Angerville-l'Orcher
Angerville-l'Orcher | |||||
L'ancienne mairie-école actuellement reconvertie en maison de santé | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Le Havre | ||||
Intercommunalité | CU Le Havre Seine Métropole | ||||
Maire Mandat |
Frédéric Basille 2020-2026 |
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Code postal | 76280 | ||||
Code commune | 76014 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Angervillais | ||||
Population municipale |
1 394 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 141 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 15″ nord, 0° 16′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 74 m Max. 130 m |
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Superficie | 9,91 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Octeville-sur-Mer | ||||
Législatives | 9e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | https://www.angervillelorcher.fr/ | ||||
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Angerville-l’Orcher est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Commune du pays de Caux située dans le canton d'Octeville-sur-Mer.
Principaux écarts : la Romainerie, le Loir et Esclatot.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hermeville, Vergetot, Saint-Sauveur-d'Émalleville | Manneville-la-Goupil | |||
Maneglise | N | Graimbouville | ||
O Angerville-l'Orcher E | ||||
S | ||||
Étainhus |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 991 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Octeville-sur-Mer à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Angerville-l'Orcher est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,2 %), prairies (21,3 %), zones urbanisées (7,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes de Ansgervilla en 1199 ; Ecclesia de Angiervilla en 1261 ; Ansguierville l'Aurichier en 1319[13] ; Anguierville la Richier entre 1398 et 1403[13] ; Angierville l'Aurichier entre 1422 et 1459[14] ; Anguierville l'Aurrichier en 1405[15] ; Angerville l'Aurrechier en 1424[16] ; Anguierville l'Auricher en 1428 ; Angierville l'Aoricher en 1471 ; l'Aurrichier en 1490[17] ; Angiervilla en 1481[18] ; Angerville l'Aurechier en 1505 et 1506[19] ; Angerville L'Orrichier en 1519[20] ; Angierville l'Aurecher au XVIe siècle[21] ; Angerville l'Orecher en 1648, Angerville l'Orcher entre 1704 et 1738 (Pouillés) ; Notre Dame d'Angerville l'Orcher en 1713[22] ; Angerville l'Orcher en 1715 (Frémont), en 1757 (Cassini)[23], Angerville-Larcher en 1762-1767[24],[25].
La première partie du nom de la commune est constitué de deux éléments : le nom d'Asgeir ou Ansgar, d'origine scandinave, vraisemblablement celui du seigneur propriétaire des terres au Haut Moyen Âge, et le substantif latin de villa, renvoyant au domaine rural. Une autre possibilité serait d'invoquer le nom de la famille d'Anzeray[26].
Le qualificatif d’Orcher provient la célèbre famille Aurichier qui tirait justement son nom du château d'Orcher (jadis Aurichier) dans la paroisse de Gonfreville-l'Orcher[27]. Aurichier est un nom de lieu anglo-scandinave, attesté sous cette forme dès le XIIe siècle, composé du vieil anglais alri, alor (moderne alder) « aulne » et du norrois kjarr « marais, bosquet d'arbrisseaux, broussaille »[27].
Histoire
[modifier | modifier le code]La trouvaille d'une hache polie sur le territoire de la commune montre que le site était occupé dès la Préhistoire[28].
L'origine d'Angerville-l'Orcher se situe dans un établissement rural probablement fondé au Xe siècle. L’if millénaire, planté à côté de l'église et de son ancien cimetière, aurait été mis en terre à cette époque[29].
Au Moyen Âge, le fief d’Angerville appartenait aux seigneurs d’Orcher, notamment Guillaume d’Orcher, sire d’Auvrecher et d’Angerville, actif vers 1210[30]. Cette possession féodale est confirmée par Philippe Auguste après la confiscation de 1204[29].
L'historien Auguste Lechevalier considère que cette paroisse était l'une des plus riches de la région en raison de la fertilité de son sol, à travers l'estimation de la valeur des cures donnée par le pouillé d'Eude Rigaud en 1275[31].
Au XIVe siècle, Angerville-l’Orcher est un centre de fabrication de toile de lin où travaillent maîtres toiliers et apprentis[32]. En 1587, pendant les Guerres de Religion, le duc de Guise remporte, à proximité de ce village, une victoire sur 400 Suisses, alliés des protestants[29].
Vers 1745, la fabrique paroissiale est autorisée à loger le curé dans le presbytère établi dans un ancien manoir seigneurial[29].
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de L'Égalité[33]. L'existence d'une société populaire comportant une petite cinquantaine de membres jacobins est attestée pendant la Terreur[34]. Angerville l'Orcher était alors le chef-lieu d'un canton comptant huit communes[34].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[40].
En 2021, la commune comptait 1 394 habitants[Note 2], en évolution de −2,92 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Le 14 octobre 2023, une Association pour le Patrimoine d'Angerville l'Orcher (APALO) est créée ; placée sous la direction de Mélanie Lechevallier, avec la participation de l'historien Nicolas Preud'homme et de l'écrivaine Catherine Vargues, elle entend contribuer à préserver les lieux patrimoniaux et entretenir la vie culturelle du village[42].
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'Église Notre-Dame, classée monument historique, conserve un portail du XIe siècle et un clocher de l'époque romane (XIIe – XIIIe siècle) figurant parmi les plus remarquables de l'architecture romane du Pays de Caux[43]. Le chœur date du XIVe siècle, tandis qu'un porche a été ajouté au XVIIIe siècle[32]. Au sein de l'église, un retable du XIXe siècle, conçu dans l'imitation du style du XVIIe siècle, figure la Présentation au Temple, orné de quatre chandeliers en bois doré et d'une croix au-dessus du tabernacle datant de la même période[29]. En ce qui touche aux décors intérieurs de l'église, une litre seigneuriale consistant en une bande noire à valeur funéraire de 51 cm de large est située à environ 2,52 m du sol de l'église dont elle parcourt les murs intérieurs dans la chapelle nord reconvertie en sacrisitie. Un blason seigneurial peint sur un mur de la chapelle nord présente de fortes similitudes avec les armoiries de la famille Du Hamel de Grémonville de Melmont d'Orcher[44]. Concernant les ornements extérieurs, un timbre représentant une couronne richement décorée de perles et de rubis, consistant en neuf pointes surmontées de grosses perles blanches. Les supports sont des feuillages rappelant les feuilles d’acanthe. Les tenants sont des archers, torse nu, portant des pagnes et des épaulettes en feuilles. Ils tiennent un arc dans une main et soutiennent, de l’autre, des feuilles d’acanthe entourant l’écu. Sur le mur septentrional, des lévriers blancs se superposent aux tenants hommes, debout sur leurs pattes arrière et posant leurs pattes avant sur les supports de feuillage. Le sol est peint de manière sommaire, suggérant un parterre d’herbes. Sur le mur sud, les armoiries sont altérées et difficilement discernables. Le mur ouest présente un blason très altéré par un nettoyage incontrôlé. Sur le mur nord, le blason est mieux préservé, il présente l’écusson et les lévriers gris clairs plus visibles[45].
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L'église romane bâtie à partir du XIe siècle
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Les vitraux de la façade nord
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La façade nord au début du XXe siècle
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Le clocher à la même époque
- L'ancien manoir seigneurial, restructuré en presbytère au milieu du XVIIIe siècle[32], est reconverti en bâtiment municipal et en école sous la Révolution française, redevint presbytère au XIXe siècle, avant d'être à nouveau reconverti en mairie en 2016-2017[46].
- L'ancien cimetière protestant, dont l'origine remonte probablement à l'époque moderne, et qui demeura actif sur son site actuel au moins au XIXe siècle et au début du XXe siècle, est aujourd'hui désaffecté[47].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Site classé
- L'If commun de l'ancien cimetière, Site classé (1932) ; IXe siècle[48].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Le 23 mars 1789, lors de l'élection des représentants aux États généraux, le curé d'Angerville l'Orcher, Pierre-Charles Eude, est élu député avec une large majorité au premier tour[49]. Âgé à ce moment-là de cinquante ans, cet homme était réputé être un homme éclairé par l'esprit des Lumières. Il avait pris part activement au mouvement des assemblées provinciales de 1787, à travers ses fonctions de procureur-syndic de la commission permanente de l'assemblée de Montivilliers. Expérimenté sur les questions financières, administratives et sociales, il demeura cependant très effacé à l'Assemblée Nationale Constituante. Il fait partie des clercs qui acceptèrent la Constitution civile du clergé, en étant toutefois parmi les derniers à se décider, le 3 janvier 1791[49]. On ne lui connaît pas d'interventions personnelles, seulement un congé de six semaines accordé le 9 avril 1791[50].
Sous la Révolution française et le Consulat, à l'époque où Angerville l'Orcher était chef-lieu de canton, Louis Robin exerça les fonctions de juge de paix dans son tribunal établi au sein de l'ancien presbytère de la commune d'Angerville l'Orcher. Les archives judiciaires de ce tribunal local ont été conservées[51].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de la commune d'Angerville-l'Orcher se blasonnent ainsi : La présence d'un léopard rappelle les armes de la Normandie. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Angerville-l'Orcher sur le site de l'Insee
- « Dossier complet : Commune d'Angerville-l'Orcher (76014) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Angerville-l'Orcher »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Angerville-l'Orcher et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267.
- Archives de Seine-Maritime, G 3268, 3269.
- Archives de Seine-Maritime, G 20-22.
- Archives de Seine-Maritime tab. Rouen, reg. 21 f. 128 v.
- Archives de Seine-Maritime, 18 H.
- Archives de Seine-Maritime, G 1584.
- Archives de Seine-Maritime G 91.
- Archives de Seine-Maritime, G 100.
- Archives de Seine-Maritime, G 4.
- Archives de Seine-Maritime, G 737.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, p. 11.
- Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, tome 1, Paris, 1762, p. 185 (voir en ligne)
- Le grand vocabulaire françois, Panckoucke, Paris, 1767, p. 395 (voir en ligne).
- Toussaint Du Plessis, Description geographique et historique de la Haute Normandie, divisée en deux parties. La premiere comprend le Pais de Caux; et la seconde le Vexin. On y a joint un dictionnaire geographique complet, & les cartes... de ces deux provinces, chez Pierre-François Giffart, (lire en ligne)
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), , Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1), OCLC 6403150), p. 84 - 164.
- Charles Brisson, « IV. — Fouilles et découvertes archéologiques », Annales de Normandie, vol. 7, no 1, , p. 109–113 (lire en ligne, consulté le )
- « Notre Dame de l’Assomption d’Angerville l’Orcher », sur Diocèse du Havre (consulté le ).
- Auguste Lechevalier, Recherches historiques sur les communes du canton de Criquetot l'Esneval, Paris, Le Livre d'histoire, 2011, réimpression de l'édition de 1897, p. 65.
- Auguste Lechevalier, Recherches historiques sur les communes du canton de Criquetot l'Esneval, Paris, Le Livre d'histoire, 2011, réimpression de l'édition de 1897, p. 63.
- « Histoire, patrimoine et territoire de la commune », sur Angerville-l'Orcher (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Danièle Pingue, « Un Jacobisme de masse : les Sociétés Populaires en Haute-Normandie (1793-1795) », Annales de Normandie, vol. 39, no 2, , p. 155–176 (DOI 10.3406/annor.1989.1842, lire en ligne, consulté le )
- Une école primaire de la commune honore l'action de Bernard Gauvain
- « Angerville-l'Orcher », Les équipes municipales, sur seine76.net, (consulté le ).
- Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Le conseil municipal est installé : Florence Durande repart pour un second mandat. », Le Côte d’Albâtre, (lire en ligne).
- « Municipales 2020. Frédéric Basille, nouveau maire d’Angerville-l’Orcher : Frédéric Basille a été élu maire lors du conseil municipal d’installation. Il sera secondé par trois adjoints », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Frédéric Basille a été élu maire et a salué l’équipe sortante pour le travail accompli, notamment Florence Durande, Daniel Lebrun et Sylvie Boulen ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Angerville-l'Orcher. Des passionnés, passeurs d'histoire », sur lecourriercauchois.fr (consulté le )
- Notice no PA00100541, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L’écu, de forme elliptique, mesure 19 cm de hauteur pour 17 cm de large. Les armes sont coupées en chef, avec la partie supérieure en métal or et la partie inférieure en émail gueules. Sur le chef en or, quatre molettes de sable noires sont peintes, tandis que sur la partie inférieure en gueules, des meubles non identifiés de couleur blanche sont disposés en cercle. Source : rapport de Madame Céline Maujaret Guiné envoyé à la Mairie d'Angerville l'Orcher en septembre 2024.
- Source : rapport de Madame Céline Maujaret Guiné remis à la Mairie d'Angerville l'Orcher en septembre 2024.
- « Angerville-l'Orcher : la nouvelle mairie inaugurée », sur lecourriercauchois.fr (consulté le ).
- Jean-Marie Vallez, « Un révélateur du protestantisme normand au début du XVIIe siècle : l'attribution de cimetières par les commissaires du roi (1611-1612) », Annales de Normandie, vol. 51, no 2, , p. 139–172 (DOI 10.3406/annor.2001.1304, lire en ligne, consulté le )
- « Des arbres à la longévité exceptionnelle à découvrir autour du Havre », sur Paris-Normandie, (consulté le ).
- Claire Lejeune, « La faillite des ordres privilégiés à la veille de la Révolution. Dominique de Pradt, du diocèse de Rouen aux États Généraux », Annales de Normandie, vol. 50, no 4, , p. 483–509 (DOI 10.3406/annor.2000.1276, lire en ligne, consulté le )
- « Congés de M. Eudet, curé d'Angerville-l'Orcher, lors de la séance du 9 avril 1791 », Archives Parlementaires de la Révolution Française, vol. 24, no 1, , p. 657–657 (lire en ligne, consulté le )
- Nicolas Preud'homme, « Actes de la justice de paix du canton d'Angerville l'Orcher - 1791-1802 », Document mis en ligne sur Academia.edu, (lire en ligne, consulté le )