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Patrick Antoine

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Patrick Antoine
Biographie
Naissance
(96 ans)
Mitry-Mory 77290
Nom de naissance
Roger Antoine
Pseudonyme
Patrick Antoine
Nationalité
Activités
Autres informations
Distinction

Croix de guerre avec étoile de bronze

Croix du combattant avec barrette « Extrême-Orient »

Patrick Antoine est un metteur en scène et réalisateur français.

Il est membre de la Société des auteurs depuis 1960 et membre de la Société des gens de lettres depuis 1978.

  • 1941/42 IIIème Reich – travail forcé
  • 1942/44 Résistance et Croix de guerre
  • 1945 2ème DB Les Ardennes
  • 1946 Paris petits boulots
  • 1947 Canada
  • 1948 USA (ramassage du tabac, etc.)
  • 1949/52 Indochine
  • 1953 Afrique
  • 1954 Martinique (Cuba, Floride)
  • 1955 New York, Montréal (théâtre Amphitryon)
  • 1956 Amphitryon
  • 1957 Haïti
  • 1958 New York (Lee Strasberg, Jack Kerouac)
  • 1959 Le Mexique
  • 1960 Montréal – Gilles Vigneault
  • 1961/62 Centre National d'Art dramatique d'Aix-en-Provence (comédien)
  • 1963/64 Israël, URSS, Roumanie, Tchécoslovaquie
  • 1965/66/67 La Suisse – Lausanne et Genève
  • 1968 Directeur du Théâtre Daniel Sorano à Paris-Vincennes
  • 1969/70/ 71/72 Thonon-les-Bains, Paris construction du Théâtre mobile
  • 1973 Courbevoie-La Défense (implantation du théâtre)
  • 1974 Paris, Union Générale Cinématographique (UGC)
  • 1975 American Film Theatre avec Patrick Antoine/Films Théâtre international/SFP
  • 1977 Paris, Les Acteurs Français Associés (AFA) – conseil d'administration
  • 1980 Unité Mobile de Production (UMP)
  • 2000 "Coups de théâtre" (mises en scène et écriture)

En 1941, il a treize ans. On l'envoie au travail forcé dans une usine d'aviation du Reich, à Leipzig en Allemagne orientale. Les conventions internationales interdisant le travail des enfants, il sera libéré par les autorités suédoises. Sans aucune famille – il vient de l'Assistance publique – et sans domicile, il est pris en charge par un groupe communiste. Deux ans, clandestin dans la Résistance. Pour son action à la libération de Paris, en août 1944, il reçoit la Croix de guerre avec étoile de bronze des mains du général Kœnig, gouverneur militaire de Paris. Noël 1944, il conduit un char pendant la très dure bataille des Ardennes, dans la 2ème division blindée du général Leclerc. Démobilisé, il vagabonde dans les rues, fait des petits boulots : coursier à vélo, petit mitron, vendeur dans un magasin de chaussures, apprenti chez un tailleur puis dans un garage...

Une première chance se présente. Ses états de services comme "terroriste" contre les nazis et sa situation sociale lamentable entrent dans le cadre d'une association internationale d'aide aux jeunes victimes de la guerre qui sont sans ressources. Ce qui est son cas. L'immigration est possible, soit en Australie, soit au Canada. Il choisit le Canada.

Janvier 1947. Il est reçu dans une famille fortunée. Le père est propriétaire de plusieurs drugstores au Canada et aux États-Unis. La famille est très chaleureuse, mais selon les traditions, les jeunes ne bénéficient pas du soutien financier parental. Ils doivent travailler pour assurer leur quotidien. Commencent alors treize mois de pérégrinations dans neuf États du Midwest. Ramasseur de tabac, garde pour la prévention des feux de forêt, laveur de vaisselles (pas de machines à l'époque), serveur et même liftier...

Avril 1949. À Montréal, une surprise l'attend : l'obligation de retourner en France pour faire deux années de service militaire. Les nazis, la Résistance, les décorations, rien ne compte... Sinon c'est la désertion. Il a 21 ans. Il fait son choix, deux ans de caserne ou l'aventure du lointain ? Il s'engage pour trois ans au 1er bataillon colonial de commandos parachutistes. Après un stage de douze sauts, ils embarquent le 3 novembre 1949 sur le "Pasteur" pour Saïgon.

1949/octobre 1952. Après de nombreux combats, il est détaché à Radio France Asie à Saïgon. Dans l'équipe, il travaille avec Jacques Chancel et parfois Joseph Kessel qui, eux, dirigent l'information. En novembre 1951, il est nommé reporter officiel à Hanoï à Radio-Hirondelle « La voix des forces françaises au Nord-Vietnam », sur ordre du général d'armée de Lattre de Tassigny, gouverneur militaire de l'Indochine.

1953. De retour à Paris, il crée Le théâtre de la France d'Outre-mer avec quelques comédiens dont Roland Bertin qui deviendra le doyen de la Comédie-Française. Cette jeune troupe jouera en Afrique occidentale et équatoriale L'honorable Catherine de Solange Terac et L'amour truqué de Paul Nivoix, pendant deux longues tournées. Ce sera aussi ses deux premières mises en scène.

1954 à la Martinique. Il écrit et met en ondes pour La radiodiffusion française aux Antilles 98 émissions de trente minutes. Pendant cette période, il se lie d'amitié avec le grand écrivain noir Aimé Césaire, député-maire de Fort-de-France, auteur des recherches sur « La négritude » qui lui propose de mettre en scène Negro Spiritual d'Yves Jamiaque, une pièce interprétée uniquement en langue créole par des acteurs de couleur et pour la première fois, en territoire français.

Noël 1954. Il retourne à Montréal en passant par Cuba sous la coupe du dictateur Batista. Après avoir « bien observé » ce système, c'est le retour à la démocratie du Canada.

1955, son père québécois très "financier" lui offre de transformer une ancienne fabrique de 1 000 m² en un théâtre de 450 places, à l'aspect très contemporain. Ainsi sera créé Le théâtre Amphitryon. L'homme d'affaires veut des comédiens français de renom. Il engage Jacques Dufhilo, Sylvia Montfort, Alain Cuny et Jacques Mauclair... auxquels se joindront des acteurs du Théâtre du Nouveau Monde de Montréal. Patrick Antoine, metteur en scène et acteur, montera sept pièces d'auteurs importants : La marguerite d'Armand Salacrou, Un imbécile de Luigi Pirandello, Humulus le muet de Jean Anouilh, Électre de Sophocle, La fleur à la bouche de Luigi Pirandello, Les méfaits du tabac d'Anton Tchekhov et La leçon d'Eugène Ionesco. Plus de 10 journaux et magazines montréalais salueront chaleureusement les spectacles représentés. 1956. Le National Film Board qui a suivi ses mises en scène, s'intéresse à son travail scénique et lui propose de réaliser six documentaires, d'une heure chacun, destinés à la BBC canadienne, tournés en 35mm noir et blanc. Ce sera ses débuts avec une caméra.

Janvier 1957 Haïti. Dans le cadre des relations culturelles entre le Québec et la République de Haïti francophone, il est nommé par le général Paul Magloire, président à vie, directeur du Théâtre National Populaire haïtien, avec un salaire exorbitant. Jamais ce bâtiment, ni sa troupe ne verront le jour ! Seul, l'ambassadeur de France, Lucien Félix, lui demandera de jouer L'enfer de Luigi Pirandello à l'Institut français de Port-au-Prince.

Le 3 septembre 1957, il devient citoyen canadien : ED 29677 et Ott E 49008 (Ottawa)

1958. Un des événements les plus marquants a été sa rencontre, à New York, avec Lee Strasberg, le directeur de l'Actors studio, qui, tenant compte du camp nazi de ses treize ans, l'invite à assister aux séances de travail, mais au titre d'auditeur et non de « membre ». Les plus importants artistes du cinéma américain sont là pour approfondir leurs rôles : Marlon Brando, James Dean, Paul Newman, Shelley Winters, Marilyn Monroe, Dustin Hoffman et une dizaine d'autres stars. C'est au studio qu'il va faire la connaissance de Jack Kerouac, l'un des plus grands écrivains des États-Unis (l'époque "peace and love").

1959. Il passe cinq mois avec Jack Kerouac, au Mexique, pour étudier les civilisations précolombiennes et Mayas.

1960. Il découvre un professeur de lettres à l'université de Montréal. C'est un extraordinaire conteur québécois qui écrit ses chansons, compose ses musiques au piano, et les chante d'une voix éraillée. Il lui fait faire de longues séances de travail, sur scène. Gilles hésite à aller à Paris. Il faut le convaincre. Quelques mois plus tard, ce sera Bobino, salle pleine dix fois. Un million de disques vendus. Bruno Coquatrix lui ouvre l'Olympia.... Patrick Antoine est assis au deuxième rang d'orchestre. Un faisceau de projecteur cerne son fauteuil. « Merci Patrick, tu m'as tout appris !... Merci » Il s'appelle Gilles Vigneault.

1961. Après ses débuts dans le métier, en 1953, Patrick Antoine sent le besoin d'être "dirigé". Il est engagé comme comédien pendant deux ans au Centre dramatique national d'Aix-en-Provence. Il jouera dans L'école des femmes puis La critique de l'école des femmes de Molière, Le roi Lear de Shakespeare, La femme du boulanger de Giono, Irène innocente de Hugo Betti et enfin Figaro, dans Le barbier de Séville de Beaumarchais. Le général de Gaulle avait nommé André Malraux, ministre de la Culture, avec mission de faire rayonner "la culture du théâtre" dans tout le pays : une quinzaine de villes par région.

1963. À la fin de son contrat, il part en Israël. Pendant quatre mois, il vit dans un kibboutz à Beersheba en Judée.

Fin 1963. L'année précédente, le théâtre du Bolchoï avait fait une tournée au Canada. Les relations artistiques avec les Russes étaient rares mais il fallait faire un geste "d'échange". Le Canada Council for the Arts trouve la mentalité et le travail accomplis par Patrick Antoine au théâtre et au National film board appropriés pour participer à cette innovation : aller étudier l'art de la direction d'acteurs à Moscou, à l'université des peuples Patrice Lumumba. Incroyable surprise... On lui accorde une bourse de 400 dollars canadiens par mois, pendant 12 mois. L'URSS. Il apprend avec une grande attention La méthode des actions physiques, « Le behaviorisme » (gestes psychologiques) sous la direction de Vladimir Erchov et de huit artistes émérites.

En Roumanie, la ministre de la Culture responsable du théâtre (chaque art a son ministre) Alexandra Cuza, lui présente Liviu Ciulei, directeur du Teatrul Mic de Bucarest qui monte une pièce américaine de William Saroyan Hello out there ! Liviu connaît mal le comportement et les gestes habituels des Sudistes. Il demande à Patrick Antoine d'observer la justesse de l'attitude des comédiens. Ciulei n'y voit aucune ingérence dans son travail. Cela s'appelle « Building of character ».

1964. Au Théâtre National de Prague, un autre "grand moment" pour Antoine : sa rencontre de travail avec Josef Svoboda, le scénographe tchèque, docteur honoris causa de l'université d'Oxford, attaché au Théâtre za branou, la scène tchécoslovaque renommée pour ses recherches scéniques. Otomar Krejča, le directeur, l'invite à assister à la conception du décor des Trois sœurs d'Anton Tchekhov réalisé par Svoboda. Ce dernier établit des relations professionnelles avec des artistes venant de l'Est, notamment ceux du Berliner Ensemble de Bertolt Brecht. Un écrivain réputé Václav Havel lui fait découvrir l'histoire de la République. Chose incroyable, Antoine apprendra que son ami Havel deviendra en 1989 président de la République de Tchéquie pendant 13 ans.

1964/1966. Il va habiter en Suisse. Au Théâtre de Lausanne, il met en scène Zoo story d'Edward Albee, important écrivain américain venu de New York pour assister aux répétitions. Satisfait, Charles Apotheloz va lui confier la mise en scène de deux autres pièces : Parle-moi comme la pluie et Laisse-moi écouter et Hello from Bertha de Tennessee Williams. Ensuite, au Centre dramatique romand, il monte une grande production Ivanov d'Anton Tchekhov. Au Théâtre de l'atelier, à Genève, il met en scène deux pièces : Vu du pont d'Arthur Miller puis Les Hussards de Pierre-Aristide Bréal. Enfin à La maison de la Culture de Thonon, Focus USA, un montage sur le monde américain.

1967/1968. Nommé directeur et metteur en scène du Théâtre Daniel Sorano à Vincennes, il crée Hercule et les écuries d'Augias de Friedrich Dürrenmatt.

1969/1970/1971/1972. Thonon-les-Bains. La rocambolesque aventure de la construction d'un théâtre mobile, flottant sur le lac Léman, ultra moderne, conçu par un grand architecte suisse Pascal Haüsermann, en collaboration avec Patrick Antoine et les comédiens de sa compagnie (3 garçons et 2 filles). Pendant deux ans, ils vont fabriquer et monter une structure métallique en forme de dôme (12 m de haut, 450 places, 1 000 m² au sol, 2 500 barres, 5 000 boulons...) organisés en « Coopérative Ouvrière de Production », sans aucune subvention, en toute liberté. Ce théâtre "reconnu" a été implanté à Courbevoie/La Défense à Paris.

1973/1974. Il est patronné par Jean-Louis Barrault et associé avec lui au Théâtre des Nations. De nombreux acteurs célèbres se sont joints à cette équipe : Michel Piccoli, Annie Girardot, Serge Reggiani, Bernard Fresson, Eléonore Hirt... des auteurs, des musiciens et beaucoup d'autres. On peut consulter ces documents sur internet : Haüsermann – Fonds Régional d'Art Contemporain d'Orléans.

Pour une raison précise (son compagnonnage politique avec Michel Piccoli), le député-maire de Courbevoie se rétracte « Je vous laisse trois semaines pour démonter et foutre le camp de ma ville. Sale communiste ! » Il est désespéré. Ils démontent la mort dans l'âme. Pour Patrick Antoine le globe-trotter, l'époque "sécurité" commence. Jean-Charles Edeline, avec son embonpoint et son cigare, va sauver Le théâtre mobile. Le président de l'Union Générale Cinématographique (UGC) et président de la Fédération nationale des cinémas français entre en scène. Le caractère aventureux d'Antoine lui plaît. Edeline veut transformer le théâtre en grand studio de tournage. Leur collaboration a duré sept ans.

1975. Après l'éclatement de l'ORTF, Giscard d'Estaing nomme Edeline à la direction de la Société Française de Production (SFP) aux Buttes-Chaumont. Edeline lui confie une mission importante : passer des accords avec American Film Theatre, créé par deux producteurs de Hollywood, Elie Landau et Norman Katz. Pour cette opération, Antoine dirige SFP-Films Théâtre international, associé à la BBC anglaise et la NHK japonaise. Il a la charge des pays francophones. Bilan : 12 films large écran 35 mm, pour le cinéma avec des vedettes mondialement connues : Katharine Hepburn, Glenda Jackson, Lee Marvin, Joseph Cotten, Alan Bates, Paul Scofield... et des auteurs importants : Shakespeare, Albee, O'Neill, Pinter, Ionesco, Genet... Festival de Cannes et Festival du cinéma américain de Deauville en 1976.

1976. Sur décision d'Edeline, Valérie-Anne Giscard d'Estaing devient son assistante.

1977. Il devient membre du conseil d'administration des AFA (Artistes Français Associés) regroupant une trentaine de vedettes : Suzanne Flon, Michel Serrault, Françoise Fabian, Jean Marais, Marlène Jobert, Pierre Richard, Anny Duperey, Jean-Claude Brialy, Nicole Courcel... Patrick Antoine sera chargé des relations avec les télévisions.

1978-1998. Il tourne

  • Le jockey avec Jacques Dufilho... pour Data communication/SFP/TF1
  • Les deux berges avec Marina Vlady, Bernard Fresson, Jean-Michel Dupuis... sur un scénario de Geneviève Laporte, diffusé sur TF1
  • Nous ne l'avons pas assez aimée avec Claude Jade, Eva Darlan, Gilles Segal... sur un scénario de Françoise Verny d'après le roman de Luce Amy, diffusé sur TF1
  • François, Donatien, marquis de Sade sur un scénario de Marcel Jullian avec Bruno Cremer, Joséphine Chaplin, Cécile Magnet, Sylvie Granotier... diffusé sur Ant2
  • L'issue de Franz Kafka pour Jack Lang – ministère de la Culture avec Christian Jeanin
  • L'amiral Larima de Patrick Antoine, variété avec Olivier de Kersauson, Pierre Richard, Carlos, Marc Lavoine, Alice Dona, Catherine Lara... diffusé sur FR3 dans le cadre de "La fête en France"
  • Rencontre dans une allée d'après une nouvelle de Heinrich Böll, Nobel de littérature, avec des acteurs allemands diffusé sur FR3 LP-C ainsi que
  • six émissions – documentaires sociaux de « Portes ouvertes » diffusées à 13h30 sur TF1 après le journal

Il transforme une camionnette en unité de tournage-vidéo Unité Mobile de Production (UMP) et réalise des films d'entreprise pour le CIVC (Comité Interprofessionnel des vins de Champagne) entre autres...

1998. Après avoir obtenu les licences obligatoires de la Direction des Affaires Culturelles, la DRAC, il crée sa compagnie « Coups de Théâtre ». Il produit et met en scène :

Dans le même temps, les Éditions La Bruyère publient : Passé simple, La maison des sœurs Brontë, Marie Duplessis, La villégiature, Ravensbrück 1943... deux femmes là-bas et enfin L'usure du temps.

Filmographie

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29 courts et longs métrages

Télévision

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Cinq films d'entreprise pour le CIVC[réf. nécessaire]

Mises en scène théâtrales

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  • 1953 : tournées en Afrique occidentale et équatoriale française : L'honorable Catherine de Solange Terac et L'amour truqué de Paul Nivoix avec Roland Bertin, Patrick Antoine...
  • 1954 : Negro spiritual de Yves Jamiaque avec uniquement des acteurs noirs...Martinique

Patrick Antoine a interprété 17 rôles dans les pièces suivantes :

Publications

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  • 2016 : Passé simple récit autobiographique Éditions La Bruyère[8]
  • 2016 : La maison des sœurs Brontë pièce de théâtre Éditions La Bruyère[9]
  • 2018 : Marie Duplessis - Inspiré de La dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils – pièce de théâtre Éditions La Bruyère[10]
  • 2019 : Ravensbrück 1943. Deux femmes... là-bas, pièce de théâtre Éditions La Bruyère[11]
  • 2021 : La villégiature – pièce de théâtre Éditions La Bruyère
  • 2022 : L'usure du temps – récit Éditions La Bruyère

Notes et références

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  1. Patrick Antoine, Bernard Fresson, Jean-Michel Dupuis et Julien Thomas, Les deux berges, (lire en ligne)
  2. « 01CASTING.COM », sur 01CASTING.COM (consulté le )
  3. « Myriam Allais », sur myriam-allais.com (consulté le )
  4. « La culture - Conseil départemental de la Manche - Rencontre avec un Manchois », sur www.manche.fr (consulté le )
  5. Dossier de presse, « Play Strindberg de Friedrich Dürrenmatt par Patrick Antoine », sur Sceneweb, (consulté le )
  6. « Play Strindberg | Les Déchargeurs », sur www.lesdechargeurs.fr (consulté le )
  7. « Ravensbrück 1943, deux femmes là-bas | Les Déchargeurs », sur www.lesdechargeurs.fr (consulté le )
  8. « Les éditions La Bruyère, éditeur de livres de littérature générale, édition, diffusion, distribution », sur www.labruyere.fr (consulté le )
  9. « Les éditions La Bruyère, éditeur de livres de littérature générale, édition, diffusion, distribution », sur www.labruyere.fr (consulté le )
  10. « Les éditions La Bruyère, éditeur de livres de littérature générale, édition, diffusion, distribution », sur www.labruyere.fr (consulté le )
  11. « Les éditions La Bruyère, éditeur de livres de littérature générale, édition, diffusion, distribution », sur www.labruyere.fr (consulté le )

Liens externes

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