Auger-Saint-Vincent
Auger-Saint-Vincent | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Senlis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Valois | ||||
Maire Mandat |
Fabrice Dalongeville 2020-2026 |
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Code postal | 60800 | ||||
Code commune | 60027 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Augerois | ||||
Population municipale |
526 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 13′ 10″ nord, 2° 48′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 135 m |
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Superficie | 13,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Crépy-en-Valois | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | https://augersaintvincent.fr/ | ||||
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Auger-Saint-Vincent est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Augerois.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Auger-Saint-Vincent est un village périurbain du Valois, dans l'Oise, situé entre Senlis et Crépy-en-Valois, à 50 km au nord-est de Paris, .Le territoire communal est tangenté au nord par le tracé de l'ancienne route nationale 324 (actuelle RD 1324).
Le territoire était décrit de la manière suivante au début du XIXe siècle : « Le territoire constitue une vaste plaine à superficie inégale, adossée vers le sud aux pentes du Mont-Luat, donnant naissance à un ravin par lequel s'écoule vers le nord-ouest le rû de Saint-Mard ou première partie de la rivière Sainte-Marie[1] ».
-
Ruelle des Vignes
-
Lieu-dit La Jonnière
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la rivière Sainte-Marie[2],[Carte 1].
La rivière Sainte-Marie, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune près du quartier Saint-Mard[3] et se jette dans l'Automne à Orrouy, après avoir traversé cinq communes[4].
Plusieurs puits de captage permettent d'alimenter en eau potable plus d'une vingtaine de communes du Valois, dont Crépy-en-Valois[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 287 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Automne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat d'aménagement et de gestion des eaux du Bassin Automne (S.A.G.E.B.A)[5].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 14 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Auger-Saint-Vincent est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,7 %), forêts (20 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (1,5 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 229, alors qu'il était de 204 en 2013 et de 187 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 94,6 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Auger-Saint-Vincent en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Auger-Saint-Vincent[I 2] | Oise[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 94,6 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,2 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 2,3 | 7,1 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6421 et 6442 du réseau interurbain de l'Oise[14].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Auger-Saint-Vincent est attesté sous les formes Ogerus Sancti Vincentii, Ogerium (1192), Ogerum (1140), Otgerius, Ogier-Sainct-Vincent, Oger, Otger[15].
Le nom de la commune proviendrait de celui d'Ogier de Danemarche, l'un des chevaliers de la cour de Charlemagne auquel cet empereur donna les terres ou lieux d'Oger-Saint-Viincent, Oger-Saint-Mard, Rully et Chamicy, Vérines, Trumilly et ses dépendances[1].
Saint-Vincent est un hagiotoponyme.
Saint Mard est attesté sous les formes Ogerius Sancti Medardi, Ogerus, Oger-Saint-Médard, Auger-Saint-Mard[16].
Le Parc-aux-Dames est attesté sous les formes abbatia de Parco Dominarum, Parcus Dominarum, Parc-en-Valois, Parc-de-Bouville[1].
Histoire
[modifier | modifier le code]Louis Graves indiquait « La terre d' Auger revint au domaine de la couronne d'où elle émanait, et passa vers le dixième siècle dans le comté de Crépy.
Raoul Il, comte de Crépy, donna l'église avec ses revenus au chapitre de Saint-Arnoult. Les chanoines, conservèrent la seigneurie, la haute-justice et le patronage de la cure.
Charles, fils du roi Philippe-le-bel, comte de Valois, d'Alençon, de Chartres et d' Anjou qui résidait souvent à Crépy, venait chasser sur le territoire d'Auger-Saint-Pincent, plus boisé sans doute alors qu'il ne l'est aujourd'hui. Il data de ce lieu, le quatorze , une charte concernant les· usages et pâturage, des habitants d'Haramont (Aisne) dans la forêt de Retz.
Anger était l'une des dix-sept..mairies de la châtellenie de Crépy, comprenant dans son ressort Le Luat, Fresnoy-le-Luat, Villeneuve, et quelques fiefs voisins[1] ».
En 1836, on comptait dans la commune un moulin à eau et plusieurs marnières[1]
La commune a été desservie par la gare d'Auger-Saint-Vincent, sur la ligne de Chantilly - Gouvieux à Crépy-en-Valois, fermée définitivement au service voyageurs en été 1949, et déclassée en 1992 .
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Crépy-en-Valois[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Crépy-en-Valois
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Auger-Saint-Vincent est membre de la communauté de communes du Pays de Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2021, la commune comptait 526 habitants[Note 3], en évolution de +6,05 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 276 hommes pour 253 femmes, soit un taux de 52,17 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie associative
[modifier | modifier le code]Un café associatif a été aménagé en 2021 avec le soutien de la municipalité dans l'ancien presbytère, racheté à l'évêché par la commune, et qui succède au dernier café commercial du village, chez Yvette, fermé en 1993. L'équipement disposant d'une connexion à haut débit à Internet se prête au télétravail, et peut accueillir des associations ou des spectacles grâce à une scène montée dans un coin et une sono[26],[27]
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Vincent-et-Saint-Caprais : Ses origines remontent au moins aux années 930 / 940, quand Raoul II de Vexin donne le patronage de la cure au prieuré Saint-Arnoul de Crépy-en-Valois. Une petite église romane est construite au premier quart du XIIe siècle, et des éléments de sa nef et de son chœur sont englobés dans la construction actuelle. À partir du milieu du XIIe siècle et jusqu'au début du XIIIe siècle, puis à la fin du XVe siècle et au milieu du XVIe siècle, l'église est agrandie à six reprises, et le plus souvent, les adjonctions ne portent que sur une seule travée, de sorte que l'édifice actuel est d'une complexité déconcertante.
À l'extérieur, il offre toutefois une image assez harmonieuse, car les différentes campagnes de construction sont pour la plupart très rapprochées, si bien que les ruptures stylistiques trop évidentes sont évitées. Le clocher du milieu du XIIe siècle est imposant, et coiffé d'une élégante flèche de pierre.
À l'intérieur, l'église présente aussi un réel intérêt, et surprend par son unicité spatiale, qui a été obtenue au détriment de son unicité architecturale. Les deux voûtes d'ogives du chœur des années 1150 / 1160, très bombées et encore archaïques, sont sans doute les éléments les plus remarquables, ainsi que les peintures murales. L'église n'a pas encore été classée aux monuments historiques[28],[29].
Des travaux de réfection sont engagés à la fin des années 2020 avec l'aide de la fondation du patrimoine et un legs[30]
- Ancien puits public avec pompe, rue Rambure.
- Calvaires avec des socles en pierre et des croix en fer forgé aux extrémités nord, ouest et sud du village.
- Lavoir de la fontaine Courtichaine, au bout de l'impasse éponyme, près de la jeune Sainte-Marie. Deux autres lavoirs subsistent dans la commune[3].
- Lavoir de la fontaine de l'Orme, au bout de la ruelle du même nom : C'est un lavoir ouvert partiellement ruiné, où le rû Sainte-Marie prend sa source.
- Château, rue du Chapitre, au sud du village.
- Chapelle Saint-Mard, au hameau du même nom, au sud du village. Saint-Mard fut une paroisse indépendante sous l'Ancien Régime, et possédait une église, qui était placée sous le patronage du chapitre de la cathédrale Notre-Dame de Senlis. Après la Révolution française, l'église de Saint-Mard a été rattachée à la paroisse de Fresnoy-le-Luat, puis démolie[31].
- Ruines de l'ancienne abbaye royale du Parc-aux-Dames (moniales cisterciennes)[32], à 1,8 km à l'est du village (on ne visite pas).
-
Château.
-
Maison bourgeoise, rue du Raguet
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Ancien puits public.
-
Lavoir de la Fontaine de l'Orme.
-
Calvaire au nord du village.
-
Calvaire à l'est du village.
-
Ancienne gare.
-
Remise communale
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- James Herbain, (1939-2023), coureur cycliste, champion de France de cyclo-cross en 1969 y est né[33].
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 256 p. (lire en ligne), p. 53-58
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune d'Auger-Saint-Vincent (60027) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Auger-Saint-Vincent »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Auger-Saint-Vincent » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Auger-Saint-Vincent » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Auger-Saint-Vincent » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Auger-Saint-Vincent - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Auger-Saint-Vincent - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 55.
- « Fiche communale d'Auger-Saint-Vincent », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- « Présentation de la commune », Un village à découvrir, sur augersaintvincent.fr (consulté le ).
- Sandre, « la rivière Sainte-Marie »
- « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Auger-Saint-Vincent et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Auger-Saint-Vincent », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 53.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Annuaire de l'Oise, 1836, 252 p., p. 54.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Fabrice Dallongeville, un café pour le village », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le président et ses vice-présidents... présentation. », Bonjour Valois, no 8, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas Aubouin, « Fabrice Dallongeville, maire d'Auger-Saint-Vincent et président des maires ruraux de l'Oise pour un nouveau mandat : Le maire d'Auger-Saint-Vincent, Fabrice Dallongeville, vient d'être réélu président de l'Association des maires ruraux de l'Oise. Qui organise un congrès national en novembre », Actu Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Auger-Saint-Vincent (60027) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Cindy Belhomme, « Auger-Saint-Vincent : un café associatif pour faire vivre le village : Le maire veut développer un nouveau lieu de vie pour les habitants mais aussi pour les touristes », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- Pierrig Guennec, « Le café associatif dynamise le village d'Auger-Saint-Vincent : Le Café citoyen a pris ses quartiers dans l'ancien presbytère. Un projet porté par la municipalité qui entend en faire un lieu de convivialité et un espace ouvert aux initiatives locales et aux spectacles, dans ce village de 530 habitants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 7.
- Dominique Vermand, « Auger-Saint-Vincent, église Saint-Vincent et Saint-Caprais : Diocèse : Senlis », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- Cindy Belhomme, « Auger-Saint-Vincent : l'église va se refaire une beauté : Divers travaux vont être réalisés pour un coût estimé à 70 000 €. La commune va financer une partie du chantier grâce au don d'une habitante décédée », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Valois, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 256 p. (lire en ligne), p. 54-55.
- « Le Parc-aux-Dames, ancienne abbaye royale »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Auger-Saint-Vincent (site officiel) (consulté le ).
- https://www.oisehebdo.fr/2023/06/01/auger-saint-vincent-james-herbain-roi-cyclocross-mort/