Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                
0% ont trouvé ce document utile (0 vote)
11 vues1 page

paroles -Marseillaise

Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1/ 1

La Marseillaise

Paroles de l’hymne national français

IV
REFRAIN
Tremblez, tyrans et vous, perfides,
Aux armes, citoyens ! L’opprobre de tous les partis !
Formez vos bataillons ! Tremblez ! Vos projets parricides
Marchons, marchons ! Vont enfin recevoir leur prix. (Bis)
Qu’un sang impur... Tout est soldat pour vous combattre.
Abreuve nos sillons ! S’ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produira de nouveaux
Contre vous tout prêt à se battre.
COUPLETS
REFRAIN
I
Allons ! Enfants de la Patrie ! V
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie, Français, en guerriers magnanimes
L’étendard sanglant est levé ! (Bis) Portons ou retenons nos coups !
Entendez-vous dans les campagnes Épargnons ces tristes victimes,
Mugir ces féroces soldats ? A regret, s’armant contre nous ! (Bis)
Ils viennent jusque dans vos bras Mais ce despote sanguinaire !
Égorger vos fils, vos compagnes Mais ces complices de Bouillé !
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !
REFRAIN
REFRAIN
II
Que veut cette horde d’esclaves, VI
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves, Amour sacré de la Patrie
Ces fers dès longtemps préparés ? (Bis) Conduis, soutiens nos bras vengeurs !
Français ! Pour nous, ah ! Quel outrage ! Liberté ! Liberté chérie,
Quels transports il doit exciter ; Combats avec tes défenseurs ! (Bis)
C’est nous qu’on ose méditer Sous nos drapeaux que la Victoire
De rendre à l’antique esclavage ! Accoure à tes mâles accents !
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !
REFRAIN
REFRAIN
III
***
Quoi ! Des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers ! COUPLET DES ENFANTS
Quoi ! Des phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ! (Bis) Nous entrerons dans la carrière,
Dieu ! Nos mains seraient enchaînées ! Quand nos aînés n’y seront plus ;
Nos fronts sous le joug se ploieraient ! Nous y trouverons leur poussière
De vils despotes deviendraient Et la trace de leurs vertus. (Bis)
Les maîtres de nos destinées ! Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
REFRAIN De les venger ou de les suivre.
REFRAIN

© CPMGN 2016

Vous aimerez peut-être aussi