Cours de Sociologie Du Travail
Cours de Sociologie Du Travail
Cours de Sociologie Du Travail
INTRODUCTION
II Proudhon et marx
- la légitimité trad : elle repose sur la croyance que les norme et les règle
trad puissent donner au détenteur de l’autorité sa légitimité ( par exemple : toute
les gestion paternaliste ). La conséquence de tout cela c’est que l’o va trouver ici
des relations qui sont fortement personnalisé, l’obéissance elle est du a la
personne qui deteidn l’autorité, il y’’a des liens de dépendance personnels,
- La légitimité légale rationnel : cela repose que sur les règle évite son
légale, il y’a des règles a respecter des procédure formel rationnel et donc la
source de l’autorité ce sont les lois les règlement. Par rapport a l’autorité trad ici
les rapport son ici impersonnel. Celui qui déteins l’autorité est fonction de ses
compétence. Weber est emmené a discuté quel et le type de société la mieux
adapté dans notre modernité. e fondement de ‘autorité légitime c’est le légale
rationnel, on travail avec des .. déjà connu,
Selon la bureaucratie n’est pas une ..fondamentale, il site l’empire romain, selon
lui la d-bureuacratie se caractérise par des grand trait structurel, la coopération
entre de nouveau individu donc chacun a une fonction spécialisé. Donc le
bureaucrate exerce un métier détaché de sa personnalité, l’impersonnalité est
essentiel dans la nature de la bureuacratie ou théoriquement chacun doit
connaitre la loi, conséquence sur les bureaucrate ce sont des spécialiste il font
carrière mais ils ne sont pas propriétaire de leur fonction. il y’a un
fonctionnement avec des règles très définie une spécialisation des fonctions.
Cette ideatype de la bureaucratie ne nous montre pas grand chose sur
l’organisation de celle ci cependant weber se considère comme père de cette
rationalisation qui donne lieu a des effet pervers notamment les problèmes de
routine ou les dysfonctionnement, les .. de weber on était repris par merton
( c’est du fonctionnalisme de moyenne porté) il nous suggère qu’il peut y avoir
des dicfontionement bureauatype. Il y’a des fonction manifeste c a d des
consequence du travail que l’on attendais par exemple produire des voitures,
mais il peut y avoir des fonction latente c a d des conséquence inattendu dans les
fonction même du travail. L’organisation ne forme pas une machine mécanique,
il y’a toute la .. des groupe informel, c a d des rapport non revu dans
l’organisation même du travail, c’est le moyen même pour les individu de
s’adapter au contrainte de l’organisation.
sinsoliue est ce que la la classification weberienne .. la réponse est oui.
l’autorité légale rationnel elle existe dans toutes les grande et moyenne
organisation ou il existe des regelant et ou les règles sont impersonnel. Cela
permet au chef et au subordonné de se protéger. Mais il existe d’autre forme de
légitimité dans l’autorité comme le charisme, remise en cause d’un prof de sa
façon de faire.
L’intuition sociologique
Malgré cela n’a pas empêché Taylor de suggérer que l’organisation scientifique
du travail puise être appliqué en tout temps, en tout lieu.
C’est ignorer des éléments que nous mobiliserons plus tard l’individu au travail
n’est pas seulement passif.
tout d’abord dans une organisation tout ne peut pas être formaté. Il n’y a
pas que des relations formelles il y a toute une dimension informelle.
Golfman a écrit un livre qui s’appelle Asile pour contrer une vision
mécanique de l’organisation. Asile car dans les hôpitaux psycatrique tout
est codifié et c’est très carcéral mais malgré ça les individus garde une
marge de liberté
Les individus dans une organisation quelle quelle soit peuvent tenter de
développer des stratégies l’objet de ces stratégies c’est tenter d’acquérir
un pouvoir.
Introduction :
Suite aux travaux de Taylor et Weber, une part on va trouver une forme
d’héritier au Taylorisme d’autres part il y a également des critiques qui vont être
assez rapidement affirmés aux USA pour remettre en q le comportement de
l’individu au travail. → L’école des relations humaines
Et pour terminer nous essayerons de voir quelles sont les modèles aujourd’hui
C’est Suite au travaux de Taylor on peut mobiliser ici Ford et Fayol. Fayol a
proposé 14 principes d’admnistration des entreprises les principaux sont :
- division du travail
- principe de la discipline
Dans la réalité sociologique c’est ce qui s’est passé à Ford quand il fait ses
premières usines automobiles. Par rapport à Taylor Ford rajoute la notion de
convoyeur = les gens n’ont plus à se déplacer c’est le travail à la chaîne.
C’est ce qu’on peut dire du modèle Fordisme car les ouvriers étaient surveiller
sur leur lieux de travail mais également dans leur vie intime.
Pq ? Car d’une part pour ford il devait avoir des ouvriers qui respecté la morale (
exp : aller à la messe tt les dimanches ) mais pour contrer aussi toute
contestation syndicale.
Tout va partir d’une enquête dans une entreprise le Western Electric Company
en 1924 l’étude porté sur les effets de l’éclairage sur la production ouvrière.Les
résultats de cette enquête on pu montré que la productivité augmenté avec
l’amélioration de l’éclairage.
Rapidement, les responsables de l’expérience ce sont dire qu’on ne peut pas s’en
tenir qu’à des explications physiologique il y a bien d’autre explication à cette
hausse de productivité. Ils ont donc fat appel à un rechercheur Elton Mayo.
Avec son équipe il a conduit des études dans l’usine D’Hawthorn qui se situe à
côté de Chicago qui a commencé 1927 jusqu’en 1932. Les expériences ici ne
portés pu uniquement sur l’éclairage mais sur la fatigue, sur la maunotonomie
dans le travail et l’introduction de pause et la transformation des conditions de
travail.
un commandement autocratique
un commandement démocratique
le laisser-faire
cette école des relations humaines a eu bcp de succès dans les années 30 et après
la 2 GM.
Maslow et Herzberg
L’objectif n’est pas tellement d’accroître l’autonomie dans le travail i qu’il soit
les + créatifs possible mais c’est d’utiliser d’avantage les ressources de potentiel
humain et s’interroger sur les motivations des individus
Herzberg a mené plusieurs enquête dans les années 60 avec comme objectif de
présenter un théorie relativiste de la motivation
Même si ces besoins sont satisfait ce n’est pas pour autant que l’individu
soit actif et impliqué dans son travail. Il faut selon lui recourir à d’autres
types de besoins pour une véritable motivation dynamique au travail. Et
c’est là qu’apparaît la figure de Moise dont il fait allusion pour parler des
besoins de création de l’esprit, besoin de réalisation dans la tâche, de
produits personnalisé, de perfectionnement et d’évolutions. D’où l’idée de
participation au décision dans l’entreprise et d’enrichissement des tâches
Que pensez de ces modèles ? Idée optimiste du travail qui suggère qu’il
puisse exister une zone d’accord entre le développement des individus et
celui des organisations. C’est aussi une vision très naturalisante des
conduites. La puissance de la pensée naturaliste dans tous les domaines
éco, socio, etc c’est d’avoir une démarche essentialiste il existerait une
essence de l’H qui serait permanente qui permet d’avoir ensuite cette
prétention d’un universalisme. Nature de l’H toujours identique.
On peut prendre ses distances avec ce types d’approche car elle est
naturaliste et on a vu que les entreprise ne proposent que des motivations
liés à l’argent et à la sécurité plus encore aujourd’hui. Il faut voir la réalité
du capitalisme aujourd’hui. Aujourd’hui on parle d’un capitalisme
patrimoniale, ce capitalisme va modifier les relations sociologique entre
les différents acteurs
Pour que ça fonctionne il faut que les marchés financiers sont rationnels
on peut douter de la rationalité des marchés financiers ( bulle spéculative )
qui n’ont pas de réalité avec les entreprises.
Tout d’abord c’est un moyen de gestion si les salariés sont actionnaires ils
feront bcp + preuve de loyauté.
Face à ce risque de perdre, les entreprise ont tenté de prendre des mesures
pour éviter ce genre de mésaventure et parmi ces barrières anti OPA c’est
d’inciter les salariés à être actionnaire
Lorsqu’une entreprise lance une OPA c’est pour faire une plus value
rapidement. Je revends et je rachète . On va se séparer des activités qui
sont le – rentables ,on va restructurer l’entreprise cela va passer par des
licenciements. Si vous êtes salarié avec des actions ça va dés-inciter à
revendre les actions
La vision paternaliste c’est que les individus seraient mieux intégrés au travail et
également pour contrer toutes les tensions possible.
Craintes patronales par rapport aux syndicats, les syndicats dans les entreprise
c’est assez récent ( France 1968 ).
Justement il y’a toute une réflexion qui s’est developper sur la démocratie
industriel après la SGM. CE sont les pays scandinave et la grande bretagne qui
on lancé ce mouvement, notamment des forme de participation plus active et
une formalisation par des système de cogestion que ce soit dan les pays
scandinave mais également après la seconde guerre mondiale phénomène de
cogestion aussi en allemagne. Les science sociale il y’a plusieurs courant qui se
sont interrogés sur la possibilité ou non d’être dans des modele qui soient moins
autoritaires que ce que l’ont …Ce courant a une origine anglo-saxonne et
scandinave mais on peut également un mouvement français qui est l’analyse
institutionnelle, un courant assez atypique puisque c’est un courant qui remet en
cause de façon radicale l’organisation. Malgres la diversité du modele socio
technique et institutionnelle il y’a une certaine convergence dans la démarche on
a des modele d’intervantion, on a des psychologue etc qui vont s’immerger dans
des organisation pour en modifier le fonctionnement.
Ici l’ideee de départ il est de se dire si il est possible ou non d’envisager un type
d’intervention dans les organisation qui ne soit pas techno pratique , plus ou
moins imposé par des expert exetrieure a l’entreprise. C’est réagir contre l’école
des RH ( c’est l’idée qu’on interviens par des opérateur qui se doivent de suivre
les recommandation ). Dans cette perspective il y’a une institution anglaise qui
est apparue après la SGM c’est le travistock institue of human relation.
Comment comprendre cette nouveauté institutionnelle ? après la SGM la
situation en Angleterre les travailliste arrivent au pouvoir renforcer la justice
social et a l’épouse il y’a ey une vague importante de nationalisation. C’est dans
cette perspective qu’il faut comprendre l’arrivé de cette institution.
Cette méthode a été initié par elliott jacques, psychologie et psychanalyste. C’est
lui qui a débuté ce type de démarche. Il s’est interrogé sur le système de
communication dans les entreprise. Pendant 20 ans avec son institut il est
intervenu dans une entreprise glacier metal company. Il va tenter de transférer
sur l’organisation une forme de thérapie social dont l’objectif était de permettent
au différente composante de l’organisation de s’approprier les élément théorique
et pratique des science social. Quel intérêt ? Pour faire face a des
dysfonctionnement dans l’organisation du travail. Comme pour une cure
psychanalytique le consultant va vivre dan une organisation avec une relation
pro exclus de toute relation privé. On va ici emprunter des concept qui sont
habituellement utiliser dans les cure psychanalytique. Le concepte de
l’emblavance ( = ne pas savoir comment un individu va refaire ) certes les
individu peuvent être attiré par le changement c a d modifier leur comportement
mais il peut y avoir des résistance a modifier son comportement ou même
l’organisation du T et cela peut s’expliquer parce que quand on change sa faquin
de travailler il y’a de nouvelles zone d’incertitude qui vont apparaitre et d’autres
qui vont disparaître. Hors comme l’analyse stratégique a pu le montrer les zone
d’incertitude peuvent être un lieu ou l’individu peut déployer des stratégies
parce que cette individu maitrise cette incertitude. Cette embivalmance va
conduire a des phénomène de transfert sur le consultant, il peut être positif, les
individu se projette dans le projet, dans la démarche du consultant. Il peut être
aussi négatif;, c’est la résistance au changement, parfois ça peut être une forme
de contrôle supplémentaire. L’intervention de elliott a eu lieu pendant 20 ans et
au départ financée par l’état dan s un pdoremeier temps c’était de faire
l’historique de l’entreprise puis au fur et a mesure réaliser des études lors qu’il
y’avais des problème au niveau de l’organisation du T. Pendant les première
année multiplication des consultant qui représentait l’ensemble des niveau
hiérarchique, par la suite constitution de groupe variable soit des groupe
homogène ( que ouvrier ou que cadre ) ou mixte ( employer employeur
ouvrier ). Pourquoi ces réunion ? Eliotte veut élaborer la perlaboration c’est de
la part du consultant attirer l’attention du groupe sur des phénomènes qui sont
connue de tous les sentiment la suspicion, la résistance au changement. Les
résultât c’est de montrer l’importance de la négociation, l’importance de
l’interprétation des fait. La tendance a prendre des distance avec des lectures
objectiviste de l’entreprise ( ex : avec taylor ou ford ) c’est une sorte de
bouleversement sur cette idée d’une approche naturaliste ou les appooirche
plutôt artificialiste. Approche naturaliste avec weber et durkheim ( pour D par
exemple on traite les fait sociaux comme entant les chose et après on tente de les
analyser ainsi ). Il y’a une autre faquin de faire et c’est de dire en faite quand il
y’a que des point de vue démarche weberienne. C’est montrer d’une part que les
rapport humain dans une entreprise son envahis par les mécanismes
transférentielle qui peuvent être des mécanique de défense d’identification et ils
sont de nature psychologique d’ou l’importance des histoire perso dans les
relation de travail. Et toute cette démarche va conduire a une approche socio
technique. Il y’a eu des critique apporter, essentiellement deux : critique
sociologique = c’est trop d’emprunt a la psy tendance a isoler l’entreprise par
rapport a son environnement. La deuxième c’est enfermer les problème
organisationnel dans une perspective relationnel et inconsciente et qui masque
les conflit sociaux prennent souvent racine non pas dans l’organisation elle
même mais dans la société globale.
Cette analyse institue c’est un courant théorique et pratique qui a démarré dans
les années 70 en france , courant critique sur les organisation du travail et
d’ailleurs l’intervention de ce courant das les organisation du travail c’était des
organisation du travail a but non lucratif dans les formation initiale ou continue.
Ou encore des organisation de santé et particulièrement dans les organisation de
santé mentale. On peut citer ici deux livre : le livre de lapassade et..
1 ) l’analyse institutionnelle
Un aire de famille avec ce que l’on a vu on emprunte des chose qui sont issue de
le psychanalyse. Catorialisse il avait la casquette d’éditorialiste, de philosophe et
sociologue et psychanalyste c’était un penseur grec. Globalement c’est une
analyse critique de marx et un des reproche qu’il adresse a marx. La
psychanalyse elle est dans une démarche de la notion d’interprétation analytique
c’est décomposer interpréter les production symbolique ( = interprétation des
rêve, des écrit mais également la parole ), dégager l’inconscient de l’individu ( =
faire remonter a la conscience de l’individu un ensemble de phénomène que
celui ci a refoulé ). C’est l’idée de décomposer la réalité social, décomposer ce
qui est manifeste dans la rzlaité sociale, mettre a jour ce qui a était refoulé dans
la réalité social. C’est dégager le concept d’institution. Lapassade écrit « la
constitution c’est l’équivalent dans le champs sociale de ce qui petit
l’inconscient dans le champs psychique « Cette inconscience c’est le produit du
refoulement et des racine de reproduction sociaux « les rpeoduction censure
l’apparence sociale l’ex^ression de l’alienation, la volonté de changement »
exemple dans les pratique = mettre des séminaire en autogestion pour libérer la
parole. Derrière on a un projet politique, on va mettre l’accent sur la dynamique
de gourou ce qui ‘appelle le moment du groupe. On voit qu’on a une démarche
artificialiste elle met l’accent sur le présent, et donc le groupe va être construit
comme un objet de connaissance. Autre remarque pour comprendre c’est une
tendance a vouloir remettre en question le courant de la sociologie et du travail
dans les années 70. Notamment le courant de l’analyse stratégique, lorsque celui
ci étudie le rapport du pouvoir au sein de l’organisation du travail. L’idée
défendu par l’analyse institutionnel tendance a ignorer l’environnement social
politique eco et culturel. C’est un réseaux symbolique socialement sanctionné il
se combine en proportion des relation variable avec une composante fonctionnel
et une composante imaginaire. Et l’aliénation ( je ne suis plus moi même
puisque je fais discours avec l’autre c’est l’autonomisation de l’institution par
rapport a la société. ) L’institutin est la pour légitimer certaine pratique certaine
injonction et montrer que tout cela est très fonctionnel. D’une certaine façon on
est pas très loin de ce que raconte bourdieu, Chez lui l’alchimie sociale
fondamental c’est de passer du rapport social arbitraire en des relation qui soient
socialement légitime.
• construit : = ce sont ici des dispositifs qui sont mis en place en situation
d’intervention des sociologue dans ces organisation, comment roder des gens
a parler par exemple. Ici le dispositif prioritaire c’est les dispositif
autogestionnaire. L’objectif de tout cela c’est de deconstruire l’institué faire
rejair l’inconscient politique. A terme est plus politique que sociologique.
L’objectif de ce courant c’est de faire naitre des nouvelle modalité de
formation par exemple ceci dit l’analyse institutionnel peut être partiqué en
situation d’intervention dans un groupe par exemple et dans ces cas la il va
s’agir de la sociaux analyse
2. La socio analyse
Lorsqu’on parle de participation cela recoupe deux réalités qui sont distinctes .
soit c'est une tentative d’associer le travail au capital avec l’idée de diminuer le
poids de l’actionnariat dans les décisions économiques. Il y a d une certaine
façon un poids beaucoup plus important de cet actionnariat dans les décisions .
nouvelles relations sociologiques entre les différents acteurs . Auparavant il y
avait des actionnaires mais le poids de l’actionnariat avait un plus faible poids .
quand on parle de cette association de travailleur au capital , les travailleurs eux-
mêmes deviennent proprio de l’organisation. Toutes les coopératives ( il y a des
coopératives de production , des coopératives de consommation , coop de..)
On va tenir compte de la vie des travailleurs dans les décisions qui vont être
prises via leur représentant cela par l’investissement de différents types de
comités qui permettent au salarie de décider de façon plus ou moins importantes
des décisions de gestion de la production . On peut évoquer plusieurs tentatives
qui ont été mené dans différents pays européens ( le cas de la suède : les pays
scandinaves ont une longue tradition de démocratie industriel et pour la suède
pendant 40ans on a eu d’une part une majorité politique qui est social-démocrate
et qui a entrainer une forte centralisation du mouvement syndical avec des jeux
de négociation , d influence entre 5 grands acteurs : les entreprises , les syndicats
présents dans l’entreprise, les fédérations syndicales ; le parti social-démocrate
et le patronat ) c'est un pays très taylorien mais il y a des expérience qui ont été
mené pour tenter de déroger à ce type de logique, on a des syndicats plutôt
réformistes . Si o n a une vision globale des syndicat , plus vite ils ont été
reconnu et plus on a eu a faire à des syndicats réformistes. On aura l’occasion de
reparler du cas de la France . les syndicats qui ont émergé en France sont
beaucoup plus revendicatifs . On retrouve la même chose dans les pays de
l’Europe du sud . Dans le nord c'est plutôt des syndicats réformistes. La suède
est particulière : face à une baisse de la syndicalisation globale, en suède 80%
des travailleurs sont syndiqués. C’est beaucoup de syndicat de métiers , les
avantages que peuvent avoir les syndicats dans les négociations , toutes les
avancées sont rattachés à ceux qui sont syndiqués.
Quelles ont pu être les avantages du système suédois ? c'est le poids du national
qui l’emporte sur des négociations plus local, au niveau local il y a la création de
CE qui sont composé de syndicaliste qui sont chargé d’appliquer les
négociations prises au niveau national et en 1977 on a instauré un système
encore plus officiel ( co gestion ) qui a accru le contrôle des syndicats sur le
développement de l’entreprise sur la planification de long terme . Les décisions
importantes doivent faire l’objet de négociation avec les syndicats . les syndicats
n’ont pas le droit de veto mais ils peuvent faire trainer les négociations ( donc
pas intérêt à faire trainer ) . Est-ce véritablement une participation des
travailleurs au décisions ) OUI pour ceux qui ont les responsabilités syndicales
mais ce n'est pas pour l’ensemble des travailleurs. La loi gène le droit de grève .
on ne peut pas se mettre ne grève lorsque les syndicats ne sont pas présents dans
l’entreprise .
Ceci dit en suède on a eu des expériences assez intéressantes avec la remise en
cause du fordisme, il y a de nouvelles méthodes de rationalisation de la
production ,on encourage des groupes de W semi autonome , on encourage la
polyvalence , les rotations de poste et chaque salarié est sensé prendre part au
solution organisationnel avec l’idée que le management serait l’affaire de tout le
monde , l’idée c'est de remettre en cause les traditionnel formes de
rémunérations , essayer de privilégier le dialogue avec les salariés ; c'est une
remise en cause de la hiérarchie taylorienne avec une organisation plus orienté
vers le marché mais ce n'est pas spécifique au cas suédois . Ceci dit il y a une
tendance en suède a aller vers une seule catégorie des salariés donc
réintroduction des savoir-faire . On aura une organisation réflexive du travail
c'est a dire dépasser l’organisation traditionnel qualifiante, intellectualisation du
travail qui serait permise par la généralisation les nouvelles techno de
l’information . l’idée c'est d’avoir des salarié plus autonome et investi. Allons-
nous vers la finn de l’organisation vertical taylorienne ?? les sociologues suédois
pensent qu’on pourrait remettre en cause l’organisation hiérarchique
traditionnel.
Autre pays co-gestion c'est l’Allemagne . C’est système de cogestion était
instauré pour toutes les entreprise dépassant les 2000 salariés . on a instauré un
conseil de surveillance paritaire comprenant les représentant du capital et les
représentant des employés d’entreprise pour discuter des grandes orientations
que devaient prendre l’entreprise et officiellement le manager dépend
directement de ce conseil de surveillance à qui il doit rendre compte de sa
gestion. Des études ont été mené pour savoir si cela fonctionne véritablement .
Enquête dur 500 grandes entreprises en Allemagne et ça montre que ca ne
fonctionne pas . Les entreprises ne respectaient pas les règles de ce conseil de
surveillance. Il peut avoir des commission de W qui peuvent répondre à
différents types de problèmes et une autre enquête sur 450 grandes entreprise qui
a montré que les conseils de surveillances et les différentes commissions
n’intervenaient avec efficacité que dans 20% des décisions prises. En France la
base principal des employé c'est la présence syndical qui est tardive ( mai
1968) . Autre instance de participation en France : les CE mais globalement les
évaluations socio ont montré des résultats peu pertinents . Hiérarchie formel plus
importante que dans d’autres pays . certes il y a une tendance a la généralisation
des cercles de qualités issu du toyotisme : on réunit les salariés des ouvriers au
cadres . Ce cercle alimente une vision très consensuel de l’entreprise . avec la
généralisation des nouvelles techno iront nous vers un W plus qualifié ?
Plusieurs scenario sont possible :
1er neotaylorisme assisté par ordinateur : dans ce scenario la caractéristique
principale c'est la réaffirmation de la division hiérarchique, professionnel du
travail
2nd travail de production qualifié et coopératif : cela suggère qu’on a une force
de travail composé de travailleur qualifié qui disposent de compétences
homogène, les taches sont variés et on irait vers une programmation autonome
des ouvriers .
3eme le travail de production polarisé : les fonction d4organisation et de
planification ne sont pas effectué par des ouvriers qualifié mais par ceux qui ont
un haut niveau de capital culturel . en fin de compte il n y a relativement pas
beaucoup de changements ( permanence d’ouvriers non qualifiés dans les
ateliers )
Le système fordiste a été remis en cause dès fin des années 70 début des années
80 à cause de l’organisation même de la production . La critique était la
suivante : on était arrivé à un système trop rigide , une fois que les machines-
outils ont été programmées et ont produit toujours la même chose ; autre
élément : une tendance pour certaines grande multinationales : excès
d’investissement liés à la concurrence qui se traduit par une sous-utilisation des
capacités de production qui va conduire à une baisse de la productivité
marginale du capital . À cela s’est ajouté un autre élément un peu plus historique
c'est la politique monétaire aux USA à partir des années 70 , forte augmentation
des taux d’intérêt pour lutter contre l’inflation. C'est une remise en cause même
de l’organisation du W : absentéisme, turnover élevé , médiocrité dans la qualité
de la production et globalement une forme de démotivation au W , la maturation
des normes de consommation : réorientation partiel au niveau de la demande .
Globalement les services ont des gains de productivité relativement plus faibles
que ce qu’on rencontre dans l’agriculture. Mais c'est difficile de mesurer la
productivité des services surtout des services de marchand. Les phénomènes de
délocalisation : la première vague c'est dès les années 70 qui ont concerné les
dragons de l’Asie : Taiwan, Singapour, Hong Kong , Corée du sud. Cela a
concerné des industries traditionnelles comme le textile ; le problème c'est que la
délocalisation entraine une désarticulation entre l’espace e la production et
l’espace de la consommation . il est également probable que les politiques Eco
mené à partir des années !à ont accru cette crise du fordisme. Ce fordisme c’était
un système de production fondé sur la production de masse qui se basait sur la
recherche d’économie d’échelle ( plus on produit moins ça coute) . il y a une
rationalisation du travail taylorien : séparation des taches, rationalisation de la
chaine de montage . Quel type de modèle ont pu apparaître après la crise ?
3 modèles ont émergé à partir des années 80 : le modèle dominant le toyotisme c
‘est à dire la reprise des méthodes d’organisation et du travail hérité de Toyota ,
deux autres modèles plus minoritaires ont pu apparaître : l’uddevalisme tentative
en suède de reproduire ce modèle ( par Volvo ) . malheureusement ce modèle
c'est arrêté assez rapidement en 1993 ; dernier modèle : le saturnisme fait
référence à l’usine saturne , modèle initié par General Motors aux USA ;
première remarque les nouvelles organisations du W de la production qui ont
émergé c’est d’abord dans l’industrie automobile et qui s’est généralisée
toyotisme c'est une organisation fondé sur le juste à temps , c'est la demande qui
tire la production et ce qu’ ont appelé l’automation ( capacité d’une machine de
s arrêter des quelle rencontre un problème ) cela q conduit à des modifications
dans les relations de travail dont les plus importantes sont la polyvalence
multifonctionnel des travailleurs ; le travail est rationnalisé mais c'est une
rationalisation non plus individuel mais collective . autre aspect important le
recours à la sous-traitance. Le l’uddevalisme a été initié par Volvo dans les
années !à ; c’était le constructeur auto le plus rentable. Dans une période ou le
taux de chômage était faible 2% , l’idée était d’attirer les travailleurs dans un
travail plus valorisant, on a supprimé les chaines de montage dans une usine ou
on s’occupait d’une tache final ; il y avait une cinquantaine de groupe de travail
compos2 d’une dizaine de personnes chargé de monté une auto . 3eme
expérience : le saturnisme : General Motors 1982 et production commencé en
1990 , idée de concurrencer les constructeur japonais dans la conception de petit
modèle en s’appuyant sur 3 éléments, une techno plus avancé ,le copiage des
méthodes des japonais, un accord de collaboration avec syndicat auto
américain . Collaboration notamment dans les embauches . Le toyotisme est le
plus global.
3. La flexibilté
L’idée est la suivante : les membres d’une organisation ne sont pas simplement
des individus passifs qui répondent au stimuli de l’organisation , ( chez Taylor
ils sont mécaniques ) , ils sont dotés d’une certaine intelligence, une marge de
liberté par rapport aux règles qui ont été posés .Ce n'est pas une nouveauté
sociologique . Le sociologue va faire un travail sur place : se plonger dans
l’objet qu’il étudie . GOFMAN était tenté de montrer que dans une organisation
aussi carcéral que la prison Il y a possibilité d’avoir un projet de liberté .Dans
l’organisation du travail on ne peut pas tout règlementer : stratégie à rationalité
limité. Cette idée de rationalité limitée est un emprunt à HERBERG SIMON .
Cet économiste s’est interrogé sur le processus cognitif au travail . Il a été
amené à remettre en cause le paradigme qui était dominant à son époque .
L’hypothèse de la rationalité pleine et entière . les individus prennent les
décisions qui sont le plus optimal. L’individu prend ses décisions dans un
univers dont il ne connaît pas la totalité des possibilités . Lorsqu’un individu a
fait cette hypothèse , l’acteur dans l’organisation du travail va etre capable
d’utiliser certaines ressources pour atteindre des objectifs qui lui sont personnel .
Pour l’observateur comme pour le partenaire , pour garder ce pouvoir il faut
rendre ses actes non prévisibles. C'est l’occasion qui fait le larron . cela renvoie
à la position de l’acteur dans l’organisation du W et cela renvoie à la rationalité
de cet acteur : on peut s’interroger sur le pouvoir. Qu’est-ce que le pouvoir ? Le
pouvoir : la capacité de l’individu ou d’un groupe d’individu à influencer le
comportement d’un autre individu ou d’un autre groupe d’individu . Plusieurs
conséquences : le pouvoir est une relation , relation d’échange, de négociation
entre les acteurs indépendants mais aussi interdépendants . Il s’agit de relations
réciproques ou chaque individu à quelque chose à échanger , c'est aussi une
relation qui est déséquilibrée. Le pouvoir « c'est un rapport de force dont l’un
peut retirer d’avantage que l’autre , mais ou également l’un n'est jamais
totalement démuni face à l’autre ». Le pouvoir va se fonder sur la possibilité que
va avoir l’acteur de refuser ou de marchander ce que l’autre veut de lui. Le
pouvoir réside donc dans la marge de liberté que dispose chacun des partenaires
engagés dans une relation. Quel va être le jeu de stratégie pour maintenir ce
pouvoir ? Il faut sauvegarder sa marge de liberté, c'est en gardant son
comportement imprévisible. Ex : enquête Crozier
Le contrôle d’une zone d’incertitude pertinente permet de rendre son
comportement imprévisible et cela va constituer un atout déterminant pour
orienter la relation de pouvoir .
Cours du 17/11/2020
Il faut tenir compte de l’ensemble des relations de pouvoir déterminé par les
structures institutionnelles. Il existe des dialogues entre le patronat et les salariés
( Matignon convention collective ) . Malgré l’importance des institutions ,
frigberg et Crozier disent qu’il y a 4 grandes zones d’incertitude qui permettent
aux individus de faire leur stratégie :
Le pouvoir qui résulte de la compétence : pouvoir lié à une connaissance
d’expert née d’une spécialisation fonctionnelle difficilement remplaçable ,
chaque acteur dans l’organisation du W possède un minimum d’expertise
, on s’interroge sur le coût de l’entreprise lié au remplacement .
Les relations de pouvoir issues des relations entre l’entreprise et son
environnement : L’adaptation à l’environnement suscite des sources
d’incertitudes et conduit à penser que les acteurs disposent d’un réseau à
l’extérieur de l’organisation . l’exemple typique ce sont les commerciaux
dans l’entreprise. Ces acteurs qui sont à la marge de l’entreprise et de
l’environnement , crozier et Frigerb emprunte à … le terme de marginal
sécant qui va avoir des informations sur l’évolution de l’environnement et
la transmission ou non des infos est sources d’incertitude.
Le pouvoir issu de la transmission des info pertinentes : cela renvoie tout
d’abord au système de communication : il y a deux grands types de
communication dans l’organisation du W : la communication latérale
( idée qu’il y a un émetteur qui va donner une information au récepteur )
l’information circule de façon unilatéral , le récepteur est relativement
passif . L’intérêt ici c'est la rapidité , autre intérêt C’est une forme de
sécurité psychologique ( on ne fait que ce qu’on nous a demandé) , autre
intérêt C’est le maintien des distances entre les acteurs , on respecte les
distances sociales et l’évaluation de ses distances sociales est caractérisée
par une absence de communication . il y a la communication réciproque :
il y a un émetteur un récepteur et il y a un processus de feedback, le
récepteur peut interpeller l’émetteur , il Y a la reconnaissance de l’autre et
cela permet de mieux préciser les demandes mais le danger pour
l’émetteur est que l’ordre va donner des informations qui le mettent en
danger . ceci dit il peut exister des barrières à la circulation de
l‘information. Crozier et friberg évoquent ce type de barrière . Il y a une
forme de ségrégation . Des barrières qui sont soient réellement
conscientes ou un peu plus inconscientes. Il y a des ségrégations
adaptatives . Il faut optimiser la circulation de l’information (exemple
type le bureau d’accueil ) . C’est une façon pour l’individu de se défendre
ou une façon d’avoir du pouvoir ( rétention d’informations ) . Exemple :
l’isolement des strat administratives permettent aux individus de se
protéger en évitant tout face à face ( conflit ) . cela renvoie aux acteurs
qui possèdent l’info de la faire circuler ou de maintenir l’autre à une
forme d’ignorance. On les appelle les portiers , ce sont ceux qui contrôlent
les canaux de l’information . socio américain goffman : un portier
supérieur hiérarchique a parfois intérêt à communiquer le moins possible
à ses subordonnées pour les laisser en état de dépendance Quel que soit
les institutions , ex les militaires , l’institution médicale. Il y a aussi la
centralisation de l’information en France , elle s’accompagne également
d’une centralisation de la décision . C’est un moyen selon crozier pour les
individus de se protéger de l’arbitrage , repousser le pouvoir formel des
lieux de l’action ou de la vie quotidienne .
Le pouvoir lié à l’utilisation des règles organisationnelles : on a beau
règlementer pour tenter de supprimer les zones d’incertitudes , mais la
règle elle-même peut devenir source d’incertitude. Notamment le
subordonné peut utiliser la règle afin de se protéger.
LES traditions culturelles peuvent avoir un impact culturelles sur les entreprises
et paradoxalement on trouve cela dans les bouquin sur l’analyse stratégique .
Crozier en parle dans son livre ( impact des cultures françaises sur l’organisation
des organisations) cette tradition est issue de l’ancien régime .La centralisation
des organisations est d’une certaine façon de l’héritage lointain des monarchistes
en France. Cette idée que la culture e
Peut impacter par l’organisation du travail peut … La logique de menard est à
partir d’une enquête dans une multinationales sidérurgiques française . Il montre
qu’il y a des facobs très différentes de gérer le pacte social. C’est la valeur de
l’honneur qui l’emportait sur les autres qui conduit à des rapports entre individus
assez particulier de ce qu’on peut trouver ailleurs. On parle d’ensemble de
représentation qui interviennent dans un cadre qui est à priori irrationnel mais
qui peut se comprendre par les impacts de la culture et de l’histoire et cela
renvoie à des problématiques sur le modèles de l universitas .
Il y a des formes spécifiques de modèle dans chaque pays , on parle encore
aujourd’hui de modèle scandinave, américain ,japonais , allemand etc qui
montrent qu’il y a des particularismes chez chacun. Au niveau national on peut
parler de culture et aussi de sous culture. on dégage des modèles de travaux
d’une enquête chez hermes avec IBM . les relations de W sont vraiment
différentes d’un pays à l’autre. Lorsqu’on parle de culture en entreprise il y a
une émergence de la culture d’entreprise . cette culture d’entreprise est ou non
un outil de management et d’autre part est ce qu’il est possible de dégager ou
non différentes cultures d’entreprises ?
I. Culture et société
1. L’approche Hofstede
Il a conduit une longue enquête sur une firme multinationale hermès , Hofstede a
mené une enquête dans 67 pays pour voir si la loi, les langues , les mœurs , les
systèmes de communications , les systèmes de valeurs vont conduire à des
cultures spécifiques qui vont impacter l’organisation du travail ( questionnaire
sur les satisfaction dans le W) relation avec les collègues , avec les chefs …
après cette enquête Hofstede ayant traité tous les questionnaires a dégagé 4
points :
Le refus d’insécurité
Distance au pouvoir
Masculinité ou féminité
Individualisme ou collectivisme