This workshop is a coproduction of researchers from two ERC-funded historical research projects which target rural regions of Ottoman and post-Ottoman Middle East from different perspectives. BORDER, based at the University of Neuchâtel, uses the case of the Turkish-Syrian-Iraqi borders to highlight the centrality of borderlands and their mostly rural populations to state and nation formation across the Middle East. The Bochum-based research project ‘Late Ottoman Palestinians’, LOOP, uses Digital Humanities tools to explore demographic data and complementary sources on rural communities in late Ottoman Palestine and thereby aims to construct empirically based models of social and cultural dynamics on the eve of the modern Middle East. The workshop seeks to revisit major debates and discuss promising avenues for research in the field, while also unpack certain obstacles and limits that historians of the rural Middle East still encounter. In doing so, it focuses on the following questions: - On what scholarly discourses do recent historical studies of the rural Middle East draw, e.g., histories of marginality, territoriality, political economy, human capital formation, social network theory, or actor network theory? - How might the reinvigorated study of rural pasts change our view of Ottoman and Middle Eastern history as a whole? - What are the most promising perspectives, sources, and methodologies for the study of rural communities, rural areas, and imaginaries of the rural?

Last update 14102021 I - En Palestine, un peuple debout. Éditorial de Serge Halimi II- مقال البوم: حين ربح نتانياهو وخسرت إسرائيل.. وفازت حماس وخسر عباس III- HALTE À UNE NOUVELLE NAKBA! par Aicha Bouabaci IV- Here, Jerusalemites and Jerusalemites redrawn the map. V- Nouvelles tensions à Jérusalem autour de l'expulsion possible de Palestiniens au profit de colons VI - Violences fascistes et racistes contre les Palestiniens à Jérusalem - silence révoltant de la France VII - Marwan Al-Barghouti VIII : L'Union européenne ne peut pas et ne doit pas inviter des Israéliens en Tunisie PART IX– BOOKS PART IX-I THE FORGOTTEN PALESTINIANS The Forgotten Palestinians: A History of the Palestinians in Israel. Ilan Pappe. New Haven and London: Yale University Press, 2011) : L'Union européenne ne peut pas et ne doit pas inviter des Israéliens en Tunisie La Campagne Tunisienne pour le Boycott Académique et Culturel d’Israël (TACBI) a appris avec consternation que la Délégation de l’Union Européenne en Tunisie compte inviter à Tunis en janvier 2020 de jeunes israéliens dans le cadre du programme « Dialogue Méditerranéen pour les Droits et l’Égalité » (Med Dialogue for Rights and Equality) financé par l'Union européenne. Il est indiqué que les candidats doivent avoir « entre 18 et 36 ans » et être « ressortissants des pays suivants : Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Mauritanie, Maroc, Palestine, Tunisie, Syrie - ou appartenir à des diasporas apparentées, notamment syriennes et palestiniennes ». PART IX-2 -LETTERS FROM PALESTINE An engrossing new book about the lives of Palestinian people Many books have been written dealing with the Israeli-Palestinian conflict from the pro- Israeli perspective. However, relatively few reflect the Palestinian point of view. Letters from Palestine is one of the rare books that offers an American audience the chance to listen to and learn about the lives of actual Palestinian people as they describe what it is like to live in the occupied territories of the West Bank or Gaza, or to grow up as a Palestinian in the U.S. Part IX-3- Requiem pour Gaza », préface d’Adonis Signé par le poète Bernard Noël (grand prix de poésie de l’Académie française 2016), l’un des textes les plus mordants du livre décrit Gaza comme une « réserve de chasse » dont l’État hébreu « contrôle absolument les clôtures et qui, en connivence avec son grand allié, lui sert à sélectionner les diverses variétés de gibier humain, de la forte tête dont on fait des cibles au pauvre indic qu’on n’achète pas cher ». Part X-Israel: Water as a tool to dominate Palestinians Water consumption figures are telling: While Israelis have access to around 240 litres of water per person per day, and settlers over 300, Palestinians in the West Bank are left with 73 litres - well below the World Health Organization's minimum standard of 100. PartXI- Crimes de guerre ou des crimes contre l'humanité https://www.lepoint.fr/monde/j-ai-ete-le-premier-medecin-cible-par-un-sniper-a-gaza-15-03-2019-2301472_24.php ENTRETIEN. Tarek Loubani, médecin urgentiste canadien, a été victime d'un tir israélien alors qu'il soignait des manifestants palestiniens. ANTISEMITISME VS ANTISIONISME : LE TEMOIGNAGE DE MICHELE SIBONY QUI TRACE L’HISTOIRE D’UN PEUPLE QUI S’EST OCTROYE TOUS LES DROITS D’ENRAYER DE LA CARTE L'IDENTITE DES PALESTINIENS https://webmail.online.net/?_task=mail&_action=get&_mbox=INBOX&_uid=211153&_token=PxUobIl3RfAnlqXdPq00P13RElHjx55w&_part=2 XII- LA RESISTANCE CULTURELLE : LE THEATRE DE LA LIBERTE A JENINE La victime dirigeait le théâtre de la Liberté, fondé dans le camp de réfugiés de Jénine par sa mère, Arna Mer (1930-1995), militante pour les droits des Palestiniens, tout comme son fils, et mariée à Saliba Khamis, un Arabe Israélien, dirigeant du Parti communiste israélien. A l'origine, le "Théâtre des pierres" avait été lancé durant la première Intifada (1987-1993). Pour Arna Mer, ardente militante de la paix, il s'agissait de créer un espace préservé où les enfants échapperaient à la violence du conflit et de l'occupation. Détruit en 2002 lors d'une opération de l'armée israélienne contre les groupes armés palestiniens, l'établissement a revu le jour en 2006 sous le nom de "Théâtre de la Liberté" grâce à Juliano Mer-Khamis, réalisateur du documentaire Les enfants d'Arna, avec le soutien de Zakaria Zoubeïdi, chef local du groupe armé palestinien des Brigades des martyrs d'Al-Aqsa, qui a participé aux combats à l'époque. Zakaria Zoubeïdi a déclaré à la chaîne 10 israélienne que "tout le monde l'aimait dans le camp" de réfugiés. XIII - HOMAGE TO KHAIRAT ALSALEH (31 May 1939- 29 July 2014) I wrote this poem several years ago. It is about the death of a child of Palestine. Many children died during the Intifada and many children died recently in Gaza. I think our genes are programmed to protect children and not to accept their death. I am dreaming of a day when the Palestinian children will have the chance to grow up normally like all other children, to laugh and play and watch children's TV, as they ehave xpressed so eloquently during the war. Poem by Khairat Al-Saleh POSTED BY RAINBOW DERVISH AT 8:43 AM 2 COMMENTS: LABELS: DEDICATED TO GAZA, POEMS http://rainbowdervish.blogspot.com/ Pourquoi la Palestine ? Pourquoi pas l’Iran, la Syrie ou la Russie ? D’autant plus que les palestiniens sont de plus en plus réduits à rien, quand ils ne sont pas éliminés un à un pour des raisons de sécurité ou promiscuité. Et moi je dis que s’il n’en reste qu’un, un seul palestinien, je continuerai à dire que cette terre lui appartient… en propre et au figuré. Et cette vérité, je la maintiens… ou pour dire vrai, c’est elle qui me maintient… en vie. Je ne tiens pas à verser une seule larme sur ce qui me tient le plus à cœur, mais je tiens à faire de mon long métrage, une arme… pour BRISER tous les miroirs, et remettre en mémoire que la Palestine est aux palestiniens… https://www.lejournaldepersonne.com/2018/06/la-verite/ Personne est sur un nouveau projet, un nouveau film long métrage est en cours de préparation, LA CASA DE PALESTINA (ancien nom de L’orpheline de la Palestine). « Vous n’avez pas besoin de moi pour oser l’imaginer… Mais j’ai besoin de votre aide pour le réaliser. » Pour contribuer à sa réalisation, rendez-vous sur la page de soutien : https://www.lejournaldepersonne.com/soutien-journal-de-personne/ 2ème partie Conformément à la théorie freudienne Israël agit avec la Nakba comme un esprit traumatisé qui tente de refouler ce qui le hante. Une sorte d’”inquiétante étrangeté”, à la source d’un sentiment de honte ressenti à l’égard d’actes passés, provoque un malaise qui pousse à vouloir les faire disparaître. Ce passé dérangeant revient , selon Freud, lorsque s’effacent les limites entre l’imagination et la réalité. La mémoire de la Nakba remonte à la surface par l’intermédiaire de divers acteurs qui détruisent les créations imaginaires pour montrer la réalité, et de Palestiniens qui saisissent toutes les occasions de resurgir dans l’espace public. In his election campaign, Trump promised and stood before the world with all his arrogance to fulfill his promise to Zionism and its birth, "Israel" to declare Jerusalem the eternal capital of the State of "Israel" Will we be satisfied with convictions and protests to keep the Arab identity of Jerusalem alive? Will we suffice tears and stand on the doors of the world, begging half solutions, but quarters and prices ?! Were all Arab, Islamic and international documents paper prisoners? Jerusalem is the flower of the cities and the city of prayer. Jerusalem is the cradle of messages, and the house of the Prophets, carrying a long history that is rooted throughout the ages to pre-heavenly religions, highlighting its Arabism under its ordeal and its rape. Can Jerusalem become cheaper than promises of Israeli peace? Come on her coffins ?!! .. Whatever the remnants of the Arab nation, you have lost the basic cause as you have lost compass in the midst of your disputes and disagreements and distributions, Jerusalem has never been the title of the Isra and Maraj and the address of the Al-Aqsa Mosque or the Church of the Holy Sepulcher, but the city of practical holiness in the case of the oppressed and the oppressed whom the oppressors deny and fought the farthest and stood "international justice" watching them and disguising themselves. XIV- Espionnage et intimidations XV - Israël devient une « ethnocratie » ESPIONNAGE ET INTIMIDATIONS Lobby israélien, le documentaire interdit PAR ALAIN GRESH Israël devient une « ethnocratie » XVI- How to keep the Arab identity of Jerusalem alive? By Hind Obiedin XVII - Palestine, the Birthplace of Civilization When and where Civilization was born Prof. Mohamed Rabie