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Mathons

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Mathons
Mathons
Église Notre-Dame-de-l'Assomption
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haute-Marne
Arrondissement Saint-Dizier
Intercommunalité Communauté de communes du Bassin de Joinville en Champagne
Maire
Mandat
Laure Plantegenet
2020-2026
Code postal 52300
Code commune 52316
Démographie
Gentilé Mathonais, Mathonaises
Population
municipale
69 hab. (2021 en évolution de −1,43 % par rapport à 2015)
Densité 5,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 09″ nord, 5° 02′ 41″ est
Altitude 308 m
Min. 242 m
Max. 349 m
Superficie 13,4 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Joinville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Joinville
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Mathons
Géolocalisation sur la carte : France
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Mathons
Géolocalisation sur la carte : Haute-Marne
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Mathons
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Mathons

Mathons est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.

Géographie

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Localisation

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Située à 9 km à l'ouest de Joinville sur le plateau surplombant Joinville par l'ouest, entre la Marne et la Blaise, la commune se compose du village lui-même et de hameaux tels que celui des BonsHommes.

Hydrographie

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La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Mathons[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 009 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blécourt », sur la commune de Blécourt à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 879,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Mathons est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Joinville, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,5 %), forêts (41,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,1 %), prairies (6,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Mathons est une ville neuve fondée au début du XIIIe siècle et affranchie selon la coutume de Beaumont dès 1208 par Simon de Joinville, sénéchal de Champagne, qui atteste son origine récente et qui indique que son nom est d'abord celui de la forêt. Puis en 1218, Simon accorde aux religieux de l'abbaye de La Crête un lieu dans la forêt pour y fabriquer du charbon. C'est donc probablement grâce à des ouvriers charbonniers que le village s'accroit et prospère[14],[15].

La forêt de Mathons abrite également un prieuré de l'ordre de Grandmont, appelé communément prieuré des ermites ou des Bons-Hommes, fondé à la fin du XIIe siècle par Geoffroy III de Joinville sous le vocable de Saint-Fiacre. Il était primitivement une abbaye avant d'être réuni à l'abbaye de Macheret par une bulle papale de 1356. Le prieuré est maintenant une simple ferme, mais toujours appelée ferme des Bons-Hommes[14],[15].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1984 1990 Léon Pincemaille    
1990 2001 Jean Graillot    
2001 2010 Alain Bruncher    
2010 2014 Michel Truilhé    
2014 En cours Laure Plantegenet   Assistante sociale

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 69 habitants[Note 4], en évolution de −1,43 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
269265267203293299300312321
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
312303267257263214195180165
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
15115715414211011299116103
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
927568555152565768
2017 2021 - - - - - - -
6569-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Culture locale et patrimoine

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Lieux, monuments et même objets…

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Église Notre-Dame-de-l'Assomption - Cloche de l'église sonnant à 11h:
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (fin XIIe à début XIIIe) classée pour ses fresques probablement du XIVe siècle dont certaines sont dans un bon état de conservation. Elles représentent des saints et saintes sur les murs de la nef. Nous pouvons y voir sainte Marguerite sortir du ventre du dragon terrassé dont l'ombre est en train de se détacher. Saint Philippe et saint Thomas entre autres sont également présents.
  • Les vestiges du prieuré des Bonshommes (désignant les Grandmontains : membres de l'ordre religieux de Grandmont inspiré par saint Étienne de Muret) sont désormais très peu visibles et de plus dans une propriété privée. Mais le rayonnement de ces lieux fut important au Moyen Âge notamment avec le commerce de denrées alimentaires et les échanges intellectuels.
  • Deux objets nous sont parvenus :
    • Le bas-relief en pierre intitulé le Silence de Carrache visible sur le maître-autel de l'église communale et offert à la commune par le propriétaire de l'ancien prieuré.
    • La croix de Mathons, crucifix en émaux sur cuivre, de trente-cinq centimètres de haut et vingt-cinq de large qui se compose de la croix principale complétée de quatre éléments à chaque extrémité (dont trois ont été répertoriés). Sur ceux à la gauche et à la droite du Christ sont représentés des animaux divins (un lion et un bœuf ailés, symboles de saint Marc et de saint Luc tenant quelque chose dans leurs pattes probablement les Saintes Écritures). L'élément inférieur représente un saint tenant sur la poitrine une tablette. L'élément supérieur serait décoré également d'une représentation d'un personnage. Cette œuvre se trouve au Musée national du Moyen Âge de Cluny (Paris)[20].
    La croix de Mathons est attribuée au maître de l'autel de Grandmont (dont dépend le prieuré des Bonshommes (sur la commune de Mathons). Plusieurs symboles des évangélistes sont présents notamment sur les potences de la croix qui disposent de palmettes dorées, ourlée d'une zone émaillée en dégradée. Cette particularité se rencontre sur l'épaule et la cuisse du lion et du bœuf (potences latérales de l'œuvre) mais aussi sur l'aigle de saint Jean (présence sur une potence probablement du sommet (jadis propriété de Martin Le Roy)). La potence du pied (inférieure) n'a pas de reconnaissance, nous pouvons y observer un saint (probablement un évangéliste si nous nous référons aux symboles couramment utilisés par l'ordre) debout sur un arc de couleur, tenant une tablette et montrant sa main droite en forme de bénédiction. Plusieurs exemples de croix émaillées (un peu différentes sont visibles notamment dans les collections du Limousin (origine de l'ordre).
    Cette œuvre (avec d'autres) est représentative de l'école d'orfèvrerie de Grandmont (issue des principes de vie de saint Étienne) qui s'ajoute aux capacités et spécificités de bâtisseurs de l'Ordre. En effet, sans doute grâce à la générosité des rois d'Angleterre principalement, Grandmont put entretenir une école d'orfèvrerie. C'est l'ordre de Grandmont qui diffusa les émaux limousins en France. De nombreuses dépendances grandmontaines possédaient des croix ou des reliquaires émaillés. Cette école fut enfin reconnue, et admirée, dès le milieu du XIXe siècle, une centaine d'années trop tard malheureusement, car la Révolution avait envoyé à la fonte les plus beaux exemplaires de cette école. Ce sont donc des vestiges qu'il nous reste, dont la collection réunie par Edmond du Sommerard, qui se trouve actuellement au Musée national du Moyen Âge (Cluny) à Paris.
    Voir aussi la Châsse de Mathons (reliquaire en émaux à champs levés) inscrite au trésor de la cathédrale de Troyes.
  • Le plus bel exemple du passé et de son activité de sylviculture reste sans doute sa « forêt de Mathons » qui se trouve au sud du village et permet de longues promenades en pleine nature (attention aux 4x4 qui disposent d'un petit parcours dans une portion) renseignez-vous également sur les périodes de chasse. Vous y rencontrerez également la stèle en souvenir des maquisards fusillés (voir article sur l'histoire de Mathons) situé à l'entrée de la forêt.
  • Est présent également un beau lavoir à l'ouest de la commune.
  • Sans oublier la fameuse « rue du Lac » et son hôtel qui prouvent que les habitants ont de l'humour. Le lac n'est en fait qu'une petite mare (boueuse à l'époque) aujourd'hui comblée, se situant derrière la mairie actuelle. Son fameux hôtel comportait une chambre avec vue... sur le lac bien sûr. Café, restaurant, tabac, téléphone et hôtel, on trouvait de tout dans cet établissement.

Les petites choses de la vie

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L'association Saint Fiacre, soutenue par des bénévoles, œuvre dans la commune pour l'embellissement (fleurissement estival des édifices et illuminations de Noël) et pour la conservation historique (ouverture de l'église aux journées du patrimoine).

Construit par les bénévoles de la commune, le camping « La Croix » situé à la croisée des chemins, à l'entrée du village.

En 2004, Mathons s'est équipé d'une connexion haut débit internet par satellite et Wifi. C'est l'un des tout premiers villages en France à proposer aux habitants une connexion à internet par ondes radio (Wifi)[réf. nécessaire] mais la particularité se présente également par une émission/réception via un satellite.

En 2006, les habitants ont voté pour attribuer un nom à chacune de leurs rues.

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Mathons » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale de Mathons », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Mathons et Blécourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Blécourt », sur la commune de Blécourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Blécourt », sur la commune de Blécourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Mathons ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Joinville », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Émile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne : Dictionnaire géographique, statistique, historique et biographique de ce département, Chaumont, Imprimerie et lithographie la veuve Miot-Dadant, (lire en ligne), p. 354
  15. a et b Charles-François Roussel, Le diocèse de Langres : histoire et statistique, t. 2, Langres, Librairie de Jules Dallet, éditeur, (lire en ligne), p. 535
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. À propos d'un lion champlevé limousin : La survivance d'un thème sassanide Geneviève Souchal Gesta, Vol. 15, No. 1/2, Essays in Honor of Sumner McKnight Crosby (1976), p. 285–292 doi:10.2307/766778