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SOMMAIRE ANALYTIQUE
LOIS
1 LOI no 2024-1039 du 19 novembre 2024 visant à renforcer les outils de régulation des meublés
de tourisme à l’échelle locale
textes généraux
Premier ministre
2 Décret no 2024-1040 du 19 novembre 2024 relatif à l’entrée en vigueur immédiate d’un arrêté
ministère de la justice
4 Arrêté du 6 novembre 2024 pris pour l’application en 2024 des prélèvements sur fiscalité au
titre du retraitement de la dotation forfaitaire des communes 2023, du renouvellement de la
contribution au redressement des finances publiques des communes 2017, du renouvelle
ment de la contribution au redressement des finances publiques des régions 2017, du
renouvellement de la contribution au redressement des finances publiques des établisse
ments publics de coopération intercommunale à fiscalité propre 2018 et de la
recentralisation sanitaire des départements 2015
5 Arrêté du 19 novembre 2024 portant dérogation temporaire aux règles en matière de temps de
conduite pour les conducteurs assurant le transport d’équipements militaires dans le cadre
l’opération Atlantic Resolve 24
6 Décision du 5 novembre 2024 portant délégation de signature (centre ministériel de
valorisation des ressources humaines [CMVRH])
ministère de l’intérieur
11 Arrêté du 1er octobre 2024 modifiant l’arrêté du 12 mars 2014 modifié portant création de la
spécialité « installateur, dépanneur en froid et conditionnement d’air » de brevet
professionnel et fixant ses modalités de délivrance
12 Arrêté du 8 octobre 2024 portant abrogation de la spécialité « gouvernante » de brevet
professionnel
13 Arrêté du 21 octobre 2024 modifiant l’arrêté du 17 décembre 2018 portant création de la
spécialité « métiers du commerce et de la vente » de baccalauréat professionnel et fixant ses
modalités de délivrance
14 Arrêté du 22 octobre 2024 relatif aux taux de promotion dans certains corps de fonctionnaires
relevant du ministère de l’éducation nationale
15 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant la liste des écoles de production prévue à l’article L. 443-6
du code de l’éducation
16 Arrêté du 18 novembre 2024 portant reconnaissance par l’Etat des écoles techniques privées
17 Décision du 30 octobre 2024 portant délégation de signature (direction du numérique pour
l’éducation)
18 Arrêté du 16 octobre 2024 fixant le nombre de postes offerts au recrutement en 2025 dans les
corps des ingénieurs de l’armement et des ingénieurs des études et techniques
de l’armement
19 Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 13 mai 2014 portant institution de régies de
recettes et d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des élèves des lycées de
la défense
20 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 les montants de l’allocation
de reconnaissance définie par l’article 6 de la loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant
reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés
21 Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 le montant de l’allocation
viagère définie par l’article 133 de la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances
pour 2016
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
35 Arrêté du 5 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge
en sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la
sécurité sociale
36 Arrêté du 13 novembre 2024 portant ouverture des examens cliniques objectifs structurés
donnant accès au troisième cycle des études de médecine au titre de l’année
universitaire 2025-2026
37 Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques agréées à
l’usage des collectivités et divers services publics
38 Arrêté du 18 novembre 2024 portant renouvellement et modification des conditions
d’inscription de la pince myoélectrique pour prothèse externe du membre supérieur
AXON-HOOK de la société OTTO BOCK France inscrite au titre II de la liste des produits
et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité sociale
39 Arrêté du 18 novembre 2024 portant renouvellement d’inscription du substitut osseux sur
mesure non résorbable GLACE de la société DISPOMED inscrit au titre III de la liste des
produits et prestations remboursables prévue à l’article L. 165-1 du code de la sécurité
sociale
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
mesures nominatives
ministère de l’intérieur
66 Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application
des dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de
l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité
sociale pour 2007 modifiée
67 Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application
des dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique
68 Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste
des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de
la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée
69 Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste
des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de
la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée
70 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions
du B du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la
sécurité sociale pour 2007 modifiée
71 Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi
no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
conventions collectives
Naturalisations et réintégrations
84 Décret du 18 novembre 2024 portant déchéance de la nationalité française
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
85 Décret du 18 novembre 2024 rapportant un décret de naturalisation
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
Informations parlementaires
Assemblée nationale
86 ORDRE DU JOUR
87 CONFÉRENCE DES PRÉSIDENTS
88 GROUPES POLITIQUES
89 COMMISSIONS ET ORGANES DE CONTRÔLE
90 DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
Sénat
91 COMMISSIONS / ORGANES TEMPORAIRES
92 DOCUMENTS DÉPOSÉS
93 DOCUMENTS PUBLIÉS
94 RÉSOLUTIONS
Avis et communications
Premier ministre
95 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur
ministère de la justice
96 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur (administration centrale)
ministère de l’intérieur
97 Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel (direction
départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations
de la Corse-du-Sud)
98 Avis de vacance d’un emploi de directeur départemental interministériel adjoint (direction
départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations de
la Corse-du-Sud)
99 Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur de l’achat et du suivi de l’exécution des
marchés (administration centrale : secrétariat général/direction de l’évaluation de la
performance, de l’achat, des finances et de l’immobilier)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
avis divers
Annonces
105 Demandes de changement de nom (textes 105 à 117)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117
LOIS
LOI no 2024-1039 du 19 novembre 2024 visant à renforcer
les outils de régulation des meublés de tourisme à l’échelle locale (1)
NOR : TECX2330139L
Article 1er
I. – Le code du tourisme est ainsi modifié :
1o L’article L. 324-1-1 est ainsi modifié :
a) Le II est abrogé ;
b) Le III est remplacé par des III et III bis ainsi rédigés :
« III. – Toute personne qui offre à la location un meublé de tourisme procède préalablement en personne à une
déclaration soumise à enregistrement auprès d’un téléservice national opéré par l’organisme public unique
mentionné au premier alinéa du II de l’article L. 324-2-1.
« La déclaration indique si le meublé de tourisme offert à la location constitue la résidence principale du loueur,
au sens de l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant
modification de la loi no 86-1290 du 23 décembre 1986. Si tel est le cas, le loueur en apporte la preuve dans sa
déclaration.
« A la réception de la déclaration complète, le téléservice délivre sans délai un avis de réception électronique
comprenant un numéro de déclaration. Le numéro de déclaration ainsi que les informations et les pièces
justificatives reçues dans le cadre de la déclaration sont mis sans délai à la disposition de la commune dans laquelle
est situé le meublé de tourisme et, le cas échéant, de l’établissement public de coopération intercommunale
compétent en matière de tourisme. En Corse, ces données sont également transmises à la collectivité de Corse.
« Le loueur met à jour la déclaration en cas de changement des informations et des pièces justificatives fournies
et renouvelle sa déclaration à l’expiration d’un délai fixé par décret.
« Un décret détermine les informations et les pièces justificatives qui sont exigées pour l’enregistrement de la
déclaration préalable, notamment la production d’un avis d’imposition sur le revenu établi au nom du loueur
incluant l’adresse du meublé de tourisme mis en location comme lieu d’imposition afin d’attester du respect de
l’exigence prévue au deuxième alinéa du présent III. Il détermine également les autres informations et pièces
justificatives pouvant être jointes à la déclaration afin de permettre le contrôle par la commune du respect des règles
applicables aux meublés de tourisme, notamment celles prévues aux articles L. 141-2, L. 442-3-5 et L. 631-7
à L. 631-10 du code de la construction et de l’habitation ainsi qu’à la présente section.
« III bis. – Outre les cas mentionnés à l’article 6 du règlement (UE) 2024/1028 du Parlement européen et du
Conseil du 11 avril 2024 concernant la collecte et le partage des données relatives aux services de location de
logements de courte durée, et modifiant le règlement (UE) 2018/1724, le maire peut également suspendre la
validité d’un numéro de déclaration et émettre une injonction aux plateformes numériques de location de courte
durée de retirer ou de désactiver l’accès au référencement d’une annonce lorsque le local concerné est visé par un
arrêté de mise en sécurité ou de traitement de l’insalubrité pris en application des articles L. 511-11 ou L. 511-19
du code de la construction et de l’habitation. » ;
c) Le IV est ainsi modifié :
– au début du premier alinéa, les mots : « Dans les communes ayant mis en œuvre la procédure d’enregistrement
de la déclaration préalable mentionnée au III, » sont supprimés ;
– la première phrase du second alinéa est complétée par les mots : « , que celui-ci constitue ou non sa résidence
principale » ;
d) Le IV bis est ainsi modifié :
– au premier alinéa, les mots : « ayant mis en œuvre la procédure d’enregistrement prévue au III » sont
remplacés par les mots : « où le changement d’usage des locaux d’habitation est soumis à autorisation
préalable, au sens des articles L. 631-7 à L. 631-9 du code de la construction et de l’habitation » ;
– le troisième alinéa est supprimé ;
2o Au second alinéa de l’article L. 324-2, les mots : « mentionnée au II de l’article L. 324-1-1 contient le numéro
de déclaration mentionné à cet article » sont remplacés par les mots : « d’un meublé de tourisme mentionné à
l’article L. 324-1-1 contient le numéro de déclaration mentionné au III du même article L. 324-1-1 » ;
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Article 5
I. – Le code de la construction et de l’habitation est ainsi modifié :
1o L’article L. 631-7 est ainsi modifié :
a) Après le mot : « communes », la fin de la première phrase du premier alinéa est ainsi rédigée : « dont la liste
est fixée par le décret mentionné au I de l’article 232 du code général des impôts. » ;
b) A la fin de la seconde phrase du même premier alinéa, les mots : « destinés à l’habitation est, dans les
conditions fixées par l’article L. 631-7-1, soumis à autorisation préalable » sont remplacés par les mots : « à usage
d’habitation peut être soumis, sur décision de l’organe délibérant, à autorisation préalable dans les conditions fixées
à l’article L. 631-7-1 » ;
c) Au deuxième alinéa, les mots : « destinés à l’habitation » sont remplacés par les mots : « à usage
d’habitation » ;
d) Les troisième et quatrième alinéas sont remplacés par quatre alinéas ainsi rédigés :
« Pour l’application de la présente section, un local est réputé à usage d’habitation s’il était affecté à cet usage
soit à une date comprise entre le 1er janvier 1970 et le 31 décembre 1976 inclus, soit à n’importe quel moment au
cours des trente dernières années précédant la demande d’autorisation préalable au changement d’usage ou la
contestation de l’usage dans le cadre des procédures prévues au présent livre, et sauf autorisation ultérieure
mentionnée au quatrième alinéa du présent article. Cet usage peut être établi par tout mode de preuve, la charge de
la preuve incombant à celui qui veut démontrer un usage illicite. Toutefois, les locaux construits ou ayant fait
l’objet de travaux après le 1er janvier 1970 sont réputés avoir l’usage pour lequel la construction ou les travaux ont
été autorisés, sauf autorisation ultérieure mentionnée au même quatrième alinéa.
« Lorsqu’une autorisation administrative a été accordée après le 1er janvier 1970 pour changer l’usage d’un local
mentionné au troisième alinéa, le local dont le changement d’usage a été autorisé et, dans le cas où cette
autorisation a été accordée contre compensation, le local ayant servi à compensation sont réputés avoir l’usage
résultant de l’autorisation.
« Une autorisation d’urbanisme ayant pour conséquence de changer la destination de locaux à usage d’habitation
ne constitue un mode de preuve valable que si elle est accompagnée d’une autorisation de changement d’usage.
« L’usage d’habitation s’entend de tout local habité ou ayant vocation à l’être même s’il n’est pas occupé
effectivement, notamment en cas de vacance ou lorsqu’il a fait l’objet d’un arrêté pris sur le fondement du livre V
du présent code. » ;
e) Au dernier alinéa, les mots : « destiné à l’habitation de manière répétée pour de courtes durées à une clientèle
de passage qui n’y élit pas domicile » sont remplacés par les mots : « à usage d’habitation en tant que meublé de
tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, » ;
2o L’article L. 631-7-1 A est ainsi modifié :
a) Après le mot : « physique », la fin du premier alinéa est ainsi rédigée : « ou à une personne morale de louer un
local à usage d’habitation en tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du
tourisme. » ;
b) La dernière phrase du deuxième alinéa est complétée par les mots : « ou personne morale » ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117
c) Après le même deuxième alinéa, sont insérés trois alinéas ainsi rédigés :
« La délibération peut également fixer, sur tout ou partie du territoire de la commune, dans une ou plusieurs
zones géographiques qu’elle délimite, le nombre maximal d’autorisations temporaires qui peuvent être délivrées ou
la part maximale de locaux à usage d’habitation pouvant faire l’objet d’une autorisation temporaire de changement
d’usage. Dans ce cas, dans les zones concernées, aucune autorisation permanente de changement d’usage de locaux
à usage d’habitation ne peut être délivrée sur le fondement de l’article L. 631-7 dans le but de louer un local à usage
d’habitation en tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, sauf si elle
est accordée contre une compensation. Toutes les autorisations sont délivrées pour une durée identique, inférieure à
cinq ans. La délibération définit la procédure de sélection entre les candidats, qui prévoit des garanties de publicité
et de transparence applicables de manière identique aux demandes initiales et aux demandes de renouvellement.
« Un local situé dans une résidence-services définie à l’article L. 631-13 du présent code, lorsqu’il est loué en
tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, et qu’il constitue, en dehors
de la somme des périodes pendant lesquelles il est loué en meublé de tourisme, une résidence principale au sens de
l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la
loi no 86-1290 du 23 décembre 1986, n’est pas inclus dans le calcul du nombre maximal d’autorisations
temporaires pouvant être délivrées ou de la part maximale de locaux à usage d’habitation pouvant faire l’objet
d’une autorisation temporaire sur le fondement du présent article.
« L’autorisation de changement d’usage ne peut être demandée que si le changement d’usage est conforme aux
stipulations contractuelles prévues dans le règlement de copropriété. Le demandeur en atteste par la production
d’une déclaration sur l’honneur. » ;
3o Le premier alinéa de l’article L. 631-9 est ainsi modifié :
a) Les mots : « par décision de l’autorité administrative sur proposition du maire ou, pour les communes dont la
liste est fixée par le décret mentionné au I de l’article 232 du code général des impôts, » sont supprimés ;
b) Est ajoutée une phrase ainsi rédigée : « Cette délibération est motivée par un déséquilibre entre l’offre et la
demande de logements entraînant des difficultés sérieuses d’accès au logement sur l’ensemble du parc résidentiel
existant. » ;
4o L’article L. 651-2 est ainsi modifié :
a) Au premier alinéa, les mots : « de l’article L. 631-7 » sont remplacés par les mots : « des articles L. 631-7 ou
L. 631-7-1 A », les mots : « dudit article » sont remplacés par les mots : « des mêmes articles L. 631-7 et
L. 631-7-1 A » et le montant : « 50 000 € » est remplacé par le montant : « 100 000 € » ;
b) A la première phrase du deuxième alinéa, après le mot : « transformé », sont insérés les mots : « , de l’autorité
organisatrice de l’habitat, de l’établissement public de coopération intercommunale compétent en matière
d’urbanisme » ;
5o Après le même article L. 651-2, il est inséré un article L. 651-2-1 ainsi rédigé :
« Art. L. 651-2-1. – Toute personne qui se livre ou prête son concours à la commission de l’infraction prévue à
l’article L. 651-2, contre rémunération ou à titre gratuit, par une activité d’entremise ou de négociation ou par la
mise à disposition de services, à l’exception de la mise à disposition d’une plateforme numérique, est condamnée à
une amende civile dont le montant ne peut excéder 100 000 € par local irrégulièrement transformé.
« Cette amende est prononcée par le président du tribunal judiciaire, statuant selon la procédure accélérée au
fond, sur assignation de la commune dans laquelle est situé le local irrégulièrement transformé ou de l’Agence
nationale de l’habitat. Le produit de l’amende est intégralement versé à la commune dans laquelle est situé ce local.
Le tribunal judiciaire compétent est celui dans le ressort duquel est situé le local. »
II. – Le code de l’urbanisme est ainsi modifié :
1o Après l’article L. 151-14, il est inséré un article L. 151-14-1 ainsi rédigé :
« Art. L. 151-14-1. – Le règlement peut délimiter, dans les zones urbaines ou à urbaniser, des secteurs dans
lesquels toutes les constructions nouvelles de logements sont à usage exclusif de résidence principale, au sens de
l’article 2 de la loi no 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la
loi no 86-1290 du 23 décembre 1986.
« La délimitation mentionnée au premier alinéa du présent article est possible lorsque, dans le périmètre du
règlement, la taxe annuelle sur les logements vacants mentionnée à l’article 232 du code général des impôts est
applicable ou lorsque les résidences secondaires représentent plus de 20 % du nombre total d’immeubles à usage
d’habitation.
« A peine de nullité, toute promesse de vente, tout contrat de vente ou de location ou tout contrat constitutif de
droits réels portant sur des constructions soumises à l’obligation prévue au présent article en porte la mention
expresse.
« Les logements concernés par l’obligation prévue au présent article ne peuvent faire l’objet d’une location en
tant que meublé de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, en dehors de la location
temporaire de la résidence principale dans les conditions prévues au premier alinéa du IV du même
article L. 324-1-1.
« Lorsque le règlement est modifié et supprime un secteur soumis à l’obligation prévue au présent article, les
logements concernés ne sont plus soumis à ladite obligation. » ;
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Article 6
La loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis est ainsi modifiée :
1o Après l’article 8-1, il est inséré un article 8-1-1 ainsi rédigé :
« Art. 8-1-1. – Les règlements de copropriété établis à compter de l’entrée en vigueur de la loi no 2024-1039
du 19 novembre 2024 visant à renforcer les outils de régulation des meublés de tourisme à l’échelle locale
mentionnent de manière explicite l’autorisation ou l’interdiction de location de meublés de tourisme, au sens du I
de l’article L. 324-1-1 du code de tourisme. » ;
2o Après le quatrième alinéa de l’article 26, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :
« d) La modification du règlement de copropriété qui concerne l’interdiction de location des lots à usage
d’habitation autres que ceux constituant une résidence principale, au sens de l’article 2 de la loi no 89-462
du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi no 86-1290
du 23 décembre 1986, en meublés de tourisme au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme.
« La modification prévue au d du présent article ne peut être décidée que dans les copropriétés dont le règlement
interdit toute activité commerciale dans les lots qui ne sont pas spécifiquement à destination commerciale. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117
Article 7
I. – Le code général des impôts est ainsi modifié :
A. – L’article 50-0 est ainsi modifié :
1o Le 1 est ainsi modifié :
a) A la fin du 1o, les mots : « , autres que ceux mentionnés aux 2o et 3o du III de l’article 1407 » sont supprimés ;
b) Le 1o bis est ainsi rédigé :
« 1o bis 15 000 € s’il s’agit d’entreprises dont l’activité principale est de louer directement ou indirectement des
meublés de tourisme, au sens du I de l’article L. 324-1-1 du code du tourisme, autres que ceux mentionnés aux 2o
et 3o du III de l’article 1407 du présent code ; »
c) Les cinquième à avant-dernier alinéas sont remplacés par trois alinéas ainsi rédigés :
« Lorsque l’activité d’une entreprise se rattache à plusieurs catégories définies aux 1o, 1o bis et 2o, le régime
défini au présent article n’est applicable que si le chiffre d’affaires hors taxes global de l’entreprise respecte la
limite mentionnée au 1o et si le chiffre d’affaires hors taxes afférent aux activités mentionnées aux 1o bis et 2o est
inférieur ou égal aux limites respectives mentionnées aux mêmes 1o bis et 2o.
« Le résultat imposable, avant prise en compte des plus-values ou des moins-values provenant de la cession des
biens affectés à l’exploitation, est égal au montant du chiffre d’affaires hors taxes diminué d’un abattement de 71 %
pour le chiffre d’affaires provenant d’activités de la catégorie mentionnée au 1o, d’un abattement de 50 % pour le
chiffre d’affaires provenant d’activités de la catégorie mentionnée au 2o et d’un abattement de 30 % pour le chiffre
d’affaires provenant d’activités de la catégorie mentionnée au 1o bis. Ces abattements ne peuvent être inférieurs
à 305 €.
« Les plus-values ou les moins-values mentionnées au sixième alinéa sont déterminées et imposées dans les
conditions prévues aux articles 39 duodecies à 39 quindecies, sous réserve de l’article 151 septies. Pour
l’application de la première phrase du présent alinéa, les abattements mentionnés au sixième alinéa du présent 1
sont réputés tenir compte des amortissements pratiqués selon le mode linéaire. » ;
d) Au dernier alinéa, après la référence : « 1 », sont insérés les mots : « , à l’exception du seuil prévu au 1o bis, » ;
2o Au a du 2, le mot : « quatrième » est remplacé par le mot : « cinquième » ;
B. – Au premier alinéa du III de l’article 151-0, les mots : « du douzième » sont remplacés par les mots : « de
l’avant-dernier ».
II. – Le présent article s’applique aux revenus perçus à compter du 1er janvier 2025.
III. – Pour l’imposition des revenus perçus en 2024, l’article 50-0 du code général des impôts s’applique dans sa
rédaction antérieure à la loi no 2023-1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024.
Article 8
Après l’article 9-1 de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 fixant le statut de la copropriété des immeubles bâtis, il
est inséré un article 9-2 ainsi rédigé :
« Art. 9-2. – Lorsqu’un lot de copropriété fait l’objet de la déclaration prévue à l’article L. 324-1-1 du code du
tourisme, le copropriétaire ou, par son intermédiaire, le locataire qui y a été autorisé en informe le syndic. Un point
d’information par le syndic relatif à l’activité de location de meublés touristiques au sein de la copropriété est
inscrit à l’ordre du jour de la prochaine assemblée générale. »
La présente loi sera exécutée comme loi de l’Etat.
Fait à Rio de Janeiro, le 19 novembre 2024.
EMMANUEL MACRON
Par le Président de la République :
Le Premier ministre,
MICHEL BARNIER
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
CATHERINE VAUTRIN
La ministre de la transition écologique, de l’énergie,
du climat et de la prévention des risques,
AGNÈS PANNIER-RUNACHER
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
ANTOINE ARMAND
La ministre du logement
et de la rénovation urbaine,
VALÉRIE LÉTARD
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu le code civil, notamment son article 1er ;
Vu l’urgence,
Décrète :
Art. 1 . – Entre en vigueur immédiatement, à compter de sa publication au Journal officiel de la République
er
française, l’arrêté du 19 novembre 2024 portant dérogation temporaire aux règles en matière de temps de conduite
pour les conducteurs assurant le transport d’équipements militaires dans le cadre l’opération Atlantic Resolve 24.
Art. 2. – Le présent décret sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur
immédiatement.
Fait le 19 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 18 novembre 2024, le nombre de promotions
offertes à l’examen professionnel pour l’accès au troisième grade de secrétaire administratif du ministère de la
justice au titre de l’année 2025, est fixé à 52.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 6 novembre 2024 pris pour l’application en 2024 des prélèvements sur fiscalité au titre
du retraitement de la dotation forfaitaire des communes 2023, du renouvellement de la
contribution au redressement des finances publiques des communes 2017, du renouvellement
de la contribution au redressement des finances publiques des régions 2017, du renouvelle
ment de la contribution au redressement des finances publiques des établissements publics
de coopération intercommunale à fiscalité propre 2018 et de la recentralisation sanitaire des
départements 2015
NOR : PTDB2427662A
La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation et le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Vu le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L. 2334-7-2, L. 2334-7-3 et L. 3334-1 ;
Vu la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances pour 2015, notamment son article 107 ;
Vu la loi no 2017-1837 du 30 décembre 2017 de finances pour 2018, notamment son article 159 ;
Vu la loi no 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019, notamment son article 250 ;
Vu le décret no 2021-1291 du 4 octobre 2021 relatif aux dotations de l’Etat aux collectivités territoriales et à la
péréquation des ressources fiscales, notamment son article 9,
Arrêtent :
Art. 1 . – En application des dispositions prévues aux articles L. 2334-7-2, L. 2334-7-3 et L. 3334-1 du code
er
général des collectivités territoriales, à l’article 107 de la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances
pour 2015, à l’article 159 de la loi no 2017-1837 du 30 décembre 2017 de finances pour 2018 et à l’article 250 de la
loi no 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019, le produit de la fiscalité directe locale des
communes, des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre, des départements et des
régions dont la liste figure en annexe est diminué en 2024 à hauteur des montants figurant dans cette même annexe.
Art. 2. – La directrice générale des collectivités locales, la directrice générale des finances publiques, les
préfets et les directeurs départementaux et régionaux des finances publiques des départements et régions
d’appartenance des communes, établissements publics de coopération intercommunale, départements et régions
concernés sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal
officiel de la République française.
Fait le 6 novembre 2024.
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
La directrice générale des collectivités locales,
C. RAQUIN
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur
chargé de la 5e sous-direction
de la direction du budget,
C. BOISNAUD
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117
ANNEXE
LISTE DES COMMUNES, ÉTABLISSEMENTS PUBLICS DE COOPÉRATION INTERCOMMUNALE À FISCALITÉ
PROPRE, DÉPARTEMENTS ET RÉGIONS QUI FONT L’OBJET D’UN PRÉLÈVEMENT SUR FISCALITÉ EN 2024
EN APPLICATION DES DISPOSITIONS PRÉVUES AUX ARTICLES L. 2334-7-2, L. 2334-7-3 ET L. 3334-1
DU CODE GÉNÉRAL DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES, À L’ARTICLE 107 DE LA LOI No 2014-1654
DU 29 DÉCEMBRE 2014 DE FINANCES POUR 2015, À L’ARTICLE 159 DE LA LOI No 2017-1837
DU 30 DÉCEMBRE 2017 DE FINANCES POUR 2018 ET À L’ARTICLE 250 DE LA LOI No 2018-1317
DU 28 DÉCEMBRE 2018 DE FINANCES POUR 2019
1. Prélèvements (en euros) au titre de l’article L. 2334-7-2 du code général des collectivités territoriales
Prélèvement sur fiscalité 2024
Code département Code INSEE au titre du retraitement
de la commune de la commune Nom commune de la dotation forfaitaire des communes 2023
(article L. 2334-7-2 du CGCT)
Total des prélèvement sur fiscalité 2024 liés au retraitement de la dotation forfaitaire des communes 734 622
2. Prélèvements (en euros) au titre de l’article L. 3334-1 du code général des collectivités territoriales et
de l’article 107 de la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances pour 2015
Prélèvement sur fiscalité 2024
Code département Libellé du département au titre de la recentralisation
sanitaire des départements
(article 107 de la loi no 2014-1654 de finances pour 2015)
Total des prélèvements sur fiscalité 2024 au titre de la recentralisation sanitaire des 2 827 491
départements (article 107 de la loi de finances no 2014-1654 de finances pour 2015)
95 VAL-D’OISE 65 216
Total des prélèvements sur fiscalité 2024 au titre de la recentralisation sanitaire des 8 166 505
départements (article L. 3334-1 du code général des collectivités territoriales)
3. Prélèvements (en euros) au titre de l’article L. 2334-7-3 du code général des collectivités territoriales,
de l’article 159 de la loi no 2017-1837 du 30 décembre 2017 de finances pour 2018 et de l’article 250 de la
loi no 2018-1317 du 28 décembre 2018 de finances pour 2019
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117
31 31404 OO 1 065
38 38289 OZ 47 768
39 39015 ARDON 24
55 55059 BONNET 25
Total des prélèvement sur fiscalité 2024 au titre du renouvellement de la contribution au redressement
des finances publiques 2017 26 533 151
39 243900610 CC LA GRANVALLIERE 56
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 117
Total des prélèvements sur fiscalité 2024 au titre du renouvellement de la contribution au redressement
des finances publiques des EPCI à fiscalité propre 32 110 544
01 GUADELOUPE 33 406
Total des prélèvements sur fiscalité opérés en 2024 au titre du renouvellement de la contribution
au redressement des finances publiques des régions 4 074 458
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 19 novembre 2024 portant dérogation temporaire aux règles en matière de temps de
conduite pour les conducteurs assurant le transport d’équipements militaires dans le cadre
l’opération Atlantic Resolve 24
NOR : PTDT2431149A
la 1re Division blindée de l’armée de Terre des Etats-Unis d’Amérique depuis le département des
Pyrénées-Atlantiques et jusqu’au département du Haut-Rhin, bénéficient, par dérogation à l’article 6 du règlement
du 15 mars 2006 susvisé, des dérogations temporaires suivantes :
1. – Dépassement de la durée maximale de conduite quotidienne dans la limite de deux heures ;
2. – Dépassement de la durée maximale de conduite hebdomadaire dans la limite de quatre heures.
Art. 2. – Les dérogations prévues à l’article 1er s’appliquent dans le respect des dispositions du code des
transports relatives aux temps de travail et de repos applicables aux conducteurs, notamment celles prévues aux
articles L. 3312-1 et R. 3312-50 à R. 3312-52.
Art. 3. – Les dérogations prévues à l’article 1er s’appliquent jusqu’au 24 novembre 2024 inclus.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française et fera l’objet d’une
notification à la Commission européenne en application de l’article 14.2 du règlement susvisé.
Fait le 19 novembre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Décide :
Art. 1er. – Délégation de signature est donnée à Mme Émilie MERLEN, attachée principale d’administration de
l’Etat, adjointe au directeur du centre ministériel de valorisation des ressources humaines, à l’effet de signer, au
nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général défini par le décret du 9 juillet 2008 susvisé, tous actes,
arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions du centre ministériel de valorisation
des ressources humaines (CMVRH).
Art. 2. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 1, dans la limite des attributions
qui sont confiées à leur entité, à l’effet de signer, au nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général
défini par le décret du 9 juillet 2008 susvisé, tous actes et décisions, à l’exclusion des actes suivants : décrets,
arrêtés, protocoles transactionnels, baux, et actes de commande publique d’un montant égal ou supérieur à 25 000 €
hors taxes.
Art. 3. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 2, dans la limite des attributions
qui leur sont confiées, à l’effet de signer, au nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général défini par le
décret du 9 juillet 2008 susvisé, tout acte de commande publique inférieur à 25 000 € hors taxes ainsi que tous les
actes cités à l’article 4.
Art. 4. – Délégation de signature est donnée aux agents désignés en annexe 3, dans la limite des attributions
qui leur sont confiées, à l’effet de signer, au nom des ministres ayant autorité sur le secrétariat général défini par le
décret du 9 juillet 2008 susvisé, tout acte relevant de leurs attributions, ainsi que tout acte relatif à l’exécution
budgétaire et comptable dans les outils de gestion budgétaire et comptable dans la limite de 25 000 € hors taxes.
Art. 5. – La décision du 31 juillet 2024 portant délégation de signature au centre ministériel de valorisation des
ressources humaines est abrogée à la date d’entrée en vigueur de la présente décision.
Art. 6. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117
ANNEXES
ANNEXE 1
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 2
Directeurs
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
Directeurs adjoints
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
JOLY Geneviève AAE HC Adjointe au chef de département et au directeur de site CVRH d’Arras-Valenciennes
ANNEXE 2
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 3
Secrétaires généraux
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
MOOTHOOCARPEN Anne ITPE Secrétaire générale du CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités
HACHIN Laurence APAE Secrétaire générale du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
BAUGNIES Laetitia AAE Secrétaire générale adjointe du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
DANYLAK-MATON Audrey AAE Adjointe au secrétaire général du CVRH de Clermont-Ferrand Toutes les entités
ARRACHART Jean-Marc AAE Secrétaire général du CVRH de Mâcon Toutes les entités
LENORMAND Bruno ITPE Secrétaire général du CVRH de Paris Toutes les entités
BATAILLE Pauline APAE Secrétaire générale du CVRH de Tours Toutes les entités
ANNEXE 3
DÉLÉGATION DE SIGNATURE PRÉVUE À L’ARTICLE 4
Secrétaires généraux
Nom/Prénom Grade Fonction Entités concernées du CMVRH
GIRAUD Thierry TSCDD Secrétaire général du CVRH de Clermont-Ferrand Toutes les entités
BONHOMME Christine SACDD CE Secrétaire générale du CVRH de Toulouse Toutes les entités
JULIEN Jean-Paul SACDD CE Adjoint à la secrétaire générale du CVRH d’Aix-en-Provence Toutes les entités
MACHENSKI Joëlle TSCDD Secrétaire générale adjointe du CVRH d’Arras-Valenciennes Toutes les entités
LE FLOCH Mikaël SACDD CS Adjoint à la secrétaire générale du CVRH de Nantes Toutes les entités
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 117
GUGGENBUHL Céline SACDD CN Gestionnaire comptable des CVRH de Paris et Nancy Toutes les entités
FERREIRA-MARTINS Béatrice SACDD CS Adjointe au secrétaire général du CVRH de Paris Toutes les entités
BRANILOVIC Sarah SACDD CS Adjointe au secrétaire général du CVRH de Rouen Toutes les entités
DUCROS Marie-Claude SACDD CS Gestionnaire financière au CVRH de Toulouse Toutes les entités
DENES Patricia AAP1 Gestionnaire de crédits au CVRH de Tours Toutes les entités
DECONIHOUT Cindy SACDD CN Gestionnaire comptable au CVRH de Tours Toutes les entités
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Publics concernés : magistrats, officiers et agents de police judiciaire, agents de l’office national anti-fraude,
médecins, et justiciables.
Objet : modalités de réalisation de l’examen médical par vidéotransmission ou tout autre moyen de
télécommunication audiovisuelle en cas de prolongation de garde à vue.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le jour de sa publication.
Notice : le décret modifie la partie réglementaire du code de procédure pénale pour préciser les conditions de
réalisation de l’examen médical par vidéo transmission ou par tout autre moyen de télécommunication
audiovisuelle en cas de prolongation de garde à vue. Par renvoi de l’article 323-5 du code des douanes, il est aussi
applicable à la prolongation de la retenue douanière.
Références : le décret est pris en application du cinquième alinéa de l’article 63-3 du code de procédure pénale,
modifié par l’article 6, 5o de la loi no 2023-1059 d’orientation et de programmation du ministère de la justice
2023-2027. Le décret ainsi que les dispositions du code de procédure pénal qu’il modifie peuvent être consultés sur
le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du garde des sceaux, ministre de la justice, du ministre de l’intérieur et de la ministre de la santé et
de l’accès aux soins,
Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 63-3 et R. 53-38 ;
Vu le code des douanes, notamment ses articles 323-5 et 323-6 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Après la section 3 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la partie réglementaire du code de procédure
er
« Ces vérifications font l’objet d’une mention au procès-verbal de déroulement de la garde à vue émargée par
l’intéressée.
« L’autorisation du procureur de la République et, le cas échéant, l’accord exprès des personnes mentionnées au
premier alinéa du I de l’article 63-2 et au troisième alinéa de l’article 63-3 peuvent être recueillis par tout moyen. Il
en est fait mention au dossier.
« Lorsque l’examen médical est réalisé par vidéotransmission ou par tout autre moyen de télécommunication
audiovisuelle, il en est fait mention au procès-verbal de réquisition du médecin.
« Lorsque le médecin requis estime que l’examen à distance n’est pas adapté, il transmet à l’officier de police
judiciaire une attestation indiquant qu’un examen physique direct de la personne gardée à vue est nécessaire.
« L’examen médical donne lieu à la rédaction d’une attestation de réalisation transmise à l’officier de police
judiciaire par le médecin requis qui mentionne tout incident ayant perturbé la qualité de la vidéotransmission ou du
moyen de télécommunication audiovisuelle. Si le ou les incidents ont empêché la réalisation de l’examen, l’officier
de police judiciaire peut demander de procéder à un nouvel examen médical à distance, dès que possible. Dans le
cas où les obstacles techniques ne peuvent être levés, l’officier de police judiciaire demande sans délai la réalisation
d’un examen médical physique.
« Le médecin requis transmet le certificat médical par voie de communication électronique sécurisée à l’officier
de police judiciaire l’ayant désigné. Ce certificat est versé au dossier. »
Art. 2. – Aux I, II et III de l’article R. 251 du code de procédure pénale, les mots compris entre : « dans sa
rédaction résultant du » et « , sous réserve des adaptations prévues au présent titre. » sont remplacés par les
mots : « décret no 2024-1041 du 18 novembre 2024 ».
Art. 3. – Le garde des sceaux, ministre de la justice, le ministre de l’intérieur, la ministre de la santé et de
l’accès aux soins, le ministre auprès du Premier ministre, chargé des outre-mer, et le ministre auprès du Premier
ministre, chargé du budget et des comptes publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du
présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
Le ministre de l’intérieur,
BRUNO RETAILLEAU
Le garde des sceaux,
ministre de la justice,
DIDIER MIGAUD
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
GENEVIÈVE DARRIEUSSECQ
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé des outre-mer,
FRANÇOIS-NOËL BUFFET
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Arrêté du 31 octobre 2024 désignant l’opération de restructuration ouvrant droit aux dispositifs
d’accompagnement des agents dans le cadre de la réorganisation des services territoriaux de la
direction départementale des territoires et de la mer du Nord
NOR : INTA2429473A
Arrêtent :
Art. 1 . – La réorganisation des services territoriaux de la direction départementale des territoires et de la mer
er
du Nord constitue une opération de restructuration de service au sens du décret du 23 décembre 2019 susvisé.
Conformément à l’article 1er du décret du 23 décembre 2019 susvisé, cette opération de restructuration ouvre
droit, pour chaque emploi et fonctions concernés, aux dispositifs indemnitaires et d’accompagnement énumérés à
l’article 2 du présent arrêté.
Art. 2. – Les fonctionnaires, dont le poste est identifié en annexe, concernés par l’opération de restructuration
mentionnée à l’article 1er du présent arrêté peuvent bénéficier de la prime de restructuration de service et de
l’allocation d’aide à la mobilité du conjoint dans les conditions fixées par le décret du 17 avril 2008 susvisé.
Art. 3. – Le bénéfice des dispositions prévues à l’article 2 est ouvert du 1er mars 2024 jusqu’au 1er mars 2025.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 31 octobre 2024.
Le ministre de l’intérieur,
Pour le ministre et par délégation :
Le secrétaire général,
D. MARTIN
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
L’adjointe à la directrice
des ressources humaines,
C. TRANCHANT
Le ministre de la fonction publique, de la simplification
et de la transformation de l’action publique,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice de la synthèse statutaire,
des politiques territoriales et des partenariats,
H. MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 117
ANNEXE
LISTE DES POSTES CONCERNÉS PAR L’OPÉRATION DE RESTRUCTURATION RELATIVE À LA RÉORGANI
SATION DES SERVICES TERRITORIAUX DE LA DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES TERRITOIRES ET DE LA
MER DU NORD
Intitulé des postes avant réorganisation Service de rattachement avant réorganisation
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Arrêté du 12 novembre 2024 autorisant au titre de l’année 2025 l’ouverture d’un concours externe
et d’un concours interne pour le recrutement d’adjoints administratifs principaux de 2e classe
de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région Ile-de-France
NOR : INTA2429945A
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 1er octobre 2024 modifiant l’arrêté du 12 mars 2014 modifié portant création de la
spécialité « installateur, dépanneur en froid et conditionnement d’air » de brevet professionnel
et fixant ses modalités de délivrance
NOR : MENE2426031A
modifié susvisé » sont ajoutés les mots : « ou du baccalauréat professionnel “métiers du froid et des énergies
renouvelables” créé par l’arrêté du 10 mars 2021 modifié susvisé ».
Art. 2. – La directrice générale de l’enseignement scolaire et les recteurs d’académie sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 1er octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de l’instruction publique,
et de l’action pédagogique, adjointe
à la directrice générale de l’enseignement scolaire,
R.-M. PRADEILLES-DUVAL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 12 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
conformément aux dispositions de l’arrêté du 3 septembre 1997 portant définition et fixant les conditions de
délivrance du brevet professionnel Gouvernante aura lieu en 2026 avec une session supplémentaire en 2027 pour
les candidats qui se sont présentés à une session précédente.
Art. 2. – A l’issue de cette session qui s’achève le 31 décembre 2027, l’arrêté du 3 septembre 1997
susmentionné sera abrogé.
Art. 3. – La directrice générale de l’enseignement scolaire et les recteurs d’académie sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 8 octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de l’instruction publique
et de l’action pédagogique, adjointe
à la directrice générale de l’enseignement scolaire,
R.-M. PRADEILLES-DUVAL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 21 octobre 2024 modifiant l’arrêté du 17 décembre 2018 portant création de la spécialité
« métiers du commerce et de la vente » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités
de délivrance
NOR : MENE2428487A
arrêté.
Art. 2. – La directrice générale de l’enseignement scolaire et les recteurs d’académie sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 21 octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
La cheffe du service de l’instruction publique
et de l’action pédagogique, adjointe
à la directrice générale de l’enseignement scolaire,
R.-M. PRADEILLES-DUVAL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 117
ANNEXE
ANNEXE II b
RÈGLEMENT D’EXAMEN
Spécialité : – élèves dans un établis – élèves dans un établisse Stagiaires de la forma
sement public ou privé ment privé hors contrat ; tion professionnelle
MÉTIERS DU COMMERCE ET DE LA VENTE sous contrat ; – apprentis dans un CFA non continue dans un
du Baccalauréat professionnel – apprentis dans un CFA habilité au CCF ; établissement public
porté par un EPLE, habilité au CCF inté
Option A Animation et gestion GRETA ou GIP-FCIP – stagiaires de la formation
professionnelle continue gral.
de l’espace commercial assurant toute la forma
tion ; en établissement privé ;
– apprentis dans un CFA – candidats de l’enseigne
habilité au CCF ; ment à distance ;
Option B Prospection clientèle – stagiaires de la forma – c a n d i d a t s j u s t i fi a n t
et valorisation de l’offre commerciale tion professionnelle de 3 années d’activités
continue dans un éta professionnelles.
blissement public.
Ponctuel Ponctuel
Sous-épreuve E11 : Economie-droit U 11 1 écrit 2 h 30 écrit 2 h 30 CCF
Ponctuel
Sous-épreuve E12 : Mathématiques U 12 1 CCF écrit 1h CCF
et pratique
E3 Pratique professionnelle 9
Ponctuel
Sous épreuve E31 : Vente-conseil U31 3 CCF oral 30 min CCF
Ponctuel
Sous-épreuve E32 : Suivi des ventes U32 2 CCF oral 30 min CCF
Ponctuel Ponctuel
Sous épreuve E34 Prévention santé environnement U34 1 écrit 2h écrit 2h CCF
Ponctuel 20 min
Sous-épreuve E41 Langue vivante 1 U44 2 CCF oral CCF
(1)
Ponctuel 20 min
Sous-épreuve E42 Langue vivante 2 U42 2 CCF oral CCF
(1)
Ponctuel Ponctuel
Sous-épreuve E51 : Français U54 2,5 écrit 2 h 30 écrit 2 h 30 CCF
Ponctuel
E6 Epreuve d’arts appliqués et cultures artistiques U6 1 CCF écrit 1 h 30 CCF
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 22 octobre 2024 relatif aux taux de promotion dans certains corps de fonctionnaires
relevant du ministère de l’éducation nationale
NOR : MENH2425205A
pouvant être prononcés au titre de l’année 2025 dans certains corps du ministère de l’éducation nationale en
application du décret du 1er septembre 2005 susvisé figurent en annexe du présent arrêté.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 22 octobre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des ressources humaines,
B. MELMOUX-EUDE
ANNEXE
CORPS ET GRADES TAUX APPLICABLE
Corps des secrétaires administratifs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur régi par le décret no 2009-
1388 du 11 novembre 2009 modifié portant dispositions statutaires communes à divers corps de fonctionnaires de la
catégorie B et le décret no 2016-581 du 11 mai 2016 modifiant divers décrets relatifs à l’organisation des carrières des
fonctionnaires de catégorie B de la fonction publique de l’Etat
Pour 2025 18 %
Pour 2025 14 %
Corps des adjoints administratifs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur régi par le décret no 2016-580
du 11 mai 2016 modifié relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires de catégorie C de la fonction publique de
l’Etat et le décret no 2006-1760 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux dispositions statutaires communes applicables
aux corps d’adjoints administratifs des administrations de l’Etat
Pour 2025 28 %
Corps des adjoints techniques des établissements d’enseignement du ministère de l’éducation nationale régi par le
décret no 91-462 du 14 mai 1991 modifié fixant les dispositions statutaires applicables au corps des adjoints techniques
des établissements d’enseignement et le décret no 2016-580 du 11 mai 2016 modifié relatif à l’organisation des carrières
des fonctionnaires de catégorie C de la fonction publique de l’Etat
Pour 2025 28 %
Corps des infirmières et infirmiers du ministère chargé de l’éducation nationale régi par le décret no 94-1020 du 23
novembre 1994 modifié fixant les dispositions statutaires communes applicables aux corps des infirmières et infirmiers
des services médicaux des administrations de l’Etat
Pour 2025 14 %
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
de l’éducation.
Art. 2. – L’arrêté du 17 novembre 2023 fixant la liste des écoles de production prévue à l’article L. 443-6 du
code de l’éducation est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’éducation nationale,
ANNE GENETET
La ministre du travail et de l’emploi,
ASTRID PANOSYAN-BOUVET
ANNEXE
LISTE DES ÉCOLES DE PRODUCTION
PRÉVUE À L’ARTICLE L. 443-6 DU CODE DE L’ÉDUCATION
7 Ecole de production Institut de Formation Technique de l’Ouest (IFTO), Vaillé Rochereau Nueil-sur Layon,
à Lys Haut Layon (49560)
36 Ecole de production Centre de Formation Professionnelle Charles de Foucauld Les jardiniers de Macheville,
2, rue Macheville, Lamastre (07270) ;
TEXTES GÉNÉRAUX
présent arrêté.
Art. 2. – La directrice des affaires financières est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
ANNE GENETET
ANNEXE
LISTE DES ÉCOLES TECHNIQUES PRIVÉES RECONNUES PAR L’ÉTAT
Ecole de production de Thiérarche et de la Serre - Etincelle, 24, route d’Hirson, zone Créapôle, Vervins (02140).
Ecole de production Flamme, 18, rue de Verdun, Ham (80400).
Ecole de production La Prod’Factory, ZI de l’Omois, 8, avenue du Pré-des-Barres, Epaux-Bézu (02400).
Ecole de production de Belfort - EPB, Tech’hom 5, 11, rue Marcel-Pangon, Cravanche (90300).
Ecole de production Avenir Bois Formation, 9 bis, rue de la Viotte, Saint-Loup-sur-Semouse (70800).
Ecole de production du Morvan - EDPM58, La Charnizot, Biches (58110).
Ecole de production industrie 21 - EDPI21, 6, allée André-Bourland, Dijon (21000).
Ecole de production ECOPRA, 715, route de Saint-Félix, Rumilly (74150).
Ecole de production de Béthune Bruay - EP2B, 135, rue Raymond-Deruy, Bruay-La-Buissière (62700).
Ecole de production de la région dunkerquoise Littoral Tech - EPRD, Parc industriel des Repdyck, rue de l’Abbé
Grégoire, bâtiment 8, Grande-Synthe (59760).
Ecole de production Métallik Vallée Sud Mayenne - MVSM, 25, rue Gutenberg, Château-Gontier-sur-Mayenne
(53200).
Ecole de production Wood Up, 29 bis, rue de la Gare, Châteaubriant (44110).
Ecole de production Usin’Up Academy, 58, rue de Roumanie, Le Mans (72000).
Ecole de production Garage Mécanique Auto Argentan - GM2A, 23, rue Maurice-Ravel, Argentan (61200).
Ecole de production Fil en Normandie, rue des Drakkars, Condé sur Noireau, Condé en Normandie (14110).
Ecole de production Académie Industrielle Ha-Py, Zone Pyrène Aéropôle, Lanne (65380).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
programmation et des affaires générales, à l’effet de signer, au nom du ministre chargé de l’éducation nationale,
tous actes, arrêtés et décisions, à l’exclusion des décrets, dans la limite des attributions de la mission de la
programmation et des affaires générales.
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 octobre 2024.
A. LE BARON
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre des armées et des anciens combattants en date du 16 octobre 2024 :
I. – Le nombre de postes d’ingénieurs de l’armement offerts en 2025 au titre des recrutements prévus aux
articles 4, 5-1o, 5-2o, 6-1o, 6-2o, 6-3o du décret no 2008-941 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier
du corps militaire des ingénieurs de l’armement est ainsi fixé :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES
Article 5-1o : recrutement à titre initial d’ingénieurs de l’armement stagiaires par concours sur épreuves 0
Article 5-2o : recrutement à titre initial d’ingénieurs de l’armement stagiaires par concours sur titres 7
Article 6-1o : recrutement en cours de carrière par concours sur épreuves au grade d’IA 3
Article 6-2o : recrutement en cours de carrière par concours sur épreuves au grade d’IPA 3
Article 6-3o : recrutement en cours de carrière par concours sur titres au grade d’ICA 0
TOTAL 39
Les places non pourvues au titre des recrutements visés à l’article 4, au 2o de l’article 5 et aux 1o et 2o de
l’article 6 mentionnées ci-dessus peuvent être reportées sur un ou plusieurs autres recrutements.
II. – Le nombre de places offertes en 2025 aux concours prévus aux articles 6, 7 et 8 du décret no 2008-944
du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier de corps d’officiers de l’armement est ainsi fixé pour le
corps des ingénieurs des études et techniques de l’armement :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES
TOTAL 44
Les places offertes aux concours prévus à l’article 6 qui ne sont pas pourvues dans une ou plusieurs filières
peuvent être réparties entre les autres filières.
Recrutement à titre initial d’ingénieurs des études et techniques de l’armement par concours sur titres prévus à
l’article 7 :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES
Article 7 10
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 18 sur 117
Recrutement en cours de carrière par concours sur épreuves prévus à l’article 8 pour le recrutement au grade
d’ingénieur des études et techniques de l’armement :
NATURE DES CONCOURS NOMBRE DE PLACES OFFERTES
Article 8 1
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 13 mai 2014 portant institution de régies de
recettes et d’avances chargées de la gestion des comptes nominatifs des élèves des lycées de la
défense
NOR : ARMF2430682A
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 les montants de l’allocation
de reconnaissance définie par l’article 6 de la loi no 2005-158 du 23 février 2005 portant
reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés
NOR : ARMH2426925A
Le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, et le ministre délégué auprès
du ministre des armées et des anciens combattants,
Vu la loi no 2005-158 du 23 février 2005 modifiée portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale
en faveur des Français rapatriés, notamment son article 6,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le montant annuel de la rente viagère mentionnée au 1o du II de l’article 6 de la loi du 23 février 2005
er
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 18 novembre 2024 fixant à compter du 1er octobre 2024 le montant de l’allocation
viagère définie par l’article 133 de la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances
pour 2016
NOR : ARMH2426929A
Le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, et le ministre délégué auprès
du ministre des armées et des anciens combattants,
Vu la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 modifiée de finances pour 2016, notamment son article 133,
Arrêtent :
Art. 1 . – Le montant annuel de l’allocation viagère mentionnée au I de l’article 133 de la loi du
er
29 décembre 2015 susvisée est fixé à 9 407 euros à compter du 1er octobre 2024.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
Le ministre délégué auprès du ministre
des armées et des anciens combattants,
JEAN-LOUIS THIÉRIOT
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
ENERGIS 6 436,51 €
HUNELEC 5 217,91 €
RCEEM 8 917,20 €
SOREA 23 562,15 €
Art. 3. – En application de l’article R. 121-58 du code de l’énergie, à partir des déclarations faites en
application de l’article R. 151-51 du même code, adressées en 2024 et portant sur l’année 2023, les gestionnaires de
réseau public de distribution d’électricité qui reçoivent une dotation et le montant de cette dotation sont les
suivants :
Gestionnaire de réseau public
de distribution d’électricité Dotation 2024 (€)
Art. 4. – Le directeur de l’énergie est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 novembre 2024 fixant au titre de l’année 2024 le nombre de postes offerts à l’examen
professionnel pour l’accès au grade d’assistant principal de service social des administrations
de l’Etat
NOR : TECK2429390A
Par arrêté de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, de la ministre de la transition
écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques et de la ministre du logement et de la rénovation
urbaine en date du 15 novembre 2024, le nombre total des postes offerts à l’examen professionnel pour l’accès au
grade d’assistant principal de service social des administrations de l’Etat, au titre de l’année 2024, est fixé à 3.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 18 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 22 décembre 2014 définissant les opérations
standardisées d’économies d’énergie, l’arrêté du 4 septembre 2014 fixant la liste des éléments
d’une demande de certificats d’économies d’énergie et les documents à archiver par le
demandeur et l’arrêté du 29 décembre 2014 relatif aux modalités d’application du dispositif des
certificats d’économies d’énergie et modifiant les arrêtés modificatifs du 22 août 2024
et du 6 septembre 2024
NOR : TECR2428116A
Publics concernés : bénéficiaires et demandeurs dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie.
Objet : révision de fiches d’opérations standardisées d’économies d’énergie et corrections de certaines
dispositions des arrêtés demandes, contrôles et modalités dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie.
Entrée en vigueur : le présent arrêté entre en vigueur le lendemain de sa publication, à l’exception des
dispositons de l’article 1er qui s’appliquent aux opérations engagées à compter du 1er janvier 2025.
Notice : l’article 1er révise les fiches d’opérations standardisées suivantes en y actualisant la norme
d’application obligatoire définissant l’évaluation de la résistance thermique des isolants réfléchissants :
BAR-EN-101 « Isolation de combles ou de toiture », BAR-EN-102 « Isolation des murs », BAR-EN-103 « Isolation
d’un plancher », BAR-EN-105 « Isolation des toitures terrasses », BAR-EN-106 « Isolation de combles ou de
toitures (France d’outre-mer) », BAR-EN-107 « Isolation des murs (France d’outre-mer) », BAT-EN-101
« Isolation de combles ou de toitures », BAT-EN-102 « Isolation des murs », BAT-EN-103 « Isolation d’un
plancher », BAT-EN-106 « Isolation de combles ou de toitures (France d’outre-mer) », BAT-EN-107 « Isolation
des toitures terrasses » et IND-EN-102 « Isolation de combles ou de toitures (France d’outre-mer). La norme
d’accréditaiton COFRAC est actualisée pour les fiches suivantes : BAR-EN-102, BAR-EN-105, BAR-EN-107,
BAT-EN-102, BAT-EN-107. Une date d’abrogation à compter du 1er mai 2027 est introduite pour les fiches
suivantes : BAR-EN-102, BAR-EN-105, BAR-EN-107, BAT-EN-102, BAT-EN-107. L’article 2 corrige les fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-171 « Pompe à chaleur de type air/eau » et BAR-TH-172 « Pompe à chaleur
de type eau/eau ou sol/eau » en y précisant que la marque et la référence du régulateur doivent être mentionnées
dans les documents justifiant l’opération. L’article 3 corrige la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177
« Rénovation globale de bâtiment résidentiel collectif (France métropolitaine) » en y ajoutant une date
d’abrogation de la fiche. L’article 4 corrige le référentiel de contrôle relatif à la BAR-TH-177 et au Coup de pouce
« Rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif (France métropolitaine) » avec l’ajout de la partie sur
le contrôle à l’achèvement des travaux et corrige la référence réglementaire faisant foi dans le cadre d’une
demande de permis de construire ou une déclaration préalable de travaux dans le cas de bâtiments décidant de
travaux relevant de la fiche BAR-TH-145 avant 1er novembre 2024. L’article 5 vient préciser les modalités de
remplissage des tableaux récapitulatifs dans le cas d’une demande de certificats d’économie d’énergie, pour les
opérations relatives à la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177. L’article 6 modifie la charte Coup de pouce
« Rénovation d’ampleur des maisons et appartements individuels » en y précisant qu’un organisme de contrôle ne
peut effectuer le contrôle d’une opération pour laquelle il a, le cas échéant, réalisé l’audit énergétique.
Références : l’arrêté peut être consulté dans sa rédaction issue de ces modifications sur le site Légifrance
(https://www.legifrance.gouv.fr).
La ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques,
Vu le code de l’énergie, notamment ses articles R. 221-9, R. 221-14 et R. 221-18 ;
Vu l’arrêté du 4 septembre 2014 modifié fixant la liste des éléments d’une demande de certificats d’économies
d’énergie et les documents à archiver par le demandeur ;
Vu l’arrêté du 22 décembre 2014 modifié définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie ;
Vu l’arrêté du 29 décembre 2014 modifié relatif aux modalités d’application du dispositif des certificats
d’économies d’énergie ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
Vu l’arrêté du 22 août 2024 modifiant l’arrêté du 4 septembre 2014 modifié fixant la liste des éléments d’une
demande de certificats d’économies d’énergie et les documents à archiver par le demandeur, l’arrêté
du 22 décembre 2014 modifié définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie et l’arrêté
du 28 septembre 2021 modifié relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des certificats d’économies
d’énergie ;
Vu l’arrêté du 6 septembre 2024 modifiant le Coup de pouce « Rénovation performante de bâtiment résidentiel
collectif » du dispositif des certificats d’économies d’énergie ;
Vu l’avis du Conseil supérieur de l’énergie du 17 octobre 2024,
Arrête :
Art. 1 . – Les fiches d’opérations standardisées figurant en annexe A au présent arrêté remplacent les fiches
er
portant les mêmes références figurant en annexe 2 à l’arrêté du 22 décembre 2014 susvisé.
Art. 2. – Les fiches d’opérations standardisées figurant en annexe B au présent arrêté remplacent les fiches
portant les mêmes références figurant en annexe B à l’arrêté du 22 août 2024 susvisé.
Art. 3. – La fiche d’opération standardisée figurant en annexe C au présent arrêté remplace la fiche portant la
même référence figurant en annexe A à l’arrêté du 6 septembre 2024 susvisé.
Art. 4. – L’arrêté du 6 septembre 2024 susvisé est ainsi modifié :
I. – Le II de l’article 3 est remplacé par les dispositions suivantes :
« II. – Après la partie E bis de l’annexe III, est insérée une partie E ter ainsi rédigée :
« “E ter. Fiche d’opération standardisée BAR-TH-177 « Rénovation globale d’un bâtiment résidentiel
collectif (France métropolitaine) » :
« “Le contrôle de ces opérations est réalisé sur les parties visibles et accessibles, sans sondage ou prélèvements
destructifs. De façon générale, tout constat de non-qualité manifeste de nature à remettre en cause la performance
énergétique, la pérennité ou la sécurité des matériaux et équipements doit conduire à classer l’opération en « non
satisfaisant ».
« “L’organisme d’inspection mène des opérations de contrôle en fin de phase d’audit énergétique et avant la
réalisation des travaux (cf. partie E ter.I ci-dessous) et à l’achèvement des travaux (cf. partie E ter.II ci-dessous).
« “E ter.I. – En fin de phase d’audit énergétique, l’organisme d’inspection réalise un contrôle du contenu
de l’audit énergétique, et vérifie, lors d’une visite sur site, la cohérence avec les données d’entrée de la
situation initiale de l’audit.
« “E ter.I.1. Contrôle du contenu de l’audit énergétique :
« “Les critères suivants doivent conduire à un classement « non satisfaisant » de l’opération :
« “1) L’audit énergétique n’a pas été réalisé à l’aide d’un logiciel répondant aux exigences de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-177 ; le rapport de contrôle mentionne, dans tous les cas, le nom et la version du
logiciel utilisé ;
« “2) L’audit énergétique ne mentionne pas les valeurs des consommations conventionnelles en énergie primaire
et en énergie finale avant et après l’opération ;
« “3) Il est constaté un écart de surface habitable de plus de 10 % (écart = (surface déclarée – surface mesurée) /
surface mesurée * 100) ; la surface mesurée correspond à une surface évaluée par l’organisme d’inspection ;
« “4) L’audit énergétique montre que le niveau de confort thermique de la situation après travaux est inférieur à
celui de la situation initiale, y compris en période de rigueur hivernale, notamment au travers de la note de calcul de
dimensionnement du nouveau générateur de chauffage le cas échéant ;
« “5) L’audit énergétique retranche des consommations conventionnelles d’énergies primaire ou finale la
production d’électricité autoconsommée ou exportée ;
« “6) L’audit énergétique prend en compte des installations de chauffage qui ne sont pas fixes.
« “E ter.I.2. Dans le cas où l’opération s’inscrit dans le cadre du Coup de pouce « Rénovation performante
de bâtiment résidentiel collectif », l’organisme d’inspection identifie, dans le rapport d’audit, les scénarios
de travaux qui satisfont aux critères du Coup de pouce sur la base des critères suivants, et donne un avis
« non satisfaisant » dès lors qu’aucun scénario de travaux ne satisfait à ces critères :
« “7) La consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire après travaux, rapportée à la surface de
référence du bâtiment, est inférieure à 331 kWh/(m2.an) ;
« “8) La baisse de consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire est conforme à celle attendue par
la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177 ;
« “9) Les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, rapportées à la surface de référence du
bâtiment, sont inférieures ou égales à la valeur initiale de ces émissions avant travaux ;
« “10) Les changements d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire le cas échéant
préconisés, hors raccordement à un réseau de chaleur, ne conduisent :
« “a. Ni à l’installation d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire consommant du
charbon ou du fioul ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
« “b. Ni à l’installation d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire incluant l’installation
d’au moins une chaudière au gaz, dont le taux de couverture défini comme le rapport entre la quantité de chaleur
fournie par l’ensemble des chaudières au gaz du système et les besoins annuels de chaleur pour les usages couverts
par le système, est supérieur à 30 % ;
« “c. Ni à une hausse des émissions de gaz à effet de serre.
« “E ter.I.3. Dans le cas où l’opération ne s’inscrit pas dans le cadre du Coup de pouce, l’organisme
d’inspection identifie, dans le rapport d’audit, les scénarios de travaux qui satisfont aux critèresde la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-177 sur la base des critères suivants, et donne un avis « non satisfaisant »
dès lors qu’aucun scénario de travaux ne satisfait à ces critères :
« “11) La consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire après travaux, rapportée à la surface de
référence du bâtiment, est inférieure à 331 kWh/(m2.an) ;
« “12) La baisse de consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire est conforme à celle attendue
par la fiche d’opération standardisée BAR-TH-177 ;
« “13) Les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, rapportées à la surface de référence du
bâtiment, sont inférieures ou égales à la valeur initiale de ces émissions avant travaux.
« “E ter.I.4. Le contrôle de l’audit énergétique conduit, par ailleurs, à un résultat « non satisfaisant » dès
lors qu’un écart manifeste est constaté entre les données d’entrée de la situation initiale utilisées dans l’audit
énergétique et les éléments constatés lors de la visite sur site (avant travaux), concernant les points suivants :
« “14) Niveau d’isolation des parois du bâtiment, et surfaces mises en jeu ;
« “15) Niveau d’isolation des menuiseries, et surfaces mises en jeu ;
« “16) Nature des combles (aménagés, perdus) ;
« “17) Description des systèmes de chauffage et de production d’eau chaude sanitaire, de la génération à
l’émission ;
« “18) Description des systèmes de ventilation ;
« “19) Description des systèmes de refroidissement, le cas échéant.
« “E ter.II. – Contrôles à l’achèvement des travaux :
« “L’organisme d’inspection s’assure d’un avis satisfaisant donné à l’audit énergétique.
« “L’organisme d’inspection réalise l’inspection sur le lieu de l’opération.
« “Les critères suivants doivent conduire à un classement non satisfaisant de l’opération :
« “1) Les travaux réalisés ne font pas partie des scénarios de travaux de l’audit énergétique éligibles au Coup de
pouce Rénovation performante de bâtiment résidentiel collectif, alors que l’opération s’inscrit dans ce Coup de
pouce ; ou, pour les opérations hors Coup de pouce, les travaux réalisés ne font pas partie des scénarios de travaux
de l’audit énergétique respectant les critères de la fiches d’opération standardisée BAR-TH-177 ;
« “2) Un écart est relevé entre les équipements et matériaux mis en place et le scénario retenu de l’audit
énergétique ou les factures des travaux en quantité et en qualité (performances thermiques et énergétiques) ;
« “3) Des non-qualités manifestes sont relevées, susceptibles, notamment, de remettre en cause le volume de
consommation conventionnelle annuelle d’énergie primaire ou d’énergie finale économisée du bâtiment rénové, la
pérennité des travaux ou les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, ou susceptibles de
remettre en cause la sécurité des installations ou l’usage normal des lieux ; à cette fin, l’organisme d’inspection se
fonde, le cas échéant, sur les listes des éléments à contrôler de la présente annexe III correspondant aux travaux
réalisés geste par geste, à l’exception des parties A. 1 (point 3), B. 1.1.1, C. I. A, D. I. A et F. I. A.” ; ».
II. – Le III de l’article 4 est remplacé par les dispositions suivantes :
« III. – Par dérogation aux dispositions du I du présent article, s’agissant des bâtiments autres que ceux
mentionnés au II du présent article et pour lesquels une demande de permis de construire ou une déclaration
préalable de travaux a été déposée avant le 1er novembre 2024, la date du récépissé mentionné à l’article R.* 423-3
du code de l’urbanisme faisant foi, relative à des travaux relevant de la fiche BAR-TH-145, les dispositions de
l’article 1er, des II et III de l’article 2 et de l’article 3 s’appliquent aux opérations engagées à compter
du 1er mars 2025 et les dispositions du I de l’article 2 s’appliquent aux opérations engagées à compter du
1er mars 2025 ou achevées à compter du 1er mai 2027. Dans ces cas, le demandeur de certificats archive une copie
du récépissé susmentionné.
« Dans ces cas, les dispositions de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-145 s’appliquent aux opérations
engagées jusqu’au 28 février 2025, achevées au plus tard le 30 avril 2027 et incluses dans une liste transmise, au
plus tard le 31 mars 2025, par le demandeur de certificats au ministre chargé de l’énergie, suivant le modèle intitulé
“Tableau de recensement des engagements BAR-TH-145” établi par la DGEC et mis à disposition sur le site
internet du ministère. »
Art. 5. – L’annexe 6 de l’arrêté du 4 septembre 2014 susvisé est ainsi modifié :
I. – L’alinéa commençant par les mots : « – pour la date de facture ou la date d’achèvement des travaux : » est
remplacé par les dispositions suivantes :
« – pour la date de facture ou la date d’achèvement des travaux : pour les opérations relevant des fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-174, BAR-TH-175 et BAR-TH-177, la date de facture ou la date
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
d’achèvement des travaux correspond à la date de la dernière facture ou la dernière date d’achèvement des
travaux ; ».
II. – L’alinéa commençant par les mots : « – pour le SIREN et la raison sociale du professionnel : » est remplacé
par les dispositions suivantes :
« – pour le SIREN et la raison sociale du professionnel : le professionnel est le professionnel ayant mis en
œuvre ou assuré la maîtrise d’œuvre de l’opération, ou à défaut, s’agissant de travaux relatifs aux fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-174, BAR-TH-175 et BAR-TH-177 le professionnel ayant réalisé les
travaux les plus coûteux du projet de travaux, signataire de l’attestation prévue au point I-9o de l’annexe 4 ou
au point 5 de l’annexe 5. La raison sociale peut être remplacée par le nom commercial du professionnel ou son
sigle, tels que portés au registre du commerce et des sociétés. Le cas échéant, pour les opérations relevant de
la fiche d’opération standardisée BAR-TH-174 et BAR-TH-175 valorisée par l’agence mentionnée à
l’article L. 321-1 du code de la construction et de l’habitation, ces colonnes correspondent respectivement au
SIREN et à la raison sociale de l’accompagnateur mentionné à l’article L. 232-3 du code de l’énergie ; ».
III. – L’alinéa commençant par les mots : « – pour les commentaires : » est remplacé par les dispositions
suivantes :
« – pour les commentaires : toute information nécessaire à la compréhension du dossier de demande par le Pôle
national des certificats d’économies d’énergie (PNCEE), notamment concernant le respect des dispositions du
troisième alinéa de l’article R. 221-15 du code de l’énergie. Dans le cas des opérations relevant des fiches
d’opérations standardisées BAR-TH-174, BAR-TH-175 et BAR-TH-177 il s’agit d’indiquer la liste des
références des fiches d’opérations standardisées correspondant aux différents postes de travaux. Dans le cas
des opérations relevant de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-164, il convient d’indiquer le numéro de
la ligne correspondante du “Tableau de recensement des engagements BAR-TH-164” selon les cas de l’onglet
“Personnes physiques” ou de l’onglet “Personnes morales”. Dans le cas des opérations relevant de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-145, il convient d’indiquer le numéro de l’opération correspondante du
“Tableau de recensement des engagements BAR-TH-145” ou du “Tableau de recensement des engagements
BAR-TH-145 Dérogations” selon les cas de l’onglet “Personnes physiques” ou de l’onglet “Personnes
morales”. »
Art. 6. – L’annexe IV-5 au présent arrêté remplace l’annexe portant la même référence figurant dans l’arrêté
du 29 décembre 2014 susvisé.
Art. 7. – Les dispositions de l’article 1er s’appliquent aux opérations engagées à compter du 1er janvier 2025.
Art. 8. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
Pour la ministre par délégation :
La directrice du climat,
de l’efficacité énergétique et de l’air,
D. SIMIU
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ANNEXES
ANNEXE A
CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE
Opération no BAR-EN-101
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place d’un procédé d’isolation thermique en comble perdu ou en rampant de toiture. Un procédé
d’isolation est constitué de l’association d’un matériau isolant et de dispositifs de fixation et de protection (tels que
des revêtements, parements, membranes continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son exposition aux
environnements extérieurs et intérieurs (telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige, les chocs,
l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à :
– 7 m2.K/W en comble perdu ;
– 6 m2.K/W en rampant de toiture.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel effectue, au plus tard avant l’établissement du devis, une visite technique du bâtiment au cours
de laquelle il valide que la mise en place du procédé d’isolation dans les combles ou en toiture de ce bâtiment est en
adéquation avec ce dernier. Le cas échéant, il s’assure, lors de cette visite, que l’isolation existante peut être
conservée en l’état. Dans le cas contraire, il est procédé, lors des travaux, soit à la remise en état de l’isolation
existante, soit à sa dépose.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o, du 13o ou du 14o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération comporte les mentions de :
– la mise en place d’une isolation de combles ou de toiture ;
– les marque et référence ainsi que l’épaisseur et la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage) ;
– la date de la visite du bâtiment.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée ainsi que la date de la visite du bâtiment par le professionnel et elle est
complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace économique européen et
accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre
organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de la
coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
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nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Montant en kWh cumac par m2 d’isolant en fonction de la zone climatique Surface d’isolant (m2)
H1 H2 H3
X S
1 700 1 400 920
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o, du 13o ou du 14o du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
* Nom .......................................................................................................................................................................
* Prénom ..................................................................................................................................................................
* Raison sociale : .....................................................................................................................................................
* No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
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1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place d’un procédé d’isolation (complexe ou sur ossature) sur mur(s) en façade ou en pignon. Un
procédé d’isolation est constitué de l’association d’un matériau isolant et de dispositifs de fixation et de protection
(tels que des revêtements, parements, membranes continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son
exposition aux environnements extérieurs et intérieurs (telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige,
les chocs, l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à 3,7 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel effectue, avant l’établissement du devis, une visite technique du bâtiment au cours de laquelle il
valide que la mise en place du procédé d’isolation sur les murs de ce bâtiment est en adéquation avec ce dernier. Le
cas échéant, il s’assure, lors de cette visite, que l’isolation existante peut être conservée en l’état. Dans le cas
contraire, il est procédé, lors des travaux, soit à la remise en état de l’isolation existante, soit à sa dépose.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
11o ou du 12o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation installée ;
– et la date de la visite technique préalable par le professionnel.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des
organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur). En cas de mention
d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour
les références proposées en différentes épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance
thermique de l’isolation installée, doit impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Zone climatique Montant en kWh cumac par m2 d’isolant Surface d’isolant (m2)
H1 1 600
H2 1 300 X S
H3 880
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Opération no BAR-EN-103
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
– mise en place d’un procédé d’isolation sur/sous un plancher bas situé entre un volume chauffé et un sous-sol
non chauffé, un vide sanitaire ou un passage ouvert. Un procédé d’isolation est constitué de l’association d’un
matériau isolant et de dispositifs de fixation et de protection (tels que des revêtements, parements, membranes
continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son exposition aux environnements extérieurs et
intérieurs (telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige, les chocs, l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à 3 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel effectue, au plus tard avant l’établissement du devis, une visite technique du bâtiment au cours
de laquelle il valide que la mise en place des isolants en plancher bas de ce bâtiment est en adéquation avec ce
dernier. Le cas échéant, il s’assure, lors de cette visite, que l’isolation existante peut être conservée en l’état. Dans
le cas contraire, il est procédé, lors des travaux, soit à la remise en état de l’isolation existante, soit à sa dépose.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
15o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation thermique d’un plancher bas ;
– les marque et référence ainsi que l’épaisseur et la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au niveau de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage) ;
– la date de la visite technique préalable par le professionnel.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau d’isolation en
plancher bas avec ses marque et référence et la surface de matériau installée ainsi que la date de la visite préalable
par le professionnel et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace
économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation
(COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans
le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
H1 H2 H3
X S
1 100 890 590
Opération no BAR-EN-105
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place, en toiture terrasse, d’un procédé d’isolation extérieur. Un procédé d’isolation est constitué de
l’association d’un matériau isolant et de dispositifs de protection (tels que des revêtements, parements, membranes
continues si nécessaire) contre des dégradations liées à son exposition aux environnements extérieurs et intérieurs
(telles que le rayonnement solaire, le vent, la pluie, la neige, les chocs, l’humidité, le feu).
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La résistance thermique R de l’isolation installée (la résistance thermique de l’isolation existante n’étant pas, le
cas échéant, prise en compte) est supérieure ou égale à 4,5 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme
NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants
réfléchissants. La présente fiche respecte, de plus, les dispositions de l’article 2 bis de l’arrêté du 22 décembre 2014
définissant les opérations standardisées d’économies d’énergie.
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le cas échéant, le professionnel s’assure que l’isolation existante peut être conservée en l’état. Dans le cas
contraire, il est procédé soit à la remise en état de l’isolation existante, soit à sa dépose.
Le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences prévues à
l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
13o du I de l’article 1er du décret précité.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation installée.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des
organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur). En cas de mention
d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an aprés sa date de fin de validité. Pour
les références proposées en différentes épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance
thermique de l’isolation installée, doit impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel ayant réalisé l’opération.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Surface d’isolant
Zone climatique Montant en kWh cumac par m2 d’isolant
en m2
H1 1 200
H2 1 000 X S
H3 670
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants ou neufs en France d’outre-mer à l’exception des bâtiments neufs à la Réunion
construits à une altitude supérieure à 600 m.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en comble perdu ou en rampant de toiture.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,5 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Le professionnel effectue, au plus tard avant l’établissement du devis, une visite du bâtiment au cours de laquelle
il valide que la mise en place des isolants dans les combles ou en toiture de ce bâtiment est en adéquation avec ce
dernier.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Lorsque le bénéficiaire est une personne physique, le professionnel qui procède à la réalisation de l’opération est
titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812
du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code général des impôts
et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes pris pour son
application.
Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du 4 du I de l’article 46 AX de l’annexe III du code général
des impôts.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation installée évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon les normes NF EN
12664, NF EN 12667, NF EN 12939 ou NF EN ISO 22097 ;
– la date de la visite du bâtiment ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants ou neufs en France d’outre-mer à l’exception des bâtiments neufs à la Réunion
construits à une altitude supérieure à 600 m.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur mur(s) en façade ou en pignon.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 0,5 m2.K/W. Elle est évaluée selon les
normes suivantes :
– pour les isolants non réfléchissants : normes NF EN 12664, NF EN 12667 ou NF EN 12939 ;
– pour les isolants réfléchissants : norme NF EN ISO 22097.
Lorsque le bénéficiaire est une personne physique, le professionnel qui procède à la réalisation de l’opération est
titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812
du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code général des impôts
et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes pris pour son
application.
Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du 3 du I de l’article 46 AX de l’annexe III du code général
des impôts.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation installée évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon les normes NF
EN 12664, NF EN 12667, NF EN 12939 ou NF EN ISO 22097.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des
organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon les normes NF EN 12664, NF EN 12667, NF EN 12939 ou NF EN ISO 22097. En cas de
mention d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de
validité. Pour les références proposées en différentes épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la
résistance thermique de l’isolation installée, doit impérativement en préciser l’épaisseur.
Le document justificatif spécifique à l’opération est la décision de qualification ou de certification du
professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en plancher de combles perdus ou en rampant de toiture.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 6 m2.K/W en plancher de comble
perdu ou en rampant de toiture.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
Une opération ne peut être engagée moins de douze mois suivant l’engagement d’une opération portant sur un
même bâtiment et un même bénéficiaire.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation de combles ou de toiture ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Bureaux, Enseignement,
H1 2 600 0,6
Commerces
1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage isolant (complexe ou sur ossature) sur murs par l’intérieur ou par l’extérieur.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 3,7 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation des murs ;
– et la surface d’isolant installé ;
– et la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination
européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Surface d’isolant
Energie de chauffage Secteur d’activité Facteur correctif en m2
Zone climatique
Electricité Combustible
Bureaux, Enseignement,
0,6
Commerces
H1 3 000 4 800
1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage isolant sur/sous plancher bas situé sur un sous-sol non chauffé, sur un vide sanitaire
ou sur un passage ouvert.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 3 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un pare-vapeur ou tout autre dispositif permettant d’atteindre un résultat équivalent est mis en place, lorsqu’il
est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la
performance de l’ouvrage.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date début des
travaux (pose de l’isolant).
Une opération ne peut être engagée moins de douze mois suivant l’engagement d’une opération portant sur un
même bâtiment et un même bénéficiaire.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation d’un plancher ; et
– la surface d’isolant installé ; et
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au niveau de la trappe d’accès ;
pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu’il est nécessaire de protéger les matériaux d’isolation
thermique contre les transferts d’humidité pour garantir la performance de l’ouvrage).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Bureaux, Enseignement,
H1 5 200 0,6
Commerces
1. Secteur d’application
Bâtiments tertiaires existants ou neufs, en France d’outre-mer.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en comble perdu, en rampant de toiture ou en toiture terrasse.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation installée ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
1. Secteur d’application
Locaux du secteur tertiaire existants réservés à une utilisation professionnelle.
2. Dénomination
Mise en place d’un doublage extérieur isolant en toiture terrasse ou couverture de pente inférieure à 5 %.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 4,5 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation de toiture-terrasse ; et
– la surface d’isolant installé ; et
– la résistance thermique de l’isolation mise en place évaluée, suivant la nature de l’isolant, selon l’une des
normes susvisées.
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface de matériau installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un
organisme établi dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le
Comité français d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord
européen multilatéral pertinent pris dans le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination
européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Montant en kWh cumac par m2 d’isolant
Surface d’isolant
Energie de chauffage Secteur d’activité Facteur correctif en m2
Zone climatique
Electricité Combustible
Bureaux, Enseignement,
0,6
Commerces
H1 1 800 2 800
*Bâtiment tertiaire existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
*Secteur d’activité :
□ Bureaux □ Enseignement □ Hôtellerie / Restauration □ Santé
□ Commerces □ Autres secteurs
*Energie de chauffage : □ Electricité □ Combustible
Caractéristiques de l’isolant posé :
*Surface d’isolant posé (m2) : ..................................................................................................................................
*Résistance thermique : R (m2.K/W) : ....................................................................................................................
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
*Epaisseur (mm) : ....................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
*Marque(s) : .............................................................................................................................................................
*Référence(s) : ..........................................................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 4,5 m2.K/W. Elle est évaluée selon la norme NF EN 12664, la
norme NF EN 12667 ou la norme NF EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les
isolants réfléchissants.
NB2 : dans le cas d’une pose superposée de plusieurs isolants, indiquer les marque et référence de chacun des isolants posés
ainsi que le R global et pour la surface d’isolant posée, la surface résultant de la superposition des isolants.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
1. Secteur d’application
Bâtiment industriel existant ou neuf en France d’outre-mer.
2. Dénomination
Mise en place d’une isolation thermique en plancher de combles, en rampant de toiture ou en toiture terrasse.
La présente fiche est abrogée à compter du 1er mai 2027.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
La résistance thermique R de l’isolation installée est supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
Un délai minimal de sept jours francs est respecté entre la date d’acceptation du devis et la date de début des
travaux (pose de l’isolant).
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une isolation ;
– la surface d’isolant installé ;
– la résistance thermique de l’isolation installée ;
– les aménagements nécessaires à la mise en place de l’isolation (coffrage ou écran de protection autour des
conduits de fumées et des dispositifs d’éclairage encastrés ; rehausse rigide au-dessus de la trappe d’accès).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un matériau avec ses marque et
référence et la surface installée, et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi
dans l’Espace économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français
d’accréditation (COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral
pertinent pris dans le cadre de la coordination européenne des organismes d’accréditation.
Ce document indique que le matériau de marque et référence mis en place est un isolant et précise ses
caractéristiques thermiques (résistance thermique ; ou conductivité thermique et épaisseur) évaluées, suivant la
nature de l’isolant, selon l’une des normes susvisées. En cas de mention d’une date de validité, ce document est
considéré comme valable jusqu’à un an après sa date de fin de validité. Pour les références proposées en différentes
épaisseurs, la preuve de réalisation, si elle ne mentionne pas la résistance thermique de l’isolation installée, doit
impérativement en préciser l’épaisseur.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
*Type de construction :
□ Existant
□ Neuf
Caractéristiques de l’isolant posé :
*Surface d’isolant posé (m2) : ..................................................................................................................................
*Résistance thermique R (m2.K/W) : .......................................................................................................................
NB1 : la résistance thermique R doit être supérieure ou égale à 1,2 m2.K/W.
NB2 : La résistance thermique est évaluée selon la norme NF EN 12664, la norme NF EN 12667 ou la norme NF
EN 12939 pour les isolants non réfléchissants et selon la norme NF EN ISO 22097 pour les isolants réfléchissants.
A ne remplir que si la résistance thermique n’est pas mentionnée sur la preuve de réalisation de l’opération :
*Epaisseur (mm) : ....................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence de l’isolant posé ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation
de l’opération :
*Marque(s) : .............................................................................................................................................................
*Référence(s) : ..........................................................................................................................................................
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
ANNEXE B
CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE
Opération no BAR-TH-171
Pompe à chaleur de type air/eau
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels existants.
2. Dénomination
Mise en place d’une pompe à chaleur (PAC) de type air/eau.
Ne donnent pas lieu à la délivrance de certificats d’économies d’énergie au titre de la présente fiche, les PAC
associées à un autre système de chauffage et les PAC utilisées uniquement pour le chauffage de l’eau chaude
sanitaire.
La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC installée au titre de la présente fiche est utilisée pour le chauffage et
l’eau chaude sanitaire.
La présente fiche s’applique aux opérations engagées jusqu’au 30 juin 2028.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
L’efficacité énergétique saisonnière pour le chauffage des locaux (ηs) de la PAC selon le règlement (EU)
no 813/2013 de la Commission du 2 août 2013, déterminée selon l’application de la PAC installée, est supérieure ou
égale à :
– 126 % pour une application basse température au sens du règlement susmentionné ;
– 111 % pour une application moyenne ou haute température.
La PAC est équipée d’un régulateur relevant de l’une des classes IV, V, VI, VII ou VIII telles que définies au
paragraphe 6.1 de la communication de la Commission 2014/C 207/02.
Le professionnel rédige une note de dimensionnement du générateur par rapport aux déperditions calculées à
T = Tbase. Les déperditions concernent les pièces du logement desservies par le réseau de chauffage, sans
considération des éventuels autres générateurs présents. Cette note est remise au bénéficiaire à l’achèvement des
travaux.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une pompe à chaleur de type air/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
– l’installation d’un régulateur ainsi que la classe, la marque et la référence de celui-ci.
L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de
chauffage des locaux (hors dispositif de régulation).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et
référence et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace
économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation
(COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans
le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des organismes
d’accréditation.
Ce document indique :
– que l’équipement de marque et référence mis en place est une pompe à chaleur de type air/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
– que l’équipement est équipé d’un régulateur, en précisant la classe, la marque et la référence de celui-ci.
En cas de mention d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date
de fin de validité.
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :
– la note de dimensionnement susmentionnée ;
– la décision de qualification ou de certification du professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles
prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
17 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Pour un appartement :
Efficacité énergétique Montant Facteur correctif Surface chauffée S Facteur correctif Zone
saisonnière (Etas) Usage kWhc selon la surface en m2 selon la zone géographique
chauffée géographique
Chauffage
et ECS 26 000 0,5 S < 35 1,2 H1
111 %≤ Etas<140 %
Chauffage 16 600 0,7 35 ≤ S < 60 1 H2
Chauffage
et ECS 42 000 1 60 ≤ S < 70 0,7 H3
140 %≤Etas<170 %
Chauffage 26 900 X 1,2 70 ≤ S < 90 X
Chauffage
et ECS 97 100 1,6 130 ≤ S
170%≤Etas<200%
Chauffage 76 300
Chauffage
et ECS 106 000
200%≤Etas
Chauffage 83 300
*Pour les personnes morales, nom du site des travaux ou nom de la copropriété : .............................................
*Adresse des travaux : .............................................................................................................................................
Complément d’adresse : ...........................................................................................................................................
*Code postal : ...........................................................................................................................................................
*Ville : ......................................................................................................................................................................
*Bâtiment résidentiel existant depuis plus de 2 ans à la date d’engagement de l’opération : □ OUI □ NON
*Type de logement : □ Maison individuelle □ Appartement
*Surface chauffée par la PAC installée (m2) : ........................................................................................................
Caractéristiques de la pompe à chaleur (PAC) :
*La pompe à chaleur est de type air/eau et est installée pour une application :
□ à basse température
□ à moyenne ou haute température
NB : Une application à basse température est une application dans laquelle un dispositif de chauffage des locaux par pompe à
chaleur fournit sa puissance calorifique déclarée pour une température de sortie de l’échangeur thermique intérieur de 35 °C.
NB : Une application à moyenne ou haute température est une application dans laquelle un dispositif de chauffage des locaux
par pompe à chaleur fournit sa puissance calorifique déclarée pour une température de sortie de l’échangeur thermique intérieur
d’au moins 55 °C.
NB : Une solution mixte de chauffage des locaux associe différents types d’émetteurs de chauffage fonctionnant à basse
température pour les uns et à moyenne ou haute température pour les autres ; elle est alors considérée comme une application à
moyenne ou haute température.
*Classe du régulateur : ..............................................................................................................................................
*Efficacité énergétique saisonnière (ηs) (en %) : ...................................................................................................
L’efficacité énergétique saisonnière (ηs) est calculée selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013.
NB : L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de chauffage
des locaux (hors dispositif de régulation).
*Usage couvert par la PAC :
□ Chauffage
□ Chauffage et eau chaude sanitaire
*Une note de dimensionnement a été remise au bénéficiaire : □ OUI □ NON
A ne remplir que si les marque et référence de la pompe à chaleur ne sont pas mentionnées sur la preuve de
réalisation de l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence du régulateur ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation de
l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
NB : La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant des fiches BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC est utilisée pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
*Nom ........................................................................................................................................................................
*Prénom ....................................................................................................................................................................
*Raison sociale : .......................................................................................................................................................
*No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
1. Secteur d’application
Maisons individuelles existantes.
2. Dénomination
Mise en place d’une pompe à chaleur (PAC) de type eau/eau ou sol/eau.
Ne donnent pas lieu à la délivrance de certificats d’économies d’énergie au titre de la présente fiche, les PAC
associées à un autre système de chauffage et les PAC utilisées uniquement pour le chauffage de l’eau chaude
sanitaire.
La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC installée au titre de la présente fiche est utilisée pour le chauffage et
l’eau chaude sanitaire.
La présente fiche s’applique aux opérations engagées jusqu’au 30 juin 2028.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
La mise en place est réalisée par un professionnel.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
L’efficacité énergétique saisonnière pour le chauffage des locaux (ηs) de la PAC selon le règlement (EU)
no 813/2013 de la Commission du 2 août 2013, déterminée selon l’application de la PAC installée, est supérieure ou
égale à :
– 126 % pour une application basse température au sens du règlement susmentionné ;
– 111 % pour une application moyenne ou haute température.
La PAC est équipée d’un régulateur relevant de l’une des classes IV, V, VI, VII ou VIII telles que définies au
paragraphe 6.1 de la communication de la Commission 2014/C 207/02.
Le professionnel rédige une note de dimensionnement du générateur par rapport aux déperditions calculées à
T = Tbase. Les déperditions concernent les pièces du logement desservies par le réseau de chauffage, sans
considération des éventuels autres générateurs présents. Cette note est remise au bénéficiaire à l’achèvement des
travaux.
La preuve de la réalisation de l’opération mentionne :
– la mise en place d’une pompe à chaleur de type eau/eau ou sol/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
– l’installation d’un régulateur ainsi que la classe, la marque et la référence de celui-ci.
L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de
chauffage des locaux (hors dispositif de régulation).
A défaut, la preuve de réalisation de l’opération mentionne la mise en place d’un équipement avec ses marque et
référence et elle est complétée par un document issu du fabricant ou d’un organisme établi dans l’Espace
économique européen et accrédité selon la norme NF EN ISO/IEC 17065 par le Comité français d’accréditation
(COFRAC) ou tout autre organisme d’accréditation signataire de l’accord européen multilatéral pertinent pris dans
le cadre de European co-operation for Accreditation (EA), coordination européenne des organismes
d’accréditation.
Ce document indique :
– que l’équipement de marque et référence mis en place est une pompe à chaleur de type eau/eau ou sol/eau ; et
– le type d’application choisi pour l’installation de la pompe à chaleur (basse température ; moyenne ou haute
température) ; et
– l’usage de la pompe à chaleur (chauffage ; chauffage et eau chaude sanitaire) ; et
– l’efficacité énergétique saisonnière (ηs) selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission du
2 août 2013 déterminée selon l’application de la PAC installée ; et
– que l’équipement est équipé d’un régulateur, en précisant la classe, la marque et la référence de celui-ci.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
En cas de mention d’une date de validité, ce document est considéré comme valable jusqu’à un an après sa date
de fin de validité.
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :
– la note de dimensionnement susmentionnée ;
– la décision de qualification ou de certification du professionnel délivrée selon les mêmes exigences que celles
prévues à l’article 2 du décret susvisé.
4. Durée de vie conventionnelle
20 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Chauffage
et ECS 53 400 0,5 S < 70 1,2 H1
111 %≤ Etas<140 %
Chauffage 42 000 0,7 70 ≤ S < 90 1 H2
Chauffage
et ECS 124 200
200 %≤Etas<230 %
Chauffage 97 600
Chauffage
et ECS 131 600
230 %≤Etas
Chauffage 103 500
NB : Une solution mixte de chauffage des locaux associe différents types d’émetteurs de chauffage fonctionnant à basse
température pour les uns et à moyenne ou haute température pour les autres ; elle est alors considérée comme une application à
moyenne ou haute température.
*Classe du régulateur : ..............................................................................................................................................
*Efficacité énergétique saisonnière (ηs) (en %) : ...................................................................................................
L’efficacité énergétique saisonnière (ηs) est calculée selon le règlement (EU) no 813/2013 de la Commission
du 2 août 2013.
NB : L’efficacité énergétique saisonnière prise en compte est celle de la pompe à chaleur seule pour les besoins de chauffage
des locaux (hors dispositif de régulation).
*Usage couvert par la PAC :
□ Chauffage
□ Chauffage et eau chaude sanitaire
*Une note de dimensionnement a été remise au bénéficiaire : □ OUI □ NON
A ne remplir que si les marque et référence de la pompe à chaleur ne sont pas mentionnées sur la preuve de
réalisation de l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
A ne remplir que si les marque et référence du régulateur ne sont pas mentionnées sur la preuve de réalisation de
l’opération :
*Marque : ..................................................................................................................................................................
*Référence : ..............................................................................................................................................................
NB : La présente opération n’est pas cumulable avec les opérations relevant de la fiche BAR-TH-148 « Chauffe-eau
thermodynamique à accumulation » si la PAC installée au titre de la présente fiche est utilisée pour le chauffage et l’eau chaude
sanitaire.
Le professionnel ayant réalisé l’opération est titulaire d’un signe de qualité répondant aux mêmes exigences que
celles prévues à l’article 2 du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts et des textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à des travaux relevant du
5o (dans le cas d’une PAC assurant uniquement le chauffage du logement) ou du 5o et du 6o (dans le cas d’une PAC
assurant le chauffage du logement et de l’eau chaude sanitaire) du I de l’article 1er du décret précité.
Identité du professionnel titulaire du signe de qualité ayant réalisé l’opération, s’il n’est pas le signataire de cette
attestation (sous-traitant par exemple) :
*Nom ........................................................................................................................................................................
*Prénom ....................................................................................................................................................................
*Raison sociale : .......................................................................................................................................................
*No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
ANNEXE C
CERTIFICATS D’ÉCONOMIES D’ÉNERGIE
Opération no BAR-TH-177
Rénovation globale d’un bâtiment résidentiel collectif (France métropolitaine)
1. Secteur d’application
Bâtiments résidentiels collectifs existants en France métropolitaine.
2. Dénomination
Rénovation thermique globale d’un bâtiment résidentiel collectif existant.
L’approche globale consiste à déterminer et à mettre en œuvre un bouquet de travaux optimal sur le plan
technico-économique.
Cette opération n’est pas cumulable avec d’autres opérations relevant d’autres fiches et ayant une date
d’engagement égale ou posterieure à la présente opération, pouvant donner lieu à la délivrance de certificats
d’économies d’énergie pour des travaux concernant le chauffage ou sa régulation, la production d’eau chaude
sanitaire, la ventilation, l’isolation de l’enveloppe du bâtiment, l’isolation du réseau hydraulique de chauffage ou
d’eau chaude sanitaire ou les systèmes d’automatisation et de contrôle du bâtiment dès lors que ces travaux sont
valorisés au titre de la présente fiche.
La présente fiche s’applique aux opérations engagées jusqu’au 31 octobre 2029.
3. Conditions pour la délivrance de certificats
Pour chaque catégorie de travaux intégrée dans le projet de rénovation globale et mentionnée aux 1o à 16o du I de
l’article 1er du décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de
l’article 200 quater du code général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code
général des impôts, le professionnel réalisant l’opération est titulaire d’un signe de qualité conforme aux exigences
prévues à l’article 2 du même décret et dans les textes pris pour son application. Ce signe de qualité correspond à
des travaux relevant soit du 17o du I de l’article 1er du décret précité, soit de l’une des catégories mentionnées aux 1o
à 16o du I du même décret correspondant aux travaux réalisés.
Un audit énergétique est réalisé préalablement aux travaux de rénovation globale du bâtiment. Cet audit
énergétique respecte les dispositions de l’article 8 de l’arrêté du 17 novembre 2020 relatif aux caractéristiques
techniques et modalités de réalisation des travaux et prestations dont les dépenses sont éligibles à la prime de
transition énergétique. Il est établi par une personne répondant aux conditions mentionnées au VII de l’article 2 du
décret du 14 janvier 2020 relatif à la prime de transition énergétique.
Les travaux permettent d’atteindre une performance énergétique globale minimale du bâtiment, déterminée par
l’audit énergétique, qui satisfait aux deux critères suivants :
– consommation conventionnelle annuelle en énergie primaire après travaux, rapportée à la surface de référence
des logements, inférieure à 331 kWh/m2.an pour les usages chauffage, refroidissement, production d’eau
chaude sanitaire, éclairage, et les auxiliaires de chauffage, de refroidissement, d’eau chaude sanitaire et de
ventilation ;
– gain énergétique d’au moins 35 % par rapport à la consommation conventionnelle annuelle en énergie
primaire avant travaux pour les usages définis ci-dessus.
Hors raccordement à un réseau de chaleur, les changements d’équipements de chauffage ou de production d’eau
chaude sanitaire ne doivent conduire ni à l’installation de chaudières consommant du charbon ou du fioul, ni à
l’installation d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire incluant l’installation d’au moins
une chaudière au gaz, dont le taux de couverture défini comme le rapport entre la quantité de chaleur fournie par
l’ensemble des chaudières au gaz du système et les besoins annuels de chaleur pour les usages couverts par le
système, est supérieur à 30 %.
Les émissions annuelles de gaz à effet de serre après rénovation, rapportée à la surface de référence du bâtiment,
sont inférieures ou égales à la valeur initiale de ces émissions avant travaux.
La preuve de réalisation de l’opération mentionne la liste des travaux réalisés avec leurs niveaux de
performance.
Les bâtiments d’habitation collectifs éligibles à la présente fiche sont ceux disposant d’au moins trois foyers
fiscaux distincts rattachés à des logements distincts.
Les documents justificatifs spécifiques à l’opération sont :
– le rapport de synthèse de l’audit énergétique, ainsi que sa mise à jour éventuelle, précisant les données de
consommations conventionnelles en énergie primaire et en énergie finale (sans déduction de la production
d’électricité autoconsommée ou exportée), avant et après travaux ainsi que le gain énergétique apporté par la
rénovation du bâtiment et les quantités annuelles de gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère avant et après
travaux du fait de la quantité d’énergie consommée, rapportés à la surface de référence du bâtiment. Ce
rapport précise le nom du logiciel de calcul utilisé dans le cadre de l’opération et son numéro de version ;
– le fichier source de l’audit énergétique (format « .xml » ou équivalent) retraçant l’ensemble des paramètres
utilisés pour la réalisation de l’audit énergétique ;
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– la liste des travaux préconisés avec leurs niveaux de performance et la correspondance avec la liste des
travaux réalisés, datée et signée par le bénéficiaire, le professionnel ayant réalisé l’audit énergétique et chaque
professionnel mettant en œuvre ou assurant la maîtrise d’œuvre de tout ou partie de l’opération, permettant
d’atteindre les performances énergétiques requises ;
– la liste des entreprises ayant effectué les travaux de rénovation en indiquant la nature de ces travaux et la
référence de leur qualification ou certification lorsque celle-ci est requise ;
– les attestations fiscales d’au moins trois foyers fiscaux distincts rattachés à des logements distincts ;
– les attestations déclarations préalables de travaux (DP) déposées par le propriétaire correspondant aux
surfaces supplémentaires rendues habitables par un nouvel aménagement intérieur du bâtiment existant
(aménagement de cave, de combles ou de tout autre espace, etc.) ou par une extension neuve ;
– dans le cas de bâtiments relèvant de la loi no 65-557 du 10 juillet 1965 modifiée fixant le statut de la
copropriété des immeubles bâtis, l’accord de la copropriété autorisant les travaux pour les logements de la
copropriété.
Lorsque les travaux mis en œuvre diffèrent des travaux préconisés, l’audit énergétique est mis à jour sur la base
des travaux effectivement réalisés.
Le rapport de synthèse de l’audit énergétique, ainsi que sa mise à jour éventuelle, sont datés et signés par le
prestataire les ayant réalisés. Ils comportent les mentions des valeurs suivantes :
– la consommation conventionnelle (en kWh/m2.an) du bâtiment (sans déduction de la production d’électricité
autoconsommée ou exportée), en précisant les usages considérés :
– d’énergie primaire, avant les travaux de rénovation : Cep initial ;
– d’énergie primaire, après les travaux de rénovation : Cep projet ;
– d’énergie finale, avant les travaux de rénovation : Cef initial ;
– d’énergie finale, après les travaux de rénovation : Cef projet ;
– le rejet de CO2 exprimé en kgeqCO2/m2.an, avant les travaux de rénovation ;
– le rejet de CO2 exprimé en kgeqCO2/m2.an, après les travaux de rénovation ;
– la surface habitable du bâtiment après rénovation, exprimée en m2 : Shab.
4. Durée de vie conventionnelle
30 ans.
5. Montant de certificats en kWh cumac
Le volume de certificats d’économies d’énergie est déterminé comme suit :
*Numéro d’immatriculation de la copropriété prévu par les articles L. 711-1 et suivants du code de la
construction et de l’habitation : ...................................................................................................................................
*Préalablement aux travaux de rénovation thermique, il a été réalisé un audit énergétique respectant les
dispositions de l’article 8 de l’arrêté du 17 novembre 2020 relatif aux caractéristiques techniques et modalités de
réalisation des travaux et prestations dont les dépenses sont éligibles à la prime de transition énergétique : □ Oui □
Non
Caractéristiques du bâtiment données par l’audit énergétique :
*Consommation conventionnelle en énergie primaire avant les travaux de rénovation : Cep initial (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Consommation conventionnelle en énergie primaire après les travaux de rénovation : Cep projet (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Consommation conventionnelle en énergie finale avant les travaux de rénovation : Cef initial (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Consommation conventionnelle en énergie finale après les travaux de rénovation : Cef projet (kWh/m2.an) :
........................................................................................................................................................................................
*Gain énergétique du projet par rapport à la consommation conventionnelle en énergie primaire avant travaux :
... %
NB2 : les consommations conventionnelles (en kWh/m2.an) du bâtiment s’entendent sans déduction de la production
d’électricité (autoconsommée ou exportée) et prennent en compte les usages pour le chauffage, le refroidissement, la production
d’eau chaude sanitaire, l’éclairage et les auxiliaires de chauffage, de refroidissement, d’eau chaude sanitaire et de ventilation.
* Hors raccordement à un réseau de chaleur, les changements d’équipements de chauffage ou de production
d’eau chaude sanitaire conduisent à l’installation de chaudières consommant du charbon ou du fioul, ou à
l’installation d’un système de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire incluant l’installation d’au moins
une chaudière au gaz, dont le taux de couverture défini comme le rapport entre la quantité de chaleur fournie par
l’ensemble des chaudières au gaz du système et les besoins annuels de chaleur pour les usages couverts par le
système, est supérieur à 30 % : □ Oui □ Non
*Type d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire avant travaux : .............................
*Type d’équipements de chauffage ou de production d’eau chaude sanitaire après travaux : .............................
*Les émissions de gaz à effet de serre après rénovation, exprimées en kgeqCO2/m2.an, sont inférieures ou égales
à la valeur initiale de ces émissions avant travaux : □ Oui □ Non
Coordonnées de l’entreprise ayant effectué l’audit énergétique de l’opération au regard des exigences de la fiche
standardisée :
*Raison sociale : .......................................................................................................................................................
*Numéro SIREN : ....................................................................................................................................................
*Date de l’audit énergétique : ..................................................................................................................................
*Référence de l’audit énergétique : .........................................................................................................................
Logiciel de calcul utilisé pour réaliser l’audit énergétique :
* Nom du logiciel et de son éditeur : .....................................................................................................................
* Date et no de version : ..........................................................................................................................................
NB3 : cette opération n’est pas cumulable avec d’autres opérations relevant d’autres fiches et ayant une date d’engagement
égale ou posterieure à la présente opération, pouvant donner lieu à la délivrance de certificats d’économies d’énergie pour des
travaux concernant le chauffage ou sa régulation, la production d’eau chaude sanitaire, la ventilation, l’isolation de l’enveloppe
du bâtiment, l’isolation du réseau hydraulique de chauffage ou d’eau chaude sanitaire ou les systèmes d’automatisation et de
contrôle du bâtiment dès lors que ces travaux sont valorisés au titre de la présente fiche.
Qualification ou certification du (ou des) professionnel(s)
En cas d’intervention de plusieurs professionnels, il convient de dupliquer pour chaque professionnel les
informations du cartouche suivant en précisant le domaine des travaux qu’il a effectué :
Identification du professionnel ayant réalisé les travaux :
*Nom du représentant : ............................................................................................................................................................................................................................................
*Prénom : ....................................................................................................................................................................................................................................................................
*Raison sociale : .........................................................................................................................................................................................................................................................
*No SIRET : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
*Domaine des travaux réalisés : ..............................................................................................................................................................................................................................
*Référence de la qualification ou certification : ............................................. Date : ............................................./ ............................................./ .............................................
La qualification ou certification de l’entreprise est mentionnée dans le cas où cette dernière a réalisé des travaux
relevant de l’une au moins des catégories de travaux mentionnées aux 1o à 17o du I de l’article 1er du
décret no 2014-812 du 16 juillet 2014 pris pour l’application du second alinéa du 2 de l’article 200 quater du code
général des impôts et du dernier alinéa du 2 du I de l’article 244 quater U du code général des impôts et des textes
pris pour son application.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
IV-5
Offres financières
Je m’engage à mettre en place une offre pour la rénovation d’ampleur des maisons individuelles ou des
appartements individuels, au moyen de travaux conformes à la fiche d’opération standardisée CEE BAR-TH-174
« Rénovation d’ampleur d’une maison individuelle (France métropolitaine) » ou à la fiche d’opération standardisée
CEE BAR-TH-175 « Rénovation d’ampleur d’un appartement (France métropolitaine) » en vigueur.
Cette offre prévoit une incitation financière, pour des opérations engagées jusqu’au 31 décembre 2025 et
achevées au plus tard le 31 décembre 2026.
L’incitation financière s’établit aux valeurs minimales suivantes pour les maisons ou appartements individuels :
Shab est la surface habitable (exprimée en m2) de la maison avant les travaux de la première ou l’unique étape
de travaux.
La date d’engagement de l’opération est égale ou postérieure à la date de prise d’effet de la charte.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
Couverture géographique
Je m’engage à proposer cette offre en France métropolitaine dans au moins 10 départements ou une région ou
une métropole.
Objectif
Je m’engage à suivre mensuellement le déploiement de mes offres au travers des critères suivants :
– le nombre de bénéficiaires aidés ;
– le nombre total de maisons individuelles ou d’appartements rénovés ;
– la surface totale habitable des maisons individuelles ou d’appartements rénovés ;
– le bilan statistique de la rénovation des bâtiments en fonction de leur classe énergétique et de leur énergie de
chauffage, avant et après travaux ;
– le montant des travaux engagés et le montant des travaux achevés ;
– le montant des contributions financières associées aux offres proposées, aux travaux de rénovation engagés et
aux travaux de rénovation achevés ainsi que le montant des primes versées ;
– le nombre de logements faisant l’objet de travaux de changement de chauffage engagés et achevés, en
distinguant l’énergie de chauffage remplacée (fioul, charbon, gaz, électricité) et l’énergie de chauffage après
travaux.
Site internet
Je m’engage, avant la prise d’effet de ma charte, à présenter mes offres et mes engagements résultant de la
présente charte au travers d’un site internet accessible aux bénéficiaires de mes offres comprenant notamment :
– une présentation du dispositif, de ses objectifs et des offres proposées ;
– une présentation synthétique des prestations d’assistance à maîtrise d’ouvrage et des solutions de financement
que je propose dans le cadre de mes offres ;
– une présentation des modalités d’obtention par les bénéficiaires des incitations financières que je mets en
place, qui m’identifie clairement comme à l’origine des primes versées ;
– les montants de primes ainsi que les critères techniques et exigences à respecter pour les travaux à réaliser ;
– les critères d’éligibilité des bénéficiaires notamment l’étendue de la zone de couverture géographique de mes
offres ;
– la politique de contrôle par des organismes tiers mise en place dans le cadre de la charte ;
– les informations sur les dispositifs d’aides existants ou les liens renvoyant vers ces informations ainsi que la
promotion du réseau France Rénov’.
Politique de contrôle
Je m’engage à mettre en place une politique de contrôle sur site des opérations relevant de la fiche
d’opération standardisée BAR-TH-174 ou de la fiche d’opération standardisée BAR-TH-175, réalisées avec mon
concours dans le cadre de la présente charte et à compter de la date de prise d’effet de mon engagement.
Ces contrôles sont réalisés sur chacune des opérations de rénovation d’ampleur réalisées correspondant à la fiche
BAR-TH-174 ou la fiche BAR-TH-175, engagées à compter de la date de prise d’effet de mon engagement. Ils sont
réalisés préalablement au dépôt de demandes de CEE auprès du Pôle national des certificats d’économies
d’énergie (PNCEE).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 117
Ces contrôles sont conduits par un organisme de contrôle accrédité selon la norme NF EN ISO/CEI 17020
applicable en tant qu’organisme d’inspection de type A pour le domaine « Inspection d’opérations standardisées
d’économies d’énergie dans le cadre du dispositif de délivrance des certificats d’économies d’énergie ».
Un organisme de contrôle ne peut effectuer le contrôle d’une opération pour laquelle il a, le cas échéant, réalisé
l’audit énergétique.
Chaque opération contrôlée fait l’objet d’un rapport.
Le rapport de contrôle atteste :
– de la date de la visite sur site de l’organisme de contrôle ;
– des informations d’identification du bénéficiaire (nom, adresse, nombre et nature des lots) ;
– de la conformité des travaux au référentiel de contrôle défini en partie E bis de l’annexe III de l’arrêté
du 28 septembre 2021 relatif aux contrôles dans le cadre du dispositif des certificats d’économies d’énergie ;
– de la qualification des entreprises intervenantes à la date d’engagement de l’opération lorsque cette
qualification est requise.
Je m’engage à archiver et à tenir à la disposition du PNCEE les rapports de contrôle des opérations contrôlées.
Une synthèse des contrôles menés sur les opérations d’un dossier de demande est réalisée par l’organisme de
contrôle. Cette synthèse comprend notamment la liste des opérations contrôlées, les paramètres contrôlés, les
résultats obtenus, les écarts constatés y compris sur la qualité des travaux et les contrôles non satisfaisants.
Je m’engage à tenir à disposition du PNCEE, pour chaque dossier de demande contenant des opérations relevant
de la présente charte, la synthèse des contrôles menés sur les opérations incluses dans cette demande ainsi que des
informations sur les suites données aux contrôles non satisfaisants.
Je m’engage à apporter des mesures correctives en cas de problème détecté lors des contrôles.
En cas de mesures correctives jugées insuffisantes, le présent engagement est caduc après mise en demeure par le
ministère chargé de l’Energie non suivie d’effets.
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : les représentants de l’Etat membres du conseil d’administration de Business France et le
contrôleur budgétaire de l’agence Business France.
Objet : modification du décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 relatif à Business France concernant le
régime comptable et la représentation de l’Etat au conseil d’administration.
Entrée en vigueur : le décret entre en vigueur le lendemain de sa publication. Ses dispositions relatives à la
composition du conseil d’administration sont applicables à compter du prochain renouvellement du mandat d’un
membre représentant de l’Etat et celles concernant le contrôle économique et financier à compter de l’exercice
budgétaire et comptable de l’année 2025.
Notice : ce texte actualise le décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 relatif à l’EPIC Business France. Les
modalités de désignation des représentants de l’Etat au conseil d’administration sont modifiées pour assurer une
désignation par les fonctions. Cela vise à garantir une représentation stable, tout en simplifiant les procédures
administratives de désignation. Cette modification nécessite une révision de l’article 7 du décret no 2014-1571. Par
ailleurs, la modification prévoit la suppression de l’obligation de tenue d’une comptabilité budgétaire, tout en
maintenant la comptabilité publique. Il vise à instaurer un contrôle économique et financier à la place du contrôle
budgétaire existant. En ce sens, les articles 10, 11 et 14 du décret sont modifiés.
Références : le décret est pris en application de l’article 50 de la loi no 2003-721 du 1er août 2003 pour
l’initiative économique, ainsi que des articles 10, 11 et 14 du décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 relatif à
l’agence Business France. Il se réfère également au décret no 55-733 du 26 mai 1955 modifié relatif au contrôle
économique et financier de l’Etat, notamment le 4o de son article 3, ainsi qu’au décret no 2012-1246
du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique, notamment ses titres Ier et III.
Il peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie,
Vu la loi no 2003-721 du 1er août 2003 pour l’initiative économique, notamment son article 50 ;
Vu le décret no 55-733 du 26 mai 1955 modifié relatif au contrôle économique et financier de l’Etat notamment
le 4o de son article 3 ;
Vu le décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 modifié relatif à la gestion budgétaire et comptable publique,
notamment ses titres Ier et III ;
Vu le décret no 2014-1571 du 22 décembre 2014 modifié relatif à l’agence Business France,
Décrète :
Art. 1 . – Le décret du 22 décembre 2014 susvisé est modifié conformément aux dispositions des articles 2 à 5
er
du présent décret.
Art. 2. – Le I de l’article 7 est ainsi modifié :
1o Le 2o est remplacé par les dispositions suivantes :
« De trois membres de droit représentant l’Etat :
« a) Au titre du ministère chargé des affaires étrangères, le directeur général de la mondialisation ou son
représentant ;
« b) Au titre du ministère chargé de l’économie, le directeur général du Trésor ou son représentant ;
« c) Au titre du ministère chargé de l’aménagement du territoire, le directeur général des collectivités locales ou
son représentant » ;
2o Au dernier alinéa, après les mots : « A l’exception des parlementaires », sont insérés les mots : « , des
représentants de l’Etat, ».
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 117
Art. 3. – I. – A l’article 10, les mots : « le contrôleur budgétaire » sont remplacés par les mots : « l’autorité
chargée d’exercer le contrôle économique et financier ».
II. – Aux articles 10 et 11, les occurrences des mots : « du contrôleur budgétaire » sont remplacées par les mots :
« de l’autorité chargée d’exercer le contrôle économique et financier ».
Art. 4. – Le premier alinéa de l’article 14 est complété par les mots : « à l’exception des 1o et 2o de l’article 175
et des articles 178 à 183, 204 à 208 et 220 à 228 ».
Art. 5. – Après l’article 14, il est inséré un nouvel article ainsi rédigé :
« Art. 14 bis. – L’agence est soumise au contrôle économique et financier de l’Etat prévu par le décret
du 26 mai 1955 susvisé. »
Art. 6. – I. – Les dispositions introduites par l’article 2 du présent décret sont applicables à compter du
prochain renouvellement du mandat d’un membre représentant l’Etat.
II. – Les dispositions introduites par l’article 4 du présent décret sont applicables à compter de l’exercice
budgétaire et comptable 2025.
Art. 7. – La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’Europe et des
affaires étrangères, le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et la ministre déléguée auprès du
ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargée du commerce extérieur et des Français de l’étranger, sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la
République française.
Fait le 19 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
CATHERINE VAUTRIN
Le ministre de l’Europe
et des affaires étrangères,
JEAN-NOËL BARROT
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
ANTOINE ARMAND
La ministre déléguée auprès du ministre de l’Europe
et des affaires étrangères, chargée du commerce extérieur
et des Français de l’étranger,
SOPHIE PRIMAS
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’économie, des finances et
de l’industrie et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le décret no 53-707 du 9 août 1953 modifié relatif au contrôle de l’Etat sur les entreprises publiques
nationales et certains organismes ayant un objet d’ordre économique ou social, notamment son article 2 ;
Vu le décret no 2022-251 du 24 février 2022 relatif au statut de la Régie autonome des transports parisiens,
notamment son article 8 ;
Vu la délibération du conseil d’administration de la Régie autonome des transports parisiens en date
du 13 septembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – La souscription par la RATP à une augmentation de capital réservée de la société anonyme RATP
er
Participations, à hauteur de 239 838 435 d’actions d’une valeur nominale de 1 euro chacune, soit
239 838 435 euros, est approuvée. La RATP conserve l’intégralité du capital de la société RATP Participations.
Art. 2. – Le commissaire aux participations de l’Etat, le directeur général des infrastructures, des transports et
des mobilités et la directrice du budget sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 31 octobre 2024.
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
Le commissaire aux participations de l’Etat,
A. ZAJDENWEBER
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice du budget,
M. JODER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, le ministre de l’économie, des finances et
de l’industrie et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le décret no 53-707 du 9 août 1953 modifié relatif au contrôle de l’Etat sur les entreprises publiques
nationales et certains organismes ayant un objet d’ordre économique ou social, notamment son article 2 ;
Vu le décret no 2022-251 du 24 février 2022 relatif au statut de la Régie autonome des transports parisiens,
notamment son article 8 ;
Vu la délibération du conseil d’administration de la Régie autonome des transports parisiens en date
du 13 septembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – La souscription par la RATP à une augmentation de capital réservée de la société par actions
er
simplifiée unipersonnelle RATP Cap Ile-de-France, à hauteur de 103 000 000 d’actions d’une valeur nominale
de 0,88 euro chacune, soit 90 640 000 euros, est approuvée. La RATP conserve l’intégralité du capital de la société
RATP Cap Ile-de-France.
Art. 2. – Le commissaire aux participations de l’Etat, le directeur général des infrastructures, des transports et
des mobilités et la directrice du budget sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 31 octobre 2024.
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
Le commissaire aux participations de l’Etat,
A. ZAJDENWEBER
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La directrice du budget,
M. JODER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 6 mars 2023 portant délégation de signature
aux agents chargés de l’animation de la politique ministérielle de prévention affectés à la sous-
direction des politiques sociales et des conditions de travail
NOR : ECOP2430367A
ministérielle de prévention est modifiée comme suit à compter du 1er décembre 2024 :
– pour la région Ile-de-France, ajouter : « Laura PICARD » ;
– pour la région Pays de Loire, ajouter : « Serge MAROQUIN » et supprimer : « Evelyne GANDIER » ;
– pour la région Hauts-de-France, supprimer : « Olivier RADER ».
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 12 novembre 2024.
J.-C. MAUBOUSSIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours interne pour le recrutement d’un ingénieur des mines.
Ce concours est ouvert aux fonctionnaires et agents publics de l’Etat, des collectivités territoriales, des
établissements publics qui en dépendent, ainsi qu’aux candidats en fonction dans une organisation internationale
intergouvernementale, appartenant à un corps ou cadre d’emplois ou occupant un emploi de catégorie A ou de
niveau équivalent.
Ce concours est également ouvert, dans les mêmes conditions, aux candidats ressortissants de l’un des Etats
mentionnés à l’article L. 321-2 du code général de la fonction publique conformément aux dispositions de
l’article L. 325-5 du même code.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 15 décembre 2024.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2025 à 13 heures.
Les dossiers de candidatures doivent être transmis au plus tard le 20 janvier 2025, à 13 heures (heure de Paris),
par internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
experimente-interne-examen-professionnel-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, notamment le lien d’inscription susvisé, se trouvent sur la page www.economie.
gouv.fr/cge/concours
Le mémoire doit être transmis au plus tard le 12 mai 2025, à 13 heures (heure de Paris), par internet en utilisant
le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-experimente-interne-
examen-professionnel-corps-des-mines-2025, et par voie postale, le cachet de la poste faisant foi, au ministère
de l’économie, des finances et de l’industrie : 139, rue de Bercy, Télédoc 333, 75572 Paris Cedex 12.
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 20 janvier 2025, à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un examen professionnel pour le recrutement d’un ingénieur des mines.
Cet examen professionnel est ouvert aux ingénieurs divisionnaires de l’industrie et des mines et aux ingénieurs
de l’industrie et des mines.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 15 décembre 2024.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 20 janvier 2025, à 13 heures.
Les dossiers de candidatures doivent être transmis au plus tard le 20 janvier 2025, à 13 heures (heure de Paris),
par internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
experimente-interne-examen-professionnel-corps-des-mines-2025
Des précisions sur cet examen professionnel, et notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page
www.economie.gouv.fr/cge/concours
Le mémoire doit être transmis au plus tard le 12 mai 2025, à 13 heures (heure de Paris), par internet en utilisant
le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-experimente-interne-
examen-professionnel-corps-des-mines-2025, et par voie postale, le cachet de la poste faisant foi, au ministère
de l’économie, des finances et de l’industrie : 139, rue de Bercy, télédoc 333, 75572 Paris Cedex 12.
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 20 janvier 2025 à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours externe sur titres pour le recrutement d’un ingénieur des mines.
Ce concours est ouvert aux candidats titulaires d’un diplôme de doctorat dans un domaine de compétence du
corps ou justifiant de qualifications au moins équivalentes attribuées dans les conditions prévues par le décret
no 2007-196 du 13 février 2007 relatif aux équivalences de diplômes requises pour se présenter aux concours
d’accès aux corps et cadres d’emplois de la fonction publique.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 1er janvier 2025.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 3 février 2025 à treize heures.
Les dossiers de candidature doivent être transmis au plus tard le 3 février 2025 à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
externe-docteurs-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, et notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page www.
economie.gouv.fr/cge/concours
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 3 février 2025 à treize heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05 ; mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours
pour le recrutement de deux ingénieurs-élèves des mines parmi les élèves des écoles normales
supérieures
NOR : ECOG2427631A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours pour le recrutement de deux ingénieurs-élèves des mines.
Ce concours est ouvert aux élèves des écoles normales supérieures accomplissant la 3e ou la 4e année de scolarité.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 1er janvier 2025.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 14 février 2025, à 13 heures.
Les dossiers de candidature doivent être transmis au plus tard le 14 février 2025, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, et notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page www.
economie.gouv.fr/cge/concours
Les dossiers de sélection doivent être transmis au plus tard le 11 avril 2025, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par
le décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste
de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en
faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales
de déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un
aménagement des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été
établi moins de six mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves
nécessaires et doit être transmis au plus tard le 14 février 2025, à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 33 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 18 novembre 2024 portant ouverture au titre de l’année 2025 d’un concours pour le
recrutement de quatre ingénieurs-élèves des mines parmi les élèves de l’Ecole nationale
supérieure des mines de Paris et les élèves de Télécom Paris
NOR : ECOG2427632A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 18 novembre 2024, est autorisée,
au titre de l’année 2025, l’ouverture d’un concours pour le recrutement de quatre ingénieurs-élèves des mines.
Ce concours est ouvert aux élèves de l’Ecole nationale supérieure des mines de Paris et aux élèves de Télécom
Paris accomplissant la dernière année de scolarité.
L’ouverture des inscriptions est fixée au 1er janvier 2025.
La date de clôture des inscriptions est fixée au 24 février 2025, à 13 heures.
Les dossiers de candidature doivent être transmis au plus tard le 24 février 2025, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Des précisions sur ce concours, notamment le lien d’inscription ci-dessus, se trouvent sur la page www.
economie.gouv.fr/cge/concours
Les dossiers de sélection doivent être transmis au plus tard le 19 mai 2024, à 13 heures (heure de Paris), par
internet en utilisant le lien d’inscription suivant : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/concours-
sortie-ecole-ens-minesparis-telecomparis-corps-des-mines-2025
Les candidats ou candidates en situation de handicap peuvent, dans les conditions prévues par le décret
no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à l’adaptation du poste de travail et
aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de recrutement et des examens en faveur des
agents publics et des candidats en situation de handicap, bénéficier de dérogations aux règles normales de
déroulement des concours et examens professionnels. Les candidats ou candidates qui demandent un aménagement
des épreuves doivent fournir un certificat médical établi par un médecin agréé qui doit avoir été établi moins de six
mois avant le déroulement des épreuves. Ce certificat précise les aménagements d’épreuves nécessaires et doit être
transmis au plus tard le 24 février 2025, à 13 heures.
Nota. – Pour tous renseignements, les candidats doivent s’adresser au ministère de l’économie, des finances et de l’industrie,
service du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies, 139, rue de Bercy, télédoc 333,
75572 Paris Cedex 12 (téléphone : 01-53-18-24-05, mél : cge.concours@finances.gouv.fr).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 19 novembre 2024, vu la résolution
1591 (2005) du 29 mars 2005 concernant le Soudan, vu la décision du comité du conseil de sécurité créé par la
résolution 1591 (2005) concernant le Soudan du 8 novembre 2024 de procéder à l’ajout deux personnes sur sa liste
relative aux sanctions concernant les personnes et entités visées par les mesures imposées par le Conseil de sécurité
et adoptées en vertu du chapitre VII de la Charte des Nations unies, vu le règlement (UE) no 747/2014 du Conseil
concernant des mesures restrictives eu égard à la situation au Soudan et abrogeant les règlements (CE) no 131/2004
et (CE) no 1184/2005, vu le code monétaire et financier, notamment ses articles L. 562-3 et suivants,
Les fonds et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés par les personnes
désignées ci-dessous font l’objet d’une mesure de gel des avoirs jusqu’à l’entrée en vigueur d’un règlement
européen d’exécution ajoutant leurs noms à l’annexe I du règlement (UE) no 747/2014 et au plus tard six mois après
la date de publication du présent arrêté.
ABDEL RAHMAN JUMA BARKALLA
Général de division des Forces d’appui rapide et Commandant au Darfour occidental.
Date de naissance : 1er janvier 1969.
Lieu de naissance : Bahr el Arab, Darfour oriental (Soudan).
Nationalité : Soudan.
Numéro de passeport : passeport soudanais numéro P07834700.
Numéro national d’identification : numéro soudanais d’identification 21052659309.
Renseignements divers : Sexe : masculin.
OSMAN MOHAMED HAMID MOHAMED
Général de division des Forces d’appui rapide et Chef du Département des opérations des Forces d’appui rapide.
Date de naissance : 1er janvier 1966.
Lieu de naissance : Kadiqali, Darfour méridional (Soudan).
Nationalité : Soudan.
Numéro national d’identification : numéro soudanais d’identification 11540384888.
Renseignements divers : Sexe : masculin.
La mise à disposition, directe ou indirecte, et l’utilisation de fonds ou ressources économiques au profit de ces
personnes sont interdites jusqu’à l’entrée en vigueur d’un règlement européen d’exécution ajoutant leurs noms à
l’annexe I du règlement (UE) no 747/2014 et au plus tard six mois après la date de publication du présent arrêté.
Le présent arrêté entre en vigueur à la date de sa publication par extrait au Journal officiel de la République
française.
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 5 novembre 2024 modifiant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge en
sus des prestations d’hospitalisation mentionnée à l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité
sociale
NOR : MSAS2429850A
La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 162-22-7, R. 162-37-2 et R. 162-37-3 ;
Vu l’arrêté du 4 avril 2005 modifié pris en application de l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale et
fixant la liste des spécialités pharmaceutiques prises en charge par l’assurance maladie en sus des prestations
d’hospitalisation,
Arrêtent :
Art. 1 . – La liste des spécialités pharmaceutiques facturables en sus des prestations d’hospitalisation visée à
er
l’article L. 162-22-7 du code de la sécurité sociale est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en
annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La cheffe du pôle
du financement Recherche et accès à l’innovation,
du système de soins, J. LAGRAVE
C. DELPECH
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(Extensions d’indications)
La prise en charge en sus des prestations d’hospitalisation de la spécialité ci-dessous est étendue aux indications
suivantes :
– en association à la gemcitabine et au cisplatine dans le traitement de première ligne des patients adultes
atteints d’un carcinome des voies biliaires localement avancé non résécable ou métastatique ;
– en association à une chimiothérapie à base de sels de platine et de fluoropyrimidine, est indiqué dans le
traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un adénocarcinome gastrique ou de la jonction
oesogastrique, localement avancé non résécable ou métastatique, HER-2 négatif et dont les tumeurs expriment
PD-L1 avec un CPS ≥ 10 ;
– en association au lenvatinib, en traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un carcinome rénal
avancé uniquement à cellules claires ou comportant un contingent de cellules claires ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 35 sur 117
– en monothérapie dans le traitement adjuvant des patients adultes atteints d’un carcinome rénales uniquement à
cellules claires à risque accru de récidive post néphrectomie, ou après une néphrectomie et une résection des
lésions métastatiques ;
– en association à une chimiothérapie comme traitement néoadjuvant, puis poursuivi après la chirurgie en
monothérapie comme traitement adjuvant, dans le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du sein
triple négatif localement avancé ou de stade précoce à haut risque de récidive.
Laboratoire exploitant
Dénomination Libellé ou titulaire
Commune de la spécialité pharmaceutique Code UCD Libellé de l’UCD de l’autorisation
Internationale de mise sur le marché
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 novembre 2024 portant ouverture des examens cliniques objectifs structurés
donnant accès au troisième cycle des études de médecine au titre de l’année universi
taire 2025-2026
NOR : MSAN2430890A
Par arrêté de la directrice générale du Centre national de gestion en date du 13 novembre 2024, le Centre
national de gestion transmet par voie dématérialisée la liste des candidats admis à participer aux examens cliniques
objectifs structurés (ECOS) aux centres d’épreuves concernés au plus tard le 14 mars 2025. Les centres d’épreuves
sont chargés de convoquer les étudiants concernés.
Les ECOS sont organisés selon le calendrier suivant :
Ils se déroulent lors d’une session unique les 20 et 21 mai 2025. Chaque jour, cinq stations sont organisées. Les
horaires seront précisés par chaque centre d’épreuves dans la convocation.
La durée unitaire d’une station d’ECOS est de dix minutes comprenant huit minutes d’épreuve intégrant la
lecture de la vignette et deux minutes de déplacement d’une station à l’autre.
Les candidats se présentent à l’heure indiquée sur la convocation délivrée par leur centre d’épreuves de
rattachement identique à celui attribué lors du passage des épreuves dématérialisées. La date prévue pour toute
reprogrammation qui pourrait s’avérer nécessaire est le 22 mai 2025.
Le jury national des épreuves dématérialisées et des ECOS délibère le 6 juin 2025 et transmet les notes des
candidats aux ECOS au Centre national de gestion au plus tard le 10 juin 2025.
En cas d’empêchement à participer à tout ou partie des ECOS dans les conditions prévues à l’alinéa 2 du IV de
l'article R. 632-2-3 du code de l'éducation, les candidats sont tenus d’adresser au Centre national de gestion, dans le
mois qui suit le déroulement de ceux-ci, la demande de participer aux ECOS organisés l’année universitaire
suivante.
Cette demande accompagnée des pièces justificatives doit être effectuée par envoi recommandé à l’adresse
suivante : Centre national de gestion, département Autorisations d’exercice-Concours-Coaching, bureau des
concours nationaux (EN) ; immeuble Le Ponant B, 21, rue Leblanc, 75737 Paris Cedex 15.
Cette demande concerne les étudiants qui n’ont pas pu se présenter aux examens cliniques objectifs structurés
pour des raisons de force majeure ou pour une raison médicale dûment justifiées.
Les candidats en situation de handicap tel que le définit l’article L. 114 du code de l’action sociale et des
familles, qui demandent à bénéficier d’aménagement et d’adaptation des stations des ECOS, adressent à leur centre
d’épreuves de rattachement (service de la scolarité de l’UFR concernée) :
1o La demande dûment signée ;
2o L’avis délivré par un médecin de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH) ou par un
médecin désigné par la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées (CDAPH) qui spécifie,
pour les ECOS, les aménagements et adaptations proposés conformément aux articles D. 613-26 et D. 613-27 du
code de l’éducation.
Le dossier comprenant la demande de l’étudiant et l’avis du médecin, doit être adressé par lettre recommandée
avec accusé de réception au plus tard le 10 mars 2025 au centre d’épreuves (service de la scolarité de l’UFR
concernée), qui transmet son avis motivé sur la demande d’aménagement au Centre national de gestion avec
présentation du dossier, par voie dématérialisée au plus tard le 28 mars 2025.
Cet avis du centre d’épreuves (UFR concernée) tient compte de la situation de handicap du candidat et doit être
en cohérence avec les aménagements ou adaptations dont il a bénéficié durant sa formation, sauf dans le cas où la
situation de handicap s’est révélée ou s’est modifiée après la mise en œuvre des aménagements ou adaptations
facultaires.
Au regard de l’avis du centre d’épreuves présentant le dossier de demande, le Centre national de gestion décide
des aménagements accordés au candidat pour les ECOS, conformément à la règlementation relative aux
aménagements d’examens et concours prévue aux articles D. 613-26 à D. 613-30 du code de l’éducation.
La décision d’aménagement des ECOS prise par le Centre national de gestion est notifiée au candidat à partir
du 22 avril 2025 sur son compte « Even », dont le lien d’accès est disponible sur le site internet : www.cng.sante.fr
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 5123-2, L. 5123-3 et D. 5123-4 ;
Vu le code de la sécurité sociale ;
Vu le code général des impôts, notamment son article 281 octies ;
Vu les avis de la Commission de la transparence des 14 décembre 2022, 18 janvier 2023, 14 février 2024,
28 février 2024 et 27 mars 2024, avis notifiés au laboratoire concerné en application de l’article R. 163-16 du code
de la sécurité sociale et consultables sur le site internet de la Haute Autorité de santé,
Arrêtent :
Art. 1er. – La liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l’usage des collectivités et divers services publics
est modifiée conformément aux dispositions qui figurent en annexe.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice La sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH E. COHN
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
ANNEXE
(5 extensions d’indications pour une spécialité)
La prise en charge de la spécialité ci-dessous est étendue aux cinq indications suivantes :
– en association à la gemcitabine et au cisplatine dans le traitement de première ligne des patients adultes
atteints d’un carcinome des voies biliaires localement avancé non résécable ou métastatique ;
– en association à une chimiothérapie à base de sels de platine et de fluoropyrimidine, dans le traitement de
première ligne des patients adultes atteints d’un adénocarcinome gastrique ou de la jonction oesogastrique,
localement avancé non résécable ou métastatique, HER-2 négatif et dont les tumeurs expriment PD-L1 avec
un CPS ≥ 10 ;
– en association au lenvatinib, en traitement de première ligne des patients adultes atteints d’un carcinome rénal
avancé uniquement à cellules claires ;
– dans le traitement adjuvant des patients adultes atteints d’un carcinome rénal uniquement à cellules claires, à
risque accru de récidive post néphrectomie, ou après une néphrectomie et une résection des lésions
métastatiques ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 117
– en association à une chimiothérapie comme traitement néoadjuvant, puis poursuivi après la chirurgie en
monothérapie comme traitement adjuvant, dans le traitement des patients adultes atteints d’un cancer du sein
triple négatif localement avancé ou de stade précoce à haut risque de récidive.
Code CIP Présentation
KEYTRUDA 25 mg/mL (pembrolizumab), solution à diluer pour perfusion, flacon (verre) de 4 ml, boîte de 1 flacon (B/1) (laboratoires
34009 550 243 1 6 MSD FRANCE)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : MSAS2430931A
La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 165-1 à L. 165-5 et R. 165-1 à R. 165-28 ;
Vu l’avis de la Commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé
du 10 septembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1er. – Au titre II de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 7, section 1 « appareillage du
membre supérieur », sous-section C « prothèses du membre supérieur mues par énergie électrique, prothèses
myoélectriques », au paragraphe 3 « Adjonctions », dans la rubrique « Société OTTO BOCK », dans la section
« Mains et pinces pour patients avec membre résiduel de l’épaule à l’avant-bras », la nomenclature du code
2759611 relatif à la pince myoélectrique AXON-HOOK est modifiée comme suit :
a) Dans le paragraphe « DESCRIPTION », les dispositions suivantes sont ajoutées :
« AXON-HOOK est une pince myoélectrique composée d’une tige latérale fixe et d’une tige médiane mobile,
toutes deux en forme de crochet pour assurer la préhension des objets selon un mouvement angulaire. Les tiges en
titane sont recouvertes d’un revêtement en polyuréthane.
« L’amplitude d’ouverture de la pince est de 130 mm.
« Un moteur central associé à une boîte de vitesse permet d’actionner la tige médiale. AXON-HOOK dispose
d’un poignet flexible orientable et verrouillable en flexion/extension afin de positionner la pince par rapport à
l’objet à saisir. Le positionnement et le verrouillage/déverrouillage est assuré par le membre controlatéral. Un
système mécanique de crémaillère permet de le bloquer dans sept positions différentes allant de 75° de flexion
à 45° d’extension. La rotation du poignet peut être passive ou motorisée. Le poignet d’AXON-HOOK est recouvert
par une manchette de protection. » ;
b) La date de fin de prise en charge est portée au 15 décembre 2029.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice L’adjoint à la sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH C.-E. BARTHELEMY
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
La ministre de la santé et de l’accès aux soins et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des
comptes publics,
Vu le code de la santé publique ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment ses articles L. 165-1 à L. 165-5 et R. 165-1 à R. 165-28 ;
Vu l’avis de la Commission nationale d’évaluation des dispositifs médicaux et des technologies de santé
du 30 janvier 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – Au titre III de la liste des produits et prestations remboursables, chapitre 1er, section 3, sous-section 4,
er
au paragraphe 2 « Autres éléments de substitution et de comblement à matrice bio-inerte avec ou sans bio-activité
de surface », au paragraphe « Implant cranio-faciale sur mesure », la rubrique « Société DISPOMED », est
remplacée comme suit :
CODE NOMENCLATURE
GLACE
DESCRIPTION
GLACE est un substitut osseux sur mesure non résorbable. Il est composé de plaques en composite renforcé de fibres (CRF) tissées, assemblées
sous forme de multicouches au moyen de tiges unidirectionnelles continues en CRF. En fonction de la taille de l’implant et des exigences de
résistance, l’implant peut contenir une ou plusieurs barres CRF unidirectionnelles.
Les espaces libres créés entre les plaques par ces tiges sont remplis de particules de verre bioactif S53P4.
Les éléments composant l’implant GLACE sont les suivants :
– les plaques en composite renforcé de fibres (CRF) sont un assemblage de fibres de verre (de diamètre de 15-17 µm) renforcées par un polymère
(ou résine) ;
– les tiges en CRF unidirectionnelle continues utilisées dans la partie poreuse de l’implant GLACE, ont une résistance à la flexion de 1200 MPa et les
plaques en CRF tissées de la surface externe et interne ont une résistance de 400 à 600 MPa ;
– matrice polymère : les fibres de verre sont protégées, stabilisées et rendues inertes par une matrice polymère. Cette matrice est une résine de
diméthacrylate (Bis GMA TEGDMA) polymérisées à un degré élevé de conversion monomérique, améliorant la biocompatibilité et la bio-stabilité
de l’implant ;
– particules de verre S53P4 : ces granules de verre sont incorporés dans l’espace présent entre les différentes couches de l’implant. La taille
moyenne des particules est de 500µm3. Ces particules de verre bioactif sont destinées à guider l’intégration de l’implant à l’os crânien environnant
et à éradiquer les infections bactériennes locales.
Conception de l’implant :
L’implant GLACE est réalisé sur mesure à partir des données tomodensitométriques du patient. Celles-ci sont téléchargées au format DICOM sur la
plateforme du fabricant. Les données sont traitées par le logiciel MIMICS qui modélise la forme nécessaire au comblement du défect osseux.
Un moulage en résine du crâne du patient est réalisé ainsi qu’un moulage du défect osseux. Le projet de conception doit être validé par le médecin
prescripteur avant la mise en production de l’implant. La modélisation permet la réalisation d’un moule par impression 3D. Les différentes
couches de fibres de verre, les particules de verre bioactif et les barres de renforcement sont placées manuellement dans le moule par un
technicien de laboratoire qualifié. L’implant est ensuite exposé à la lumière UV puis cuit au four. A la fin de la cuisson, les trous pour fixation de
l’implant et ceux pour la suspension de la dure-mère sont percés manuellement dans les barres de renfort transversales.
Le délai total de fabrication et de livraison de l’implant au prescripteur est garanti sous 10 jours ouvrables à partir de la validation par le prescripteur
de la proposition du fabricant.
INDICATIONS PRISES EN CHARGE
Reconstruction crânienne, sur entente préalable :
– soit en première intention, en cas de défect osseux :
– situé dans la zone fronto-temporale ;
– ou de grande taille (supérieur à 35cm2).
– soit en deuxième intention, après échec ou impossibilité de l’autogreffe.
MODALITES DE PRESCRIPTION ET D’UTILISATION
La prise en charge de GLACE est subordonnée à l’accord préalable de l’Assurance Maladie.
Modalités de prescription
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 117
CODE NOMENCLATURE
La prescription doit notamment être associée aux résultats d’un examen tomodensitométrique dont l’épaisseur des coupes doit être idéalement de
1mm et au maximum de 3mm.
Conditions d’utilisation
La mise en place de GLACE nécessite le fraisage du contour ou des berges du déficit osseux. La zone à fraiser est de 6 à 8 mm de largeur et de 1 mm
de profondeur afin de permettre la pose du rebord de l’implant. L’implant est fixé par des vis à tête plate utilisant les trous pré percés dans ce
rebord.
IRM compatibilité :
GLACE est un substitut osseux et ne contient pas d’éléments métalliques, magnétiques ou conducteurs.
Selon la notice du marquage CE, le dispositif implantable GLACE est IRM compatible sans conditions.
3172374 Implant cranio-faciale sur mesure, < 125 cm2, DISPOMED, GLACE
Implant sur mesure GLACE de taille inférieure à 125 cm2.
REFERENCE PRISE EN CHARGE
SIC-1000-1.
Date de fin de prise en charge : 1er mars 2029.
3196653 Implant cranio-faciale sur mesure, ≥ 125 cm2 ≤ 180 cm2, DISPOMED, GLACE
Implant sur mesure GLACE de taille comprise entre 125cm2 et 180 cm2.
REFERENCE PRISE EN CHARGE
SIC-1000-2.
Date de fin de prise en charge : 1er mars 2029.
3198132 Implant cranio-faciale sur mes, > 180 cm2 et implants complexes, DISPOMED, GLACE
Implant sur mesure GLACE de taille supérieur à 180 cm2 et/ou forme complexe.
REFERENCE PRISE EN CHARGE
SIC-1000-3.
Date de fin de prise en charge : 1er mars 2029.
Art. 2. – Le présent arrêté prend effet à compter du treizième jour suivant la date de sa publication au Journal
officiel de la République française.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de la santé
et de l’accès aux soins,
Pour la ministre et par délégation :
La sous-directrice L’adjoint à la sous-directrice de la politique
du financement des produits de santé et de la qualité
du système de soins, des pratiques et des soins,
C. DELPECH C.-E. BARTHELEMY
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice
du financement
du système de soins,
C. DELPECH
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 novembre 2024 fixant pour 2024 le taux de couverture minimal mentionné à
l’article 2 du décret no 2024-726 du 6 juillet 2024 relatif au complément de financement versé
aux départements par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie
NOR : SAES2430909A
Le ministre des solidarités, de l’autonomie et de l’égalité entre les femmes et les hommes et le ministre auprès du
Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics,
Vu le code de l’action sociale et des familles ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment son article L. 223-8 ;
Vu la loi no 2023-1250 du 26 décembre 2023 de financement de la sécurité sociale pour 2024, notamment son
article 86 ;
Vu le décret no 2024-726 du 6 juillet 2024 relatif au complément de financement versé aux départements par la
Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie en application de l’article 86 de la loi de financement de la sécurité
sociale du 26 décembre 2023 pour 2024 ;
Vu l’avis du conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie en date du 8 novembre 2024 ;
Vu l’avis du conseil de la Conseil national d’évaluation des normes en date du 7 novembre 2024,
Arrêtent :
Art. 1 . – Pour l’année 2024, le taux de couverture minimal mentionné à l’article 2 du décret du 6 juillet 2024
er
TEXTES GÉNÉRAUX
Art. 3. – I. – Les dispositions de l’article R. 423-2-1 du code de l’urbanisme, dans sa rédaction résultant de
l’article 1er du présent décret, s’appliquent aux demandes d’autorisation d’urbanisme déposées à compter
du 1er janvier 2025.
II. – Les dispositions du c de l’article R.* 442-6, de l’article R. 442-13-1 et de l’article R. 462-3 du même code,
dans leur rédaction résultant de l’article 2 du présent décret, s’appliquent aux demandes d’autorisation d’urbanisme
déposées à compter de l’expiration d’un délai de trente jours suivant la publication du présent décret.
Art. 4. – La ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation et la ministre du logement et de
la rénovation urbaine sont chargées, chacune en ce qui la concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
La ministre du logement
et de la rénovation urbaine,
VALÉRIE LÉTARD
La ministre du partenariat avec les territoires
et de la décentralisation,
CATHERINE VAUTRIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 13 novembre 2024, la SCIC d’HLM
LE TOIT GIRONDIN (no SIRET 456 201 334 000 20), dont le siège social est situé à Bordeaux (33), est autorisée
à exercer ses compétences sur la région Occitanie.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément pour
la réalisation des attestations relatives au respect des règles de construction prévues aux articles L. 122-9
à L. 122-12 du code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de deux ans à compter de la
présente décision à la société NRJ DIAGS sise, Cité de l’Habitat, rue de Thann, 68460 Lutterbach pour la
réalisation des attestations relatives à la règlementation suivante :
– performance énergétique et environnementale (article L. 122-9 du code de la construction et de l’habitation).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 44 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément en
qualité de contrôleur technique au titre des dispositions des articles L. 125-1 à L. 125-6 et R. 125-1 à R. 125-16 du
code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de trois ans à compter de la présente décision,
à la société Contrôles et Coordinations, 14, rue Albert-Einstein, 74420 Champs-sur-Marne pour les domaines B.2,
C.4, C.5 et C.6 définis à l’annexe I de l’arrêté du ministre chargé de la construction du 26 novembre 2009, ci-après
reproduits :
« B.2 Ouvrages de catégorie B (viabilité, fondation, ossature, clos et couvert et équipements indissociablement
liés à un ouvrage) pour ce qui concerne la solidité et tous ouvrages de bâtiment en tant qu’ils ont un rapport avec la
sécurité des personnes (y compris personnes à mobilité réduite et personnes à transporter sur brancards) : bâtiments
autres que ceux visés à l’article R.125-17 du code de la construction et de l’habitation. »
« C.4 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement pour l’isolation thermique et les
économies d’énergie. »
« C.5 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement pour l’isolation phonique à l’égard du
bruit extérieur et du bruit intérieur. »
« C.6 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement ayant trait à la protection de
l’environnement, à l’hygiène, à la santé, à l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, au transport de
brancards. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément en
qualité de contrôleur technique au titre des dispositions des articles L. 125-1 à L. 125-6 et R. 125-1 à R. 125-16 du
code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de deux ans à compter de la présente décision,
à la société MTNV TETRAGRAMME, 168, rue Robert-Schuman, 77310 Saint-Fargeau-Ponthierry pour les
domaines B.2, C.3, C.4 et C.6 définis à l’annexe I de l’arrêté du ministre chargé de la construction
du 26 novembre 2009, ci-après reproduits ;
« B.2 Ouvrages de catégorie B (viabilité, fondation, ossature, clos et couvert et équipements indissociablement
liés à un ouvrage) pour ce qui concerne la solidité et tous ouvrages de bâtiment en tant qu’ils ont un rapport avec la
sécurité des personnes (y compris personnes à mobilité réduite et personnes à transporter sur brancards) : bâtiments
autres que ceux visés à l’article R. 125-17 du code de la construction et de l’habitation. »
« C.3 Ouvrages de bâtiment : installations sanitaires ; stockage et distribution des fluides : eau, gaz, tous fluides
médicaux et spécialisés. »
« C.4 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement pour l’isolation thermique et les
économies d’énergie. »
« C.6 Ouvrages de bâtiment : dispositions constructives et d’équipement ayant trait à la protection de
l’environnement, à l’hygiène, à la santé, à l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite, au transport de
brancards. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Par décision de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 7 novembre 2024, l’agrément en
qualité de contrôleur technique au titre des dispositions des articles L. 125-1 à L. 125-6 et R. 125-1 à R. 125-16 du
code de la construction et de l’habitation est accordé pour une durée de 18 mois à compter de la présente décision, à
la société SECO FRANCE, 130, boulevard de la Liberté, 59000 Lille pour le domaine D définis à l’annexe I de
l’arrêté du ministre chargé de la construction du 26 novembre 2009, ci-après reproduits et uniquement pour le
projet du Pont de la Salpêtrière – Austerlitz Sud :
« D. Tous ouvrages de génie civil pour toutes missions de contrôle. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Décrète :
Art. 1 . – Après l’article D. 645-21-1 du code rural et de la pêche maritime, il est inséré un article D. 645-21-2
er
ainsi rédigé :
« Art. D. 645-21-2. – Les raisins obtenus sur les parcelles de jeunes vignes situées à l’intérieur de la zone de
production des raisins d’une eau-de-vie de vin bénéficiant d’une appellation d’origine contrôlée et répondant aux
conditions d’encépagement définies dans le cahier des charges ne peuvent être utilisés pour produire du vin :
« a) L’année de la plantation en place avant le 31 juillet et l’année suivante, dans le cas d’utilisation de greffés-
soudés ou de plants francs de pied ;
« b) L’année du greffage sur place ou du surgreffage réalisé avant le 31 juillet, dans le cas d’utilisation de plants
racinés de porte-greffe ou du surgreffage.
« Les produits issus de ces raisins ne peuvent circuler qu’à destination de la destruction par envoi aux usages
industriels. »
Art. 2. – Le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, la ministre de l’agriculture, de la
souveraineté alimentaire et de la forêt et le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes
publics, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal
officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
MICHEL BARNIER
Par le Premier ministre :
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 117
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
ANNIE GENEVARD
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
ANTOINE ARMAND
Le ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics,
LAURENT SAINT-MARTIN
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 48 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
VALSUD (ex : Laiterie coopérative de Crest et de la région) dont le siège social est situé à Crest (Drôme),
SIREN : 301 642 328, sous le numéro 26-74-176, dans le secteur caprin est retirée.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 7 novembre 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur Compétitivité,
S. BOUVATIER
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1 . – Les dispositions de l’accord interprofessionnel relatif au financement des actions interprofession
er
nelles du comité interprofessionnel du pruneau d’Agen signé le 12 août 2024 et conclu dans le cadre de
l’Association interprofessionnelle des fruits et légumes transformés sont étendues à tous les producteurs de prunes
d’ente séchées et/ou des pruneaux mi-cuits produits en France et destinés à une transformation, ainsi qu’à tous les
transformateurs des produits à base de prune d’ente séchées et/ou de pruneaux mi-cuits d’origine française
énumérés à l’article 2 de l’accord interprofessionnel et commercialisés en France, pour la campagne 2024-2025
(1er septembre au 31 août).
Art. 2. – L’accord interprofessionnel est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture, de la
souveraineté alimentaire et de la forêt (BO Agri), et peut être consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.
gouv.fr/boagri/document_administratif-7da4e3e5-b7fa-4dc3-9931-1d20f35d3ef5
Il peut également être consulté :
– au ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt, bureau fruits et légumes et produits
horticoles, 3, rue Barbet-de-Jouy, 75007 Paris ;
– au siège de l’ANIFELT, 44, rue d’Alésia, 75014 Paris.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 15 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur
des filières agroalimentaires,
N. CHEREL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 49 sur 117
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et des marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
homologué par le décret du 25 octobre 2011 susvisé, est modifié comme suit :
1o Au premier paragraphe du 1o, la référence : « 2022 » est remplacée par la référence : « 2024 » ;
2o Au b du 1o pour le département du Bas-Rhin :
– le nom de la commune de « Mittelhausen » est supprimé ;
– les dispositions suivantes sont ajoutées : « Commune retenue en partie : Wingersheim les Quatre Bans (pour
le seul territoire de la commune déléguée de Mittelhausen) » ;
3o Au premier paragraphe du 2o, les mots : « et 25 juin 2024 » sont ajoutés après les mots : « 30 novembre 2022 ».
Art. 2. – Le V du chapitre Ier du cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Crémant d’Alsace »,
homologué par le décret du 25 octobre 2011 susvisé, est modifié comme suit :
1o Le d du 1o est complété par le paragraphe suivant :
« Lorsque l’irrigation est autorisée, conformément aux dispositions de l’article D. 645-5 du code rural et de la
pêche maritime, la charge maximale moyenne à la parcelle des parcelles irriguées est fixée à 12 000 kilogrammes
par hectare. » ;
2o Le 3o est remplacé par les dispositions suivantes :
« 3o Irrigation
« a) L’irrigation peut être autorisée conformément aux dispositions de l’article D. 645-5 du code rural et de la
pêche maritime ;
« b) L’aspersion sur le feuillage est interdite ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
NOR : AGRT2422294A
Arrêtent :
Art. 1er. – Le cahier des charges de l’appellation d’origine contrôlée « Pouilly-Vinzelles » est homologué.
Il est publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt peut
être consulté à l’adresse suivante : https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-
5a8ac97a-e1f0-44bd-87fd-3e0602b468d2
Art. 2. – Le décret no 2011-1797 du 6 décembre 2011 relatif à l’appellation d’origine contrôlée « Pouilly-
Vinzelles » est abrogé.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
Le sous-directeur
des filières agroalimentaires,
N. CHEREL
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêtent :
Art. 1er. – Les dispositions de la décision interprofessionnelle adoptée lors de l’assemblée générale du conseil
interprofessionnel du vin de Bordeaux en date du 9 juillet 2024 et relative à la mise en œuvre du volume régulateur
sont approuvées et rendues obligatoires jusqu’au 31 juillet 2025 aux opérateurs revendiquant des vins bénéficiant
d’une appellation d’origine contrôlée mentionnés dans la décision.
Art. 2. – Le lien https://info.agriculture.gouv.fr/gedei/site/bo-agri/document_administratif-2c2f3441-b8cb-
4a9f-8528-e51fd0b1bd2e permettra de consulter la décision approuvée par le présent arrêté dès qu’il aura été
publié au Bulletin officiel du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt. Il peut
également être consulté :
– au ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt, bureau du vin et des autres boissons,
3, rue Barbet-de-Jouy, 75349 Paris SP 07 ;
– au siège conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB), 1, cours du 30-Juillet, 33075 Bordeaux
Cedex.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 18 novembre 2024.
La ministre de l’agriculture,
de la souveraineté alimentaire
et de la forêt,
Pour la ministre et par délégation :
L’adjointe à la sous-directrice
des filières agroalimentaires,
A. GIREL-ZAJDENWEBER
Le ministre de l’économie,
des finances et de l’industrie,
Pour le ministre et par délégation :
La sous-directrice des produits
et marchés agroalimentaires,
O. CLUZEL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 8 novembre 2024 modifiant l’arrêté du 27 avril 2016 portant organisation de la spécialité
« animateur » du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport
NOR : SPOV2424074A
a) Les premier, deuxième, troisième, quatrième et cinquième alinéas sont remplacés par l’alinéa suivant :
« La spécialité “animateur” du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport
mentionnée à l’article D. 212-21 du code du sport est organisée en mention liée à un champ particulier définie par
arrêté. » ;
b) L’alinéa :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – le cas échéant, les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
c) Au dernier alinéa, après le mot : « dispenses », sont ajoutés les mots : « , les allègements ».
Art. 2. – A l’article 2 du même arrêté, après le mot : « centre », sont ajoutés les mots : « de formation, lorsque
le diplôme est délivré en unités capitalisables et de 900 heures dont 540 heures en centre de formation, lorsque le
diplôme est délivré en blocs de compétences ».
Art. 3. – A l’article 3 du même arrêté, il est ajouté les sept alinéas suivants :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, il confère à son titulaire les compétences suivantes :
« Dans les deux blocs communs quelle que soit la spécialité :
« BC1 : Concevoir et mettre en œuvre des projets d’animation dans le cadre de l’organisation de travail d’une
structure du champ du sport ou de l’animation ;
« BC2 : Valoriser les activités et les projets d’une structure du sport ou de l’animation ;
« Dans les deux blocs de la mention :
« BC3 : Concevoir, conduire, en sécurité et évaluer, des séquences d’animation et des séances d’activités,
culturelles, éducatives ou sociales dans le cadre du projet et de l’organisation de travail de la structure ;
« BC4 : Organiser et encadrer le “vivre ensemble” avec les publics accueillis au sein d’une structure proposant
des activités de loisirs et d’animation socioculturelle. »
Art. 4. – A l’article 4 du même arrêté, il est ajouté les huit alinéas suivants :
« La situation d’évaluation certificative des blocs de compétences communs (BC1 et BC2) est réalisée au moyen
de :
« Pour le BC1 : production d’un document écrit personnel explicitant la conception, la mise en œuvre et la
réalisation d’un projet d’animation s’inscrivant dans celui de la structure d’alternance pédagogique.
« Ce document constitue le support d’un entretien comprenant :
« – une présentation orale par le candidat d’une durée de vingt minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de trente minutes au maximum.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 117
« Pour le BC2 : production d’un ou plusieurs support(s) au choix du candidat, présentant deux séquences de
valorisation d’activité ou de projet qu’il a mis en œuvre au sein de la structure d’alternance pédagogique, auprès de
deux publics différents. Ce ou ces support(s) comprend(nent) notamment les outils de communication utilisés et
constitue(nt) le support de l’entretien comprenant :
« – une présentation orale illustrée par le candidat d’une durée de dix minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de quinze minutes au maximum. »
Art. 5. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 8 novembre 2024.
Pour le ministre et par délégation :
La directrice des sports, Le directeur de la jeunesse,
F. BOURDAIS de l’éducation populaire
et de la vie associative,
T. DE SAINT POL
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrête :
Art. 1 . – L’article A. 212-2 du code du sport est ainsi modifié :
er
a) L’alinéa :
« – les unités capitalisables constitutives du diplôme ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – les unités capitalisables ou les blocs de compétences, constitutifs du diplôme ; »
b) L’alinéa :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – le cas échéant, les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
c) Au dernier alinéa, après le mot : « dispenses », sont ajoutés les mots : « , les allègements ».
Art. 2. – A l’article A. 212-26 du même code, il est ajouté un alinéa ainsi rédigé :
« Le coordinateur de la session de formation et le tuteur du stagiaire ne peuvent être évaluateurs de celui-ci. Seul
l’un des deux évaluateurs peut être un formateur de la session de formation à laquelle le stagiaire est inscrit. »
Art. 3. – A l’article A. 212-27 du même code, les mots : « L’objet, la nature, les modalités et la durée des »,
sont remplacés par le mot : « Les ».
Art. 4. – A l’article A. 212-47 du même code :
a) Les deuxième, troisième, quatrième, cinquième et sixième alinéas sont supprimés ;
b) Après le mot : « dispenses », est ajouté le mot : « , allègements » ;
c) A l’avant-dernier alinéa, les mots : « acquis professionnels liés à la sécurité des pratiquants et des tiers », sont
remplacés par les mots : « compétences professionnelles permettant l’obtention du certificat d’aptitude à
l’encadrement en sécurité de certaines activités physiques ou sportives mentionné à l’article R. 212-1 ».
Art. 5. – A l’article A. 212-47-1 du même code, après le mot : « centre », sont ajoutés les mots : « lorsque le
diplôme est délivré en unités capitalisables et de 900 heures dont 540 heures en centre de formation, lorsque le
diplôme est délivré en blocs de compétences ».
Art. 6. – Après l’article A. 212-47-1 du même code, il est inséré un article A. 212-47-1 bis ainsi rédigé :
« Art. 212-47-1 bis. – Pour l’inscription dans une formation préparant à la spécialité “éducateur sportif” du
brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, le dossier du candidat mentionné à
l’article A. 212-36 est complété par la production de l’un des certificats relatifs au secourisme suivants :
« – a minima, le certificat de compétences de l’unité d’enseignement “prévention et secours civiques de niveau
1” (PSC1) ou équivalent ;
« – le certificat de “sauveteur secouriste du travail” (SST) assorti de la validation de la formation “maintien-
actualisation des compétences obligatoires” (MAC), le cas échéant. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117
Art. 7. – A l’article A. 212-47-2 du même code, sont ajoutés les sept alinéas suivants :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, il confère à son titulaire les compétences suivantes :
« Dans les deux blocs communs quelle que soit la spécialité :
« BC1 : Concevoir et mettre en œuvre des projets d’animation dans le cadre de l’organisation de travail d’une
structure du champ du sport ou de l’animation ;
« BC2 : Valoriser les activités et les projets d’une structure du sport ou de l’animation ;
« Dans le bloc de la mention ou de l’option ;
« BC3 : Concevoir, animer ou conduire en sécurité et évaluer des séances et des cycles de séances dans le champ
de la mention ou de l’option, dans le cadre du projet et de l’organisation de travail de la structure ;
« Le cas échéant, le diplôme comprend un bloc de compétences supplémentaires (BC4) nécessaires de par les
particularités du contexte professionnel. »
Art. 8. – A l’article A. 212-47-3 du même code, sont ajoutés les huit alinéas suivants :
« La situation d’évaluation certificative des blocs de compétences communs (BC1 et BC2) est réalisée au
moyen de :
« Pour le BC1 : production d’un document écrit personnel explicitant la conception, la mise en œuvre et la
réalisation d’un projet d’animation s’inscrivant dans celui de la structure d’alternance pédagogique.
« Ce document constitue le support d’un entretien comprenant :
« – une présentation orale par le candidat d’une durée de vingt minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de trente minutes au maximum.
« Pour le BC2 : production d’un ou plusieurs support(s) au choix du candidat, présentant deux séquences de
valorisation d’activité ou de projet qu’il a mis en œuvre au sein de la structure d’alternance pédagogique, auprès de
deux publics différents. Ce ou ces support(s) comprend(nent) notamment les outils de communication utilisés et
constitue(nt) le support de l’entretien comprenant :
« – une présentation orale illustrée par le candidat d’une durée de dix minutes au maximum ;
« – un échange avec les évaluateurs d’une durée de quinze minutes au maximum. »
Art. 9. – A l’article A. 212-49 du même code :
a) Les cinq premiers alinéas sont remplacés par les alinéas suivants :
« La spécialité “perfectionnement sportif” du diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport
est organisée en mention disciplinaire ou pluridisciplinaire définie par arrêté. Dans le cas d’une mention
pluridisciplinaire, le diplôme peut être délivré au titre d’une option.
« L’arrêté précité précise notamment :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ;
« – les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ;
« – les dispenses, allègements et équivalences avec d’autres certifications.
« – le cas échéant, les conditions de la vérification du maintien des compétences professionnelles permettant
l’obtention du certificat d’aptitude à l’encadrement en sécurité de certaines activités physiques ou
sportives mentionné à l’article R. 212-1. » ;
b) Au sixième alinéa, avant les mots : « Le référentiel professionnel », sont insérés les mots : « Lorsque le
diplôme est délivré en unités capitalisables, » et les mots : « aux articles D. 212-37 et » sont remplacés par les
mots : « à l’article » ;
c) Après le sixième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, les référentiels d’activités, de compétences et
d’évaluation figurent en annexes de l’arrêté de mention. »
Art. 10. – L’article A. 212-50 du même code est abrogé.
Art. 11. – A l’article A. 212-51 du même code :
a) Au sixième alinéa, le mot : « discipline » est remplacé par le mot : « mention » ;
b) L’alinéa :
« UC 4 : Encadrer la discipline sportive définie dans la mention en sécurité. »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« UC 4 : Encadrer la mention ou l’option en sécurité. »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117
Art. 12. – L’article A. 212-52-1 du même code est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. A. 212-52-1. – Pour l’inscription dans une formation préparant à la spécialité “perfectionnement sportif”
du diplôme d’Etat de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, le dossier du candidat mentionné à
l’article A. 212-36 est complété par la production de l’un des certificats relatifs au secourisme suivants :
« – a minima, le certificat de compétences de l’unité d’enseignement “prévention et secours civiques de niveau
1” (PSC1) ou équivalent ;
« – le certificat de “sauveteur secouriste du travail” (SST) assorti de la validation de la formation “maintien-
actualisation des compétences obligatoires” (MAC), le cas échéant. »
Art. 13. – A l’article A. 212-53 du même code :
a) Après le mot : « culturelle », sont insérés les mots : « ou de la spécialité “animation socio-éducative, culturelle
et/ou sportive” » ;
b) Les mots : « du 20 novembre 2006 » sont supprimés.
Art. 14. – A l’article A. 212-54 du même code :
a) Les six premiers alinéas sont remplacés par les alinéas suivants :
« La spécialité “performance sportive” du diplôme d’Etat supérieur de la jeunesse, de l’éducation populaire et du
sport est organisée en mention disciplinaire ou pluridisciplinaire définie par arrêté. Dans le cas d’une mention
pluridisciplinaire, le diplôme peut être délivré au titre d’une option.
« L’arrêté précité précise notamment :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ;
« – les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ;
« – les dispenses, allègements et équivalences avec d’autres certifications ;
« – le cas échéant, les conditions de la vérification du maintien des compétences professionnelles permettant
l’obtention du certificat d’aptitude à l’encadrement en sécurité de certaines activités physiques ou
sportives mentionné à l’article R. 212-1. » ;
b) Au septième alinéa :
– avant les mots : « Le référentiel professionnel », sont insérés les mots : « Lorsque le diplôme est délivré en
unités capitalisables, » ;
– les mots : « aux articles D. 212-53 et », sont remplacés par les mots : « à l’article » ;
c) Après le sixième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Lorsque le diplôme est délivré en blocs de compétences, les référentiels d’activités, de compétences et
d’évaluation figurent en annexes de l’arrêté de mention. »
Art. 15. – L’article A. 212-55 du même code est abrogé.
Art. 16. – A l’article A. 212-56 du même code :
a) Au sixième alinéa, le mot : « discipline » est remplacé par le mot : « mention » ;
b) L’alinéa :
« UC 4 : Encadrer la discipline sportive définie dans la mention en sécurité. »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« UC 4 : Encadrer la mention ou l’option en sécurité. »
Art. 17. – L’article A. 212-57-1 du même code est remplacé par les dispositions suivantes :
« Art. 212-57-1. – Pour l’inscription dans une formation préparant à la spécialité “performance sportive” du
diplôme d’Etat supérieur de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, le dossier du candidat mentionné à
l’article A. 212-36 est complété par la production de l’un des certificats relatifs au secourisme suivants :
« – a minima, le certificat de compétences de l’unité d’enseignement “prévention et secours civiques de niveau
1” (PSC1) ou équivalent ;
« – le certificat de “sauveteur secouriste du travail” (SST) assorti de la validation de la formation “maintien-
actualisation des compétences obligatoires” (MAC), le cas échéant. »
Art. 18. – A l’article A. 212-101-1 du même code :
a) L’alinéa :
« – les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
est remplacé par l’alinéa suivant :
« – le cas échéant, les exigences préalables à l’entrée en formation ; »
b) L’alinéa :
« – les exigences préalables à la mise en situation professionnelle ; »
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 54 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 novembre 2024 fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au
concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure
relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430696A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics, en date du 15 novembre 2024, le nombre de postes offerts, au titre de
l’année 2024, au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure
relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 12.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 117
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 15 novembre 2024 fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au
concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe
exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430699A
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et du ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics, en date du 15 novembre 2024, le nombre de postes offerts, au titre de
l’année 2024, au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe exceptionnelle
relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 5.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 57 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par décret en date du 18 novembre 2024, M. Jacques WITKOWSKI, préfet de la région Grand Est, préfet de la
zone de défense et de sécurité Est, préfet du Bas-Rhin, est nommé membre du conseil d’administration du port
autonome de Strasbourg en remplacement de Mme Josiane CHEVALIER.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation en date du 8 novembre 2024,
Mme Aurore BIVAS, cheffe du bureau Transports et agriculture à la direction générale du Trésor, est nommée
membre du conseil de surveillance de la Société du Canal Seine-Nord Europe, en qualité de représentant de l’Etat,
en remplacement de Mme Eléonore TRIGANO.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation et du ministre délégué auprès
de la ministre du partenariat avec les territoires et de la décentralisation, chargé des transports, en date
du 18 novembre 2024, Mme Séverine FEBVRE, ingénieure en chef des ponts, des eaux et forêts, est nommée
membre du conseil d’administration de la société concessionnaire française pour la construction et l’exploitation du
tunnel routier sous le Mont-Blanc, en qualité de représentant de l’Etat, en remplacement de Mme Christine
DEFFAYET.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 117
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Par arrêté du ministre de l’intérieur en date du 11 novembre 2024, Mme Cindy CAQUINEAU, commandant
divisionnaire fonctionnel de police, est nommée membre de la mission opérationnelle de sécurité et de défense
auprès du ministre de l’intérieur, en qualité de chargée de mission auprès du conseiller police, rattachée
directement au préfet, directeur du cabinet.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’Europe et des affaires étrangères en date du 4 novembre 2024, sont nommés membres
du conseil d’administration de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger en qualité :
1o De représentant d’organismes gestionnaires conventionnés :
Sur proposition de la Fédération d’associations de parents d’élèves de l’enseignement français à l’étranger
(FAPEE) :
M. Bruno Georges DAVID, suppléant, en remplacement de M. Brice BULTOT ;
2o De représentants des fédérations d’associations de parents d’élèves de l’enseignement français à l’étranger :
Sur proposition de la Fédération d’associations de parents d’élèves de l’enseignement français à l’étranger
(FAPEE) :
M. Brice BULTOT, titulaire ;
M. Younes EL HIMDY, suppléant, en remplacement de Mme Catherine BABILLON ;
3o De représentants du personnel en service tant dans les établissements d’enseignement à l’étranger que dans les
services centraux de l’agence, désignés par les organisations syndicales représentatives :
a) Sur proposition du Syndicat national des enseignements de second degré (SNES-FSU) :
M. Patrick SOLDAT, titulaire ;
M. Gauthier ACKERMAN, titulaire ;
b) Sur proposition du Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC (SNUipp-
FSU) :
Mme Isabelle HELENE, suppléante, en remplacement de M. Bruno RIBARD ;
c) Sur proposition de l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA-Education) :
M. Boris FAURE, titulaire, en remplacement de M. Serge FAURE ;
M. Jean DAYET, suppléant, en remplacement de M. Boris FAURE.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques en date
du 8 novembre 2024, Mme Anne BEAUVAL, ingénieure générale des mines, est nommée membre du conseil de
surveillance du grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire, en qualité de représentante du ministre chargé de
l’environnement.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques en date
du 12 novembre 2024, M. Louis CANET et M. Louis OLIVIER sont habilités à exercer le contrôle des matières
nucléaires conformément à l’article L. 1333-5 du code de la défense et reçoivent l’appellation d’inspecteur de la
sécurité des matières nucléaires, de leurs installations et de leurs transports.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques en date
du 13 novembre 2024, sont nommés membres de la Commission supérieure nationale du personnel des industries
électriques et gazières, en qualité de représentants des salariés, en tant que membres suppléants :
M. Franck GEIN, en remplacement de Mme Carine CALVET ;
M. Geoffrey LALIEU, en remplacement de Mme Carole MONTEIL.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de l’industrie en date du 12 novembre 2024, les lauréats de
la sélection professionnelle, ouverte au titre de l’année 2024, dont les noms suivent sont promus au grade d’attaché
économique principal :
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application des
dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi
no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430902A
Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 31 octobre 2024, sont autorisées à exercer
en France la profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation », en application des
dispositions de l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée, les personnes dont les noms
suivent :
M. BERDAGUER FERRARI (Fernando, Daniel), né le 21 janvier 1985 à Montevideo (Uruguay).
M. NAJEM (Samer), né le 30 juillet 1990 à Beyrouth (Liban).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 31 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation » en application des
dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique
NOR : MSAN2430906A
Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 31 octobre 2024, est autorisée à exercer en
France la profession de médecin dans la spécialité « médecine intensive-réanimation », en application des
dispositions de l’article L. 4131-1-1 du code de la santé publique, la personne dont le nom suit :
M. NOORDALLY (Sheik, Oaleed), né le 30 décembre 1959 à Port Louis (Ile Maurice).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430933A
Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 14 novembre 2024, l’arrêté
du 23 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la
spécialité « médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée est modifié
comme suit :
Au lieu de : « M. DJOUAB (Seddik), né le 3 mai 1985 à Sidi Bel Abbes (Tunisie) », lire : « M. DJOUAB
(Seddik), né le 3 mai 1985 à Sidi Bel Abbes (Algérie) ».
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 14 novembre 2024 portant modification de l’arrêté du 23 octobre 2024 fixant la liste des
personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la spécialité
« médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430944A
Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 14 novembre 2024, l’arrêté
du 23 octobre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la profession de médecin dans la
spécialité « médecine cardiovasculaire » en application des dispositions du B du IV de l’article 83 de la
loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée est modifié
comme suit :
Au lieu de : « Mme VLAVONOU (Mondoukpe Ines Diana), née le 24 septembre 1984 à Bohicon (Bénin) »,
lire : « Mme VLAVONOU (Mondoukpe Ines Diana), née le 24 septembre 1982 à Bohicon (Bénin) ».
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions du B
du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité
sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430908A
Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 15 novembre 2024, sont autorisées à
exercer en France la profession de médecin dans la spécialité « hématologie », en application des dispositions du B
du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007
modifiée, les personnes dont les noms suivent :
M. BADIAGA (Youssouf), né le 1er janvier 1981 à Kiban Bbanmba/Koulikoro (Mali).
Mme MIEKOUTIMA (Elsa, Michaelle, Luce), née le 17 mars 1978 à Brazzaville (République démocratique
du Congo).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 15 novembre 2024 fixant la liste des personnes autorisées à exercer en France la
profession de médecin dans la spécialité « hématologie » en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée
NOR : MSAN2430910A
Par arrêté de la ministre de la santé et de l’accès aux soins en date du 15 novembre 2024, est autorisée à exercer
en France la profession de médecin dans la spécialité « hématologie », en application des dispositions de
l’article L. 4111-2 (I) du code de la santé publique et du IV de l’article 83 de la loi no 2006-1640
du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007 modifiée, la personne dont le nom suit :
Mme GERVAIS (Diane, Claudine), née le 2 janvier 1983 à Port-au-Prince (Haïti).
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date 10 octobre 2024, est nommée membre
du comité du contrôle et des suites de l’Agence nationale de contrôle du logement social :
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du logement et de la rénovation urbaine en date du 12 novembre 2024, Mme Marion
VANDEVELDE, adjointe à la sous-directrice de l’aménagement durable, à la direction de l’habitat, de l’urbanisme
et des paysages, est nommée représentante de l’Etat au conseil d’administration de l’établissement public chargé de
l’aménagement de la ville nouvelle de Sénart au titre de l’urbanisme, du logement et des transports, à compter
du 24 novembre 2024.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la ministre du travail, de la santé et des solidarités en date du 31 juillet 2024, Mme Laure
MEDJANI, directrice adjointe du travail, affectée à la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et
des solidarités de Nouvelle-Aquitaine, est promue au grade de directrice du travail, à compter du 1er octobre 2024.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, en date
du 12 novembre 2024, M. Claude GIRAULT, directeur régional des finances publiques des Pays de la Loire et du
département de la Loire-Atlantique, est nommé en qualité de représentant de l’Etat au conseil de surveillance du
grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire au titre du ministre chargé du budget.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 117
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, en date
du 12 novembre 2024, sont nommés membres du conseil d’administration de l’établissement public foncier
d’Occitanie, en qualité de représentants du ministre chargé du budget, en tant que membre titulaire, Mme Carole
VASSAL, administratrice de l’Etat à la direction départementale des finances publiques de l’Hérault, en
remplacement de Mme Anne-Marie AUDUREAU, et, en tant que membre suppléant, M. Lionel COLOMB,
administrateur de l’Etat à la direction départementale des finances publiques de l’Hérault, en remplacement de
M. Patrick REBOUL.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 117
CONVENTIONS COLLECTIVES
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé RCF Corsica.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 117
ANNEXE I (*)
Nom du service : RCF Corsica.
Zone géographique mise en appel : Ajaccio.
Fréquence : 94,5 MHz.
Adresse du site : lieudit Bocca di Cialone, Coti-Chiavari (2A).
Altitude du site (NGF) : 587 mètres.
Hauteur d’antenne : 24 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 500 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 3 180 13 270 6
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : RCF Corsica.
Zone géographique mise en appel : Porto-Vecchio.
Fréquence : 97,8 MHz.
Adresse du site : Punta di a Varra, lieudit Ranella, Porto-Vecchio (2A).
Altitude du site (NGF) : 180 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 117
0 0 90 14 180 7 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 117
Décide :
Art. 1 . – La SAS Business FM est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe, conformément à la
er
convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie D par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé BFM Business.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 117
ANNEXE (*)
Nom du service : BFM Business.
Zone géographique mise en appel : Bastia.
Fréquence : 103,4 MHz.
Adresse du site : Pietra Mala, Ville-di-Pietrabugno (2B).
Altitude du site (NGF) : 340 mètres.
Hauteur d’antenne : 38 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 22 90 7 180 0 270 6
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 117
convention et à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio de catégorie C par
voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Chérie FM Corse.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté
trois mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 117
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’Autorité les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Bella’Com et publiée au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE
ANNEXE (*)
Nom du service : Chérie FM Corse.
Zone géographique mise en appel : Cervione-Plaine.
Fréquence : 104,0 MHz.
Adresse du site : Phare d’Alistro, Canale di Verdé, San-Giuliano (2B).
Altitude du site (NGF) : 70 mètres.
Hauteur d’antenne : 12 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 2 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 2 90 7 180 1 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 117
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’Autorité les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Europe 1 Télécompagnie et publiée au Journal officiel de
la République française.
Fait à Paris, le 16 octobre 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le conseiller,
D. RAPONE
ANNEXE (*)
Nom du service : Europe 1.
Zone géographique mise en appel : Porto-Vecchio.
Fréquence : 99,6 MHz.
Adresse du site : Punta di a Varra, lieudit Ranella, Porto-Vecchio (2A).
Altitude du site (NGF) : 173 mètres.
Hauteur d’antenne : 38 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 1 90 7 180 2 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 117
conformément à la convention et aux annexes de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio
de catégorie B par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Jazz Radio.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 13 novembre 2024 et jusqu’au 14 novembre 2028.
L’ARCOM pourra prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté trois
mois après la date d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– dans un délai de deux mois après la mise en service, le descriptif effectif technique de l’installation (type et
puissance nominale de l’émetteur, système d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 min).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 117
ANNEXE I (*)
Nom du service : Jazz Radio.
Zone géographique mise en appel : Bastia.
Fréquence : 88,7 MHz.
Adresse du site : Pietra Mala, Ville-di-Pietrabugno (2B).
Altitude du site (NGF) : 340 mètres.
Hauteur d’antenne : 35 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 0 180 0 270 5
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
ANNEXE II (*)
Nom du service : Jazz Radio.
Zone géographique mise en appel : Calvi.
Fréquence : 97,0 MHz.
Adresse du site : Col de Salvi, lieudit Capigliole, Lavatoggio (2B).
Altitude du site (NGF) : 532 mètres.
Hauteur d’antenne : 33 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 117
0 1 90 6 180 4 270 0
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
0 1 90 0 180 2 270 7
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117
Elle définit la stratégie de sensibilisation du grand public aux enjeux de la protection de la vie privée et à
l’exercice des droits en matière de protection des données à caractère personnel.
Elle pilote les actions de promotion d’une culture de la protection des données et de l’éducation citoyenne au
numérique auprès des publics, notamment par des actions dans les territoires. Elle contribue, en particulier, à la
protection des mineurs, notamment en ligne.
Elle développe un réseau de partenariats et des collaborations avec des institutions publiques et d’autres acteurs
privés et associatifs propres à accroitre l’impact de ses actions de sensibilisation.
A cet effet, elle gère notamment le comité Educnum.
Elle comprend :
– le service d’information du public qui répond aux demandes d’information écrites et par téléphone posées par
les publics, particuliers et professionnels. Il travaille en étroite collaboration avec les autres services afin
d’alimenter les réflexions et d’adapter les actions de la commission ;
– le service de sensibilisation du public, qui a pour mission de toucher tous les publics en leur délivrant une
information sur la protection des données, sur la vie privée et le numérique. Il produit des ressources et
contenus adaptés au grand public.
Art. 4. – La direction de l’accompagnement juridique est chargée de proposer et mettre en œuvre la politique
d’accompagnement des organismes publics et privés dans leur démarche de mise en conformité vis-à-vis de la
réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.
Elle élabore, en concertation avec les autres directions, la doctrine de la commission via la production
d’instruments de droit souple (recommandations, référentiels, etc.) et produit des outils d’accompagnement et de
formation ainsi que tout document destiné à aider les professionnels. Elle intervient, avec le service de
l’intelligence artificielle, dans l’encadrement des systèmes d’intelligence artificielle.
Elle développe et anime des partenariats et des réseaux avec des professionnels afin de promouvoir les principes
de protection des données à caractère personnel. Elle pilote la promotion et le déploiement des nouveaux outils de
conformité (AIPD, certification, code de conduite, etc.) prévus par le règlement général à la protection des données
(RGPD).
Elle accompagne de manière individualisée certains professionnels dans leurs projets de mise en conformité.
Dans ce cadre, elle développe des programmes d’accompagnement et anime le réseau des délégués à la protection
des données.
Elle instruit les demandes d’autorisations prévues par la loi « informatique et libertés », et les demandes d’avis
sur des projets ou propositions de lois, ou de textes règlementaires adressés par le gouvernement. Elle participe au
conseil des pouvoirs publics.
Elle prépare, en lien avec les rapporteurs, les projets de délibération ou de communication soumis à l’examen du
collège.
Elle participe à la coopération européenne et représente la commission dans des sous-groupes du Comité
européen de la protection des données (CEPD).
Outre les agents directement rattachés aux directeurs, la direction comprend :
– le service des délégués et de l’accompagnement, qui est en charge des relations avec les délégués à la
protection des données (réponses à leurs sollicitations, conseils juridiques et pratiques sur le métier). Il est
chargé du déploiement et de la supervision des activités innovantes d’accompagnement (bac à sable
notamment) et de formation des professionnels (cours en ligne ouverts à tous, webinaires, journées RGPD en
région, etc.) ;
– le service des outils de la conformité, qui promeut et pilote le déploiement des outils de conformité prévus par
le RGPD, y compris au niveau européen. Il instruit les dossiers de règles contraignantes d’entreprises et
participe à la mise en place des mécanismes de certification, des codes de conduites et évalue les analyses
d’impact (AIPD) soumises à consultation ;
– le service de l’économie numérique et du secteur financier, qui est en charge de la création de la doctrine
juridique au bénéfice des secteurs commerce et marketing, médias et communications électroniques, du
secteur financier (banques et assurances), des acteurs privés qui interviennent dans le secteur des transports et
des fournisseurs de solutions technologiques innovantes pour ces secteurs. Il accompagne et conseille ces
acteurs, plus particulièrement en répondant à leurs demandes de conseil et en organisant des concertations en
vue de l’élaboration de recommandations pratiques. Il fournit un soutien aux différents services de la
Commission sur ces sujets et intervient dans les travaux européens relevant de sa compétence ;
– le service des affaires sociales, des collectivités territoriales, du sport et de l’environnement, qui accompagne
les acteurs publics et privés intervenant dans les secteurs travail, solidarités, sport, habitat, eau, énergie,
transports publics et agriculture. Il accompagne et conseille les collectivités territoriales dont il est
l’interlocuteur privilégié ;
– le service des affaires régaliennes et des libertés publiques, qui conseille les organismes publics et privés
principalement dans les secteurs de la police, de la justice, des finances publiques, de l’éducation nationale et
de la recherche. Il est l’interlocuteur privilégié des ministères concernés et prépare notamment les avis sur des
projets de textes touchant aux libertés publiques ;
– le service de la santé, qui accompagne les organismes publics et privés intervenant dans les secteurs de la
santé et du système de soins, de l’assurance maladie, ainsi que de la recherche médicale. Il instruit, en lien
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117
avec le service de l’expertise technologique, les formalités préalables en matière de traitement de données de
santé et propose des référentiels destinés à encadrer et simplifier ces démarches.
Art. 5. – La direction des technologies, de l’innovation et de l’intelligence artificielle est chargée de mettre à la
disposition de l’ensemble des services de la commission son expertise technologique et informatique et de partager,
en interne et en externe, les enjeux d’innovation et de prospective.
Elle contribue, sous l’angle de l’analyse technique et de sécurité, aux projets de délibérations ou de
communications soumis à l’examen du collège, ainsi qu’aux dossiers le nécessitant soumis par la direction de
l’exercice des droits et des plaintes et la direction des contrôles et des sanctions. Elle concourt à l’élaboration de la
doctrine de la commission en concertation avec les autres directions.
Elle conçoit des outils à destination des responsables de traitement, des usagers et des services de la commission
afin de mieux appréhender les nouvelles technologies.
Elle gère et traite les notifications de violations de données à caractère personnel reçues par la commission.
Elle est chargée d’appréhender le fonctionnement des systèmes d’intelligence artificielle et leurs impacts pour
les personnes et, en collaboration avec la direction de l’accompagnement juridique, de guider le développement de
systèmes respectueux de la vie privée.
Elle réalise une veille et analyse les usages du numérique et les innovations technologiques au regard de leurs
enjeux en termes de vie privée et de libertés individuelles, et réalise des expérimentations et des études.
Elle met en place des collaborations avec les écosystèmes d’innovation du numérique et des partenariats
académiques, notamment afin de développer les capacités d’analyse technique de la commission et de nourrir les
débats de société sur les enjeux éthiques des données. Elle anime un comité de la prospective, composé de
chercheurs et de personnalités qualifiées, destiné à éclairer la commission.
Elle développe des analyses économiques, dans les champs de l’économie de la vie privée, l’économie des
données ou encore de l’économie de la régulation, pour éclairer les décisions de la commission ainsi que
l’évaluation de ses décisions.
Elle comprend :
– le service de l’expertise technologique qui est chargé de fournir à la commission une compréhension des
technologies numériques sous l’angle notamment de leur sécurité informatique (applications mobiles,
informatique en nuage, vérification d’identité à distance, vote électronique, etc.), et de leurs enjeux en matière
de protection de la vie privée. Il est également en charge du traitement des notifications de violation de
données à caractère personnel ;
– le service de l’intelligence artificielle qui est chargé de mettre en œuvre la régulation technique et juridique de
l’intelligence artificielle en lien avec les services sectoriels compétents de la direction de l’accompagnement
juridique, de faciliter au sein de la commission, mais aussi pour les professionnels et les particuliers, la
compréhension du fonctionnement des systèmes d’IA, et de développer les relations avec les acteurs de
l’écosystème ;
– le service laboratoire d’innovation numérique de la CNIL qui explore les différents sujets liés à la protection
des données à caractère personnel (veille, publications, scénarios prospectifs), échange avec les écosystèmes
d’innovation et de la recherche, expérimente et crée des outils à destination du public et de la commission ;
– la mission d’analyse économique qui développe des analyses théoriques et empiriques pour éclairer les
décisions de la commission. Elle contribue à la compréhension des modèles d’affaires et à l’étude de l’impact
économique des choix de régulation. Elle est également chargée de favoriser la coopération avec les autres
régulateurs économiques et financiers ainsi qu’avec les acteurs économiques.
Art. 6. – La direction de l’exercice des droits et des plaintes est chargée de traiter les réclamations et plaintes
introduites par une personne concernée ou par un organisme, une organisation ou une association.
La direction instruit également les signalements émis par les lanceurs d’alerte concernant la protection des
données à caractère personnel, en lien avec la direction des contrôles et des sanctions.
Elle traite les demandes d’exercice indirect des droits portant sur les fichiers soumis à ce régime spécifique, en
lien avec les commissaires, membres de la commission chargés de procéder, pour le compte des personnes, aux
vérifications nécessaires.
Elle répond aux demandes d’avis des autorités judiciaires en lien avec ses missions.
Elle participe à la coopération européenne et représente la commission dans des sous-groupes du Comité
européen de la protection des données.
La direction contribue à la mise en œuvre de la stratégie répressive de la commission en lien étroit avec la
direction des contrôles et des sanctions, propose des dossiers à orienter vers la procédure de sanction simplifiée et
concourt à l’élaboration de la doctrine de la commission en concertation avec les autres directions.
Outre les agents directement rattachés à la direction, elle comprend :
– le service de l’exercice des droits et des plaintes qui assure l’analyse, l’instruction et le suivi de plaintes reçues
par la commission et traite les demandes d’exercice de droits indirect portant sur les fichiers soumis à ce
régime spécifique ;
– le service des plaintes - affaires publiques, sociales et financières, et le service des plaintes - affaires
numériques et commerciales. Ces deux services assurent l’analyse, l’instruction, le suivi de plaintes reçues par
la commission et participent à la coopération européenne.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117
Art. 7. – La direction des contrôles et des sanctions est chargée de définir et de mettre en œuvre les politiques
de contrôles et de sanctions de la commission, en lien étroit avec la direction de l’exercice des droits et des plaintes.
Elle élabore un programme annuel des contrôles à l’intention du président et réalise les contrôles décidés par lui,
en procédant à des investigations sur place, en ligne, sur audition ou sur pièces.
Elle examine les signalements de violations de données et, le cas échéant, intervient auprès des responsables de
traitement concernés pour y mettre fin.
Elle instruit les mesures correctrices et les procédures de sanctions, ordinaires ou simplifiées. Elle prépare les
dossiers de procédures de sanctions soumis à l’examen de la formation restreinte de la commission ou de son
président et en assure le suivi. Elle gère la majeure partie des activités contentieuses de la commission (notamment
en lien avec les recours introduits devant les juridictions).
Elle participe à la coopération européenne avec les homologues des autorités de protection des données et
représente la commission dans des sous-groupes du Comité européen de la protection des données.
La direction contribue à la mise en œuvre de la stratégie répressive de la commission et concourt à l’élaboration
de la doctrine de la commission en concertation avec les autres directions.
Elle comprend :
– le service des contrôles - affaires économiques et le service des contrôles - RH, santé et affaires publiques. Ces
deux services réalisent, dans leurs domaines respectifs, les missions de vérification décidées par le président
afin d’examiner la conformité à la règlementation des traitements de données à caractère personnel mis en
œuvre par tout type d’organisme, et les suites à y apporter. Ils contribuent au programme annuel des contrôles.
Ils participent également à l’instruction des plaintes, à la coopération européenne, à la mise en place de la
politique répressive, et rédigent des mesures correctrices ;
– le service des sanctions et du contentieux 1 et le service des sanctions et du contentieux 2. Ces deux services
rédigent des mises en demeure et des rapports proposant des sanctions à la formation restreinte de la
commission et à son président (procédure de sanction simplifiée). Ils assurent la rédaction des mémoires et
documents devant être produits devant les juridictions dans le cadre du contentieux de la commission. Ils
contribuent également aux actions de communication de l’institution, participent à la coopération européenne
(via notamment l’examen de projets de décisions européens) et répondent aux demandes d’avis des autorités
judiciaires.
Art. 8. – La direction des systèmes d’information est chargée de définir et de mettre en œuvre les conditions
opérationnelles des systèmes d’information de la commission, de leur conception à leur maintenance.
Elle s’assure du bon fonctionnement des téléservices et des sites internet de la commission, ainsi que de leurs
évolutions.
Elle identifie, propose, développe et acquiert des outils utiles à l’accomplissement de leurs missions par les
agents de la commission.
Elle pilote également, en collaboration avec les directions métiers, les projets d’évolution des systèmes
techniques et applicatifs conformément au schéma directeur du système d’information.
En collaboration avec la mission qualité, performance, risques, notamment du responsable de la sécurité des
systèmes d’information, elle assure la sécurité des systèmes d’information de la commission et des données qu’elle
traite, ainsi que leur disponibilité.
Elle assure enfin le support aux utilisateurs.
Elle comprend :
– le service des projets, applications et développements qui développe et maintient un ensemble d’applications
permettant le bon fonctionnement de la commission ;
– le service des infrastructures, de la sécurité et du support qui administre les réseaux et les systèmes de la
commission, assure leur sécurité informatique ainsi que le support aux utilisateurs.
Art. 9. – La direction administrative et financière est chargée de gérer les personnels et les moyens de la
commission.
Elle propose et met en œuvre la politique budgétaire et comptable de la commission, prépare le budget et en
assure l’exécution financière et le suivi. Elle conçoit et conduit la politique d’achat de la commission dans le
respect des règles et procédures de la commande publique. Elle gère les activités des moyens généraux en soutien
des services.
La direction met en œuvre la politique de gestion des ressources humaines. Elle assure la gestion administrative
et budgétaire des emplois en matière de recrutement, rémunération, carrière et formation. Elle met en œuvre la
politique d’accompagnement personnalisé des parcours professionnels.
Elle assure le bon fonctionnement des instances de concertation et de relations sociales. Elle coordonne la
politique sociale et la prévention en faveur des personnels.
Elle comprend :
– le service des ressources humaines qui assure la gestion des emplois, des carrières et de la formation, le bon
fonctionnement des instances de concertation et de relations sociales, l’accompagnement personnalisé des
agents dans leurs projets d’évolution professionnelle et gère également le budget d’emplois. Les crédits de
masse salariale sont gérés en collaboration avec le service des finances ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 117
– le service des finances, de la commande publique et des moyens généraux qui met en œuvre le budget de la
commission, assure son suivi, et veille au respect des règles de la commande publique pour l’ensemble des
achats. Il gère également l’ensemble des activités visant au bon fonctionnement des services (déplacements et
missions, courrier, reprographie, gestion des fournitures et du mobilier, relations avec l’exploitant du
bâtiment, organisation logistique des évènements, véhicules).
Art. 10. – L’entrée en vigueur de l’organisation des services de la Commission nationale de l’informatique et
des libertés telle que définie dans la présente décision se fera de manière progressive jusqu’à fin juillet 2025.
Art. 11. – Le secrétaire général est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal
officiel de la République française.
Fait à Paris, le 7 novembre 2024.
M.-L. DENIS
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 117
Naturalisations et réintégrations
Décret du 18 novembre 2024
portant déchéance de la nationalité française
NOR : INTN2425867D
Naturalisations et réintégrations
Décret du 18 novembre 2024
rapportant un décret de naturalisation
NOR : INTN2426858D
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025
ORDRE DU JOUR
NOR : INPA2431237X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025
NOR : INPA2431239X
Semaine du À 15 heures : À 21 h 30 :
Gouvernement - Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
- Pt loi de finances de fin de gestion pour 2024
NOVEMBRE (538, 553).
MARDI 19 - Pn org. Sénat portant réforme du financement de
l’audiovisuel public (482, 556).
- Pn Sénat sécuriser le mécanisme de purge des
nullités (465, 550).
- Pn prolonger la dérogation d’usage des titres
restaurant pour tout produit alimentaire (532,
552).
À 14 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
MERCREDI 20
À 15 heures :
- Suite odj de la veille.
À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
JEUDI 21
- Suite odj de la veille. - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.
NOVEMBRE À 14 heures : À 21 h 30 :
MERCREDI 27 - Questions au Gouvernement. - Débat sur le rapport relatif à
À 15 heures : l’évaluation de l’adaptation des
- Débat sur le rapport relatif à l’évaluation de logements aux transitions démo
l’accès à l’enseignement supérieur. (3) graphique et environnementale.
- Débat sur le rapport relatif à l’évaluation de la (5)
lutte contre la contrefaçon. (4)
Semaine À 16 heures : À 21 h 30 :
de l’Assemblée - Pn améliorer le traitement des maladies affectant - Suite odj de l’après-midi.
les cultures végétales à l’aide d’aéronefs télé
DÉCEMBRE pilotés (380).
LUNDI 2 - Pn restaurer l’autorité de la justice à l’égard des
mineurs délinquants et de leurs parents (448).
- Pn contre toutes les fraudes aux aides publiques
(447).
À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
- Questions orales sans débat. - Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
- Pn création d’un centre hospitalier universitaire
en Corse (341). (7)
- 2e lect. Pn réduire et encadrer les frais bancaires
sur succession (158).
MARDI 3 - Pn optimiser la protection et l’accompagnement
des parents d’enfants atteints de cancers, de
maladies graves et de handicaps (277).
- Pn remboursement intégral des fauteuils roulants
par l’Assurance maladie (203).
- Pn prévenir les litiges relatifs aux obligations de
décence énergétique et sécuriser leur applica
tion en copropriété (546).
À 14 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
MERCREDI 4
À 15 heures :
- Suite odj de la veille.
À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
JEUDI 5
- Suite odj de la veille. - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.
Semaine À 16 heures : À 21 h 30 :
du Gouvernement - Pt diverses dispositions d’adaptation au droit de - Suite odj de l’après-midi.
l’UE en matière économique, financière, envi
DÉCEMBRE ronnementale, énergétique, de transport, de
LUNDI 9 santé et de circulation des personnes (529).
À 15 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
- Déclaration du Gouvernement relative à l’accord
commercial entre l’UE et le Mercosur, suivie
MARDI 10 d’un débat et d’un vote (art. 50-1 de la
Constitution). (8)
- Suite odj de la veille.
- Pn Sénat renforcer la sûreté dans les transports
(134).
À 14 heures : À 21 h 30 :
- Questions au Gouvernement. - Suite odj de l’après-midi.
À 15 heures :
- Suite Pt diverses dispositions d’adaptation au
MERCREDI 11 droit de l’UE en matière économique, finan
cière, environnementale, énergétique, de
transport, de santé et de circulation des per
sonnes.
- Suite Pn Sénat renforcer la sûreté dans les
transports.
À 9 heures : À 15 heures : À 21 h 30 :
- Suite Pt diverses dispositions d’adaptation - Suite odj du matin. - Suite odj de l’après-midi.
au droit de l’UE en matière économique,
VENDREDI 13 financière, environnementale, énergé
tique, de transport, de santé et de
circulation des personnes.
- Suite Pn Sénat renforcer la sûreté dans les
transports.
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025
GROUPES POLITIQUES
NOR : INPA2431238X
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025
NOR : INPA2431233X
1. Composition
Modification à la composition de la commission des affaires européennes
DÉMISSION
NOMINATION
M. Damien Girard
DÉMISSIONS
M. Aymeric Caron
M. Alexis Corbière
M. Philippe Brun
M. André Chassaigne
M. Stéphane Delautrette
M. Jean-Luc Fugit
Affaires économiques
Mme Mathilde Hignet
M. Bastien Marchive
M. François Piquemal
M. Matthias Tavel
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117
M. Stéphane Vojetta
M. Karim Benbrahim
M. Guillaume Garot
M. Benjamin Lucas-Lundy
M. Christophe Mongardien
M. Jean-Philippe Nilor
M. Jean-Hugues Ratenon
M. Arnaud Simion
M. Vincent Thiébaut
M. Stéphane Viry
M. Joël Aviragnet
M. Édouard Bénard
M. Manuel Bompard
M. Yannick Favennec-Bécot
M. Abdelkader Lahmar
M. Thierry Sother
M. Gabriel Amard
M. Anthony Brosse
M. Pierre Cazeneuve
M. Pierre Marle
M. Dominique Potier
M. Loïc Prud’homme
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117
M. Fabrice Roussel
M. Laurent Baumel
M. Daniel Labaronne
M. Aurélien Le Coq
M. Damien Maudet
M. Ugo Bernalicis
M. Marc Fesneau
M. Jérémie Iordanoff
M. Andy Kerbrat
M. Jean Terlier
En application de l’article 38 alinéa 3 du Règlement, Mme Christine Engrand a cessé d’appartenir à la commission du développement durable.
NOMINATIONS
M. Pierre Cazeneuve
Affaires économiques
Mme Sophie Panonacle
M. Daniel Labaronne
M. Jean Terlier
M. Aurélien Le Coq
M. Ugo Bernalicis
M. Pierre-Yves Cadalen
M. Damien Maudet
M. Matthias Tavel
M. Andy Kerbrat
M. Jean-Philippe Nilor
Défense
M. Loïc Prud’homme
M. Jean-Hugues Ratenon
M. Manuel Bompard
M. Sébastien Delogu
M. François Piquemal
M. Dominique Potier
M. Joël Aviragnet
M. Laurent Baumel
Affaires sociales
Mme Béatrice Bellay
M. Fabrice Roussel
M. Emmanuel Grégoire
M. Stéphane Delautrette
Développement durable
Mme Chantal Jourdan
M. Philippe Brun
Finances
M. Arnaud Simion
Mme Christine Engrand, députée n’appartenant à aucun groupe, devient membre de la commission des affaires étrangères,
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117
2. Réunions
Mercredi 20 novembre 2024
Commission des affaires culturelles,
A 9 heures (Salle 6242 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– examen de la proposition de loi visant à la refondation du modèle de financement public des établissements
privés sous contrat afin de garantir la mixité sociale en leur sein (no 418) (M. Paul Vannier, rapporteur) ;
– désignation de rapporteurs sur :
– la proposition de résolution européenne visant à lutter contre les addictions numériques chez les enfants
(no 530) ;
– la proposition de loi visant à rendre accessible à tous les étudiants le repas à 1 euro ( no 519) ;
– la proposition de loi pour plus de sport et moins de sucre (no 558).
Commission des affaires économiques,
A 9 h 30 (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– examen de la proposition de loi visant au blocage des prix de l’énergie dans l’hexagone et les outre-mer
(no 419) (Mme Alma Dufour, rapporteure).
A 14 h 45 (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– examen, en application de l’article 88 du Règlement, des amendements restant en discussion sur la proposition
de loi visant à prolonger la dérogation d’usage des titres restaurant pour tout produit alimentaire (no 532)
(Mme Anne-Laure Blin, rapporteur).
A 16 h 30 (Salle 6241 – Palais Bourbon, 2e sous-sol) :
– nomination de rapporteurs en vue de la séance thématique de contrôle du 14 janvier 2025 sur le thème : « Un
an après la crise agricole, quel bilan pour les agriculteurs ? » ;
– audition de Mme Annie Genevard, ministre de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt.
Commission des affaires étrangères,
A 9 heures (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 9, rue de Bourgogne, 2e étage) :
– audition, ouverte à la presse, de S.E. Mme Hala Abou Hassira, Ambassadrice, Cheffe de la mission de
Palestine en France.
A 11 heures (Salle 4223 – Commission des affaires étrangères, 9, rue de Bourgogne, 2e étage) :
– audition, ouverte à la presse, de M. Thani Mohamed Soilihi, secrétaire d’Etat chargé de la francophonie et des
partenariats internationaux.
Commission des affaires européennes,
A 16 heures (Salle 4325 – Commission des affaires européennes, 9, rue de Bourgogne, 3e étage) :
– table ronde sur les suites du rapport de M. Mario Draghi relatif aux moyens de renforcer la compétitivité
européenne avec M. Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, Mme Nadine Levratto, directrice de
recherche au CNRS et M. Jean Pisani-Ferry, président de l’Institut de l’économie pour le climat ;
– nomination de rapporteurs d’information.
Commission des affaires sociales,
A 9 h 30 (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1er étage) :
– examen de la proposition de loi d’abrogation de la retraite à 64 ans (no 438) (M. Ugo Bernalicis, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à régulariser les praticiens et pharmaciens à diplôme hors Union
européenne (no 432) (M. Damien Maudet, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à reconnaître la pénibilité des métiers « féminisés » (no 415) (Mme
Gabrielle Cathala, rapporteure) ;
– examen de la proposition de loi visant à instaurer une rémunération maximale dans les entreprises (no 412) (M.
Matthias Tavel, rapporteur).
A 15 heures (Salle 6351 – Palais Bourbon, 1ème étage) :
– examen de la proposition de loi d’abrogation de la retraite à 64 ans (no 438) (M. Ugo Bernalicis, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à régulariser les praticiens et pharmaciens à diplôme hors Union
européenne (no 432) (M. Damien Maudet, rapporteur) ;
– examen de la proposition de loi visant à reconnaître la pénibilité des métiers « féminisés » (no 415) (Mme
Gabrielle Cathala, rapporteure) ;
– examen de la proposition de loi visant à instaurer une rémunération maximale dans les entreprises (no 412) (M.
Matthias Tavel, rapporteur).
Commission de la défense,
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 117
Informations parlementaires
ASSEMBLÉE NATIONALE
Session ordinaire 2024-2025
DOCUMENTS ET PUBLICATIONS
NOR : INPA2431240X
Documents parlementaires
Dépôt du mardi 19 novembre 2024
Retrait d’une proposition de loi
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu une lettre par laquelle M. Karl Olive et plusieurs de ses
collègues déclarent retirer leur proposition de loi visant à rendre obligatoire les détecteurs de monoxyde de carbone
dans les logements (no 504), déposée le 29 octobre 2024.
Acte est donné de ce retrait.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Danielle Brulebois et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi pour un accès plus juste et plus transparent au marché de
l’assurance affinitaire.
Cette proposition de loi, no 572, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Louis Boyard et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à protéger les personnes victimes de violences conjugales dans le
monde du travail.
Cette proposition de loi, no 573, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Olivier Marleix, une
proposition de loi visant à instaurer un délai minimum entre deux congés paternité pour prévenir les abus et
respecter la législation sur la polygamie.
Cette proposition de loi, no 574, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Caroline Yadan et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi visant à lutter contre les formes renouvelées de l’antisémitisme.
Cette proposition de loi, no 575, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Christelle D’Intorni et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à introduire une dose de capitalisation dans le système de
retraite.
Cette proposition de loi, no 576, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Ugo Bernalicis et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme du code pénal.
Cette proposition de loi, no 577, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Hadrien Clouet et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi relative à la baisse du coût de la rentrée scolaire.
Cette proposition de loi, no 578, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Xavier Breton et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à renforcer l’arsenal législatif face à la multiplication d’actions
d’entrave à des activités agricoles, cynégétiques, d’abattage ou de commerce de produits d’origine animale.
Cette proposition de loi, no 579, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Idir Boumertit et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à restreindre la vente de protoxyde d’azote aux seuls professionnels et à
renforcer les actions de prévention sur les consommations détournées.
Cette proposition de loi, no 580, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Maud Petit et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à faire coïncider les délais de prescription du délit de non-dénonciation
et du délit d’omission de porter secours avec les délais de prescription des crimes et agressions sexuelles sur
mineurs.
Cette proposition de loi, no 581, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Thibault Bazin, une proposition
de loi portant mesures d’urgence réformant la politique familiale afin de mieux soutenir les familles qui travaillent
et les familles nombreuses.
Cette proposition de loi, no 582, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Arnaud Le Gall et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi relative à l’amnistie des gilets jaunes et la publication des cahiers d’expression
libre issus du grand débat national de 2020.
Cette proposition de loi, no 583, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Nicole Le Peih, une
proposition de loi relative à l’exercice de la démocratie agricole.
Cette proposition de loi, no 584, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application de
l’article 83 du règlement.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 117
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Corentin Le Fur et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à préserver les élevages des nuisances des éoliennes.
Cette proposition de loi, no 585, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Corentin Le Fur et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à indemniser systématiquement les propriétaires de biens immobiliers
impactés par l’implantation d’éoliennes terrestres.
Cette proposition de loi, no 586, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Corentin Le Fur et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à encadrer le développement de l’éolien.
Cette proposition de loi, no 587, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Cyrille Isaac-Sibille et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi portant interdiction de la publicité des boissons alcoolisées par les
influenceurs sur les réseaux sociaux.
Cette proposition de loi, no 588, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Thibault Bazin et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à permettre la distribution et la mise à disposition des médicaments non
utilisés à des fins humanitaires.
Cette proposition de loi, no 589, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Thibault Bazin et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à permettre aux salariées et aux agents publics de bénéficier d’une
autorisation d’absence annuelle pour réaliser une mammographie de dépistage du cancer du sein.
Cette proposition de loi, no 590, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Arnaud Le Gall et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à la mise en œuvre de la bifurcation écologique du transport aérien et
pour le bien-vivre des habitants proches des zones aéroportuaires.
Cette proposition de loi, no 591, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Mathilde Panot et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi visant à garantir la souveraineté sanitaire de la France.
Cette proposition de loi, no 592, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Olivier Marleix et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à réprimer pénalement les pratiques de surenchère d’intéressement dans
les offres de reprise d’entreprises.
Cette proposition de loi, no 593, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Isabelle Santiago et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi relative à l’instauration de normes d’encadrement dans les établissements
d’accueil de la protection de l’enfance.
Cette proposition de loi, no 594, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Emmanuel Mandon, une
proposition de loi visant à permettre et à encadrer la mise en retrait des responsables des exécutifs communaux et
intercommunaux en cas de situation particulière.
Cette proposition de loi, no 595, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Virginie Duby-Muller et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à permettre l’utilisation des droits du compte personnel de
formation des parents au bénéfice de leurs enfants pour financer le permis de conduire.
Cette proposition de loi, no 596, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Jean-François Coulomme et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à abolir la chasse à la marmotte.
Cette proposition de loi, no 597, est renvoyée à la commission du développement durable et de l’aménagement
du territoire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Hadrien Clouet et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à protéger les travailleurs de l’exposition aux températures extrêmes.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 90 sur 117
Cette proposition de loi, no 598, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Christine Loir et plusieurs de
ses collègues, une proposition de loi visant à garantir les remboursements des produits et prestations médicales aux
personnes en situation de handicap.
Cette proposition de loi, no 599, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Nadège Abomangoli et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à créer un corps de fonctionnaires pour les accompagnants
d’élèves en situation de handicap.
Cette proposition de loi, no 600, est renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, en
application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Stéphane Delautrette et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi visant à garantir le droit d’accès du public aux informations
relatives aux enjeux environnementaux et de durabilité.
Cette proposition de loi, no 601, est renvoyée à la commission des affaires culturelles et de l’éducation, en
application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Olivier Marleix, une
proposition de loi visant à interdire les grèves dans les transports en commun la veille des vacances scolaires et les
jours fériés.
Cette proposition de loi, no 602, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Benjamin Lucas-Lundy et
plusieurs de ses collègues, une proposition de loi portant suppression du délai de carence.
Cette proposition de loi, no 603, est renvoyée à la commission des affaires sociales, en application de l’article 83
du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de Mme Émeline K/Bidi et plusieurs
de ses collègues, une proposition de loi pour l’accès des avocats au dossier de la procédure.
Cette proposition de loi, no 604, est renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de
l’administration générale de la République, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Stéphane Viry, une proposition
de loi visant à améliorer la transmission de son patrimoine financier en augmentant l’abattement fiscal des primes
versées en assurance-vie.
Cette proposition de loi, no 605, est renvoyée à la commission des finances, de l’économie générale et du
contrôle budgétaire, en application de l’article 83 du règlement.
Mme la Présidente de l’Assemblée nationale a reçu, le 19 novembre 2024, de M. Karl Olive et plusieurs de ses
collègues, une proposition de loi visant à rendre obligatoire l’installation des détecteurs de monoxyde de carbone
dans les logements.
Cette proposition de loi, no 606, est renvoyée à la commission des affaires économiques, en application de
l’article 83 du règlement.
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025
NOR : INPS2431226X
Réunions
Mercredi 20 novembre 2024
Commission des Affaires économiques à 9 h30 et 16 h 45 (Salle A263 - 2e étage Ouest)
I. A 9 h 30
1o Examen des rapports pour avis de Amel Gacquerre sur les crédits « Logement » et de Mme Viviane Artigalas
sur les crédits « Politique de la ville » de la mission « Cohésion des territoires » du projet de loi de finances pour
2025 ;
2o Examen du rapport pour avis de M. Patrick Chaize sur les crédits de la mission « Recherche et enseignement
supérieur » du projet de loi de finances pour 2025 ;
3o Examen du rapport de M. Daniel Gremillet et Mme Anne-Catherine Loisier, au nom du groupe de suivi des
lois dites Egalim et vote sur les éventuelles propositions ;
4o Désignation d’un rapporteur sur la proposition de loi no 839 (2022-2023) de M. Daniel Salmon et de plusieurs
de ses collègues en faveur de la préservation et de la reconquête de la haie ;
5o Questions diverses.
II. A 16 h 45
Captation
1o Audition de M. François-Noël Buffet, ministre auprès du Premier ministre, chargé des Outre-mer ;
2o Questions diverses.
Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées à 9 heures (Salle René Monory)
1o Examen du rapport pour avis de M. Roger Karoutchi et Mme Mireille Jouve sur les programmes 844 - 848
(France Médias Monde) et 847 (TV5 Monde) du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public »
du projet de loi de finances pour 2025.
Captation
2o Audition de Mme Anne-Marie Descôtes, Secrétaire générale du ministère de l’Europe et des affaires
étrangères
3o Examen du rapport pour avis de MM. Olivier Cadic et Mickaël Vallet sur le programme 129 – Coordination
du travail gouvernemental (action 2 Coordination de la sécurité et de la défense, SGDSN, Cyberdéfense) - de la
mission « Direction de l’action du Gouvernement » du projet de loi de finances pour 2025 ;
4o Examen du rapport pour avis de Mme Catherine Dumas et M. Didier Marie sur le programme 185 –
Diplomatie culturelle et d’influence – de la mission « Action extérieure de l’État » du projet de loi de finances pour
2025 ;
5o Examen du rapport pour avis de MM. Ronan Le Gleut et Guillaume Gontard sur le programme 151 – Français
à l’étranger et affaires consulaires – de la mission « Action extérieure de l’État » du projet de loi de finances pour
2025.
Commission des Affaires sociales à 9 h 30 (Salle 213, 2e étage aile Est)
1o Suite de l’examen des amendements de séance sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale
(2024-2025, no 124) ;
(rapporteure générale : Mme Élisabeth Doineau, et les rapporteurs de branche)
2o Questions diverses.
Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable à 8 h 30 et 9 h 30 (Salle
Clemenceau)
A 8 h 30
1o Audition de M. Kévin Magron, ambassadeur par intérim chargé des négociations sur le changement
climatique, pour les énergies renouvelables et la prévention des risques climatiques, sur l’avancée des négociations
de la COP29 (en visioconférence)
(Cette audition se déroulera à huis clos. Le compte rendu ne sera pas publié)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 117
2o Questions diverses
A 9 h 30
1o Examen des éventuels amendements sur la première partie du projet de loi de finances pour 2025
2o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs aux paysages, à l’eau et à la biodiversité et à l’expertise, à
l’information géographique et à la météorologie du projet de loi de finances pour 2025 (M. Guillaume Chevrollier,
rapporteur pour avis)
3o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs aux transports ferroviaires, fluviaux et maritimes du projet
de loi de finances pour 2025 (M. Philippe Tabarot, rapporteur pour avis)
4o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs aux politiques des territoires du projet de loi de finances
pour 2025 (M. Louis-Jean de Nicolaÿ, rapporteur pour avis)
5o Examen du rapport pour avis sur les crédits relatifs à l’aménagement numérique du territoire du projet de loi
de finances pour 2025 (M. Sébastien Fagnen, rapporteur pour avis)
6o Désignation, en application de l’article 19 bis du Règlement du Sénat, d’un rapporteur sur la proposition de
nomination par le Président de la République de M. Laurent Hénart aux fonctions de président du conseil
d’administration de l’établissement public de l’État dénommé Voies navigables de France (VNF), en application de
la loi organique no 2010-837 et de la loi no 2010-838 du 23 juillet 2010 relatives à l’application du cinquième alinéa
de l’article 13 de la Constitution
7o Désignation d’un rapporteur sur le projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union
européenne en matière économique, financière, environnementale, énergétique, de transport, de santé et de
circulation des personnes (sous réserve de sa transmission par l’Assemblée nationale)
8o Questions diverses
Commission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport à 9 heures et 16 h 30 (Salle
A245 - 2e étage Ouest)
A 9 heures
1o Examen du rapport pour avis de Mme Alexandra Borchio Fontimp sur les crédits relatifs à la Recherche du
projet de loi de finances pour 2025
2o Examen du rapport pour avis de M. Jacques Grosperrin sur les crédits relatifs à l’Enseignement scolaire du
projet de loi de finances pour 2025
3o Examen du rapport pour avis de M. Stéphane Piednoir sur les crédits relatifs à l’Enseignement supérieur du
projet de loi de finances pour 2025
4o Questions diverses
A 16 h 30
1o Examen du rapport pour avis de M. Mikaele Kulimoetoke sur les crédits relatifs au Livre et aux industries
culturelles du projet de loi de finances pour 2025
2o Questions diverses
Commission des Finances à 9 heures et à 16 h 30 (Salle de la commission)
1o PLF pour 2025 – Examen du rapport de M. Stéphane Sautarel, rapporteur spécial, et Mme Isabelle Briquet,
rapporteure spéciale, sur la mission « Relations avec les collectivités territoriales » (et articles 61 à 64) et le compte
de concours financiers « Avances aux collectivités territoriales et aux collectivités régies par les articles 73, 74 et
76 de la Constitution »
2o PLF pour 2025 – Examen du rapport de M. Dominique de Legge, rapporteur spécial, sur la mission
« Défense »
3o PLF pour 2025 – Examen du rapport de Mme Nathalie Goulet et M. Rémi Féraud, rapporteurs spéciaux, sur la
mission « Action extérieure de l’État »
4o Contrôle budgétaire – communication de M. Rémi Féraud et Mme Nathalie Goulet, rapporteurs spéciaux, sur
les missions et moyens du centre de crise et de soutien du ministère de l’Europe et des affaires étrangères
5o Désignation d’un rapporteur sur le projet de loi no 706 (2023-2024) autorisant l’approbation de l’avenant à la
convention entre la France et la Suisse du 9 septembre 1966 modifiée, en vue d’éliminer les doubles impositions en
matière d’impôts sur le revenu et sur la fortune et de prévenir la fraude et l’évasion fiscales
6o Questions diverses.
A 16 h 30
(Salle de la commission)
1o PLF pour 2025 – Examen du rapport de M. Grégory Blanc, rapporteur spécial, sur la mission « Pouvoirs
publics »
2o PLF pour 2025 – Examen du rapport de Mme Florence Blatrix Contat, rapporteure spéciale, sur la mission
« Administration générale et territoriale de l’État »
3o PLF pour 2025 – Examen du rapport de Mme Frédérique Espagnac, rapporteure spéciale, et M. Thierry Cozic,
rapporteur spécial, sur la mission « Économie » et le compte de concours financiers « Prêts et avances à des
particuliers ou à des organismes privés »
4o Questions diverses.
Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et
d’administration générale à 9 heures et 16 h 30
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 91 sur 117
A. A 9 heures
(Salle A216 – 2e étage aile Est)
1o Désignation d’un rapporteur, en remplacement de M. François Bonhomme, sur la proposition de loi no 29
(2024-2025) tendant à supprimer certaines structures, comités, conseils et commissions « Théodule » dont l’utilité
ne semble pas avérée, présentée par Mme Nathalie Goulet ;
2o Echange de vues sur une éventuelle saisine pour avis et désignation d’un rapporteur pour avis sur le projet de
loi no 529 (A.N., XVIIe lég.) portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière
économique, financière, environnementale, énergétique, de transport, de santé et de circulation des personnes
(procédure accélérée) (sous réserve de sa transmission) ;
3o Examen de l’avis de M. Henri Leroy sur le projet de loi de finances pour 2025 (mission « Sécurités ») ;
4o Examen de l’avis de M. Louis Vogel sur le projet de loi de finances pour 2025 (programme « Administration
pénitentiaire » de la mission « Justice ») ;
5o Examen de l’avis de M. Éric Kerrouche sur le projet de loi de finances pour 2025 (mission « Pouvoirs
publics ») ;
6o Examen de l’avis de M. Teva Rohfritsch sur le projet de loi de finances pour 2025 (mission « Outre-mer ») ;
7o Questions diverses.
B. A 16 h 30
(Salle Médicis)
Captation
1o Audition de M. Louis Laugier, directeur général de la police nationale ;
2o Questions diverses.
Convocations
Commission des Affaires sociales
CONVOCATION RECTIFIÉE
Mercredi 20 novembre 2024
De 13 h 30 à 15 heures (Salle A213 - 2e étage Est)
1o Suite de l’examen des amendements de séance sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale
(2024-2025, no 124) ; (rapporteure générale : Mme Élisabeth Doineau, et les rapporteurs de branche)
2o Questions diverses.
Cmmission de la culture, de l’éducation, de la communication et du sport
CONVOCATION RECTIFIÉE
Mercredi 20 novembre 2024
A 9 heures
(Salle A245 - 2e étage Ouest)
1o Désignation d’un rapporteur sur la proposition de loi no 78 (2024-2025) visant à promouvoir la conservation
du patrimoine rural
2o Examen du rapport pour avis de Mme Alexandra Borchio Fontimp sur les crédits relatifs à la Recherche du
projet de loi de finances pour 2025
3o Examen du rapport pour avis de M. Jacques Grosperrin sur les crédits relatifs à l’Enseignement scolaire du
projet de loi de finances pour 2025
4o Examen du rapport pour avis de M. Stéphane Piednoir sur les crédits relatifs à l’Enseignement supérieur du
projet de loi de finances pour 2025
5o Questions diverses
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2431227X
Documents parlementaires
Rectificatifs aux documents enregistrés à la Présidence du Sénat
le lundi 7 octobre 2024
Dépôt de propositions de loi et de résolution
o
N 10 rect. (2024-2025) Proposition de loi présentée par Mme Nadine BELLUROT, M. Éric KERROUCHE,
Mme Sonia de LA PROVÔTÉ, MM. Didier RAMBAUD, Bernard DELCROS, Patrick KANNER, Hervé
MARSEILLE, François PATRIAT, Rémy POINTEREAU, Mme Catherine BELRHITI, MM. Bernard
BUIS, Laurent BURGOA, Thierry COZIC, Mme Catherine DI FOLCO, M. Jérôme DURAIN,
Mme Corinne FÉRET, MM. Hervé GILLÉ, Patrice JOLY, Jean-Jacques LOZACH, Franck MONTAUGÉ,
Mmes Guylène PANTEL, Anne-Sophie PATRU, Patricia SCHILLINGER, M. Lucien STANZIONE,
Mme Jocelyne ANTOINE, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes Viviane ARTIGALAS, Audrey BÉLIM,
Marie-Jeanne BELLAMY, Martine BERTHET, Annick BILLON, Florence BLATRIX CONTAT, M. Yves
BLEUNVEN, Mme Nicole BONNEFOY, MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI, Mmes Isabelle
BRIQUET, Colombe BROSSEL, MM. Frédéric BUVAL, Guislain CAMBIER, Mme Marion CANALÈS,
MM. Michel CANÉVET, Rémi CARDON, Mme Marie-Arlette CARLOTTI, MM. Christophe CHAIL
LOU, Yan CHANTREL, Mmes Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-MOURET, Karine DANIEL,
M. Jérôme DARRAS, Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, M. Gilbert-Luc DEVINAZ, Mme Élisabeth
DOINEAU, M. Alain DUFFOURG, Mmes Françoise DUMONT, Nicole DURANTON, M. Vincent ÉBLÉ,
Mme Frédérique ESPAGNAC, MM. Sébastien FAGNEN, Rémi FÉRAUD, Bernard FIALAIRE, Jean-Luc
FICHET, Stéphane FOUASSIN, Mmes Amel GACQUERRE, Laurence HARRIBEY, Nadège HAVET,
MM. Olivier HENNO, Loïc HERVÉ, Mme Annick JACQUEMET, MM. Olivier JACQUIN, Éric
JEANSANNETAS, Bernard JOMIER, Mme Gisèle JOURDA, MM. Claude KERN, Michel LAUGIER,
Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin LÉVRIER, Mmes Audrey LINKEN
HELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE, Mme Marie MERCIER, MM. Serge
MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU, Marie-Pierre MONIER, Laurence
MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN, MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre
OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR,
Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY,
Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain ROIRON, David ROS, Mmes Laurence
ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël
VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le
mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir la vitalité démocratique, la cohésion municipale
et la parité, envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du
Règlement et d’administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d’une commission
spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.
No 11 rect. (2024-2025) Proposition de loi organique présentée par Mme Nadine BELLUROT, M. Éric
KERROUCHE, Mme Sonia de LA PROVÔTÉ, MM. Didier RAMBAUD, Bernard DELCROS, Patrick
KANNER, Hervé MARSEILLE, François PATRIAT, Rémy POINTEREAU, Mme Catherine BELRHITI,
MM. Bernard BUIS, Laurent BURGOA, Thierry COZIC, Mme Catherine DI FOLCO, M. Jérôme
DURAIN, Mme Corinne FÉRET, MM. Hervé GILLÉ, Patrice JOLY, Jean-Jacques LOZACH, Franck
MONTAUGÉ, Mmes Guylène PANTEL, Anne-Sophie PATRU, Patricia SCHILLINGER, M. Lucien
STANZIONE, Mme Jocelyne ANTOINE, M. Jean-Michel ARNAUD, Mmes Viviane ARTIGALAS,
Audrey BÉLIM, Marie-Jeanne BELLAMY, Martine BERTHET, Annick BILLON, Florence BLATRIX
CONTAT, M. Yves BLEUNVEN, Mme Nicole BONNEFOY, MM. Denis BOUAD, Hussein BOURGI,
Mmes Isabelle BRIQUET, Colombe BROSSEL, MM. Frédéric BUVAL, Guislain CAMBIER,
Mme Marion CANALÈS, MM. Michel CANÉVET, Rémi CARDON, Mme Marie-Arlette CARLOTTI,
MM. Christophe CHAILLOU, Yan CHANTREL, Mmes Catherine CONCONNE, Hélène CONWAY-
MOURET, Karine DANIEL, M. Jérôme DARRAS, Mme Marie-Pierre de LA GONTRIE, M. Gilbert-Luc
DEVINAZ, Mme Élisabeth DOINEAU, M. Alain DUFFOURG, Mmes Françoise DUMONT, Nicole
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 92 sur 117
DURANTON, M. Vincent ÉBLÉ, Mme Frédérique ESPAGNAC, MM. Sébastien FAGNEN, Rémi
FÉRAUD, Bernard FIALAIRE, Jean-Luc FICHET, Stéphane FOUASSIN, Mmes Amel GACQUERRE,
Laurence HARRIBEY, Nadège HAVET, MM. Olivier HENNO, Loïc HERVÉ, Mme Annick JACQUE
MET, MM. Olivier JACQUIN, Éric JEANSANNETAS, Bernard JOMIER, Mme Gisèle JOURDA,
MM. Claude KERN, Michel LAUGIER, Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin
LÉVRIER, Mmes Audrey LINKENHELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE,
Mme Marie MERCIER, MM. Serge MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU,
Marie-Pierre MONIER, Laurence MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN,
MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-
HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR, Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude
RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY, Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain
ROIRON, David ROS, Mmes Laurence ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-
Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël
WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir
la vitalité démocratique, la cohésion municipale et la parité, envoyée à la commission des lois
constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous
réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2431228X
MM. Claude KERN, Michel LAUGIER, Mme Annie LE HOUEROU, MM. Pierre-Antoine LEVI, Martin
LÉVRIER, Mmes Audrey LINKENHELD, Monique LUBIN, MM. Victorin LUREL, Didier MARIE,
Mme Marie MERCIER, MM. Serge MÉRILLOU, Jean-Jacques MICHAU, Mmes Brigitte MICOULEAU,
Marie-Pierre MONIER, Laurence MULLER-BRONN, Solanges NADILLE, Corinne NARASSIGUIN,
MM. Saïd OMAR OILI, Alexandre OUIZILLE, Georges PATIENT, Mme Marie-Laure PHINERA-
HORTH, MM. Stéphane PIEDNOIR, Sebastien PLA, Mme Émilienne POUMIROL, MM. Claude
RAYNAL, Christian REDON-SARRAZY, Mmes Olivia RICHARD, Sylvie ROBERT, MM. Pierre-Alain
ROIRON, David ROS, Mmes Laurence ROSSIGNOL, Denise SAINT-PÉ, MM. Rachid TEMAL, Jean-
Claude TISSOT, Simon UZENAT, Mickaël VALLET, Jean-Marc VAYSSOUZE-FAURE, Michaël
WEBER et Adel ZIANE, visant à harmoniser le mode de scrutin aux élections municipales afin de garantir
la vitalité démocratique, la cohésion municipale et la parité, envoyée à la commission des lois
constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d’administration générale, sous
réserve de la constitution éventuelle d’une commission spéciale dans les conditions prévues par le
Règlement.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 94 sur 117
Informations parlementaires
SÉNAT
Session ordinaire 2024-2025
RÉSOLUTIONS
NOR : INPS2431229X
Avis et communications
PREMIER MINISTRE
Avis de vacance
d’un emploi de sous-directeur
NOR : PRMG2430704V
Un emploi de sous-directeur est susceptible d’être vacant à la direction générale de l’offre de soins (DGOS) au
sein de l’administration centrale du ministère de la santé et de l’accès aux soins.
Le titulaire aura la charge de la sous-direction des ressources humaines du système de santé.
Localisation géographique
14, avenue Duquesne, 75007 Paris.
Structure et fonctions
La direction générale de l’offre de soins (DGOS) élabore et assure la mise en œuvre des politiques publiques à
même de répondre aux défis auxquels fait face notre système de santé, à savoir satisfaire les besoins de soins
grandissants de la population tout en assurant la pérennité d’un financement solidaire, mais aussi mettre en œuvre
les grandes orientations de la stratégie nationale de santé et de la stratégie de transformation de notre système de
santé portées par le gouvernement. La DGOS compte environ 280 agents.
Pour l’exercice de ses attributions, la DGOS s’est structurée en cinq sous-directions et un pôle placés sous
l’autorité de la directrice générale et de deux chefs de service, adjoints à la directrice générale :
– la sous-direction de l’accès aux soins et du premier recours ;
– la sous-direction de la prise en charge hospitalière et des parcours ville-hôpital ;
– la sous-direction du financement et de la performance ;
– la sous-direction des ressources humaines du système de santé ;
– la sous-direction de l’appui au pilotage et des ressources ;
– le pôle recherche et accès à l’innovation.
Au sein de la DGOS, la sous-direction des ressources humaines du système de santé a pour principales missions
la régulation des professions de santé – au travers de la définition de leurs activités, de leurs compétences, de leur
formation ou encore de leur obligations déontologiques – ainsi que le pilotage des ressources humaines, notamment
hospitalières, afin de répondre aux enjeux de la démographie des professions de santé, de la qualité et de la sécurité
des soins et de l’efficience du système de santé.
La sous-direction des ressources humaines du système de santé compte cinq bureaux :
– le bureau démographie et formations initiales (RH1) : ce bureau définit et met en œuvre les politiques relatives
à la démographie et aux formations des professions de santé et à usage de titres. Il détermine les besoins en
formation, anime les travaux d’ingénierie de formation conformément à l’activité et à l’exercice professionnel
attendus et conjointement avec les parties prenantes. Il conçoit, adapte et déploie les référentiels des
formations et les dispositifs réglementaires associés permettant l’accès à la profession de santé et le maintien
et le développement en compétence. Ces activités sont menées en lien étroit avec le ministère de
l’enseignement supérieur et de la recherche, notamment dans le cadre de l’universitarisation, le ministère de
l’éducation nationale et de la jeunesse, les services déconcentrés et les représentants des étudiants et des
professionnels ;
– le bureau exercice et déontologie des professionnels de santé (RH2) : ce bureau est chargé de la conception et
du pilotage de la politique relative aux conditions d’exercice des professions de santé et des usages de titres,
notamment en prenant en compte les évolutions des métiers, le développement des coopérations entre
professionnels de santé et l’organisation de l’offre de soins. Il accompagne les services déconcentrés et les
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117
ARS dans la mise en œuvre de ces politiques publiques. Il expertise et valide les règles déontologiques qui
leur sont applicables et garantit le bon fonctionnement des instances ordinales. Il effectue ses missions dans un
dialogue étroit avec les professionnels de santé (sociétés savantes, ordres professionnels, organisations
syndicales). Il s’assure du respect du droit européen et international en matière de circulation des professions
de santé diplômés ;
– le bureau dialogue social, politiques sociales et qualité de vie au travail (RH3) : ce bureau pilote le dialogue
social au niveau national avec les organisations qui représentent les personnels et employeurs des
établissements publics de santé et médico-sociaux. Il élabore et veille à l’application de la réglementation en
matière de droit syndical, droit de grève et d’instances nationales et locales. Il est en outre chargé de la mise en
œuvre de l’ensemble de la réglementation qui concernent les politiques sociales à destination des personnels
des établissements publics de santé et médico-sociaux (retraite, usure professionnelle, action sociale,
protection sociale complémentaire, congés pour raisons de santé et maternité). Il participe à l’élaboration et au
suivi des politiques nationales en faveur de l’égalité professionnelle et de la lutte contre les discriminations
professionnelles et de l’inclusion par le travail. Il élabore et assure le suivi des politiques relatives à la qualité
de vie au travail et aux conditions de travail des personnels des établissements publics de santé et médico-
sociaux, en lien étroit avec le ministère de l’enseignement supérieur s’agissant des étudiants en santé ;
– le bureau des personnels non médicaux des établissements de santé (RH4) : ce bureau vise à renforcer
l’attractivité du secteur hospitalier pour les professionnels, à fidéliser les agents et favoriser leur évolution
professionnelle à travers la réglementation des rémunérations, des carrières et des dispositifs de formation
continue des personnels non médicaux et de maïeutique : sages-femmes et professionnels paramédicaux,
administratifs et techniques relevant de la fonction publique hospitalière. Il est notamment compétent en
matière d’organisation du temps de travail, des statuts particuliers, des primes et rémunérations des personnels
hospitaliers publics, ainsi que de l’application à la fonction publique hospitalière du statut général en lien avec
la DGAFP. Il assure l’interface avec les fédérations des établissements de santé privés, pour le financement
des mesures de transposition dans ce secteur des réformes déployées à l’égard des personnels hospitaliers ;
– le bureau des personnels médicaux des établissements de santé (RH5) : ce bureau vise à renforcer l’attractivité
du secteur hospitalier pour les professionnels, à fidéliser les agents et favoriser leur évolution professionnelle à
travers la réglementation des rémunérations, et des carrières. Il assure le dialogue social avec les représentants
des personnels médicaux hospitaliers et les organisations syndicales. Il porte l’ensemble des réformes, y
compris les étudiants de 2e et 3e cycle des études de médecine, de pharmacie et d’odontologie, ainsi que les
personnels enseignants et hospitaliers, en lien avec le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.
La sous-directrice ou le sous-directeur pilote l’activité de la sous-direction des ressources humaines du système
de santé. Elle ou il définit les objectifs et le programme de travail de sa sous-direction et les modalités de suivi et
d’évaluation. Elle ou il encadre et anime les équipes sous son autorité, assure la circulation de l’information, la
gestion, le développement et l’évaluation des compétences de ses équipes. Elle ou il est le garant d’un dialogue
social renforcé avec les partenaires sociaux et les interlocuteurs qui sont les siens. Elle ou il assure la représentation
de sa sous-direction.
Manager de haut niveau, la sous-directrice ou le sous-directeur participe au comité de direction. Elle ou il est en
contact direct avec le cabinet du ministre compétent. Elle ou il dispose de l’assurance nécessaire pour représenter le
ministère en toutes circonstances. Elle ou il possède des qualités managériales avérées. Elle ou il met en
responsabilité ses collaborateurs et stimule leur autonomie. Elle ou il est doté d’un esprit d’équipe favorisant le
travail collaboratif et la transversalité au sein de la DGOS. Elle ou il est capable de dégager et synthétiser les
enjeux politiques de son secteur. Elle ou il démontre une appétence pour les questions organisationnelles et
d’efficacité collective. Elle ou il propose des outils de pilotage, stimule l’expérimentation de méthodes nouvelles,
accorde une attention particulière au progrès des collaborateurs.
La sous-directrice ou le sous-directeur est assisté de deux adjoints pour l’exercice de ses missions.
Profil recherché
L’emploi s’adresse à une ou un cadre expérimenté, fonctionnaire ou contractuel, avec une expérience minimale
de six années d’activités professionnelles diversifiées la ou le qualifiant particulièrement pour l’exercice de
fonctions supérieures de direction, d’encadrement ou d’expertise.
Pour les fonctionnaires, l’appartenance à un corps ou à un cadre d’emplois relevant de la catégorie A et dont
l’indice terminal brut est au moins égal à la hors-échelle B ou ayant occupé durant au moins trois ans en position de
détachement un ou plusieurs emplois culminant au moins à la hors-échelle B sera exigée.
Les candidats ou les candidates n’ayant pas la qualité de fonctionnaire doivent remplir les conditions générales
d’accès à la fonction publique prévues aux articles L. 321-1 à L. 321-3 du code général de la fonction publique et
avoir exercé des responsabilités d’un niveau comparable à celles dévolues aux fonctionnaires des corps et cadres
d’emplois précités.
La candidate ou le candidat devra justifier d’une expérience probante dans le domaine des politiques publiques
de la santé et des fonctions supports.
Le poste de sous-directeur des ressources humaines du système de santé requiert un ensemble de compétences,
essentielles pour assurer la régulation des professions de santé, le pilotage des ressources humaines hospitalières, et
répondre aux enjeux de démographie, de qualité et de sécurité des soins :
– managériales : pilotage et gestion des équipes, stratégie et organisation, dialogue social ;
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117
Conditions d’emploi
La durée prévisible de cet emploi est de trois ans, renouvelable une fois. Une période probatoire de six mois est
prévue.
La rémunération dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi et pour les personnes fonctionnaires de son
classement dans la grille indiciaire des fonctionnaires. Elle comprend une part fixe brute annuelle comprise entre
80 000 € et 120 000 €.
Elle peut être complétée par un complément indemnitaire annuel variable.
Procédure de recrutement
L’autorité de recrutement est la secrétaire générale des ministères chargés des affaires sociales.
L’emploi à pourvoir relève de l’autorité de la directrice générale de l’offre de soins
Envoi des candidatures :
Les candidatures, doivent être transmises par la voie hiérarchique, dans un délai de 15 jours à compter de la date
de publication de l’avis de vacance de poste au Journal officiel de la République française, au secrétariat général
des ministères sociaux, par courriel uniquement et impérativement à l’adresse drh-stngp-es-encadrementsupe
rieur@sg.social.gouv.fr et avec copie à l’adresse fonctionnelle : DGOS-PR3-RECRUTEMENT@sante.gouv.fr
Pour être recevable, le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– un curriculum vitae ;
– une lettre de motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours
professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état de service établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les agents n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire ;
– d’une copie de la carte d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
Toute candidature ne respectant pas ces exigences ne sera pas examinée.
Les candidates ou les candidats peuvent compléter leur dossier avec le nom et les coordonnées de personnes
pouvant se porter référentes de leur candidature.
Information
Les candidats non retenus en sont informés à l’issue de la procédure par la direction d’emploi.
Déontologie
L’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination prévue aux
articles L. 122-2 à L. 122-24 du code général de la fonction publique.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 117
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années, un contrôle
de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par
l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent
déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de
l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de sous-directeur suivront, dans les six mois à
compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux sous-directeurs. Les personnes n’ayant pas la qualité
de fonctionnaire suivront un module de formation relatif aux obligations des agents en matière de déontologie, à
l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des ressources humaines dans la
fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2021-1550 du 1er décembre 2021 modifié portant statut particulier du corps des administrateurs de
l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Article 1er du décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois
communs aux administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de
fonctionnaires de l’Etat et de ses établissements publics.
Arrêté du 6 février 2020 fixant les modalités de recrutement sur les emplois de direction des ministères chargés
des affaires sociales.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
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Avis et communications
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
L’emploi de sous-directeur du droit économique de la direction des affaires civiles et du sceau du ministère de la
justice sera prochainement vacant.
Localisation géographique : 13, place Vendôme, 75001 Paris.
Date prévisible de la vacance d’emploi : 2 janvier 2025.
I. – Contexte institutionnel
La direction des affaires civiles et du sceau :
– élabore les projets de loi et de règlement en toutes matières qui n’entrent pas dans la compétence spéciale
d’une autre direction ;
– remplit le rôle de conseil en droit privé des autres administrations publiques ;
– anime et contrôle l’action du ministère public en matière civile et suit la formation de la jurisprudence ;
– exerce les attributions dévolues à la chancellerie en matière de nationalité et de sceau et en ce qui concerne la
règlementation et le contrôle des professions judiciaires autres que les magistrats et les personnels de greffes,
ainsi que des professions juridiques ;
– assure la mise en œuvre des conventions internationales en matière d’entraide judiciaire civile et conduit les
négociations européennes et internationales intéressant la législation de droit privé ;
– contribue, en liaison avec le secrétariat général, à l’application des autres conventions international et du droit
européen.
La direction comprend, outre le cabinet de la directrice et le pôle d’évaluation de la justice civile, les sous-
directions du droit civil, du droit économique et des professions judiciaires et juridiques, le bureau du droit
constitutionnel et du droit public général, le bureau du droit de la protection des données et du numérique ainsi que
le département de l’entraide, du droit international privé et du droit européen.
Au 1er octobre 2024, la direction comprenait 175 agents, dont 3 emplois fonctionnels de sous-directrices, 52
magistrats de l’ordre judiciaire, 3 magistrats de l’ordre administratif, 75 agents de catégorie A, 11 agents de
catégorie B, et 29 agents de catégorie C.
A titre d’illustration, au cours des dernières années, la sous-direction a été particulièrement investie dans la
négociation et l’élaboration des textes européens en matière de durabilité : directive dite « CSRD » sur le reporting
extra-financier et directive sur le devoir de vigilance des entreprises, au cœur des préoccupations des entreprises.
L’actualité de la sous-direction du droit économique est par ailleurs particulièrement dense en matière de droit
des entreprises en difficulté, compte tenu des négociations européennes en cours, d’une part, et d’une attente forte
de simplification des textes, d’autre part, qui a conduit à l’ouverture d’un chantier de réforme ambitieux pour
l’année 2025.
Au cours des mois à venir, l’activité de la sous-direction du droit économique portera notamment sur :
– la transposition de la directive sur le devoir de vigilance des entreprises ;
– les travaux de refonte du droit des entreprises en difficulté ;
– la négociation de la nouvelle directive insolvabilité ;
– la transposition de la nouvelle directive outils numériques ;
– le suivi de la mise en œuvre de la réforme de l’audit et de la transposition de la directive CSRD ;
– l’ordonnance réformant le régime des nullités en droit des sociétés.
Au 1er novembre 2024, la sous-direction du droit économique regroupait, outre le sous-directeur, 23 agents dont
10 magistrats de l’ordre judiciaire et 6 agents de catégorie A, répartis en quatre bureaux :
– le bureau du droit commercial général ;
– le bureau du droit des sociétés et de l’audit ;
– le bureau du droit de l’immobilier et du droit de l’environnement ;
– le bureau du droit de l’économie des entreprises.
V. – Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné :
– la secrétaire générale du ministère de la justice est l’autorité de recrutement ;
– la directrice des affaires civiles et du sceau est l’autorité d’emploi.
X. – Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de sous-directeur suivront, dans les six mois à
compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux sous-directeurs. Ce séminaire interministériel de
management combine notamment des apports théoriques, des témoignages de cadres dirigeants et des travaux de
groupes.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module relatif aux obligations des agents en
matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des
ressources humaines dans la fonction publique.
XI. – Déontologie
L’accès à cet emploi est soumis à une déclaration d’intérêts préalable à la prise de fonctions et au dépôt d’une
déclaration de situation patrimoniale auprès de la HATVP dans les deux mois suivant la nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à
la nomination par l’autorité hiérarchique, en application des articles L. 124-9 et suivants du code général de la
fonction publique.
XII. – Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de directions de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 27 décembre 2023 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère de la
justice.
Tous renseignements sur ce poste peuvent être obtenus auprès de Mme Valérie Delnaud, directrice des affaires
civiles et du sceau (mél : valerie.delnaud@justice.gouv.fr), de Mme Catherine Raynouard, cheffe de service,
adjointe à la directrice des affaires civiles et du sceau (mél : catherine.raynouard@justice.gouv.fr), de
Victor Nicolle, chef de cabinet (mél : dacs-cab@justice.gouv.fr), de Mme Joanna Ghorayeb, sous-directrice du
droit économique (mél : joanna.ghorayeb@justice.gouv.fr) ou de Mme Magali Aufan, déléguée à l’encadrement
supérieur (mél :esd.srhsg-sg@justice.gouv.fr), tél. : 01-70-22-78-74.
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Avis et communications
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Intérêt du poste
Le directeur départemental contribue, sous la responsabilité du préfet, à la mise en œuvre des politiques
publiques en matière d’emploi, de travail, de cohésion sociale et de protection des populations. L’intérêt du poste
réside dans l’intégration des différentes politiques sur ce territoire à forte spécificité, la variété et la sensibilité des
dossiers traités, les partenariats à nouer avec de nombreux partenaires dont les collectivités territoriales et les
services de l’Etat, dans le contexte particulier de la Collectivité de Corse installée depuis le 1er janvier 2018 et le
management d’une structure de 70 agents, provenant de six origines ministérielles différentes (agriculture,
travail/emploi/insertion, solidarités/santé, économie/finances, transition écologique, intérieur). Il est assisté de deux
directeurs adjoints et participe à la gouvernance du secrétariat général commun.
Conformément aux dispositions du décret no 2020-1545 du 9 décembre 2020 relatif à l’organisation et aux
missions des directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS) et des
DDETSPP, la DDETSPP est placée sous l’autorité hiérarchique du préfet de département, à l’exception des actions
de contrôle de la législation du travail exercées sous l’autorité de la DREETS comme des actions relevant des
pouvoirs propres. La DREETS assure le pilotage, l’animation et la coordination régionale des politiques publiques
qui lui sont confiées et dont la mise en œuvre relève de la DDETSPP.
La DDETSPP est composée de 5 services métiers. Elle est implantée à Ajaccio, chef-lieu du département, où les
services sont installés sur deux implantations géographiques avec, en outre, la présence d’agents dans cinq abattoirs
de boucherie.
La DDETSPP est notamment compétente en matière de politiques de cohésion sociale, de développement de
l’emploi, d’insertion sociale et professionnelle, de l’accès et du maintien dans le logement et du travail, et de droits
des femmes et de l’égalité entre les femmes et les hommes. Elle est également en charge des politiques publiques
portant sur les domaines de la sécurité et de la qualité sanitaire de l’alimentation, de la protection des
consommateurs, de la santé et de la protection animales, de la protection de l’environnement pour les activités
touchant à l’élevage et à l’agroalimentaire ainsi que la faune sauvage captive. A la différence des DDETSPP du
continent, la DDETSPP de la Corse-du-Sud a également en charge les missions relatives à la protection des
végétaux habituellement exercées en DRAAF.
Missions
Le directeur départemental de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations est chargé
de mettre en œuvre, sous l’autorité du préfet, les politiques publiques relevant de la compétence de cette direction ;
il assure les missions définies aux articles 4 et 5 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif aux
directions départementales interministérielles et en particulier celles relatives :
– à la prévention et à la lutte contre les exclusions, à la protection des personnes vulnérables, aux fonctions
sociales du logement, à l’inclusion des personnes en situation de handicap, à la protection de l’enfance, au
travail social et à l’intervention sociale, aux actions sociales et économiques de la politique de la ville, à la
lutte contre les discriminations et à la promotion de l’égalité des chances ;
– à l’inspection et au contrôle des conditions d’accueil et de fonctionnement des établissements et services
sociaux ;
– au travail et notamment à l’amélioration de la qualité de l’emploi et des relations du travail, ainsi qu’aux
missions d’inspection du travail ;
– à l’accès et au maintien dans l’emploi des personnes éloignées du marché du travail ;
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Environnement
Le poste est situé à Ajaccio (71 685 habitants), chef-lieu de la Corse et du département de la Corse-du-Sud
(2 arrondissements, 165 307 habitants). L’environnement institutionnel, administratif et culturel de la DDETSPP
est marqué par les fortes spécificités de cette région « île montagne », la plus décentralisée de métropole et à statut
particulier, avec l’installation de la Collectivité de Corse depuis le 1er janvier 2018.
Le territoire de la Corse-du-Sud, formé de 7 microrégions et 124 communes dont 119 en zone de montagne, est
fortement structuré par son insularité et sa géographie, caractérisée par une prédominance du littoral et des espaces
ruraux et naturels, ainsi que par l’existence d’un pôle urbain ajaccien à forte attractivité.
Avec environ 1 000 exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et 1 400 actifs (en UTA), le secteur
agricole a une importance économique et politique très significative en Corse-du-Sud. Les diverses crises sanitaires
dans les filières animales (tuberculose, fièvre catharrale ovine sérotype 4, trichine, influenza aviaire…) ainsi que
dans les filières végétales (Xylella fastidiosa) revêtent une sensibilité toute particulière.
La protection sanitaire et économique du consommateur doit tenir compte des caractéristiques de l’économie
locale avec notamment ce tissu de petites et moyennes exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et dont
la production bénéficie de plusieurs signes de qualité, et l’importance de l’industrie touristique en lien avec le pic
d’activité estival.
Dans le champ de la cohésion sociale, les problématiques d’exclusion liées à l’insuffisance de logements sociaux
et au niveau élevé des prix de l’immobilier résidentiel sont aiguisées par le contexte économique actuel. Le
département compte, par ailleurs, trois quartiers prioritaires de la ville.
Dans le champ de l’insertion, de l’emploi, de l’entreprise, une place prépondérante dans l’économie corse est
consacrée aux activités liées au tourisme. Le secteur du BTP est également fortement représenté. Globalement les
établissements sont de petite taille, (environ 60 % n’ont pas de salarié et 95 % en ont moins de 10), avec une
surreprésentation de l’hébergement restauration.
Concernant le secteur de l’inspection du travail, une seule unité de contrôle est constituée dans le département,
elle comprend 6 sections. L’unité est domiciliée à Ajaccio, à proximité du siège de la DDETSPP, une antenne est
située à Porto-Vecchio. La répartition des compétences entre les sections du département de Corse-du-Sud
s’effectue selon les règles suivantes :
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports routier ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports maritimes ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités agricoles.
Le directeur de la DDETSPP entretient, sous l’autorité du préfet, des liens étroits avec les services de l’Etat en
région (SGAC, DRAAF, DREETS, DREAL), au niveau départemental (préfecture et sous-préfecture, DDTM,
délégation départementale de l’ARS, gendarmerie, police…), avec les collectivités locales, les milieux
économiques, les organisations professionnelles et plus généralement avec tous les acteurs locaux entrant dans
le champ de la cohésion sociale, de l’insertion par l’emploi et de la protection des populations.
Compétences
Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins six ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires, et d’une bonne connaissance des politiques publiques. La
capacité à manager en mode projet et à accompagner les changements doit être particulièrement mise en évidence
dans la présentation de l’expérience des candidats. Ils devront être en mesure d’assumer des responsabilités de
direction stratégique, de conduire des négociations de haut-niveau avec des décideurs publics ou privés et de
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 117
représenter le préfet en situation complexe, environnement sensible et contexte de crise, et plus largement de savoir
faire face à la pression.
Le poste exige une capacité d’animation, de coordination du travail ainsi qu’une pratique de la conduite et du
suivi de projets. Il est également attendu un investissement réel sur l’ensemble des composantes métier présentes
au sein de la direction départementale.
Les candidats devront également faire preuve des compétences suivantes :
– un intérêt marqué pour l’action interministérielle ;
– une expérience d’encadrement, de conduite du changement et de mise en œuvre de politiques publiques
notamment en lien avec l’emploi, le travail la cohésion sociale et la protection des populations ;
– une connaissance des méthodes de conduite de projet, expérience réussie dans la conduite de projets
complexes ;
– des connaissances des organisations publiques (approche culturelle, sociologique et opérationnelle) ;
– une capacité d’adaptation et d’ouverture aux problématiques sociales dans une approche partenariale avec les
entreprises, les collectivités territoriales, les associations ;
– une aptitude à écouter, analyser, piloter, mobiliser, négocier, convaincre, restituer, en particulier dans un
contexte de réorganisation des services ;
– une aptitude à animer des équipes pluridisciplinaires et interministérielles ;
– une aptitude à la communication et au dialogue social.
Il est attendu du directeur qu’il soit disponible, réactif, qu’il ait une perception vive et immédiate des enjeux et
problèmes du territoire, qu’il soit capable d’anticiper et de prendre des décisions adaptées aux circonstances et de
rendre compte.
Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment) et par l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur, est classé dans le groupe IV en application des dispositions de
l’arrêté du 29 décembre 2009 modifié fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des
directions départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle est composée d’une part indiciaire, déterminée par le reclassement de l’agent sur
la grille des administrateurs de l’Etat, et d’une part indemnitaire.
S’agissant du volet indiciaire, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, le reclassement est établi en
application de l’article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2023 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat. Pour
les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Cette rémunération (traitement brut) est complétée par le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) qui comprend :
– une part fixe, l’indemnité de fonctions, de sujétion et d’expertise (IFSE), qui fait l’objet d’un versement
mensuel. Le classement des emplois dans les différents groupes de fonctions permet de déterminer un montant
de référence d’IFSE qui dépend de la nature, du niveau de responsabilité ou d’expertise, des sujétions et du
niveau d’exposition de l’emploi occupé ;
– une part variable, le complément indemnitaire annuel (CIA), dont le montant est fixé, dans la limite du plafond
réglementaire, par groupe de fonctions, en tenant compte de l’engagement professionnel et la manière de
servir de l’agent. La fourchette du CIA est comprise entre 0 € et un montant maximum de 27 000 € brut, avec
un montant de référence moyen s’établissant à 3 726 € brut.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
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Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-DDETSPP2A-2024-93370 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur ;
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDETSPP2A-2024-93370, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Corse-du-Sud.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
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Déontologie
Conformément à l’article 2 du décret no 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Jérôme FILIPPINI, préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud, tél. : 04-95-11-10-00, courriel : prefet@corse-
du-sud.gouv.fr ;
M. Xavier CZERWINSKI, secrétaire général de la préfecture de la Corse-du-Sud, tél. : 04-95-11-10-10,
courriel : pref-secretariat-sg@corse-du-sud.gouv.fr ;
Mme Sandrine POLYCHRONOPOULOS, directrice départementale de la DDETSPP de Corse-du-Sud, tél. :
04-95-50-55-50, courriel : sandrine.polychronopoulos@corse-du-sud.gouv.fr ;
M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.snoeck@interieur.gouv.fr.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction
relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
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Avis et communications
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Intérêt du poste
Aux côtés de la directrice, qu’il seconde et supplée, le directeur départemental adjoint exerce ses compétences
sur l’ensemble du périmètre d’intervention de la direction, en étroite collaboration avec le second directeur
départemental adjoint.
Il contribue à la définition des stratégies et au pilotage de la structure. Il est chargé par la directrice
départementale de missions particulières et travaille en étroite collaboration avec les services. Il appuie la directrice
départementale dans le management d’une équipe de 70 agents provenant de six origines ministérielles différentes.
La DDETSPP est compétente en matière de politiques de cohésion sociale, de développement de l’emploi,
d’insertion sociale et professionnelle, d’accès et de maintien dans le logement, de travail, de droits des femmes et
d’égalité entre les femmes et les hommes, de politique de la ville et d’accueil des demandeurs d’asile. Elle est
également en charge des politiques publiques portant sur les domaines de la sécurité et de la qualité sanitaire de
l’alimentation, de la protection des consommateurs, de la santé et de la protection animale, de la protection de
l’environnement pour les activités touchant à l’élevage et à l’agroalimentaire ainsi que la faune sauvage captive. A
la différence des DDETSPP du continent, la DDETSPP de la Corse-du-Sud a également en charge les missions
relatives à la protection des végétaux habituellement exercées en DRAAF.
Conformément aux dispositions du décret no 2020-1545 du 9 décembre 2020 relatif à l’organisation et aux
missions des directions régionales de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DREETS), des
directions départementales de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS) et des directions départementales, de
l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP), la DDETSPP est placée sous
l’autorité hiérarchique du préfet de département, à l’exception des actions de contrôle de la législation du travail
exercées sous l’autorité du DREETS comme des actions relevant de ses pouvoirs propres.
La DDETSPP est composée de cinq services métiers. Elle est implantée à Ajaccio, chef-lieu du département, où
les services sont installés sur deux implantations géographiques (Ajaccio et Porto-Vecchio) avec, en outre, la
présence d’agents dans cinq abattoirs de boucherie.
Missions
Les missions des DDETSPP sont définies à l’article 4 du décret no 2009-1484 du 3 décembre 2009 modifié relatif
aux directions départementales interministérielles : il s’agit des politiques du travail, de l’emploi, de la cohésion
sociale et de l’hébergement/logement des publics vulnérables, de la concurrence, de la consommation et de la
répression des fraudes ainsi que des services vétérinaires du ministère de l’agriculture, de la souveraineté
alimentaire et de la forêt ou encore de la protection de l’environnement (installations classées).
Le directeur adjoint participe à l’animation d’équipes aux compétences « métier » diversifiées provenant de
plusieurs origines ministérielles et doit être en mesure de développer les synergies possibles. Il veille à la bonne
mise en œuvre par les équipes des orientations définies par la directrice et assure les liens permanents entre l’équipe
de direction et les services. Il supplée la directrice dans sa mission de représentation.
Il peut se voir confier un certain nombre de missions particulières, telles que le pilotage de projets transversaux à
l’échelle de la direction départementale interministérielle (DDI), de l’animation d’une ou plusieurs politiques
publiques ou de la représentation de la directrice départementale dans certaines instances.
Il participe aux audits qualité et inspections diligentés, notamment par le niveau national ou régional, et pilote les
suites en lien avec les responsables de service concernés.
Il suit les démarches qualités de la direction départementale.
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Environnement
Le poste est situé à Ajaccio (71 685 habitants), chef-lieu de la Corse et du département de la Corse-du-Sud
(2 arrondissements, 165 307 habitants). L’environnement institutionnel, administratif et culturel de la DDETSPP
est marqué par les fortes spécificités de cette région « île montagne », la plus décentralisée de métropole et à statut
particulier, avec l’installation de la Collectivité de Corse depuis le 1er janvier 2018.
Le territoire de la Corse-du-Sud, formé de 7 microrégions et 124 communes dont 119 en zone de montagne, est
fortement structuré par son insularité et sa géographie, caractérisée par une prédominance du littoral et des espaces
ruraux et naturels, ainsi que par l’existence d’un pôle urbain ajaccien à forte attractivité.
Avec environ 1 000 exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et 1 400 actifs (en UTA), le secteur
agricole a une importance économique et politique très significative en Corse-du-Sud. Les diverses crises sanitaires
dans les filières animales (tuberculose, fièvre catharrale ovine sérotype 4, trichine, influenza aviaire…) ainsi que
dans les filières végétales (Xylella fastidiosa) revêtent une sensibilité toute particulière.
La protection sanitaire et économique du consommateur doit tenir compte des caractéristiques de l’économie
locale avec notamment ce tissu de petites et moyennes exploitations agricoles réparties sur tout le territoire et dont
la production bénéficie de plusieurs signes de qualité, et l’importance de l’industrie touristique en lien avec le pic
d’activité estival.
Dans le champ de la cohésion sociale, les problématiques d’exclusion liées à l’insuffisance de logements sociaux
et au niveau élevé des prix de l’immobilier résidentiel sont aiguisées par le contexte économique actuel. Le
département compte, par ailleurs, trois quartiers prioritaires de la ville.
Dans le champ de l’insertion, de l’emploi, de l’entreprise, une place prépondérante dans l’économie corse est
consacrée aux activités liées au tourisme. Le secteur du BTP est également fortement représenté. Globalement les
établissements sont de petite taille, (environ 60 % n’ont pas de salarié et 95 % en ont moins de 10), avec une
surreprésentation de l’hébergement restauration.
Concernant le secteur de l’inspection du travail, une seule unité de contrôle est constituée dans le département,
elle comprend 6 sections. L’unité est domiciliée à Ajaccio, à proximité du siège de la DDETSPP, une antenne est
située à Porto-Vecchio. La répartition des compétences entre les sections du département de Corse-du-Sud
s’effectue selon les règles suivantes :
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports routiers ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités de transports maritimes ;
– 2 sections « généralistes » avec une compétence pour les activités agricoles.
La DDETSPP entretient, sous l’autorité du préfet, des liens étroits avec les services de l’Etat en région (SGAC,
DRAAF, DREETS, DREAL), au niveau départemental (préfecture et sous-préfecture, DDTM, délégation
départementale de l’ARS, gendarmerie, police…), avec les collectivités locales, les milieux économiques, les
organisations professionnelles et plus généralement avec tous les acteurs locaux entrant dans le champ de la
cohésion sociale, de l’insertion par l’emploi et de la protection des populations.
Compétences
Les candidats devront posséder une solide expérience (au moins six ans) d’encadrement direct d’un service
important composé d’équipes pluridisciplinaires, d’une expérience dans le pilotage de services en charge de la
protection des populations et d’une bonne connaissance des politiques publiques. La capacité à manager en mode
projet et à accompagner les changements doit être particulièrement mise en évidence dans la présentation de
l’expérience des candidats. Ils devront être en mesure d’assumer des responsabilités de direction stratégique, de
conduire des négociations de haut niveau avec des décideurs publics ou privés et de représenter le préfet en
situation complexe, environnement sensible et contexte de crise, et plus largement de savoir faire face à la pression.
Le poste exige une capacité d’animation, de coordination du travail ainsi qu’une pratique de la conduite et du
suivi de projets. Il est également attendu un investissement réel sur l’ensemble des composantes métier présentes
au sein de la direction départementale.
Les candidats devront également faire preuve des compétences suivantes :
– un intérêt marqué pour l’action interministérielle ;
– une expérience d’encadrement, de conduite du changement, de pilotage et de mise en œuvre de politiques
publiques portées par la DDETSPP, plus particulièrement dans le champ de la protection des populations ;
– une connaissance des méthodes de conduite de projet, expérience réussie dans la conduite de projets
complexes ;
– des connaissances des organisations publiques (approche culturelle, sociologique et opérationnelle) ;
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– une capacité d’adaptation et d’ouverture aux problématiques sociales dans une approche partenariale avec les
entreprises, les collectivités territoriales, les associations ;
– une aptitude à écouter, analyser, piloter, mobiliser, négocier, convaincre, restituer, en particulier dans un
contexte de réorganisation des services ;
– une aptitude à animer des équipes pluridisciplinaires et interministérielles ;
– une aptitude à la communication et au dialogue social.
Il est attendu du directeur adjoint qu’il soit disponible, réactif, qu’il ait une perception vive et immédiate des
enjeux et problèmes du territoire, qu’il soit capable d’anticiper et de prendre des décisions adaptées aux
circonstances et de rendre compte.
Conditions d’emploi
Cet emploi, à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 9 et 47 à 49 notamment) et par l’article 7 de l’arrêté du 5 septembre 2023
fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant, pour leur gestion, du
secrétariat général du ministère de l’intérieur, est classé dans le groupe V en application des dispositions de l’arrêté
du 29 décembre 2009 modifié fixant la liste et le classement par groupes des emplois de direction des directions
départementales interministérielles.
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de quatre ans, renouvelable dans la limite d’une durée
totale de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La rémunération brute annuelle est composée d’une part indiciaire, déterminée par le reclassement de l’agent sur
la grille des administrateurs de l’Etat, et d’une part indemnitaire.
S’agissant du volet indiciaire, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, le reclassement est établi en
application de l’article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2023 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat. Pour
les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Cette rémunération (traitement brut) est complétée par le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) qui comprend :
– une part fixe, l’indemnité de fonctions, de sujétion et d’expertise (IFSE), qui fait l’objet d’un versement
mensuel. Le classement des emplois dans les différents groupes de fonctions permet de déterminer un montant
de référence d’IFSE qui dépend de la nature, du niveau de responsabilité ou d’expertise, des sujétions et du
niveau d’exposition de l’emploi occupé ;
– une part variable, le complément indemnitaire annuel (CIA), dont le montant est fixé, dans la limite du plafond
réglementaire, par groupe de fonctions, en tenant compte de l’engagement professionnel et la manière de
servir de l’agent. La fourchette du CIA est comprise entre 0 € et un montant maximum de 27 000 € brut, avec
un montant de référence moyen s’établissant à 3 199 € brut.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Concernant cet emploi :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi est le préfet de Corse, préfet de la Corse-du-Sud.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret du 31 décembre 2019, qui
procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats à auditionner.
L’instance collégiale est composée :
– de la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ou son
représentant ;
– ainsi que de deux membres parmi ceux énumérés ci-après : le secrétaire général du ministère de la transition
écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques ou son représentant, la secrétaire générale
du ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de la forêt ou son représentant, la secrétaire
générale des ministères chargés des affaires sociales ou son représentant et la directrice générale de la
consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes ou son représentant.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 117
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis, dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française, par voie dématérialisée :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employ(e)ee.talent-soft.com/accueil.aspx?
LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance est accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-DDETSPPA2A-2024-93375 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance sur des emplois de
direction de l’administration territoriale de l’Etat publiés par le ministère de l’intérieur ;
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service
public : https://choisirleservicepublic.gouv.fr/
Sur le site Choisir le service public, l’avis de vacance, référencé MINT_MINT-DDETSPPA2A-2024-93375, est
accessible en renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : directeur départemental interministériel ;
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction) ;
– localisation : Corse-du-Sud.
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation, celle-ci pourra être enregistrée en formulaire de mobilité ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les fonctionnaires, les candidatures seront accompagnées :
– d’un Etat des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, les candidatures seront accompagnées :
– d’une copie de la carte nationale d’identité ;
– de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae ;
– du dernier contrat de travail ;
– des trois derniers bulletins de salaire.
Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précédent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique, en application de l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 117
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de direction de l’administration territoriale de
l’Etat suivront, dans les six mois à compter de leur prise de fonction, un séminaire de prise de poste.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Xavier CZERWINSKI, secrétaire général de la préfecture de la Corse-du-Sud, tél. : 04-95-11-10-10,
courriel : pref-secretariat-sg@corse-du-sud.gouv.fr ;
Mme Sandrine POLYCHRONOPOULOS, directrice départementale de la DDETSPP de Corse-du-Sud, tél. :
04-95-50-55-50, courriel : sandrine.polychronopoulos@corse-du-sud.gouv.fr ;
M. Jocelyn SNOECK, délégué à la mobilité et aux carrières des emplois de direction de l’administration
territoriale de l’Etat au ministère de l’intérieur, tél. : 01-49-27-38-20, courriel : jocelyn.snoeck@interieur.gouv.fr
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 14-I).
Arrêté du 10 janvier 2017 pris pour l’application aux emplois de direction de l’administration territoriale de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application au corps des administrateurs de l’Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction
relevant, pour leur gestion, du secrétariat général du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
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Avis et communications
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
Avis de vacance d’un emploi de sous-directeur de l’achat et du suivi de l’exécution des marchés
(administration centrale : secrétariat général/direction de l’évaluation de la performance, de
l’achat, des finances et de l’immobilier)
NOR : INTP2431034V
Un emploi de sous-directeur (classe III) est susceptible d’être prochainement vacant à l’administration centrale
du ministère de l’intérieur.
Cet emploi est affecté à la direction de l’évaluation de la performance, de l’achat, des finances et de
l’immobilier, au sein du service de l’achat, de l’innovation et de la logistique du ministère de l’intérieur (SAILMI).
Le titulaire de ce poste y exerce les fonctions de sous-directeur de l’achat et du suivi de l’exécution des marchés
(SDASEM).
Sous l’autorité du chef de service du SAILMI, le sous-directeur de la SDASEM exerce la fonction de
représentant du pouvoir adjudicateur (RPA) pour tous les marchés de moins de 3 M€ de l’administration centrale
du ministère de l’intérieur. Il administre un portefeuille d’un peu plus de 1 000 marchés actifs. Au-delà du seuil de
3 M€, il garantit pour le compte du RPA, le chef de service du SAILMI, la sécurité juridique des actes dans le
respect de la stratégie achats ministérielle et interministérielle en matière de performance opérationnelle, financière
et environnementale.
Le sous-directeur est chargé de la programmation pluriannuelle des marchés pour l’ensemble des directions du
ministère, de la mise en place des actes juridiques dans le cadre des contrats de service établis avec les directions
du ministère, du suivi des dossiers contentieux en liaison avec la direction des libertés publiques et des affaires
juridiques. Il recherche par ailleurs les solutions achats de nature à répondre le plus efficacement possible aux
besoins et contraintes calendaires des responsables de programme.
Il décline au sein de la sous-direction les objectifs de professionnalisation de la filière achats définis par le
responsable ministériel des achats. Il veille plus particulièrement à la formation juridique de ses personnels, à la
mise en œuvre de règles déontologiques et d’outils concourant à la continuité des procédures.
Il veille à la pleine application des objectifs du service en termes de transversalité, de partage des compétences et
d’efficacité.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat (articles 3 à 16).
Le titulaire de cet emploi sera nommé pour une durée de trois ans, renouvelable dans la limite de six ans.
La nomination sur cet emploi fait l’objet d’une période probatoire de 6 mois en application de l’article 13 du
décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
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Cet emploi est classé dans le groupe 3 en application de l’arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains
emplois de responsabilités supérieures des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création du
RIFSEEP.
La rémunération brute annuelle est composée d’une part indiciaire, déterminée par le reclassement de l’agent sur
la grille des administrateurs de l’Etat, et d’une part indemnitaire.
S’agissant du volet indiciaire, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, le reclassement est établi en
application de l’article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2023 relatif aux conditions de classement,
d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat. Pour
les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le classement est fait au regard de la durée et du niveau des
expériences professionnelles antérieures en rapport avec l’emploi à pourvoir.
Cette rémunération (traitement brut) est complétée par le régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel (RIFSEEP) qui comprend :
– une part fixe, l’indemnité de fonctions, de sujétion et d’expertise (IFSE), qui fait l’objet d’un versement
mensuel. Le classement des emplois dans les différents groupes de fonctions permet de déterminer un montant
de référence d’IFSE qui dépend de la nature, du niveau de responsabilité ou d’expertise, des sujétions et du
niveau d’exposition de l’emploi occupé ;
– une part variable, le complément indemnitaire annuel (CIA), dont le montant est fixé, dans la limite du plafond
réglementaire défini par arrêté interministériel du 23 novembre 2022, par groupe de fonctions, en tenant
compte de l’engagement professionnel et la manière de servir de l’agent. Le montant de référence moyen du
CIA est établi à 11 120 € brut.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 9 du décret no 2019-1594 du
31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Pour cet emploi de sous-directeur, l’autorité de recrutement est le secrétaire général du ministère de l’intérieur et
l’autorité dont relève l’emploi est le directeur de l’évaluation de la performance, de l’achat, des finances et de
l’immobilier.
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’autorité de recrutement réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret no 2019-1594 du
31 décembre 2019 modifié, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les candidats
à auditionner.
L’instance collégiale est composée conformément à l’article 4 de l’arrêté du 5 septembre 2023 fixant les
modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant pour leur gestion du secrétariat général
du ministère de l’intérieur et des outre-mer.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
L’autorité dont relève l’emploi procède ensuite à l’audition des candidats présélectionnés.
A l’issue des auditions, l’autorité d’emploi transmet à l’autorité de recrutement un avis sur les candidats
auditionnés afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat
susceptible d’être nommé.
Nomination par l’autorité de recrutement :
A l’issue des auditions et dans un délai de deux semaines, les candidats auditionnés non retenus pour occuper
l’emploi à pourvoir sont informés.
Dossier de candidature
Le dossier de candidature doit être transmis dans un délai de 30 jours à compter de la date de publication du
présent avis au Journal officiel de la République française :
– pour les candidats relevant du ministère de l’intérieur, ayant accès à son intranet, sur le site MOB-MI
accessible à l’adresse suivante : https://ministereinterieur-employee.talent-soft.com/accueil.aspx?LCID=1036
Sur le site de MOB-MI, l’avis de vacance, référencé MINT-SDASEM-DEPAFI-2024- 93402, est accessible en
renseignant les champs suivants :
– mot clé de l’offre : MINT-SDASEM-DEPAFI-2024- 93402 ; ou
– catégorie : A+ (encadrement supérieur, emplois de direction).
La recherche par le seul critère de la catégorie permet d’accéder à tous les avis de vacance publiés sur des
emplois de direction de l’Etat au sein de l’administration centrale et territoriale du ministère de l’intérieur.
– pour les candidats n’ayant pas accès à l’intranet du ministère de l’intérieur, sur le site Choisir le service public
: https://choisirleservicepublic.gouv.fr/
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Déontologie
o
Conformément à l’article 2 du décret n 2016-1967 modifié du 28 décembre 2016 relatif à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts prévue à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique,
l’accès à cet emploi est soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination.
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination. Par
ailleurs, le titulaire de cet emploi devra adresser, dans un délai de deux mois suivant sa nomination, à la Haute
Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), une déclaration de situation patrimoniale qui devra être
complétée sur le site de la HATVP.
Pour les personnes qui exercent ou ont exercé une activité au cours des trois dernières années une activité privée
lucrative, l’autorité hiérarchique dont relève l’emploi apprécie la compatibilité de cette activité avec les fonctions
envisagées. Lorsque l’autorité hiérarchique a un doute sérieux, elle saisit pour avis, préalablement à sa décision, le
référent déontologue. Lorsque l’avis de ce dernier ne permet pas de lever ce doute, l’autorité hiérarchique saisit la
Haute Autorité, en application de l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics (article 12-II).
Décret no 2022-1452 du 23 novembre 2022 modifiant le statut particulier du corps des administrateurs de l'Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l'échelonnement indiciaire
applicable à l'encadrement supérieur de l'Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l'application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application au corps des administrateurs de l'Etat des dispositions du
décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de l'Etat.
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Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l'application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l'Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d'un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel dans la fonction publique de
l'Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453 du
23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d'avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l'Etat.
Arrêté du 5 septembre 2023 fixant les modalités de la procédure de recrutement des emplois de direction relevant
pour leur gestion du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
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Avis et communications
Avis fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au concours professionnel pour
l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe supérieure relevant des ministres
chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430697V
L’avis autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture du concours professionnel pour l’accès au grade de
technicien de laboratoire de classe supérieure relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
(NOR : ECOD2422977V), publié au Journal officiel de la République française du 1er septembre 2024, est modifié
comme indiqué ci-après.
Au point II, l’avis est rédigé comme suit :
« II. – Nombre de places offertes
« Le nombre total de postes offerts au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire
de classe supérieure relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 12. »
(Le reste de l’avis demeure inchangé.)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 117
Avis et communications
Avis fixant le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 au concours professionnel pour
l’accès au grade de technicien de laboratoire de classe exceptionnelle relevant des ministres
chargés de l’économie et des finances
NOR : BCPD2430700V
L’avis autorisant au titre de l’année 2024 l’ouverture du concours professionnel pour l’accès au grade de
technicien de laboratoire de classe exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances
(NOR : ECOD2422983V), publié au Journal officiel de la République française du 1er septembre 2024, est modifié
comme indiqué ci-après.
Au point II, l’avis est rédigé comme suit :
« II. – Nombre de places offertes
« Le nombre total de postes offerts au concours professionnel pour l’accès au grade de technicien de laboratoire
de classe exceptionnelle relevant des ministres chargés de l’économie et des finances est fixé à 5. »
(Le reste de l’avis demeure inchangé.)
20 novembre 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 117
Avis et communications
AVIS DIVERS
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de la convention entre le comité économique des produits de santé et la société MSD FRANCE et
du I de l’article L. 162-16-6 du code de la sécurité sociale, le tarif de responsabilité et le prix limite de vente de la
spécialité ci-après sont :
Prix limite
Code UCD Libellé Laboratoire exploitant Tarif de responsabilité HT de vente HT par UCD
par UCD (en €) aux établissements
de santé (en €)
34008 941 972 3 2 KEYTRUDA 25MG/ML PERF FL4ML MSD FRANCE 2 380,000 2 380,000
Avis et communications
AVIS DIVERS
En application de l’avenant à la convention entre le comité économique des produits de santé et la société
DISPOMED, les tarifs et les prix limites de vente au public en € TTC (PLV) des produits visés ci-dessous sont
fixés comme suit :
Nouveaux Nouveaux
CODE DÉSIGNATION Tarifs/PLV en € TTC tarifs/PLV en € TTC tarifs/PLV en € TTC
actuels au 1er juillet 2025 au 1er juillet 2026
3172374 Implant cranio-faciale sur mesure, < 125 cm2, DISPOMED, GLACE 5 250,00 5 060,89 4 871,78
3196653 Implant cranio-faciale sur mesure, ≥ 125 cm2 ≤ 180 cm2, DISPOMED, 5 750,00 5 542,90 5 335,80
GLACE
3198132 Implant cranio-faciale sur mesure, >180 cm2 et implants complexes, 6 250,00 6 024,87 5 799,74
DISPOMED, GLACE
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ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche