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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

UNIVERSIT’E ABDERRAHMANE MIRA – BEJAIA


FACULTE DE TECNOLOGIE
DEPARTEMENT D‘ARCHITECTURE

ANALYSE URBAINE DE
LA
VILLE DE BEJAIA
Réalisé par: Encadré par :
BIZRICHE Lamia Mme MAZ
BOUHIRED Hanane Mr ZAIDI
BOUMEDJMADJ Samia
BOUMEZOUED Sara
HAMACHE Aida

2011-2012
Plan de travail:
Introduction
I. choix du site
II. Problématique
III. Présentation de la ville
IV. Etude du processus de formation et transformation de la ville de Bejaia
V. Etude des éléments de communication sociale
1. les rues
2. les places .

VI. Etude des éléments morphologique du tissu urbain l’ilot et la parcelle.


VII. schéma de structure existant
VIII. Schéma de structure proposé

Conclusion
Introduction
« l’analyse structurelle d’une ville doit s’appuyer sur une approche dynamique qui
permette de comprendre les mécanismes de réorganisation permanente de l’espace,
quelque soit son rythme. Cette analyse doit amener à mieux cerner les composantes et
les variables de l’espace considéré, en vue d’une définition pertinente du cadre du projet
d’intervention urbaine.» René GUERIN Architecte et urbaniste École d’Avignon, France.

Cette analyse que nous allons présenté sur la ville de Bejaia nous permettra
d’identifier ses caractères fondamentaux , montrer son évolution ,mettre en évidence
ses points forts et valorisé les problèmes à corriger pour arriver enfin à conclure sur les
premières orientations à envisager .
I. Choix du site
L’espace urbain dans la ville de Bejaia comme toutes
les villes Algériennes a subi des transformations
importantes dés les premières installations humaine
jusqu’à nos jours.
Et pour notre analyse nous avons prit comme cas de
figure la ville de Bejaia pour les données qu’elle
présente :

Un site particulier, disposant de toutes les ressources nécessaire à un établissement


humain. Une succession de civilisation faisant de Bougie l’une des villes les plus
stratifiées et les plus riches en concepts opératoires.
Une ville ayant connue toute les idéologies d’interventions sur la ville, notamment la
politique de production de masse prônée par l’état après l’indépendance avec toutes les
ruptures et problèmes générés par cette dernière.
II. Problématique:
L’état actuel dégradé de notre ville , qui porte sur sa reproduction rapide ou l’action
se passe souvent de la réflexion, produisant des additions d’ensembles urbains
monofonctionnels dépourvus de toutes significations, où l’architecture de la ville se
dissocie de celle des édifices, causant la disparition de l’espace public et la notion
d’appartenance au lieu.

De là notre problématique est la suivante :

« Déceler et Mettre en place les concepts opératoires identifiés comme des outils
d’édification ou de réédification de la ville. En tenant compte des différentes
dimensions des nouvelles préoccupations dans nos villes aujourd’hui » .
III.Présentation de la ville de Bejaia
Ville méditerranéenne, située au nord-est de la cote algérienne à 230 Km
de la capitale, Alger.

La ville de Bejaia est desservie par des Emplacement stratégique


réseaux routier et ferroviaire, ainsi que favorisant le commerce et
l’échange
par des équipements tels qu’un aéroport,
une gare routière et une gare maritime

un Golf de 45 Km et une
profondeur de 15 Km

Son réseau routier est défini par des


parcours territoriaux pérenne à travers
l’histoire et ayant comme moteur principal,
le relief.
l’environnement :

Le Golf de Bejaia sur le


bord duquel la Ville s’élève en
amphithéâtre, offre l’aspect
d’une plaine entourée d’un rideau
de montagnes. Elle occupe une
superficie de 120,22 Km² dont :
• Les montagnes : 60%.
• La plaine : 30%.
• Collines-piémonts : 10%.
Le Golf de la ville de
Bejaia se longe sur plus de 8 Km.

600 m
300 m
206 m 260m
La structure portante de la ville :

Oued bois sacré Oued ABZAZ

Oued DANOUS
Oued OUCHALAL
Oued SALAMAN

Oued SEGHIR

Le territoire de la ville de Bejaia présente


plusieurs éléments naturelles en plus du relief
accidentée.
Oued SOUMMAM
IV. Etude du processus de
formation et transformation
de la ville de Bejaia
Objectif de l’exercice: déceler les éléments permanant dans la ville de
Bejaia, les éléments régulateurs de sa croissance, les différents moments de
rupture.


Epoque phénicienne
Installation du comptoir Phénicien
Installation des
comptoirs
Protection
Phéniciens le long
naturelle
de la cote nord
contre les
séquencée de 30 à
vents
40 km
dominants

Le Golf du comptoir phénicien .

Versant nord-est de
Vue sur cap Carbon. Gouraya.
Epoque Romaine
 Les romains se sont installés sur
le comptoir Phénicien .

 Le dedans et le dehors de la ville


sont déterminés par un rempart de 3
Km .

 Exploitation de la structure
topographique comme premier
élément déterminant de la structure
urbaine, ce qui apparait dans la
superposition du rempart sur deux
lignes de crêtes du coté Est et Ouest

 Le rempart est doté de trois


portes assurant l’articulation de la
ville avec son territoire.

 Présence des deux axes


structurants de la cité Romaine:
supposés être Decumanus et le
Cardeau dont l’intersection
représente le Forum.
Epoque Hammadide
 Franchissement de limites et extension
-vers l’Est en dépassant le Oued Abzaz.
- vers le Nord jusqu’au au mont
Gouraya.

 Permanence de l’enceinte déterminant


le dedans et dehors de la ville en
conservant une partie du rempart Romain .
Parcoure scientifique
 Édification de quatre nouvelles portes:
-Porte AMSIOUM, porte EL-
MERGOUM, porte EL-ROUAH, porte
CASBAH

 les portes sont reliées deux à deux par Parcoure gouvernemental


trois axes, dont l’intersection est
matérialisée par des moments forts.

 Pérennité des lieux de culte: par la


construction de la mosquée sur le temple
Romain.
Epoque Espagnole
 Décroissance urbaine et réduction
de l’enceinte à 1/3 de l’ ancien
rempart romain.

 L’enceinte est dotée de mêmes


portes Hammadides mais avec la
création d’une autre au nord (Porte
des Vieillards).

 Pérennité des lieux de culte par


la reconversion de la mosquée en
église.

 Restauration du fort de la
Casbah, Abd Kader.

 Construction du fort Gouraya,


fort Moussa sur les traces du palais
de l’étoile, le fort Bridja sur
l’emplacement du palais de la perle.
Epoque Turque
 La Médina était implantée
sur le périmètre urbain espagnol
avec la permanence de
l’enceinte et les quatre portes
qui l’articulaient à son territoire.

 la permanence des trois forts


de surveillance .

 Pérennité de lieu de culte


par la reconversion de l’église en
mosquée.

 création de la place de la
Casbah qui joue le rôle
d’accueil pour les étrangers
venant de la mer.

 La structure urbaine est


marquée par une centralité
spirituelle et économique .
Conclusion
La notion du seuil est
cristallisé par les portes
Le relief façonne la ville et oriente sa assurant l’articulation entre
croissance, il détermine la ville et sont territoire.
l’emplacement et la forme des
éléments structurants de l’espace
urbain (remparts, portes, parcours,
édifices importants, aménagements
particuliers).
L’intersection des parcours
importants dans la ville
représente des moments forts
matérialisés par des places

Permanence des remparts qui


déterminent le « dehors » et le
« dedans » de la ville. Pérennité du culte en lieu et en
fonction.
L’époque Française
Au moment de l’occupation Française, la
ville de Bejaia était parfaitement délimitée par
le rempart de l’époque Turque, et pendant cette
occupation, la ville a connu deux étapes de
transformation:

-1-La ville intra-muros:


-L’appropriation des lieux « 1833-1854 » :
- Réinterprétation des lieux (1854-1871) :
-2-La ville Extra-muros :
-Franchissement des limites : 1871 et 1891 :
-Le nouveau pôle de croissance;(La plaine): 1891-1920 :
-Densification de la ville : 1920-1958 :
-Période de rupture : 1958-1962 (Le passage de l’îlot à la barre)
L’appropriation des lieux « 1833-1854 » :

Réaménagement de la place
Fatima en place d’Arme Création de La place Reconversion de la
Luis Philip au seuil de mosquée Sidi El Mouhoub
la porte Bâb El Fouka en église Saint Josef

Expropriation du
quartier autochtone
L’occupation et l’amélioration des Houma Karaman
édifices militaires
Réinterprétation des lieux (1854-1871) :
le plan du génie militaire
L’élaboration d’un plan
d’alignement en 1854 dont
lequel il a repris les pérennités
du site dans la nouvelle structure
contenant:
•La répartition des équipements
publics sur la nouvelle structure
du tracé.

•Le dessin de la ville : « la


structure viaire et celle des
places »

Ces transformations ont comme


objectif la meilleure circulation
des convois de l’armée et une
meilleure organisation de la ville
pour faciliter le contrôle.
Franchissement des limites 1871-1891
« C’est le moment où la ville englobe l’enceinte »
Le relief influence sur la direction de la croissance, c’est l’élément déterminant,
conditionnant la croissance
L’enceinte devient une rue en escalier dicté par la topographie du site .
Le seuil de la ville (borne de croissance) devient un pole de croissance .
L’ilot est le résultat de la pérennité de l’ancien tracé et de la topographie.
La plaine; un nouveau pole de croissance 1891-1920:
Persistance de la notion de seuil, mais avec une nouvelle matérialisation ou
concrétisation, elle passe des portes aux places.
 La superposition du tracé urbain sur le tracé agraire.
Les lignes de croissance dicté par les contraintes physique et industrielle.
Densification de la ville : 1920-1958 :
La croissance prend deux direction ;le boulevard de la Liberté et le
prolongement du boulevard Ben Boulaid qui sont deus anciens chemin
d’exploitation agricole
le chemin de fer forme une barrière de croissance en lui donnant une
direction.
Période de rupture : 1958-1962
Le passage de l’ilot a la barre
La perte de l’ordre géométrique et l’apparition de l’ordre
arithmétique
Conclusion
Le relief définit L’intersection des axes
l’installation et principaux définit des pôles
délimite la ville. de croissance.

La porte présente un seuil et un moment


d’entrée à la ville, elle est marquée par L’îlot comme moyen de division
des équipements à l’échelle de la ville. et de gestion de l’espace urbain.

Le tracé du parcellaire La parcelle est l’unité élémentaire, et un lieu de


agricole dicte le tracé décision et de définition de l’architecture, ayant une
urbain. propriété et des limites juridiquement reconnues.

Les éléments permanents


participent à la structuration La primauté de l’espace
de l’espace urbain. public avant l’espace privé.
L’époque poste coloniale
L’éclatement de la ville
De 1962 jusqu’à 1974:
 une croissance stagnante et lente, qui suit les prévisions du plan de Constantine, ce qui
a engendré la perte de la notion de l’ilot et la parcelle.

 négation avec la structure portante du sol et la projection de la zone industrielle


sur des terres agricoles.

 l’émergence de l’habitat spontané sans structure préétablie

 densification du quartier Lacifa, engendré par l’exode rural due à la présence de


la zone industrielle.
De 1974 jusqu’à 1990:
 apparition de la politique du zoning qui a fait de la ville un ensemble de
fragments désarticulés et non homogène, engendrant une rupture dans l’espace
urbain.

 apparition du PUD comme instrument de programmation spatiale depuis


1974.

 La réalisation de lotissements dans le but d’alléger la pression sur les anciens


quartiers: la cité d’habitation CNS et Rabéa, et des lotissements à l’ouest de la
ville (lotissement Zerrara).
De 1990 à nos jour

Libéralisation du foncier, et retour à la parcelle


Déplacement des seuils de la ville .

 Franchissement des limites établies :


Franchissement d’Oued Soummam
Constructions illicites sur le domaine des forets

L’utilisation irrationnelle du sol urbain


L’absence des éléments morphologiques de communication sociale, rues et places.
La rue est réduite uniquement à la circulation automobile.
Absence de la parcelle et de l’îlot induit l’incapacité de gérer la croissance urbaine.
Conclusion:
La ville de Bejaia poste indépendante à connu trois étapes de
transformation:
Une croissance lente qui
démarre d’un pôle qui est
l’ancienne ville suivant des
axes préexistants, définis
comme porteurs de croissances
Une croissance non gérée et
non maitrisée qui s’est basée sur
la politique de zoning, ce qui a
engendré des fragments non
articulés dans la ville
Un ensemble d’ opérations
prise par l’état dans le but de
renouer avec certains principes,
mais ces politiques n’ont pas
réussit par manque de stratégie.
Concepts opératoires
décelés
La borne de
la limite devient
croissance
articulation après son devient pole de
franchissement croissance
La
structure urbaine est dictée par
la structure topographique, pas
d’urbanisme, pas d’architecture
sans structure ferme du sol.

La ligne de
croissance dicte le
la ville est comme un corps
sens de cette
humain, ensemble de
dernière, elle peut
fragments qui se composent
être naturelle ou
et se décomposent en même
artificielle
temps.
V. Etude des éléments de
communication sociale
A/ les rues:
1- les axes d’articulation:
boulevard Amirouche
boulevard Ben Boulaid
boulevard Bouaouina
boulevard front de mère
2- les axes de croissance:
rue du vieillard
boulevard de la liberté
3- les ruelles:
rue Fatima
rue Trézel haute
4-Exemple de la non ville
Voie K’rim Belkacem
Objectif :

Lire et comprendre la signification de ces éléments selon


leurs échelles d’appartenance et leur position dans la trame urbaine .
Les axes d’articulation
1. Le boulevard AMIROUCHE

Sa genèse:
ce boulevard était un ancien
chemin d’exploitation agricole, un
élément ordonnateur de la
croissance qui relie l’ancienne ville
a la pleine.
Sa position dans la trame urbaine :
Ce boulevard articule entre deux moments fort
qui sont la place de l’arsenal et le square
dimension:
elle est de 10,5m de largeur, assurant
une circulation piétonne et mécanique
en double sens et une file de stationnement.

Coupe sur le boulevard


parois:
ses parois présentent une discontinuité
d’un ensemble de barres de gabarie de
R+5 ,R+6 et R+9

activités:
les soubassement des parois sont renforcé par une
galerie d’arcade offrant un niveau de
hiérarchie entre le boulevard et la construction, le
RDC des immeubles est consacré a l’urbain
(commerce) les autres niveau c’est de l’habitation.
2. Boulevard BOUAOUINA

Sa genèse:
ce boulevard est implanté sur l’ancienne
limite naturelle oued ABZAZ et il est
aussi supposé être le CARDO a l’époque
romaine

Sa position dans la trame urbaine :


Le boulevard articule entre deux moments
forts la place de la marine et la place des
cinq fontaine on passant par la place
BOUCHAFFA
Ddimension:
20m de largeur assurant une circulation a double sens
Les parois :
les parois qui bordent ce boulevard sont a
caractère purement résidentiel d’un gabarie
variant de R+3 a R+4 présentant une continuité
le long du boulevard l’alignement et la
hiérarchie est renforcé par une série d’arbre

Activités:
le boulevard ne draine pas un nombre
important d’habitants vue le type d’activités
urbaines projetées (quartier a caractère
résidentiel)
3. Boulevard front de mère

genèse:
Superposé sur un ancien axe structurant de la
ville précoloniale, reliant le fort moussa au fort
Abdelkader. Sa position dans la trame urbaine :
il articule la ville haute au port et à la
mer, par une récupération d’une dénivelée
de 12m, où s’intègre un immeuble pont au
dessous du boulevard.
Les parois:
La paroi du boulevard se résume en
plusieurs façades : la façade du fort de
la casbah, la façade d’un immeuble
terrasse de R+4 abritant au dessus la
place GUYEDON , la façade de Deux
immeubles d’habitation de R+2 et R+4.
4. Boulevard BEN BOULAID

La genèse:
c’est un ancien chemin d’exploitation
agricole, il articule entre deux moment fort la
stèle et le carrefour du port.

Sa position dans la
trame urbaine:
Il articule entre le
carrefour du port et
la place de la stèle .
Dimension:
Il est d’une largeur de 20,le terre plein au milieu lui offre un caractère spécial,
avec des rangé d’arbre, plusieurs activités peuvent être envisagé dans cet
espace.

Vue en plan et coupe de bd BEN BOULAID


Parois et activités:
L’une des parois se présente
en limite(chemin de fer)de
l’autre coté on trouve des
construction de R+2 a R+3
avec le RDC affecté a
l’urbain(commerce) avec la
présence de la place el
QODS.
RDC affecté a l’urbain Le terre plein avec de la végétation

La stèle Le chemin de fer La place el QODS

Façade du bd BEN BOULAID


Les axes de croissance
1. La rue du vieillard

la genèse:
Cette rue fait partie de l’axe structurant dans
la « période turque ». Après le franchissement
de limites (vers le Nord), cet axe qui était un
chemin d’exploitation agricole, a joué le rôle
de ligne de croissance.
Sa position dans la trame urbaine:
Elle relie deux moments forts de la ville qui
sont : la place Lumumba et la porte du
Vieillard offrant une perspective sur le mont
Gouraya.
Dimension:
La circulation au niveau de cette rue qui est à la fois mécanique et piétonne, n’est pas aisée
vu son dimensionnement de 6m. La pente dégagée pour cette rue est très confortable vu son
tracé parallèle aux courbes de niveau.

Vue en plan de la rue

Coupe sur la rue


Parois:
cette rue est bordée de bâtiments d’habitation
qui présente une continuité ,d’un gabarie de
R+2 a R+3,avec un RDC affecté des fois a
l’urbain(commerce).

Activités:
Les parcelles s’orientent sur la rue par le plus long
coté(Remembrement) cela a fait de cette rue une
secondaire, mais son histoire et le flux important
d’habitants qu’elle draine quotidiennement, lui donnent
le caractère d’un axe structurant.
Avec quelques activités commerciale mais le caractère
résidentiel prime sur cette rue.
2. Boulevard de la LIBERTE
La genèse:
C’est le prolongement du Boulevard Amirouche ,ancien chemin
d’exploitation agricole, qui est un axe de croissance majeurs dans la
ville,
le boulevard articule entre deux moments de la ville:

le rond point
le square pasteur d’aamriw
Pour l’analyse de ce boulevard on la devisé en trois tronçon:

Rond point Aamriw Rond point Dawaji Bloc administratif square


Premier tronçon:

Bloc administratif
square

Dimension:
d’une largeur de 20m, de
circulation a double sens.

Activités: le RDC est consacré a l’urbain(commerce)cela concerne juste l’une des deux
Intersection avec une rue

parois:
L’implantation de quelques équipements (siège de wilaya)L’autre
paroi par contre est désertée de la population, chose qui est due
à un alignement réduit aux clôtures des équipements projetés (le
commissariat, la prison, la gendarmerie).

alignement des façades


Le non respect des hauteur des gabarits , ce qui
crée un déséquilibre

Présence d’alignement ,avec le RDC affecté a


l’urbain (commerce)
Deuxième tronçon:
Bloc administratif

Rond point d'Awaji

Dimension: d’une largeur de


20m, de circulation a double
sens

Activités: ce tronçon ne connais presque aucune activités et dynamique sauf la présence de


quelques commerces dans le RDC de certaine construction.
parois :on trouve plusieurs immeubles
administratif sur ce tronçon d’un coté de
l’une des parois et de l'autre coté on trouve
des espace non définie .

L’une des deux parois se présente en poche


délaissé et non aménagé, c’est sensé
être une place mais elle assure pas ca fonction.

Le paysage urbain de l’une


des parois de résume a des
immeuble administratif.
Ce tronçon souffre d’un manque
important d’ activités pour avoir
une certaine attraction
Troisième tronçon:
Rond point d'Awaji

Rond point aamriw

Dimension: d’une
largeur de 20m, de
circulation a double
sens.

- Activités: le RDC est consacré a l’urbain(commerce)


parois :

Présence de quelques équipements:

Résidentielles Educatif
Administratif
Les ruelles
1. La rue FATIMA

La genèse:
Réalisée sur l’ancienne route turque, Cette rue
assurait l’articulation entre le quartier Français
et le quartier autochtone (Bâb Louz)

Sa position dans la trame urbaine:


la rue Fatima articule deux moments forts
de la ville ; la place Arsenal et la place
Sidi Soufi.
Dimension:
La rue permit la circulation mécanique et piétonne à la fois avec une largeur de 9 m.
parois:
Ses parois sont hétérogènes et continues

Les paroi Est sont à caractère résidentiel de gabarit moyen de R+3


activités:

2/3 de la paroi Ouest de cette rue sont


les RDC est affectés a définis par la façade Arsenal ( actuel lycée
l’urbain(activités Ibn Sina) de caractère monumental et par
commerciales) le traitement architectonique fabuleux de
sa façade.
2. La rue TREZEL haute

la genèse:
Cette rue est superposée sur un ancien
tracé turque, un axe structurant de la
ville.
Sa position dans la trame urbaine:
elle articule des moments forts de la ville ;
la place de l’arsenal, la place Gueydon, et
la place Lumumba.
dimension:
La rue est rendue piétonne vu le flux important de la population qui la fréquente. Elle
débouche sur des points spacieux et lumineux,

Coupe sur la rue

Elle est mise en valeur par le remembrement


parois:
Ses parois présentent une
continuité et un alignement
le long de la voie.

Les gabarits de ses façades sont de R+2 à R+3, elles sont


ordonnancées suivant les parcelles qu’elles occupent.

activités:
le RDC des bâtiments qui la bordent sont tous
affectés a l’urbain (activités commerciales)
(Exemple de la non ville(couloir de circulation)
voie KRIM BELKACEM
C’est un axe qui prend naissance du rond point d’Aamriou
et aboutit au seuil de la ville ,(Bir Slem)

Il permet l’articulation entre les différentes entités de la


ville : ( le quartier Aamriou, la zone industrielle ,la ZHUN
d’Ihaddaden, le quartier Ighil Ouazoug)

Il articule aussi entre le prolongement les deux


boulevards centraux ; la Soummam et Liberté.

Pour l’analyse de ce boulevard on la devisé en trois tronçon:


Rond point Aamriw
Porte de la ville

Oued SEGHIR

Oued SEGHIR

Porte de la ville du
coté Bir slem
Premier tronçon
Rond point AAMRIW
Oued SEGHIR
Porte de la ville

dimension: voie a double sens avec terre pleine centrale et d’une largeur de 15m

parois:
La maison de la culture et du parc Imezzaine constituent l une des parois.
les construction qui bordent ce boulevard ont un gabarit de R+2 a R+8.
Les parois ne sont pas bien définie vue le manque d'alignement et la présence du mur
de clôture du parc.
La grande surface du lac qui se présente
avec un mur de clôture du coté du boulevard
Krim belkacem est un espace a réhabiliter et a
redéfinir .

la maison de la culture peut offrir une


certaine dynamique au boulevard Krim
belkacem .

Absence d’alignement et disproportion du


gabarie.

Entré de la ville du coté de Tizi ouezou, ce


moment fort doit être marqué et matérialisé.
Oued Seghir qui est délaissé sans entretien, il nuit
au paysage urbain alors qu'il peu être un élément de
la composition urbaine assez important ( l’espace
bleu).

Présence des galerie qui assure la hiérarchie


de la voie a la construction, avec le RDC
affecté a l’urbain(activités commerciale).

Activité:
le RDC est affecté a l’urbain(activité commerciale) avec des activité culturel (maison de
la culture et parc).
Deuxième tronçon
Oued SEGHIR Oued SEGHIR

Dimension: voie a double sens avec terre pleine centrale d’une largeur de 15m.

Parois:
 présence de construction d’un gabarit qui varie de R+2 a R+11 .
absence d'alignement et présence d’espace non définie avec des mur de clôture des
hangars industriel.
Présence des galerie qui assure la hiérarchie
de la voie a la construction, avec le RDC
Affecté a l’urbain(activités commerciale)

Espace non définie et non aménagé

Déséquilibre entre les gabaries R+1 et


R+11,présence d’un mur de clôture
Des hangar industriel ce qui laisse le
boulevard krim belkacem avec des parois non
définie.
Les moments fort (intersection des voie) ne
sont matérialisé et mi en valeur

Oued SEGHIR

Activité:
Une partie du boulevard le RDC est affecté a l’urbain(activités commerciales) ,et
l’autre est caractérisée par la présence des hangars et quelque banques
Troisième tronçon
Oued SEGHIR Porte de la ville du coté
BIR SELEM

Dimension: voie a double sens avec terre pleine centrale d’une largeur de 15m.

Parois:
parois non homogènes avec absence d'alignement .
présence de ZHUN ,les construction varie de R+2 a R+6 avec plusieurs équipements
éducatifs.
Présence de plusieurs mur de clôtures.
Les ZHUN occupe une partie de la parois du
boulevard avec absence de hiérarchie et elle n’offre
aucune dynamique au boulevard.

Les moments fort(intersection des voie)ne


sont matérialisé et mi en valeur.

Dans cératines séquences du boulevard les parois


se présente comme étant juste un mur de clôture.
Présence de discontinuité dans les parois
urbaine du boulevard avec absence
d’alignement .
Présence de poche libre(espace non définie et
non aménagé).

Entrée de la ville qui nécessite un traitement


spécial mais on remarque que c’est négligé.

Activités:
le RDC est dédié a l’urbain (activités commerciale) mais d’une façon discontinue
Présence d’équipements éducatifs.
 Les deux seuil de la ville ne sont pas matérialisé
 Les moments forts(intersection du boulevard avec des oued et avec
d’autres
 voies ne sont pas mi en valeur ,non plus matérialisé
 Les parois du boulevard ne sont pas définie avec absence d’alignement
et de mitoyenneté
conclusion
 La rue est un élément morphologique qui favorise l’échange et la communication
sociale.
 Une rue se caractérise par sa position dans la trame urbaine, ses dimensions, ses
parois, les activités qu’elle abrite, et les moments qu’elle articule.
 La rue s’adapte a à la structure portante du sol.
 Elle est séquencée par des moments forts(places ou équipement importants).
 La mise en valeur de la rue par le morcèlement des ilot qui définisse ces parois.
 l’alignement et la mitoyenneté sont deux éléments important qui favorise la
définition des parois des rue.
 les arcades et la végétation renforcent l’alignement et assure nt la hiérarchie de la
rue à la construction.
B/ Les places

 A l’échelle de la ville
○ La place de l’arsenal
○ La place Gueydon
 A l’échelle du quartier
○ La place Bouchaffa
 A l’échelle de l’équipement
○ La place Lumumba
○ La place Sidi Soufi
○ La place de La marine
Schéma de structure des places
A l’échelle de la ville
1. Place de l’arsenal
L’actuelle Medjahed Cherif et l’ex Fatima

La genèse :
Cette place est superposée sur l’ancienne place
du marché (Fatima), et redessinée par le génie
militaire.

Sa position dans la trame urbaine:


Elle représente un lieu à choix directionnel,
en étant le noyau de l’une des mailles en
étoile.
Dimension et forme :
Elle est de forme irrégulière déterminée par le
tracé des vois
Parois et activités:

Commerces

projection d’équipements à
l’échelle de la ville, ainsi que
l’ensemble des habitations
dont les RDC sont dédiés à
l’urbain.
2. La place de Gueydon
(actuelle 1er novembre)

La genèse:
C’est le résultat du
découpage du génie
militaire .Elle se situe
sur un talus de prés de
20m de dénivelée,
récupérée par un édifice
intégré en R+4.

sa position dans la trame urbaine:


absorber les directions que la place de
l’église n’arrivait pas à prendre en
charge. Elle constitue un balcon sur la
mer .
Dimension et forme:
Elle est de forme géométrique trapézoïdale et
implantée d’un ensemble d’arbres.
Les parois :
La place est bordée par trois parois, avec des galeries qui renforcent son
ouverture à l’urbain

galeries

couronnements
corps
soubassements
Les activités:
elle abrite un ensemble d’activités qui sont à l’échelle de la ville (un hôtel et une
banque), qui renforcent son vécu.

Equipements a l’échelle de Rez de chaussée affecté a


la ville l’urbain

La place se présente sous forme


d’un balcon, offre une vue sur Traitement monumentale
la mer et le port des parois
Cette espace public dynamique (arsenal ) ou statique (la place gueydon)
est mis en valeur par :
 la monumentalité et la richesse architecturale des ses parois,
Projection d’équipements a l’échelle de la ville
 la présence d’une galerie afin d’étendre l’espace public,
et l’introduction de l’élément végétal par l’implantation des palmiers et
des arbres.
tous ça lui confère le statue de place a l’échelle de la ville
A l’échelle du quartier
La place BOUCHAFFA

La genèse:
supposée être l’ancien forum
romain C’est l’aboutissement du
boulevard Clemenceau (actuel
Bouaouina) et la fin de la rue Trézel
basse (actuelle Ben M’hidi).

De par sa position dans la trame urbaine, elle


constitue une séquence sur le boulevard
Clemenceau et offre une large ouverture pour
la ville sur la mer.
La forme:
Elle est caractérisée par une séquence qui est l’accident topographique
marqué par l’ancien square des cinq fontaines.
Parois et activités:

les RDC des parois sont affectés aux activités


qui ne contribuent pas à son vécu, ce qui a fait
que son caractère est réduit à une aire de
stationnement.

La place constitue une large ouverture


pour la ville sur la mer.
A l’échelle de l’équipement
1. La place Lumumba

La genèse:
elle fut dessinée par les ingénieurs du génie
militaire pour la mise en valeur du centre
spirituel, qui est l’église de saint joseph.

sa position dans la trame urbaine:


la place comme moment d’articulation dans le
tissu urbain et d’aboutissement des voies les
plus importantes dans la ville .
La forme et dimension:
La place de forme rectangulaire
allongée, est déduite par la trame
orthogonale. Elle occupe tout un
îlot de dimensions 50m sur
100m.

Le relief détermine la
forme de la place.
Parois et activités:

« Façade sur la place »


Manque d’activités afin d’accentuer la
La place renforce la dominance et la
notion de rencontre et de dynamique
monumentalité de la mosquée
La place de la marine

Genèse:
Elle fut définie par l’intersection
de deux axes importants, l’axe du
front de mer et l’axe du boulevard
Clémenceau

Sa position dans la trame urbaine:


elle matérialise le début du parcours du
boulevard Clémenceau, et représente
ainsi un moment fort d’articulation entre
les différentes entités
Forme et dimension:

c’est une place nucléaire décomposé en 2 parties . La place de la sous-préfecture


s’inscrit dans un rectangle de dimensions ; 50m sur100m et la place du cyme ibn toumert
occupe un rectangle de dimension 50 m sur 65m.
Parois et activités:

Elle fut renforcée par une fonction


symbolique ; la projection d’un équipement à
de gabarit moyen R+4, qui est la sous-
préfecture d’une architecture monumentale, et
aussi d’un cyme constituant ainsi la paroi nord
de la place.

Equipement a l’échelle de la ville

Elle présente un balcon sur la mer La place est fréquentée


seulement par les écoliers
2. La place sidi soufi

La genèse:
Elle se situait dans l’ancien noyau,
comme un seuil de la ville intra-muros
forme et dimension:
Elle a une forme rectangulaire de dimensions ; 30m sur 27m
parois et activités:

Son vécu est renforcé par la mosquée sidi soufi,

Les parois sont biens définies et dotées de


portiques avec la présence d’une galerie La végétation et un élément de
commerciale. composition dans la forme de la
place
Conclusion:
La place est le second élément de
communication sociale après la rue
La place est un lieu publique ou convergent et
divergent plusieurs voies
Elle se définie par sa position dans la trame
urbaine, sa forme, ses dimensions, ses activités
et ses parois.
C’est un moment statique qui permet le choix
directionnel
La structure et le rythme des places
permettent la structuration de la ville
L’ilot et la parcelle
I. Entité prés coloniale:
Houma Karaman.

II. Entité coloniale.


Ilot Trézel.
Quartier sidi seddik .
Quartier Amimoune.

III. Entité post coloniale.


ZHUN Ihadaden
lotissement Ighil Ouazoug
conclusion
Objectif:

Etude des éléments morphologique du tissu urbain a savoir : l’ilot et la


parcelle.
Déceler les concepts pour la gestion de la croissance urbaine.
Entité prés coloniale:
Houma Karaman:

1) Genèse: Il appartient au tissu de la


médina turque, possédant une structure
qui est définie par une hiérarchie de
parcours .
Rue Belhocine
Rue des frères
Ghoul

Rue touati mouloud

Rue Touati Allaoua

Rue touati fateh

1) Situation:

 Il se situe sur la déclivité du contre fort moussal, il est d’une pente assez abrupte, divisé en deux, par
le parcours matrice qui est la continuité du parcours territorial.
Façade nord

Alignemen
t sur la
voie
principale

Le parcoure
matrice

Impasses
entre ilots

Façade sud Façade est


Respect de
l’alignement

L’ilot Karaman se présente


sous forme de deux parties : un
intérieur irrégulier et extérieur
avec une réorganisation des parois
pour effectuer un alignement sur
les rues.

Ruelles: de la rue a
Hiérarchie de l’ l’intérieure d’ilot.
extérieur à l’ intérieur Escalier urbain
de l’ilot
Impasses
L’étage : il est affecté au logement, Prise en
récupère la dénivelée du terrain. Il considération de la
est accessible depuis le palier
d’escalier de desserte à l’intérieur topographie du site
de l’îlot, suivant une hiérarchie :
La parcelle a une position
Sa position: dans l’îlot, qui détermine son
degré d’ouverture ou de
fermeture

Elle est à l’angle, ce qui lui


confère une double
possibilité d’échange avec
l’extérieur.
1872

Elle est entourée de trois


parcelles, ce qui lui donne une
seule façade et un seul coté
pour l’accès et de façon
générale un seul coté pour
actuelle l’échange avec l’extérieur.
Les façades:

Le respect de
certains gabaries

R+1

Intégration
a la pente

R+1
Entité colonial
I. Ilot Trézel:

1. Genèse: c’est le résultat du nouveau tracé urbain


du génie militaire français en 1854.
2. Situation:

Rue saint joseph Place Lumumba

Plan cadastral 1871

Rue Trézel haute


Rue Dufour
11m – 20m
3. Dimensions:

8à 13m

Plan cadastral 1871


Remembrement des parcelles
Mise en valeur de l’espace publique
4. Activités:

Les rez-de-chaussée des bâtisses


de l’îlot sont dédiés à la ville. On
constate plus d’activités sur la rue
Trézel haute, chose qui nous définit
l’importance de cette rue.
Façades de l’ilot:

Gabarit:
R+1
à R+3

Façades en dégradée
pour s’intégrée aux
site
Quartier sidi seddik .
1. Genèse : Le quartier Sidi Seddik se situe sur la plaine est décomposé
en plusieurs îlots qui se superposent sur le tracé du parcellaire agricole
déjà existant.

Rue des frères avenue Larbi Touati


Chikirou

la rue de Sétif (actuelle


Ben boulaid ) rue Ahmed Ougana
Evolution du bâti dans l’îlot

l’urbanisation
se fait de
l’extérieur vers
l’intérieur.

 L’îlot est de forme carrée (50x50m), son découpage parcellaire est fait suivant une
trame régulière de 1/3 de 50m.

L’accès se fait selon une hiérarchie de l’ extérieur vers l’ intérieur.


Le RDC est affecté à l’urbain.
Le respect de
certains gabaries

Les Rez de chaussée des immeubles


sont affectés à l’urbain.

Gabarit de R+1 a
R+3 alignée sur Le respect de
la rue. l’alignement
Alignement et
ornementation des façades
Conclusion de l’entité coloniale:
D’après l’analyse des différents ilots et parcelles des entités
coloniales on a déceler les concepts suivants:
 Mitoyenneté des bâtis.
 Intégration au site.
 Alignement des bâtiments sur la voie .
 La Hiérarchie de l’exterieure a l’intérieure (rue-ruelle-
impasse-cour) et du publique aux privée.
 Le respect de certain gabarits.
 Orientation et dimension des parcelles selon leurs
position dans la trame urbaine .
III. La cité Ammimoun :

genèse: la projection de
l’ensemble urbain (barres), en
s’appuyant sur les principes de la
charte d’Athènes (plan de
Constantine)

La cité est délimitée par :


- la rue Gouraya à l’Est.
- le quartier Sidi Soufi au Sud.
- le cimetière Musulman à
l’Ouest.
• Elle est composée de plusieurs barres, organisées de deux façons :

- organisation linéaire : cas des


barres de R+8 construites sur les
traces du rempart Ouest détruit,
- organisation autour d’une cour elles sont caractérisées par leurs
intérieure. toitures en tuile.
la façade: Module de base
R+5

l’accès aux logt n’est


pas mis en valeur

ouvertures sont à
dimensions rationnelles,

La composition géométrique de la façade, se


fait par la répétition du même module.

On constate l’existence de commerces de


proximité au niveau des RDC des barres.
La distribution au niveau de ces HLM s’effectue soit :
Rue hall escalier logement
Ou
Rue hall escalier coursive logement

Exemple d’un logement


desservi par une coursive:
 Dans le cas de cette cité, on note l’absence de l’îlot, la disparition de
la parcelle et l’éclatement du tissu urbain.
Entité post colonial
LES ZHUN
 le zoning est répercuté sur l’aménagement du périmètre urbain de
Bejaia en le répartissant en plusieurs zones monofonctionnelles tel
que :
- la zone industrielle,
- le pôle universitaire,
-le parc omnisport,
-les lotissements et les ZHUN.

 Cette politique (zoning) a engendré plusieurs directions de croissance,


le long des axes importants qui deviennent des simples artères de
liaison.
LA ZHUN DE IHEDDADEN
1) situation:
LA ZHUN DE IHEDDADEN

le oued Serir La zone


industrielle

la rue des Aures du Ouest à l’Est.


2) la genèse

était un ancien terrain d’exploitation agricole.

La ZHUN est constituée de quatre entités qui sont


délimitées par des éléments naturels (canal Oued
Seghir et oued Ihadaden) et par des anciens chemins
d’exploitation agricole à l’instar des actuels :
boulevard K'rim Belkacem, la route des Aurès et son
prolongement et la rue Chouhada Kabli.
La ZUHN est constituée de quatre entités

cité Aban Ramdane


(1000 logement).

-cité frères Setari


(300+200 -cité frères
logements). Boudjemaa

-cité frère Boucherba


(600 logements ).
Exemple: Cité Abane Ramdane

(1000 logement)
L’ ensemble:
 L’ensemble est composé
de 12 ilots avec une
densité de 83
logements/Ha.
La perte de la signification de la rue

Absence de la
mitoyenneté
le respect des
gabarie

Absence du découpage
parcellaire et des repères

Perte de l’alignement et
de la hiérarchie
Absence des places publique est
les jardins et les espace de loisir.

Les RDC ne sont pas affecté à


l’urbain
Le bloque est sous forme d’ un plan
type
Façades:
La façade est le Résultat du
plan(superposition Du plan
type)l’absence de la tripartie au
Niveau de la Composantes

Le
coure

L’absence de l’ intégration
au site
Les lotissements:
Exemple:
Lotissements du quartier Ighil
Ouazoug
Situation:
 Il se situe au sud-Ouest du noyau
historique

 délimité par ; la route des Aurès et Oued Seghir au


nord
 le boulevard K’rim Belkacem à l’Ouest e
 au sud, à l’Est par la RN 12.
Genèses
 Ancien terrain d’exploitation agricole
Ce quartier est entièrement bâti sous l’initiative privée.
Ca projection est dans le but de remédier ou problèmes engendrer par la politique de
zoning.
Les constructions de ce lotissement sont tolérées au début que pour ne pas aggraver la
crise de logement.
Ce lotissement est constitué d’une succession
de parcelles le long des voies de dessert.

 Absence de l’hiérarchie ( on distingue pas entre


l’espace publique ,semis publique ,prévis )

 Utilisation irrationnel de l’espace


urbain
 Tentative de renouer
avec l’alignement et la
mitoyenneté dans ce
lotissements afin de
retrouver la vrais image
du lotissement .

 Les RDC de ces constructions sont


affectés aux commerces de proximité

 Constructions
inachevées
 Absence de la tripartie des
façades

 Absence d’un caché


architectural bien déterminé
 Malgré la tentative de renouer avec quelque règle d’organisation d’un
lotissement, reste que ce lotissement présente encoure aujourd’hui une
incohérence formelles et spatiales dans la ville de Bejaia.
 La négation des règles principales de l’ organisation urbaine :
Négation de la structure portante du sol (sentiers d’agriculture)
Négation de l’alignement
Négation de la mitoyenneté
Absence de l’hiérarchisation (extérieur intérieur)
Bloques parachutés anarchiquement.
Pas de rapport entre le bâtiment (équipement) et son site (dans la trame urbaine).

 Qui a engendré la perte du concept


de l ilot et la parcelle .
 L’apparition du concept des barres
dans la ville .
(de l ’ilot a la barre)
Concepts opératoires
décelés
La place et la rue sont deux
éléments de communication
sociale qui structure l’espace
urbain, leur position est dictée
par le relief.

L’ilot et la parcelle sont deux


éléments de gestion de la
croissance urbaine

La parcelle est une unités de


division de l’espace urbain et
marque le passage de
l’urbanisme à l’architecture
Schéma de structure existant
 Un noyau historique , avec
ses deux extensions sur la
plaine.

 Une ville qui s’est développé le


long de la combinaison des Noyau Historique
boulevards, K.Belkacem et celui
de la liberté .
Pole Universitaire I

Une zone industrielle située


Port
entre deux éléments naturels :
Oued Srir et Oued Sghir. Divisant
la ville en deux entités urbaines

Une zone industrialo portuaire


faisant office de véritable barrière
à la mer, empêchant ainsi les
habitants de la ville de jouir
Aéroport
pleinement de celle-ci.

 Un aéroport, qui fait office


Caserne
actuellement de frein à une
Pole Universitaire II
croissance de la ville.
Franchissement des limites établies :
Constructions illicites sur le domaine des forets : Apparition de poches d’habitat individuel
au sein du domaine des forets.

Domaine des forets


Déplacement des seuils de la ville :
 Déplacement des seuils de la ville aux deux extrémités du nouvel échangeur
enjambant la Soummam : au niveau de la limite territoriale de la commune de Bejaia
sur la RN12 et au niveau du nouveau campus d’ Aboudaou sur la RN09.

Ancien seuil sur la RN12

Ancien seuil sur la RN9


 Zone industriel

En bleu les parcelles industrielles reconverties en promotions immobilières privées. Un


processus enclenché et en phase de continuation jusqu’à délocalisation totale de la friche
industrielle
 -Vu l’état actuel de la ville de Bejaia nous constatons que la ville ne
fonctionne pas comme un ensemble qui se compose et se décompose en
même temps et dont la politique du zoning fait de l’espace urbain un
ensemble de fragments sans articulation
 -négation avec la structure portante du sol
 -les moments forts(intersection des rue) ne sont pas matérialisé
 -les places sont casé inexistantes
Schéma structurant proposer
Grandes actions ajoutées:

 Aménagement des berges de la Soummam par la réalisation de


voies de ponts et de digues
 Le Transport Aérien
 Tramway
 Pipe-line et Gazoduc
 Port de plaisance:
 Les téléphériques
 Gare maritime
 En matière d’équipements
Aménagement des berges de la Soummam
•Le premier au niveau de la caserne
des pompiers dans la même
continuité que le boulevard Oued
Sghir (proposé), pour rejoindre la
résidence universitaire d’Irayahen.
(liaison directe entre le campus de
Targa Ouzemmour à la résidence
universitaire d’Irayahen).

•Le deuxième au niveau de Bir Slam


dans la continuité du boulevard
Krim Belkacem pour rejoindre la
nouvelle zone d’habitat d’Irayahen.

 Deux axes de circulation le long des berges.


 Un grand parc récréatif.

 aménagement des berges de la


Soummam.
Le Transport Aérien :
 Allonger la piste suffisamment pour accueillir les gros porteurs.
 Modernisation et agrandissement du terminal existant
Tramway :

- Ligne de Tramway
reliant campus de Targa
Ouzemour au campus
d’Aboudaou .

ligne reprenant le tracé


du boulevard de la
Liberté, Boulevard
Krim Belkacem (prison
- Bir Slam).
Pipe-line et Gazoduc :
 Déplacement des conduites à haute pression en dehors de la zone urbaine, le long de
la rive gauche de l’Oued Soummam et de la Méditerranée.
 Délocalisation du port pétrolier vers une station flottante au large de la baie.
LES TELEPHERIQUES
Le téléphérique Lekhmis-Gouraya

 La délocalisation de la prison de Lekhmis, vers le pénitencier


de Oued Ghir , et la désaffection du groupement de
gendarmerie, permettront la libération d’un grand espace
urbain et la création d’une place publique à l’échelle de la
ville.
 Cette place, constituera un moment de jonction entre le
Boulevard Amirouche et le Boulevard de la Liberté et par
conséquent elle va atténuer la rupture typo-morphologique
entre les deux axes.
 Le téléphérique Lekhmis-Gouraya prendra naissance à partir
de cette esplanade, pour desservir le boulevard de ceinture de
Sidi M’hand Amokrane et les quartiers hauts (Sidi Ouali) avant
de continuer vers le complexe touristique du Gouraya (plateau
du Gouraya, Fort du Gouraya, Pic des singes…)
Le téléphérique Brise de mer-Gouraya
 La réalisation d’une grande esplanade au
niveau de la Brise de mer, qui permettra de
combler le manque en matière d’espaces
publics.
 Cette esplanade dédiée au mouvement et au
loisir, sera aussi l’occasion de relier La mer
et la montagne par la réalisation d’un
téléphérique qui va desservir sur son
passage les quartiers Mangin et Sidi Bouali.

Le téléphérique Iheddaden -Tizi


 l'aménager d’une place publique a L’intersection du
boulevard Krim Belkacem et la route des Aurès, au
niveau du carrefour des 600 logements d’Iheddaden
qui est un moment urbain fort à l’échelle de la ville.
 Cette place servira de plate forme pour le départ du
téléphérique Iheddaden-Tizi.
 Cela permettra de désenclaver tous les quartiers
hauts de cette zone.
EN MATIERE D’EQUIPEMENTS :

 Palais des expositions


 Palais de la culture
 Palais des congres
 Centre d’enfouissement technique
 Ecole d’architecture.
 Instituts de formation en banque
 Institut de formation en commerce international
 CHU
 Parc d’attraction
 Parc de loisir scientifique (Futuroscope)
 Ecole d’art
 Théâtres.
 Marina
Problématique spécifique:
Parmi les manques décelés dans la ville de Bejaia, la non
mise en valeur des axes importants dans la structure urbaine,
dont on site le boulevard K’rim Belkacem. Cette sous-
estimation a fait de ce dernier un simple couloir de
circulation sans aucune autre signification.

Comment remettre en valeur cet axe majeur dans la ville et


lui donner le vrais sens d’un boulevard ?
Bibliographie
*Albert Lévy in « Plan d’architecture de la ville ». Ed CULVA Venise 1989.
*Alberto Zucchelli : « Introduction à l’urbanisme opérationnel et à la composition urbaine ».
Office des publications universitaires (OPU). 1984, volume 4.
*Charle ferand « Bougie : étude historique partielle ».édition constantine1869
*Charle ferand « histoire des villes de la province de Constantine ».edition : Constantine
typographie et lithographie l.arnolet 1869.
*Claire et Michel Duplay « Méthode illustrée de création architecturale » Ed Moniteur Paris
1981.
*Kheladi Mokhtar in « urbanisme et systèmes sociaux » Ed OPU Alger 1993.
* Leonardo Benevolo « histoire de la ville », edi : Parenthèses 1983
* Malverti X, Picard A « la ville régulière -modèles et tracés », edi : Picard 1997
*Marc Cote « l’espace Algérien », edi : OPU Alger 1983
*Philip Panerai, Castex J, Depaule J-C « forme urbaine : de l’îlot à la barre », edi : dunob/
parenthèses 1977-1997
Thannmirth
MERCI POUR VOTRE e
ATTENTION

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