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Monterblanc

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Monterblanc
Monterblanc
La mairie.
Blason de Monterblanc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Golfe du Morbihan - Vannes agglomération
Maire
Mandat
Alban Moquet
2020-2026
Code postal 56250
Code commune 56137
Démographie
Gentilé Monterblancais, Monterblancaise
Population
municipale
3 316 hab. (2021 en évolution de +1,5 % par rapport à 2015)
Densité 130 hab./km2
Population
agglomération
126 266 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 36″ nord, 2° 40′ 49″ ouest
Altitude 89 m
Min. 46 m
Max. 151 m
Superficie 25,41 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Monterblanc
(ville isolée)
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vannes-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Monterblanc
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Monterblanc
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Monterblanc
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Monterblanc
Liens
Site web Le site de la commune

Monterblanc [mɔ̃tɛʁblɑ̃] est une commune française située dans le canton d'Elven et le département du Morbihan, en région Bretagne.

Géographie

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Monterblanc fait partie du Parc naturel régional du golfe du Morbihan.

Communes limitrophes de Monterblanc
Locqueltas Plaudren Elven
Monterblanc
Saint-Avé Saint-Nolff

La commune de Monterblanc est située à une dizaine de kilomètres au nord de Vannes, sur le flanc sud des landes de Lanvaux. D'une superficie de 25 km2, la commune s'étire sur 7 km du nord au sud, sur sa plus grande longueur, et de 5,5 km d'est en ouest, sur sa plus grande largeur.

La commune est bordée au nord par l'Arz, un affluent de l'Oust et est traversée par quelques ruisseaux : ceux du Faouëdic, de Luhan, de Rudevent et de Condat.

À noter la présence sur le territoire de la commune, en totalité, de l'aérodrome de Vannes-Golfe du Morbihan et, partiellement, du camp de Meucon, une base arrière militaire créée durant la guerre franco-prussienne de 1870.

Ses habitants sont les Monterblancais et Monterblancaises.

La commune est jumelée avec celle d'Ytrac (Cantal).

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Avé à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 034,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Monterblanc est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Monterblanc[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (25,8 %), terres arables (23,1 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), prairies (18,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,3 %), zones urbanisées (4,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

La première mention historique du bourg pourrait être Budwere, selon une mention du cartulaire de Redon[14] Attesté sous les formes Monsterblanc en 1455[15], puis Moustoerblanc au 16e siècle[16].

Littéralement « moutier blanc », ancien français moustier « église, monastère » cf. Moutier, suivi de l'adjectif blanc cf. Noirmoutier. Francisation probable de l'ancien breton Mousterwenn, composé de mouster « moutier » et de wenn > gwenn « blanc ».

En breton moderne Sterùen[17]. Ster- étant la forme contractée de Mouster, par surpression de la première syllabe de [monster] et maintien de la seconde [ster] qui a pris une signification différente, il est devenu homophone de stêr « rivière », c'est pourquoi Sterwenn est compris « rivière blanche », Il existe la variante bretonne Mouster-wenn[18].

Les plus anciennes présences historiques attestées sur le territoire communal datent de l'âge du bronze[19] (dépôt du Mangoro de la Madeleine). La découverte de 4 souterrains sur la commune (Le Guernevé, Kerbelaine, Kerdanéguy et Palhouarn), datant de l'âge du fer[20], laisse à deviner une implantation humaine plus forte.

Un monastère était desservi par des moines qui dépendaient certainement du monastère de Redon, comme semble le suggérer le cartulaire de Redon : un habitat (Budwere ?) y est mentionné en 852 pour la première fois[21]. Ce monastère aurait été détruit durant les raids vikings au Xe siècle[14], le territoire est alors rattaché, au siècle suivant, à la paroisse de Plaudren[14].

Le territoire monterblancais, comme les paroisses voisines, prit une grande part dans la chouannerie morbihannaise. Ainsi, le , une colonne chouanne tentant de s'emparer de Vannes est défaite par les forces de la République à Mangolérian.

Le XIXe siècle voit Monterblanc, ancienne trève de la paroisse de Plaudren et dépendant de la seigneurie de l'Argoët, s'affranchir de la tutelle de ses voisines. Érigée en paroisse en 1802[14], elle reçoit son premier vicaire, Joseph Le Texier[14], en 1821.

Bunker allemand sur le terrain d'aviation.

La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle voient la création d'infrastructures dont l'intérêt dépasse celui de la commune : le camp militaire, dit camp de Meucon, s'installe à l'ouest en 1877[22] et est desservi dès 1902 par le chemin de fer (ligne Vannes-Locminé), un petit aéroport complète le dispositif en 1926[23].Ce terrain devient une base de la Luftwaffe en 1940 pour les bombardiers Heinkel 111 du KG100 "Viking".

Depuis la réforme des cantons en 2015, la commune est dans le canton de Vannes-3 du département Morbihan (depuis 1801, elle était dans le canton d'Elven).

Anciennes maisons nobles

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À la « montre » (réunion de tous les hommes d'armes) de Vannes du et du , on ne comptabilise la présence d'aucun noble de Monterblanc. Monterblanc dépendait autrefois de Plaudren.

Temps modernes

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En 1872, un trésor monétaire contenant 17 monnaies en argent datant du XVIe siècle fut trouvé par un paysan à Monterblanc. Il avait été enfoui peu après 1591, date de la monnaie la plus récente du lot (donc probablement pendant les Guerres de la Ligue et plus précisément la Huitième guerre de Religion)[24].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs de la commune de Monterblanc de 1802 à nos jours
Période Identité Étiquette Qualité
1947 mars 1965 André Le Texier    
mars 1965 mars 1977 Jean-Marie Prono   Cultivateur, ancien adjoint (1947 → 1965)
Maire honoraire
mars 1977 mars 1983 Jacques Fraval de Coatparquet[25]   Représentant en matériel d'incendie, ancien adjoint
au maire de Vannes
chevalier de la Légion d’honneur chevalier de l'Ordre national du Mérite
mars 1983 mars 1989 Armel Le Penven    
mars 1989 juin 1995 Jean Eveno    
juin 1995 21 mars 2008 Daniel Boursicot[26] DVD Ancien expert automobile, ancien adjoint (1989 → 1995)
chevalier de la Légion d’honneur (2007)
21 mars 2008[27] 28 mars 2014 Joseph Cloarec DVD Directeur industriel retraité, ancien premier adjoint
28 mars 2014[28] 28 mai 2020 Gérard Guilleron   Retraité de la santé
28 mai 2020 En cours Alban Moquet[29] SE Technico-commercial

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 3 316 habitants[Note 3], en évolution de +1,5 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
831944894921911928913966976
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0029811 0219609619839851 0291 051
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0261 0181 0359741 5319721 0451 3271 172
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8961 1261 3861 7942 0061 9512 3902 5423 077
2015 2020 2021 - - - - - -
3 2673 3113 316------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine

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Livres et documentation sur Monterblanc:

"Vannes-Meucon l'aérodrome sous l'occupation 39-45" Mathieu FROMAGE, Frédéric NEBOUT, Frédéric HENOFF, Johann SCHMITZ[34]

Lieux et monuments

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L'église Saint-Pierre.
Façade de la chapelle de Mangolérian.
  • Bunker archéo 56:Histoire de l'aérodrome sous l'occupation. mise en valeur du patrimoine militaire.
  • L'église Saint-Pierre est du XVIIIe siècle (orgues de 1853)[14]
  • La chapelle Notre-Dame ou chapelle de Mangolérian (1460, Logo monument historique Inscrit MH (2001)), son calvaire (XVIIe siècle, déplacé du Mangoro en 1981[14]) et sa fontaine (XVIIe siècle) située dans la vallée.
  • La fontaine Saint-Pierre (XVIIe siècle).
  • Le Coh Castel, ou Vieux château, (XXe siècle), manoir appartenant à la famille Fraval de Coatparquet
  • Les moulins à eau du Procureur, de Largouët (disparu), du Salo
  • Le moulin à vent de Monterblanc (disparu, situé au hameau des Quatre-Vents).
  • Le plan d'eau communal du Govero.
  • Morbihan Aero Musée: histoire de l'aérodrome de 1909 à nos jours- avions anciens - la conquête spatiale

Héraldique

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Monterblanc porte:

  • Taillé, de sinople semé de mouchetures d’hermine de sable, et de gueules à une clef de sable versée posée en barre accompagnée en pointe d’une double arche en ogive du même ; une traverse d’argent brochante sur la partition.
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (hermine de sable sur sinople, cle et arches de sable sur gueules).
  • Devise : néant.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Monterblanc et Saint-Avé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Ave » (commune de Saint-Avé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Ave » (commune de Saint-Avé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Monterblanc », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Monterblanc ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f et g « Histoire de Monterblanc », sur Commune de Monterblanc (consulté le ).
  15. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1516.[réf. incomplète].
  16. (br) Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 121
  17. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, (ISBN 978-2-86843-153-0), p. 121
  18. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 85, Editions Jean-paul Gisserot, ISBN 2877474828 ».
  19. Oillic 2000, p. 13-14.
  20. Oillic 2000, p. 15.
  21. Oillic 2000, p. 18.
  22. « Camp militaire de Meucon. Un danger pour les civils », sur Le télégramme, (consulté le ).
  23. « Historique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Aéroport Vannes Golfe du Morbihan (consulté le ).
  24. Christophe Le Pennec, "La Ligue en Morbihan, une guerre civile à la fin du XVIe siècle", in "Trésors enfouis de l'âge du fer à la Révolution", Musée d'Histoire et d'Archéologie de Vannes, éditions Locus Solus, 2013, (ISBN 978-2-36833-016-6).
  25. « Décès de Jacques Fraval de Coatparquet », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  26. « Nécrologie. Daniel Boursicot, ancien maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  27. « Conseil. Joseph Cloarec élu maire », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
  28. « Gérard Guilleron élu à la tête de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  29. « Municipales à Monterblanc. Alban Moquet est le nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Vannes-Meucon : l'aérodrome sous l'occupation 39-45, bunker archeo 56, (ISBN 979-10-699-9351-8, lire en ligne)
  35. Bertrand Frélaut, Histoire de Vannes, collection Les Universels Gisserot, éditions Jean-Paul Gisserot, 2000, p. 78-80

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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