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François Xavier

missionnaire jésuite navarrais, cofondateur de la Compagnie de Jésus avec Ignace de Loyola
(Redirigé depuis Saint François Xavier)

Saint François Xavier (en espagnol Francisco Javier, en basque Frantzisko Xabierkoa), né Francisco de Jasso y Azpilicueta le à Javier, près de Pampelune en Navarre, et mort le sur l'île de Shangchuan (ancien nom européen : Sancian), au large de Canton en Chine, est un missionnaire jésuite navarrais[1]. Proche ami d'Ignace de Loyola, il est un des cofondateurs de la Compagnie de Jésus.

François Xavier
Saint catholique
Image illustrative de l’article François Xavier
Statue du saint à la basilique Saint-Guy de Český Krumlov (République tchèque).
Saint, missionnaire, Apôtre de l'Orient
Naissance
Javier, près de Pampelune, royaume de Navarre
Décès   (46 ans)
Île de Sancian, au large de Canton, dynastie Ming
Nationalité Drapeau de l'Espagne Monarchie espagnole
Ordre religieux Compagnie de Jésus
Vénéré à Vieux-Goa (Inde)
Béatification
par Paul V
Canonisation  Rome
par Grégoire XV
Vénéré par Église catholique romaine
Église anglicane
Fête 3 décembre
Attributs Crucifix et coquille (pour le baptême) ; cœur en flammes
Saint patron Co-patron des missions et des missionnaires (avec Thérèse de Lisieux)
Les missions de François Xavier en Orient.
Buste-reliquaire de saint François Xavier, cathédrale Sainte-Réparate, Nice (Alpes-Maritimes, France).

Ses succès missionnaires en Inde et en Extrême-Orient lui acquirent le titre d'« Apôtre des Indes » parcourant près de 80 000 km durant onze ans de présence en Asie[2]. Béatifié en 1619, il est canonisé trois ans plus tard par Grégoire XV. Liturgiquement, il est commémoré le 3 décembre aussi bien par les catholiques que par les anglicans.

Biographie

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Un hidalgo navarrais

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Francisco de Jasso est membre d'une famille d'ancienne noblesse basque de Basse-Navarre[3],[4]. Son père, Juan de Jasso, exerçait les fonctions de président du conseil du royaume de Navarre. Sa mère, María de Azpilicueta, issue d'une vieille famille de la vallée du Baztan, apporta en dot lors de son mariage le château de Xavier dont leurs enfants tiendront leur nom. Issu d'une famille bascophone, il grandira dans un environnement roman et plus tard désignera le basque comme “sa langue naturelle”[1].

Francisco est un jeune enfant lorsque la Castille envahit en 1512 la partie subpyrénéenne du royaume de Navarre. Son père et ses frères combattent contre les troupes castillanes sans pouvoir empêcher l'amputation de leur patrie.

Quelques années plus tard, alors que l'Europe est confrontée au protestantisme, François, ne se sentant pas attiré par la carrière des armes, choisit de devenir prêtre et de faire ses études en France.

Étudiant en France

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Il poursuit ses études de théologie à la Sorbonne, logeant au collège Sainte-Barbe avec Pierre Favre qui est de son âge. Aux deux jeunes gens est bientôt adjoint un co-chambriste de 15 ans leur aîné, Ignace de Loyola.

Se liant d'amitié avec eux et d'autres, il fait partie du groupe fondateur de la Compagnie de Jésus.

Il a vingt-huit ans, en 1534, lorsque, avec ses « amis dans le Seigneur », il monte à Montmartre pour y prononcer dans la chapelle Saint-Denis ses vœux de pauvreté et de chasteté (). Sous l'impulsion d'Ignace de Loyola, le groupe fonde la Compagnie de Jésus dont le but est d'agir partout « pour une plus grande gloire de Dieu » (Ad maiorem Dei gloriam).

Prêtre en Italie

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Francisco de Javier et ses compagnons sont ordonnés prêtres en 1537, à Venise. Le groupe part alors pour Rome où les nouveaux prêtres souhaitent offrir au pape leurs services. Le projet de fondation religieuse est approuvé par le pape en . L'originalité de ces prêtres est de prononcer un vœu spécial d'obéissance au pape.

Le roi Jean III de Portugal demande alors au pape Paul III des « prêtres réformés » pour évangéliser Goa et les Indes orientales nouvellement conquises. Celui qu'avait désigné Ignace de Loyola, Nicolas Bobadilla, étant tombé malade, François Xavier le remplace en dernière minute et quitte Rome pour Lisbonne. Nommé nonce apostolique, il a reçu du pape des pouvoirs très amples pour étendre et maintenir la foi dans tous les pays d'Orient[5].

Missionnaire en Extrême-Orient

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Il prend le bateau en avril 1541 et débarque à Goa, alors comptoir commercial portugais sur la côte occidentale de l'Inde, le .

Sous son influence, quelques Portugais de Goa changent radicalement de vie. Ces conversions retentissantes commencent à le faire connaître. On lui confie une école en 1542. Il en fait le collège Saint-Paul, pour la formation chrétienne des nouveaux chrétiens. Saint-Paul est la première école dirigée par un jésuite.

Nonce apostolique

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François Xavier, missionnaire jésuite au Japon.

Tenace et infatigable (et ayant le titre de Nonce apostolique), il visite la côte de l'Archipel des Comores (1543-1544). De à , il voyage à Ceylan, Malacca, aux îles Moluques et de nouveau à Malacca (de à ). Aux Moluques, il jette les bases d'une mission à Ambon, Morotai et Ternate en 1546 et 1547. Revenant en Inde, il missionne le long de la côte des pêcheurs.

À Malacca, François Xavier avait rencontré des Japonais, dont Anjirō. Ce qu'il apprend du pays le pousse à se rendre au Japon dans le but d'y faire connaître le Christ. Le , il débarque avec quelques compagnons à Kagoshima sur l'île de Kyushu[6]. Ses Lettres du Japon sont enthousiastes quant aux perspectives missionnaires qu'offre le pays. Il y est bien reçu par les autorités mais a des difficultés avec les moines bouddhistes.

Il se rend en 1550 à Hirado, une petite île rattachée à celle de Kyushu, avec le père Cosme de Torres et un autre missionnaire, Juan Fernández (en). La mission à Kagoshima est confiée à Anjirō. Le prêtre décide de se rendre ensuite à Kyoto, à l'époque capitale du Japon, pour obtenir une audience avec l'empereur. Il laisse à son compagnon Cosme de Torres la charge de rester à Hirado. Il s'installe finalement à Yamaguchi[6]. Il est alors autorisé à utiliser un temple bouddhique abandonné, où il prêche pendant plusieurs mois. Des documents historiques indiquent qu’il réussit à convertir plus de 500 Japonais en un semestre jusqu’en mars 1551. Une nouvelle visite à Hirado le mois suivant laisse à penser à la construction d’une nouvelle église[7]. En dix-sept mois de présence au Japon, François Xavier estimait avoir fait près de douze mille conversions[8].

Ses contacts avec les autorités civiles et religieuses au Japon lui font comprendre l'importance de l'influence de la Chine dans le domaine philosophico-religieux. Progressivement, il est persuadé que, pour convertir l'Orient, il faut commencer par la Chine. En , il confie sa décision à ses compagnons jésuites et commence à préparer ce voyage[9].

Avant de s'y rendre, il rejoint l'Inde via Malacca, afin de récupérer sa correspondance dont il est privé depuis deux ans. Lors de ce voyage, une tempête l'oblige à s'arrêter sur une île près de Canton, en Chine, où il s'était déjà rendu. C'est ainsi qu'il rencontre un riche marchand Diogo Pereira (pt) qui lui montre une lettre de Portugais détenus prisonniers à Canton, demandant qu'un ambassadeur intercède en leur faveur auprès de l'empereur de Chine, et ce pourrait-être lui bien sûr, mais François Xavier pourrait avoir aussi son rôle à jouer[10][pas clair]. D’autant plus qu’arrivé à Malacca, il apprend que l'Inde a été nommée province jésuite indépendante du Portugal et qu'il en est désormais le provincial[11].

 
Mort de saint François Xavier sur l'île de Sancian (Shangchuan), Baciccio (XVIIe siècle).

De retour en Inde, après s'être occupé des missions, de différentes tâches d’organisation et avoir ravivé l'enthousiasme des différentes églises durant deux mois[12], il embarque pour la Chine en avril 1552 à bord du Santa Cruz avec Pereira. À Malacca, le responsable maritime s’oppose à eux, ne reconnaissant ni l’un en tant qu’ambassadeur, ni l’autre comme représentant ecclésial. Ayant oublié ses lettres testimoniales de Nonce apostolique à Goa, François Xavier se retrouve dans l’impasse et obligé de continuer son voyage avec pour seuls compagnons un étudiant jésuite, un Chinois et un domestique de Malabar[13].

Début septembre 1552, l’équipage arrive à l’île de Sancian, au large des côtes chinoises à une centaine de kilomètres au sud-ouest de Macao. L’accueil des quelques Portugais présents lui est favorable et on lui aménage une hutte et une petite chapelle. Par contre, il ne parvient pas à trouver un passeur pour lui faire rejoindre le continent. Deux le trompent et ses compagnons craignent de plus en plus les conditions et surtout le risque de prison et de torture infligées facilement aux étrangers indésirables[14]. Le 21 novembre, à l’issue d’une messe, François Xavier défaille, il est conduit sur le Santa Cruz, puis après une saignée est ramené sur l’île[15]. Il y décède le 3 décembre 1552 à l'âge de 46 ans, et y est provisoirement enterré. Quand le Santa Cruz lève l'ancre, en février 1553[16], il emporte son corps pour Malacca. Apprenant la mort de son ami jésuite depuis Goa, Diogo Pereira y parvient pour prendre en charge sa dépouille qu'il rapatrie quelques mois plus tard en Inde. Fernão Mendes Pinto, un aventurier portugais, rapporte dans sa Pérégrination[17] qu'il le fit à nouveau enterrer à Goa.

Souvenir et vénération

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Reliquaire à l'église du séminaire Saint-Joseph à Macao.
  • Son corps (sans les bras) repose depuis 1637 dans une châsse à la basilique du Bon-Jésus de Goa. Tous les 10 ans, il est exposé lors d'une procession[18].
  • Depuis 1614, son bras droit se trouve dans un reliquaire dans l'église du Gesù, à Rome, église-mère de la Compagnie de Jésus.
  • Son humérus gauche est quant à lui à l'église du séminaire Saint-Joseph (pt) à Macao.
  • François Xavier est canonisé le , en même temps qu'Ignace de Loyola et Thérèse d'Avila, par le pape Grégoire XV. À la suite du décès de ce dernier, la bulle concernée est promulguée en 1623 par son successeur le pape Urbain VIII[19].
  • Il est le saint patron de toutes les missions catholiques (par décision de Pie XI en 1927), de la Mongolie et du tourisme (depuis le ).
  • Il est aussi le saint patron des joueurs de pelote basque[20].
  • Son secrétaire ayant noté qu'il prononça ses dernières paroles « en langue maternelle navarraise », c'est-à-dire en basque, sa fête (le ) est aussi celle de l'euskara, la langue basque.
  • Déjà au XVIIe siècle son nom était vénéré, Marc-Antoine Charpentier a composé un In honorem Sancti Xaverii canticum, (Cantique en l'honneur de Saint Xavier), catalogué H 355, pour chœur, soli, flûtes, cordes, et basse continue.
  • Une église, puis une cathédrale Saint François Xavier existe depuis 1908 au centre de la ville de Kagoshima, Japon, au sud de la grande île méridionale de Kyushu, où François Xavier débarqua pour la première fois en août 1549. À la suite de destructions, elle a été reparée en 1949, puis reconstruite en 1999 avec une architecture moderne à l'occasion du 450e anniversaire de l'arrivée de François Xavier au Japon[21].

D'autres basilique ou cathédrale Saint-François-Xavier existent de par le monde.

Dans l'église Saint-Sulpice

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La chapelle Saint-François-Xavier de l'église Saint-Sulpice, à Paris, est décorée de plusieurs grandes toiles de Jacques-Émile Lafon illustrant des scènes (légendaires ou réelles) de la vie de saint François Xavier. Elles datent de 1859 :

Œuvres

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  • Tous les écrits de saint François Xavier sont rassemblés dans les Epistolæ S. Francisci Xaverii aliaque ejus scripta (Lettres de Saint François Xavier et ses autres écrits, publiés par George Schurhammer), 2 volumes des MHSI.
    • vol. I : 1535-1548, 476 p. (vol. 67 des MHSI)
    • vol. II : 1549-1552, 664 p. (vol. 68 des MHSI).

Notes et références

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  1. a et b euskara.euskadi.net « François de Xavier naquit au sud de cette démarcation à la limite de l'Aragon (1506) et vécut au château familial de Xavier jusqu'à l'âge de dix-neuf ans. C'est là qu'il apprit ses deux premières langues : d'une part, le basque dans sa famille bascophone (de la région du Baztan et de la Basse-Navarre) et avec ceux qui arrivaient des provinces voisines encore bascophones au château, et, d'autre part, la langue romane de son entourage géographique immédiat. Ce qui explique pourquoi le missionnaire navarrais désignera l'euskara comme « “sa langue naturelle bizcayenne” (1544), terme très étendu à cette époque ».
  2. En onze ans en Asie, presque 80 000 kilomètres de parcourus, fête de saint François-Xavier, homélie de Mgr Shannon Pereira, s.j.
  3. Jaxu près de Saint-Jean-Pied-de-Port.
  4. René Cuzacq, Les ancêtres de saint François-Xavier, et la maison de Saint-Jean-Pied-de-Port,
  5. H. Nagaoka, Histoire des relations du Japon avec l'Europe aux XVIe et XVIIe siècles, Collection XIX, , p. 12.
  6. a et b « François Xavier et son prosélytisme à l’origine du christianisme au Japon », Comprendre le Japon sous l’angle de la religion, sur nippon.com, (consulté le ).
  7. Plus de 500 Japonais convertis en six mois jusqu’en mars 1551, François Xavier et son prosélytisme à l’origine du christianisme au Japon, nippon.com
  8. in « La mission japonaise de François Xavier » par Jean Lacouture (estimation du nombre de convertis), revue suisse Choisir de novembre 2002.
  9. Pour convertir l’Orient, il faut commencer par la Chine - L’église de saint François Xavier présentée par la Chine au Patrimoine mondial de l’Unesco, Missions étrangères de Paris (MEP).
  10. Recherche des nouvelles, lettre clandestine et défense des prisonniers portugais, Saint François Xavier (1506-1552), le Japon, site des jésuites de l'Europe occidentale francophone
  11. François Xavier, Provincial de la Compagnie de Jésus pour les Indes et pour tous les États de l'Orient - Histoire de saint François de Xavier, Librairie Ambroise Bray, Bray et Retaux (1870).
  12. De retour à Goa, en deux mois, François Xavier remet toutes choses en ordre
  13. 17 avril 1552, des berges du port de Goa, Le Santa Cruz appareille pour la Chine, site des jésuites de l'Europe occidentale francophone
  14. Au début de septembre 1552, le Santa Cruz atteint l'île de Sancian..., saint François Xavier à Sancian
  15. Le , François célèbre sa dernière messe, saint François Xavier sur le site Iconographie chrétienne
  16. Le corps de saint François Xavier quitte l'île de Sancian en février 1553, article de Martine de Sauto du 21/04/2006, journal La Croix.
  17. Fernao Mendes Pinto, Pérégrination, extraits dans Voyageurs de la Renaissance (trad. de Robert Viale, Paris, La Différence, 2002), Paris, Gallimard, Folio, , 576 p. (ISBN 978-2-07-042447-4), p. 196-205
  18. Pilgrims flock to Goa to see Saint Francis Xavier remains, BBC, 22 novembre 2014
  19. La fabrique des saints, openedition, 2003
  20. Dominique Lormier, Histoire du Pays Basque, Geste éditions (ISBN 978-2-36746-603-3), page 100
  21. Cathedral of St Francis Xavier - Kagoshima City, Kagoshima - Japan Travel

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Sa Vie a été écrite par le père Bouhours, 1682, et par J.-M.-S. Daurignac, 1858.
  • Pierre Espil : L’Homme aux sandales de vent, 1943.

En accomplissement d'un vœu personnel, le jésuite allemand Georges Schurhammer (es) passa presque toute sa vie à étudier la vie et les œuvres de saint François Xavier et à le faire connaître. Il produisit ainsi une biographie en quatre volumes de plus de 700 pages chacun. Cette biographie de saint François Xavier est quasi exhaustive :

  • Georg Schurhammer, Francis Xavier: His life, His Times, traduit par J. Costelloe, éd. Institut historique S.I., Rome, 1973-1980 :
    • I : Europe (1506-1541), 791 p.
    • II : India (1541-1545), 759 p.
    • III : Indonesia and India (1545-1549), 726 p.
    • IV : Japan and China (1549-1552), 718 p.
  • James Brodrick, Saint François Xavier (1506-1552), éd. Spes, Paris, 1954, 531 p.
  • George M. Moraes, St. Francis Xavier, Apostolic Nuncio (1542-52), Bombay, Konkan Institute of Arts and Science, 1952, 35 p.
  • Jos Van Laer et Louis Sterkens, Dans le sillage de François Xavier, Les Éditions et Ateliers d'Art Graphique Elsevier, Paris-Bruxelles, 1960.
  • W.L.A. Peter, Xavier as Educator, Delhi, Jesuit Educ. Association, 1974, 191 p.
  • Xavier Léon-Dufour, Saint François Xavier. Itinéraire mystique de l'apôtre, éd. La Colombe, 1953 ; nouv. édition Desclée de Brouwer / Bellarmin, 1997.
  • Jean Lacouture, Jésuites. Une multibiographie, vol. 1 Les Conquérants, éd. Seuil, 1991, chapitre 5 « Dialogue à Yamaguchi » (ISBN 2-02-014407-7).
  • Inès G. Zupanov, Les Jésuites, Histoire et dictionnaire, Paris, Bouquins éditions, 2022, 691 - 692 p. (ISBN 978-2-38292-305-4)
  • Mgr. L.M. Zaleski, Saint François Xavier missionnaire : son apostolat aux Indes, Einsielden, Benziger, 1910, 363 p. Exemplaire numérisé accessible en ligne

Articles connexes

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Liens externes

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