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Curgy

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Curgy
Curgy
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Autunois Morvan
Maire
Mandat
André Lhoste
2020-2026
Code postal 71400
Code commune 71162
Démographie
Gentilé Curgéens
Population
municipale
1 118 hab. (2021 en évolution de −0,71 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 59′ 08″ nord, 4° 23′ 03″ est
Altitude Min. 299 m
Max. 537 m
Superficie 31,58 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Autun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autun-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web curgy.fr

Curgy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Son nom ancien est Veredumdiacum (IXe siècle) - Vergonce - Vergince au XIIIe siècle, nom dont les historiens n'ont pas donné à ce jour une origine.

Géographie

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Distante de 7 km du parc naturel régional du Morvan et 7 km d'Autun, elle fait partie du canton d'Autun-Sud. Elle est située à une altitude moyenne de 418 m, avec un point culminant à 537 m et au minimum 299 m. La mairie est à 347 mètres.

Sur le territoire de la commune est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt des Feuillies (contenance totale : 419,26 ha), qui mêle conifères et feuillus[1].

Hydrographie

Communes limitrophes

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Rose des vents Dracy-Saint-Loup Saint-Léger-du-Bois Rose des vents
N
O    Curgy    E
S
Autun
quartier Saint-Pantaléon
Auxy Sully

La commune repose sur le gisement de schiste bitumineux d'Autun daté de l'Autunien (−299 et −282 millions d'années)[2],[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 009 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Autun », sur la commune d'Autun à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,3 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Au , Curgy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[12]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,9 %), forêts (15,3 %), terres arables (15 %), zones agricoles hétérogènes (8,9 %), zones urbanisées (2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Ce finage, ancienne paroisse Saint-Denis de Péon, est attestée au VIIIe siècle. Elle dépendait du diocèse et de l'archiprêtré d'Autun.

Le village connait une forte expansion à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, liée à l'exploitation de schistes bitumineux avec l'accord de plusieurs concessions minières[2],[3].

Une fontaine du XIXe siècle, en ce lieu fait l'objet d'une inscription à l'Inventaire Général[16].

Il y avait jadis en ce lieu une forteresse de plaine, connue par les textes et dont aucune trace ne subsiste.

Son nom viendrait de : Drusius, gentillice gallo-romain, Droisinium, ou Droisonium est une terre jointe à Saint-Denis en 1098[17] En 1264, existe une terre appartenant à feu Pierre de Drousson, chevalier. Terre donnée en 1268, par Hugues de Lucenay, à l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun[18] Il y avait sur son territoire une chapelle aujourd'hui disparue, sous le vocable de Saint-Léger-du-Chemin. En 1330, la veuve du seigneur de Drousson, prénommée Guillemette, choisit sa sépulture à l'abbaye de Saint-Symphorien d'Autun, qui dépendait de Saint-Martin d'Autun. En 1474, un noble Guiot Bataille est seigneur, en toute justice de Drousson.

La tour de Drousson, se dresse sur une quinzaine de mètres, avec un diamètre de 5,30 mètres, une épaisseur de mur atteignant près d'un mètre au premier étage, par lequel on accède par un escalier extérieur, abrité d'une double rampe en pierre. L'escalier menant au second n'existe plus. C'est la seule tour subsistante d'une enceinte fortifiée. Ses meurtrières prouvent ses fonctions défensives. Au Couchant, une mare semble être le vestige d'un étang. Il est possible que les lieux furent entourés d'eau. Elle semble dater du XIVe siècle. C'est aujourd'hui une ferme, propriété privée.

En 1305, un prêtre du nom de Bardoux[19], cède à l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, Un pré attenant à l'église :" S. leodegarii de Chemino subtum fontem "[20] L'église de Drousson était entourée d'un petit cimetière et portait le nom de : " Saint-Léger-du-Chemin ". Cette chapelle est attestée au début du XIVe siècle, mais il n'est pas impossible qu'elle ou une précédente corresponde à l'oratoire ou Ansbert, évêque d'Autun et l'ancien abbé de l'abbaye de Saint-Symphorien d'Autun, avait fait élever sous le vocable de saint Léger et il y aurait été inhumé[21]

Des vestiges gallo-romains furent retrouvés, dans les champs environnants au siècle dernier[22].

Il existe dans ce hameau des ruines d'une forteresse de plaine, citée en 1380, de formes quadrangulaires. Il y a deux étangs. Au XIXe siècle furent découverts des stèles funéraires, sarcophages, et autres antiquités. Carrières de grès déjà exploitées aux temps des Romains. Ce fief mouvait de Grosme, propriété de l'évêque démembrée de Sully qui relevait de Couches. Jean Bataillard, écuyer fait hommage en 1380, à Philibert de Montagu, pour ses terres de Pauvray. Plus tard en 1469, Louis Damas d'Alone, est dit seigneur de Pauvray. Simon de Montagu, lieutenant général de la Chancellerie d'Autun, donne dénombrement de sa seigneurie de Pauvray[23].

Savigny-le-Vieux

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Une fontaine, à l'état de vestiges est inscrite à l'inventaire général[24]. Le château de Savigny-le-Vieux, décrit plus loin, ainsi qu'une motte circulaire en plaine[25].

Existait en ce lieu une seigneurie avec une forteresse dite de plaine, citée en 1345. Une tour y subsistait avant la Révolution. Édifice quadrangulaire de deux niveaux. L'ensemble était composé d'une grande maison, cour, grange, étables, le tout clos de mur (terrier de 1440)[26]. Construction ayant intégrée des vestiges. Gaudricus de Vergoncey, est inscrit au nécrologe de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun : «  XV id. Gaudricus de Vergoncey ». En 1389, le seigneur des lieux, Robert de Vergoncey, fonde son anniversaire à la même abbaye, pour la célébration de messes à perpétuité, il fait une donation de 28 sous sur la terre de Vergoncey[27].

Les Crets de Vergoncey

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Colline composée de calcaire, où se trouvait jadis une carrière de pierre à chaux et dont les flancs supportent les dernières vignes autunoises[28].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 2007 Paul Bouly    
mars 2008 mars 2014 Daniel Leduc    
mars 2014 en cours André Lhoste    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 1 118 habitants[Note 3], en évolution de −0,71 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8098638181 2551 3251 2801 3451 3151 306
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3001 2501 3471 3161 3301 3251 2961 2601 302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2031 2231 051869839819783807766
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
7467859139271 0401 1371 1391 0961 142
2021 - - - - - - - -
1 118--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-Ferréol de Curgy de type roman est classée monument historique en 1897.

C'est une construction de pur style roman, réalisée au XIe siècle. Dans l'abside, fresques du XIIe siècle. Christ en Gloire dans une mandorle, au-dessus de l'autel, entouré des symboles des quatre évangélistes. La fresque à une hauteur de 3,78 mètres, représentant des figures bibliques. Elle fut sauvée de la destruction par Jacques Gabriel Bulliot, qui obtient son classement en 1897. Elle fut restaurée en 1954 et 1958, et en 1985, pour le chœur. Son clocher, coiffé en bâtière[33], est percé de deux baies à colonnes jumelées sur les quatre faces ; il date du début du XIIe siècle[34].Logo monument historique Classé MH (1897).

Château de Savigny-le-Vieux, enceinte et donjon, XIVe et XVIe siècles, classement partiel, sol contenant des traces de fortifications, propriété privée[35].Logo monument historique Classé MH (1990).

Le village possède un club de basket-ball (Curgy Basket) dont l'équipe senior évolue en Nationale 3 pour la saison 2010-2011.

Jardin permaculture pédagogique de Vergoncey.

En 2016, un écolieu à but pédagogique Alôsnys est en construction à Vergoncey. Il est possible de venir cueillir ses légumes dans le jardin bio en permaculture, de profiter de visites guidées en famille. Le jardin est un organisme de formation certifié par l'État accueillant des écoles, centres de loisirs et adultes en formation permaculture. Le nom Alôsnys vient du comte Alôsne ayant habité les lieux au XVe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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  • Gérard Guénot, Une promenade en Autunois : Curgy, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 27 (), pp. 3–5.
  • Abbé Girard : Bulletin paroissial de Curgy, notice historique (vers 1980-1990).
  • Jacques Gabriel Bulliot : Essai historique sur l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, publication de la Société Eduenne, 1849, 2 vol.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 31 (novembre 1976), pp. 7-10.
  2. a et b [PDF] J. Le Goff, Etude des aléas miniers dans le bassin d'Autun, Bourgogne (71) (exploitations de houille, schistes bitumineux et fluorine) : Communes de Autun, Barnay, Cordesse, Curgy, Dracy-Saint-Loup, Igornay, La Celle en Morvan, Monthelon, La Grande Verrière, La Petite Verrière, Reclesne, Saint Forgeot, Saint Léger du Bois, Sully et Tavernay, Géoderis, Volume 1 et Volume 4.
  3. a et b [PDF] R.Feys, Puits et sondage dans le bassin d'Autun et Epinac, des origines à nos jours, BRGM, (lire en ligne), p. 20-21.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Curgy et Autun », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Autun », sur la commune d'Autun - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Autun », sur la commune d'Autun - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Curgy ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Référence Base Mérimée IA71000716
  17. André Déléage: Recueil des actes du Prieuré de Saint-Syphorien, p. 50, pièce 20.Autun 1936
  18. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte n°LXXVIII. Texte en ligne.
  19. « " Saint-Léger-du-Chemin à Curgy " ».
  20. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte n° CI. Texte en ligne.
  21. Abbé Péquégnot: " Légendaire d'Autun ", 1846,In-12°.t.I., p. 119-121, cité par Roland Niaux
  22. Roland Niaux : " Drousson à Curgy ", Texte en ligne 2008.
  23. « Roland Niaux: " Pauvray à Curgy ",Ed Viviane Niaux 2008. ».
  24. Référence Base Mérimée IA71000715
  25. Roland Niaux : " L'Habitat Médiéval fortifié dans les cantons d'Autun " Texte en ligne.Viviane Niaux Éditeur.
  26. cité par Roland Niaux : " Curgy, Vergoncey "texte en ligne.
  27. Cartulaire de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun, Charte CXL.
  28. « Roland Niaux : Curgy, Vergoncey ».
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Clochers en bâtière », article de Fernand Nicolas paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 132 de décembre 2002 (pages 2 à 5).
  34. « Église », notice no PA00113262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Château de Savigny-le-Vieux », notice no PA00113537, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.