Roman Knife

The Bowie has come a long way from its initial days when it resembled a Spanish hunting knife and differed little from a common butcher knife. The first known Bowie knife reveals a strong Mediterranean influence, especially in its shape which is very much like the traditional Spanish folding knife that used to be carried by immigrants to Mexico and other territories of the Old Southwest.

Beschlagene Messerfutterale aus Germania Superior finden sich in England, Afrika und Syrien wohin sehr wahrscheinlich durch Truppenbewegungen gelangten. Durch Personen- bzw. Güterverkehr fanden sie ihren Weg als Luxusgegenstände in die Germania Magna. In dieser Arbeit wurden 203 mehrheitlich in Germania Superior und den obersten Donauprovinzen gefundene Messerfutteral-Beschläge (sog. Thekenbeschläge) des späteren 2. und 3. Jahrhunderts vorgelegt und in umfassender Weise ausgewertet. Im Zentrum der Arbeit stehen die 24 Beschläge aus Augusta Raurica, die sich für Fragen der Chronologie und Ornamenttypologie als besonders ergiebig erwiesen. Sie kommen in einem detaillierten Katalog zur Sprache. Die auswärtigen Funde werden in einem komprimierten Gesamtkatalog besprochen, der aber alle für die Auswertung notwendigen Informationen enthält. Die Arbeit gliedert sich in vier Teile. Teil I präsentiert die wiederholte Beschäftigung des Autors mit dem Gegenstand, den damit verbundenen Lernprozess sowie die sich daraus ergebenden Perspektiven. Teil II bringt eine neue, differenziertere Typologie mit starker Berücksichtigung der Ornamentik und Konstruktion der Beschläge sowie die erwähnten Kataloge. Teil III enthält die Auswertung nach chronologischen, sozialen, stilistischen, geographischen und technologischen Gesichtspunkten. Teil IV bringt statistische Belege zu Aussagen im Text und einige Überlegungen zur Fundüberlieferung.

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Knife-sheath mountings from Germania Superior are found in England, Africa and Syria, distributed very probably through troop movements, while the traffic in people and goods brought them as luxury items to Germania Magna. In this work, the decorative metal outer mountings from 203 knife-sheaths from the late 2nd and the 3rd century, found in Germania Superior and the upper Danube provinces, were presented and comprehensively analysed. Central to the work are the 24 sheath mountings from Augusta Raurica, which proved to be particularly informative for questions of chronology and ornament typology. They form the subject of a detailed catalogue. The finds from elsewhere are discussed in a condensed general catalogue, which nevertheless contains all the information required for the analysis. Part 1 presents the author’s very personal account of his repeated engagement with the subject, the learning process that this involved and the new avenues for study which emerged from it. Part II, presents a new, differentiated typology of sheath mountings, with strong emphasis on their ornamentation and construction. Part III contains the analysis, from social, stylistic, geographical and technical points of view. Part IV presents evidence, in the form of annotated lists and tables, to support statements made in the text, along with some thoughts on how the finds survived to the present-day.

Mémoire de Master 1 sous la direction de M. Monteil (Université de Nantes) et I. Bertrand (Musées de Chauvigny), en collaboration avec J. Mouchard (Université de Nantes). Université de Rennes 2 - Année universitaire 2014/2015.

Le port antique et médiéval d’Aizier, situé dans le département de l’Eure, en fond d’estuaire de la Seine, est connu par l’archéologie depuis 1987, et intensément étudié depuis 2003. Ayant connu plusieurs périodes d’activité depuis l’Antiquité tardive – sa chronologie principale se situe aux alentours des IIe-IIIe siècles de notre ère –, le site a laissé derrière lui de nombreuses structures qui permettent une étude diachronique fournie, de nombreux vestiges immobiliers et mobiliers ayant été très bien conservés par les couches sédimentaires naturelles venues enfouir le lieu. Entre 2009 et 2013, une campagne de fouille programmée pluriannuelle a livré un lot important de petit mobilier, qui fait l’objet de la réalisation d’un mémoire de Master 1, dirigé par M. Monteil (Université de Nantes) et I. Bertrand (Musées de Chauvigny), en collaboration avec J. Mouchard (Université de Nantes, responsable d’opérations d’Aizier). L’étude du petit mobilier appartenant aux séquences antiques du port d’Aizier s’articule donc en trois parties. La première, à caractère introductif, a pour but d’exposer le contexte général et de présenter le site d’Aizier et l’historique de ses opérations, ainsi que la méthodologie de l’étude et le contexte de recherche scientifique dans lequel elle s’insère. La deuxième partie est consacrée à la présentation du petit mobilier étudié sous la forme d’un catalogue détaillé en notices réparties par phases et par unités stratigraphiques. La troisième partie est employée à l’analyse du petit mobilier par catégorie fonctionnelle et à la synthèse globale des données typologiques et contextuelles. Elle permet ainsi de conclure sur des hypothèses d’interprétation du site d’Aizier au regard de l’étude ainsi que sur des propositions de mise en valeur pour quelques individus préalablement sélectionnés en fonction de critères spécifiques.

Thèse de doctorat sous la direction de M. Monteil (Université de Nantes) et co-encadrée par I. Bertrand (Musées de Chauvigny). Université de Nantes, 2016-en cours.

Ce projet de thèse est consacré à l’étude de l’instrumentum d’époque romaine de plusieurs sites archéologiques localisés le long de l’estuaire de la Seine, entre le Havre et Rouen, et sur une emprise d’une quinzaine de kilomètres de large de part et d’autre du fleuve. L’analyse des objets doit permettre d’aborder les dynamiques économiques à petite et grande échelle ainsi que les pratiques artisanales, quotidiennes, religieuses… La variété des sites présents dans la zone d’enquête permettra d’examiner de nombreux contextes différents : les modes de vie ruraux et urbains, les pratiques funéraires ou domestiques et les croyances des populations antiques habitant l’estuaire de la Seine pourront alors être révélés. Chacun des sites ainsi examinés fera en outre l’objet d’une notice normalisée et détaillée, réunissant les documents utiles à sa compréhension et à la présentation des contextes ayant livré du mobilier. La confrontation des collections d’instrumentum mises au jour dans les deux capitales, Juliobona (Lillebonne) pour les Calètes et Rotomagus (Rouen) pour les Véliocasses, contribuera enfin à mieux cerner les particularités des populations de chaque ville et leurs éventuelles différences en termes de niveaux de richesse, modes et habitudes de vie. De fait, ce projet de thèse permettra aussi de dresser un bilan des connaissances inédit sur l’occupation des rives de l’estuaire de la Seine à l’époque romaine.