Sommevoire
Sommevoire | |||||
Carte postale du village vers 1910. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Haute-Marne | ||||
Arrondissement | Saint-Dizier | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saint-Dizier, Der et Blaise | ||||
Maire Mandat |
Philippe Chassende-Baroz 2022-2026 |
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Code postal | 52220 | ||||
Code commune | 52479 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sommevigériens | ||||
Population municipale |
649 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 24′ 44″ nord, 4° 50′ 33″ est | ||||
Altitude | 145 m Min. 139 m Max. 235 m |
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Superficie | 32,68 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Wassy | ||||
Législatives | 2e circonscription de la Haute-Marne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Marne
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Sommevoire est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Sommevoire est un village situé dans une « cuve » qui se termine avec la côte de la Vigne-au-Loup.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Blumeray, Ceffonds, Dommartin-le-Saint-Père, Doulevant-le-Château, Mertrud, Nully, Robert-Magny, Thilleux et Trémilly.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Voire, le Ceffondet, la Vivoire, le cours d'eau 01 du Pont Coiliot, le Fossé 01 de la Foontaine aux Aulnes, le Fossé 01 de la Vallée de Bradhdonval, le Fossé 01 des Grandes Plaines, le Conrupt, le ruisseau de Martin-Champ et divers autres petits cours d'eau[1],[Carte 1].
La Voire, d'une longueur de 56 km, prend sa source dans la commune de Dommartin-le-Franc et se jette dans l'Aube à Molins-sur-Aube, après avoir traversé 21 communes[2].
Le Ceffondet, d'une longueur de 29 km, prend sa source dans la commune de Beurville et se jette dans la Barse à La Porte du Der, après avoir traversé neuf communes[3].
La Vivoire, d'une longueur de 11 km, prend sa source dans la commune de Wassy et se jette dans la Voire sur la commune, après avoir traversé cinq communes[4].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : le Grand étang, d'une superficie totale de 6,3 ha (0,5 ha sur la commune)[Carte 1],[5].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soulaines », sur la commune de Soulaines-Dhuys à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Sommevoire est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), forêts (32 %), prairies (16,5 %), zones urbanisées (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 356, alors qu'il était de 363 en 2013 et de 352 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 80 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 14,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,9 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sommevoire en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) inférieure à celle du département (7,5 %) et e à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,7 % en 2013), contre 64,7 % pour la Haute-Marne et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Sommevoire[I 2] | Haute-Marne[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 80 | 80,8 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 5,2 | 7,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 14,8 | 11,7 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Baubiac[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Une trace de présence romaine a été prouvée par la découverte du trésor monétaire[18] au Ravin de Brandonval en 1770, il y avait deux cent soixante pièces : Auguste, Tibère, Marc-Aurèle... Deux pièces près de la fontaine qui était d'Antonin le Pieux en 1802. Mais aussi des restes de canalisation romaine au Marchat et d'autre vestiges de construction au Sables-Noirs[19].
Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Sommevoire a été la propriété des moines de Montier-en-Der. Le village comprend deux paroisses : Notre-Dame et Saint-Pierre.[réf. nécessaire]
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]-
Vue générale et le Pont.
-
Grande-Rue.
-
Entrée de l'ehôpital, ancienne habitation de Gérard de Hault, fondateur de l'hôpital (1572).
-
Bureaux et halle de montage de l'usine Durenne.
-
Usine Durenne: allée principale.
En 1972, la commune, alors peuplée de 747 habitants[20], a absorbé celle voisine de Rozières elle-même peuplée de 161 habitants[20],[21].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouve depuis 1943 dans l'arrondissement de Saint-Dizier du département de la Haute-Marne.
Après avoir été fugacement chef-lieu de canton en 1793, elle faisait partie depuis 1801 du canton de Montier-en-Der[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Wassy
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Marne.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Sommevoire était membre depuis 2009 de la petite communauté de communes du Pays du Der, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Saint-Dizier, Der et Blaise dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2021, la commune comptait 649 habitants[Note 3], en évolution de −8,85 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]La fonderie GHM a son siège sur la commune, c'est une entreprise du patrimoine vivant.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]Sommevoire possède la particularité d'avoir deux églises.
- L'église Saint-Pierre[28] a été partiellement réhabilitée en 1977[29] par l'association des Compagnons de Saint-Pierre[30] et l'autre est en très bon état de conservation. Elle a fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques en 1971[31].
- L'église Notre-Dame a fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques en 1909[32].
Patrimoine industriel
[modifier | modifier le code]- Le village possède également un lieu dans lequel sont entreposés des modèles de statues réalisées à la fonderie de Sommevoire. Ce lieu est nommé le « Paradis » et il peut être visité.
- Dans le Paradis sont compris le colombier (qui peut être loué) ainsi que deux granges pour les différents modèles. À l'arrière existe un petit jardin avec un futur bassin. Là-bas sont entrepris des travaux de rénovation par les jeunes de Sommevoire qui souhaitent s'y inscrire et sont dirigés par M. Thil. Il y a une cour à l'intérieur du monument dont une partie a déjà été dévastée par l'usure du vent et celle du temps. L'association « Les compagnons de Saint-Pierre » essaie de préserver ce site.
- Fonderie GHM (Générale Hydraulique et Mécanique)[33]. Autrefois fonderie Durenne, là étaient coulées un grand nombre de statues expédiées dans de nombreux pays. Aujourd'hui, GHM fabrique essentiellement du mobilier urbain et reçoit des commandes pour des statues, des fontaines telles les fontaines Wallace à Paris. Dans cette usine, travaillent environ 400 employés.
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Banc public GHM.
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Lampadaire GHM.
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Hélène Bertaux : Automne, statue en fonte, parc du Jard, Saint-Dizier (fonderie d'art A. Durenne)
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Signature GHM.
Patrimoine hospitalier
[modifier | modifier le code]Devenu veuf, Gérard de Hault fonde un hôpital à Sommevoire au milieu du XVIe siècle, le dotant de revenus lui garantissant une autonomie de gestion. Il réserve à sa descendance masculine le droit de nomination du chapelain de cet hôpital. C'est ainsi que nous saurons que sa descendance masculine s'est éteinte durant le XVIIe siècle. Les chapelains ultérieurs sont choisis au sein d'une autre famille de Hault présente conjointement à Sommevoire. Cet hôpital rural est transformé à la fin du XXe siècle en maison de retraite. Une plaque de fonte apposée sur une tour de l'hôpital commémore cette vénérable fondation.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- L'imprimeur Nicolas Jenson, actif à Venise de 1470 à 1480, est né vers 1420 à Sommevoire.
- Claude Remy (1719-1786), maître écrivain et précepteur français, né à Rozières paroisse Saint-Pierre de Sommevoire.
- Claude François Joseph Reibell (1760 à Sommevoire-1847 à Strasbourg), homme politique.
- Le sculpteur Édouard Drouot (1859-1945) est né à Sommevoire.
- Antoine Durenne (1822-1895), sculpteur et fondeur d'art français, propriétaire de la fonderie de Sommevoire.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Dossier complet : Commune de Sommevoire (52479) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/8//2023 (consulté le ).
- « Sommevoire » sur Géoportail.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Sommevoire » sur Géoportail (consulté le 30 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Sommevoire ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sommevoire - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Sommevoire - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Marne - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Sommevoire », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
- Sandre, « la Voire »
- Sandre, « le Ceffondet »
- Sandre, « la Vivoire »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sommevoire et Soulaines-Dhuys », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Soulaines », sur la commune de Soulaines-Dhuys - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Soulaines », sur la commune de Soulaines-Dhuys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sommevoire », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Emile Jolibois, La Haute-Marne ancienne et moderne, Chaumont, 1858, p. 513.
- R. Colson & G. Drioux, Sondages sites gallo-romain à Sommevoire, Rev. Musées no 23, 1929, p. 148.
- Recensement de 1968.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Monsieur Christian ADAM (1940 - 2020) », sur libramemoria.com, (consulté le ).
- « Conseil municipal : le maire a annoncé sa démission : Sommevoire. Le conseil municipal s’est réuni jeudi 8 septembre, à 18 h 30, à l’hôtel de ville, sous la présidence d’Hubert Descharmes, maire de la commune qui, en fin de réunion, a informé les élus, qu’il avait adressé sa démission, pour raison de santé, à Anne Cornet, préfète de Haute-Marne. », sur jhm.fr, (consulté le ).
- « Philippe Chassende-Baroz, nouveau maire », sur jhm.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Photos de la restauration des charpentes en 1980 sur le site BLC Centre.
- Article de journal daté du 7 août 1980 traitant de la restauration de la charpente reference BLC Centre.
- Site officiel de l'association de Saint-Pierre.
- « L'église Saint-Pierre », notice no PA00079244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Notre-Dame », notice no PA00079243, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Haut fourneau, Fonderie, Usine de Chaudronnerie », notice no IA00070363, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.