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Les Engagés (parti politique)

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Les Engagés
Image illustrative de l’article Les Engagés (parti politique)
Logotype officiel.
Présentation
Président Maxime Prévot
Fondation 1968 (PSC)
2002 (cdH)
2022 (Les Engagés)
Siège Rue du Commerce, 123
1000 Bruxelles
Vice-présidents Gladys Kazadi
Yvan Verougstraete
Secrétaire général Gauthier de Sauvage
Scission de PSC unitaire
Mouvement de jeunesse Génération engagée
Organisation féminine Femmes engagées
Mouvement d’aînés Aînés engagés
Centre d’études Cepess
Positionnement Actuel :
Centre[1],[2] à Centre droit

Historique :
Centre droit à droite

Idéologie Social-libéralisme
Europhilie
Humanisme

Historique :
Démocratie chrétienne
Christianisme social[3]
Conservatisme[3],[4],[5]

Affiliation européenne Parti populaire européen (1976-2024)
Parti démocrate européen (2024- )
Groupe au Parlement européen Renew Europe
Couleurs
  • Turquoise
Site web www.lesengages.be
Représentation
Députés européens
(collège électoral franc.)
1  /  8
Députés fédéraux
(groupe francophone)
14  /  60
Sénateurs
(groupe francophone)
5  /  25
Députés de la Comm. fr.
19  /  94
Députés wallons
17  /  75
Députés bruxellois
(groupe francophone)
8  /  72
Conseillers provinciaux wallons
33  /  223

Les Engagés est un parti politique belge francophone centriste et social-libéral. Il est actuellement présidé par Maxime Prévot.

Il est issu du renommage et du changement de positionnement idéologique en du Centre démocrate humaniste (CDH), lui-même né en d'un mouvement similaire du Parti social-chrétien (PSC), constitué en de la scission linguistique du Parti social-chrétien belge.

Il est représenté aux parlements fédéral, wallon, bruxellois, francophone, germanophone (via le CSP) et européen. Il participe depuis aux gouvernements wallon et francophone, qu'il préside, en coalition avec le Mouvement réformateur.

Historique

1894-1945 : Parti catholique (PC)

1945-1968 : Parti social-chrétien (PSC), unitaire

1968-2001 : Parti social-chrétien (PSC)

Le PSC, fondé par Charles Piton, est issu de la scission du PSC-CVP unitaire en une aile francophone et une aile néerlandophone à la suite de l'affaire de Louvain. La crise de Louvain de 1968, née de la volonté flamande d'expulser la section francophone de l'université catholique de Louvain, conduit en effet le PSC à s'imposer comme parti francophone autonome. Depuis 1972, le PSC et le CVP sont deux partis totalement indépendants.

Depuis qu'il est autonome, le PSC s'affirme comme un parti au fonctionnement démocratique. En 1969, le PSC est le premier parti belge à introduire l'élection de son président national, de ses présidents d'arrondissements et de ses présidents de sections locales au suffrage universel de l'ensemble de ses membres. Le PSC ne cesse de renforcer la démocratie interne en organisant de nombreux débats largement ouverts sur les problèmes d'actualité et en consacrant des efforts importants à la formation de ses responsables.[réf. nécessaire]

Jusque dans les années 1990, le PSC est le pivot des coalitions gouvernementales avec un score situé généralement entre 20 et 25 %[3].

Paul Wynants estime qu'au terme des années 1990, le parti « a largement manqué sa déconfessionnalisation, pourtant annoncée dès 1945 ». Ses cadres, son noyau d’électeurs fidèles se caractérisent, selon lui, par leur proximité avec le catholicisme, alors que l’influence de ce courant diminue dans la société du fait de la sécularisation. Au regard des jeunes générations, il est porteur d’une image désuète, faute d’avoir suffisamment adapté son message aux nouveaux enjeux idéologiques[6].

Pendant des décennies, le PSC a été le canal électoral du réseau institutionnel catholique. Il défend et promeut les intérêts de ce pilier dans divers secteurs d’activités, comme l’enseignement, la santé, la culture, l’action sociale ou la coopération au développement. Néanmoins, progressivement, certaines de ses composantes ont évolué au point d’abandonner toute référence chrétienne. Afin d’assurer la permanence du christianisme social au pouvoir, le parti est demeuré dans une position centrale sur l’échiquier politique : « avec l’appui des chrétiens démocrates flamands, celle-ci consiste à choisir des partenaires de majorité successifs, en pratiquant un jeu de bascule entre libéraux et socialistes. » Si ce positionnement est avantageux en termes d’influence, il génère, toutefois, un déficit d’image : « le PSC donne l’impression d’incarner un « centre mou », qui se dilate vers le centre-gauche ou vers le centre-droit selon les opportunités »[6].

Aux élections régionales et législatives de 1999, le parti connaît de très mauvais résultats lors des différents scrutins. Pour la première fois depuis 1958, il est totalement écarté du pouvoir, tant à l’échelon fédéral que dans les différentes entités fédérées[6]. Cette crise est en partie due à deux faits externes, mais extrêmement médiatisés : l'affaire Dutroux et la crise de la dioxine. Joëlle Milquet devient la nouvelle présidente du PSC. Le 9 juin 2001, le congrès du PSC approuve la Charte de l'Humanisme.

2001-2022 : Centre démocrate humaniste (CDH)

Depuis 2022 : Les Engagés

Le CDH acte son changement de dénomination le 12 mars 2022 lors d’un congrès à Bruxelles, à la suite d'une réflexion de deux ans[7].

À travers le Manifeste pour une Société régénérée, Les Engagés décrivent leur vision et une série de propositions dont certaines sont en rupture avec la ligne de l’ancien CDH[8].

Ce changement de cap a été accompagné de départs et d’arrivées de personnalités politiques. Parmi les nouveaux visages : celui d’Yvan Verougstraete, fondateur de la chaîne de pharmacie Medi-Market, élu Manager de l’année en 2019[9] ou celui d’Anne Pirson, ancienne rédactrice en chef de Matélé[10].

En mai 2022, Maxime Prévot annonce son intention de rempiler à la tête du parti. Il doit affronter Marc-Antoine Mathijsen, ancien membre du CDF[11]. Maxime Prévot est réélu le mois suivant avec 81,7% des voix[12].

Le 10 octobre 2022, Véronique Lefrancq, députée bruxelloise, annonce quitter Les Engagés, se sentant orpheline politiquement[13]. D'autres élus du parti annoncent leur souhait de ne pas se représenter aux élections fédérales et régionales de 2024 : Alda Greoli (parlementaire régionale et ancienne ministre)[14], Catherine Fonck (parlementaire fédérale, ancienne secrétaire d'État et ancienne ministre régionale)[15] ou encore André Antoine (sénateur et ancien ministre régional)[16]

En 2023 et 2024, plusieurs personnalités publiques rejoignent les Engagés. Certaines sont issues du MR : c'est le cas de l'ancien ministre wallon Jean-Luc Crucke[17], de l'ancienne parlementaire wallonne Lyseline Louvigny[18] ou encore de l'échevine Axelle Chantry[19]. D'autres en revanche sont issues de la société civile : Olivier de Wasseige (ancien administrateur délégué de l'Union wallonne des entreprises)[20], Yves Coppieters (épidémiologiste)[21], Jean-Jacques Cloquet (ancien administrateur délégué de l'aéroport de Charleroi)[22], Vincent Blondel (recteur de l'Université catholique de Louvain)[23] et Armelle Gysen (journaliste et animatrice télé)[23]. D'autres enfin étaient déjà actives en politique, mais sans apparentement : le bourgmestre de Vresse-sur-Semois Arnaud Allard[24], celui de Daverdisse Maxime Léonet[25]...

Idéologie

Historiquement :

  1. Le PSC s’est revendiqué de la démocratie chrétienne[26].
  2. Le CDH s’est réclamé du centrisme et du personnalisme chrétien d'Emmanuel Mounier[27].
  3. Les Engagés se réclament de l’humanisme régénéré appelé de ses vœux par le sociologue et philosophe Edgar Morin[28], gommant ainsi leur référence chrétienne historique.

Il a été un des principaux représentants de la démocratie chrétienne belge, avec le CD&V. En 2014, Philippe Walkowiak évoque « un atavisme social-chrétien » de ce parti qui a abandonné la référence chrétienne[3].

Courants internes

Le parti, comme son prédécesseur catholique, est traversé par des courants internes. L’affrontement entre ceux-ci est particulièrement fort jusque dans les années 1970-1980[29].

Conservateurs

Le parti est perçu comme historiquement lié aux valeurs conservatrices, notamment au point de vue sociétal[30]. Depuis la présidence de Joëlle Milquet, le mouvement a tenté de se dégager de cette image. Jusqu’en 1982, ce courant est fortement représenté par le CEPIC, lié à des organisations d’extrême droite[31]. L’aile droite, bien que déforcée, reste néanmoins présente[32].

Libéraux

Les libéraux sont représentés par différentes personnalités, telles que le président du parti, Maxime Prévot[33] ou Jean-Luc Crucke, qui a rejoint le parti en 2023 (en devenant directement vice-président) en provenance du Mouvement réformateur. Ceux-ci sont généralement perçus comme compatibles avec le Mouvement réformateur, principale fédération libérale en Belgique francophone.

Démocrates-chrétiens

Les démocrates-chrétiens forment l’aile gauche du parti. S’opposant durant les années 1970 aux forces de droite conservatrice au sein du PSC, le CEPIC, ceux-ci voient leur influence s’éroder lentement, jusqu’à être considérés « moribondes » par La Libre Belgique en 2015[29].

International

Union européenne

Les Engagés ont longtemps été membres, tout comme leur parti frère le CD&V, du Parti populaire européen.

À l'issue des élections européennes de 2024, Les Engagés rejoignent le groupe Renew Europe[34]. Cela traduit un rapprochement avec le centre-droit libéral, observé particulièrement au niveau régional. En effet, Les Engagés y forment un gouvernement avec le Mouvement Réformateur, lui aussi membre de Renew Europe. Il fait élire à cette occasion un député européen, Yvan Verougstraete.

Union Benelux

Le parti est membre du GPC au Parlement du Benelux.

Structure

Présidents

Portrait Nom Mandat Remarques
Début Fin Durée
Maxime Prévot En fonction 5 ans, 11 mois et 10 jours Bourgmestre de Namur (depuis 2012)

Résultats électoraux

Parlement fédéral

Année Chambre des représentants Sénat Gouvernement
Voix % Sièges Voix % Sièges
1971 327 393 6,20
15  /  212
Voir PSC unitaire Eyskens V, Leburton I, Leburton II
1974 478 209 9,09
22  /  212
430 512 10
10  /  106
Tindemans I, Tindemans II, Tindemans III
1977 545 055 9,77
24  /  212
522 613 9,46
11  /  106
Tindemans IV, Vanden Boeynants II
1978 560 440 10,12
25  /  212
535 939 9,78
12  /  106
Martens I, Martens II, Martens III, Martens IV, Eyskens
1981 390 896 6,49
18  /  212
414 733 6,95
8  /  106
Martens V
1985 482 254 7,95
20  /  212
475 119 7,93
10  /  106
Martens VI, Martens VII
1987 491 908 8
19  /  212
474 370 7,8
8  /  106
Martens VIII, Martens IX
1991 476 730 7,7
18  /  212
483 961 7,9
9  /  106
Dehaene I
1995 469 101 7,7
12  /  150
434 492 9,4
3  /  40
Dehaene II
1999 365 318 5,87
10  /  150
374 002 6,04
3  /  40
Opposition
2003 359 660 5,47
8  /  150
362 705 5,54
2  /  40
Opposition
2007 404 077 6,06
10  /  150
390 852 5,90
2  /  40
Verhofstadt III, Leterme I, Van Rompuy et Leterme II
2010 360 441 5,53
9  /  150
331 870 5,13
2  /  40
Di Rupo
2014 336 184 4,98
9  /  150
N/A
4  /  60
Opposition
2019 250 861 3,70
5  /  150
2  /  60
Opposition
2024 472 755 6,77
14  /  150
5  /  60
En cours
Evolution des résultats électoraux à la Chambre des Représentants

Entités fédérées

Parlement wallon

Année Voix % Sièges Gouvernement
1995 407 741 21,56
16  /  75
Collignon II
1999 325 229 17,07
14  /  75
Opposition
2004 347 348 17,62
14  /  75
Van Cauwenberghe II, Di Rupo II, Demotte I
2009 323 952 16,44
13  /  75
Demotte II
2014 310 513 15,17
13  /  75
Magnette, Borsus
2019 223 775 11
10  /  75
Opposition
2024 427 167 20,66
17  /  75
Dolimont

Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale

Depuis la création de l’institution qui comptait 75 sièges jusqu’en 2004, et 89 sièges depuis 2004 (dont 72 sièges alloués aux listes francophones).

Année Voix % Sièges Gouvernement
1989 51 904 11,85
9  /  75
Picqué I
1995 38 244 9,26
7  /  75
Opposition
1999 33 815 14,08
6  /  75
Opposition
2004 55 078 14,08
10  /  89
Picqué III
2009 60 527 14,8
11  /  89
Picqué IV, Vervoort I
2014 48 012 11,74
9  /  89
Vervoort II
2019 29 436 7,58
6  /  89
Opposition
2024 41 640 10,7
8  /  89
En cours

Parlement de la Communauté germanophone

Résultats du Christisch Soziale Partei (CSP), parti lié aux Engagés.

Année % Sièges
1990 33,60
8  /  25
1995 35,93
10  /  25
1999 34,78
9  /  25
2004 32,79
8  /  25
2009 27,02
7  /  25
2014 24,86
7  /  25
2019 23,14
6  /  25
2024 19,8
5  /  25

Conseils provinciaux

Année Brabant Wallon Hainaut Liège Luxembourg Namur
2006
9  /  56
15  /  84
15  /  84
22  /  56
14  /  56
2012
5  /  37
6  /  56
8  /  56
14  /  37
8  /  37
2018
3  /  37
4  /  56
6  /  56
14  /  37
6  /  37
2024[35]
10  /  37
11  /  56
12  /  56
18  /  37
14  /  43

Parlement européen

Résultats dans le collège francophone.

Année % Sièges
1979 21,2
3  /  11
1984 19,5
2  /  11
1989 18,8
2  /  11
1994 18,8
2  /  10
1999 13,1
1  /  10
2004 15,1
1  /  9
2009 13,3
1  /  8
2014 11,4
1  /  8
2019 8,9
1  /  8
2024 14,28
1  /  8

Organisation

Centre d'études

Le Centre Démocrate Humaniste possède un centre d'études baptisé Centre d’études politiques économiques et sociales (CEPESS)[36].

Le CEPESS a pour finalité « d’encourager et d’aider le monde politique et la société dans son ensemble à redonner un visage humain au développement »[37]. Il a pour mission d’inscrire l’action politique, économique et citoyenne sur la voie du « développement humain », un nouveau projet de société, porté par le cdH, qui place l’être humain, la qualité de vie et le vivre-ensemble, comme finalités ultimes du développement.

Mouvement de jeunesse

Le Centre Démocrate Humaniste reconnaît les Jeunes cdH comme son mouvement de jeunesse. Ce mouvement se gère de façon autonome, sans intervention du cdH dans son fonctionnement interne mais s'associent parfois avec le parti dans différentes actions et campagnes. Ils sont également membres des Jeunes du Parti populaire européen.

En mars 2022, à la suite de la refonte du cdH en Les Engagés, les Jeunes cdH deviennent Génération engagée.

Sièges

Ancien siège du cdH

Le cdH occupe jusqu’en 2020 un bâtiment de six étages situé 41-43 rue des Deux-Églises à Bruxelles, cet immeuble de bureaux a été conçu dans un style moderniste conçu par les architectes René Aerts et Paul Ramon en 1966. Il est caractérisé par l'apparence de sa façade, composée par des éléments préfabriqués de couleur orange rappelant des écrans de télévision[38].

Le parti se sépare en 2020 de son siège historique pour des locaux plus petits. Il occupe depuis lors un étage d'un bâtiment situé au 123 rue du Commerce à Bruxelles[39]

Identité visuelle

Personnalités liées au LE/cdH/PSC

Notes et références

  1. Céline Thérer, « Centrisme, convictions et perspectives politiques: Maxime Prévot dévoile sa vision politique dans "Pyjama Partis" », RTL Info,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. Jeanne Blanquart avec AFP, « Meurtre du bourgmestre de Mouscron : le suspect aurait agi pour venger son père », sur francetvinfo.fr, France 3 Hauts-de-France, (consulté le ).
  3. a b c et d Philippe Walkowiak, « Les voies du CDH », sur RTBF Info,
  4. « Un tract du cdH sérésien assez conservateur », sur Édition digitale de Mons,
  5. « Maxime Prévot au "Soir": "Si le CDH change de nom, le mot humaniste n'y figurera probablement plus" », sur Le Soir Plus,
  6. a b et c Paul Wynants, L'évolution du CDH (2004-2011) I. Juin 2004-décembre 2007, Courrier hebdomadaire du CRISP, 2012/6-7 (no 2131-2132), pages 1 à 79
  7. « Le parti CDH change de nom et s'appelle désormais "Les Engagés" », sur rtl.be, (consulté le )
  8. Antoine Clevers, « Le CDH devient "Les Engagés" : sur papier, le pari de la rupture est réussi », sur La Libre.be (consulté le )
  9. Trends Tendances, « Les Engagés recrutent Yvan Verougstraete, Manager de l'Année 2019 », sur Site-Trends-FR, (consulté le )
  10. Matele, « L' échevine cinacienne Anne Pirson rejoint les "Engagés" », sur Matélé (consulté le )
  11. A.C, « Marc Antoine Mathijsen défiera Maxime Prévot à la présidence des Engagés », sur La Libre.be (consulté le )
  12. Antoine Clevers, « Sérieux coup de semonce pour Maxime Prévot, réélu à la tête des Engagés », sur La Libre.be (consulté le )
  13. « Les Engagés perdent une de leurs cinq parlementaires bruxellois », sur Le Soir, (consulté le )
  14. Antoine Clevers, « L’ancienne ministre Alda Greoli (Les Engagés) quitte le Parlement : "Ma volonté est d’avoir un engagement dans la ville de Spa" », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne)
  15. Antoine Clevers, « Catherine Fonck va arrêter la politique: "J’ai besoin de retrouver du sens dans ce que je fais" », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne)
  16. Stéphane Tassin, « André Antoine va quitter la politique: "Bébé Antoine va s’occuper des bébés" », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne)
  17. Rédaction, « Pointant du doigt "la tendance trumpiste que prend la direction du MR", Jean-Luc Crucke quitte le parti et rejoint Les Engagés », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne)
  18. Hugues Van Peel, « Elections 2024 : à Tubize, Lyseline Louvigny quitte le MR pour rejoindre Les Engagés », RTBF,‎ (lire en ligne)
  19. Belga, « Une échevine MR rejoint les Engagés dans le Hainaut », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne)
  20. Jean-François Noullet, « Olivier de Wasseige, ex-patron de l’UWE, rejoint Les Engagés », RTBF,‎ (lire en ligne)
  21. Laurent Henrard, « Yves Coppieters rejoint Les Engagés et sera tête de liste en Brabant wallon à la Chambre des représentants », RTBF,‎ (lire en ligne)
  22. Olivier Mouton, « Jean-Jacques Cloquet rejoint les Engagés : « Le libéralisme social, c’est mon ADN » », Trends tendances,‎ (lire en ligne)
  23. a et b Belga, « Vincent Blondel et Armelle Gysen rejoignent Les Engagés », Le Soir,‎ (lire en ligne)
  24. Benjamin Brone, « Arnaud Allard, Bourgmestre de Vresse-sur-Semois rejoint "Les Engagés" », RTBF,‎ (lire en ligne)
  25. Anne Lemaire, « Le bourgmestre de Daverdisse, Maxime Léonet rejoint Les Engagés », RTBF,‎ (lire en ligne)
  26. https://cevipol.centresphisoc.ulb.be/sites/default/files/centre_cevipol/uploads/cahier99-1.pdf
  27. Jean-Benoît Pilet, « Le Centre démocrate humaniste (cdh) », dans Pascal Delwit, Jean-Benoit Pilet et Émilie van Haute, Les partis politiques en Belgique, Éditions de l'Université de Bruxelles, , 3e éd. (1re éd. 1996), 372 p. (ISBN 978-2800415147, lire en ligne [PDF]), p. 70
  28. Propos recueillis par Jean-François Dortier, « Rencontre avec Edgar Morin : Changer la vie », sur www.scienceshumaines.com (consulté le )
  29. a et b François Brabant et Antoine Clevers, « Ni fleurs ni couronnes pour la "Démocratie chrétienne" », sur La Libre.be (consulté le )
  30. « Pourquoi le cdH est-il devenu Les Engagés? », sur moustique.be, (consulté le )
  31. Philippe Brewaeys, Véra Dahaut, Anaïs Tolbiac, « L'EXTRÊME DROITE FRANCOPHONE FACE AUX ÉLECTIONS », CRISP,‎ (lire en ligne)
  32. Quinet Aude, « Un tract plutôt conservateur », sur La Libre.be (consulté le )
  33. François Brabant, « Maxime Prévot, le plus libéral des CDH ? », sur Site-LeVif-FR, (consulté le )
  34. « Renew Europe accueille Les Engagés et Yvan… », sur Renew Europe, (consulté le )
  35. « Élections provinciales : résultats », sur Wallonie - Élections locales 2024 (consulté le )
  36. David Coppi, « Lutgen lance son projet La Louvière-la-Neuve », Le Soir,‎ (lire en ligne)
  37. « Le Cepess » (consulté le )
  38. « – Inventaire du patrimoine architectural », sur heritage.brussels (consulté le ).
  39. « Le siège historique du cdH mis en vente: les humanistes déménagent à la rue du Commerce », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Benjamin Biard, « Les partis frères en Belgique: les relations entre le CDH et le CD&V » dans Courrier hebdomadaire, no 2467-2468, CRISP, Bruxelles, 2020
  • Paul Wynants, « Du PSC au CDH. I. 1981-1999 » dans Courrier hebdomadaire, no 1889, CRISP, Bruxelles, 2005
  • Paul Wynants, « Du PSC au CDH. II. 1999-2004 » dans Courrier hebdomadaire, no 1895-1896, CRISP, Bruxelles, 2005

Articles connexes

Liens externes