Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                
Aller au contenu

Les Roches-de-Condrieu

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les Roches-de-Condrieu
Les Roches-de-Condrieu
Vue panoramique de Condrieu et des Roches-de-Condrieu.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Communauté de communes Entre Bièvre et Rhône
Maire
Mandat
Isabelle Dugua
2020-2026
Code postal 38370
Code commune 38340
Démographie
Gentilé Rochelois, Rocheloises
Population
municipale
2 007 hab. (2021 en évolution de −1,13 % par rapport à 2015)
Densité 1 949 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 14″ nord, 4° 46′ 07″ est
Altitude 157 m
Min. 155 m
Max. 200 m
Superficie 1,03 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Vienne
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vienne-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Les Roches-de-Condrieu
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Les Roches-de-Condrieu
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
Les Roches-de-Condrieu
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Les Roches-de-Condrieu
Liens
Site web www.lesrochesdecondrieu.com

Les Roches-de-Condrieu est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Rochelois.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Situation et description

[modifier | modifier le code]

Cette commune est située dans l'aire urbaine de Vienne et dans son unité urbaine, à 10 km au sud de Vienne sur le Rhône. La commune des Roches-de-Condrieu se situe dans la rive gauche d'un méandre du fleuve Rhône. Elle comprend des pieds de coteaux abrupts et boisés à l'Est, une plaine alluviale en direction de l'Ouest, et un éperon rocheux sur lequel vient buter le Rhône, au nord. Le territoire est caractérisé par un climat continental avec une légère influence climatique méditerranéenne remontant par la vallée du Rhône. La commune est soumise au mistral, vent à dominance Nord-Sud, accentué par le goulot d'étranglement formé par les collines du Pilat à hauteur de la commune[1].

En rive gauche du Rhône, le méandre des Roches de Condrieu fut court-circuité pour faciliter la navigation moderne nécessitant de plus grands bateaux. L’ancien cours mineur du fleuve a alors été transformé en base de loisirs. Cet aménagement a profondément modifié la dynamique du fleuve à l’échelle locale.

Géologie et relief

[modifier | modifier le code]

La géologie des Roches-de-Condrieu est constituée, sur les deux tiers de la commune, principalement d'alluvions déposés par le Rhône, sur le tiers restant, de dépôts morainiques de la fonte des glaciers en place durant la dernière période glaciaire dite du Würm. Le nom du village rend compte de cette géologie particulière.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Rose des vents Condrieu (Rhône) Rose des vents
Vérin (Loire) N Saint-Clair-du-Rhône
O    Les Roches-de-Condrieu    E
S
Saint-Clair-du-Rhône

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 765 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 775,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire des Roches-de-Condrieu fait partie du bassin versant du Rhône, fleuve qui borde la partie occidentale du territoire et qui la sépare des départements du Rhône et de la Loire, situés en rive droite.

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]
La gare de Saint-Clair-Les Roches.

La commune est située à proximité d'une gare ferroviaire française de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes qui la relie aux gares de Vienne, Lyon (Perrache) et Valence.

Au , Les Roches-de-Condrieu est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vienne[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (70,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (66,8 %), eaux continentales[Note 4] (29,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Risques sismiques

[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune des Roches-de-Condrieu est situé en zone de sismicité n°3, dite modérée (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

[modifier | modifier le code]
Pont entre Condrieu et les Roches détruit le 20 juin 1940.

Quelques traces gallo-romaines ont été attestées sur la commune. Dès le Moyen Âge, alors que la batellerie sur le Rhône était florissante[16], les mariniers décidèrent de s'installer à l'abri des inondations sur ce rocher qui avançait formant un méandre. Le hameau qui apparut prospéra et devint un petit port vivant avec ses écuries pour les chevaux de halage, ses fabricants de cordages, ses charpentiers pour les réparations des navires.

Le hameau est alors rattaché à la paroisse de Saint Clair, paroisse rattachée à Condrieu sur l'autre berge du Rhône. La vie des mariniers qui vivaient sur le territoire de la commune des Roches-de-Condrieu était entièrement liée au Rhône. Des habitations sont construites à l'initiative des mariniers de l'époque, sur ces rochers avancés du Rhône, qui, s'ils leur sont apparus redoutables pendant les périodes de navigation, s'avéreront toutefois être de véritables remparts contre les inondations. Les bateliers ont forgé petit à petit ce village portuaire, fait de rues aux maisons alignées. De la persévérance et de la croyance dans les richesses du fleuve, lieu mythologique et organique puissant, ont été nécessaires aux pionniers du "Rocher" pour bâtir une cité prospère et un havre de paix[17].

A la Révolution française, le village des Roches est intégré au département de l'Isère, à la commune de Saint-Clair-Les-Roches, commune officiellement créée le 3 décembre 1792[18]. Le bourg des Roches est définitivement coupé de Condrieu, commune située de 1790 à 1793 dans le département du Rhône-et-Loire, qui deviendra par la suite le département du Rhône. Le toponyme de la commune conservera le souvenir de cette ancienne gouvernance.

Sous le Consulat, en 1804, le village des Roches, peuplé d'artisans, commerçants et mariniers, fort d'environ 1500 habitants, se sépare de Saint-Clair. Deux nouvelles communes sont créées, Saint-Clair-du-Rhône et les Roches-de-Condrieu. En effet, Saint Clair n'était qu'une bourgade d'agriculteurs d'à peine 500 habitants entourée des terres cultivables sur lesquelles les mariniers des Roches ne voulaient plus payer de taxes. Les Rochelois gardèrent l'accès au fleuve, et, en contrepartie, on conservera le marché accessible aux agriculteurs de Saint-Clair et des environs. Les Halles des Roches, où se tiennent aujourd'hui le marché du mardi matin, furent édifiées en 1834. Un commentaire extrait de l'ouvrage de 1859 de l'historienne et érudite locale Adèle Buisson présente bien l'aspect du village à cette époque :

« Ce hameau était peu considérable ; mais il devint bientôt un grand village lorsque les habitants furent parvenus à se faire distraire du Lyonnais. L’exemption des droits d’aide, de gabelles, etc., dont ils jouirent comme étant de la province du Dauphiné, y multiplia la population. Elle était déjà, en 1769, de 800 individus ; ils obtinrent, à cette époque, la permission d’établir une succursale, et firent bâtir une église. Cette commune comptait 2000 âmes en 1827[19]. »

La traversée du Rhône s'effectue sur la commune à l'aide d'un bac à traille, nommé localement la traille. Du fait de l'augmentation du trafic, un pont est construit en 1833 entre Condrieu et Les-Roches-de-Condrieu. Ce pont suspendu remplace la traille des Roches qui était déjà attestée au XVIe siècle[20]. La pile du bac à traille, similaire à celle que l'on peut voir encore aujourd'hui dans les environs de Vernaison, était encore visible au début du XXe siècle, comme peuvent en témoigner d'anciennes cartes postales... Cette traille cesse d’exister en 1833 après la mise en service du premier pont suspendu.

Avec la révolution Industrielle, et l'avènement du bateau à vapeur, la batellerie et l'artisanat traditionnel vont péricliter. L'axe fluvial va être délaissé au profit de l'axe ferroviaire, établi sous le Second Empire, et qui ouvrira la commune à de nouveaux horizons. La gare de Saint-Clair-Les Roches, toujours en service, est une gare ferroviaire de la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles située sur le territoire de la commune de Saint-Clair-du-Rhône. Elle s'appelait autrefois : gare des Roches-de-Condrieu.

A la fin du XIXe siècle, la commune des Roches de Condrieu développe une activité de sparterie[21]. Sur l’initiative de M. Rogemont, ingénieur chimiste, une petite unité de production vit le jour dans l’ancienne Sparterie, fabrique de cordes et de tapis. Ce furent les prémices de l’industrie chimique qui dut se déplacer ensuite sur le site de St Clair pour devenir la Compagnie Française de Produits Chimiques et de Matières Colorantes ou Francolor. En le « bulletin paroissial des Roches » dit que « l’ancienne sparterie appartenant à M. le Vicomte Maurice De Goÿs, utilisée pendant quelque temps par M. Miribel, vient d’être achetée par M. Jean Rogemond, conseiller du gouvernement pour les produits chimiques. ». La main-d'œuvre locale se mit à la fabrication d’objets nécessaires à l’effort de guerre.

Dans l'Entre-deux guerres, le pont suspendu est remplacé en 1935 par un nouveau pont en béton armé. La construction est réalisée par l'entreprise Basile Baudin et Cie[22].

Tout juste reconstruit, le pont est coupé en par fait de guerre. Un siècle après avoir été abandonné, le bac à traille est remis en service pour rétablir le franchissement du fleuve. En , lors de la retraite allemande, alors qu'il ne reste qu'une dizaine de mètres à édifier pour remettre l'ouvrage en service, le pont en reconstruction est épargné[23].

La période des Trente Glorieuses voit l'urbanisation progressive des plaines alluviales en bord du Rhône et la construction de nombreux lotissements. Dans les années 1970 et 1980, la Compagnie Nationale du Rhône lance des travaux de modernisation du trafic fluvial en procédant à l'élargissement du fleuve en de nombreux endroits de toute la vallée du Rhône. La commune des Roches-de-Condrieu a été concernée par ces travaux qui provoquèrent une disparition d'une partie de ses terres, en aval de commune. En contrepartie, l'ancien cours du Rhône situé en amont des Roches-de-Condrieu est reconfiguré en port de plaisance et base nautique.

De nos jours, la commune s'ouvre progressivement au tourisme, avec la requalification progressive de son port fluvial et de son centre-bourg[24].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 juin 1995 Jean Guillon    
juin 1995 mars 2001 Josette Forest Valla    
mars 2001 mars 2008 Manuel Belmonte    
mars 2008 En cours Isabelle Dugua DVD Maire, conseillère départementale depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.

La commune est jumelée avec :

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27]. En 2021, la commune comptait 2 007 habitants[Note 5], en évolution de −1,13 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4811 2071 5321 4361 4581 4221 4281 3791 358
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2361 2171 1711 0541 014873856876851
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9408738128681 0531 0511 1251 1321 239
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 2971 5341 5761 7281 8361 8191 9121 9241 994
2017 2021 - - - - - - -
1 9252 007-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipement culturel et sportif

[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère (Vienne), un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

  • Port de plaisance sur le Rhône, deuxième port fluvial de France, comptant 220 anneaux.
  • Médecins, professions libérales, artisan boulanger, pharmacie, restauration rapide et restaurant, salons de coiffure et institut de beauté, associations et artistes.

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
Pont de Condrieu sur le Rhône
  • Halle, Place Charles de Gaulle, ex Place de la Liberté, construite en 1834.
  • L'église des Roches, dite de Saint Nicolas, porte le nom du patron des mariniers. Cette église auquel toute l'histoire de la petite commune est liée, étant donné qu'elle a été construite en 1784, abrite une Croix des Mariniers de 1830, ainsi que les fresques de Maurice Der Markarian, peintre d'origine arménienne et rochelois pendant quarante ans. Le chœur de l'église a été ajouté en 1836[18].
  • Base de loisirs avec plage, téléski nautique, hébergements en chalets.
  • Pont suspendu de Condrieu édifié en 1935 (et remplaçant un pont construit en 1832) reliant la commune du même nom et Les Roches-de-Condrieu.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Roches de Condrieu (Les) Blason
"D'azur au pont à trois arches d'argent maçonné de sable, mouvant à senestre d'un rocher de sable soutenu d'une rivière ondée d'argent et surmonté à dextre d'une fleur de lis d'or et à senestre d'un dauphin du même"[32].
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Vienne, il y a une ville-centre et 24 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Urbanisme – Voirie - lesrochesdecondrieu.com », sur lesrochesdecondrieu.com (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Les Roches-de-Condrieu et Reventin-Vaugris », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Vienne », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Les Roches-de-Condrieu ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  15. [1]
  16. « La batellerie sur le Rhône à travers les siècles », sur linflux.com, (consulté le ).
  17. « Naissance et renaissances des Roches-de-Condrieu », Isère Magazine,‎ .
  18. a et b « Notre pays dans le passé - lesrochesdecondrieu.com », sur lesrochesdecondrieu.com (consulté le ).
  19. Adèle Buisson, Histoire de Condrieu et des environs, depuis l'an 59 avant J.-C. jusqu'à notre époque, Vienne, Impr. de Timon frères (Vienne), , 240 p. (ISBN 978-2013028844, lire en ligne), p. 62.
  20. COGOLUENHE Henri, Histoire des bacs pour traverser le Rhône. Recherches historiques et sociologiques., Lyon : Facultés catholiques de Lyon, 1980., Thèse de doctorat, Institut de Recherche et d'Enseignement Philosophiques, Département Sociologie. Lyon : Facultés catholiques de Lyon, , 3 volumes, livre 1, p. 49.
  21. Michel Guironnet, « La sparterie des Roches-de-Condrieu », sur histoire-genealogie.com, (consulté le ).
  22. Dossier de B. Baudin, Chateauneuf-sur-Loire, sur la réfection du pont suspendu de Condrieu, 1934, extrait de : Archives Départementales de l'Isère, référence 7119W 15
  23. « Pont routier de Condrieu », sur patrimoine.rhonealpes.fr, (consulté le ).
  24. Le Dauphiné Libéré, « D’importants chantiers à mener en 2017 », Le Dauphiné Libéré,‎ (lire en ligne).
  25. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Cf. Gilles-Marie Moreau, Le "bon curé" de Grenoble : l’abbé Jean Gerin (1797-1863), Paris, L'Harmattan, 2023.
  31. « Mémoire du cyclisme », sur memoire-du-cyclisme.eu (consulté le ).
  32. Roches-de-Condrieu