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Porcheville

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Porcheville
Porcheville
L'hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité CU Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Alec Jaltier
2022-2026
Code postal 78440
Code commune 78501
Démographie
Gentilé Porchevillois
Population
municipale
3 162 hab. (2021 en évolution de +5,01 % par rapport à 2015)
Densité 684 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 20″ nord, 1° 46′ 44″ est
Altitude 20 m
Min. 17 m
Max. 61 m
Superficie 4,62 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limay
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Porcheville
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Porcheville
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Porcheville
Liens
Site web https://www.porcheville.fr/

Porcheville est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Porchevillois.

Géographie

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Localisation de Porcheville dans les Yvelines.

Porcheville est une commune du Vexin français riveraine de la Seine, située sur la rive droite du fleuve, dans le nord-ouest du département des Yvelines, à sept kilomètres à l'est de Mantes-la-Jolie et à 38 km environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.


Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Issou au nord-est, Mézières-sur-Seine et Guerville au sud, communes dont elle est séparée par la Seine, Limay à l'est et Guitrancourt au nord.

Géologie et relief

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Le territoire, en légère pente du nord, s'étageant de 50 mètres à 20 mètres environ, se trouve dans la plaine alluviale de la Seine.

Hydrographie

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La commune est limitée au sud par le lit du fleuve la Seine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Porcheville (en bas du cliché) et Limay, photographie aérienne de 2014.

Au , Porcheville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

Morphologie urbaine

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Le territoire communal est fortement urbanisé et industrialisé, mais conserve encore des zones naturelles boisées sur environ 20 % de sa surface.

L'habitat est concentré dans le bourg situé au sud-est de la commune près de la Seine. La partie nord-est est englobée dans la zone industrielle de Limay-Porcheville.

Habitat et logement

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En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 1 158, alors qu'il était de 1 163 en 2014 et de 996 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 93 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 6,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 85 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,2 % des appartements[I 3].

La commune ne respecte pas ses obligations prévues par l'article 55 de la loi SRU de 2000 qui lui imposent de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales comme logements sociaux : En 2018, elle ne dispose que de 14,9 % et est astreinte au paiement d'un pénalité annuelle, qui s'est élevée, cette année-là, à 52 662 [11].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Porcheville en 2019 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inférieure à celle du département (2,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2014), contre 58,6 % pour les Yvelines et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Porcheville en 2019.
Typologie Porcheville[I 2] Yvelines[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 93 91 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 6,2 6,4 8,2

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9],[10].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par deux axes routiers principaux orientés est-ouest parallèlement à la Seine : la route départementale 146 qui relie Gargenville à Limay en traversant le centre du village, la route départementale 190 (ex-route nationale 190) qui longe une partie du territoire communal au nord et donne accès à la zone industrielle.

La gare d'Issou-Porcheville.

Elle est traversée par la voie ferrée Paris-Saint-Lazare - Mantes-la-Jolie via Argenteuil et desservie par la gare d'Issou - Porcheville (cette gare se trouve à la limite de Porcheville mais dans le territoire d'Issou). Des embranchements particuliers desservent la centrale EDF et la zone industrielle.

Un appontement privé sur la Seine, conçu pour l'approvisionnement en fioul lourd, desservait la centrale thermique. Le port fluvial de Limay-Porcheville, port public géré par Ports de Paris (établissement public de l'État), est situé principalement dans le territoire de Limay, à la limite ouest de la commune de Porcheville[12].

Plusieurs lignes à haute tension (400 et 225 kV) du réseau national d'électricité, convergeant vers le poste de transformation situé près de la centrale thermique, traversent le territoire communal. Plusieurs d'entre elles, orientées nord-sud, appartiennent à la « boucle 400 000 volts » qui ceinture Paris et assure l'alimentation générale de l'Île-de-France en énergie électrique[13].

Du fait de la présence de l'ancienne centrale thermique de Porcheville alimentée en fioul lourd et de la proximité du stockage pétrolier de Gargenville, la commune est traversée par divers oléoducs, dont le réseau LHP (Le Havre - Paris) affecté au transport d'hydrocarbures et exploité par la société Trapil[14] et le « pipeline de l'Île-de-France (PLIF) exploité par la société ELF-Antar France[15].

Le nom de la localité est attesté sous les formes Porciaco villa en 680[16], Villa porcariorum en 690[16],[17], Porchevrevilla en 1249[18], Porcheuville sur les cartes de Cassini (levés de 1756 à 1789).

Les spécialistes tels qu'Albert Dauzat ou Ernest Nègre n'ont pas analysé ce toponyme[19],[20] montrant sans doute qu'ils en ignorent l'origine.

Il s'agit vraisemblablement d'un toponyme médiéval en -ville, au sens ancien de « domaine rural », plus tardivement « village » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »).

Il est peut-être précédé d'un toponyme gallo-roman antérieur en -acum, combiné avec un nom de personne Porcius, si la première forme Porciaco de 680 est juste (cf. Tonneville (Seine-Maritime), anciennement Taunacum villa[21]). Cependant, l'évolution phonétique normale du type toponymique Porciacum (Porciaco) « propriété de Porcius » est Porci en ancien français, d'où les Pourcy et Poursay[22], ensuite, si la seconde forme Porchevreville de 1249 est exacte, elle est incompatible phonétiquement avec cette explication.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du [24], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Mantes-la-Jolie, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription des Yvelines.

Elle fait partie depuis 1793 du canton de Limay[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 17 à 20.

Elle est également incluse dans le territoire de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[26].

Sur le plan judiciaire, Porcheville fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[27],[28].

Intercommunalité

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La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Mantes-en-Yvelines (CAMY) créée fin 1999.

Dans le cadre de la Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM) qui impose la création en Île-de-France d'intercommunalités d'au moins 200 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec d'autres pour former, le la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GPS&O), dont la commune est désormais membre.

Liste des maires

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Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1890 1908 Émile François    
1908 1919 Louis Victor Tibaldi    
1919 1925 Valentin Hebert    
1925 1929 Christian Schmitt    
1929 1935 Alfred Labarriere    
1935 1941 Georges Bonnet    
1941 1944 Eugène Hoyet    
1944 1953 Georges Davot    
1953 1959 Louis Defosse    
1959 1962 Michel Bronders    
1962 1966 Michel Boever    
1966 1992 Pierre Peyré Mod.  
1992[30] octobre 2003 Ernest Minisini[31]   Décédé en fonction
octobre 2003[32] mars 2008 Maurice Robert DVD  
mars 2008 novembre 2017[33] Paul Le Bihan[34] DVD Retraité
Démissionnaire
novembre 2017[35] août 2022[36] Didier Martinez DVD Cadre Renault retraité
Démissionnaire
30 août 2022[37],[38] En cours
(au 9 juin 2023)
Alec Jaltier   Ancien cadre d’une entreprise de thé

Équipements et services publics

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Justice, sécurité, secours et défense

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2008 : construction d'un établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de 60 places.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 3 162 habitants[Note 5], en évolution de +5,01 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
280279266274250253248219234
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
242238223216216186197180188
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
174188228348430481518585589
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1191 7792 4562 7402 5962 5022 5422 5222 832
2015 2020 2021 - - - - - -
3 0113 1553 162------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 666 hommes pour 1 527 femmes, soit un taux de 52,18 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,3 
6,3 
75-89 ans
7,0 
13,2 
60-74 ans
12,8 
20,8 
45-59 ans
20,3 
19,0 
30-44 ans
20,2 
18,7 
15-29 ans
15,7 
21,3 
0-14 ans
23,7 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2021 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,8 
20,7 
45-59 ans
20,1 
19,6 
30-44 ans
19,9 
18,5 
15-29 ans
16,8 
21,2 
0-14 ans
19,2 
Centrale thermique EDF.
  • Centrale thermique de Porcheville : elle comprenait jusqu'à sa fermeture en 2017[23] quatre tranches de 600 MW pour une puissance totale de 2 400 MW. La centrale EDF était flanquée d'un poste de transformation électrique RTE (400 kV, 225 kV, 90 kV, 63 kV).
  • Zone industrielle de Limay-Porcheville.

Revenus de la population et fiscalité

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Le revenu fiscal médian par ménage était en 2008 de 21 348 , contre 24 414  au niveau du département des Yvelines[44].

Population active et emploi

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En 2007, la population active s'élevait à 1694 personnes, dont 1162 actifs (soit un taux d'activité de 68,8 %). Parmi les actifs, 1029 avaient un emploi, soit un taux d'emploi de 60,7 %). Le taux de chômage s'élevait à 7,9 %, tandis que les inactifs (élèves, étudiants, retraités...) représentaient 31,4 % de la population active[45].

La même année, la commune comptait 1216 emplois, soit un taux d'emploi (comparé aux actifs ayant un emploi) supérieur à 100 %. Parmi ces emplois, 1033 sont occupés par des actifs résidant dans la commune, soit un taux de concentration d'emploi de 117,7 %. On comptait parmi ces emplois 1152 salariés (94,7 %) et 65 non-salariés (5,3 %)[45].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • Pierre Loutrel (1916-1946), gangster connu sous le nom de « Pierrot le fou », est mort le à Porcheville où ses complices l'avaient transporté blessé après son dernier braquage d'une bijouterie parisienne le . Enterré clandestinement dans une île de la Seine aujourd'hui disparue, son corps ne fut découvert par la police qu'en 1949[46].

Héraldique

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Blason de Porcheville Blason
Détails

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Bibliographie

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  • Corinne GOMOND, Porcheville, hier & aujourd'hui, éditions Wauquier, , 106 p. (ISBN 978-2-915749-08-3)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Porcheville et Magnanville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  9. a et b « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  10. a et b Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Maxime Vaudano, « HLM : les quotas de construction fonctionnent-ils ? : La politique des quotas de logements sociaux, dessinée en 2000 par la loi SRU, produit des résultats encourageants, même si de nombreuses communes restent loin du compte », Le Monde,‎ 11/1/2018 mis à jour le 9/5/2018 (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Port de Limay-Porcheville », Ports de Paris (consulté le ).
  13. « La sécurité de l’alimentation électrique en Ile-de-France », Annales des Mines (consulté le ).
  14. « Les communes traversées », Trapil (consulté le ).
  15. « Le pétrole en Ile-de-France - De la ressource aux consommateurs », DRIRE Île-de-France (consulté le ).
  16. a et b Mémoires de la Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, (1977), t. 67 à 70, p. 28.
  17. CASSAN (Armand) Statistique de l'arrondissement de Mantes, Seine-et-Oise, p. 538.
  18. COCHERIS (Hippolyte) Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
  20. NEGRE ( Ernest), Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève.
  21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
  22. DAUZAT (Albert) et ROSTAING (Charles), op. cit., p. 542ab.
  23. a et b Mehdi Gherdane, « Porcheville : la centrale EDF, c’est fini ! », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Les communes et les intercommunalités du territoire de l’OIN Seine Aval »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Epamsa (consulté le ).
  27. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  28. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  29. « Les maires de Porcheville », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. « L'ancien adjoint soupçonné de prise illégale d'intérêt », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ernest Minisini, maire de 1992 jusqu'à son décès en 2003 ».
  31. Réélu en 2001 : « La liste des maires - "Troisième tour" des municipales », Le Courrier de Mantes,‎ .
  32. Christian Thomas, « Le projet de prison fait peur aux habitants », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « le maire, Maurice Robert, élu à ce poste il y a quelques semaines en remplacement du maire précédent, décédé ».
  33. « Porcheville : le maire Paul Le Bihan cède sa place à son premier adjoint », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Âgé de 73 ans, Paul Le Bihan a été élu premier magistrat de cette commune de 3 000 habitants en 2008 avant de repartir pour un second mandat en 2014 ».
  34. Réélu en 2014 : Y.F., « Les habitants sont libres de voter pour le candidat de leur choix », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A Porcheville, l’équipe municipale est apolitique. » Elu depuis 32 ans, Paul Le Bihan rappelle qu’il a été élu dès le 1er tour lors des municipales de 2014, « avec plus de 60 % des suffrages ».
  35. M. G., « Didier Martinez est le nouveau maire de Porcheville : Paul Le Bihan a cédé son fauteuil lors d’un conseil municipal extraordinaire ce mardi soir », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À 73 ans, Paul Le Bihan a décidé de prendre du recul dans la gestion au quotidien de cette commune de 3 000 habitants. Ce passage de témoin était prévu de longue date. Paul Le Bihan restera élu à Porcheville ».
  36. Mehdi Gherdane, « Porcheville : le maire démissionne à cause de « soucis de santé » : Didier Martinez, le premier magistrat de cette ville de 3 000 habitants, démissionne pour raisons de santé. Il sera remplacé la semaine prochaine », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ancien cadre de Renault originaire du Sud-ouest, Didier Martinez avait repris les rênes de la commune en novembre 2017, après que Paul Le Bihan lui a cédé son fauteuil au terme d’un accord prévu de longue date entre les deux hommes. Ironie de l’histoire, Paul Le Bihan s’était présenté contre son « poulain » lors des élections municipales de 2020. Il avait été battu ».
  37. Renaud Vilafranca, « Qui est Alec Jaltier, le nouveau maire de Porcheville : Alec Jaltier est désormais le maire de Porcheville (Yvelines). D'où vient-il ? Quels sont ses projets pour la ville ? Comment se positionne-t-il par rapport à l'intercommunalité ? », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Huit bulletins blancs ont été décomptés à l’issue du vote à bulletin secret du conseil municipal, pour cinq élus d’opposition ».
  38. « L’adjoint Alec Jaltier élu à la tête de la Ville : Suite à la démission de l’édile SE, Didier Martinez, son adjoint, Alec Jaltier a été élu maire lors de la séance du conseil municipal du 30 août », La Gazette en Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Porcheville (78501) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  44. « Porcheville (78501 - Commune) », Insee - Chiffres clés sur un territoire (consulté le ).
  45. a et b « Porcheville (78501 - Commune) - Chiffres clés », Insee Statistiques locales (consulté le ).
  46. Corinne GOMOND, Porcheville, hier & aujourd'hui, éditions Wauquier, (ISBN 978-2-915749-08-3), p. 102-105.