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partie 2-1

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Partie 2 : Combustion

Limites d’inflammabilité 1/3

Les limites d’inflammabilité ou (d’explosivité) d’un gaz ou


d’une vapeur Combustibles sont les concentrations limites du
Gaz (dans l’air) qui permettent que celui-ci s’enflamme
et explose.

L’intervalle d’explosivité est caractérisé par la limite inférieure


d’explosivité (LIE) et la limite supérieure d’explosivité(LSE).

Sous la LIE le mélange est trop pauvre en combustible pour


amorcer une réaction. Au-dessus de la LSE c’est le comburant
qui manque.
Limites d’inflammabilité 2/3
Limite inférieure Limite
d’inflammabilité supérieure
Zone d’explosion d’inflammabilité
Lii Lsi
0% combustible 100 %

N>1 N<1

inflammation
100 % comburant 0%
possible

Inflammation Inflammation
impossible impossible
Mélange trop Mélange trop
pauvre riche
Point d’éclair 1/2
Le point d’éclair est la température la plus basse à laquelle un
combustible liquide, sous une pression absolue de 1013 hPa, émet
suffisamment de vapeurs inflammables pour que celles-ci s’enflamment
au contact d’une flamme existante, mais insuffisamment pour que la
combustion amorcée puisse se poursuivre d’elle-même si cette flamme
est supprimée.
Chaque combustible liquide a son propre point d’éclair aussi appelé
« point éclair » ou « point d’inflammabilité » ou « flash point » qui donnera,
entre autres, les limites hautes de températures de stockage, de transport
et de manipulation.
Combustible Valeurs moyennes
Essence - 16……….+ 10 °C
Pétrole 20……….…60 °C
Fioul domestique 70………...120 °C
Fioul lourd 120…….....140 °C
Point d’éclair 2/2

La réglementation répartit les combustibles liquides en quatre classes en


fonction de leur point d’éclair:

Point d’éclair
Liquides particulièrement inflammables < 0 °C
Liquides inflammables de la 1re catégorie 0….55 °C
Liquides inflammables de la 2ème catégorie 55...100 °C
Liquides peu inflammables > 100 °C
Point d’inflammation

Le point d’inflammation est la température la plus basse à laquelle un


combustible liquide doit être porté pour qu’après inflammation, la
combustion amorcée puisse se poursuivre d’elle-même par réaction en
chaîne.
Chaque combustible liquide a son propre point d’inflammation aussi
appelé « point de combustion » ou « point de feu » qui est environ de 20
K supérieur au point d’éclair.
Température d’auto-inflammation
1/2

La température d’auto-inflammation, aussi appelée « température


d’ignition » ou « point d’inflammation spontané » est la température la plus
basse à laquelle un mélange gazeux compris dans les limites
d’inflammabilité peut s’enflammer spontanément même en l’absence
d’une source d’allumage.
Il n’est pas nécessaire d’activer la totalité du mélange pour le faire brûler.
L’inflammation d’une partie du mélange libère une énergie suffisante pour
activer le solde.
Cette température détermine le moyen « d’allumage » du mélange
(résistance, arc électrique, bougie, simple compression…)
Température d’auto-inflammation
2/2
Allumettes 170 °C
Bois 200…300 °C
Charbon de bois 300…425 °C
Fioul lourd 340 °C
Fioul domestique 360 °C
Essence 350…520 °C
Butane 430 °C
Ancien « gaz de ville » 450 °C
Propane 500 °C
Suie 500…600 °C
Gaz naturel 650 °C
Pouvoir calorifique 1/4
La quantité de chaleur libérée lors de la combustion complète d’un
matériau est appelée « chaleur de combustion » (kJ/kg ou kJ/m 3(n)).
Pour les matériaux combustibles qui contiennent de l’hydrogène et par
conséquent pour lesquels on retrouve de la vapeur d’eau dans les
produits de combustion, on distingue le « pouvoir calorifique supérieur »
et le « pouvoir calorifique inférieur » suivant que l’on prend en compte ou
non la chaleur de vaporisation de l’eau des fumées.

Le pouvoir calorifique est dit supérieur (abrégé : PCS) quand l’eau qui
résulte de la combustion du gaz hydrogène et des hydrocarbures est
supposée ramenée à l’état liquide dans les produits de combustion.
Le pouvoir calorifique est dit inférieur (abrégé : PCI) quand l’eau qui
résulte de la combustion du gaz hydrogène et des hydrocarbures est
supposée à l’état vapeur dans les produits de combustion.
Pouvoir calorifique 2/4
La détermination des pouvoirs calorifiques des combustibles solides et
liquides ne peut se faire avec précision qu’à partir de mesures
calorimétriques.
L’estimation du pouvoir calorifique inférieur peut se calculer à partir de
formules empiriques si l’on connaît la composition pondérale du
combustible.
PCI (MJ/kg) = 34,8 c + 93,9 h + 10,5 s + 6,3 n – 10,8 o – 2,5 w
(c, h, s, n, o et w sont respectivement les teneurs en kg/kg de carbone,
hydrogène, soufre, azote, oxygène et eau du combustible solide ou liquide
considéré.)

Dans les applications thermiques de notre secteur, on ne connaît jamais


la composition exacte du combustible utilisé.
Dans la pratique, on utilise la plupart du temps les valeurs PCI et PCS
données directement par les distributeurs de combustibles ou les valeurs
moyennes données dans les tableaux suivants.
Pouvoir calorifique 3/4

Nature du gaz PCI PCS


Lacq 10,2 kWh/m3(n) 11,3 kWh/m3(n)
Algérie (Fos) 10,6 kWh/m3(n) 11,8 kWh/m3(n)
Algérie (Montoir) 11,1 kWh/m3(n) 12,3 kWh/m3(n)
Mer du Nord 10,1 kWh/m3(n) 11,2 kWh/m3(n)
Russie 10,1 kWh/m3(n) 11,2 kWh/m3(n)
Groningue 9,1 kWh/m3(n) 10,1 kWh/m3(n)
32,9 kWh/m3(n) 35,6 kWh/m3(n)
Butane commercial
12,7 kWh/kg 13,7 kWh/kg
25,4 kWh/m3(n) 27,5 kWh/m3(n)
Propane commercial
12,8 kWh/kg 13,9 kWh/kg

Ces valeurs sont des valeurs moyennes


Pouvoir calorifique 4/4

Combustible PCI PCS


Fioul domestique 11,9 kWh/kg 12,7 kWh/kg
Fioul lourd (S = 2 %) 11,4 kWh/kg 12 kWh/kg
Fioul lourd (S = 1 %) 11,8 kWh/kg 12,5 kWh/kg

Ces valeurs sont des valeurs moyennes


La combustion

Les éléments entrant en jeu dans la combustion

sont le carbone (C), l’hydrogène (H), le soufre(S).

C  O2  CO2
1
H 2  O2  H 2O
2
S  O2  SO2

Les combustibles sont aussi composés d’éléments


stériles qui n’interviennent pas dans la réaction de
combustion : azote (N2), dioxyde de carbone (CO2)
La combustion

Rappel 1:

Les conditions normales sont pour T=273°K et P=1,013 bar

1 m3 de gaz aux conditions normales s’écrit : 1 Nm3

Rappel 2:

Le volume molaire dans les CN est V0=22,4 litres


La combustion
Rappel 3:

L’air est principalement constitué d’azote (N2), d’oxygène

(O2) et d’une quantité variable de vapeur d’eau.

% en
volume
N2 78,09

O2 20,95
Argon
0,93
(Ar)
CO2 0,03
CO2
0,03
Pour simplifier les calculs, on retient : air : 79% de N2 et 21%
d’O2 en volume.
La combustion
La combustion

Pouvoir comburivore : Quantité d’air nécessaire à la


combustion complète de :
1 kg pour les combustibles solides ou liquides
1 Nm3 pour les combustibles gazeux
Notation : Va Unité : Nm3/kg ou Nm3/Nm3gaz

VO2
Va = 4, 76× VO2 ou Va = Avec VO2  nO2 V0
0, 21

Attention : Certains combustibles contiennent de l’oxygène. Cette


quantité doit être retranchée à la quantité d’O 2 nécessaire.

n O2 no2 (C )  no2 (S )  no2 ( H )  no2 (combustible)


La combustion

Pouvoir fumigène humide : Volume de fumées théorique

ramené aux conditions normales (C.N.) produit par 1 kg

ou 1 Nm3 de combustible

Notation : Vfh Unité : Nm3/kg ou Nm3/Nm3gaz

Vfh = VCO2 + VCO2 combustible  + VSO2 + VH2O + VH2O combustible  + VN2 air  + VN2 combustible 

Avec VCO2 =  n CO2 × V0 Ect….


La combustion

Pouvoir fumigène sec : Volume de fumées théorique sans

la vapeur d’eau ramené aux C.N. produit par 1 kg ou

1 Nm3 de combustible.

Notation : Vfs Unité : Nm3/kg ou Nm3/Nm3gaz

Vfs = VCO2 + VCO2 combustible  + VSO2 + VN2 air  + VN2 combustible 


La combustion

Pouvoir calorifique inférieur : Quantité de chaleur dégagée

par la combustion totale de 1 kg ou 1 Nm3 de combustible,

les fumées étant ramenées à 0°C et Patm (C.N).

Notation : P.C.I. Unité : J/kg ou J/Nm3

Pouvoir calorifique supérieur : Même définition que le P.C.I.

mais la vapeur d’eau contenue dans les fumées étant

liquéfiée. Notation : P.C.S. Unité : J/kg ou J/Nm3

PCS-PCI = mH2O.L L= 2250 kJ/kg


Grandeurs caractéristiques du fioul
86 % de carbone, 13 % d’hydrogène, 0,3 % de
Composition soufre, 0,1 % d’eau, 0,1 % de sédiments et 0,5 % de
résidus divers
VO2 : 2,36 m3/kg, VN2 : 8,76 m3/kg
Composition des fumées Va : 11,12 m3/kg VCO2 : 2,34 m3/kg
pour un kg de fioul Vfs : 10,37 m3/kg, Vfh : 11,95 m3/kg ,
VH2O : 1,46 m3/kg, mH2O : 1,17 kg/kg
CO2 neutre 15,4%
PCI 11,9 kWh /kg
PCS 12,7 kWh/ kg
Densité ≤ 0,88 (0,84 )
Viscosité ≤ 7,5 cSt
Point de trouble ≤ - 9 °C
Point d’éclair 55°C ≤ P.E. ≤ 120°C
Point d’auto-inflammabilité 360 °C
Vitesse du front de flamme 0,35 m/s
Point de rosée Eau : 50°C , acide : 120°C
Composition des gaz
CH4 C2H4 C2H6 C3H6 C3H8 C4H8 C4H10 C5H12 02 N2 CO2
Nature du gaz
anhydride
méthane éthylène éthane propylène propane butylène butane pentane oxygène azote
carbonique

Lacq 97,3 _ 2,1 _ 0,2 _ O,1 _ _ 0,3 _

Algérie
87 _ 9,4 _ 2,6 _ 0,1 _ _ 0,4 _
( Le Havre)

Algérie (Fos) 91,2 _ 6,5 _ 1,1 _ 0,6 _ _ 1 _

Algérie
Gaz naturels 87,1 _ 8,8 _ 2,5 _ 0,2 _ _ 0,8 _
(Montoir)

Mer du Nord 88,6 _ 4,6 _ 1,1 _ 0,8 0,1 _ 3,9 1,4

Russie 92,3 _ 3,2 _ 0,8 _ 0,3 0,1 _ 3 0,4

Groningue 82,9 _ 3,2 _ 0,6 _ 0,2 0,1 _ 12 1

Propane _ 0,5 2 30 65,5 _ 2 _ _ _ _


Gaz de
pétrole et Butane _ 3,2 _ _ 6,1 21,8 68,6 0,3 _ _ _
leurs
mélanges Air propané à
_ 0,2 0,5 8,3 18,2 - 0,5 - 15,2 57,1 _
avec l’air 7,5 kWh/m3(n)
Air Propané à
_ 0,3 1,1 17,2 37,6 -- 1,1 - 9 33,7 _
15,6 kWh/m3(n)
Grandeurs caractéristiques des gaz
gaz naturels
Va Vfh Vfs VH20 mH20 VCO2 C02 max
Nature du gaz
m3 / m3(n) m3 / m3(n) m3 / m3(n) m3 / m3(n) kg / m3(n) m3 / m3(n) %

Lacq 9,9 10,7 8,7 2,03 1,63 1,3 11,8


Algérie
10,7 11,8 9,6 2;16 1,74 1,16 12,1
(Le Havre)
Algérie (Fos) 10,1 11,2 9,1 2,08 1,67 1,09 11,9
Gaz Algérie
naturels 10,6 11,7 9,6 2,15 1,73 2,5 12,1
(Montoir)
Mer du Nord 9,6 10,6 8,7 1,98 1,59 1,1 12

Russie 9,6 10,7 8,7 2 1,6 0,8 11,9

Groningue 8,7 9,7 7,9 1,8 1,44 0,6 11,8


Grandeurs caractéristiques des gaz
gaz de pétrole

C02
Va Vfh Vfs VH20 mH20 VCO2
max
Nature du gaz
m3 / m3(n) m3 / m3(n) m3 / m3(n) m3 / m3(n) kg / m3(n) m3 / m3(n) %

Propane 23,5 25,4 2 3,77 3,03 65,5 14,1

Butane 30,7 33,1 _ 4,82 3,87 6,1 14,3


Gaz de
pétrole et Air propané à
5,7 6,9 0,5 1,03 0,82 18,2 14,1
leurs 7,5 kWh/m3(n)
mélanges
avec l’air Air propané à
12,9 14,4 1,1 2,14 1,72 37,6 14,1
15,6 kWh/m3(n)

Air butané à
5,5 6,8 1,1 0,99 0,79 37,6 14,3
7,3 kWh/m3(n)
Grandeurs caractéristiques des gaz

mv densité LI LS
Nature du gaz
kg/m3 _ % %

Lacq 0,74 0,74 5,1 14

Algérie
0,82 0,64 4,7 13,8
(Le Havre)

Algérie (Fos) 0,78 0,60 4,9 13,9

Gaz naturels Algérie


0,78 0,64 4,7 13,8
(Montoir)

Mer du Nord 0,81 0,62 5,2 13,9

Russie 0,78 0,60 5,2 14,3

Groningue 0,83 0,65 5,7 15,6


La combustion

Divers modes de combustion

Stœchiométrique : complète sans excès d’air


Oxydante : complète en excès d’air
Réductrice : incomplète en défaut d’air
Mi-oxydante : incomplète en excès d’air
Mi-réductrice : incomplète en défaut d’air avec
présence d’oxygène dans les fumées
Oxydo-réductrice : incomplète sans excès ni défaut d’air
La combustion

Facteur d’air : Le facteur d’air, ou taux d’aération ( N ), est

le rapport du volume d’air réellement utilisé ( R ) sur

le volume d’air théorique ( Va ).

Excès d’air : l’excès d’air ( Ea ), est le rapport du volume

d’excès d’air ( Vea ) sur le volume d’air théorique ( Va ).


La combustion
Calcul de l’excès d’air réel existant sur le procédé

Le taux réels d’excès d’air devraient être comparés aux


taux recommandés.

La méthode la plus précise pour déterminer le pourcentage


réel d’excès d’air est l’analyse des gaz de combustion qui
s’échappent de la chaudière.

On utilise souvent un analyseur en continu d’O 2 ou de CO2


pour identifier indirectement l’excès d’air
La combustion
Calcul de l’excès d’air réel existant sur le procédé

Pour le gaz naturel, le mazout


ou le charbon, on peut
déterminer le pourcentage
d’excès d’air à partir de la figure
suivante, pourvu
qu’il n’y ait pas de CO..
La combustion
Calcul de l’excès d’air réel existant sur le procédé

on peut déterminer le pourcentage d’excès d’air à partir

des formules suivantes :


La combustion
Calcul de l’excès d’air réel existant sur le procédé

Pour les autres combustible ou lorsqu’il y a présence de CO

dans les gaz de combustion, on doit utiliser l’équation suivante :

O 2 - 0,5 CO
% d'excès d'air = ×100
0, 2682 N 2 - O 2 - 0,5 CO 

O2 = % du volume d’oxygène

CO = % du volume du monoxyde de carbone

N2 = % du volume d’azote
La combustion
La combustion

L’idéal est donc de faire une combustion neutre ou


stœchiométrique, (ce ci est certes impossible d’où la
nécessité de l’excès d’air)
comment calculer cet excès ?

Calculons par exemple on la quantités totales en air de


combustion pour une chaudière utilisant 1 500 m3/h de gaz
naturel muni d’un brûleur conçue pour excès d’air de 10%
La combustion

Calculons par exemple on la quantités totales en air de combustion pour


une chaudière utilisant 1 500 m3/h de gaz naturel muni d’un brûleur
conçue pour excès d’air de 10%

Débit d’air (0%) = Masse d’air théorique X pouvoir calorifique X consommation


combustible

Consommation combustible = 1 500 m3/h


D’après les tables la masse d’air théorique est de 318 kg/GJ.
Le pouvoir calorifique du gaz naturel est 37,2 MJ/m3
Débit d’air (0% excès d’air) = 1500 X 318 X (37,2/1000) = 17 744 kg/h
Débit d’air (10% excès d’air) = 17 744 X 1,1 = 19 518 kg/h
Débit d’air (10% excès d’air) = 19 518 / 1,204 = 16 211 m3/h
Diagrammes de
combustion
Diagramme de Biard
stœchiométrique
CO2 n 15
14
13
12
Teneur en dioxyde de carbone dans les fumées sèches

Dr
ox oite
11

yd de
10

an
te com
9

bu
8
Réductrice

st i
Ox

on
7

N
yd

=
o-
6

1

5

Combustion incomplète
du

N<1 N>1
4

ctr
ice
3
2

Mi-réductrice Mi-oxydante
1
16
0

0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19
20 21 20,9 %
Teneur en oxygène dans les fumées sèches
___
(H2)___(CO)
O2 = 5 % CO2 = 8,5 %
(CO2) (CO2)

15
14
Combustion
Combustionmi mi

13
oxydante
oxydante
Excès
Excèsd’air
d’air ==20
20%%

12

Teneur en dioxyde de carbone dans les fumées sèches


N = 1,2
CO
CO==0,10,1..8,5
8,5==0,85

11
0,08 0,1 0,85
%

10
H%
H22==0,08
0,08..8,5
8,5==0,68
0,68

9
%% 8,5

8
7
6
5
4
3
2
1
16
0
0 1 2 3
20 21 54 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19

Teneur en oxygène dans les fumées sèches


___
(H2)___(CO)
O2 = 4 % CO2 = 10 %
(CO2) (CO2)

15
Combustion
Combustionoxydante
oxydante

14
Excès
Excèsd’air
d’air ==20
20%

13
%

12
0,0 0,0 CO
CO==0,00,0..10
10==00%

Teneur en dioxyde de carbone dans les fumées sèches


N = 1,2 %

11
HH2 ==0,0
0,0..10
10==00%%

10
2 10

9
8
7
6
5
4
3
2
1
16
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19
20 21 4
Teneur en oxygène dans les fumées sèches
___
(H2)___(CO)
O2 = 4 % CO2 = 10 %
(CO2) (CO2)

15
Combustion
Combustion

14
oxydante
oxydante ??
Excès
Excès d’airenviron
d’air environ20

13
20
%

12
% = ? . 10 = ?? %
CO

Teneur en dioxyde de carbone dans les fumées sèches


N = 1,2 CO = ? . 10 = ?? %
?

11
HH2 ==??..10
10==??
??% %

10
2 10

9
8
7
Seule la mesure du CO permet de

6
s’assurer que la combustion est

5
complète.

4
3
2
1
16
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19
20 21 4
Teneur en oxygène dans les fumées sèches
___
(H2)___(CO)
(CO2) (CO2)

15
14
Zone d’excès d’air trop faible

13
12
Zone inutilisable du diagramme

Teneur en dioxyde de carbone dans les fumées sèches


11
Zone de combustion correcte
Zo

10
ne
d’e

9
xcè
sd

8
’air
t ro

7
pi
mp
ort

6
an
t

5
4
3
Zone d’excès de CO

2
1
16
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19
20 21
Teneur en oxygène dans les fumées sèches
Diagramme d’Ostwald
1

14
1.1
1. Fioul domestique
2
12

1. Fa
3
1 . c te u
4 rd
1. ’ai
10

5 r
1.
6
1.
7
8

1.
Teneur en CO2 dans les gaz brûlés secs

8
2.
0
2.5
6
4

% CO 5 4 3 2 1 0
2
16
0

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18
20
Teneur en O2 dans les gaz brûlés secs
Diagramme d’Ostwald

14
12 Gaz naturel

1
1.1
10

Fa
1.2 cte
ur
1.3 d’a
ir
1. 4
8
Teneur en CO2 dans les gaz brûlés secs

1.6
1.8
6

2. 0
4

% CO 5 4 3 2 1 0
2
16
0

0 2 4 6 8 10 12 14 16 18
20
Teneur en O2 dans les gaz brûlés secs

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