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Épaignes

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Épaignes
Épaignes
La mairie.
Blason de Épaignes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Lieuvin Pays d'Auge
Maire
Mandat
Marie-Paule Leblanc
2020-2026
Code postal 27260
Code commune 27218
Démographie
Gentilé Épagnols
Population
municipale
1 558 hab. (2021 en évolution de −1,39 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 49″ nord, 0° 26′ 28″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 181 m
Superficie 26,1 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pont-Audemer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Épaignes
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Épaignes
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Épaignes

Épaignes est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie. Ce nom était traditionnellement prononcé [e'paɲ], mais on entend de plus en plus fréquemment [e'pεɲ], d’après l’orthographe actuelle[1].

Géographie

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Localisation

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Épaignes est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure. Elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[2] et se situe à 11 kilomètres au sud-ouest de Pont-Audemer.

Hydrographie

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Elle abrite la source du douet Tourtelle[3].

Voies de communication et transports

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Elle est distante de 13 kilomètres de la sortie 28 de l'autoroute A13.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 924 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lieurey à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 893,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Épaignes est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-Audemer, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,3 %), terres arables (30,1 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), zones urbanisées (4,2 %), forêts (3,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous la forme Spania en 1035 et 1037[16], Espoigne en 1377 (lettres de rémission de Charles V), Épagnes en 1749, Épagne en 1792[17].

Ce toponyme évoque des colons venus d'Espagne à l’époque du Bas-Empire romain[18],[19]. Les Espagnols, venus d’Hispania, ont été autorisés par les Romains à fonder quelques colonies sur le territoire gaulois. François de Beaurepaire, dans Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, détache ces dénominations témoignant de la présence d'auxiliaires soldats-laboureurs issus du recrutement de volontaires ou de déportation de prisonniers.

Formations homonymes : Épagne (Aube, Somme), Épannes (Deux-Sèvres, hyspania en 1243)[18],[19].

Fondé vers 1018 par le sire de Conches, Roger Ier de Tosny, alors qu'il rentrait de sa première campagne contre les Maures.

Au début du XVIIIe siècle, Louis Gautier, curé d'Epaignes (dont les armoiries sont enregistrées dans l'Armorial général de France[20]), fait devant la vicomté de Rouen un procès, qu'il perd, pour obtenir le rétablissement de 48 bancs qui se trouvaient dans l'église avant des travaux de réparation[21].

Le a été signé le « serment d'Épaignes » concernant l'avancement de la réunification des deux régions administratives de Basse-Normandie et de Haute-Normandie en une région unique de Normandie.

Héraldique

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Armes d'Épaignes

Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

de gueules à la barre d'argent chargée de trois pommes du champ, tigées et feuillées de deux pièces de sinople, accompagnée en chef d'un épi de blé feuillé de deux pièces, et en pointe d'une branche de gui posée en barre, le tout d'or.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1813 1816 Jean Léger    
1816 1830 Alphonse Lulx-Delamotte    
1833 1852 Jean Léger    
1866   Maurice Frédéric Eugène Hauvel   Médecin
1879   de Saint-Laurent    
1895   Albert Bénard Républicain  
1899   Bouchard    
1902 1911 M. Dulong    
1936   M. Louchet    
1942 1971 André Morin    
1971 1995 Pierre Duboc DVD  
juin 1995 juin 2016 Hervé Morin LC Député, président de la région Normandie depuis 2016
démissionne de la fonction de maire mais reste membre du conseil municipal
Conseiller général du canton de Cormeilles (1992-2004 et 2011-2014)
2 juin 2016 En cours Marie-Paule Leblanc[22] UDI Chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 1 558 habitants[Note 2], en évolution de −1,39 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2302 0422 1832 1962 3172 1382 0672 0011 829
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7081 7291 7011 5601 4771 3081 3161 1951 102
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1151 1021 010818901850856852810
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9349479641 0291 0901 1581 2231 2361 371
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5801 5611 558------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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La fête locale d'Épaignes est la Saint-Antonin qui se déroule généralement le dernier week-end d'août.

La commune a créé une zone industrielle pour permettre la construction d'une usine de chocolaterie et d'une entreprise de BTP Poulingue. Dernièrement, la mairie a créé une zone artisanale qui sera le cœur de l'économie d'Épaignes.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Antonin[27]
  • Mairie-école de 1877[28] par André Perrée

Patrimoine naturel

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Natura 2000

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  • Site Natura 2000 « Corbie »[29].
  • Site Natura 2000 « Le haut-bassin de la Calonne »[30].

ZNIEFF de type 1

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  • ZNIEFF 230009185 - Le bois de la mine d'or[31].
  • ZNIEFF 230030031 - La mare de Ceffrey[32].
  • ZNIEFF 230031089 - Saint-Sauveur[33].

ZNIEFF de type 2

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  • ZNIEFF 230009183 - La haute vallée de la Calonne[34].
  • ZNIEFF 230009170 – La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort[35].

Personnalités liées à la commune

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  • Hervé Morin, ancien ministre de la Défense, né à Pont-Audemer, y a passé son enfance et en a été le maire de 1995 à 2016.

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Article connexe

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Graphie archaïque et mal comprise : le trigramme -ign- notait autrefois le « n mouillé » [nʲ], devenu aujourd'hui [ɲ] : le mot Épaignes se segmentait donc Épa-ignes et non Épai-gnes. Le même accident de lecture est survenu aux mots Montaigne et araignée.
  2. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  3. SANDRE, « Fiche ruisseau le douet Tourtelle (I0379000) » (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre Épaignes et Lieurey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lieurey » (commune de Lieurey) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Lieurey » (commune de Lieurey) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pont-Audemer », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Jean Adigard des Gautries, « Les noms de lieux de l'Eure attestés de 911 à 1006 », Annales de Normandie, 4e année, no 3-4, 1954, p. 237.
  17. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 76.
  18. a et b Pierre Miquel, Petite histoire des noms de lieux, villages et villes de France, 2016 (ISBN 2226381767).
  19. a et b Jacques Cellard et Éric Vial, Trésors des noms de famille, des noms de villes et de villages, 2017 (ISBN 241001223X).
  20. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k110594k/f943.image
  21. Pièces de la procédure poursuivie en la vicomte de Rouen entre Louis Gautier, curé d'Epaignes, d'une part, et la veuve d'Etienne Dubusc, entrepreneur des réparations et réédifications de l'église d'Epaignes, d'autre part, pour obtenir le rétablissement par cette dernière de quarante-huit bancs qui se trouvaient dans l'église avant lesdites réparations. (Le jugement du vicomte de Rouen, qui vise le devis de ces réparations montant à 7200 livres et le procès-verbal de réception des travaux par Jean-Baptiste de Lorme, déboute le curé de sa demande et le condamne aux dépens.). Archives départementales de l'Eure, cote : G592. Date : 1712-1713.
  22. « Marie-Paule Leblanc est élue maire (DP) », paris-normandie.fr, 3 juin 2016
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Notice no IA00050126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Notice no IA00050129, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Corbie », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. « Le Haut Bassin de la Calonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  31. « Le bois de la mine d'or », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  32. « La mare de Ceffrey », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  33. « Saint-Sauveur », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  34. « La haute vallée de la Calonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  35. « La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).