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Famille de Goislard de Monsabert

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de Goislard de Monsabert
Image illustrative de l’article Famille de Goislard de Monsabert
Armes de la famille.

Période XVIe – XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau de l'Orléanais Orléanais
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Fiefs tenus Coutures
Demeures Château de Montsabert
Charges Procureur, Député, Magistrat
Fonctions militaires 1 Général d'armée
Fonctions ecclésiastiques 1 Chanoine,
Récompenses civiles Ordre national de la Légion d'honneur, ordre de la Libération
Récompenses militaires Médaille militaire
Croix de guerre 1914-1918
Croix de guerre 1939-1945
Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs
Médaille coloniale
Military Cross

La famille de Goislard de Monsabert, anciennement Goislard, est une famille subsistante de la noblesse française.

Elle compte parmi ses membres des parlementaires sous l'Ancien Régime et un général d'armée au XXe siècle qui fut également député.

La famille Goislard est originaire du pays Chartrain[1].

Jacques Ier Goislard, né vers 1547/1550 près de Chartres et mort en 1622, fils de François Goislard et de Denise Berthon, devient procureur au Parlement de Paris vers 1580[2]. Son frère André (mort en 1641) est chanoine de Chartres et d'Orléans[1]. La famille accède à la noblesse par le fils de Jacques Ier, Jacques II Goislard, greffier des commissions extraordinaires du Conseil et anobli par charge de secrétaire du roi (1608-1643). En descendent des générations de parlementaires[3].

La famille Goislard est installée à Paris, dans des maisons voisines du collège des Bernardins[4] et a une chapelle familiale dans l'église Saint-Étienne-du Mont depuis 1609, où au moins cinq membres de la famille sont enterrés[2].

Le château de Montsabert

Le mariage en de Marc-Anne Goislard (mort le ), conseiller au Parlement de Paris, avec Anne Le Maistre (morte le ), héritière des seigneuries de Montsabert (paroisse de Coutures), de Richebourg (au Thoureil) et de Noirieux en Anjou permet aux Goislard d'acquérir ces seigneuries[5].

Personnalités

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
D'azur à trois roses d'or[7]

Notes et références

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  1. a et b J. Baillet, « Le testament d'un chanoine au XVIIe siècle. André Goislard, sa vie, sa famille, ses chanoinies, sa maison, sa bibliothèque et sa fortune », Bulletin de la société archéologique et historique de l'Orléanais, vol. 21, no 229,‎ , p. 354-382 (lire en ligne).
  2. a et b Jacques de Goislard de Monsabert, « Une chapelle familiale à Saint-Etienne du Mont », Bulletin de la Montagne Sainte-Geneviève et de ses abords, vol. 7,‎ , p. 36-47 (lire en ligne)
  3. François Bluche, Les magistrats du Parlement de Paris au XVIIIe siècle, Paris, Economica, (1re éd. 1960), 481 p. (ISBN 2-7178-0988-0).
  4. Maurice Dumolin, « La censive du collège des Bernardins », Bulletin de la société de l'histoire de Paris et de l'Ile-de-France, vol. 62,‎ , p. 25-96 (lire en ligne).
  5. Colonel Savette, « À propos du château de Montsabert », Bulletin de la société des lettres, sciences et arts du Saumurois, vol. 23, no 73,‎ , p. 41-45 (lire en ligne).
  6. Portrait of Anne Louis Goislard de Montsabert, Comte de Richbourg-le-Toureil
  7. Joseph Denais, Armorial général de l'Anjou, Angers, Germain et Grassin, 1879-1884 (lire en ligne), p. 115

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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