René Roger Dagobert
René Roger Dagobert
René Roger Dagobert
février 2006
1, avenue des Cottages
44100 NANTES
Tél/fax. 02 40 40 18 61
à Monsieur Régis BARAILLA
Maire de Durban
11360 DURBAN
Monsieur le Maire,
Depuis 1998, j'ai attiré l'attention de toutes les Autorités de l'Aude sur les agissements d'une
secte millénariste effectuant depuis 1981 des recherches en vue de retrouver un trésor et le
tombeau du Christ dans la région de Rennes-le-Château.
Cette secte, le Prieuré de Sion, est représentée à Durban par Monsieur André Douzet qui m'avait
adressé une lettre de menaces que j'avais portée à votre connaissance en juillet 1998.
Je n'ai malheureusement pas été écouté et les sectateurs du Prieuré de Sion, avatar de l'Opus
Dei, soutenus hélas par des politiciens et syndicalistes, qu'ils soient de droite ou de gauche,
aveuglés qu'ils sont par une idéologie répandue depuis le début du XIXème siècle dans certaines
loges maçonniques de "hauts grades" (Le Martinisme), ont continué ces recherches de plus
belle, à coup d'explosifs, dans les anciennes mines de la Haute-Vallée de l'Aude, mettant ainsi à
mal le fragile équilibre hydrologique des rivières et des lacs souterrains, nombreux dans cette
région où les sources thermales sont aussi nombreuses surtout à Rennes-les-Bains.
Cela explique, à mon humble avis, la répétition des crues de la Berre, l'Orbieu, l'Agly et
nombreux autres ruisseaux prenant leurs sources autour du Bugarach, à la moindre précipitation
de neige ou d'orage, très fréquente dans toutes les régions montagneuses de France.
Je m'associe donc au collectif des artisans dont les entreprises subissent les assauts répétés de
la rivière en demandant leur délocalisation.
De même, selon l'Indépendant de ce jour, un collectif est en gestation par suite de la rancœur
compréhensible des riverains de la Berre dont je fais partie avec mon épouse fonctionnaire au
Rectorat de Nantes.
Il faut savoir que depuis 1998, mon épouse et moi-même, avons été l'objet de multiples
agressions verbales dont celles d'un professeur d'université de Nantes, après avoir été à celle de
Toulouse, venu s'installer à Cascastel après son mariage dans cette commune, toujours en
1998 ! Pourquoi ?
Dans deux ans, mon épouse sera en retraite et souhaite terminer ses jours en toute tranquillité
dans la maison près du château qui abrita le général Dagobert et que nous avons acquise en
1991 à l'étude de Maître Ayrolles à Durban après nous être mariés à Cascastel.
J'espère donc que, d'ici là, une solution définitive soit trouvée à ce problème d'inondations et
dans l'attente de vous lire à ce sujet,
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Maire, mes très sincères et amicales salutations.
Roger-René DAGOBERT