Achenheim
Achenheim | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | Strasbourg |
Intercommunalité | Eurométropole de Strasbourg |
Maire Mandat |
Valentin Rabot 2020-2026 |
Code postal | 67204 |
Code commune | 67001 |
Démographie | |
Gentilé | Achenheimois |
Population municipale |
2 504 hab. (2021 ) |
Densité | 415 hab./km2 |
Population agglomération |
487 063 hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 34′ 55″ nord, 7° 37′ 40″ est |
Altitude | Min. 143 m Max. 191 m |
Superficie | 6,03 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Strasbourg (partie française) (banlieue) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Lingolsheim |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-achenheim.fr |
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Achenheim [axənaɪm] Écouter est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et depuis le , elle est incluse dans le territoire de la collectivité européenne d'Alsace. En 2021, elle compte 2 504 habitants.
Géographie
[modifier | modifier le code]Achenheim est un village du Bas-Rhin, dans l'arrondissement de Strasbourg et le canton de Lingolsheim, près du canal de la Bruche et de la route départementale reliant Soultz-les-Bains à Strasbourg.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le canal de la Bruche et le ruisseau le Muhlbach[1],[Carte 1].
Le canal de la Bruche, d'une longueur de 19 km, reliait initialement Soultz-les-Bains, près de Molsheim à Strasbourg où il rejoint l'Ill, dans le quartier de la Montagne Verte[2].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Ill Nappe Rhin ». Ce document de planification concerne la nappe phréatique rhénane, les cours d'eau de la plaine d'Alsace et du piémont oriental du Sundgau, les canaux situés entre l'Ill et le Rhin et les zones humides de la plaine d'Alsace. Il s’étend sur 3 596 km2. Il a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[3].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 10,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,6 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Achenheim est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française)[Note 3], une agglomération internationale regroupant 23 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[13]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), zones urbanisées (16,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Hachinhaim en 736, Hahinheim en 884[17],[18].
Le premier élément s'analyse a priori comme un anthroponyme, nom de personne constituant la grande majorité des noms de lieux en -heim, -hem, -ham du monde germanique et anglo-saxon. L'appellatif toponymique heim signifie « ferme, hameau ». Ce toponyme dériverait de l'anthroponyme germanique Hacechinus ; -heim, signifiant que ce lieu était une ferme, la ferme d'un certain Hacechinus.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, qui ne citent aucune forme ancienne, ont vu dans le premier élément Achen-, à tort semble-t-il, le nom de personne germanique Askin qu'ils croient reconnaître dans Achain (Moselle, Archesingas [?] 857) et Achen (Moselle, Achkena 1271)[19]. Cependant, ce nom d'homme ne s'accorde pas avec la nature des formes anciennes qui postulent le nom de personne germanique Hacechinus[20],[21].
Àchene en alémanique.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et antiquité
[modifier | modifier le code]Paléoanthropologie
[modifier | modifier le code]C'est à Achenheim, mais aussi à Hangenbieten, que l'on trouve les traces des premiers hommes en Alsace[22], à l'époque paléolithique. Il s'agit en fait des outils d'Homo erectus, vieux d'environ 700 000 ans (600 000 ans selon Jean-Claude Gall[23]), et découverts dans les lœssières.
On y retrouve également les traces d'Homo neanderthalensis datant de 120 000 ans. Il s'agit selon toute vraisemblance d'une aire de dépeçage, car on y a identifié des objets associés à des ossements de cheval et de rhinocéros[22].
Phylogénie des espèces récentes du genre Homo, d'après Strait, Grine & Fleagle (2015)[24], et Meyer & al. (2016)[25] :
Homo |
| |||||||||||||||||||||||||||||||||
Paléontologie
[modifier | modifier le code]Les travaux de Paul Wernert ont mis en lumière les richesses paléontologiques des lœssières d'Achenheim et Hangenbieten. Les lœss correspondent aux climats glaciaires, et les lehms[Note 6] aux périodes climatiques interglaciaires. Avant la glaciation de Mindel, on relève les traces d'éléphants, rhinocéros, hippopotames, chevaux, cerfs, etc. Pendant la glaciation, on trouve des rennes et des éléphants des steppes. Dans la période interglaciaire, les éléphants et rhinocéros refont leur apparition, évoluant dans un milieu constitué de charmes, tilleuls et noisetiers. Pendant la glaciation de Riss, on revoit les bisons, les chevaux et les rennes, le rhinocéros laineux, sans oublier le cerf de très grande taille Megaloceros. Dans la période interglaciaire, une faune adaptée à un climat plus clément revient. Derechef, lors de la dernière glaciation, celle de Würm, on voit les bisons, les chevaux et les rennes, ainsi que les mammouths. On trouve les loups et les ours des cavernes. À la fin de cette glaciation les mammouths et les rhinocéros laineux disparaissent[Note 7], les rennes migrent vers le nord[23].
Archéologie
[modifier | modifier le code]Des fouilles archéologiques ont été réalisées sur un site daté entre 4400 et 4200 ans avant notre ère[26].
Entre Adamswiller et Mackwiller, on a trouvé des tombes antiques qui ont donné son nom à la hauteur où elles se trouvent, à savoir le Todtenberg (« Mont des morts »). La stratigraphie de la commune est d'ailleurs une des références fondamentales pour l’étude du Quaternaire en Europe. On a aussi trouvé une cabane gallo-romaine contenant de nombreuses poteries, mises à jour en 1945 dans les sous-sols de l'ancienne briqueterie Schaeffer, et des tuiles portant l'estampe de la 8e légion romaine, Legio VIII Augusta. À cette époque, les Romains structurent le village, déboisant, développant la culture, en particulier celle de la vigne et des arbres fruitiers, construisant des fortifications et améliorant le réseau routier. En 1927, on a découvert sept tombes mérovingiennes, témoignant ainsi de l'occupation du village.
Depuis l'Antiquité
[modifier | modifier le code]En 884, Achenheim faisait partie du chapitre rural de l'abbaye de Honau. En 1146, le monastère d'Eschau possède dans le village une ferme de maître et deux moulins. Le village est brûlé par les Strasbourgeois en 1264, pendant la guerre opposant la ville avec son évêque Walter de Geroldseck. En 1657, le renouvellement du cadastre permet de connaître les noms des propriétaires des fermes : la majorité d'entre elles appartiennent à la commune, mais quelques-unes relèvent d'œuvres religieuses ou laïques.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[31] :
Candidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
Eva Joly (EÉLV) | 29 | 2,04 | |||
Marine Le Pen (FN) | 281 | 19,80 | |||
Nicolas Sarkozy (UMP) | 531 | 37,42 | 936 | 68,82 | |
Jean-Luc Mélenchon (FG) | 69 | 4,86 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 6 | 0,42 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 10 | 0,70 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 1 | 0,07 | |||
François Bayrou (MoDem) | 193 | 13,60 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) | 26 | 1,83 | |||
François Hollande (PS) | 273 | 19,24 | 424 | 31,18 | |
Inscrits | 1714 | 100,00 | 1715 | 100,00 | |
Abstentions | 258 | 15,05 | 259 | 15,10 | |
Votants | 1456 | 84,95 | 1456 | 84,90 | |
Blancs et nuls | 37 | 2,54 | 96 | 6,59 | |
Exprimés | 1419 | 97,46 | 1360 | 93,41 |
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[32] :
Candidat | Premier tour | Deuxième tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
% | Voix | % | Voix | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) | 6,34 | 90 | ||||
Marine Le Pen (FN) | 20,00 | 284 | 29,21 | 371 | ||
Emmanuel Macron (EM) | 26,06 | 370 | 70,79 | 899 | ||
Benoît Hamon (PS) | 4,30 | 61 | ||||
Nathalie Arthaud (LO) | 0,28 | 4 | ||||
Philippe Poutou (NPA) | 0,85 | 12 | ||||
Jacques Cheminade (SP) | 0,00 | 0 | ||||
Jean Lassalle (RES) | 0,77 | 11 | ||||
Jean-Luc Mélenchon (LFI) | 10,85 | 154 | ||||
François Asselineau (UPR) | 1,20 | 17 | ||||
François Fillon (LR) | 29,37 | 417 | ||||
Inscrits | 1 739 | 100,00 | 1 739 | 100,00 | ||
Abstentions | 278 | 15,99 | 352 | 20,24 | ||
Votants | 1 461 | 84,01 | 1 387 | 79,76 | ||
Blancs | 32 | 2,19 | 93 | 6,71 | ||
Nuls | 9 | 0,62 | 24 | 1,73 | ||
Exprimés | 1 420 | 97,19 | 1 270 | 91,56 |
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Les habitants sont nommés les Achenheimois[33].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2021, la commune comptait 2 504 habitants[Note 8], en évolution de +22,62 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
[modifier | modifier le code]L'Achenheim Truchtersheim Handball (ATH) est un club de handball né en 2008 de la fusion du THCL et du FSE Achenheim et dont l'équipe 1 joue en N1F (Nationale 1 féminine) ; il est composé d'équipes jeunes et seniors masculines et féminines et d'une école de handball pour les tout petits (compétition et loisirs).
Les matchs à domicile ainsi que les entraînements se déroulent aux gymnases des collèges d'Achenheim et de Truchtersheim[38].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]L'église Saint-Georges
[modifier | modifier le code]-
Église Saint-Georges d'Achenheim. -
Portail néo-classique. -
Vue intérieure de la nef
vers le chœur. -
Vue intérieure de la nef
vers la tribune d'orgue.
Autres bâtiments
[modifier | modifier le code]-
Tuilerie d'Achenheim. -
Bâtiments industriels de la tuilerie. -
Château (1882), 5 rue de l'Église. -
Ancienne école (1821),
1 rue de l'Église. -
Ferme (1820), 8 rue des Tilleuls.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]
Les armes d'Achenheim se blasonnent ainsi : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Strasbourg (partie française) comprend une ville-centre et 22 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Argile issue de la décalcification naturelle du lœss durant les périodes interglaciaires.
- Voir Extinction de l'Holocène#Europe.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Achenheim » sur Géoportail (consulté le 11 juin 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale d'Achenheim », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le canal de la Bruche »
- « SAGE Ill Nappe Rhin », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Achenheim et Entzheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- NPAG, III, p. 344b.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (Lire en ligne)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 2b.
- NPAG, I, p. 20a.
- Ernest Nègre, Op. cit.
- Madeleine Châtelet (sous la direction de ), Fouilles et Découvertes en Alsace, Éditions Ouest-France. (ISBN 978-2-7373-4765-8).
- Alsace, des fossiles et des hommes. Jean-Claude GALL. p. 79-83. (ISBN 2-7165-0655-8).
- [Strait, Grine & Fleagle 2015] (en) David Strait, Frederick Grine et John Fleagle, « Analyzing Hominin Phylogeny : Cladistic Approach », dans Winfried Henke & Ian Tattersall, Handbook of Paleoanthropology, (ISBN 9783642399787, lire en ligne), p. 1989-2014.
- [Meyer et al. 2016] (en) Matthias Meyer et al., « Nuclear DNA sequences from the Middle Pleistocene Sima de los Huesos hominins », Nature, vol. 531, no 7595, , p. 504-507 (DOI 10.1038/nature17405, résumé).
- Un massacre de «Parisiens» en Alsace, scilogs.fr, 10 juillet 2016
- D.E. Wirtz-Habermeyer, « Une commune, c'est comme une entreprise », Les Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
- A.G., « Jean-Jacques Fritz est décédé », Les Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
- « Raymond Leipp, nouveau maire », Les Dernières Nouvelles d'Alsace, (lire en ligne).
- « Résultats de l'élection municipale de 2014 à Achenheim »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur amf.asso.fr (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur - Bas-Rhin (Alsace), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Achenheim » (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur - Bas-Rhin (Grand Est), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Achenheim » (consulté le ).
- « Le nom des habitants du 67 - Bas-Rhin - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Vie du club et prochains matchs de « Achenheim Truchtersheim Entente ».
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).