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Pleugriffet

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Pleugriffet
Pleugriffet
L'église paroissiale Saint-Pierre.
Blason de Pleugriffet
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Pontivy Communauté
Maire
Mandat
Bernard Lécuyer
2020-2026
Code postal 56120
Code commune 56160
Démographie
Gentilé Pleugriffétois, Pleugriffétoise
Population
municipale
1 286 hab. (2021 en évolution de +4,38 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Population
agglomération
42 209 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 59′ 25″ nord, 2° 41′ 04″ ouest
Altitude 100 m
Min. 40 m
Max. 129 m
Superficie 38,49 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grand-Champ
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Pleugriffet
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Pleugriffet
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Pleugriffet
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Pleugriffet
Liens
Site web http://pleugriffet.bzh

Pleugriffet [pløgʁifɛt] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie

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Localisation

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Le bourg de Pleugriffet est situé à vol d'oiseau à 22 km au nord-ouest de Ploërmel, à 23 km au sud-est de Pontivy et à 36 km au nord de Vannes. La commune appartient sur le plan administratif à l'arrondissement de Pontivy et à la communauté de communes de Pontivy communauté et sur le plan des traditions au pays Gallo et au Pays de Baud (Bro Baod).

Paysage et relief

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La commune de Pleugriffet présente un relief de plateau ondulant faiblement. Le bourg occupe le sommet d'une colline. L'église se trouve à une altitude de 102 mètres. L'Oust borde la commune à l'est et coule dans une vallée faiblement encaissée. Les ruisseaux qui arrosent la commune sont tous des tributaires de l'Oust : le ruisseau de La Perche, le ruisseau de la ville Oger (limite sud). Le bocage est à l'état résiduel, la plupart des talus et des haies d'arbres ayant disparu au profit des grandes parcelles de céréales et les espaces boisés sont rares. La population se disperse dans de nombreux petits hameaux et écarts. Si la majorité d'entre-eux portent des noms de consonance française, un nombre non négligeable portent des noms bretons : Clévaleuc, La Croix Guen, Coëtdénan, Coët Maguet, Kerburel, Kerfouquet, Ker Normand, Kerpont, Le Bas Penhouët, Le Haut Penhouët, Penguilly, Quérant. Au nord-ouest de la commune, se dressent 10 éoliennes Gamesa (20 MW, EDF-Akuo) appartenant à un parc éolien constitué au total de 11 machines, la onzième étant sur la commune voisine de Crédin[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Moréac à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 043,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Pleugriffet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,6 % 57
Terres arables hors périmètres d'irrigation 56,8 % 2193
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 13,9 % 537
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 18,9 % 728
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 7,1 % 274
Forêts de feuillus 1,8 % 69
Source : Corine Land Cover[13]

Le nom de la commune est attesté sous les formes Pluhuduc en 1066, Plooc Griffet en 1295, Griffet in Pleouc en 1298, Pleouc Griffet en 1308 et 1356, et Ploioc en 1330, Plorec et Ploiec en 1387, Ploegriffet en 1392, Ployeuc Griffet en 1453, Ploegaffec en 1456, Plogrifect en 1630[14],[15].

Il s'agit d'un toponyme d'origine brittonique, constitué par un appellatif toponymique issu du moyen ploe « communauté, implantation civile, paroisse », et suivi de l’anthroponyme Huduc. La contraction de ce toponyme avec Griffet, nom d'une seigneurie et d'un hameau situés au nord du territoire communal, produit le nom actuel de la commune.

Le nom de la localité en gallo, langue régionale locale, est Pyeu[15].

En breton, Ploueg-Grifed[réf. nécessaire].

Préhistoire et Antiquité

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L'origine de la paroisse remonte aux Celtes. Les Romains achevèrent sa création avec la réalisation d'une voie reliant Vannes à Corseul et l'implantation d'un camp.

Puis les Bretons, au VIe siècle, marquèrent ces lieux de leur empreinte en y laissant des lieux-dits à consonance bretonne : Kerburel, Langonan, Quérant... Le bourg lui-même porte un nom breton que l'on retrouve écrit Ploeuec ou Pleouc en 1298, Ploiec en 1387, et enfin Ployeuc. Dans ces termes, on reconnaît facilement le terme breton plou qui signifie peuple ou paroisse. Au XIIe siècle, le village est donné au prieuré Saint-Martin de Josselin.

À partir de 1453, on a rajouté la terminaison Griffet et Ploueuc-Griffet est devenu Pleugriffet car les seigneurs du château de Griffet avaient haute, moyenne et basse justice et dîme féodale sur toute la paroisse. Mais les gens du pays ont toujours gardé le nom primitif de Pleuc, que l'on prononce dans le patois du terroir Pieu. Le château de Griffet était jadis une forte place dans laquelle il y avait garnison et capitaine. Il était situé à 2 kilomètres du bourg, sur les bords de l'Oust. Les guerres ont entièrement ruiné ce château. La seigneurie de Griffet, fut érigée en marquisat en l'an 1622 et réunie par le roi au marquisat de Coëtlogon, situé dans la paroisse de Laurenan au profit de René, marquis de Coëtlogon[16].

Selon un aveu de 1471, Pleugriffet était, au sein de la Vicomté de Rohan, une des 46 paroisses ou trèves de la seigneurie proprement dite de Rohan[17].

Temps modernes

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En 1756, Pleugriffet se trouvait dans la vicomté de Rohan, dans le doyenné de Porhoet et dans la sénéchaussée de Ploërmel.

Révolution Française

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En 1790, Pleugriffet fut érigée en commune du canton de Réguiny et du district de Josselin. Ses habitants prirent une part active à la chouannerie en 1794 et en 1799. Enfin en 1801, la commune intégra définitivement le canton de Rohan. Ainsi s'acheva une histoire administrative chaotique.

Le 12 brumaire an III () l'agent national de Josselin écrit au Comité de salut public que « les municipalités de Cruguel, Plumelec, Saint-Jean, Bignan, Buléon, Radenac, Pleugriffet, Réguiny et Credin ne peuvent plus faire exécuter les lois, ni ordonner les réquisitions des grains, fourrage et charrons. Les brigands |chouans] rôdent dans ces communes et les en empêchent. Ils menacent tous les individus qui désireraient y obtempérer de les assassiner eux et leurs familles et d'incendie leur domicile »[18].

XIXe siècle

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Au XIXe siècle, la superficie totale de la commune selon le cadastre était de 3860 hectares dont terres labourées 1259 ha, prés et pâturages 223 ha, bois 56 ha, vergers et jardins 79 ha, canal 24 ha, landes et incultes 2104 ha, châtaigneraie 9 ha, surface des propriétés bâties 14 ha. On y parlait le français[16].

XXe siècle

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La Belle Époque

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Le l'inventaire des biens d'église fut vainement tenté à Pleugriffet, les paroissiens s'y opposant[19].

L'entrée du bourg vers 1910 avec au premier plan un atelier de charronnage.
L'ancienne église de Pleugriffet, détruite avant 1954.

Influencés par les travaux de mise en valeur des landes réalisés par les moines de l'abbaye de Timadeuc pour les transformer en terres cultivées, les paysans des communes de Réguiny, Crédin, Pleugriffet , etc.. les imitent au début du XXe siècle[20].

La Première guerre mondiale

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Le monument aux morts de Pleugriffet porte les noms de 108 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 6 sont morts en Belgique dont 3 dès le 22 août 1914[21].

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Pleugriffet porte les noms de 7 personnes mortes pour le France pendant la Seconde Guerre mondiale[21].

L'après Seconde Guerre mondiale

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Un soldat (Alphonse Jouet) originaire de Pleugriffet est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine et deux (Marcel Julo et Onésime Kerleaux) pendant la Guerre d'Algérie[21].

À partir de 1954, est édifiée l'actuelle église Saint-Pierre, suivant les plans de l'architecte vannetais Guy Caubert de Cléry. En effet, au début des années 1950, le maire de Pleugriffet, Eugène Lorillé, souhaitait offrir une nouvelle église à ses concitoyens. Selon le maire, l'ancienne église, trop vétuste, menaçait de s'effondrer. Elle est consacrée le 12 août 1956 par monseigneur Eugène Le Bellec. Il s'agit d'un édifice en béton paré de briques, de granite, de mosaîque et d'enduit et qui allie modernité et tradition. Elle est édifiée à l'emplacement de l'ancienne église romane qu'elle remplace. Celle-ci semblait remonter au XIIe siècle pour ses parties les plus anciennes[22].

Politique et administration

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La mairie de Pleugriffet.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1983 Eugène Lorillé    
mars 2001 23 mai 2020 René Jégat RPR  
23 mai 2020 En cours Bernard Lécuyer[23]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 1 286 habitants[Note 1], en évolution de +4,38 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4881 4391 5641 5311 7301 6291 6001 6631 618
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6271 6291 6881 6311 6381 6671 7941 8751 972
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0061 9922 0051 7661 7901 8511 7741 7341 625
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 5891 5281 3581 1981 1051 1241 1881 1801 255
2021 - - - - - - - -
1 286--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux, monuments, art

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La croix de Landoma.
  • L'église paroissiale Saint-Pierre est édifiée en 1954 sur l'emplacement d'une ancienne église romane du XIIe siècle. Les peintures murales sont l'œuvre du peintre Muriel de Bussy. Une statue représente sainte Marguerite debout sur un dragon.
  • La croix de Landoma.
  • La mairie de Pleugriffet possède deux toiles du peintre Roland Dubuc (1924-1998) et quatre œuvres du peintre essentialiste Alain Le Nost .

Dans la culture populaire

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Jean-Yves Lafesse a réalisé un canular téléphonique dans lequel il évoquait la commune de Pleugriffet[28].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Les armoiries de Pleugriffet se blasonnent ainsi :

Coupé de sinople et d’hermine, au lion de l’un en l’autre, armé, lampassé et couronné d’or, et accompagné en chef de deux mâcles du même.

Notes et références

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  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. Pleugriffet sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Pleugriffet et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Moreac » (commune de Moréac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Pleugriffet ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804), p. 381
  15. a et b (br) Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 140
  16. a et b continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne,tome 2, 1853, page 298
  17. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  18. Roger Dupuy, Les Chouans, Paris, Hachette Littérature, , page 48.
  19. « Morbihan. Les inventaires des biens d'église. Localités diverses », Journal L'Ouest-Éclair,‎ , page 4 (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Ploërme. L'agriculture », Journal L'Ouest-Éclair,‎ , page 4 (lire en ligne, consulté le ).
  21. a b et c https://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=61449&dpt=56
  22. « Église Saint-Pierre de Pleugriffet », sur patrimoine.bzh (consulté le ).
  23. « Municipales. René Jégat a passé le relais à Bernard Lécuyer à Pleugriffet », sur Ouest-France, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « LAFESSE Imposture - Hôtel Gare de l'est » [vidéo].

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Articles connexes

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Liens externes

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