Géodynamique Externe
Géodynamique Externe
Géodynamique Externe
37% abs;33%
réfléchi
Bilan:
• Terre/Atm en eq flux réfléchi et réémis est de 342 (107 cl et 235 IR)
• Sous système non en eq :
- surface terrestre reçoit + de chaleur qu’elle n’en émet ( effet de serre);
- l’atm déficitaire émet 195 vers l’espace et 324 vers terre alors qu’elle n’en reçoit
que 417 ( 67+350) comblé par flux de chaleur non radiatif par conduction (24)
&par convection thermique (78): changement de phase (évaporation)
• La terre émet vers l’espace 240W.m-² (principalement ds l’IR) : bilan R* nul et syst
terrestre global (T+Atm) est à l’eq
• 288K Terre / 6000K pour soleil
• Loi de planck : Terre -18°c [système dépourvu d’atm, eq
radiatif,énergie émise= énergie reçue]
• Si système avec couche atm uniforme [opaque au r IR émis par
surface(absorption),transparente aux rayons solaires, comme un
corps noir et émet une qté = ds ttes les directions] 30°C
supérieur à T° observée
• or moyenne à 15°c : atm multitude de couches et propriétés d’abs
différentes et émettant chacun vers le haut ou le bas
effet de serre.
• La terre reçoit en plus du rayonnement solaire direct et proche IR ,
un flux IR réémis par les basses couches de l’atm.
( NB: UV abs par Ozone(O2+O3); IR par C02 et vapeur d’eau)
• Syst global en eq ms les sous système climatique sont en
déséquilibre sur plan radiatif : surface terrestre excédentaire + 100
tandis que l’atm déficitaire -100
• Entre les tropiques dominent des vents d'est réguliers et constants, les alizés. Très chauds et secs, ils
peuvent se charger d'humidité après de longs parcours océaniques.
• Les alizés du Nord-Est de l'hémisphère Nord et du Sud-Est de l'hémisphère Sud convergent l'un vers
l'autre et forcent l'air à s'élever dans la région équatoriale. Les régions équatoriales constituent donc
une zone de BP. Les masses d'air humide soulevées par la convergence génèrent des nuages de
type cumulonimbus et des précipitations intenses.
• A la tropopause, vers 15 km d'altitude, ces masses d'air qui ont perdu une grande partie de leur
humidité sous forme de précipitations, divergent et finissent par redescendre aux latitudes 30°.
Lors de cette subsidence, l'air se réchauffe et son humidité relative diminue : les précipitations sont
donc fortement ralenties.
• Les régions subtropicales ont donc un régime anticyclonique, générateur d'un climat chaud et sec :
c'est là que l'on retrouve la ceinture des grands déserts, tant dans l'hémisphère Nord que dans
l'hémisphère Sud.
• Le contact entre les zones anticycloniques tropicales et la dépression équatoriale est à l'origine des
alizés cités plus haut.
• La rencontre des masses d'air polaire et des masses d'air tropicale forme le front
polaire. L'air polaire et l'air tropical ne se mélangent pas. Ils ont une température et
une humidité différente.
• Augmentation de la force de Coriolis formation de cellules anti et cycloniques
(déplacement : règle le climat des zones tempérées)
• L'air chaud s'élève en pente douce au dessus de l'air froid qui favorise la
condensation de l'humidité contenue dans l'air tropicale maritime. Dans la zone de
front, se forment des nuages qui se déplacent d'Ouest en Est (flux d'Ouest).
• L'ensemble de ces cellules de convection transportent de l'énergie depuis les régions
excédentaires (zone convective du centre de l'Afrique) vers les régions déficitaires
des 2 hémisphères.
Les cellules d'air polaire
• Dans les régions polaires, l'air froid et lourd subside et entretient au sol des hautes
pressions. Ces masses d'air froid divergent au sol vers les latitudes tempérées. Les
océans traversés cèdent une partie de leur réserve énergétique et de leur humidité.
La température de l'air augmente donc, provoquant une ascendance. Un système de
basses pressions s'installe progressivement vers 60° de latitude. La cellule d'air
polaire donne naissance à une dépression.
En altitude, la convergence vers le pôle boucle la circulation au sein de la cellule
polaire ainsi créée.
• Aux hte lat, ensoleillemt faible : autre
meca.
• Refroidissement des masses d’air en alt
qui est le moteur pricipal cree une
branche desc assoc aux BP où les
precipitations sont abondantes.
• Explique la variation de l’epaisseur de la
troposphère entre les zones equatoriales
et polaires
La mousson
• Processus de brise de mer/brise de terreà très gde échelle entre l’océan et le
continent indien.
• Au cours de la mousson indienne (avril à novembre)
océan : zone anticyclonique et relativement froid
continent: zone plus chaude , dépressionnaire et siège d’un courant asc
le vent souffle vers le N-O, cellule se complète par un retour en alt vers l’océan
• Le déplacement vers le nord de la ZITC o nivo de l’himalaya induit une traversée de
l’équateur par les alizés de l’HS qui sont alors deviés vers l’Est par la force de coriolis
conflit : fortes précipitations entre les alizés chargés d’humidités et l’air sec d’origine
cont sur l’inde
Le front polaire constitue donc un lieu d'échanges thermiques entre zones chaudes et
zones froides.
• Une perturbation est toujours associée à une cellule dépressionnaire, conséquence du
soulèvement de l'air chaud donc léger par l'air froid et dense. Un tourbillon (ou vortex)
apparaît, se creuse et se déplace d'Ouest en Est. Les vents peuvent atteindre jusqu'à 150
km/h selon l'importance de la dépression. Les zones dépressionnaires voisines des 60ème
de latitude Nord et Sud sont plus importantes en hiver qu'en été ce qui a pour conséquence
d'engendrer une circulation perturbée d'Ouest plus rapide et plus virulente en hiver.
hiver
été
Les centres d'actions anticycloniques et
dépressionnaires
durant l'hiver de l'hémisphère Nord (ou boréal)
• des centres anticycloniques d'origine thermique s'installent sur le continent nord américain,
mais surtout sur l'Asie où se constitue l'immense anticyclone de Sibérie ;
• au dessus des océans, l'anticyclone du Pacifique Nord -anticyclone d'Hawai est moins consistant
que l'anticyclone des Açores (renommé anticyclone des Bermudes lorsqu'il se déplace vers
l'ouest) qui domine les partie centrale de l'Atlantique Nord.
• En même temps 2 puissants centres dépressionnaires organisent la circulation des vents
océaniques à l'approche des régions polaires : la dépression d'Islande (qui s'étend du Labrador au
Nord de la Norvège) et la dépression des Aléoutiennes au nord du Pacifique Nord.
durant l'été ces 2 dépressions faiblissent considérablement alors que les 2 anticyclones se
renforcent :mais une immense dépression thermique envahit alors toute l'Asie centrale et se
prolonge jusqu'enAfrique au dessus du Sahara
• la répartition de ces centres dans l'hémisphère Sud (ou austral) est bien moins contrastée que
dans l'hémisphère Nord en fonction des saisons. Les portions de continent situées dans la zone
australe des latitudes subtropicales et tempérées sont généralement trop restreintes pour générer
d'important centres d'origine thermique
• on peut cependant signaler l'appartition d'un anticyclone thermique modérée sur l'Australie au cours
de l'hiver austral (qui correspond à l'été boréal).
• En revanche les parties sud des océans Atlantique, Indien et Pacifique sont animées
respectivement par 3 centres d'actions qui se maintiennent toute l'année : l'anticyclone de
l'Atlantique Sud ou de Sainte Hélène, l'anticyclone des Mascareignes et décalé vers l'Amérique
l'anticylone de l'île de Paques. A cette zone anticylonique- hachée durant l'été austral par les
continents - succède plus au sud une zone dépressionnaire continue qui couvre tout l'année le
vaste domaine océanique entourant l'Antarticque
Les masses d'air
• Une masse d'air qui occupe un volume à grande échelle et se caractérise par une certaine
uniformité horizontale de température et d'humidité est une portion de la troposphère
Les masses d'air sont séparées par des fronts qui forment une zone de transition , zones où varient
sensiblement et rapidement les champs horizontaux de température et d'humidité
Une masse d'air se définit comme une importante section de la troposphère dont les caractéristiques vont
de pair avec les vastes régions terrestres dont elle subit l'influence : par exemple en hiver les hautes
latitudes qui ne recoivent que peu d'ensoillement ont un air très froid, par contre au dessus du golfe du
Mexique l'air est plus chaud et plus humide . Bien que l'air froid soit graduellement réchauffé dans sa
descente vers le sud il y a un contraste marqué entre les masses d'air lorsqu'elles sont cote à cote dans la
zone tempérée. Si la surface de la Terre était uniforme il ne pourrait y avoir que 2 masses d'air: une
chaude et une froide qui seraient séparés par un front polaire. Mais la présence des continents et des
océans vient changer les choses. Les échanges de chaleur et d'humidité entre l'atmosphère et la surface
étant bien différents il en résulte la formation d'autres masses d'air
En résumé la planète est entourée d'air arctique et antartique, d'air polaire et d'air tropical.
• En plus de diviser l'air selon un régime de température on le divise aussi selon son humidité spécifique :
une masse d'air sec sera "continental" et une masse d'air humide sera "maritime"
En combinant les 2 types de classification on a 6 masses d'air :
- continentales polaires (cP)
- continentales arctiques (cA)
- continentales tropicales (cT)
- maritimes polaires (mP)
- maritimes arctiques (mA)
- maritimes tropicales (mT)
Les masses d'air ne sont pas statiques elles voyagent en fonction des vents, ce qui fait que tout au long
de leur trajet les caractéristiques des masses d'air seront modifiées et si les différences deviennent
nombreuses et atteignent une grande échelle tant à l'horizontale qu'à la verticale la masse d'air changera
de type
Ces différentes masses d'air donnent des temps très différents qu'il s'agisse de l'été ou de l'hiver
La rencontre d'une masse d'air froid et d'une masse d'air chaud donne naissance à une dépression
Les jet streams
• Au nivo du FP affrontements des masses
d’air chaud méridionales et masse d’air
froid polaire chute importante de l’alt de
la tropopause. Très fort g° de P qui
engendre des vents d’ouest violents: jet
streams vitesse de 400-500km.h-1
• voyage à 12km d’alt pour liaison New York
Paris et seulement 9km pour aller
Influence des courants océaniques
• Temp air influencée par celle de l’eau océanique elle mm par courants marins
gulf stream ++ en Europe
labrador refroidit cotes canadiennes
Contraste en hiver pour des régions situées au 49° pour paris et 46° pour Québec +
au sud
Sans cette redistribution : climat terrestre bcp plus marqué, dissymétrique du fait de la
répartition hétérogène des continents
- Albédo de l’océan
- Flux IR nulle la nuit
- Océan : volant thermique plus gd que continent, rétrocède avec retard la chaleur
emmagasinée:
L’HN : surtt cont, rétrocède presk tte la chaleur emmagasinée au
cours del’été boréal pdt la mm saison
L’HS: surtt maritime, rétrocède la chaleur emmagasiné pdt l’été
austral,en gde partie ac retard au cours de l’hiver austral (été boréal) dissymétrie
des écarts entre tep saisonnières des 2 H.
système nuageux associé à une
perturbation atmosphérique
• Chaleur spé(4.18.103 J/KG/°C) et chaleur latente de fusion (3.3.105 J/KG/°C) + forte de ts les corps
transfert de chaleur ds courants océaniques+ régulation de la température ( forte inertie pas de changemt
brutaux)
• Chaleur latente de vap la +forte (2.25.106J/Kg/°C) rôle important ds transfert d’eau et de chaleur ds l’atm
• Pouvoir de solvant le plus important pour le nb de subt susceptibles d’être solubilisés que pr qté ( qui agmt la
densité)
• Fusion glace : rupture de liaison H , tassemt molec ac diminution du v et augm de la densité, la glace flotte
sur l’eau ; max densité eau à 4°c à p atm. Cette d dim ac la salinité est atteint au pt de congélation cad 1.9°c
d’où le plongement des eaux polaires.
• 2 types de glaces:
• Température de surface:
• En fonction de l’ensoleillement 28/30°c ZE à
-1.9°c ZP composante lat ms perturbée par
courants et vents(refroidissement), masse
continentales
• Chaleur emmagasinée : régulateur du climat des
cont. dissymétrie entre cote est/ouest des
océans aux faibles et moy latt; variation
journalière faibles sauf mer peu profondes, mer
intracont écart saisonniers important (régime
cont)
• En profondeur: La thermocline permanente
• Variations annuelles restreintes sauf pr régions sub polaires: fonte glace -0.7
et régions à fortes variations sais des précipitations (océan indien variation
peut atteindre 3 : mousson)
Variation salinité avec la profondeur
• Quand les alizés soufflent à leur pleine puissance, l’upwelling d’eau froide le long du
Pacifique équatorial refroidit l’air qui le surplombe, le rendant trop dense pour qu’il
s’élève assez haut pour permettre à la vapeur d’eau de se condenser et de former
des nuages et des gouttes de pluie. Ainsi l’air reste libre de nuages pendant les
années « normales », et la pluie dans la ceinture équatoriale est largement confinée
dans l’extrême ouest du bassin, au voisinage de l’Indonésie.
• Mais lorsque les alizés soufflent, s’affaiblissent et régressent vers l’est pendant les
premiers stades d’un événement El Niño, l’upwelling se ralentit et l’océan se
réchauffe. L’air humide à la surface de l’océan se réchauffe également. Il devient
assez léger pour former des nuages épais qui produisent de fortes pluies le long de l’
équateur. Cette modification des températures de surface océanique est donc
responsable du déplacement vers l’est du maximum de pluie sur le Pacifique central.
Les ajustements atmosphériques associés correspondent à une baisse de pression
dans le Pacifique central et oriental et à une augmentation de pression dans le
Pacifique Ouest (Indonésie et Australie), propice à un plus grand retrait des alizés.
• Ainsi, l'El Niño de 1982-1983 a produit des effets dramatiques sur les continents. En
Équateur et dans le nord du Pérou environ 250 cm de pluie tombèrent pendant 6
mois. Plus vers l’ouest, les anomalies du vent ont dérouté les typhons de leurs routes
habituelles, vers Hawaii ou Tahiti non préparées à de telles conditions
météorologiques.
• Le phénomène peut affecter par ondes de choc les conditions climatiques dans les régions les plus éloignées du
globe. Ce message d’échelle planétaire est convoyé par des déplacements des régions de pluies tropicales, qui
affectent ensuite les structures de vent sur toute la planète. Les nuages tropicaux porteurs de pluie déforment l’air qui
les surplombe (8 à 16 km au-dessus du niveau de la mer). Les vents qui sont formés dans l’air au-dessus de ces
nuages vont déterminer les positions des moussons et les routes des cyclones et ceintures des vents intenses
séparant les régions chaudes et froides à la surface de la Terre. Pendant des années El Niño, quand la zone de pluie
habituellement centrée sur l’Indonésie se déplace vers l’est, vers le Pacifique central, les ondes présentes dans les
couches hautes de l’atmosphère sont affectées, causant des anomalies climatiques sur de nombreuses régions du
globe.
• Les impacts d'El Niño sur le climat aux latitudes tempérées sont les plus évidents pendant l’hiver. Par exemple:
*la plupart des hivers El Niño sont doux sur le Canada occidental et sur des régions du nord-ouest des États-Unis,
* pluvieux sur le sud des États-Unis (du Texas à la Floride)
* affecte également les climats tempérés durant les autres saisons. Maisn’est qu’un des nombreux facteurs qui
influencent le climat des régions tempérées.
• Plus récemment, en juin 2002, un certain effet de El Niño de 2002 se faisait déjà sentir dans les régions tropicales d’
Amérique du Sud. De violentes pluies d’orages, les pires des huit dernières décennies, ont détrempé le Chili. Vers la
fin du mois de décembre, l’Australie subissait la pire des sècheresses d’un siècle surnommé la « super-sèche ». Des
tempêtes meurtrières se sont également déchaînées sur la côte ouest des États-Unis. Cinq journées entières de
grosses pluies et de grands vents.
• P144
Circulation océanique profonde
• Période de l’ordre du mois
• Eaux suffisamment dense pr migration fond
océan
• Intéractions Atm/océan ds hte lat
refroidissement et formation de glace de mer.
• Plongemt eaux bassins océaniques
• Convection profonde jusqu’à 3000m
• Compensé par migration vers les poles d’eaux
de surface
• Zones les + importantes : Antarct+ atlan N(mer
de Norvège ,grœnland)
• Ds l’atlantique processus fav par
– Salinité élevée : excès evap golfe mex et injection eaux salée
par la med.
– Eaux du gulf stream ++ salinité + refroidissement plongement
Glace pas important
• Les autres océans pas de zones de formation d’eau profonde; salinité trop
faible au niveau du détroit de Bering (33%%)
• Eaux de fond de l’atl juvénile alors que les eaux de fond du pacifique sont
anciennes, déjà circulé en atlant et l’océan indien et présentent des propriétés
particulières( oxy, teneur en c02, sous sat en CaCO3) liées à leur évolution au
cours du tps
• Océan antarc maillon important de la circulation, grande dérive
d’ouest ou courant circumpolaire antarctique continuité de la
masse océanique + isolation thermique cont antarct
Ces enveloppes terrestres contiennent de l’eau, en quantités variables : beaucoup au sein de l’hydrosphère, moins
dans la lithosphère et en très faible quantité dans l’atmosphère.
L’eau de l’hydrosphère, chauffée par le rayonnement solaire, s’évapore. Cette eau rejoint alors l’atmosphère sous
forme de vapeur d’eau. Les nuages sont ainsi formés de minuscules gouttes d’eau. Cette même eau, lors des
pluies, retombe sur les océans (pour 7/9) et les continents (pour 2/9).
La circulation de l’eau dans la lithosphère emprunte trois voies :
• Le ruissellement, en suivant les reliefs de la roche-mère ;
• L’infiltration, à travers les fissures naturelles des sols et des roches ;
• La percolation, en migrant lentement à travers les sols.
• Plus le processus est lent plus les eaux ont le temps d’interagir chimiquement avec le milieu. Plus le processus
est rapide plus les phénomènes d’érosion seront marqués.
• À travers l’infiltration et la percolation dans le sol, l’eau alimente les nappes phréatiques (souterraines).
• Les débits des eaux peuvent s’exprimer en m³/s pour les fleuves, en m³/h pour les rivières. La vitesse
d’écoulement des nappes phréatiques est en revanche de quelques dizaines de mètres par an.
• Le flux peut être stocké pour un temps sous forme de neige ou de glace. Sa fonte est plus ou moins importante
depuis le réchauffement climatique.
• Le cycle décrit ci-dessus est essentiellement géochimique. En réalité, les êtres vivants, et plus particulièrement
les végétaux ont une influence sur le cycle. Les racines des végétaux pompent l’eau du sol, et en relâchent une
partie dans l’atmosphère. De même, une partie de l’eau est retenue dans les plantes. Lors de déforestation, le
cycle de l’eau est fortement modifié localement et il peut en résulter des inondations.