La Pyramide assassinée
Cet article est une ébauche concernant la littérature française.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| La Pyramide assassinée | ||||||||
| Auteur | Christian Jacq | |||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Pays |  France
|
|||||||
| Genre | roman historique | |||||||
| Éditeur | Plon | |||||||
| Lieu de parution | Paris | |||||||
| Type de média | livre papier | |||||||
| Nombre de pages | 402 | |||||||
| ISBN | 2-259-02566-8 | |||||||
| Chronologie | ||||||||
| Série | Le Juge d'Égypte | |||||||
| ||||||||
modifier  |
||||||||
La Pyramide assassinée est un roman de Christian Jacq publié en 1993. Il s'agit du premier tome de la série Le Juge d'Égypte.
Résumé
[modifier | modifier le code]5 conjurés entrent dans la grande pyramide de Khéops où seul Ramses II entre une fois l'an.
Cependant, Branir est guérisseur retraité à Memphis où il préside la cour de justice. Il dit à Pazair, 21 ans, juge près de Thèbes, qu'il est nommé à Memphis. Pazair y apprend la mort du gardien chef de la grande pyramide. Tueur, babouin de son policier, Kem, le sauve d'un crocodile. Il trouve la soi-disant momie du garde, mais ce n'est pas lui. Il déclare sa flamme à Néféret, guérisseuse. Il fait condamner le général, chef des armées. On lui donne une maison et Néféret devient sa femme en s'y installant.
Branir est tué et Pazair est porté mort.
Liens externes
[modifier | modifier le code]
