités à exercer le contrôle des matières
nucléaires conformément à l’article L. 1333-5 du code de la défense et reçoivent l’appellation d’inspecteur de la
sécurité des matières nucléaires, de leurs installations et de leurs transports.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE, DE L’ÉNERGIE, DU CLIMAT


ET DE LA PRÉVENTION DES RISQUES

Arrêté du 13 novembre 2024 portant nomination à la Commission supérieure nationale


du personnel des industries électriques et gazières
NOR : TECR2430327A

Par arrêté de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques en date
du 13 novembre 2024, sont nommés membres de la Commission supérieure nationale du personnel des industries
électriques et gazières, en qualité de représentants des salariés, en tant que membres suppléants :
M. Franck GEIN, en remplacement de Mme Carine CALVET ;
M. Geoffrey LALIEU, en remplacement de Mme Carole MONTEIL.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L’INDUSTRIE

Arrêté du 12 novembre 2024 portant avancement


au grade d’attaché économique principal au titre de l’année 2024
NOR : ECOT2430055A

Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 12 novembre 2024, les lauréats de
la sélection professionnelle, ouverte au titre de l’année 2024, dont les noms suivent sont promus au grade d’attaché
économique principal :

A compter du 1er janvier 2024


M. GLEIZES Fabien.
Mme MAYAUX-ABIÉ Marina.

A compter du 16 juillet 2024


M. AUGE Maxime.

A compter du 7 octobre 2024


M. BESANÇON Kevin.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application des
dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi
no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430902A

Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 31 octobre 2024, sont autorisées à exercer
en France la profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation », en application des
dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée, les personnes dont les noms
suivent :
M. BERDAGUER FERRARI (Fernando, Daniel), né le 21 janvier 1985 à Montevideo (Uruguay).
M. NAJEM (Samer), né le 30 juillet 1990 à Beyrouth (Liban).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application des
dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique
NOR : MSAN2430906A

Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 31 octobre 2024, est autorisée à exercer en
France la profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation », en application des
dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique, la personne dont le nom suit :
M. NOORDALLY (Sheik, Oaleed), né le 30 décembre 1959 à Port Louis (Ile Maurice).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430933A

Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 14 novembre 2024, l’arrêté
du 23 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la
spécialité « médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée est modifié
comme suit :
Au lieu de : « M. DJOUAB (Seddik), né le 3 mai 1985 à Sidi Bel Abbes (Tunisie) », lire : « M. DJOUAB
(Seddik), né le 3 mai 1985 à Sidi Bel Abbes (Algérie) ».
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430944A

Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 14 novembre 2024, l’arrêté
du 23 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la
spécialité « médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée est modifié
comme suit :
Au lieu de : « Mme VLAVONOU (Mondoukpe Ines Diana), née le 24 septembre 1984 à Bohicon (Bénin) »,
lire : « Mme VLAVONOU (Mondoukpe Ines Diana), née le 24 septembre 1982 à Bohicon (Bénin) ».
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions du B
du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité
sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430908A

Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 15 novembre 2024, sont autorisées à
exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « hématologie », en application des dispositions du B
du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée, les personnes dont les noms suivent :
M. BADIAGA (Youssouf), né le 1er janvier 1981 à Kiban Bbanmba/Koulikoro (Mali).
Mme MIEKOUTIMA (Elsa, Michaelle, Luce), née le 17 mars 1978 à Brazzaville (République démocratique
du Congo).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430910A

Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 15 novembre 2024, est autorisée à exercer
en France la profession de médecin dans la spécialité « hématologie », en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée, la personne dont le nom suit :
Mme GERVAIS (Diane, Claudine), née le 2 janvier 1983 à Port-au-Prince (Haïti).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Arrêté du 10 octobre 2024 portant nomination au comité du contrôle


et des suites de l’Agence nationale de contrôle du logement social (ANCOLS)
NOR : LRUL2426177A

Par arrêté de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date 10 octobre 2024, est nommée membre
du comité du contrôle et des suites de l’Agence nationale de contrôle du logement social :

En tant que personne qualifiée


Mme Virginie BEAUMEUNIER, inspectrice générale des finances, en remplacement de Mme Anne BOLLIET.
Mme Virginie BEAUMEUNIER est nommée présidente du comité du contrôle et des suites en remplacement de
Mme Anne BOLLIET.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DU LOGEMENT ET DE LA RÉNOVATION URBAINE

Arrêté du 12 novembre 2024 portant nomination au conseil d’administration


de l’établissement public chargé de l’aménagement de la ville nouvelle de Sénart
NOR : LRUL2429942A

Par arrêté de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 12 novembre 2024, Mme Marion
VANDEVELDE, adjointe à la sous-directrice de l’aménagement durable, à la direction de l’habitat, de l’urbanisme
et des paysages, est nommée représentante de l’Etat au conseil d’administration de l’établissement public chargé de
l’aménagement de la ville nouvelle de Sénart au titre de l’urbanisme, du logement et des transports, à compter
du 24 novembre 2024.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

Arrêté du 31 juillet 2024 portant promotion de grade


(inspection du travail)
NOR : TEMR2431037A

Par arrêté de la ministre du travail, de la santé et des solidarités en date du 31 juillet 2024, Mme Laure
MEDJANI, directrice adjointe du travail, affectée à la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et
des solidarités de Nouvelle-Aquitaine, est promue au grade de directrice du travail, à compter du 1er octobre 2024.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE AUPRÈS DU PREMIER MINISTRE, CHARGÉ DU BUDGET


ET DES COMPTES PUBLICS

Arrêté du 12 novembre 2024 portant nomination


au conseil de surveillance du grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire
NOR : BCPE2427199A

Par arrêté du ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, en date
du 12 novembre 2024, M. Claude GIRAULT, directeur régional des finances publiques des Pays de la Loire et du
département de la Loire-Atlantique, est nommé en qualité de représentant de l’Etat au conseil de surveillance du
grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire au titre du ministre chargé du budget.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

MESURES NOMINATIVES

MINISTÈRE AUPRÈS DU PREMIER MINISTRE, CHARGÉ DU BUDGET


ET DES COMPTES PUBLICS

Arrêté du 12 novembre 2024 portant nomination


au conseil d’administration de l’établissement public foncier d’Occitanie
NOR : BCPE2428560A

Par arrêté du ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, en date
du 12 novembre 2024, sont nommés membres du conseil d’administration de l’établissement public foncier
d’Occitanie, en qualité de représentants du ministre chargé du budget, en tant que membre titulaire, Mme Carole
VASSAL, administratrice de l’Etat à la direction départementale des finances publiques de l’Hérault, en
remplacement de Mme Anne-Marie AUDUREAU, et, en tant que membre suppléant, M. Lionel COLOMB,
administrateur de l’Etat à la direction départementale des finances publiques de l’Hérault, en remplacement de
M. Patrick REBOUL.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 117

Décrets, arrêtés, circulaires

CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL ET DE L’EMPLOI

Arrêté du 10 octobre 2024 portant extension d’un avenant


à un accord conclu dans le secteur de la transformation laitière (20166)
NOR : TEMT2426363A

La ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt et la ministre du travail et de l’emploi,


Vu le code du travail, notamment son article L. 2261-15 ;
Vu l’accord cadre de méthode du 29 juin 2017 sur la prévention de la pénibilité physique et le bien-être, conclu
dans le secteur de la transformation laitière ;
Vu l’arrêté du 10 décembre 2018 portant extension de l’accord cadre de méthode du 29 juin 2017 sur la
prévention de la pénibilité physique et le bien-être, conclu dans le secteur de la transformation laitière ;
Vu l’avenant no 4 du 26 septembre 2023 à l’accord cadre de méthode du 29 juin 2017 sur la prévention de la
pénibilité physique et le bien-être, conclu dans le secteur de la transformation laitière ;
Vu la demande d’extension présentée par les organisations signataires ;
Vu l’avis publié au Journal officiel de la République française du 24 janvier 2024 (NOR : TSST2401654V) ;
Vu les avis recueillis au cours de l’enquête ;
Vu l’avis motivé de la Commission nationale de la négociation collective, de l’emploi et de la formation
professionnelle (sous-commission des conventions et accords), rendu lors de la séance du 27 juin 2024,
Arrêtent :
Art. 1er. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application de l’accord cadre de méthode du 29 juin 2017 sur la prévention de la pénibilité physique et le bien-
être conclu dans le secteur de la transformation laitière, les stipulations de l’avenant no 4 du 26 septembre 2023
audit accord cadre de méthode.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’avenant susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit avenant.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 10 octobre 2024.
La ministre du travail et de l’emploi,
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
La ministre de l'agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur du travail
et de la protection sociale,
J.-L. LETONTURIER
Nota. – Le texte de l’avenant susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2024/3,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 117

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle


et numérique
Décision no 2024-1027 du 16 octobre 2024 autorisant l’association RCF Corsica à exploiter un
service de radio de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé RCF Corsica
NOR : RCAC2431044S

L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,


Vu le code de la santé publique, notamment son article R. 3323-1 ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses
articles 28, 29 et 29-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du
30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du
30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la
publicité locale et au parrainage local des services de radio diffusés par voie hertzienne terrestre en application des
articles 29, 29-1 et 30-7 de la même loi ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la décision no 2021-820 du 13 juillet 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, modifiée par les décisions
n 2021-1511 du 22 décembre 2021, no 2022-76 du 16 février 2022 et no 2024-311 du 25 avril 2024 de l’Autorité de
o

régulation de la communication audiovisuelle et numérique, relative à un appel aux candidatures pour


l’exploitation de services de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet dans le
ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la décision no 2021-1433 du 15 décembre 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, complétée par la
décision no 2022-230 du 20 avril 2022 de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
déclarant recevables les candidats dans le cadre de l’appel aux candidatures lancé dans le ressort du comité
territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la demande d’autorisation enregistrée sous le numéro 2021-CO-A015 présentée par l’association RCF
Corsica ;
Vu l’avis du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille ;
Vu la convention conclue entre l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique et
l’association RCF Corsica ;
Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1 . – L’association RCF Corsica est autorisée à utiliser les fréquences mentionnées en annexes,
er

conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé RCF Corsica.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 117

II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente


autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association RCF Corsica et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE

ANNEXE I (*)
Nom du service : RCF Corsica.
Zone géographique mise en appel : Ajaccio.
Fréquence : 94,5 MHz.
Adresse du site : lieudit Bocca di Cialone, Coti-Chiavari (2A).
Altitude du site (NGF) : 587 mètres.
Hauteur d’antenne : 24 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 0 90 3 180 13 270 6

10 0 100 4 190 12 280 4

20 0 110 6 200 13 290 3

30 0 120 7 210 13 300 2

40 0 130 9 220 13 310 1

50 1 140 11 230 12 320 1

60 1 150 12 240 11 330 1

70 1 160 13 250 9 340 0

80 2 170 13 260 7 350 0

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE II (*)
Nom du service : RCF Corsica.
Zone géographique mise en appel : Porto-Vecchio.
Fréquence : 97,8 MHz.
Adresse du site : Punta di a Varra, lieudit Ranella, Porto-Vecchio (2A).
Altitude du site (NGF) : 180 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 117

Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :


AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 0 90 14 180 7 270 0

10 0 100 16 190 5 280 0

20 1 110 16 200 3 290 0

30 2 120 16 210 2 300 0

40 3 130 16 220 1 310 0

50 5 140 16 230 0 320 0

60 7 150 14 240 0 330 0

70 9 160 11 250 0 340 0

80 11 170 9 260 0 350 0

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 117

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle


et numérique
Décision no 2024-1030 du 16 octobre 2024 autorisant la SAS Business FM à exploiter un service de
radio de catégorie D par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé BFM
Business
NOR : RCAC2431048S

L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,


Vu le code de la santé publique, notamment son article R. 3323-1 ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses
articles 28, 29 et 29-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la
publicité locale et au parrainage local des services de radio diffusés par voie hertzienne terrestre en application des
articles 29, 29-1 et 30-7 de la même loi ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la décision no 2021-820 du 13 juillet 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, modifiée par les décisions
no 2021-1511 du 22 décembre 2021, no 2022-76 du 16 février 2022 et no 2024-311 du 25 avril 2024 de l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique, relative à un appel aux candidatures pour
l’exploitation de services de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet dans le
ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la décision no 2021-1433 du 15 décembre 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, complétée par la
décision no 2022-230 du 20 avril 2022 de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
déclarant recevables les candidats dans le cadre de l’appel aux candidatures lancé dans le ressort du comité
territorial de l’audiovisuel de Marseille ;
Vu la demande d’autorisation enregistrée sous le numéro 2021-CO-D016 présentée par la SAS Business FM ;
Vu l’avis du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille ;
Vu la convention conclue entre de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique et la
SAS Business FM ;
Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ;
Après en avoir délibéré,

Décide :
Art. 1 . – La SAS Business FM est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe, conformément à la
er

convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé BFM Business.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 117

II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente


autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Business FM et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE

ANNEXE (*)
Nom du service : BFM Business.
Zone géographique mise en appel : Bastia.
Fréquence : 103,4 MHz.
Adresse du site : Pietra Mala, Ville-di-Pietrabugno (2B).
Altitude du site (NGF) : 340 mètres.
Hauteur d’antenne : 38 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 22 90 7 180 0 270 6

10 22 100 5 190 0 280 6

20 20 110 4 200 1 290 7

30 15 120 3 210 1 300 7

40 11 130 2 220 2 310 8

50 9 140 1 230 3 320 10

60 7 150 1 240 4 330 13

70 7 160 0 250 5 340 17

80 7 170 0 260 6 350 20

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 117

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle


et numérique
Décision no 2024-1032 du 16 octobre 2024 autorisant la SAS Bella’Com à exploiter un service de
radio de catégorie C par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie
FM Corse
NOR : RCAC2431050S

L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,


Vu le code de la santé publique, notamment son article R. 3323-1 ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses
articles 28, 29 et 29-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du
30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la
publicité locale et au parrainage local des services de radio diffusés par voie hertzienne terrestre en application des
articles 29, 29-1 et 30-7 de la même loi ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la
loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la décision no 2021-820 du 13 juillet 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel modifiée, par les
décisions no 2021-1511 du 22 décembre 2021, no 2022-76 du 16 février 2022 et no 2024-311 du 25 avril 2024 de
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, relative à un appel aux candidatures pour
l’exploitation de services de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet dans le
ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la décision no 2021-1433 du 15 décembre 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, complétée par la
décision no 2022-230 du 20 avril 2022 de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
déclarant recevables les candidats dans le cadre de l’appel aux candidatures lancé dans le ressort du comité
territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la demande d’autorisation enregistrée sous le numéro 2021-CO-C007 présentée par la SAS Bella’Com ;
Vu l’avis du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille ;
Vu la convention conclue entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel et la SAS Bella’Com ;
Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1 . – La SAS Bella’Com est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe, conformément à la
er

convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie C par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté
trois mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 117

conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’Autorité les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Bella’Com et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE

ANNEXE (*)
Nom du service : Chérie FM Corse.
Zone géographique mise en appel : Cervione-Plaine.
Fréquence : 104,0 MHz.
Adresse du site : Phare d’Alistro, Canale di Verdé, San-Giuliano (2B).
Altitude du site (NGF) : 70 mètres.
Hauteur d’antenne : 12 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 2 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 2 90 7 180 1 270 0

10 3 100 6 190 1 280 0

20 4 110 6 200 1 290 0

30 5 120 6 210 0 300 0

40 5 130 5 220 0 310 0

50 6 140 5 230 0 320 0

60 6 150 4 240 0 330 1

70 6 160 3 250 0 340 1

80 7 170 2 260 0 350 1

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 117

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle


et numérique
Décision no 2024-1036 du 16 octobre 2024 autorisant la SAS Europe 1 Télécompagnie à exploiter
un service de radio de catégorie E par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé Europe 1
NOR : RCAC2431054S

L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,


Vu le code de la santé publique, notamment son article R. 3323-1 ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses
articles 28, 29 et 29-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la
publicité locale et au parrainage local des services de radio diffusés par voie hertzienne terrestre en application des
articles 29, 29-1 et 30-7 de la même loi ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la
loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la décision no 2021-820 du 13 juillet 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, modifiée par les
décisions no 2021-1511 du 22 décembre 2021, no 2022-76 du 16 février 2022 et no 2024-311 du 25 avril 2024 de
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, relative à un appel aux candidatures pour
l’exploitation de services de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet dans le
ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la décision no 2021-1433 du 15 décembre 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, complétée par la
décision no 2022-230 du 20 avril 2022 de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
déclarant recevables les candidats dans le cadre de l’appel aux candidatures lancé dans le ressort du comité
territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la demande d’autorisation enregistrée sous le numéro 2021-CO-E003 présentée par la SAS Europe 1
Télécompagnie ;
Vu l’avis du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille ;
Vu la convention conclue entre l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique et la
SAS Europe 1 Télécompagnie ;
Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ;
Considérant que par décision no 2023-853 du 25 octobre 2023, l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique a agréé le transfert des autorisations délivrées pour l’exploitation d’un service de radio
de catégorie E dénommé Europe 1 à la SAS Europe 1 Télécompagnie ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1er. – La SAS Europe 1 Télécompagnie est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
conformément à la convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie E par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Europe 1.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté
trois mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 117

– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’Autorité les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Europe 1 Télécompagnie et publiée au Journal officiel de
la République française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE

ANNEXE (*)
Nom du service : Europe 1.
Zone géographique mise en appel : Porto-Vecchio.
Fréquence : 99,6 MHz.
Adresse du site : Punta di a Varra, lieudit Ranella, Porto-Vecchio (2A).
Altitude du site (NGF) : 173 mètres.
Hauteur d’antenne : 38 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 1 90 7 180 2 270 0

10 2 100 7 190 1 280 0

20 3 110 6 200 1 290 0

30 4 120 6 210 1 300 0

40 5 130 6 220 0 310 0

50 5 140 5 230 0 320 0

60 6 150 5 240 0 330 0

70 6 160 4 250 0 340 1

80 6 170 3 260 0 350 1

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 117

Autorité de régulation de la communication audiovisuelle


et numérique
Décision no 2024-1039 du 16 octobre 2024 autorisant la SARL Jazz Développement à exploiter un
service de radio de catégorie B par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé Jazz Radio
NOR : RCAC2431060S

L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,


Vu le code de la santé publique, notamment son article R. 3323-1 ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses
articles 28, 29 et 29-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 94-972 du 9 novembre 1994 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et définissant les obligations relatives à l’accès à la
publicité locale et au parrainage local des services de radio diffusés par voie hertzienne terrestre en application des
articles 29, 29-1 et 30-7 de la même loi ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la décision no 2021-820 du 13 juillet 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, modifiée par les décisions
n 2021-1511 du 22 décembre 2021, no 2022-76 du 16 février 2022 et no 2024-311 du 25 avril 2024 de l’Autorité de
o

régulation de la communication audiovisuelle et numérique, relative à un appel aux candidatures pour


l’exploitation de services de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence à temps complet dans le
ressort du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la décision no 2021-1433 du 15 décembre 2021 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, complétée par la
décision no 2022-230 du 20 avril 2022 de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique,
déclarant recevables les candidats dans le cadre de l’appel aux candidatures lancé dans le ressort du comité
territorial de l’audiovisuel de Marseille (collectivité territoriale de Corse) ;
Vu la demande d’autorisation enregistrée sous le numéro 2021-CO-B004 présentée par la SARL Jazz
Développement ;
Vu l’avis du comité territorial de l’audiovisuel de Marseille ;
Vu la convention conclue entre l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique et la
SARL Jazz Développement ;
Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1 . – La SARL Jazz Développement est autorisée à utiliser les fréquences mentionnées en annexe,
er

conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie B par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Jazz Radio.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 117

II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente


autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SARL Jazz Développement et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE

ANNEXE I (*)
Nom du service : Jazz Radio.
Zone géographique mise en appel : Bastia.
Fréquence : 88,7 MHz.
Adresse du site : Pietra Mala, Ville-di-Pietrabugno (2B).
Altitude du site (NGF) : 340 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 6 90 0 180 0 270 5

10 5 100 0 190 0 280 5

20 5 110 0 200 0 290 6

30 4 120 0 210 1 300 6

40 3 130 0 220 1 310 6

50 2 140 0 230 1 320 7

60 1 150 0 240 2 330 7

70 1 160 0 250 3 340 6

80 1 170 0 260 4 350 6

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE II (*)
Nom du service : Jazz Radio.
Zone géographique mise en appel : Calvi.
Fréquence : 97,0 MHz.
Adresse du site : Col de Salvi, lieudit Capigliole, Lavatoggio (2B).
Altitude du site (NGF) : 532 mètres.
Hauteur d’antenne : 33 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 117

Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :


AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 1 90 6 180 4 270 0

10 1 100 6 190 3 280 0

20 1 110 7 200 2 290 0

30 2 120 7 210 1 300 0

40 3 130 6 220 1 310 0

50 4 140 6 230 1 320 0

60 5 150 6 240 0 330 0

70 5 160 5 250 0 340 0

80 6 170 5 260 0 350 0

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.

ANNEXE III (*)


Nom du service : Jazz Radio.
Zone géographique mise en appel : Ghisonaccia.
Fréquence : 88,7 MHz.
Adresse du site : Point Haut, Serra-di-Fiumorbo (2B).
Altitude du site (NGF) : 496 mètres.
Hauteur d’antenne : 15 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 2 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)

0 1 90 0 180 2 270 7

10 1 100 0 190 3 280 6

20 1 110 0 200 4 290 6

30 0 120 0 210 5 300 6

40 0 130 0 220 5 310 5

50 0 140 0 230 6 320 5

60 0 150 1 240 6 330 4

70 0 160 1 250 6 340 3

80 0 170 1 260 7 350 2

(1) Atténuation par rapport à la PAR maximale.

(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117

Commission nationale de l’informatique et des libertés


Décision du 7 novembre 2024 relative à l’organisation des services
de la Commission nationale de l’informatique et des libertés
NOR : CNIL2430946S

La présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés,


Vu la loi no 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés ;
Vu la loi no 2017-55 du 20 janvier 2017 portant statut général des autorités administratives indépendantes et des
autorités publiques indépendantes ;
Vu l’avis du comité social d’administration de la Commission nationale de l’informatique et des libertés en date
du 14 octobre 2024,
Décide :
Art. 1 . – Les services de la Commission nationale de l’informatique et des libertés sont organisés en sept
er

directions et un secrétariat général :


– la direction des relations avec les publics ;
– la direction de l’accompagnement juridique ;
– la direction des technologies, de l’innovation et de l’intelligence artificielle ;
– la direction de l’exercice des droits et des plaintes ;
– la direction des contrôles et des sanctions ;
– la direction des systèmes d’information ;
– la direction administrative et financière.
Les attributions des directions sont fixées par les articles suivants.
Art. 2. – Sous l’autorité du président, le secrétariat général encadre l’ensemble des services et coordonne
l’action de la commission.
A ce titre, notamment, il organise le fonctionnement du collège de la commission ainsi que de sa formation
restreinte. Il assure l’exécution des délibérations et des décisions du président. Il assure l’animation transverse et la
coordination inter-directionnelle des dossiers d’intérêt commun. Il veille à l’unité de la doctrine de l’institution. Il
représente le président de la commission devant les autorités administratives en France et à l’étranger.
Le secrétariat général supervise plus particulièrement l’activité des services et missions qui lui sont directement
rattachés :
– le service des affaires européennes et internationales coordonne et défend les positions de la commission dans
les enceintes européennes et internationales, participe aux travaux européens intéressant la commission et
contribue à renforcer la coopération européenne avec les homologues de la commission ;
– le service de la communication est chargé de concevoir et de mettre en œuvre les actions de communication,
d’information et de promotion de la commission, en interne comme en externe ;
– la mission qualité, performance, risques est chargée, en lien avec les directions, de contribuer à la mise en
œuvre des orientations stratégiques et opérationnelles de la commission et à leur supervision, en veillant au
respect d’un cadre de conformité, de maîtrise des risques, de qualité et d’efficacité du service rendu ;
– le service de la gestion de la connaissance est chargé de la capitalisation et de la gestion du patrimoine
normatif et doctrinal de la commission, à la fois dans les ressources documentaires internes de la commission
et sur le site Légifrance. Il réalise une veille juridique et technique sur la protection des données à caractère
personnel. Il supervise la constitution des archives internes à la commission et leur versement aux archives
nationales ;
– le cabinet du secrétariat général assiste le président et les secrétaires généraux dans leurs interventions et
prises de positions, en étroite relation avec les interlocuteurs institutionnels de la commission au niveau
français et européen. Il assure également un rôle d’expertise juridique sur des dossiers transverses, les
relations avec le Parlement et les principaux acteurs de la vie politique, et la réalisation d’une veille sur les
questions parlementaires et institutionnelles.
Art. 3. – La direction des relations avec les publics est chargée de définir et de mettre en œuvre la politique
d’information et de sensibilisation des différents publics de la commission en ce qui concerne la protection des
données à caractère personnel.
Elle enregistre les courriers et demandes adressés à la commission en vue de leur attribution aux services
compétents. Elle assure le standard téléphonique de la CNIL.
Elle informe les différents publics, particuliers et professionnels, qui sollicitent la commission, dans une
approche multicanale (courrier postal, web, téléphone).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117

Elle définit la stratégie de sensibilisation du grand public aux enjeux de la protection de la vie privée et à
l’exercice des droits en matière de protection des données à caractère personnel.
Elle pilote les actions de promotion d’une culture de la protection des données et de l’éducation citoyenne au
numérique auprès des publics, notamment par des actions dans les territoires. Elle contribue, en particulier, à la
protection des mineurs, notamment en ligne.
Elle développe un réseau de partenariats et des collaborations avec des institutions publiques et d’autres acteurs
privés et associatifs propres à accroitre l’impact de ses actions de sensibilisation.
A cet effet, elle gère notamment le comité Educnum.
Elle comprend :
– le service d’information du public qui répond aux demandes d’information écrites et par téléphone posées par
les publics, particuliers et professionnels. Il travaille en étroite collaboration avec les autres services afin
d’alimenter les réflexions et d’adapter les actions de la commission ;
– le service de sensibilisation du public, qui a pour mission de toucher tous les publics en leur délivrant une
information sur la protection des données, sur la vie privée et le numérique. Il produit des ressources et
contenus adaptés au grand public.
Art. 4. – La direction de l’accompagnement juridique est chargée de proposer et mettre en œuvre la politique
d’accompagnement des organismes publics et privés dans leur démarche de mise en conformité vis-à-vis de la
réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.
Elle élabore, en concertation avec les autres directions, la doctrine de la commission via la production
d’instruments de droit souple (recommandations, référentiels, etc.) et produit des outils d’accompagnement et de
formation ainsi que tout document destiné à aider les professionnels. Elle intervient, avec le service de
l’intelligence artificielle, dans l’encadrement des systèmes d’intelligence artificielle.
Elle développe et anime des partenariats et des réseaux avec des professionnels afin de promouvoir les principes
de protection des données à caractère personnel. Elle pilote la promotion et le déploiement des nouveaux outils de
conformité (AIPD, certification, code de conduite, etc.) prévus par le règlement général à la protection des données
(RGPD).
Elle accompagne de manière individualisée certains professionnels dans leurs projets de mise en conformité.
Dans ce cadre, elle développe des programmes d’accompagnement et anime le réseau des délégués à la protection
des données.
Elle instruit les demandes d’autorisations prévues par la loi « informatique et libertés », et les demandes d’avis
sur des projets ou propositions de lois, ou de textes règlementaires adressés par le gouvernement. Elle participe au
conseil des pouvoirs publics.
Elle prépare, en lien avec les rapporteurs, les projets de délibération ou de communication soumis à l’examen du
collège.
Elle participe à la coopération européenne et représente la commission dans des sous-groupes du Comité
européen de la protection des données (CEPD).
Outre les agents directement rattachés aux directeurs, la direction comprend :
– le service des délégués et de l’accompagnement, qui est en charge des relations avec les délégués à la
protection des données (réponses à leurs sollicitations, conseils juridiques et pratiques sur le métier). Il est
chargé du déploiement et de la supervision des activités innovantes d’accompagnement (bac à sable
notamment) et de formation des professionnels (cours en ligne ouverts à tous, webinaires, journées RGPD en
région, etc.) ;
– le service des outils de la conformité, qui promeut et pilote le déploiement des outils de conformité prévus par
le RGPD, y compris au niveau européen. Il instruit les dossiers de règles contraignantes d’entreprises et
participe à la mise en place des mécanismes de certification, des codes de conduites et évalue les analyses
d’impact (AIPD) soumises à consultation ;
– le service de l’économie numérique et du secteur financier, qui est en charge de la création de la doctrine
juridique au bénéfice des secteurs commerce et marketing, médias et communications électroniques, du
secteur financier (banques et assurances), des acteurs privés qui interviennent dans le secteur des transports et
des fournisseurs de solutions technologiques innovantes pour ces secteurs. Il accompagne et conseille ces
acteurs, plus particulièrement en répondant à leurs demandes de conseil et en organisant des concertations en
vue de l’élaboration de recommandations pratiques. Il fournit un soutien aux différents services de la
Commission sur ces sujets et intervient dans les travaux européens relevant de sa compétence ;
– le service des affaires sociales, des collectivités territoriales, du sport et de l’environnement, qui accompagne
les acteurs publics et privés intervenant dans les secteurs travail, solidarités, sport, habitat, eau, énergie,
transports publics et agriculture. Il accompagne et conseille les collectivités territoriales dont il est
l’interlocuteur privilégié ;
– le service des affaires régaliennes et des libertés publiques, qui conseille les organismes publics et privés
principalement dans les secteurs de la police, de la justice, des finances publiques, de l’éducation nationale et
de la recherche. Il est l’interlocuteur privilégié des ministères concernés et prépare notamment les avis sur des
projets de textes touchant aux libertés publiques ;
– le service de la santé, qui accompagne les organismes publics et privés intervenant dans les secteurs de la
santé et du système de soins, de l’assurance maladie, ainsi que de la recherche médicale. Il instruit, en lien
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117

avec le service de l’expertise technologique, les formalités préalables en matière de traitement de données de
santé et propose des référentiels destinés à encadrer et simplifier ces démarches.
Art. 5. – La direction des technologies, de l’innovation et de l’intelligence artificielle est chargée de mettre à la
disposition de l’ensemble des services de la commission son expertise technologique et informatique et de partager,
en interne et en externe, les enjeux d’innovation et de prospective.
Elle contribue, sous l’angle de l’analyse technique et de sécurité, aux projets de délibérations ou de
communications soumis à l’examen du collège, ainsi qu’aux dossiers le nécessitant soumis par la direction de
l’exercice des droits et des plaintes et la direction des contrôles et des sanctions. Elle concourt à l’élaboration de la
doctrine de la commission en concertation avec les autres directions.
Elle conçoit des outils à destination des responsables de traitement, des usagers et des services de la commission
afin de mieux appréhender les nouvelles technologies.
Elle gère et traite les notifications de violations de données à caractère personnel reçues par la commission.
Elle est chargée d’appréhender le fonctionnement des systèmes d’intelligence artificielle et leurs impacts pour
les personnes et, en collaboration avec la direction de l’accompagnement juridique, de guider le développement de
systèmes respectueux de la vie privée.
Elle réalise une veille et analyse les usages du numérique et les innovations technologiques au regard de leurs
enjeux en termes de vie privée et de libertés individuelles, et réalise des expérimentations et des études.
Elle met en place des collaborations avec les écosystèmes d’innovation du numérique et des partenariats
académiques, notamment afin de développer les capacités d’analyse technique de la commission et de nourrir les
débats de société sur les enjeux éthiques des données. Elle anime un comité de la prospective, composé de
chercheurs et de personnalités qualifiées, destiné à éclairer la commission.
Elle développe des analyses économiques, dans les champs de l’économie de la vie privée, l’économie des
données ou encore de l’économie de la régulation, pour éclairer les décisions de la commission ainsi que
l’évaluation de ses décisions.
Elle comprend :
– le service de l’expertise technologique qui est chargé de fournir à la commission une compréhension des
technologies numériques sous l’angle notamment de leur sécurité informatique (applications mobiles,
informatique en nuage, vérification d’identité à distance, vote électronique, etc.), et de leurs enjeux en matière
de protection de la vie privée. Il est également en charge du traitement des notifications de violation de
données à caractère personnel ;
– le service de l’intelligence artificielle qui est chargé de mettre en œuvre la régulation technique et juridique de
l’intelligence artificielle en lien avec les services sectoriels compétents de la direction de l’accompagnement
juridique, de faciliter au sein de la commission, mais aussi pour les professionnels et les particuliers, la
compréhension du fonctionnement des systèmes d’IA, et de développer les relations avec les acteurs de
l’écosystème ;
– le service laboratoire d’innovation numérique de la CNIL qui explore les différents sujets liés à la protection
des données à caractère personnel (veille, publications, scénarios prospectifs), échange avec les écosystèmes
d’innovation et de la recherche, expérimente et crée des outils à destination du public et de la commission ;
– la mission d’analyse économique qui développe des analyses théoriques et empiriques pour éclairer les
décisions de la commission. Elle contribue à la compréhension des modèles d’affaires et à l’étude de l’impact
économique des choix de régulation. Elle est également chargée de favoriser la coopération avec les autres
régulateurs économiques et financiers ainsi qu’avec les acteurs économiques.
Art. 6. – La direction de l’exercice des droits et des plaintes est chargée de traiter les réclamations et plaintes
introduites par une personne concernée ou par un organisme, une organisation ou une association.
La direction instruit également les signalements émis par les lanceurs d’alerte concernant la protection des
données à caractère personnel, en lien avec la direction des contrôles et des sanctions.
Elle traite les demandes d’exercice indirect des droits portant sur les fichiers soumis à ce régime spécifique, en
lien avec les commissaires, membres de la commission chargés de procéder, pour le compte des personnes, aux
vérifications nécessaires.
Elle répond aux demandes d’avis des autorités judiciaires en lien avec ses missions.
Elle participe à la coopération européenne et représente la commission dans des sous-groupes du Comité
européen de la protection des données.
La direction contribue à la mise en œuvre de la stratégie répressive de la commission en lien étroit avec la
direction des contrôles et des sanctions, propose des dossiers à orienter vers la procédure de sanction simplifiée et
concourt à l’élaboration de la doctrine de la commission en concertation avec les autres directions.
Outre les agents directement rattachés à la direction, elle comprend :
– le service de l’exercice des droits et des plaintes qui assure l’analyse, l’instruction et le suivi de plaintes reçues
par la commission et traite les demandes d’exercice de droits indirect portant sur les fichiers soumis à ce
régime spécifique ;
– le service des plaintes - affaires publiques, sociales et financières, et le service des plaintes - affaires
numériques et commerciales. Ces deux services assurent l’analyse, l’instruction, le suivi de plaintes reçues par
la commission et participent à la coopération européenne.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117

Art. 7. – La direction des contrôles et des sanctions est chargée de définir et de mettre en œuvre les politiques
de contrôles et de sanctions de la commission, en lien étroit avec la direction de l’exercice des droits et des plaintes.
Elle élabore un programme annuel des contrôles à l’intention du président et réalise les contrôles décidés par lui,
en procédant à des investigations sur place, en ligne, sur audition ou sur pièces.
Elle examine les signalements de violations de données et, le cas échéant, intervient auprès des responsables de
traitement concernés pour y mettre fin.
Elle instruit les mesures correctrices et les procédures de sanctions, ordinaires ou simplifiées. Elle prépare les
dossiers de procédures de sanctions soumis à l’examen de la formation restreinte de la commission ou de son
président et en assure le suivi. Elle gère la majeure partie des activités contentieuses de la commission (notamment
en lien avec les recours introduits devant les juridictions).
Elle participe à la coopération européenne avec les homologues des autorités de protection des données et
représente la commission dans des sous-groupes du Comité européen de la protection des données.
La direction contribue à la mise en œuvre de la stratégie répressive de la commission et concourt à l’élaboration
de la doctrine de la commission en concertation avec les autres directions.
Elle comprend :
– le service des contrôles - affaires économiques et le service des contrôles - RH, santé et affaires publiques. Ces
deux services réalisent, dans leurs domaines respectifs, les missions de vérification décidées par le président
afin d’examiner la conformité à la règlementation des traitements de données à caractère personnel mis en
œuvre par tout type d’organisme, et les suites à y apporter. Ils contribuent au programme annuel des contrôles.
Ils participent également à l’instruction des plaintes, à la coopération européenne, à la mise en place de la
politique répressive, et rédigent des mesures correctrices ;
– le service des sanctions et du contentieux 1 et le service des sanctions et du contentieux 2. Ces deux services
rédigent des mises en demeure et des rapports proposant des sanctions à la formation restreinte de la
commission et à son président (procédure de sanction simplifiée). Ils assurent la rédaction des mémoires et
documents devant être produits devant les juridictions dans le cadre du contentieux de la commission. Ils
contribuent également aux actions de communication de l’institution, participent à la coopération européenne
(via notamment l’examen de projets de décisions européens) et répondent aux demandes d’avis des autorités
judiciaires.
Art. 8. – La direction des systèmes d’information est chargée de définir et de mettre en œuvre les conditions
opérationnelles des systèmes d’information de la commission, de leur conception à leur maintenance.
Elle s’assure du bon fonctionnement des téléservices et des sites internet de la commission, ainsi que de leurs
évolutions.
Elle identifie, propose, développe et acquiert des outils utiles à l’accomplissement de leurs missions par les
agents de la commission.
Elle pilote également, en collaboration avec les directions métiers, les projets d’évolution des systèmes
techniques et applicatifs conformément au schéma directeur du système d’information.
En collaboration avec la mission qualité, performance, risques, notamment du responsable de la sécurité des
systèmes d’information, elle assure la sécurité des systèmes d’information de la commission et des données qu’elle
traite, ainsi que leur disponibilité.
Elle assure enfin le support aux utilisateurs.
Elle comprend :
– le service des projets, applications et développements qui développe et maintient un ensemble d’applications
permettant le bon fonctionnement de la commission ;
– le service des infrastructures, de la sécurité et du support qui administre les réseaux et les systèmes de la
commission, assure leur sécurité informatique ainsi que le support aux utilisateurs.
Art. 9. – La direction administrative et financière est chargée de gérer les personnels et les moyens de la
commission.
Elle propose et met en œuvre la politique budgétaire et comptable de la commission, prépare le budget et en
assure l’exécution financière et le suivi. Elle conçoit et conduit la politique d’achat de la commission dans le
respect des règles et procédures de la commande publique. Elle gère les activités des moyens généraux en soutien
des services.
La direction met en œuvre la politique de gestion des ressources humaines. Elle assure la gestion administrative
et budgétaire des emplois en matière de recrutement, rémunération, carrière et formation. Elle met en œuvre la
politique d’accompagnement personnalisé des parcours professionnels.
Elle assure le bon fonctionnement des instances de concertation et de relations sociales. Elle coordonne la
politique sociale et la prévention en faveur des personnels.
Elle comprend :
– le service des ressources humaines qui assure la gestion des emplois, des carrières et de la formation, le bon
fonctionnement des instances de concertation et de relations sociales, l’accompagnement personnalisé des
agents dans leurs projets d’évolution professionnelle et gère également le budget d’emplois. Les crédits de
masse salariale sont gérés en collaboration avec le service des finances ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117

– le service des finances, de la commande publique et des moyens généraux qui met en œuvre le budget de la
commission, assure son suivi, et veille au respect des règles de la commande publique pour l’ensemble des
achats. Il gère également l’ensemble des activités visant au bon fonctionnement des services (déplacements et
missions, courrier, reprographie, gestion des fournitures et du mobilier, relations avec l’exploitant du
bâtiment, organisation logistique des évènements, véhicules).
Art. 10. – L’entrée en vigueur de l’organisation des services de la Commission nationale de l’informatique et
des libertés telle que définie dans la présente décision se fera de manière progressive jusqu’à fin juillet 2025.
Art. 11. – Le secrétaire général est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal
officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 novembre 2024.
M.-L. DENIS
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 117

Naturalisations et réintégrations
Décret du 18 novembre 2024
portant déchéance de la nationalité française
NOR : INTN2425867D

En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et


R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations
entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs
à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés
au Journal officiel de la République française, que dans des
conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une
indexation par des moteurs de recherche.
Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en
"Accès protégé"
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 117

Naturalisations et réintégrations
Décret du 18 novembre 2024
rapportant un décret de naturalisation
NOR : INTN2426858D

En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et


R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations
entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs
à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés
au Journal officiel de la République française, que dans des
conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une
indexation par des moteurs de recherche.
Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en
"Accès protégé"
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 117

Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025

ORDRE DU JOUR

NOR : INPA2431237X

Mercredi 20 novembre 2024


re
A 14 heures. – 1 séance publique :
1. Questions au Gouvernement.
2. Suite de la discussion du projet de loi de finances de fin de gestion pour 2024 (no 538 et no 553).
Rapport de M. Charles de Courson, au nom de la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire.
3. Suite de la discussion de la proposition de loi organique, adoptée par le Sénat après engagement de la
procédure accélérée, portant réforme du financement de l’audiovisuel public (no 482 et no 556).
Rapport de M. Denis Masséglia, au nom de la commission spéciale.
4. Suite de la discussion de la proposition de loi, adoptée par le Sénat après engagement de la procédure
accélérée, visant à sécuriser le mécanisme de purge des nullités (no 465 et no 550).
Rapport de Mme Colette Capdevielle, au nom de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République.
5. Suite de la discussion, après engagement de la procédure accélérée, de la proposition de loi de Mme Anne-
Laure Blin et plusieurs de ses collègues visant à prolonger la dérogation d’usage des titres restaurant pour tout
produit alimentaire (no 532 et no 552).
Rapport de Mme Anne-Laure Blin, au nom de la commission des affaires économiques.
A 21 h 30. – 2e séance publique :
Suite de l’ordre du jour de la première séance.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 117

Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025

CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS

NOR : INPA2431239X

Ordre du jour de l’Assemblée nationale


(Conférence des présidents du mardi 19 novembre 2024)
DATES MATIN APRÈS-MIDI SOIR

Semaine du À 15 heures : À 21 h 30 :
Gouvernement - Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
- Pt loi de finances de fin de gestion pour 2024
NOVEMBRE (538, 553).
MARDI 19 - Pn org. Sénat portant réforme du financement de
l’audiovisuel public (482, 556).
- Pn Sénat sécuriser le mécanisme de purge des
nullités (465, 550).
- Pn prolonger la dérogation d’usage des titres
restaurant pour tout produit alimentaire (532,
552).

À 14 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
MERCREDI 20
À 15 heures :
- Suite odj de la veille.

À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
JEUDI 21
- Suite odj de la veille. - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.

Semaine À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :


de contrôle - Questions orales sans débat. - Questions au Gouvernement. - Débat sur le thème : « Politiques de
- Débat sur le rapport relatif à l’évaluation de la prise en charge de la dépen­
MARDI 26 prise en compte du retrait-gonflement des dance ». (2)
argiles. (1)

NOVEMBRE À 14 heures : À 21 h 30 :
MERCREDI 27 - Questions au Gouvernement. - Débat sur le rapport relatif à
À 15 heures : l’évaluation de l’adaptation des
- Débat sur le rapport relatif à l’évaluation de logements aux transitions démo­
l’accès à l’enseignement supérieur. (3) graphique et environnementale.
- Débat sur le rapport relatif à l’évaluation de la (5)
lutte contre la contrefaçon. (4)

À 9 heures : (6) À 15 heures : À 21 h 30 :


- Pn abrogation de la retraite à 64 ans (438). - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.
- Pn intégrer la notion de consentement
dans la définition pénale des infractions
d’agression sexuelle et de viol (360).
- Pn blocage des prix de l’énergie dans
l’hexagone et les outre-mer (419 rect.).
- Pn instaurer un moratoire sur les projets
routiers et autoroutiers (417).
JEUDI 28 - Pn régulariser les praticiens et pharma­
ciens à diplôme hors Union européenne
(432).
- Pn reconnaître la pénibilité des métiers
« féminisés » (415).
- Pn instaurer une rémunération maximale
dans les entreprises (412).
- Pn refondation du modèle de financement
public des établissements privés sous
contrat afin de garantir la mixité sociale
en leur sein (418).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 117

DATES MATIN APRÈS-MIDI SOIR

Semaine À 16 heures : À 21 h 30 :
de l’Assemblée - Pn améliorer le traitement des maladies affectant - Suite odj de l’après-midi.
les cultures végétales à l’aide d’aéronefs télé­
DÉCEMBRE pilotés (380).
LUNDI 2 - Pn restaurer l’autorité de la justice à l’égard des
mineurs délinquants et de leurs parents (448).
- Pn contre toutes les fraudes aux aides publiques
(447).

À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
- Questions orales sans débat. - Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
- Pn création d’un centre hospitalier universitaire
en Corse (341). (7)
- 2e lect. Pn réduire et encadrer les frais bancaires
sur succession (158).
MARDI 3 - Pn optimiser la protection et l’accompagnement
des parents d’enfants atteints de cancers, de
maladies graves et de handicaps (277).
- Pn remboursement intégral des fauteuils roulants
par l’Assurance maladie (203).
- Pn prévenir les litiges relatifs aux obligations de
décence énergétique et sécuriser leur applica­
tion en copropriété (546).

À 14 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
MERCREDI 4
À 15 heures :
- Suite odj de la veille.

À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
JEUDI 5
- Suite odj de la veille. - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.

Semaine À 16 heures : À 21 h 30 :
du Gouvernement - Pt diverses dispositions d’adaptation au droit de - Suite odj de l’après-midi.
l’UE en matière économique, financière, envi­
DÉCEMBRE ronnementale, énergétique, de transport, de
LUNDI 9 santé et de circulation des personnes (529).

À 15 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
- Déclaration du Gouvernement relative à l’accord
commercial entre l’UE et le Mercosur, suivie
MARDI 10 d’un débat et d’un vote (art. 50-1 de la
Constitution). (8)
- Suite odj de la veille.
- Pn Sénat renforcer la sûreté dans les transports
(134).

À 14 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
À 15 heures :
- Suite Pt diverses dispositions d’adaptation au
MERCREDI 11 droit de l’UE en matière économique, finan­
cière, environnementale, énergétique, de
transport, de santé et de circulation des per­
sonnes.
- Suite Pn Sénat renforcer la sûreté dans les
transports.

DÉCEMBRE À 9 heures : (9) À 15 heures : À 21 h 30 :


JEUDI 12 - Pn mesures d’urgence contre la vie chère - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.
et régulation de la concentration des
acteurs économiques dans les territoires
d’outre-mer (522 rect.).
- Pn Sénat instaurer un nombre minimum
de soignants par patient hospitalisé
(104).
- Pn rendre accessible à tous les étudiants le
repas à 1 euro (519).
- Pn lutte contre les pannes d’ascenseurs
non prises en charge (518).
- Pn mesures d’urgence pour protéger nos
enfants accueillis en crèches privées à
but lucratif (517).
- Pn accélérer la rénovation énergétique des
logements (516).
- Pn former les jeunes aux premiers secours
en santé mentale (521).
- Pn plus de sport et moins de sucre (558).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 87 sur 117

DATES MATIN APRÈS-MIDI SOIR

À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
- Suite Pt diverses dispositions d’adaptation - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.
au droit de l’UE en matière économique,
VENDREDI 13 financière, environnementale, énergé­
tique, de transport, de santé et de
circulation des personnes.
- Suite Pn Sénat renforcer la sûreté dans les
transports.

(1) Rapport du CEC no 1003 (XVI(1) législature).


(2) Inscription à la demande du groupe UDR.
(3) Rapport du CEC no 1406 (XVI(3) législature).
(4) Rapport du CEC no 1846 (XVI(4) législature).
(5) Rapport du CEC no 2706 (XVI(5) législature).
(6) Ordre du jour proposé par le groupe LFI-NFP.
(7) Procédure de législation en commission.
(8) Le vote, d’une durée de 30 minutes, aura lieu dans les salons voisins de la salle des séances.
(9) Ordre du jour proposé par le groupe SOC.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 117

Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025

GROUPES POLITIQUES

NOR : INPA2431238X

MODIFICATIONS À LA COMPOSITION DES GROUPES


GROUPE RASSEMBLEMENT NATIONAL
(121 membres au lieu de 122)
Supprimer le nom de : Mme Christine ENGRAND.

LISTE DES DÉPUTÉS N’APPARTENANT À AUCUN GROUPE


(9 au lieu de 8)
Ajouter le nom de : Mme Christine ENGRAND.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025

COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE

NOR : INPA2431233X

1. Composition
Modification à la composition de la commission des affaires européennes
DÉMISSION

Mme Sophie Taillé-Polian

NOMINATION

Le groupe Écologiste et Social a désigné :

M. Damien Girard

MODIFICATIONS À LA COMPOSITION DES COMMISSIONS

DÉMISSIONS

Mme Farida Amrani

M. Aymeric Caron

M. Alexis Corbière

Mme Fanny Dombre-Coste


Affaires culturelles
M. Emmanuel Grégoire

Mme Sarah Legrain

Mme Delphine Lingemann

Mme Prisca Thevenot

Mme Béatrice Bellay

M. Philippe Brun

M. André Chassaigne

M. Stéphane Delautrette

M. Jean-Luc Fugit
Affaires économiques
Mme Mathilde Hignet

Mme Julie Laernoes

M. Bastien Marchive

M. François Piquemal

M. Matthias Tavel
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

M. Stéphane Vojetta

Affaires étrangères M. Pierre-Yves Cadalen

Mme Ségolène Amiot

M. Karim Benbrahim

Mme Karen Erodi

Mme Marie-Charlotte Garin

M. Guillaume Garot

Mme Zahia Hamdane

Mme Chantal Jourdan

Affaires sociales Mme Élise Leboucher

M. Benjamin Lucas-Lundy

M. Christophe Mongardien

M. Jean-Philippe Nilor

M. Jean-Hugues Ratenon

M. Arnaud Simion

M. Vincent Thiébaut

M. Stéphane Viry

M. Joël Aviragnet

M. Édouard Bénard

M. Manuel Bompard

Mme Alma Dufour

M. Yannick Favennec-Bécot

Défense M. Emmanuel Fernandes

Mme Catherine Hervieu

Mme Emmanuelle Hoffman

M. Abdelkader Lahmar

M. Thierry Sother

Mme Corinne Vignon

M. Gabriel Amard

Mme Lisa Belluco

Mme Yaël Braun-Pivet

M. Anthony Brosse

Mme Danielle Brulebois

Développement durable M. Jean-Victor Castor

M. Pierre Cazeneuve

M. Pierre Marle

Mme Sophie Panonacle

M. Dominique Potier

M. Loïc Prud’homme
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

M. Fabrice Roussel

Mme Christine Arrighi

M. Laurent Baumel

Mme Marie-Noëlle Battistel

M. Karim Ben Cheikh


Finances
M. Sébastien Delogu

M. Daniel Labaronne

M. Aurélien Le Coq

M. Damien Maudet

M. Ugo Bernalicis

Mme Gabrielle Cathala

M. Marc Fesneau

M. Jérémie Iordanoff

Mme Émeline K/Bidi


Lois
Mme Marietta Karamanli

M. Andy Kerbrat

Mme Élisa Martin

Mme Andrée Taurinya

M. Jean Terlier

En application de l’article 38 alinéa 3 du Règlement, Mme Christine Engrand a cessé d’appartenir à la commission du développement durable.

NOMINATIONS

Le groupe Ensemble pour la République a désigné :

Affaires culturelles M. Christophe Mongardien

M. Pierre Cazeneuve
Affaires économiques
Mme Sophie Panonacle

Mme Prisca Thevenot


Affaires sociales
M. Stéphane Vojetta

Mme Yaël Braun-Pivet


Défense
M. Anthony Brosse

Mme Emmanuelle Hoffman

M. Daniel Labaronne

Développement durable M. Bastien Marchive

M. Jean Terlier

Mme Corinne Vignon

Finances M. Jean-Luc Fugit

Lois Mme Danielle Brulebois

Le groupe La France insoumise - Nouveau Front Populaire a désigné :


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

M. Aurélien Le Coq

Affaires culturelles Mme Élisa Martin

Mme Andrée Taurinya

Mme Ségolène Amiot

Affaires économiques Mme Alma Dufour

Mme Zahia Hamdane

Affaires étrangères M. Gabriel Amard

M. Ugo Bernalicis

M. Pierre-Yves Cadalen

Mme Gabrielle Cathala


Affaires sociales
Mme Mathilde Hignet

M. Damien Maudet

M. Matthias Tavel

M. Andy Kerbrat

M. Jean-Philippe Nilor
Défense
M. Loïc Prud’homme

M. Jean-Hugues Ratenon

Mme Karen Erodi


Développement durable
M. Abdelkader Lahmar

Mme Farida Amrani

Finances M. Aymeric Caron

Mme Élise Leboucher

M. Manuel Bompard

M. Sébastien Delogu

Lois M. Emmanuel Fernandes

Mme Sarah Legrain

M. François Piquemal

Le groupe Socialistes et apparentés a désigné :

Mme Marietta Karamanli


Affaires culturelles
M. Thierry Sother

Mme Marie-Noëlle Battistel

Affaires économiques M. Karim Benbrahim

M. Dominique Potier

M. Joël Aviragnet

M. Laurent Baumel
Affaires sociales
Mme Béatrice Bellay

M. Fabrice Roussel

Défense M. Guillaume Garot


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

M. Emmanuel Grégoire

M. Stéphane Delautrette
Développement durable
Mme Chantal Jourdan

M. Philippe Brun
Finances
M. Arnaud Simion

Lois Mme Fanny Dombre-Coste

Le groupe Écologiste et Social a désigné :

Affaires culturelles Mme Catherine Hervieu

Affaires économiques M. Jérémie Iordanoff

M. Karim Ben Cheikh


Affaires sociales
M. Alexis Corbière

Défense M. Benjamin Lucas-Lundy

Développement durable Mme Christine Arrighi

Mme Lisa Belluco


Finances
Mme Julie Laernoes

Lois Mme Marie-Charlotte Garin

Le groupe Les Démocrates a désigné :

Affaires culturelles M. Marc Fesneau

Lois Mme Delphine Lingemann

Le groupe Horizons & Indépendants a désigné :

Affaires sociales M. Pierre Marle

Développement durable M. Vincent Thiébaut

Le groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires a désigné :

Affaires sociales M. Yannick Favennec-Bécot

Défense M. Stéphane Viry

Le groupe Gauche Démocrate et Républicaine a désigné :

Affaires économiques Mme Émeline K/Bidi

Défense M. Jean-Victor Castor

Développement durable M. Édouard Bénard

Lois M. André Chassaigne

Mme Christine Engrand, députée n’appartenant à aucun groupe, devient membre de la commission des affaires étrangères,
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

2. Réunions
Mercredi 20 novembre 2024
Commission des affaires culturelles,
A 9 heures (Salle 6242 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– examen de la proposition de loi visant à la refondation du modèle de financement public des établissements
privés sous contrat afin de garantir la mixité sociale en leur sein (no 418) (M. Paul Vannier, rapporteur) ;
– désignation de rapporteurs sur :
– la proposition de résolution européenne visant à lutter contre les addictions numériques chez les enfants
(no 530) ;
– la proposition de loi visant à rendre accessible à tous les étudiants le repas à 1 euro ( no 519) ;
– la proposition de loi pour plus de sport et moins de sucre (no 558).
Commission des affaires économiques,
A 9 h 30 (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– examen de la proposition de loi visant au blocage des prix de l’énergie dans l’hexagone et les outre-mer
(no 419) (Mme Alma Dufour, rapporteure).
A 14 h 45 (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements restant en discussion sur la proposition
de loi visant à prolonger la dérogation d’usage des titres restaurant pour tout produit alimentaire (no 532)
(Mme Anne-Laure Blin, rapporteur).
A 16 h 30 (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– nomination de rapporteurs en vue de la séance thématique de contrôle du 14 janvier 2025 sur le thème : « Un
an après la crise agricole, quel bilan pour les agriculteurs ? » ;
– audition de Mme Annie Genevard, ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt.
Commission des affaires étrangères,
A 9 heures (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 9, rue de Bourgogne, 2e étage) :
– audition, ouverte à la presse, de S.E. Mme Hala Abou Hassira, Ambassadrice, Cheffe de la mission de
Palestine en France.
A 11 heures (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 9, rue de Bourgogne, 2e étage) :
– audition, ouverte à la presse, de M. Thani Mohamed Soilihi, secrétaire d’Etat chargé de la francophonie et des
partenariats internationaux.
Commission des affaires européennes,
A 16 heures (Salle 4325 – Commission des affaires européennes, 9, rue de Bourgogne, 3e étage) :
– table ronde sur les suites du rapport de M. Mario Draghi relatif aux moyens de renforcer la compétitivité
européenne avec M. Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, Mme Nadine Levratto, directrice de
recherche au CNRS et M. Jean Pisani-Ferry, président de l’Institut de l’économie pour le climat ;
– nomination de rapporteurs d’information.
Commission des affaires sociales,
A 9 h 30 (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– examen de la proposition de loi d’abrogation de la retraite à 64 ans (no 438) (M. Ugo Bernalicis, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à régulariser les praticiens et pharmaciens à diplôme hors Union
européenne (no 432) (M. Damien Maudet, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à reconnaître la pénibilité des métiers « féminisés » (no 415) (Mme
Gabrielle Cathala, rapporteure) ;
– examen de la proposition de loi visant à instaurer une rémunération maximale dans les entreprises (no 412) (M.
Matthias Tavel, rapporteur).
A 15 heures (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1ème étage) :
– examen de la proposition de loi d’abrogation de la retraite à 64 ans (no 438) (M. Ugo Bernalicis, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à régulariser les praticiens et pharmaciens à diplôme hors Union
européenne (no 432) (M. Damien Maudet, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à reconnaître la pénibilité des métiers « féminisés » (no 415) (Mme
Gabrielle Cathala, rapporteure) ;
– examen de la proposition de loi visant à instaurer une rémunération maximale dans les entreprises (no 412) (M.
Matthias Tavel, rapporteur).
Commission de la défense,
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117

A 9 heures (Salle 4123 – 9, rue de Bourgogne, 1er étage) :


– audition, ouverte à la presse, du vice-amiral d’escadre Eric Malbrunot, sous-chef d’état-major « plans » de
l’état-major des Armées sur les enjeux de l’économie de guerre.
A 11 heures (Salle 4123 – 9, rue de Bourgogne, 1er étage) :
– audition commune, ouverte à la presse, de l’ingénieur en chef de l’armement (ICA) Benoit Rademacher,
directeur-adjoint de l’institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (IRSEM), de M. Julien Malizard,
titulaire de la Chaire économie de défense à l’IHEDN, et de M. Léo Péria-Peigné, chercheur au Centre des
études de sécurité de l’Institut français des relations internationales (IFRI), sur les enjeux de l’économie de
guerre.
Commission du développement durable,
A 9 heures (Salle 6238 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition de M. Frédéric Delorme, président de Rail Logistics Europe et de Fret SNCF, sur la situation de Fret
SNCF.
A 11 heures (Salle 6238 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– nomination des membres de la mission d’information sur l’articulation des politiques publiques ayant un
impact sur la lutte contre l’artificialisation des sols ;
– nomination des co-rapporteurs de la mission « flash » sur la conciliation des usages de la nature et la
protection de la biodiversité ;
– examen de la proposition de loi visant à instaurer un moratoire sur les projets routiers et autoroutiers (no 417)
(Mme Stambach-Terrenoir, rapporteure).
Commission des lois,
A 9 h 30 (6e Bureau – Palais Bourbon, 1er étage) :
– examen de la recevabilité de la proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête
concernant l’organisation des élections en France (no 490) (M Emmanuel Duplessy, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à intégrer la notion de consentement dans la définition pénale des
infractions d’agression sexuelle et de viol (no 360) (Mme Sarah Legrain, rapporteure) ;
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements de la proposition de loi, adoptée par le
Sénat, visant à sécuriser le mécanisme de purge des nullités (no 550) (Mme Collette Capdevielle, rapporteure).
Commission d’enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l’enfance,
A 15 heures (Salle 6237 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition, ouverte à la presse, de Mme Michèle Créoff, vice-présidente de l’Union pour l’enfance ;
– audition, ouverte à la presse, de Mme Laurence Rossignol, ancienne ministre des familles, de l’enfance et des
droits des femmes.

Jeudi 21 novembre 2024


Commission d’enquête relative aux violences commises dans les secteurs du cinéma, de l’audiovisuel, du
spectacle vivant, de la mode et de la publicité,
A 9 h 30 (Salle 6237 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– table ronde, ouverte à la presse, réunissant :
– Mme Nora Melhli, vice-présidente Audiovisuel au sein du Syndicat des producteurs indépendants (SPI),
M. Edouard Mauriat, vice-président Long-métrage et Mme Louise Lebecq, déléguée aux affaires sociales ;
– Mme Laëtitia Galitzine, membre du conseil de direction de l’Union des producteurs de cinéma (UPC),
Mme Valérie Lépine-Karnik, déléguée générale et Mme Nadia Mathern, déléguée aux affaires sociales ;
– Mme Hortense de Labriffe, déléguée générale de l’association des producteurs indépendants (API) ;
– audition commune, ouverte à la presse, de :
– Mme Valérie Lépine-Karnik, présidente du comité central d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail
(CCHSCT) de la production cinématographique et publicitaire, M. Didier Carton, délégué à l’hygiène et la
sécurité et M. Jean Loup Chirol (SNTPCT), membre du CCHSCT cinéma ;
– M. Laurent Jullien, président du comité central d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CCHSCT)
de la production audiovisuelle, M. Jimmy Shuman, membre du collège Salarié et Mme Louise Lebecq,
membre du collège Employeur.
A 14 heures (Salle 6237 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– table ronde, ouverte à la presse, réunissant :
– Mme Constance Vilanova, journaliste, auteure de Vivre pour les caméras ;
– Mme Raphaëlle Bacqué, journaliste, auteure d’Une affaire très française ;
– Mme Laure Adler, journaliste ;
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– table ronde, ouverte à la presse, réunissant :


– Mme Ghislaine Pujol, vice-présidente Animation au sein de La Guilde française des scénaristes ;
– Mme Anne Ricaud et Mme Caroline Torelli, membres du syndicat des scénaristes (SDS) ;
– Mme Violette Garcia et Mme Valérie Leroy, scénaristes et élues du conseil d’administration de l’association
Scénaristes de cinéma associés (SCA).

Mardi 26 novembre 2024


Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes,
A 17 heures (Salle 6242 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– audition de M. Didier Migaud, Garde des Sceaux, sur la réponse judiciaire aux violences sexistes et sexuelles.

3. Membres présents ou excusés


Commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire
Réunion du mardi 19 novembre 2024 à 14 h 35
Présents. - M. David Amiel, M. Jean-Pierre Bataille, M. Carlos Martens Bilongo, M. Mickaël Bouloux, M. Éric
Coquerel, M. Charles de Courson, Mme Marie-Christine Dalloz, Mme Mathilde Feld, M. David Guiraud,
M. Daniel Labaronne, Mme Véronique Louwagie, M. Denis Masséglia, Mme Estelle Mercier, M. Jacques Oberti,
Mme Christine Pirès Beaune, M. Charles Sitzenstuhl.
Excusés. - M. Christian Baptiste, M. Karim Ben Cheikh, M. Nicolas Metzdorf, Mme Sophie Pantel, Mme Eva
Sas, M. Emmanuel Tjibaou.
Commission d’enquête relative aux violences commises dans les secteurs du cinéma, de l’audiovisuel, du
spectacle vivant, de la mode et de la publicité
Réunion du lundi 18 novembre 2024 à 14 heures
Présents. - M. Pouria Amirshahi, M. Erwan Balanant, Mme Claire Lejeune, Mme Claire Marais-Beuil,
Mme Sandrine Rousseau.
Commission spéciale chargée d’examiner la proposition de loi organique portant réforme du financement
de l’audiovisuel public
Réunion du mardi 19 novembre 2024 à 14 h 55
Présents. - Mme Pascale Bay, Mme Béatrice Bellay, M. Mickaël Bouloux, Mme Céline Calvez, M. Jean
Laussucq, Mme Constance Le Grip, M. Denis Masséglia, Mme Béatrice Piron, M. Bertrand Sorre, Mme Sophie
Taillé-Polian.
Excusés. - Mme Nadège Abomangoli, M. Gabriel Attal, M. Stéphane Lenormand, Mme Naïma Moutchou,
Mme Estelle Youssouffa.
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Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025

DOCUMENTS ET PUBLICATIONS

NOR : INPA2431240X

Documents parlementaires
Dépôt du mardi 19 novembre 2024
Retrait d’une proposition de loi
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu une lettre par laquelle M. Karl Olive et plusieurs de ses
collègues déclarent retirer leur proposition de loi visant à rendre obligatoire les détecteurs de monoxyde de carbone
dans les logements (no 504), déposée le 29 octobre 2024.
Acte est donné de ce retrait.

Dépôt d’un projet de loi autorisant la ratification d’une convention


Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, transmis par M. le Premier ministre,
un projet de loi, adopté par le Sénat après engagement de la procédure accélérée, autorisant l’approbation de
l’accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République fédérale
d’Allemagne relatif à l’apprentissage transfrontalier.
Ce projet de loi, no 566, est renvoyé à la commission des affaires étrangères, en application de l’article 83 du
règlement.

Dépôt d’un projet de loi


Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, transmis par M. le Premier ministre,
un projet de loi, adopté par le Sénat, autorisant l’approbation de la convention d’extradition entre le Gouvernement
de la République française et le Gouvernement du Royaume du Cambodge.
Ce projet de loi, no 567, est renvoyé à la commission des affaires étrangères, en application de l’article 83 du
règlement.

Dépôt de propositions de loi


Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Estelle Youssouffa, une
proposition de loi de programmation relative au rattrapage, au développement économique, à l’égalité sociale et à
la sécurisation de Mayotte.
Cette proposition de loi, no 568, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Éric Ciotti et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi visant à supprimer le Conseil économique, social et environnemental et les
conseils économiques, sociaux et environnementaux régionaux.
Cette proposition de loi, no 569, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Stéphane Viry, une proposition
de loi visant à pérenniser l’utilisation du ticket restaurant pour des achats de produits alimentaires non directement
consommables.
Cette proposition de loi, no 570, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application de
l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Christophe Blanchet et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi instituant le 8 mai comme journée de célébration de l’histoire et
de l’engagement patriotique.
Cette proposition de loi, no 571, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 117

Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Danielle Brulebois et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi pour un accès plus juste et plus transparent au marché de
l’assurance affinitaire.
Cette proposition de loi, no 572, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Louis Boyard et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à protéger les personnes victimes de violences conjugales dans le
monde du travail.
Cette proposition de loi, no 573, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Olivier Marleix, une
proposition de loi visant à instaurer un délai minimum entre deux congés paternité pour prévenir les abus et
respecter la législation sur la polygamie.
Cette proposition de loi, no 574, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Caroline Yadan et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi visant à lutter contre les formes renouvelées de l’antisémitisme.
Cette proposition de loi, no 575, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Christelle D’Intorni et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à introduire une dose de capitalisation dans le système de
retraite.
Cette proposition de loi, no 576, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Ugo Bernalicis et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme du code pénal.
Cette proposition de loi, no 577, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Hadrien Clouet et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi relative à la baisse du coût de la rentrée scolaire.
Cette proposition de loi, no 578, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Xavier Breton et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à renforcer l’arsenal législatif face à la multiplication d’actions
d’entrave à des activités agricoles, cynégétiques, d’abattage ou de commerce de produits d’origine animale.
Cette proposition de loi, no 579, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Idir Boumertit et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à restreindre la vente de protoxyde d’azote aux seuls professionnels et à
renforcer les actions de prévention sur les consommations détournées.
Cette proposition de loi, no 580, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Maud Petit et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à faire coïncider les délais de prescription du délit de non-dénonciation
et du délit d’omission de porter secours avec les délais de prescription des crimes et agressions sexuelles sur
mineurs.
Cette proposition de loi, no 581, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Thibault Bazin, une proposition
de loi portant mesures d’urgence réformant la politique familiale afin de mieux soutenir les familles qui travaillent
et les familles nombreuses.
Cette proposition de loi, no 582, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Arnaud Le Gall et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi relative à l’amnistie des gilets jaunes et la publication des cahiers d’expression
libre issus du grand débat national de 2020.
Cette proposition de loi, no 583, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Nicole Le Peih, une
proposition de loi relative à l’exercice de la démocratie agricole.
Cette proposition de loi, no 584, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application de
l’article 83 du règlement.
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Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Corentin Le Fur et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à préserver les élevages des nuisances des éoliennes.
Cette proposition de loi, no 585, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Corentin Le Fur et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à indemniser systématiquement les propriétaires de biens immobiliers
impactés par l’implantation d’éoliennes terrestres.
Cette proposition de loi, no 586, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Corentin Le Fur et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à encadrer le développement de l’éolien.
Cette proposition de loi, no 587, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Cyrille Isaac-Sibille et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi portant interdiction de la publicité des boissons alcoolisées par les
influenceurs sur les réseaux sociaux.
Cette proposition de loi, no 588, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Thibault Bazin et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à permettre la distribution et la mise à disposition des médicaments non
utilisés à des fins humanitaires.
Cette proposition de loi, no 589, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Thibault Bazin et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à permettre aux salariées et aux agents publics de bénéficier d’une
autorisation d’absence annuelle pour réaliser une mammographie de dépistage du cancer du sein.
Cette proposition de loi, no 590, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Arnaud Le Gall et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à la mise en œuvre de la bifurcation écologique du transport aérien et
pour le bien-vivre des habitants proches des zones aéroportuaires.
Cette proposition de loi, no 591, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Mathilde Panot et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi visant à garantir la souveraineté sanitaire de la France.
Cette proposition de loi, no 592, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Olivier Marleix et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à réprimer pénalement les pratiques de surenchère d’intéressement dans
les offres de reprise d’entreprises.
Cette proposition de loi, no 593, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Isabelle Santiago et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi relative à l’instauration de normes d’encadrement dans les établissements
d’accueil de la protection de l’enfance.
Cette proposition de loi, no 594, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Emmanuel Mandon, une
proposition de loi visant à permettre et à encadrer la mise en retrait des responsables des exécutifs communaux et
intercommunaux en cas de situation particulière.
Cette proposition de loi, no 595, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Virginie Duby-Muller et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à permettre l’utilisation des droits du compte personnel de
formation des parents au bénéfice de leurs enfants pour financer le permis de conduire.
Cette proposition de loi, no 596, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Jean-François Coulomme et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à abolir la chasse à la marmotte.
Cette proposition de loi, no 597, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Hadrien Clouet et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à protéger les travailleurs de l’exposition aux températures extrêmes.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 117

Cette proposition de loi, no 598, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Christine Loir et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à garantir les remboursements des produits et prestations médicales aux
personnes en situation de handicap.
Cette proposition de loi, no 599, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Nadège Abomangoli et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à créer un corps de fonctionnaires pour les accompagnants
d’élèves en situation de handicap.
Cette proposition de loi, no 600, est renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, en
application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Stéphane Delautrette et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à garantir le droit d’accès du public aux informations
relatives aux enjeux environnementaux et de durabilité.
Cette proposition de loi, no 601, est renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, en
application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Olivier Marleix, une
proposition de loi visant à interdire les grèves dans les transports en commun la veille des vacances scolaires et les
jours fériés.
Cette proposition de loi, no 602, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Benjamin Lucas-Lundy et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi portant suppression du délai de carence.
Cette proposition de loi, no 603, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Émeline K/Bidi et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi pour l’accès des avocats au dossier de la procédure.
Cette proposition de loi, no 604, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Stéphane Viry, une proposition
de loi visant à améliorer la transmission de son patrimoine financier en augmentant l’abattement fiscal des primes
versées en assurance-vie.
Cette proposition de loi, no 605, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Karl Olive et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi visant à rendre obligatoire l’installation des détecteurs de monoxyde de carbone
dans les logements.
Cette proposition de loi, no 606, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application de
l’article 83 du règlement.

Dépôt de propositions de résolution


Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Sarah Legrain et plusieurs de
ses collègues, une proposition de résolution Mettre fin à la victimisation secondaire lors des procédures judiciaires
pour violences sexuelles, déposée en application de l’article 136 du règlement.
Cette proposition de résolution a été déposée sous le no 564.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Élisa Martin et plusieurs de
ses collègues, une proposition de résolution visant à faire respecter le droit à l’autodétermination des Arméniens du
Haut-Karabakh, à condamner leur nettoyage ethnique par l’Azerbaïdjan et à exiger une politique de fermeté vis-à-
vis de l’Azerbaïdjan, déposée en application de l’article 136 du règlement.
Cette proposition de résolution a été déposée sous le no 565.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Aurélien Saintoul, une
proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête pour examiner la nature, les objectifs et
les implications du projet Périclès.
Cette proposition de résolution, no 607, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation
et de l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
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Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025

COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES

NOR : INPS2431226X

Réunions
Mercredi 20 novembre 2024
Commission des Affaires économiques à 9 h30 et 16 h 45 (Salle A263 - 2e étage Ouest)
I. A 9 h 30
1o Examen des rapports pour avis de Amel Gacquerre sur les crédits « Logement » et de Mme Viviane Artigalas
sur les crédits « Politique de la ville » de la mission « Cohésion des territoires » du projet de loi de finances pour
2025 ;
2o Examen du rapport pour avis de M. Patrick Chaize sur les crédits de la mission « Recherche et enseignement
supérieur » du projet de loi de finances pour 2025 ;
3o Examen du rapport de M. Daniel Gremillet et Mme Anne-Catherine Loisier, au nom du groupe de suivi des
lois dites Egalim et vote sur les éventuelles propositions ;
4o Désignation d’un rapporteur sur la proposition de loi no 839 (2022-2023) de M. Daniel Salmon et de plusieurs
de ses collègues en faveur de la préservation et de la reconquête de la haie ;
5o Questions diverses.
II. A 16 h 45
Captation
1o Audition de M. François-Noël Buffet, ministre auprès du Premier ministre, chargé des Outre-mer ;
2o Questions diverses.
Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées à 9 heures (Salle René Monory)
1o Examen du rapport pour avis de M. Roger Karoutchi et Mme Mireille Jouve sur les programmes 844 - 848
(France Médias Monde) et 847 (TV5 Monde) du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public »
du projet de loi de finances pour 2025.
Captation
2o Audition de Mme Anne-Marie Descôtes, Secrétaire générale du ministère de l’Europe et des affaires
étrangères
3o Examen du rapport pour avis de MM. Olivier Cadic et Mickaël Vallet sur le programme 129 – Coordination
du travail gouvernemental (action 2 Coordination de la sécurité et de la défense, SGDSN, Cyberdéfense) - de la
mission « Direction de l’action du Gouvernement » du projet de loi de finances pour 2025 ;
4o Examen du rapport pour avis de Mme Catherine Dumas et M. Didier Marie sur le programme 185 –
Diplomatie culturelle et d’influence – de la mission « Action extérieure de l’État » du projet de loi de finances pour
2025 ;
5o Examen du rapport pour avis de MM. Ronan Le Gleut et Guillaume Gontard sur le programme 151 – Français
à l’étranger et affaires consulaires – de la mission « Action extérieure de l’État » du projet de loi de finances pour
2025.
Commission des Affaires sociales à 9 h 30 (Salle 213, 2e étage aile Est)
1o Suite de l’examen des amendements de séance sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale
(2024-2025, no 124) ;
(rapporteure générale : Mme Élisabeth Doineau, et les rapporteurs de branche)
2o Questions diverses.
Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable à 8 h 30 et 9 h 30 (Salle
Clemenceau)
A 8 h 30
1o Audition de M. Kévin Magron, ambassadeur par intérim chargé des négociations sur le changement
climatique, pour les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques, sur l’avancée des négociations
de la COP29 (en visioconférence)
(Cette audition se déroulera à huis clos. Le compte rendu ne sera pas publié)
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2o Questions diverses
A 9 h 30
1o Examen des éventuels amendements sur la première partie du projet de loi de finances pour 2025
2o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs aux paysages, à l’eau et à la biodiversité et à l’expertise, à
l’information géographique et à la météorologie du projet de loi de finances pour 2025 (M. Guillaume Chevrollier,
rapporteur pour avis)
3o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs aux transports ferroviaires, fluviaux et maritimes du projet
de loi de finances pour 2025 (M. Philippe Tabarot, rapporteur pour avis)
4o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs aux politiques des territoires du projet de loi de finances
pour 2025 (M. Louis-Jean de Nicolaÿ, rapporteur pour avis)
5o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs à l’aménagement numérique du territoire du projet de loi
de finances pour 2025 (M. Sébastien Fagnen, rapporteur pour avis)
6o Désignation, en application de l’article 19 bis du Règlement du Sénat, d’un rapporteur sur la proposition de
nomination par le Président de la République de M. Laurent Hénart aux fonctions de président du conseil
d’administration de l’établissement public de l’État dénommé Voies navigables de France (VNF), en application de
la loi organique no 2010-837 et de la loi no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa
de l’article 13 de la Constitution
7o Désignation d’un rapporteur sur le projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union
européenne en matière économique, financière, environnementale, énergétique, de transport, de santé et de
circulation des personnes (sous réserve de sa transmission par l’Assemblée nationale)
8o Questions diverses
Commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport à 9 heures et 16 h 30 (Salle
A245 - 2e étage Ouest)
A 9 heures
1o Examen du rapport pour avis de Mme Alexandra Borchio Fontimp sur les crédits relatifs à la Recherche du
projet de loi de finances pour 2025
2o Examen du rapport pour avis de M. Jacques Grosperrin sur les crédits relatifs à l’Enseignement scolaire du
projet de loi de finances pour 2025
3o Examen du rapport pour avis de M. Stéphane Piednoir sur les crédits relatifs à l’Enseignement supérieur du
projet de loi de finances pour 2025
4o Questions diverses
A 16 h 30
1o Examen du rapport pour avis de M. Mikaele Kulimoetoke sur les crédits relatifs au Livre et aux industries
culturelles du projet de loi de finances pour 2025
2o Questions diverses
Commission des Finances à 9 heures et à 16 h 30 (Salle de la commission)
1o PLF pour 2025 – Examen du rapport de M. Stéphane Sautarel, rapporteur spécial, et Mme Isabelle Briquet,
rapporteure spéciale, sur la mission « Relations avec les collectivités territoriales » (et articles 61 à 64) et le compte
de concours financiers « Avances aux collectivités territoriales et aux collectivités régies par les articles 73, 74 et
76 de la Constitution »
2o PLF pour 2025 – Examen du rapport de M. Dominique de Legge, rapporteur spécial, sur la mission
« Défense »
3o PLF pour 2025 – Examen du rapport de Mme Nathalie Goulet et M. Rémi Féraud, rapporteurs spéciaux, sur la
mission « Action extérieure de l’État »
4o Contrôle budgétaire – communication de M. Rémi Féraud et Mme Nathalie Goulet, rapporteurs spéciaux, sur
les missions et moyens du centre de crise et de soutien du ministère de l’Europe et des affaires étrangères
5o Désignation d’un rapporteur sur le projet de loi no 706 (2023-2024) autorisant l’approbation de l’avenant à la
convention entre la France et la Suisse du 9 septembre 1966 modifiée, en vue d’éliminer les doubles impositions en
matière d’impôts sur le revenu et sur la fortune et de prévenir la fraude et l’évasion fiscales
6o Questions diverses.
A 16 h 30
(Salle de la commission)
1o PLF pour 2025 – Examen du rapport de M. Grégory Blanc, rapporteur spécial, sur la mission « Pouvoirs
publics »
2o PLF pour 2025 – Examen du rapport de Mme Florence Blatrix Contat, rapporteure spéciale, sur la mission
« Administration générale et territoriale de l’État »
3o PLF pour 2025 – Examen du rapport de Mme Frédérique Espagnac, rapporteure spéciale, et M. Thierry Cozic,
rapporteur spécial, sur la mission « Économie » et le compte de concours financiers « Prêts et avances à des
particuliers ou à des organismes privés »
4o Questions diverses.
Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale à 9 heures et 16 h 30
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 117

A. A 9 heures
(Salle A216 – 2e étage aile Est)
1o Désignation d’un rapporteur, en remplacement de M. François Bonhomme, sur la proposition de loi no 29
(2024-2025) tendant à supprimer certaines structures, comités, conseils et commissions « Théodule » dont l’utilité
ne semble pas avérée, présentée par Mme Nathalie Goulet ;
2o Echange de vues sur une éventuelle saisine pour avis et désignation d’un rapporteur pour avis sur le projet de
loi no 529 (A.N., XVIIe lég.) portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière
économique, financière, environnementale, énergétique, de transport, de santé et de circulation des personnes
(procédure accélérée) (sous réserve de sa transmission) ;
3o Examen de l’avis de M. Henri Leroy sur le projet de loi de finances pour 2025 (mission « Sécurités ») ;
4o Examen de l’avis de M. Louis Vogel sur le projet de loi de finances pour 2025 (programme « Administration
pénitentiaire » de la mission « Justice ») ;
5o Examen de l’avis de M. Éric Kerrouche sur le projet de loi de finances pour 2025 (mission « Pouvoirs
publics ») ;
6o Examen de l’avis de M. Teva Rohfritsch sur le projet de loi de finances pour 2025 (mission « Outre-mer ») ;
7o Questions diverses.
B. A 16 h 30
(Salle Médicis)
Captation
1o Audition de M. Louis Laugier, directeur général de la police nationale ;
2o Questions diverses.

Convocations
Commission des Affaires sociales
CONVOCATION RECTIFIÉE
Mercredi 20 novembre 2024
De 13 h 30 à 15 heures (Salle A213 - 2e étage Est)
1o Suite de l’examen des amendements de séance sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale
(2024-2025, no 124) ; (rapporteure générale : Mme Élisabeth Doineau, et les rapporteurs de branche)
2o Questions diverses.
Cmmission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport
CONVOCATION RECTIFIÉE
Mercredi 20 novembre 2024
A 9 heures
(Salle A245 - 2e étage Ouest)
1o Désignation d’un rapporteur sur la proposition de loi no 78 (2024-2025) visant à promouvoir la conservation
du patrimoine rural
2o Examen du rapport pour avis de Mme Alexandra Borchio Fontimp sur les crédits relatifs à la Recherche du
projet de loi de finances pour 2025
3o Examen du rapport pour avis de M. Jacques Grosperrin sur les crédits relatifs à l’Enseignement scolaire du
projet de loi de finances pour 2025
4o Examen du rapport pour avis de M. Stéphane Piednoir sur les crédits relatifs à l’Enseignement supérieur du
projet de loi de finances pour 2025
5o Questions diverses

Délais limites de dépôt des amendements en commission


Commission des affaires économiques
Proposition de loi visant à libérer la production agricole des entraves normatives
Vendredi 29 novembre 2024 12 heures
Commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport
Proposition de loi visant à promouvoir la conservation du patrimoine rural
Lundi 9 décembre 2024 12 heures
Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du règlement et
d’administration générale
Proposition de loi tendant à supprimer certaines structures, comités, conseils et commissions « Théodule » dont
l’utilité ne semble pas avérée
Lundi 9 décembre 2024 12 heures
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 117

Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025

DOCUMENTS DÉPOSÉS

NOR : INPS2431227X

Documents parlementaires
Rectificatifs aux documents enregistrés à la Présidence du Sénat
le lundi 7 octobre 2024
Dépôt de propositions de loi et de résolution
o
N 10 rect. (2024-2025) Proposition de loi présentée par Mme Nadine BELLUROT, M. Éric KERROUCHE,
Mme Sonia de LA PROVÔTÉ, MM. Didier RAMBAUD, Bernard DELCROS, Patrick KANNER, Hervé
MARSEILLE, François PATRIAT, Rémy POINTEREAU, Mme Catherine BELRHITI, MM. Bernard
BUIS, Laurent BURGOA, Thierry COZIC, Mme Catherine DI FOLCO, M. Jérôme DURAIN,
Mme Corinne FÉRET, MM. Hervé GILLÉ, Patrice JOLY, Jean-Jacques LOZACH, Franck MONTAUGÉ,
Mmes Guylène PANTEL, Anne-Sophie PATRU, Patricia SCHILLINGER, M. Lucien STANZIONE,
Mme Jocelyne ANTOINE, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes Viviane ARTIGALAS, Audrey BÉLIM,
Marie-Jeanne BELLAMY, Martine BERTHET, Annick BILLON, Florence BLATRIX CONTAT, M. Yves
BLEUNVEN, Mme Nicole BONNEFOY, MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI, Mmes Isabelle
BRIQUET, Colombe BROSSEL, MM. Frédéric BUVAL, Guislain CAMBIER, Mme Marion CANALÈS,
MM. Michel CANÉVET, Rémi CARDON, Mme Marie-Arlette CARLOTTI, MM. Christophe CHAIL­
LOU, Yan CHANTREL, Mmes Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-MOURET, Karine DANIEL,
M. Jérôme DARRAS, Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, M. Gilbert-Luc DEVINAZ, Mme Élisabeth
DOINEAU, M. Alain DUFFOURG, Mmes Françoise DUMONT, Nicole DURANTON, M. Vincent ÉBLÉ,
Mme Frédérique ESPAGNAC, MM. Sébastien FAGNEN, Rémi FÉRAUD, Bernard FIALAIRE, Jean-Luc
FICHET, Stéphane FOUASSIN, Mmes Amel GACQUERRE, Laurence HARRIBEY, Nadège HAVET,
MM. Olivier HENNO, Loïc HERVÉ, Mme Annick JACQUEMET, MM. Olivier JACQUIN, Éric
JEANSANNETAS, Bernard JOMIER, Mme Gisèle JOURDA, MM. Claude KERN, Michel LAUGIER,
Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin LÉVRIER, Mmes Audrey LINKEN­
HELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE, Mme Marie MERCIER, MM. Serge
MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU, Marie-Pierre MONIER, Laurence
MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN, MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre
OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR,
Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY,
Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain ROIRON, David ROS, Mmes Laurence
ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël
VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le
mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir la vitalité démocratique, la cohésion municipale
et la parité, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du
Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission
spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.
No 11 rect. (2024-2025) Proposition de loi organique présentée par Mme Nadine BELLUROT, M. Éric
KERROUCHE, Mme Sonia de LA PROVÔTÉ, MM. Didier RAMBAUD, Bernard DELCROS, Patrick
KANNER, Hervé MARSEILLE, François PATRIAT, Rémy POINTEREAU, Mme Catherine BELRHITI,
MM. Bernard BUIS, Laurent BURGOA, Thierry COZIC, Mme Catherine DI FOLCO, M. Jérôme
DURAIN, Mme Corinne FÉRET, MM. Hervé GILLÉ, Patrice JOLY, Jean-Jacques LOZACH, Franck
MONTAUGÉ, Mmes Guylène PANTEL, Anne-Sophie PATRU, Patricia SCHILLINGER, M. Lucien
STANZIONE, Mme Jocelyne ANTOINE, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes Viviane ARTIGALAS,
Audrey BÉLIM, Marie-Jeanne BELLAMY, Martine BERTHET, Annick BILLON, Florence BLATRIX
CONTAT, M. Yves BLEUNVEN, Mme Nicole BONNEFOY, MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI,
Mmes Isabelle BRIQUET, Colombe BROSSEL, MM. Frédéric BUVAL, Guislain CAMBIER,
Mme Marion CANALÈS, MM. Michel CANÉVET, Rémi CARDON, Mme Marie-Arlette CARLOTTI,
MM. Christophe CHAILLOU, Yan CHANTREL, Mmes Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-
MOURET, Karine DANIEL, M. Jérôme DARRAS, Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, M. Gilbert-Luc
DEVINAZ, Mme Élisabeth DOINEAU, M. Alain DUFFOURG, Mmes Françoise DUMONT, Nicole
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 117

DURANTON, M. Vincent ÉBLÉ, Mme Frédérique ESPAGNAC, MM. Sébastien FAGNEN, Rémi
FÉRAUD, Bernard FIALAIRE, Jean-Luc FICHET, Stéphane FOUASSIN, Mmes Amel GACQUERRE,
Laurence HARRIBEY, Nadège HAVET, MM. Olivier HENNO, Loïc HERVÉ, Mme Annick JACQUE­
MET, MM. Olivier JACQUIN, Éric JEANSANNETAS, Bernard JOMIER, Mme Gisèle JOURDA,
MM. Claude KERN, Michel LAUGIER, Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin
LÉVRIER, Mmes Audrey LINKENHELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE,
Mme Marie MERCIER, MM. Serge MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU,
Marie-Pierre MONIER, Laurence MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN,
MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-
HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR, Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude
RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY, Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain
ROIRON, David ROS, Mmes Laurence ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-
Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël
WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir
la vitalité démocratique, la cohésion municipale et la parité, envoyée à la commission des lois
constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous
réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.

Documents enregistrés à la Présidence du Sénat


le lundi 18 novembre 2024
Dépôt de propositions de loi et de résolution
No 151 (2024-2025) Proposition de résolution européenne présentée par M. Cyril PELLEVAT, en application de
l’article 73 quinquies du Règlement, visant à réformer la perception des cotisations des travailleurs
frontaliers pour les prestations chômage, envoyée à la commission des affaires européennes.
No 152 (2024-2025) Proposition de loi présentée par Mmes Laurence ROSSIGNOL, Hélène CONWAY-
MOURET, Émilienne POUMIROL, Viviane ARTIGALAS, Monique LUBIN, Annie LE HOUEROU,
Colombe BROSSEL, MM. Sébastien FAGNEN, Michaël WEBER, Christian REDON-SARRAZY,
Mme Sylvie ROBERT, M. Yan CHANTREL, Mme Corinne NARASSIGUIN, MM. David ROS, Mickaël
VALLET, Mme Audrey BÉLIM, M. Patrice JOLY, Mme Marie-Pierre MONIER, MM. Rémi FÉRAUD,
Olivier JACQUIN, Éric KERROUCHE, Jean-Claude TISSOT, Mme Marie-Arlette CARLOTTI,
MM. Christophe CHAILLOU, Hervé GILLÉ, Jérôme DARRAS, Mme Marion CANALÈS, MM. Adel
ZIANE et Gilbert-Luc DEVINAZ, visant à interdire l’apologie des violences sur les enfants, envoyée à la
commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les
conditions prévues par le Règlement.

Documents enregistrés à la Présidence du Sénat


le mardi 19 novembre 2024
Dépôt de rapports d’information
o
N 153 (2024-2025) Rapport d’information fait par M. Jean-François HUSSON au nom de la commission des
finances par la mission d’information sur la dégradation des finances publiques depuis 2023, son suivi par
l’administration et le Gouvernement et les modalités d’information du Parlement sur la situation
économique, budgétaire et financière de la France.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 117

Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025

DOCUMENTS PUBLIÉS

NOR : INPS2431228X

Documents publiés sur le site internet du Sénat


le mardi 19 novembre 2024
No 10 rect. (2024-2025) Proposition de loi présentée par Mme Nadine BELLUROT, M. Éric KERROUCHE,
Mme Sonia de LA PROVÔTÉ, MM. Didier RAMBAUD, Bernard DELCROS, Patrick KANNER, Hervé
MARSEILLE, François PATRIAT, Rémy POINTEREAU, Mme Catherine BELRHITI, MM. Bernard
BUIS, Laurent BURGOA, Thierry COZIC, Mme Catherine DI FOLCO, M. Jérôme DURAIN,
Mme Corinne FÉRET, MM. Hervé GILLÉ, Patrice JOLY, Jean-Jacques LOZACH, Franck MONTAUGÉ,
Mmes Guylène PANTEL, Anne-Sophie PATRU, Patricia SCHILLINGER, M. Lucien STANZIONE,
Mme Jocelyne ANTOINE, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes Viviane ARTIGALAS, Audrey BÉLIM,
Marie-Jeanne BELLAMY, Martine BERTHET, Annick BILLON, Florence BLATRIX CONTAT, M. Yves
BLEUNVEN, Mme Nicole BONNEFOY, MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI, Mmes Isabelle
BRIQUET, Colombe BROSSEL, MM. Frédéric BUVAL, Guislain CAMBIER, Mme Marion CANALÈS,
MM. Michel CANÉVET, Rémi CARDON, Mme Marie-Arlette CARLOTTI, MM. Christophe CHAIL­
LOU, Yan CHANTREL, Mmes Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-MOURET, Karine DANIEL,
M. Jérôme DARRAS, Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, M. Gilbert-Luc DEVINAZ, Mme Élisabeth
DOINEAU, M. Alain DUFFOURG, Mmes Françoise DUMONT, Nicole DURANTON, M. Vincent ÉBLÉ,
Mme Frédérique ESPAGNAC, MM. Sébastien FAGNEN, Rémi FÉRAUD, Bernard FIALAIRE, Jean-Luc
FICHET, Stéphane FOUASSIN, Mmes Amel GACQUERRE, Laurence HARRIBEY, Nadège HAVET,
MM. Olivier HENNO, Loïc HERVÉ, Mme Annick JACQUEMET, MM. Olivier JACQUIN, Éric
JEANSANNETAS, Bernard JOMIER, Mme Gisèle JOURDA, MM. Claude KERN, Michel LAUGIER,
Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin LÉVRIER, Mmes Audrey LINKEN­
HELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE, Mme Marie MERCIER, MM. Serge
MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU, Marie-Pierre MONIER, Laurence
MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN, MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre
OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR,
Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY,
Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain ROIRON, David ROS, Mmes Laurence
ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël
VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le
mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir la vitalité démocratique, la cohésion municipale
et la parité, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du
Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission
spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.
o
N 11 rect. (2024-2025) Proposition de loi organique présentée par Mme Nadine BELLUROT, M. Éric
KERROUCHE, Mme Sonia de LA PROVÔTÉ, MM. Didier RAMBAUD, Bernard DELCROS, Patrick
KANNER, Hervé MARSEILLE, François PATRIAT, Rémy POINTEREAU, Mme Catherine BELRHITI,
MM. Bernard BUIS, Laurent BURGOA, Thierry COZIC, Mme Catherine DI FOLCO, M. Jérôme
DURAIN, Mme Corinne FÉRET, MM. Hervé GILLÉ, Patrice JOLY, Jean-Jacques LOZACH, Franck
MONTAUGÉ, Mmes Guylène PANTEL, Anne-Sophie PATRU, Patricia SCHILLINGER, M. Lucien
STANZIONE, Mme Jocelyne ANTOINE, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes Viviane ARTIGALAS,
Audrey BÉLIM, Marie-Jeanne BELLAMY, Martine BERTHET, Annick BILLON, Florence BLATRIX
CONTAT, M. Yves BLEUNVEN, Mme Nicole BONNEFOY, MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI,
Mmes Isabelle BRIQUET, Colombe BROSSEL, MM. Frédéric BUVAL, Guislain CAMBIER,
Mme Marion CANALÈS, MM. Michel CANÉVET, Rémi CARDON, Mme Marie-Arlette CARLOTTI,
MM. Christophe CHAILLOU, Yan CHANTREL, Mmes Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-
MOURET, Karine DANIEL, M. Jérôme DARRAS, Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, M. Gilbert-Luc
DEVINAZ, Mme Élisabeth DOINEAU, M. Alain DUFFOURG, Mmes Françoise DUMONT, Nicole
DURANTON, M. Vincent ÉBLÉ, Mme Frédérique ESPAGNAC, MM. Sébastien FAGNEN, Rémi
FÉRAUD, Bernard FIALAIRE, Jean-Luc FICHET, Stéphane FOUASSIN, Mmes Amel GACQUERRE,
Laurence HARRIBEY, Nadège HAVET, MM. Olivier HENNO, Loïc HERVÉ, Mme Annick JACQUE­
MET, MM. Olivier JACQUIN, Éric JEANSANNETAS, Bernard JOMIER, Mme Gisèle JOURDA,
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 93 sur 117

MM. Claude KERN, Michel LAUGIER, Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin
LÉVRIER, Mmes Audrey LINKENHELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE,
Mme Marie MERCIER, MM. Serge MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU,
Marie-Pierre MONIER, Laurence MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN,
MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-
HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR, Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude
RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY, Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain
ROIRON, David ROS, Mmes Laurence ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-
Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël
WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir
la vitalité démocratique, la cohésion municipale et la parité, envoyée à la commission des lois
constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous
réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 117

Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025

RÉSOLUTIONS

NOR : INPS2431229X

PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE


CONSIDÉRÉE COMME ADOPTÉE PAR UNE COMMISSION AU FOND
(Application de l’article 73 quinquies, alinéas 2 et 3, du Règlement)
Conformément à l’article 73 quinquies, alinéa 2, du Règlement, la proposition de résolution européenne
no 53 (2024-2025), présentée par Mme Karine DANIEL et M. Ronan LE GLEUT, au nom de la commission des
affaires européennes, en application de l’article 73 quater du Règlement, encourageant à développer l’initiative
« universités européennes », a été considérée comme adoptée par la commission de la culture, de l’éducation, de la
communication et du sport le lundi 18 novembre 2024.
Cette adoption constitue, conformément à l’article 73 quinquies, alinéa 3, du Règlement, le point de départ du
délai de trois jours francs pendant lequel il peut être demandé que cette proposition de résolution européenne soit
examinée par le Sénat en séance publique.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

PREMIER MINISTRE

Avis de vacance
d’un emploi de sous-directeur
NOR : PRMG2430704V

Un emploi de sous-directeur est susceptible d’être vacant à la direction générale de l’offre de soins (DGOS) au
sein de l’administration centrale du ministère de la santé et de l’accès aux soins.
Le titulaire aura la charge de la sous-direction des ressources humaines du système de santé.

Date de la vacance d’emploi


2 janvier 2025.

Localisation géographique
14, avenue Duquesne, 75007 Paris.

Structure et fonctions
La direction générale de l’offre de soins (DGOS) élabore et assure la mise en œuvre des politiques publiques à
même de répondre aux défis auxquels fait face notre système de santé, à savoir satisfaire les besoins de soins
grandissants de la population tout en assurant la pérennité d’un financement solidaire, mais aussi mettre en œuvre
les grandes orientations de la stratégie nationale de santé et de la stratégie de transformation de notre système de
santé portées par le gouvernement. La DGOS compte environ 280 agents.
Pour l’exercice de ses attributions, la DGOS s’est structurée en cinq sous-directions et un pôle placés sous
l’autorité de la directrice générale et de deux chefs de service, adjoints à la directrice générale :
– la sous-direction de l’accès aux soins et du premier recours ;
– la sous-direction de la prise en charge hospitalière et des parcours ville-hôpital ;
– la sous-direction du financement et de la performance ;
– la sous-direction des ressources humaines du système de santé ;
– la sous-direction de l’appui au pilotage et des ressources ;
– le pôle recherche et accès à l’innovation.
Au sein de la DGOS, la sous-direction des ressources humaines du système de santé a pour principales missions
la régulation des professions de santé – au travers de la définition de leurs activités, de leurs compétences, de leur
formation ou encore de leur obligations déontologiques – ainsi que le pilotage des ressources humaines, notamment
hospitalières, afin de répondre aux enjeux de la démographie des professions de santé, de la qualité et de la sécurité
des soins et de l’efficience du système de santé.
La sous-direction des ressources humaines du système de santé compte cinq bureaux :
– le bureau démographie et formations initiales (RH1) : ce bureau définit et met en œuvre les politiques relatives
à la démographie et aux formations des professions de santé et à usage de titres. Il détermine les besoins en
formation, anime les travaux d’ingénierie de formation conformément à l’activité et à l’exercice professionnel
attendus et conjointement avec les parties prenantes. Il conçoit, adapte et déploie les référentiels des
formations et les dispositifs réglementaires associés permettant l’accès à la profession de santé et le maintien
et le développement en compétence. Ces activités sont menées en lien étroit avec le ministère de
l’enseignement supérieur et de la recherche, notamment dans le cadre de l’universitarisation, le ministère de
l’éducation nationale et de la jeunesse, les services déconcentrés et les représentants des étudiants et des
professionnels ;
– le bureau exercice et déontologie des professionnels de santé (RH2) : ce bureau est chargé de la conception et
du pilotage de la politique relative aux conditions d’exercice des professions de santé et des usages de titres,
notamment en prenant en compte les évolutions des métiers, le développement des coopérations entre
professionnels de santé et l’organisation de l’offre de soins. Il accompagne les services déconcentrés et les
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117

ARS dans la mise en œuvre de ces politiques publiques. Il expertise et valide les règles déontologiques qui
leur sont applicables et garantit le bon fonctionnement des instances ordinales. Il effectue ses missions dans un
dialogue étroit avec les professionnels de santé (sociétés savantes, ordres professionnels, organisations
syndicales). Il s’assure du respect du droit européen et international en matière de circulation des professions
de santé diplômés ;
– le bureau dialogue social, politiques sociales et qualité de vie au travail (RH3) : ce bureau pilote le dialogue
social au niveau national avec les organisations qui représentent les personnels et employeurs des
établissements publics de santé et médico-sociaux. Il élabore et veille à l’application de la réglementation en
matière de droit syndical, droit de grève et d’instances nationales et locales. Il est en outre chargé de la mise en
œuvre de l’ensemble de la réglementation qui concernent les politiques sociales à destination des personnels
des établissements publics de santé et médico-sociaux (retraite, usure professionnelle, action sociale,
protection sociale complémentaire, congés pour raisons de santé et maternité). Il participe à l’élaboration et au
suivi des politiques nationales en faveur de l’égalité professionnelle et de la lutte contre les discriminations
professionnelles et de l’inclusion par le travail. Il élabore et assure le suivi des politiques relatives à la qualité
de vie au travail et aux conditions de travail des personnels des établissements publics de santé et médico-
sociaux, en lien étroit avec le ministère de l’enseignement supérieur s’agissant des étudiants en santé ;
– le bureau des personnels non médicaux des établissements de santé (RH4) : ce bureau vise à renforcer
l’attractivité du secteur hospitalier pour les professionnels, à fidéliser les agents et favoriser leur évolution
professionnelle à travers la réglementation des rémunérations, des carrières et des dispositifs de formation
continue des personnels non médicaux et de maïeutique : sages-femmes et professionnels paramédicaux,
administratifs et techniques relevant de la fonction publique hospitalière. Il est notamment compétent en
matière d’organisation du temps de travail, des statuts particuliers, des primes et rémunérations des personnels
hospitaliers publics, ainsi que de l’application à la fonction publique hospitalière du statut général en lien avec
la DGAFP. Il assure l’interface avec les fédérations des établissements de santé privés, pour le financement
des mesures de transposition dans ce secteur des réformes déployées à l’égard des personnels hospitaliers ;
– le bureau des personnels médicaux des établissements de santé (RH5) : ce bureau vise à renforcer l’attractivité
du secteur hospitalier pour les professionnels, à fidéliser les agents et favoriser leur évolution professionnelle à
travers la réglementation des rémunérations, et des carrières. Il assure le dialogue social avec les représentants
des personnels médicaux hospitaliers et les organisations syndicales. Il porte l’ensemble des réformes, y
compris les étudiants de 2e et 3e cycle des études de médecine, de pharmacie et d’odontologie, ainsi que les
personnels enseignants et hospitaliers, en lien avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
La sous-directrice ou le sous-directeur pilote l’activité de la sous-direction des ressources humaines du système
de santé. Elle ou il définit les objectifs et le programme de travail de sa sous-direction et les modalités de suivi et
d’évaluation. Elle ou il encadre et anime les équipes sous son autorité, assure la circulation de l’information, la
gestion, le développement et l’évaluation des compétences de ses équipes. Elle ou il est le garant d’un dialogue
social renforcé avec les partenaires sociaux et les interlocuteurs qui sont les siens. Elle ou il assure la représentation
de sa sous-direction.
Manager de haut niveau, la sous-directrice ou le sous-directeur participe au comité de direction. Elle ou il est en
contact direct avec le cabinet du ministre compétent. Elle ou il dispose de l’assurance nécessaire pour représenter le
ministère en toutes circonstances. Elle ou il possède des qualités managériales avérées. Elle ou il met en
responsabilité ses collaborateurs et stimule leur autonomie. Elle ou il est doté d’un esprit d’équipe favorisant le
travail collaboratif et la transversalité au sein de la DGOS. Elle ou il est capable de dégager et synthétiser les
enjeux politiques de son secteur. Elle ou il démontre une appétence pour les questions organisationnelles et
d’efficacité collective. Elle ou il propose des outils de pilotage, stimule l’expérimentation de méthodes nouvelles,
accorde une attention particulière au progrès des collaborateurs.
La sous-directrice ou le sous-directeur est assisté de deux adjoints pour l’exercice de ses missions.

Profil recherché
L’emploi s’adresse à une ou un cadre expérimenté, fonctionnaire ou contractuel, avec une expérience minimale
de six années d’activités professionnelles diversifiées la ou le qualifiant particulièrement pour l’exercice de
fonctions supérieures de direction, d’encadrement ou d’expertise.
Pour les fonctionnaires, l’appartenance à un corps ou à un cadre d’emplois relevant de la catégorie A et dont
l’indice terminal brut est au moins égal à la hors-échelle B ou ayant occupé durant au moins trois ans en position de
détachement un ou plusieurs emplois culminant au moins à la hors-échelle B sera exigée.
Les candidats ou les candidates n’ayant pas la qualité de fonctionnaire doivent remplir les conditions générales
d’accès à la fonction publique prévues aux articles L. 321-1 à L. 321-3 du code général de la fonction publique et
avoir exercé des responsabilités d’un niveau comparable à celles dévolues aux fonctionnaires des corps et cadres
d’emplois précités.
La candidate ou le candidat devra justifier d’une expérience probante dans le domaine des politiques publiques
de la santé et des fonctions supports.
Le poste de sous-directeur des ressources humaines du système de santé requiert un ensemble de compétences,
essentielles pour assurer la régulation des professions de santé, le pilotage des ressources humaines hospitalières, et
répondre aux enjeux de démographie, de qualité et de sécurité des soins :
– managériales : pilotage et gestion des équipes, stratégie et organisation, dialogue social ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117

– comportementales : capacité de représentation du ministère, esprit d’équipe et collaboration, appétence pour


les questions organisationnelles.

Conditions d’emploi
La durée prévisible de cet emploi est de trois ans, renouvelable une fois. Une période probatoire de six mois est
prévue.
La rémunération dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi et pour les personnes fonctionnaires de son
classement dans la grille indiciaire des fonctionnaires. Elle comprend une part fixe brute annuelle comprise entre
80 000 € et 120 000 €.
Elle peut être complétée par un complément indemnitaire annuel variable.

Procédure de recrutement
L’autorité de recrutement est la secrétaire générale des ministères chargés des affaires sociales.
L’emploi à pourvoir relève de l’autorité de la directrice générale de l’offre de soins
Envoi des candidatures :
Les candidatures, doivent être transmises par la voie hiérarchique, dans un délai de 15 jours à compter de la date
de publication de l’avis de vacance de poste au Journal officiel de la République française, au secrétariat général
des ministères sociaux, par courriel uniquement et impérativement à l’adresse drh-stngp-es-encadrementsupe­
rieur@sg.social.gouv.fr et avec copie à l’adresse fonctionnelle : DGOS-PR3-RECRUTEMENT@sante.gouv.fr
Pour être recevable, le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– un curriculum vitae ;
– une lettre de motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours
professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état de service établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire ;
– d’une copie de la carte d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
Toute candidature ne respectant pas ces exigences ne sera pas examinée.
Les candidates ou les candidats peuvent compléter leur dossier avec le nom et les coordonnées de personnes
pouvant se porter référentes de leur candidature.

Recevabilité et présélection des candidatures


La secrétaire générale des ministères chargés des affaires sociales, autorité de recrutement, fera procéder à la
vérification de la recevabilité des candidatures en fonction des conditions générales d’accès à la fonction publique
prévues aux articles L. 321-1, L. 321-2 et L. 321-3 du code général de la fonction publique et des critères définis
par le présent avis de vacance, puis à la présélection des candidats à auditionner.

Audition des candidats


Les candidates ou les candidats présélectionnés seront auditionnés par un comité chargé d’émettre un avis sur
l’aptitude de chaque candidat entendu à occuper l’emploi à pourvoir.
Cette instance collégiale comprend au moins trois personnes :
– dont l’une n’est pas soumise à l’autorité hiérarchique de l’autorité dont relève l’emploi à pouvoir et est choisie
en raison de ses compétences dans le domaine des ressources humaines (DRH) ;
– dont une autre occupe ou a occupé des fonctions d’un niveau de responsabilité au moins équivalent à celui de
l’emploi à pourvoir (DESD).

Information
Les candidats non retenus en sont informés à l’issue de la procédure par la direction d’emploi.

Déontologie
L’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination prévue aux
articles L. 122-2 à L. 122-24 du code général de la fonction publique.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117

Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années, un contrôle
de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par
l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent
déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de
l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.

Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de sous-directeur suivront, dans les six mois à
compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux sous-directeurs. Les personnes n’ayant pas la qualité
de fonctionnaire suivront un module de formation relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à
l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des ressources humaines dans la
fonction publique.

Personne à contacter pour tout renseignement


sur l’emploi à pourvoir
Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenues auprès de Mme Marie DAUDE, directrice générale
de l’offre de soins (marie.daude@sante.gouv.fr).

Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2021-1550 du 1er décembre 2021 modifié portant statut particulier du corps des administrateurs de
l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Article 1er du décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois
communs aux administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de
fonctionnaires de l’Etat et de ses établissements publics.
Arrêté du 6 février 2020 fixant les modalités de recrutement sur les emplois de direction des ministères chargés
des affaires sociales.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 117

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE DE LA JUSTICE

Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur


(administration centrale)
NOR : PRMG2430982V

L’emploi de sous-directeur du droit économique de la direction des affaires civiles et du sceau du ministère de la
justice sera prochainement vacant.
Localisation géographique : 13, place Vendôme, 75001 Paris.
Date prévisible de la vacance d’emploi : 2 janvier 2025.

I. – Contexte institutionnel
La direction des affaires civiles et du sceau :
– élabore les projets de loi et de règlement en toutes matières qui n’entrent pas dans la compétence spéciale
d’une autre direction ;
– remplit le rôle de conseil en droit privé des autres administrations publiques ;
– anime et contrôle l’action du ministère public en matière civile et suit la formation de la jurisprudence ;
– exerce les attributions dévolues à la chancellerie en matière de nationalité et de sceau et en ce qui concerne la
règlementation et le contrôle des professions judiciaires autres que les magistrats et les personnels de greffes,
ainsi que des professions juridiques ;
– assure la mise en œuvre des conventions internationales en matière d’entraide judiciaire civile et conduit les
négociations européennes et internationales intéressant la législation de droit privé ;
– contribue, en liaison avec le secrétariat général, à l’application des autres conventions international et du droit
européen.
La direction comprend, outre le cabinet de la directrice et le pôle d’évaluation de la justice civile, les sous-
directions du droit civil, du droit économique et des professions judiciaires et juridiques, le bureau du droit
constitutionnel et du droit public général, le bureau du droit de la protection des données et du numérique ainsi que
le département de l’entraide, du droit international privé et du droit européen.
Au 1er octobre 2024, la direction comprenait 175 agents, dont 3 emplois fonctionnels de sous-directrices, 52
magistrats de l’ordre judiciaire, 3 magistrats de l’ordre administratif, 75 agents de catégorie A, 11 agents de
catégorie B, et 29 agents de catégorie C.

II. – Description du poste


La sous-direction du droit économique élabore les textes législatifs et réglementaires relatifs au droit
commercial, au droit des sociétés et groupements économiques de droit privé, à l’audit, au droit des entreprises en
difficulté ainsi qu’au droit de la propriété et à l’expropriation. Elle participe en outre à la négociation de textes de
l’Union européenne dans ces domaines.
Elle élabore également la réglementation des professions relevant du livre VIII du code de commerce
(commissaires aux comptes et auditeurs de durabilité administrateur judiciaire, mandataire judiciaire…). Elle
assure notamment les fonctions de commissaire du Gouvernement auprès de la Haute Autorité de l’audit (H2A)
ainsi que le secrétariat de la Commission nationale d’inscription et de disciple des administrateurs et mandataires
judicaires.
Elle participe à l’élaboration des textes législatifs et réglementaires en matière de concurrence, de propriété
industrielle et intellectuelle, de publicité foncière, de baux, de droits réels immobiliers, de construction,
d’urbanisme, d’environnement et de droit rural.
Elle conseille les autres administrations publiques dans ces domaines.
Elle concourt au traitement, par le secrétariat général, du contentieux relatif aux actes relevant de son champ de
compétence.
Par son action, la sous-direction du droit économique favorise l’attractivité économique du droit français au plan
européen et international et veille à la prévisibilité et à l’intelligibilité du droit pour les acteurs économiques.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 117

A titre d’illustration, au cours des dernières années, la sous-direction a été particulièrement investie dans la
négociation et l’élaboration des textes européens en matière de durabilité : directive dite « CSRD » sur le reporting
extra-financier et directive sur le devoir de vigilance des entreprises, au cœur des préoccupations des entreprises.
L’actualité de la sous-direction du droit économique est par ailleurs particulièrement dense en matière de droit
des entreprises en difficulté, compte tenu des négociations européennes en cours, d’une part, et d’une attente forte
de simplification des textes, d’autre part, qui a conduit à l’ouverture d’un chantier de réforme ambitieux pour
l’année 2025.
Au cours des mois à venir, l’activité de la sous-direction du droit économique portera notamment sur :
– la transposition de la directive sur le devoir de vigilance des entreprises ;
– les travaux de refonte du droit des entreprises en difficulté ;
– la négociation de la nouvelle directive insolvabilité ;
– la transposition de la nouvelle directive outils numériques ;
– le suivi de la mise en œuvre de la réforme de l’audit et de la transposition de la directive CSRD ;
– l’ordonnance réformant le régime des nullités en droit des sociétés.
Au 1er novembre 2024, la sous-direction du droit économique regroupait, outre le sous-directeur, 23 agents dont
10 magistrats de l’ordre judiciaire et 6 agents de catégorie A, répartis en quatre bureaux :
– le bureau du droit commercial général ;
– le bureau du droit des sociétés et de l’audit ;
– le bureau du droit de l’immobilier et du droit de l’environnement ;
– le bureau du droit de l’économie des entreprises.

III. – Profil recherché


– de très solides connaissances juridiques dans les domaines de la sous-direction ;
– des qualités relationnelles indispensables : sens de l’écoute et du dialogue, goût pour la négociation et les
échanges avec des interlocuteurs nombreux et très diversifiés ;
– une aptitude solide au management, à la conduite de projets et à l’animation d’équipes ;
– une réactivité et une rapidité dans l’exécution du travail.
Des aptitudes en langue anglaise (oral et écrit) constitueraient enfin un atout.

IV. – Conditions d’emploi


Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat et par le décret no 2022-1453 relatif aux conditions de classement, d’avancement et
de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Le titulaire ou la titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite de
six ans. La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de six mois maximum.
La rémunération est composée de deux parts fixes :
– l’une qui tient compte de l’expérience du titulaire de l’emploi ;
– l’autre dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de l’emploi.
A cette rémunération fixe pourra être ajouté un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la
manière de servir.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire ou de magistrat, le classement est fait au regard de la
durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.

V. – Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné :
– la secrétaire générale du ministère de la justice est l’autorité de recrutement ;
– la directrice des affaires civiles et du sceau est l’autorité d’emploi.

VI. – Envoi des candidatures


Les candidatures doivent être transmises dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, uniquement par courriel aux adresses suivantes :
– esd.srhsg-sg@justice.gouv.fr ;
– valerie.delnaud@justice.gouv.fr ;
– dacs-cab@justice.gouv.fr
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, qui devra comporter les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le
parcours professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 117

– un curriculum vitae détaillé.


Pour les agents publics non rattachés pour leur gestion au ministère de la justice : les candidatures sont
accompagnées d’un état des services. Pour les agents relevant du secteur privé, les candidatures sont accompagnées
de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.

VII. – Recevabilité et examen des candidatures


La secrétaire générale du ministère de la justice étudie la recevabilité des candidatures et les examine. Elle
établit, en lien avec l’autorité d’emploi, une liste des candidats présélectionnés pour l’audition et informe ceux non
retenus.

VIII. – Audition des candidats


Présidé par la secrétaire générale du ministère ou son représentant, le comité comprend au moins :
– l’autorité dont relève l’emploi, ou son représentant ;
– un représentant de la secrétaire générale choisi en raison de ses compétences dans le domaine des ressources
humaines ;
– d’une personne occupant ou ayant occupé des fonctions de chef de service ou de sous-directeur ne relevant
pas de la direction à laquelle l’emploi est rattaché.

IX. – Information des candidats non retenus


Dans les deux semaines suivant les auditions, les candidats auditionnés non retenus pour occuper l’emploi à
pourvoir sont informés par la secrétaire générale du ministère de la justice.

X. – Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de sous-directeur suivront, dans les six mois à
compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux sous-directeurs. Ce séminaire interministériel de
management combine notamment des apports théoriques, des témoignages de cadres dirigeants et des travaux de
groupes.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module relatif aux obligations des agents en
matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des
ressources humaines dans la fonction publique.

XI. – Déontologie
L’accès à cet emploi est soumis à une déclaration d’intérêts préalable à la prise de fonctions et au dépôt d’une
déclaration de situation patrimoniale auprès de la HATVP dans les deux mois suivant la nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à
la nomination par l’autorité hiérarchique, en application des articles L. 124-9 et suivants du code général de la
fonction publique.

XII. – Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de directions de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 27 décembre 2023 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère de la
justice.
Tous renseignements sur ce poste peuvent être obtenus auprès de Mme Valérie Delnaud, directrice des affaires
civiles et du sceau (mél : valerie.delnaud@justice.gouv.fr), de Mme Catherine Raynouard, cheffe de service,
adjointe à la directrice des affaires civiles et du sceau (mél : catherine.raynouard@justice.gouv.fr), de
Victor Nicolle, chef de cabinet (mél : dacs-cab@justice.gouv.fr), de Mme Joanna Ghorayeb, sous-directrice du
droit économique (mél : joanna.ghorayeb@justice.gouv.fr) ou de Mme Magali Aufan, déléguée à l’encadrement
supérieur (mél :esd.srhsg-sg@justice.gouv.fr), tél. : 01-70-22-78-74.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 117

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel (direction départemen­


tale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations de la Corse-du-
Sud)
NOR : INTP2431015V

L’emploi de directeur de la direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection


des populations (DDETSPP) de la Corse-du-Sud sera prochainement vacant.

Intérêt du poste
Le directeur départemental contribue, sous la responsabilité du préfet, à la mise en œuvre des politiques
publiques en matière d’emploi, de travail, de cohésion sociale et de protection des populations. L’intérêt du poste
réside dans l’intégration des différentes politiques sur ce territoire à forte spécificité, la variété et la sensibilité des
dossiers traités, les partenariats à nouer avec de nombreux partenaires dont les collectivités territoriales et les
services de l’Etat, dans le contexte particulier de la Collectivité de Corse installée depuis le 1er janvier 2018 et le
management d’une structure de 70 agents, provenant de six origines ministérielles différentes (agriculture,
travail/emploi/insertion, solidarités/santé, économie/finances, transition écologique, intérieur). Il est assisté de deux
directeurs adjoints et participe à la gouvernance du secrétariat général commun.
Conformément aux dispositions du décret no 2020-1545 du 9 décembre 2020 relatif à l’organisation et aux
missions des directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS) et des
DDETSPP, la DDETSPP est placée sous l’autorité hiérarchique du préfet de département, à l’exception des actions
de contrôle de la législation du travail exercées sous l’autorité de la DREETS comme des actions relevant des
pouvoirs propres. La DREETS assure le pilotage, l’animation et la coordination régionale des politiques publiques
qui lui sont confiées et dont la mise en œuvre relève de la DDETSPP.
La DDETSPP est composée de 5 services métiers. Elle est implantée à Ajaccio, chef-lieu du département, où les
services sont installés sur deux implantations géographiques avec, en outre, la présence d’agents dans cinq abattoirs
de boucherie.
La DDETSPP est notamment compétente en matière de politiques de cohésion sociale, de développement de
l’emploi, d’insertion sociale et professionnelle, de l’accès et du maintien dans le logement et du travail, et de droits
des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes. Elle est également en charge des politiques publiques
portant sur les domaines de la sécurité et de la qualité sanitaire de l’alimentation, de la protection des
consommateurs, de la santé et de la protection animales, de la protection de l’environnement pour les activités
touchant à l’élevage et à l’agroalimentaire ainsi que la faune sauvage captive. A la différence des DDETSPP du
continent, la DDETSPP de la Corse-du-Sud a également en charge les missions relatives à la protection des
végétaux habituellement exercées en DRAAF.

Missions
Le directeur départemental de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations est chargé
de mettre en œuvre, sous l’autorité du préfet, les politiques publiques relevant de la compétence de cette direction ;
il assure les missions définies aux articles 4 et 5 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif aux
directions départementales interministérielles et en particulier celles relatives :
– à la prévention et à la lutte contre les exclusions, à la protection des personnes vulnérables, aux fonctions
sociales du logement, à l’inclusion des personnes en situation de handicap, à la protection de l’enfance, au
travail social et à l’intervention sociale, aux actions sociales et économiques de la politique de la ville, à la
lutte contre les discriminations et à la promotion de l’égalité des chances ;
– à l’inspection et au contrôle des conditions d’accueil et de fonctionnement des établissements et services
sociaux ;
– au travail et notamment à l’amélioration de la qualité de l’emploi et des relations du travail, ainsi qu’aux
missions d’inspection du travail ;
– à l’accès et au maintien dans l’emploi des personnes éloignées du marché du travail ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 117

– à l’anticipation et à l’accompagnement des mutations économiques ;


– au développement de l’emploi et des compétences ;
– au développement de l’accès à la formation professionnelle, à l’apprentissage et aux qualifications, dans le
respect des exigences de qualité ;
– à l’insertion professionnelle des jeunes et des personnes vulnérables ;
– à la protection et sécurité des consommateurs dans le domaine alimentaire, que les denrées soient d’origine
animale ou végétale, surveillance, à tous les stades de la filière depuis l’abattage, pour les animaux, et la
collecte à la ferme, pour les végétaux, de l’hygiène et de la sécurité des produits et des établissements
alimentaires, de la conformité et de la qualité des produits alimentaires, de la loyauté des transactions, de la
traçabilité des produits animaux dont il assure la certification ;
– à la protection juridique et économique des consommateurs (loyauté des transactions) et sécurité (conformité,
qualité et sécurité des produits industriels et des prestations de service) ;
– à la protection des animaux, à la certification des denrées alimentaires et des animaux vivants, à la protection
de la faune sauvage captive et à la lutte contre les maladies contagieuses réglementées ;
– à la prévention des risques industriels, des pollutions et des nuisances, gestion des déchets et des sous-
produits ;
– à la gestion des alertes et des crises ;
– à la détermination, en lien avec le préfet et les services régionaux, de la politique locale et des ressources
allouées.

Environnement
Le poste est situé à Ajaccio (71 685 habitants), chef-lieu de la Corse et du département de la Corse-du-Sud
(2 arrondissements, 165 307 habitants). L’environnement institutionnel, administratif et culturel de la DDETSPP
est marqué par les fortes spécificités de cette région « île montagne », la plus décentralisée de métropole et à statut
particulier, avec l’installation de la Collectivité de Corse depuis le 1er janvier 2018.
Le territoire de la Corse-du-Sud, formé de 7 microrégions et 124 communes dont 119 en zone de montagne, est
fortement structuré par son insularité et sa géographie, caractérisée par une prédominance du littoral et des espaces
ruraux et naturels, ainsi que par l’existence d’un pôle urbain ajaccien à forte attractivité.
Avec environ 1 000 exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et 1 400 actifs (en UTA), le secteur
agricole a une importance économique et politique très significative en Corse-du-Sud. Les diverses crises sanitaires
dans les filières animales (tuberculose, fièvre catharrale ovine sérotype 4, trichine, influenza aviaire…) ainsi que
dans les filières végétales (Xylella fastidiosa) revêtent une sensibilité toute particulière.
La protection sanitaire et économique du consommateur doit tenir compte des caractéristiques de l’économie
locale avec notamment ce tissu de petites et moyennes exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et dont
la production bénéficie de plusieurs signes de qualité, et l’importance de l’industrie touristique en lien avec le pic
d’activité estival.
Dans le champ de la cohésion sociale, les problématiques d’exclusion liées à l’insuffisance de logements sociaux
et au niveau élevé des prix de l’immobilier résidentiel sont aiguisées par le contexte économique actuel. Le
département compte, par ailleurs, trois quartiers prioritaires de la ville.
Dans le champ de l’insertion, de l’emploi, de l’entreprise, une place prépondérante dans l’économie corse est
consacrée aux activités liées au tourisme. Le secteur du BTP est également fortement représenté. Globalement les
établissements sont de petite taille, (environ 60 % n’ont pas de salarié et 95 % en ont moins de 10), avec une
surreprésentation de l’hébergement restauration.
Concernant le secteur de l’inspection du travail, une seule unité de contrôle est constituée dans le département,
elle comprend 6 sections. L’unité est domiciliée à Ajaccio, à proximité du siège de la DDETSPP, une antenne est
située à Porto-Vecchio. La répartition des compétences entre les sections du département de Corse-du-Sud
s’effectue selon les règles suivantes :
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports routier ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports maritimes ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités agricoles.
Le directeur de la DDETSPP entretient, sous l’autorité du préfet, des liens étroits avec les services de l’Etat en
région (SGAC, DRAAF, DREETS, DREAL), au niveau départemental (préfecture et sous-préfecture, DDTM,
délégation départementale de l’ARS, gendarmerie, police…), avec les collectivités locales, les milieux
économiques, les organisations professionnelles et plus généralement avec tous les acteurs locaux entrant dans
le champ de la cohésion sociale, de l’insertion par l’emploi et de la protection des populations.

Compétences
Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins six ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires, et d’une bonne connaissance des politiques publiques. La
capacité à manager en mode projet et à accompagner les changements doit être particulièrement mise en évidence
dans la présentation de l’expérience des candidats. Ils devront être en mesure d’assumer des responsabilités de
direction stratégique, de conduire des négociations de haut-niveau avec des décideurs publics ou privés et de
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 117

représenter le préfet en situation complexe, environnement sensible et contexte de crise, et plus largement de savoir
faire face à la pression.
Le poste exige une capacité d’animation, de coordination du travail ainsi qu’une pratique de la conduite et du
suivi de projets. Il est également attendu un investissement réel sur l’ensemble des composantes métier présentes
au sein de la direction départementale.
Les candidats devront également faire preuve des compétences suivantes :
– un intérêt marqué pour l’action interministérielle ;
– une expérience d’encadrement, de conduite du changement et de mise en œuvre de politiques publiques
notamment en lien avec l’emploi, le travail la cohésion sociale et la protection des populations ;
– une connaissance des méthodes de conduite de projet, expérience réussie dans la conduite de projets
complexes ;
– des connaissances des organisations publiques (approche culturelle, sociologique et opérationnelle) ;
– une capacité d’adaptation et d’ouverture aux problématiques sociales dans une approche partenariale avec les
entreprises, les collectivités territoriales, les associations ;
– une aptitude à écouter, analyser, piloter, mobiliser, négocier, convaincre, restituer, en particulier dans un
contexte de réorganisation des services ;
– une aptitude à animer des équipes pluridisciplinaires et interministérielles ;
– une aptitude à la communication et au dialogue social.
Il est attendu du directeur qu’il soit disponible, réactif, qu’il ait une perception vive et immédiate des enjeux et
problèmes du territoire, qu’il soit capable d’anticiper et de prendre des décisions adaptées aux circonstances et de
rendre compte.

Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment) et par l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur, est classé dans le groupe IV en application des dispositions de
l’arrêté du 29 décembre 2009 modifié fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des
directions départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle est composée d’une part indiciaire, déterminée par le reclassement de l’agent sur
la grille des administrateurs de l’Etat, et d’une part indemnitaire.
S’agissant du volet indiciaire, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, le reclassement est établi en
application de l’article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2023 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat. Pour
les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Cette rémunération (traitement brut) est complétée par le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) qui comprend :
– une part fixe, l’indemnité de fonctions, de sujétion et d’expertise (IFSE), qui fait l’objet d’un versement
mensuel. Le classement des emplois dans les différents groupes de fonctions permet de déterminer un montant
de référence d’IFSE qui dépend de la nature, du niveau de responsabilité ou d’expertise, des sujétions et du
niveau d’exposition de l’emploi occupé ;
– une part variable, le complément indemnitaire annuel (CIA), dont le montant est fixé, dans la limite du plafond
réglementaire, par groupe de fonctions, en tenant compte de l’engagement professionnel et la manière de
servir de l’agent. La fourchette du CIA est comprise entre 0 € et un montant maximum de 27 000 € brut, avec
un montant de référence moyen s’établissant à 3 726 € brut.

Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 117

Examen des candidatures :


L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret du 31 décembre 2019
susmentionné, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à
auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– de la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition
écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques ou son représentant, la secrétaire générale
du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt ou son représentant, la secrétaire
générale des ministères chargés des affaires sociales ou son représentant et la directrice générale de la
consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes ou son représentant.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé. L’autorité de recrutement s’assure de l’absence de condamnation inscrite au bulletin no 2
du casier judiciaire incompatible avec les fonctions de DDETSPP.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats non retenus pour occuper l’emploi à
pourvoir sont informés.

Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-DDETSPP2A-2024-93370 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur ;
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDETSPP2A-2024-93370, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Corse-du-Sud.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 117

Déontologie
Conformément à l’article 2 du décret no 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.

Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.

Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Jérôme FILIPPINI, préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud, tél. : 04-95-11-10-00, courriel : prefet@corse-
du-sud.gouv.fr ;
M. Xavier CZERWINSKI, secrétaire général de la préfecture de la Corse-du-Sud, tél. : 04-95-11-10-10,
courriel : pref-secretariat-sg@corse-du-sud.gouv.fr ;
Mme Sandrine POLYCHRONOPOULOS, directrice départementale de la DDETSPP de Corse-du-Sud, tél. :
04-95-50-55-50, courriel : sandrine.polychronopoulos@corse-du-sud.gouv.fr ;
M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.snoeck@interieur.gouv.fr.

Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction
relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 117

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel adjoint (direction


départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations de la
Corse-du-Sud)
NOR : INTP2431021V

L’emploi de directeur départemental adjoint de la direction départementale de l’emploi, du travail, des


solidarités et de la protection des populations (DDETSPP) de la Corse-du-Sud sera prochainement vacant.

Intérêt du poste
Aux côtés de la directrice, qu’il seconde et supplée, le directeur départemental adjoint exerce ses compétences
sur l’ensemble du périmètre d’intervention de la direction, en étroite collaboration avec le second directeur
départemental adjoint.
Il contribue à la définition des stratégies et au pilotage de la structure. Il est chargé par la directrice
départementale de missions particulières et travaille en étroite collaboration avec les services. Il appuie la directrice
départementale dans le management d’une équipe de 70 agents provenant de six origines ministérielles différentes.
La DDETSPP est compétente en matière de politiques de cohésion sociale, de développement de l’emploi,
d’insertion sociale et professionnelle, d’accès et de maintien dans le logement, de travail, de droits des femmes et
d’égalité entre les femmes et les hommes, de politique de la ville et d’accueil des demandeurs d’asile. Elle est
également en charge des politiques publiques portant sur les domaines de la sécurité et de la qualité sanitaire de
l’alimentation, de la protection des consommateurs, de la santé et de la protection animale, de la protection de
l’environnement pour les activités touchant à l’élevage et à l’agroalimentaire ainsi que la faune sauvage captive. A
la différence des DDETSPP du continent, la DDETSPP de la Corse-du-Sud a également en charge les missions
relatives à la protection des végétaux habituellement exercées en DRAAF.
Conformément aux dispositions du décret no 2020-1545 du 9 décembre 2020 relatif à l’organisation et aux
missions des directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS), des
directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS) et des directions départementales, de
l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP), la DDETSPP est placée sous
l’autorité hiérarchique du préfet de département, à l’exception des actions de contrôle de la législation du travail
exercées sous l’autorité du DREETS comme des actions relevant de ses pouvoirs propres.
La DDETSPP est composée de cinq services métiers. Elle est implantée à Ajaccio, chef-lieu du département, où
les services sont installés sur deux implantations géographiques (Ajaccio et Porto-Vecchio) avec, en outre, la
présence d’agents dans cinq abattoirs de boucherie.

Missions
Les missions des DDETSPP sont définies à l’article 4 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif
aux directions départementales interministérielles : il s’agit des politiques du travail, de l’emploi, de la cohésion
sociale et de l’hébergement/logement des publics vulnérables, de la concurrence, de la consommation et de la
répression des fraudes ainsi que des services vétérinaires du ministère de l’agriculture, de la souveraineté
alimentaire et de la forêt ou encore de la protection de l’environnement (installations classées).
Le directeur adjoint participe à l’animation d’équipes aux compétences « métier » diversifiées provenant de
plusieurs origines ministérielles et doit être en mesure de développer les synergies possibles. Il veille à la bonne
mise en œuvre par les équipes des orientations définies par la directrice et assure les liens permanents entre l’équipe
de direction et les services. Il supplée la directrice dans sa mission de représentation.
Il peut se voir confier un certain nombre de missions particulières, telles que le pilotage de projets transversaux à
l’échelle de la direction départementale interministérielle (DDI), de l’animation d’une ou plusieurs politiques
publiques ou de la représentation de la directrice départementale dans certaines instances.
Il participe aux audits qualité et inspections diligentés, notamment par le niveau national ou régional, et pilote les
suites en lien avec les responsables de service concernés.
Il suit les démarches qualités de la direction départementale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 117

Il participe aux astreintes de la direction et contribue à la gestion des situations exceptionnelles.


Il supervise, de manière partagée avec la directrice et le second directeur départemental adjoint, la gestion
budgétaire et comptable, la gestion des ressources humaines et le contentieux administratif et pénal.
Il participe aux comités de direction et au dialogue social et s’implique dans la définition des objectifs annuels de
la direction en fonction des directives nationales, orientations régionales et priorités départementales.
Il a en charge la préparation de tous les dossiers de réunions de gouvernance auxquelles assiste l’équipe de
direction pour les sujets relevant de sa compétence spécifique, ainsi que des documents y afférents.

Environnement
Le poste est situé à Ajaccio (71 685 habitants), chef-lieu de la Corse et du département de la Corse-du-Sud
(2 arrondissements, 165 307 habitants). L’environnement institutionnel, administratif et culturel de la DDETSPP
est marqué par les fortes spécificités de cette région « île montagne », la plus décentralisée de métropole et à statut
particulier, avec l’installation de la Collectivité de Corse depuis le 1er janvier 2018.
Le territoire de la Corse-du-Sud, formé de 7 microrégions et 124 communes dont 119 en zone de montagne, est
fortement structuré par son insularité et sa géographie, caractérisée par une prédominance du littoral et des espaces
ruraux et naturels, ainsi que par l’existence d’un pôle urbain ajaccien à forte attractivité.
Avec environ 1 000 exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et 1 400 actifs (en UTA), le secteur
agricole a une importance économique et politique très significative en Corse-du-Sud. Les diverses crises sanitaires
dans les filières animales (tuberculose, fièvre catharrale ovine sérotype 4, trichine, influenza aviaire…) ainsi que
dans les filières végétales (Xylella fastidiosa) revêtent une sensibilité toute particulière.
La protection sanitaire et économique du consommateur doit tenir compte des caractéristiques de l’économie
locale avec notamment ce tissu de petites et moyennes exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et dont
la production bénéficie de plusieurs signes de qualité, et l’importance de l’industrie touristique en lien avec le pic
d’activité estival.
Dans le champ de la cohésion sociale, les problématiques d’exclusion liées à l’insuffisance de logements sociaux
et au niveau élevé des prix de l’immobilier résidentiel sont aiguisées par le contexte économique actuel. Le
département compte, par ailleurs, trois quartiers prioritaires de la ville.
Dans le champ de l’insertion, de l’emploi, de l’entreprise, une place prépondérante dans l’économie corse est
consacrée aux activités liées au tourisme. Le secteur du BTP est également fortement représenté. Globalement les
établissements sont de petite taille, (environ 60 % n’ont pas de salarié et 95 % en ont moins de 10), avec une
surreprésentation de l’hébergement restauration.
Concernant le secteur de l’inspection du travail, une seule unité de contrôle est constituée dans le département,
elle comprend 6 sections. L’unité est domiciliée à Ajaccio, à proximité du siège de la DDETSPP, une antenne est
située à Porto-Vecchio. La répartition des compétences entre les sections du département de Corse-du-Sud
s’effectue selon les règles suivantes :
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports routiers ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports maritimes ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités agricoles.
La DDETSPP entretient, sous l’autorité du préfet, des liens étroits avec les services de l’Etat en région (SGAC,
DRAAF, DREETS, DREAL), au niveau départemental (préfecture et sous-préfecture, DDTM, délégation
départementale de l’ARS, gendarmerie, police…), avec les collectivités locales, les milieux économiques, les
organisations professionnelles et plus généralement avec tous les acteurs locaux entrant dans le champ de la
cohésion sociale, de l’insertion par l’emploi et de la protection des populations.

Compétences
Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins six ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires, d’une expérience dans le pilotage de services en charge de la
protection des populations et d’une bonne connaissance des politiques publiques. La capacité à manager en mode
projet et à accompagner les changements doit être particulièrement mise en évidence dans la présentation de
l’expérience des candidats. Ils devront être en mesure d’assumer des responsabilités de direction stratégique, de
conduire des négociations de haut niveau avec des décideurs publics ou privés et de représenter le préfet en
situation complexe, environnement sensible et contexte de crise, et plus largement de savoir faire face à la pression.
Le poste exige une capacité d’animation, de coordination du travail ainsi qu’une pratique de la conduite et du
suivi de projets. Il est également attendu un investissement réel sur l’ensemble des composantes métier présentes
au sein de la direction départementale.
Les candidats devront également faire preuve des compétences suivantes :
– un intérêt marqué pour l’action interministérielle ;
– une expérience d’encadrement, de conduite du changement, de pilotage et de mise en œuvre de politiques
publiques portées par la DDETSPP, plus particulièrement dans le champ de la protection des populations ;
– une connaissance des méthodes de conduite de projet, expérience réussie dans la conduite de projets
complexes ;
– des connaissances des organisations publiques (approche culturelle, sociologique et opérationnelle) ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 117

– une capacité d’adaptation et d’ouverture aux problématiques sociales dans une approche partenariale avec les
entreprises, les collectivités territoriales, les associations ;
– une aptitude à écouter, analyser, piloter, mobiliser, négocier, convaincre, restituer, en particulier dans un
contexte de réorganisation des services ;
– une aptitude à animer des équipes pluridisciplinaires et interministérielles ;
– une aptitude à la communication et au dialogue social.
Il est attendu du directeur adjoint qu’il soit disponible, réactif, qu’il ait une perception vive et immédiate des
enjeux et problèmes du territoire, qu’il soit capable d’anticiper et de prendre des décisions adaptées aux
circonstances et de rendre compte.

Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment) et par l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur, est classé dans le groupe V en application des dispositions de l’arrêté
du 29 décembre 2009 modifié fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des directions
départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle est composée d’une part indiciaire, déterminée par le reclassement de l’agent sur
la grille des administrateurs de l’Etat, et d’une part indemnitaire.
S’agissant du volet indiciaire, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, le reclassement est établi en
application de l’article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2023 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat. Pour
les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Cette rémunération (traitement brut) est complétée par le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) qui comprend :
– une part fixe, l’indemnité de fonctions, de sujétion et d’expertise (IFSE), qui fait l’objet d’un versement
mensuel. Le classement des emplois dans les différents groupes de fonctions permet de déterminer un montant
de référence d’IFSE qui dépend de la nature, du niveau de responsabilité ou d’expertise, des sujétions et du
niveau d’exposition de l’emploi occupé ;
– une part variable, le complément indemnitaire annuel (CIA), dont le montant est fixé, dans la limite du plafond
réglementaire, par groupe de fonctions, en tenant compte de l’engagement professionnel et la manière de
servir de l’agent. La fourchette du CIA est comprise entre 0 € et un montant maximum de 27 000 € brut, avec
un montant de référence moyen s’établissant à 3 199 € brut.

Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret du 31 décembre 2019, qui
procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– de la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition
écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques ou son représentant, la secrétaire générale
du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt ou son représentant, la secrétaire
générale des ministères chargés des affaires sociales ou son représentant et la directrice générale de la
consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes ou son représentant.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 117

Audition des candidats et choix du candidat retenu :


L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé. L’autorité de recrutement s’assure de l’absence de condamnation inscrite au bulletin no 2
du casier judiciaire incompatible avec les fonctions de DDETSPP adjoint.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats non retenus pour occuper l’emploi à
pourvoir sont informés.

Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employ(e)ee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-DDETSPPA2A-2024-93375 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur ;
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDETSPPA2A-2024-93375, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Corse-du-Sud.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un Etat des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.

Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
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Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.

Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Xavier CZERWINSKI, secrétaire général de la préfecture de la Corse-du-Sud, tél. : 04-95-11-10-10,
courriel : pref-secretariat-sg@corse-du-sud.gouv.fr ;
Mme Sandrine POLYCHRONOPOULOS, directrice départementale de la DDETSPP de Corse-du-Sud, tél. :
04-95-50-55-50, courriel : sandrine.polychronopoulos@corse-du-sud.gouv.fr ;
M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.snoeck@interieur.gouv.fr

Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction
relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
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Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur de l’achat et du suivi de l’exécution des marchés
(administration centrale : secrétariat général/direction de l’évaluation de la performance, de
l’achat, des finances et de l’immobilier)
NOR : INTP2431034V

Un emploi de sous-directeur (classe III) est susceptible d’être prochainement vacant à l’administration centrale
du ministère de l’intérieur.
Cet emploi est affecté à la direction de l’évaluation de la performance, de l’achat, des finances et de
l’immobilier, au sein du service de l’achat, de l’innovation et de la logistique du ministère de l’intérieur (SAILMI).
Le titulaire de ce poste y exerce les fonctions de sous-directeur de l’achat et du suivi de l’exécution des marchés
(SDASEM).
Sous l’autorité du chef de service du SAILMI, le sous-directeur de la SDASEM exerce la fonction de
représentant du pouvoir adjudicateur (RPA) pour tous les marchés de moins de 3 M€ de l’administration centrale
du ministère de l’intérieur. Il administre un portefeuille d’un peu plus de 1 000 marchés actifs. Au-delà du seuil de
3 M€, il garantit pour le compte du RPA, le chef de service du SAILMI, la sécurité juridique des actes dans le
respect de la stratégie achats ministérielle et interministérielle en matière de performance opérationnelle, financière
et environnementale.
Le sous-directeur est chargé de la programmation pluriannuelle des marchés pour l’ensemble des directions du
ministère, de la mise en place des actes juridiques dans le cadre des contrats de service établis avec les directions
du ministère, du suivi des dossiers contentieux en liaison avec la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques. Il recherche par ailleurs les solutions achats de nature à répondre le plus efficacement possible aux
besoins et contraintes calendaires des responsables de programme.
Il décline au sein de la sous-direction les objectifs de professionnalisation de la filière achats définis par le
responsable ministériel des achats. Il veille plus particulièrement à la formation juridique de ses personnels, à la
mise en œuvre de règles déontologiques et d’outils concourant à la continuité des procédures.
Il veille à la pleine application des objectifs du service en termes de transversalité, de partage des compétences et
d’efficacité.

Profil des candidats recherchés


Une expérience minimale de six années d’activités professionnelles diversifiées en tant que cadre supérieur ainsi
qu’une expérience significative d’encadrement sont exigées.
Le candidat devra faire preuve :
– qualités et expérience de très bon niveau dans le domaine du management pour l’animation d’une équipe de
plus de 90 collaborateurs, d’origines et statuts multiples, à fonctions complexes et à forts enjeux ;
– connaissances en matière de règles de la commande publique, de management par la performance et
expérience(s) réussie(s) en matière d’achats ;
– expérience en matière de partenariat avec diverses administrations et partenaires privés ;
– capacités d’écoute et d’analyse propres à lui permettre d’être force de proposition ;
– aptitude au travail en équipe et en transversalité, ainsi que des qualités relationnelles avérées ;
– aptitude à conduire le changement tout en assurant la sécurité juridique et la continuité des services dans un
contexte contraint en matière financière et de ressources humaines.

Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
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Cet emploi est classé dans le groupe 3 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle est composée d’une part indiciaire, déterminée par le reclassement de l’agent sur
la grille des administrateurs de l’Etat, et d’une part indemnitaire.
S’agissant du volet indiciaire, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, le reclassement est établi en
application de l’article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2023 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat. Pour
les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Cette rémunération (traitement brut) est complétée par le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) qui comprend :
– une part fixe, l’indemnité de fonctions, de sujétion et d’expertise (IFSE), qui fait l’objet d’un versement
mensuel. Le classement des emplois dans les différents groupes de fonctions permet de déterminer un montant
de référence d’IFSE qui dépend de la nature, du niveau de responsabilité ou d’expertise, des sujétions et du
niveau d’exposition de l’emploi occupé ;
– une part variable, le complément indemnitaire annuel (CIA), dont le montant est fixé, dans la limite du plafond
réglementaire défini par arrêté interministériel du 23 novembre 2022, par groupe de fonctions, en tenant
compte de l’engagement professionnel et la manière de servir de l’agent. Le montant de référence moyen du
CIA est établi à 11 120 € brut.

Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594 du
31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Pour cet emploi de sous-directeur, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et
l’autorité dont relève l’emploi est le directeur de l’évaluation de la performance, de l’achat, des finances et de
l’immobilier.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret no 2019-1594 du
31 décembre 2019 modifié, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats
à auditionner.
L’instance collégiale est composée conformément à l’article 4 de l’arrêté du 5 septembre 2023 fixant les
modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant pour leur gestion du secrétariat général
du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats auditionnés non retenus pour occuper
l’emploi à pourvoir sont informés.

Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance, référencé MINT-SDASEM-DEPAFI-2024- 93402, est accessible en
renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-SDASEM-DEPAFI-2024- 93402 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance publiés sur des
emplois de direction de l’Etat au sein de l’administration centrale et territoriale du ministère de l’intérieur.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service public
: https://choisirleservicepublic.gouv.fr/
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Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-SDASEM-DEPAFI-2024-


93402, est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : sous-directeur ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– employeur : ministère de l’intérieur ;
– localisation : Paris.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.

Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination. Par
ailleurs, le titulaire de cet emploi devra adresser, dans un délai de deux mois suivant sa nomination, à la Haute
Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), une déclaration de situation patrimoniale qui devra être
complétée sur le site de la HATVP.
Pour les personnes qui exercent ou ont exercé une activité au cours des trois dernières années une activité privée
lucrative, l’autorité hiérarchique dont relève l’emploi apprécie la compatibilité de cette activité avec les fonctions
envisagées. Lorsque l’autorité hiérarchique a un doute sérieux, elle saisit pour avis, préalablement à sa décision, le
référent déontologue. Lorsque l’avis de ce dernier ne permet pas de lever ce doute, l’autorité hiérarchique saisit la
Haute Autorité, en application de l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.

Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.

Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 12-II).
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l'Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l'échelonnement indiciaire
applicable à l'encadrement supérieur de l'Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l'application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application au corps des administrateurs de l'Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 117

Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l'Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de
l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453 du
23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant
pour leur gestion du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 117

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE AUPRÈS DU PREMIER MINISTRE, CHARGÉ DU BUDGET


ET DES COMPTES PUBLICS

Avis fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au concours professionnel pour
l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure relevant des ministres
chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430697V

L’avis autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture du concours professionnel pour l’accès au grade de
technicien de laboratoire de classe supérieure relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
(NOR : ECOD2422977V), publié au Journal officiel de la République française du 1er septembre 2024, est modifié
comme indiqué ci-après.
Au point II, l’avis est rédigé comme suit :
« II. – Nombre de places offertes
« Le nombre total de postes offerts au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire
de classe supérieure relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 12. »
(Le reste de l’avis demeure inchangé.)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 117

Avis et communications

AVIS DE CONCOURS ET DE VACANCE D'EMPLOIS

MINISTÈRE AUPRÈS DU PREMIER MINISTRE, CHARGÉ DU BUDGET


ET DES COMPTES PUBLICS

Avis fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au concours professionnel pour
l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe exceptionnelle relevant des ministres
chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430700V

L’avis autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture du concours professionnel pour l’accès au grade de
technicien de laboratoire de classe exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
(NOR : ECOD2422983V), publié au Journal officiel de la République française du 1er septembre 2024, est modifié
comme indiqué ci-après.
Au point II, l’avis est rédigé comme suit :
« II. – Nombre de places offertes
« Le nombre total de postes offerts au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire
de classe exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 5. »
(Le reste de l’avis demeure inchangé.)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 117

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DU PARTENARIAT AVEC LES TERRITOIRES


ET DE LA DÉCENTRALISATION

Avis no 29 relatif à la fermeture de certains quotas


et/ou sous-quotas de pêche pour l’année 2024
NOR : PTDM2430508V

Conformément à l’article R. 921-53 du livre IX du code rural et de la pêche maritime :


1. Le quota de raie brunette (Raja undulata), attribué aux navires adhérents à l’organisation de producteurs
LA COTINIERE dans la zone CIEM VIII, est réputé épuisé pour l’année 2024.
La pêche de la raie brunette est donc interdite pour les navires adhérents à l’organisation de producteurs
LA COTINIERE dans la zone CIEM VIII.
La conservation à bord, le transbordement et le débarquement de raie brunette, pêchée par les navires adhérents à
l’organisation de producteurs LA COTINIERE dans la zone CIEM VIII après cette interdiction, sont également
interdits.
Conformément à l’article 15 du règlement (UE) no 1380/2013-5 du 11 décembre 2013, les rejets de raie brunette
pêchée de manière inévitable dans la zone VIII, après cette interdiction, doivent être intégralement enregistrés et
déclarés.
2. Le sous-quota de thon rouge (Thunnus thynnus) attribué en Atlantique aux navires adhérents à l’organisation
de producteurs From Sud-Ouest est réputé épuisé pour l’année 2024.
La pêche de thon rouge en Atlantique est donc interdite pour les navires adhérents à l’organisation de
producteurs From Sud-Ouest.
Conformément à l’article 15 du règlement (UE) no 1380/2013 du 11 décembre 2013, les captures inévitables de
thon rouge, pêché après cette interdiction en Atlantique par les navires adhérents à l’organisation de producteurs
From Sud-Ouest doivent être intégralement enregistrées, débarquées et déclarées.
En application de l’article L. 945-4-15 du code rural et de la pêche maritime, la commercialisation de thon rouge,
pêché après cette interdiction en Atlantique par les navires adhérents à l’organisation de producteurs From Sud-
Ouest est interdite.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 117

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Avis relatif aux prix de spécialités pharmaceutiques


publiés en application de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale
NOR : MSAS2430031V

En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société MSD FRANCE et
du I de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, le tarif de responsabilité et le prix limite de vente de la
spécialité ci-après sont :
Prix limite
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant Tarif de responsabilité HT de vente HT par UCD
par UCD (en €) aux établissements
de santé (en €)

34008 941 972 3 2 KEYTRUDA 25MG/ML PERF FL4ML MSD FRANCE 2 380,000 2 380,000

Cette décision entre en vigueur à compter du 30 novembre 2024.


20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 117

Avis et communications

AVIS DIVERS

MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DE L’ACCÈS AUX SOINS

Avis relatif à la tarification du substitut osseux


sur mesure non résorbable GLACE visé à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
NOR : MSAS2430935V

En application de l’avenant à la convention entre le comité économique des produits de santé et la société
DISPOMED, les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés ci-dessous sont
fixés comme suit :
Nouveaux Nouveaux
CODE DÉSIGNATION Tarifs/PLV en € TTC tarifs/PLV en € TTC tarifs/PLV en € TTC
actuels au 1er juillet 2025 au 1er juillet 2026

3172374 Implant cranio-faciale sur mesure, < 125 cm2, DISPOMED, GLACE 5 250,00 5 060,89 4 871,78

3196653 Implant cranio-faciale sur mesure, ≥ 125 cm2 ≤ 180 cm2, DISPOMED, 5 750,00 5 542,90 5 335,80
GLACE

3198132 Implant cranio-faciale sur mesure, >180 cm2 et implants complexes, 6 250,00 6 024,87 5 799,74
DISPOMED, GLACE
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 105 sur 117

ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche

Autres annonces : annonces.jorf@dila.gouv.fr


ou
DILA, DIRE JOURNAUX OFFICIELS, TSA No 71641, 75901 PARIS CEDEX 15

(L'Administration décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces.)

DEMANDES DE CHANGEMENT DE NOM


(textes 105 à 117)

En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et


R. 221-16 pris après avis de la CNIL, du code des relations
entre le public et l’administration, les actes individuels relatifs
à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés
au Journal officiel de la République française, que dans des
conditions garantissant qu’ils ne font pas l’objet d’une
indexation par des moteurs de recherche.
Les actes concernés sont accessibles sur le site Légifrance en
"Accès protégé"

ISSN 2261-5385 La Directrice de l’information légale et administrative : Anne DUCLOS-GRISIER

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