Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                
Aller au contenu

Mothra

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mothra
Mothra en plein vol.
Mothra en plein vol.

Nom original モスラ (Mosura?)
Sexe Féminin
Espèce Kaijū (Papillon divin)
Activité Monstre
Famille Larve de Mothra

Créée par Tomoyuki Tanaka
Dernière apparition [2024] "Godzilla x Kong: Le Dernier Empire"

Mothra ( モスラ, prononcé « Mo-su-ra » en version originale) est l'un des personnages de kaijū eiga (« cinéma de monstres ») les plus connus. Elle est apparue pour la première fois en 1961, dans le film Mothra. Depuis, il s'agit du monstre le plus récurrent dans la franchise Godzilla. Dans le MonsterVerse,Mothra est la mère de Godzilla.

Mothra est une femelle lépidoptère de taille gigantesque. Elle vit paisiblement sur l'île de l'Infant, la plupart du temps accompagnée de deux petites fées appelées « Shobijins » (jouées dans les premiers films par les sœurs jumelles du duo pop The Peanuts). Mothra est l'un des seuls monstres bienveillants de l'univers de la Tōhō. Elle apparaît dans plusieurs films aux côtés de Godzilla, tantôt comme son alliée, tantôt comme son ennemie, avant d'avoir sa propre série de trois films, dans lesquels elle combat de terribles monstres, tels Desghidorah[1], Dagahra[2] ou encore King Ghidorah.

En tant que protectrice de la Terre, Mothra représente à la fois la bienveillance de la Terre-mère et le cycle de vie et de mort de la nature.

Apparitions

[modifier | modifier le code]

Jeux vidéo

[modifier | modifier le code]

Télévision

[modifier | modifier le code]

Dans la culture populaire

[modifier | modifier le code]

Ennemis de Mothra

[modifier | modifier le code]

-Godzilla (anciennement) -Battra (anciennement) -Rodan (anciennement) -Gigan -Monster X -King Ghidorah -Dagahra -Desghidorah -Ebirah

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Voir sa fiche sur le site Wikizillia (en).
  2. Voir sa fiche sur le site Wikizillia (en).
  3. Perdido Street Station, éd. Fleuve noir, coll. « Rendez-vous ailleurs », 2003, trad. Nathalie Mège, deux volumes).