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La Ferté-Loupière

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La Ferté-Loupière
La Ferté-Loupière
Mairie de La Ferté-Loupière.
Blason de La Ferté-Loupière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité CC de l'Aillantais
Maire
Mandat
Séverine Carron
2022-2026
Code postal 89110
Code commune 89163
Démographie
Gentilé La-Fertois
Population
municipale
536 hab. (2021 en évolution de +5,93 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 47″ nord, 3° 14′ 10″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 233 m
Superficie 30,48 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charny Orée de Puisaye
Législatives 1re circonscription de l'Yonne
Localisation
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La Ferté-Loupière
Géolocalisation sur la carte : France
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La Ferté-Loupière
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La Ferté-Loupière

La Ferté-Loupière est une commune française, appartenant au territoire de Puisaye, située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

La commune est réputée pour les fresques du XVIe siècle de l'église et la richesse de son patrimoine naturel.

Géographie

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Localisation

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La Ferté-Loupière est un village rural de la Puisaye niché au creux de la vallée du Vrin, situé à 27 km d'Auxerre, à 126 km de Paris et à 150 km de Dijon.

Elle est traversée par le sentier de grande randonnée GR 13.

La commune se trouve dans la zone d'emploi d'Auxerre et dans le bassin de vie de Montholon[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Sommecaise, Chassy, Les Ormes, Sépeaux-Saint Romain, Charny Orée de Puisaye, Montholon et Montholon.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 30,48 km2 ; son altitude varie de 132 à 233 mètres[1].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.
La rivière le Vrin et l'église.

La commune est traversée par le Vrin et par le ru de Bellefontaine[2].

Le Vrin est un affluent de l'Yonne, et donc un sous-affluent de la Seine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Centre et contreforts nord du Massif Central »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 755 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aillant », sur la commune de Montholon à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 727,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,7 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23,5 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

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La commune inclut deux ZNIEFF :

  • ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental[10],[11]. L'habitat particulièrement visé par cette ZNIEFF est fait d'eaux douces stagnantes ; les autres habitats inclus dans la zone sont des eaux courantes, des prairies humides et mégaphorbiaies, et des bois ;
  • ZNIEFF de l'étang du Martroi, une zone de 25 ha le long de la D 145 vers Charny (dans l'Ouest de la commune), qui inclut et entoure l'étang du Martroi, et qui s'étend également sur Chevillon. Les eaux douces stagnantes sont là aussi l'habitat particulièrement visé par cette ZNIEFF[12].

Au , La Ferté-Loupière est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,6 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,1 %), forêts (23,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,7 %), prairies (1,8 %), zones urbanisées (0,8 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

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Le village conserve une disposition urbaine héritée de l'époque médiévale. Protégé par sa muraille, il est centré sur la place principale où se font face l'église et la halle, concrétisant le rapport étroit entretenu au Moyen Âge entre le pouvoir spirituel et le pouvoir économique. Construits avec les matières premières locales, les bâtiments reflètent la diversité des matériaux bourguignons : pierre calcaire, briques moulurées ou formant des motifs géométriques pour agrémenter des façades, pans de bois et torchis pour les bâtiments plus modestes, crépis ocrés jaunes ou rouges, tuiles bourguignonnes.

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 422, alors qu'il était de 403 en 2016 et de 399 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 61,4 % étaient des résidences principales, 22,2 % des résidences secondaires et 16,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Ferté-Loupière en 2021 en comparaison avec celle de l'Yonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (22,2 %) supérieure à celle du département (10,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à la La Ferté-Loupière en 2021.
Typologie La Ferté-Loupière[I 3] Yonne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 61,4 77,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 22,2 10,6 9,7
Logements vacants (en %) 16,4 11,8 8,1
L'église vers 1910.

Situé à la porte septentrionale de la Puisaye, à 17 km de Joigny, le village de La Ferté-Loupière est implanté au creux de la vallée du Vrin, adossé aux plateaux boisés. Le village fut fortifié dès le Haut Moyen Âge et le cours d’eau a été dévié pour assurer une protection naturelle au pied des murs d’enceinte.

Le Vrin contourne toujours le village et le traverse même en certains endroits. Les vestiges des fortifications qui subsistent au pied de la colline rappellent la prospérité passée du bourg. Pierre de Courtenay-Bléneau (1429-1504 ; seigneur depuis 1460/1461, voir ci-dessous) y fit d’ailleurs élever un château, à la fin du XVe siècle, dont le donjon est le seul vestige qui nous soit parvenu : coiffé d’un toit en poivrière, il conserve une fenêtre au linteau en accolade, des latrines en encorbellement et des meurtrières.

Le château de La Vieille Ferté est bâti sur les hauteurs, au lieu-dit qui doit son nom à la forteresse primitive du XIIe siècle. Jean Sa façade classique rappelle le château de Bontin, tout proche. Des Sancerre puis des Courtenay-Champignelles, vus ci-dessous, la Vieille-Ferté passa par mariage à la famille de Quinquet (d'origine écossaise ; voir plus loin).

La Nouvelle-Ferté, alias La Ferté-Loupière, est à l'origine du village fortifié, et fut aussi aux Sancerre puis aux Courtenay-Champignelles.

La Ferté-Loupière (toutes seigneuries confondues) est à l'origine sise en Sénonais, au carrefour du Gâtinais, de la Puisaye, des comtés de Troyes et de Joigny : son histoire féodale est compliquée, soumise à ces influences proches. Le Sénonais est d'abord dans la mouvance des ducs de Bourgogne (depuis Richard le Justicier), qui conserveront une suzeraineté lointaine (ainsi, en 1143, Thibaut le Grand de Blois-Champagne prête hommage à son gendre Eudes II de Bourgogne). Mais l'influence des comtes de Troyes l'emporte, au moins depuis l'an mil environ, sous Etienne de Troyes (mort vers 1023), suivi de son cousin héritier Eudes II de Blois-Champagne (mort en 1037), et, plus d'un siècle après, par des descendants de ce dernier, les Sancerre.

L'article Comté de Joigny > Emprise territoriale indique cependant une autre origine : la seigneurie initiale viendrait des Donzy, et les Sancerre l'auraient obtenue par le 1er mariage (forcé) du comte Etienne en 1153 avec Adèle, fille de Geoffroy III de Donzy et tante d'Hervé IV (voir l'article Anseau).

Époque contemporaine

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Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Auxerre du département de l'Yonne[I 1].

Après avoir été de 1793 à 1801 le chef-lieu d'un éphémère canton de La ferté, elle faisait partie depuis lors du canton de Charny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Charny, renommé en 2021 canton de Charny Orée de Puisaye[I 1] porté de 15 à 38 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Yonne.

Intercommunalité

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La Ferté-Loupière est membre de la communauté de communes de l'Aillantais[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  19 mai 1860 Louis Gaston Tryon de Montalembert[31]   comte de Tryon-Montalembert, propriétaire
Mort en fonction
    Aimeric Charles Raoul Tryon de Montalembert[32] Républicain Pilotin, officier de l'infanterie de marine, fils de Louis Gaston
Conseiller général de Charny (1989 → 1998)
         
2001 mars 2014[33] Jean Ravisé[34]   Président de la société d'horticulture de l'Yonne
mars 2014[35] juillet 2020 Irène Eulriet Brocardi DVD  
juillet 2020[36] octobre 2022[37] Catherine Chevalier   Cadre retraitée
Mandat écourté par la démission de la maire et d'une partie du conseil municipal
décembre 2022[38] En cours
(au 30 novembre 2023)
Séverine Fermier   Agricultrice

Équipements et services publics

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Espace public

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Le jardin du Prieuré obtient en 2006 le Premier prix Parcs et Jardins[39].

Postes et télécommunications

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Un pylone de radiocommunication est implanté dans la commune.

Population et société

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Les habitants sont appelés les La-Fertois.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 536 habitants[Note 2], en évolution de +5,93 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1601 1961 1531 1371 3081 3291 2871 3521 348
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4411 4061 4281 3911 3681 2701 2991 3251 220
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1901 1341 082932937906838809777
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
735638602630540561572574497
2017 2021 - - - - - - -
532536-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique
Silo céréalier.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L’église Saint-Germain de La-Ferté-Loupière Logo monument historique Classé MH (1911)[43] dépendait du prieuré des chanoines des Augustins du Mont-aux-Malades-de-Rouen. Elle est construite à l’est du village, en bordure des anciens fossés qui le protégeaient.
    L’église abrite une des rares Danses Macabres Logo monument historique Classé MH (1911)[44] existant en France. Datant du début du XVIe siècle, elle est précédée d'un Dit des trois morts et des trois vifs. Cette représentation murale montre trois jeunes gentilshommes interpellés dans un cimetière par trois morts qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme[45].


  • Jardin du Prieuré, propriété privée ouverte au public, située au pied de l'église, dessiné par son propriétaire et ancien maire Jean Ravisé puis entretenu par les bénévoles de l'association Le Jardin des Augustins[46].
  • Tour médiévale
  • Ancienne halle.
  • Monument aux morts.


Personnalités liées à la commune

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Les légendes

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La légende veut que la Ferté-Loupière, peu après que les tours furent bâties, est attaqué par une meute de loups qui chassent les habitants de leur village ; après s'être abrité dans les collines environnantes et avoir repris des forces, ceux-ci chassent les bêtes féroces de leur village[réf. nécessaire].

Pour approfondir

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Bibliographie

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  • P. Megnein, La danse macabre de La Ferté-Loupière, 1938

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 04/2020
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre La Ferté-Loupière et Montholon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Aillant », sur la commune de Montholon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Aillant », sur la commune de Montholon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. ZNIEFF 260014900 - Étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  11. La ZNIEFF des étangs, prairies et forêts du Gâtinais sud oriental rassemble plusieurs sites de mêmes caractéristiques, et nombre de ces sites s'étendent sur des parties de plusieurs communes. Les communes concernées par cette ZNIEFF sont : Aillant-sur-Tholon, Béon, Charny, Chassy, Chevillon, Cudot, Dracy, La Ferté-Loupière, Grandchamp, Merry-la-Vallée, Les Ormes, Parly, Perreux, Précy-sur-Vrin, Prunoy, Saint-Aubin-Château-Neuf, Saint-Denis-sur-Ouanne, Saint-Martin-sur-Ocre, Saint-Romain-le-Preux, Senan, Sépeaux, Sommecaise, Toucy, Villefranche, Villiers-Saint-Benoît, Villiers-sur-Tholon et Volgré.
  12. ZNIEFF 260014906 - Étang du Martroi sur le site de l’INPN et sa carte sur le site de la DIREN..
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « La Ferté-Loupière, p.178-184, par Gustave Cotteau et Victor Petit ; Notice historique sur les châtellenies de La Ferté-Loupière, p. 208-234, par Félicien Thierry », sur Annuaire historique du département de l'Yonne, chez Perriquet et Rouillé, à Auxerre, 1857.
  18. « Notice historique sur les châtellenies de La Ferté-Loupière, p. 67-100, par Félicien Thierry », sur Annuaire historique du département de l'Yonne, chez Perriquet et Rouillé, à Auxerre, 1858.
  19. a et b « Notice historique sur les châtellenies de La Ferté-Loupière, p. 99-139, par Félicien Thierry », sur Annuaire historique du département de l'Yonne, chez Perriquet et Rouillé, à Auxerre, 1859.
  20. « Histoire de La Ferté-Loupière, d'après « Histoire des communes de l’Yonne », par Maurice Pignard-Peguet, 1913 », sur Mon village, La Ferté-Loupière.
  21. « Maison de Courtenay, p. 7, 8, 11, et 15 notamment, par Etienne Pattou, 2005 », sur Racines & Histoire.
  22. « Georges de St-Phalle », sur Geneanet Pierfit.
  23. « Fortune et train de vie, mort et succession de Jules-Louis Bolé de Chamlay », sur Chamlay, le stratège secret de Louis XIV, par Jean-Philippe Cénat, aux Editions Belin, 2011 ; mis en ligne par Google.
  24. « Étienne-Philippe Pardoux, marquis de Villaines », sur Bibliothèques de Châteauroux : Dossiers > Portraits.
  25. « Etienne-Philippe de Villaines », sur Rodovid.
  26. « La maison de Villaines, p. 791-798, cette dernière page notamment », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. XII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez Antoine Boudet, à Paris, 1778.
  27. « Famille de Quinquet », sur Terres et seigneurs en Donziais, Familles donziaises.
  28. « Alexandre de Gislain », sur Geneanet Pierfit.
  29. « François Monnier, baron de l'Empire, par Jean-Pierre Bibet », sur Les Amis du Patrimoine napoléonien.
  30. « Louis-Gaston-Charles de Tryon-Montalembert », sur Geneanet, Généalogie de Jean-Paul Dagorn.
  31. « Louis Gaston Charles de TRYON-MONTALEMBERT », sur https://gw.geneanet.org/ (consulté le ).
  32. « Aimeric Charles Raoul de TRYON-MONTALEMBERT », sur https://gw.geneanet.org/ (consulté le ).
  33. Pa. D., « Jean Ravisé quitte la mairie satisfait de son mandat », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Hélène Delorme et Véronique Le Lann, « Entretien avec Jean Ravisé, président de la SHY », Rencontre avec..., Maisons Paysannes de l'Yonne, (consulté le ).
  35. « Irène Eulriet-Brocardi élue maire », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Catherine Chevalier et ses adjoints élus », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L'ensemble de la liste conduite par Irène Eulriet ayant décidé à l'unanimité de ne pas solliciter le suffrage des électeurs pour le second tour des élections municipales, les 414 inscrits ont eu à se prononcer sur la liste menée par Catherine Chevalier ».
  37. Olivier Richard, « Sept élus, dont la maire, ont démissionné : des élections auront lieu le 4 décembre à La Ferté-Loupière », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Séverine Fermier nouvelle maire de La Ferté Loupière », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « Seule candidate au poste, elle a recueilli 14 voix sur 15 (un vote blanc) ».
  39. Ancien jardin du petit prieuré (28 ares), restauré par le maire Jean Ravisé.
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. « Église Saint-Germain », notice no PA00113686, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « peintures monumentales : Danse macabre, Dit des trois morts et des trois vifs, L'Annonciation, Saint Michel », notice no PM89000533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. « La Ferté-Loupière », Départements et pays > Yonne, sur https://bourgognemedievale.com/ (consulté le ).
  46. « Le Jardin du Prieuré », Patrimoine et culture > A la découverte du patrimoine, sur https://www.tourisme-yonne.com (consulté le ).