EEE Goutte.
EEE Goutte.
EEE Goutte.
Sous la supervision:
Pr
MIJIYAWA
Pr ONIANKITAN
Pr FIANYO
Dr KOFFI-TESSIO
Objectifs
• Enumérer les facteurs de risque de la goutte
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PLAN
INTRODUCTION
I. PHYSIOPATHOLOGIE
II.MANIFESTATIONS CLINIQUES
III.DIAGNOSTIC
IV.TRAITEMENT
CONCLUSION
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INTRODUCTION
Définition:
Manifestations cliniques
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INTRODUCTION
Intérêt:
• Ubiquité de la maladie
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PHYSIOPATHOLOGIE ( 1/2 )
pool miscible =acide urique échangeable :1200mg
7
8
9
MANIFESTATIONS
CLINIQUES
ACCES AIGU
ACCES CHRONIQUE
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LA CRISE AIGUË
Facteurs déclenchants :
-Suites opératoires
-Prise de diurétiques
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LA CRISE AIGUË
Signes fonctionnels
Douleur
• Topographie distale
• Horaire inflammatoire
• Rythme en chapelet
• Durée : 3 à 10 jours
• Exacerbée par le moindre mouvement et contact
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LA CRISE AIGUË
Signes généraux
• Fébricule: 38-38,5°C
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LA CRISE AIGUË
Examen physique
• Rougeur
• Chaleur
• tuméfaction
• Œdème
• Dilatation des veines
• Pelure d’oignon
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LA CRISE AIGUË
Signes paracliniques
Biologie:
LA inflammatoire
• Trouble, purulent
• Stérile
• Plus de 10.000 éléments par mm3 avec des cristaux d'acide urique en
aiguille
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LA CRISE AIGUË
Syndrome inflammatoire biologique:
-VS accéléré,
-Hyperleucocytose à PNN
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LA CRISE AIGUË
Radiographie
Normale au début
Au stade avancé: signes classiques d’une arthrite
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LA CRISE AIGUË
Evolution
• La résolution est complète
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Formes cliniques
• Formes évolutives:
Goutte chronique: tophus, arthropathies chroniques et troubles
rénaux
• Forme selon le terrain:
-Goutte féminine rare
-Goutte du sujet jeune : rechercher un déficit enzymatique
• Formes étiologiques: en fonction de la cause
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DIAGNOSTIC
DIAGNOSTIC POSITIF
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DIAGNOSTIC POSITIF
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DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
• Arthrite septique
• Atteinte articulaire périphérique d'une spondylarthropathie
• pseudogoutte de la chondrocalcinose
• Arthroses: douleur mécanique, liquide mécanique
• Tendinites
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DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
Facteurs de risque:
-HTA
-obésité,
-alcoolisme
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TRAITEMENT
TRAITEMENT
Buts
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TRAITEMENT
Moyens
Mesures hygiéno-diététiques
• réduction des apports caloriques en glucides
• suppression de l'alcool.
• cure de diurèse (1,5 à 2 litres d'eau par jour).
• L'alcalinisation des urines est utile (1/2 bouteille d'eau de Vichy,
pipérazine)
• Contrôle des comorbidités.
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TRAITEMENT
Médicaments
médicaments de l'accès :colchicine, AINS , corticoïdes
hypo-uricémiants :
-inhibiteurs de la synthèse d'acide urique:l'allopurinol et le thiopurinol
-uricolytiques:L'urate-oxydase (Uricozyme*)
-uricosuriques:probénécide (Bénémide ), la benziodarone (Amplivix*)
et la benzbromarone (Désuric*).
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TRAITEMENT
Traitement de fond: hypo-uricémiants
• à distance d'une crise aiguë ;
• à vie ; l'association de la colchicine (1 mg le soir) ou d'un AINS
indispensable au cours des deux premières années
• doit permettre d'obtenir une uricémie inférieure à 60 mg/l ;
• contrôle de la créatininémie :dépister une éventuelle néphrite aiguë
secondaire à la mobilisation des micro-tophus intrarénaux
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TRAITEMENT
Surveillance
Clinique
-constantes
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TRAITEMENT
Paraclinique
-uricémie
-liquide synoviale
-syndrome inflammatoire biologique: NFS,VS ,CRP
-lésions radiographiques
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CONCLUSION
Pathologie ubiquitaire fréquente en Afrique subsaharienne due à
l’hyperuricémie
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MERCI