Location via proxy:   [ UP ]  
[Report a bug]   [Manage cookies]                

Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

À partir de $11.99/mois après l'essai. Annulez à tout moment.

Interprète entre Terre et Ciel
Interprète entre Terre et Ciel
Interprète entre Terre et Ciel
Livre électronique108 pages1 heure

Interprète entre Terre et Ciel

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

L'être multidimensionnel incarné sur Terre à l'aube d'une nouvelle ère.
Reconnaître sa nature énergétique et son origine galactique.
Croire en ses capacités extrasensorielles.
Se défaire des identifications limitatives.
LangueFrançais
Date de sortie27 juil. 2020
ISBN9782322196449
Interprète entre Terre et Ciel
Auteur

Marina Petitdemange

Auteure s'intéressant de près à la question identitaire sous différents aspects : ludique, psychologique, holistique, sociologique... Accompagnement de l'individu dans ses phases de recherche de bonne communication entre son coeur et son mental.

En savoir plus sur Marina Petitdemange

Auteurs associés

Lié à Interprète entre Terre et Ciel

Livres électroniques liés

Développement personnel pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Interprète entre Terre et Ciel

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Interprète entre Terre et Ciel - Marina Petitdemange

    VIE

    INTRODUCTION.

    Une impression de désastre imminent m'accompagne parfois dans certains de mes déplacements... Je me suis demandé, un jour, si ce n'était pas moi, le désastre. Et puis finalement, j'ai compris que je venais des astres, que je n'étais rien moins qu'une étoile et non pas un désastre.

    Cela m'a pris un peu de temps, c'est vrai, pour accomplir enfin ce que j'étais venue faire ici, sur Terre. Pour me rendre honneur sans plus laisser les autres m'impressionner, m'imprimer leur façon de faire et de penser.

    Si j'avais su il y a plus de vingt ans ce que je ferais aujourd'hui, je crois que mon « moi » de l'époque aurait été heureux... et peureux ! « Comment pourrai-je réaliser cela ? Que vont penser les autres de moi ? Ne vais-je pas me retrouver dans la solitude en prenant mes marques, ce qui signifie aussi se démarquer ? »...

    Du plus loin que je me souvienne, j'entends des voix... Les voix des personnes disparues. Les morts.

    Je les ai vus, aussi. Je les ai ressentis, également.

    Je leur ai répondu ! J'ai eu de bons échanges avec eux. Ils m'ont aussi flanqué des peurs importantes quand je n'étais pas prête à lâcher ce que je savais et qui me servait de palier d'expansion... Depuis, j'ai appris que je ne sais jamais rien de plus que ce que je crois et tout va bien mieux !

    Et puis mon entourage proche, peu habitué à cela, dans la peur, a demandé, a ordonné que tout cela cesse. Pour son propre calme intérieur, n'en doutons pas. Officiellement, les gens diront que c'est pour vous protéger. Toutefois, comprenez bien qu'une personne dans la peur ne pense pas à protéger l'autre mais à se protéger soi. Les masques sociaux, créés inconsciemment pour être à l'aise en société et être acceptés par les autres, mais éloignant l'être de sa vérité personnelle, sont là pour faciliter, croit-on, la vie des personnes non encore réveillées spirituellement ou psychologiquement, et donc prétendre qu'on protège les autres alors que, de façon inconsciente, tout était tendu vers soi. Il n'est pas nécessaire d'être une mauvaise âme pour cela, simplement d'être pris dans les peurs, comme tout un chacun l'expérimente de temps à autre, n'est-ce pas ?

    Il y eut alors pour moi une traversée du désert, à vouloir être comme les autres, puisque j'étais éloignée de force de ce que j'étais, moi, et que je laissais faire. J'étais enfant, j'étais dans la peur de ne pas être aimée par ma famille terrestre et je ressentais moins la force de comprendre que je n'étais jamais seule ni abandonnée : ma famille d'âmes et de l'au-delà était bien plus présente que ma famille terrestre, toutefois cela était diffus !

    Certains diront qu'il y a de bonnes personnes et de mauvaises personnes, de bons rendez-vous et des rendez-vous ratés... Je crois fondamentalement que nous créons nous-mêmes tout cela et qu'il n'y a pas véritablement de discrimination à effectuer.

    Nous créons par notre pensée.

    Si nous pensons que nous sommes la personne définie par les peurs d'autrui, alors nous devenons cette personne étrange...

    Si nous pensons que nous avons la chance d'être dans une famille totalement différente de nous-même et que cela nous enrichira... alors cela nous enrichira spirituellement.

    Peu importe, en somme, ce que l'autre dit, pense, crée, diffuse... Si nous avons le désir de croire en nous-mêmes, nous sommes invulnérables et intouchables.

    Tous.

    Durant mon enfance, j'ai été accompagnée par des êtres non incarnés mais qui avaient réellement vécu sur Terre. Et puis d'autres, qui n'avaient jamais été incarnés... Quand j'ai décidé que leur présence devait à nouveau m'être douce, ce le fut, quoi qu'en dise autrui, que je le raconte ou non.

    Il est certain qu'ensuite il m'a fallu me débattre avec ma peur du jugement d'autrui, me rendre compte que ses jugements sont tyranniques, vampirisants, dictatoriels... Et m'en échapper ! M'échapper également de ceux que je portais...

    J'ai longtemps été cataloguée comme une personne timide, en retrait, peureuse, fuyante, hypersensible (comprendre : c'est une maladie)... Tant que je laissais cela s'imprégner de moi, j'étais cela. Tant que je croyais que j'étais comme cela, je l'étais devenue, et le pire : bonne élève, je jouais le jeu à fond ! Ah ! Ah ! Ah !

    Un jour, tout a changé. Une sorte de nuit noire de l'âme. Je dis « une sorte » car il y a de multiples facettes derrière cette expression galvaudée aujourd'hui dans les milieux spirituels et de développement personnel.

    C'était un moment de ma vie qui était sombre. L'impression que tout s'écroulait, même le plafond de mon habitation.

    C'est assez simple, d'un point de vue symbolique : mon père venait de décéder, avec son héritage j'investissais, entre autres, dans une nouvelle habitation. Le père, le ciel, le spirituel, le front en anatomie humaine, le plafond d'un bâtiment... Ce qui est en haut.

    Investir... C'est utiliser une énergie qui est comme un ciment, un liant, avec votre intention d'achat, avec vos émotions du moment, avec vos peurs non réglées.

    Et j'en avais des tonnes, des peurs non réglées, à l'époque !

    Ajoutons à cela que mes guides de l'au-delà avaient vraiment hâte que je reprenne ma vie en mains et que j'arrête le massacre en me laissant meurtrir par les répétitions familiales inconscientes... Et me voici donc en train de me réveiller d'un long sommeil, telle la Belle au Bois dormant... Cependant, le baiser qui permet de se réveiller ne fut donné que par moi-même, le conte raconte des balivernes, personne d'autre que vous-même ne peut faire l'effort de vous ramener à la vie. Sinon, de toute façon, si l'effort de réanimation ne vient pas de vous, cela ne tiendra pas dans le temps... Familièrement, on dira que vous „comatez" dans votre existence...

    Quand j'observe les périodes, les années passées sur Terre, je comprends une chose : tant qu'on n'a pas choisi en conscience de vivre réellement la vie pour laquelle on est fait, on vivote, on répète les scénarii ancestraux, on joue le jeu des ancêtres, pas le nôtre. On sera „Game Over" bien avant de l'avoir compris, passé de l'autre côté du voile, sans corps physique et sans avoir ascensionné !

    Si je suis calme et consciente de ce que la vie me réserve, je ne l'ai pas toujours été, c'est peu de le dire.

    Le propre de la nuit noire de l'âme, c'est d'entrer dans un tunnel dont on ne sortira qu'en honorant le vivant en soi.

    Je croyais alors que je prenais soin de moi parce que je m'achetais une maison pour m'éviter de dépenser trop d'argent sur mes vieux jours, je croyais que je prenais soin de moi parce que j'allais chez l'esthéticienne et je recevais des massages, je croyais tout cela parce que je me cultivais et partageais cette culture immense avec d'autres, je croyais tout cela parce que... cela était voulu. Le moule. La matrice. J'avais mon

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1