Le Puch
Le Puch | |||||
Entrée du village | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Foix | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Haute Ariège | ||||
Maire Mandat |
Michel Uteza 2020-2026 |
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Code postal | 09460 | ||||
Code commune | 09237 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
29 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 43′ 10″ nord, 2° 06′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 830 m Max. 1 260 m |
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Superficie | 2,89 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Haute-Ariège | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Le Puch (en occitan : Al Pug[1]) est une commune française située dans le sud-est du département de l'Ariège, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Donezan, qui faisait jadis partie du comté de Razès puis du comté de Foix.
Il s'agit d'une sorte de plateau granitique isolé du monde, entouré d'un écrin montagneux et occupé par sept villages. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Aude et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « haute Vallée de l'Aude et Bassin de l'Aiguette ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Puch est une commune rurale qui compte 29 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 145 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Puchéens ou Puchéennes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune du Puch se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 49 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à 21 km d'Ax-les-Thermes[3], bureau centralisateur du canton de Haute-Ariège dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Quillan[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Carcanières (0,8 km), Le Pla (1,7 km), Quérigut (2,1 km), Artigues (2,6 km), Rouze (2,8 km), Escouloubre (3,0 km), Mijanès (3,9 km), Fontanès-de-Sault (5,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Le Puch fait partie du Donezan, qui faisait jadis partie du comté de Razès puis du comté de Foix. Il s'agit d'une sorte de plateau granitique isolé du monde, entouré d'un écrin montagneux et occupé par sept villages[5]. Les communes limitrophes sont Carcanières, Le Pla, Quérigut, Rouze et Escouloubre.
Le fleuve Aude forme sa limite septentrionale et c'est dans sa vallée que se trouve l'altitude la plus faible de la commune (environ 830 m). Le point culminant du Puch se trouve au sud-est de la commune, au Roc de Quéral (1 260 m). Le village est dominé par la montagne de La Serre, qui culmine à 1 244 m et au sommet de laquelle se trouve un pylône de télécommunication.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches plutoniques datant du Paléozoïque, une ère géologique qui s'étend de −541 à −252,2 Ma (millions d'années)[7],[8].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 2,89 km2[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 2,85 km2[8]. Son relief est particulièrement escarpé puisque la dénivelée maximale atteint 430 mètres. L'altitude du territoire varie entre 830 m et 1 260 m[12].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[13], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[14]. Elle est drainée par l'Aude, le ruisseau de la Canal, constituant un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[15],[16].
L'Aude, d'une longueur totale de 223,59 km, prend sa source dans la commune des Angles et s'écoule du sud vers le nord. Ce fleuve traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Fleury, après avoir traversé 73 communes[17].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[19].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 746 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Belcaire à 16 km à vol d'oiseau[20], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 032,4 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « haute Vallée de l'Aude et Bassin de l'Aiguette »[25], d'une superficie de 17 055 ha, particulièrement intéressant pour ses milieux aquatiques. Il comprend des populations de Desmans des Pyrénées, Barbeau méridional, d'Écrevisse à pattes blanches ainsi que des chabots[26].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[27] : « le plateau de Quérigut, gorges de l'Aude et forêt du Carcanet » (3 214 ha), couvrant 7 communes dont 5 dans l'Ariège, 1 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales[28] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[27] : le « massif de Quérigut et forêt du Carcanet (Donezan) » (12 106 ha), couvrant 32 communes dont 18 dans l'Ariège, 10 dans l'Aude et 4 dans les Pyrénées-Orientales[29].
-
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Le Puch est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[31],[32].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,8 %)[33]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 70, alors qu'il était de 65 en 2013 et de 55 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 29 % étaient des résidences principales, 68 % des résidences secondaires et 3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Puch en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (68 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 95,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (94,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Le Puch[I 2] | Ariège[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 29 | 65,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 68 | 24,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 3 | 9,7 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Située dans le terroir du Donezan, cette commune est limitrophe avec le département de l'Aude. Elle est reliée à Quérigut, le chef-lieu, par la route départementale 316 via Carcanières, ou par les départementales 25 et 16 via Le Pla.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune du Puch est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[34],[35].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant[36].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune du Puch[37]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[38].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Puch est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Découpage territorial
[modifier | modifier le code]La commune du Puch est membre de la communauté de communes de la Haute Ariège[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Luzenac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Foix, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Haute-Ariège pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[41].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[43].
En 2021, la commune comptait 29 habitants[Note 6], en évolution de −3,33 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 5,9 % | 10 % | 11,1 % |
Département[I 7] | 8,9 % | 11,1 % | 11,2 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 9 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (66,7 % ayant un emploi et 11,1 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 9]. Elle compte 3 emplois en 2018, contre 1 en 2013 et 3 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 6, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 23,3 %[I 10].
Sur ces 6 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 3 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 16,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Aucun établissement[Note 8] relevant d’une activité hors champ de l’agriculture n’est implanté au Le Puch au [I 13].
Agriculture
[modifier | modifier le code]1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 4 | 2 | 1 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 59 | 54 | 3 |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[46]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage de bovins pour la viande[47]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole[Note 10] de 2010 (quatre en 1988). La superficie agricole utilisée est de 3 ha[47].
Culture et festivités
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Mathieu
- Gîte rural municipal aménagé dans l'ancienne école.
- Table d'orientation à la Serre.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Le Puch sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Puch - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Puch - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 au Puch » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 au Puch » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 au Puch » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Patrici Pojada, Repertòri toponimic de las comunas de la region Miègjorn-Pirenèus, Nouvelles Editions Loubatières, .
- Stephan Georg, « Distance entre Le Puch et Foix », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Le Puch et Ax-les-Thermes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches du Le Puch », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 305.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Carte géologique du Puch » sur Géoportail (consulté le 22 avril 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune du Puch », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune du Puch », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
- « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
- « Fiche communale du Puch », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- « Carte hydrographique du Puch » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
- Sandre, « l'Aude »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Puch et Belcaire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Belcaire » (commune de Belcaire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Belcaire » (commune de Belcaire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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- « site Natura 2000 FR9101470 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021