Histoire: Séparatiste
La prochaine fois c'est OUI!!!
Il était une fois, un couple de 25 ans. Ce couple est autonome financièrement et chacun d'eux travaille. Les deux occupent un poste dans le même domaine. Ils ont un salaire presque identique.
Voici arrivé le jour de la paye. Le chum reçoit son chèque. Bien évidemment, il utilisera cet argent pour ses dépenses : c'est grâce à cet argent-ci que monsieur gagne sa vie. Madame aussi reçoit sa paye. MAIS, une entente lie le couple. Cette entente prévoit que, à chaque semaine, madame devra donner la moitié de sa paye à monsieur, et ce, aussi longtemps que le couple sera ensemble. Elle devra donc subsister uniquement avec la moitié de sa paye.
Le montant qui lui reste est tout juste suffisant pour vivre. Par contre, il est prévu dans l'entente que monsieur devra utiliser l'argent de sa blonde pour l'aider à vivre. Mais monsieur a le plein contrôle de la moitié de l'argent de sa copine : il a tout le loisir de décider pour sa blonde de tout se qu'elle aura de besoin.
Le chum est intelligent. Il a vite compris que s'il ne dépensait pas intégralement la paye de madame, il allait pouvoir accumuler des surplus pour lui. Le chum devient donc de plus en plus riche... et sa blonde de plus en plus pauvre.
Bien des années plus tard, l'homme a le plein contrôle financier du couple. Madame ne va pas très bien. Elle aimerait retourner aux études, mais elle n'a plus d'argent : il ne lui en reste que juste assez pour vivre.
De plus, madame depuis quelque temps est très malade. Elle n'a plus de sous pour vivre et son chum, pour s'enrichir, refuse de payer le plein prix des médicaments. De toute évidence, il se fout visiblement de sa blonde. Monsieur a coupé a madame l'éducation et la santé, car cela coûtait trop cher.
Madame est intelligente aussi, et par deux fois, elle se choqua et décida de quitter monsieur. TROP C'EST TROP ! C'est alors que l'attitude du chum changeât du tout au tout. Étrangement, il devint attentioné, il se mis à genoux pour ne pas qu'elle parte, il lui fit une tonne de promesses. Mais, surtout, il lui promit de reparler de l'entente. Il lui a fait comprendre qu'elle était indispensable...
La pauvre céda à son charme, mais il en fallut de peu pour qu'elle parte pour de vrai. Surtout la deuxième fois. Pourtant, dès le lendemain les promesses n'existaient plus. Tous les " je t'aime "avaient disparu. Comme il n'a jamais voulu renégocier l'entente, elle dut continuer à donner la moitié de son revenu à son chum...
Elle s'est donc fait avoir DEUX FOIS DE SUITE.
LA MORALE DE CETTE HISTOIRE :
Vous devez sans doute croire que madame est folle de continuer a vivre dans ces conditions là ?
Vous devez vous dire :" Mon dieu, madame devrait le sacrer là, elle n'a pas besoin de quelqu'un pour décider à sa place de l'utilisation de son argent ".
Et bien, présentement LE QUÉBEC subit le même sort que madame. Nous cédons la moitié de nos revenus à Ottawa, et c'est Ottawa qui décide pour nous de la gestion de nos revenus. Le gouvernement fédéral ne nous redonne qu'une partie de l'argent que nous lui avons envoyé, ce qui leur permet d'accumuler des milliards de dollars en surplus. Pendant ce temps, la province n'a plus d'argent pour financer la SANTÉ et l'ÉDUCATION.
Alors, s'il est bon pour madame de quitter son chum... il sera aussi bon pour le QUÉBEC de quitter le CANADA. Au lieu d'un budget de 50 milliards $,pourquoi ne pas garder nos revenus pour nous et utiliser l'intégralité de nos 90 milliards de $. Prenons le contrôle de notre destinée. Madame a passé proche deux fois de quitter son chum, et les deux fois elle a eu droit à des promesses fallacieuses.
Le QUÉBEC aussi a passé proche à deux reprises de quitter le Canada.
Nous n'avons eût nous aussi que du vent dans les belles promesses d'Ottawa. On nous a dit indispensable avant le référendum, mais nous n'existons plus le lendemain de la victoire du NON.
Qui sera assez bête pour continuer à croire en Ottawa ?
La prochaine fois.. c'est OUI!
Philippe Lafortune
Pris sur: ce site
Il était une fois...
Il était une fois une jeune fille qui habitais dans un royaume. Un jour, elle dit à son père qu'elle allait prendre une marche dans la forêt. La forêt est belle, la jeune fille est heureuse mais, elle se rend compte qu'elle s'est perdue. Elle court partout jusqu'à temps qu'elle voit une cabane. La fille s'y rend et rencontre un nain et le contraire d'une fée, un fédéraliste. Elle parle au nain de son avanture et la fédéraliste elle lui jette un sort, elle dormira pendant 100 ans sauf si, un prince charmant lui donne un bec (une bise).
LA MORALE DE CETTE HISTOIRE :
Ça fait 300 ans que le Québec attend un prince charmant.