Dombrot-le-Sec
Dombrot-le-Sec | |
Vue générale. | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Les Vosges Côté Sud-Ouest |
Maire Mandat |
Bernard Salquebre 2020-2026 |
Code postal | 88140 |
Code commune | 88140 |
Démographie | |
Gentilé | Dombriciens, Dombriciennes |
Population municipale |
361 hab. (2021 ) |
Densité | 19 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 08′ 47″ nord, 5° 54′ 39″ est |
Altitude | Min. 357 m Max. 485 m |
Superficie | 18,89 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Vittel - Contrexéville (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vittel |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
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Dombrot-le-Sec est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.
Ses habitants sont appelés les Dombriciens.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Dombrot-le-Sec, village situé sur la route D 164, à environ 5 kilomètres au sud de Contrexéville, ne doit pas être confondu avec un autre du même département, Dombrot-sur-Vair, à 8 km au nord de Contrexéville.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Suriauville | Contrexéville | Lignéville | ||
Crainvilliers | N | |||
O Dombrot-le-Sec E | ||||
S | ||||
Martigny-les-Bains | Marey Serocourt |
Viviers-le-Gras Gignéville |
Hydrographie et les eaux souterraines
[modifier | modifier le code]Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse et pour partie dans le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par le Vair, l'Anger et le ruisseau de Dombrot-Le-Sec[1],[Carte 1].
Le Vair, d'une longueur totale de 65,3 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Meuse à Maxey-sur-Meuse, en limite avec Greux, après avoir traversé 23 communes[2].
L'Anger, d'une longueur totale de 27,9 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Mouzon en limite de Circourt-sur-Mouzon et de Pompierre, après avoir traversé onze communes[3].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 2] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[4].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lignéville », sur la commune de Lignéville à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 3],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Dombrot-le-Sec est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (40,7 %), terres arables (31,1 %), forêts (25,1 %), zones urbanisées (3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communications et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]- Autoroute A31 : Échangeurs Bulgnéville, Robécourt, Châtenois.
Transports en commun
[modifier | modifier le code]Lignes SNCF
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Contrairement à ce qui est écrit dans le Dictionnaire des communes de Léon Louis et Paul Chevreux[17], la seigneurie de Dombrot n'appartenait pas[18], en 1711, à Anne-Claude-Renée de Ligniville, comtesse de Monchat. Madame de Montchat avait été mise en faillite, en 1688, par le parlement de Metz. La seigneurie fut mise en vente à la criée. Elle trouva acquéreur en 1691, fut revendue en 1695, puis le 13 février 1696, et enfin, le 23 février 1696, Joseph de Bouzey s'en rendit acquéreur[18]. Dombrot est restée dans la famille de Bouzey jusqu'à la Révolution.
Joseph de Bouzey était seigneur en partie du village de Bouzey (devenu Dombrot-sur-Vair)[18].
Son fils aîné, Nicolas Joseph, lui succéda comme seigneur de Dombrot. Lors de son mariage, en 1704, il reçut, en avancement d'hoirie, les trois quarts de la terre et seigneurie de Dombrot. Il acheta le quart restant à sa mère, en 1708, après le décès de son père[18].
En 1715, la seigneurie de Dombrot fut érigée en comté par lettre patente de Léopold Ier, duc de Lorraine : le comté de Bouzey. Le village devint Bouzey et Bouzey devint Dombrot. Sur les cartes du XVIIIe siècle, on peut lire « Bouzey cy devant Dombrot » et « Dombrot cy devant Bouzey »[18].
Au moment de la Révolution, le village demanda à reprendre son nom initial, ce qui lui fut accordé par le Directoire du Département le 21 juillet 1790. Mais le village de Dombrot ne voulut pas reprendre son ancien nom de Bouzey. On eut donc deux villages appelés Dombrot jusqu'à ce que l'administration décide, en 1857, de les distinguer en Dombrot-le-Sec et Dombrot-sur-Vair[18].
Sous l'Ancien Régime, Dombrot appartenait à la prévôté de Darney, bailliage de Vosge, puis au bailliage de Darney à partir de 1751[18].
À la Révolution, la commune fit partie du canton de Lignéville et du district de Darney. Lors de la réforme administrative de 1800, le canton de Lignéville fut supprimé et Dombrot intégra le canton de Vittel. Les districts devinrent des arrondissements et le canton de Vittel fit partie de l'arrondissement de Mirecourt. En 1926, l'arrondissement de Mirecourt fut supprimé. Le canton de Vittel se retrouva dans l'arrondissement de Neufchâteau[18].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Budget et fiscalité 2022
[modifier | modifier le code]En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :
- total des produits de fonctionnement : 252 000 €, soit 661 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 27 000 €, soit 593 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 471 000 €, soit 1 233 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 513 000 €, soit 1 343 € par habitant ;
- endettement : 208 000 €, soit 544 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 14,33 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 34,10 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 14,42 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 800 €[20].
Économie
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]- Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.
- Élevage de vaches laitières.
- Élevage d'autres bovins et de buffles.
- Élevage d'ovins et de caprins.
- Élevage d'autres animaux.
- Exploitation forestière.
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Hébergements et restauration à Contrexéville, Vittel, Bulgnéville, Dombasle-devant-Darney, Monthureux-sur-Saônz.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Commerces et services de proximité.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 361 habitants[Note 5], en évolution de −3,99 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]Établissements d'enseignements[25] :
- Écoles maternelles et primaires à Dombrot-le-Sec, Viviers-le-Gras, Contrexéville, Martigny-les-Bains, Vittel.
- Collèges à Contrexéville, Vittel, Martigny-les-Bains, Mandres-sur-Vair, Lamarche.
- Lycées à Contrexéville, Mandres-sur-Vair, Mirecourt.
Santé
[modifier | modifier le code]Professionnels et établissements de santé[26] :
- Médecins à Contrexéville, Vittel, Martigny-les-Bains, Bulgnéville, Darney.
- Pharmacies à Contrexéville, Vittel, Martigny-les-Bains, Bulgnéville, Darney.
- Hôpitaux à Vittel, Lamarche, Mattaincourt, Ville-sur-Illon.
Cultes
[modifier | modifier le code]- Culte catholique, Paroisse Saint-Basle-de-la-Plaine[27], Diocèse de Saint-Dié.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
Église Saint-Brice (2009).
-
Église Saint-Brice (2011).
-
Château de Dombrot (2015).
-
Fontaine et égayoir (2015).
-
Égayoir (2015).
- L'église Saint-Brice est classée monument historique depuis 1907[28]. Son gros œuvre date du XIIIe siècle.
- Monument aux morts[36].
- Architecture rurale recensée par le service de l'Inventaire général du patrimoine culturel[37],[38].
- Château de Dombrot (XVIIe siècle).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | D’or à une tête de lion de sable ; mantelé de gueules chargé à dextre d’un crosseron d’or sur lequel broche une tête d’aigle d’argent et à senestre d’une fontaine héraldique d'or remplie d'azur traversée par une source d'argent[39]. |
|
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Détails | Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS, Marie-Hélène BRETEILLE et Bernard GEORGIN et adoptées par la commune le 11 juillet 2019. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Présentation de la commune de Dombrot-le-Sec, sur inventaire.grandest.fr/
- E dépôt 142. Archives communales de Dombrot-le-Sec (1710-1939). Répertoire numérique détaillé établi par Delphine Lelarge, sous la direction de Marie-Astrid Zang, avec une introduction de Lucette Husson, Archives départementales des Vosges, Épinal 2012, 21 p.
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 418 : Dombrot-le-Sec
- Armes de Dombrot-le-Sec
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Dombrot-le-Sec sur le site de l'Institut géographique national
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La ligne de partage des eaux entre le bassin Rhin-Meuse et le bassin versant de la Saône est représentée par une ligne verte en tirets-points.
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Dombrot-le-Sec » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Dombrot-le-Sec », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le Vair »
- Sandre, « l'Anger »
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Dombrot-le-Sec et Lignéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Dombrot-le-Sec ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Léon Louis et Paul Chevreux, Département des Vosges : dictionnaire des communes, hameaux, écarts, fermes, Res universis, Paris, 1991 (reproduction de l'édition de 1887-1889)
- Introduction de Lucette Husson, E dépôt 142. Archives communales de Dombrot-le-Sec (1710-1939). Répertoire numérique détaillé établi par Delphine Lelarge, Archives départementales des Vosges, Épinal 2012, p. 2
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint-Basle-de-la-Plaine
- « Église Saint-Brice », notice no PA00107129, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Voûtes et vitraux », notice no AP10L07993, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Intérieur : grille en fer forgé », notice no AP10L07995, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Nef avec chaire à prêcher vers le chœur », notice no AP54L02997, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « statue : Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame des Champs », notice no PM88000238, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Groupe sculpté : Sainte Anne et la Vierge enfant », notice no PM88000239, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Poutre de gloire (tref) », notice no PM88000240, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « statue : Saint Brice », notice no PM88000241, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Monument aux morts
- Architecture rurale de la commune de Dombrot-le-Sec
- Carte figurant les édifices repérés et étudiés dans le cadre de l'étude de l'architecture rurale de Dombrot-le-Sec
- L'Armorial des Villes et des Villages de France