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I.EL ABOUDI
TD GESTION DE LA
PRODUCTION INDUSTRIELLE
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1- Compte tenu des données qui vous sont fournies, sur quels critères peut-on
effectuer les différentes analyses ? préciser à chaque fois l’objectif visé.
2- Choisir le critère à utiliser pour effectuer l’analyse permettant de déterminer la
technique de réapprovisionnement la plus appropriée ?
3- Effectuer cette analyse. Qu’en concluez-vous ?
4- Détermination définitive des classes
5- Quelle modification doit-on apporter à cette classification si on aperçoit que le
produit 19 est une pièce de rechange vitale pour l’entreprise ?
Supposez que vous êtes un ou une responsable financier (ière). Votre mission est
d’établir le bilan de l’entreprise. Vous devez donc faire la valorisation du stock, et si vous
estimez que celui-ci représente une très forte immobilisation financière, déterminer les
produits les plus pénalisants.
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Ventes d’hebdomadaires
(a) Quel est le nombre d’exemplaires à commander auprès de son grossiste chaque semaine
si le coût de reprise est de 10 F ?
Un épicier va chercher deux fois par semaine des fleurs coupées au marché en gros de
sa ville. En effet, au delà de trois jours, il ne peut plus les revendre. Son coût d’achat d’une
botte de fleurs est de 50 F et son prix de vente 75 F. On suppose que la demande de bottes
de fleurs suit une loi de Poisson. En moyenne, 30 clients se présentent chaque semaine pour
ce produit (la semaine est comptée six jours).
(a) Quel est le nombre de bottes de fleurs coupées à aller chercher le lundi matin et le
jeudi matin ?
(b) Combien de clients en moyenne sortent de son magasin par semaine sans fleurs ?
(c) Quel est le nombre moyen de bottes de fleurs jetées par semaine ?
I.3 Gestion calendaire : stock à rotation non nulle (demande statistique, période
fixe)
Ventes de calculatrices.
(b) On calculera les conséquences de cette politique que sont le nombre moyen de ventes
manquées et le stock moyen possédé.
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(b) Calculez les conséquences de cette politique que sont le nombre moyen de ventes
manquées et le stock moyen possédé.
(a) Calculez le coût de la politique actuelle de gestion de stock. Pour cela, déterminez le
stock moyen et le nombre de commandes par an.
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(c) Quelle est l’économie annuelle de votre solution par rapport à la technique des deux
casiers utilisée aujourd’hui ?
Un grand magasin vend chaque semaine 150 cartons de six verres du modèle “Elite”. Le
coût d’achat de 6 verres est de 8 euros, et le coût associé à une commande est évalué à 30
euros. Le coût de possession utilisé ne fait intervenir qu’un coût d’opportunité, lequel se
calcule à l’aide d’un taux de 15 %. On suppose que la demande est une certaine et qu’il n’est
pas possible d’avoir de rupture de stock. La gestion de stock est du type point de
commande.
(b) Le délai de livraison étant égal à deux semaines, déterminez le point de commande
(l’année comporte 52 semaines).
La demande hebdomadaire n’est maintenant plus considérée comme certaine, mais comme
aléatoire. Elle suit une loi normale de moyenne 150 et d’écart-type 50. Le coût de rupture
est estimé à 2 euros, parce que la demi-douzaine est vendue 10 euros et que la direction
estime que la rupture de stock de cet article n’est pas préjudiciable à son image de marque.
Calculez le nouveau point de commande, le nombre moyen annuel de demi-douzaines de
verres que le grand magasin n’a pas été en mesure de vendre, le stock moyen possédé ainsi
que le coût de gestion annuel.
Un supermarché vend des carafes à eau 50 F. Il les achète auprès de son fournisseur 35 F. La
demande hebdomadaire suit une loi de Poisson de paramètre 5. On utilise un taux
d’opportunité de 15 % l’an. Le coût de passation d’une commande est de 30 F. Le délai
d’approvisionnement est de deux semaines.
(c) Quel est le nombre moyen de clients non satisfaits pendant le délai de deux semaines
entre la passation de la commande et sa réception ?
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Une entreprise fabrique deux biens. Ces productions nécessitent l’utilisation de deux ateliers
dont les capacités de production exprimés en heure d’usinage sont de 12 chacun.
Chaque unité du premier bien nécessite deux heures d’usinage dans le premier atelier et une
heure d’usinage dans le deuxième, et chaque unité du 2éme bien nécessite une heure d’usinage
dans l’atelier 1 et deux heures dans l’atelier 2.
Les marges brutes sont : 4F pour le bien 1, et 3F pour le bien 2. L’entreprise veut augmenter
ses profits.
3)- Supposons que la marge brute de bien1 augmente, quel serait le nouveau point optimum.
Une entreprise peut fabriquer un même produit dans deux de ses ateliers. Les capacités de
production de ces deux ateliers, exprimés en quantités de produits, sont de 7 pour le
premier atelier et de 10 pour le second. D’autre part, on suppose que le nombre d’heures
de main d’œuvre qu’on peut affecter globalement à cette production est de 60. Or, chaque
unité de produit nécessite 10 heures de main d’œuvre dans le premier atelier et 5 heures
dans le second. Enfin, la production totale doit permettre de satisfaire au moins une
demande de 8. Sachant que les coûts variables unitaires sont de 2 pour le premier atelier et
3 pour le second, l’entreprise désire produire à coût minimum.
x1 + x2 + 2x3 + 2x4 ≤ 17
x1 ≥ 0, x2 ≥ 0 x3 ≥ 0 x4 ≥ 0
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Exercice 1
Une entreprise possède une machine qui sert à produire des câbles. Cette machine a une
capacité de production annuelle de 900 km de câble. Deux types peuvent être produits :
câble électrique et câble téléphonique.
Exercice 2
Un atelier sert à usiner trois types de pièces P1, P2, P3 selon des cadences de 50, 25 et 75
pièces à l’heure. La capacité de production est de 45 heures machines par semaine. On
estime que la demande hebdomadaire est au plus de 600 pièces de type P1, de 800 pièces de
type 2 et de 1200 pièces de type 3. Les marges sur coût variable unitaires sont de 40F, 120F
et 30F.
Exercice 3
Une société fabrique deux produits P1 et P2. Elle est formée d’une section auxiliaire, la
section administration, et de deux sections principales : usinage et finition. L’unité d’œuvre
en laquelle est mesurée l’activité de ces deux dernières sections est l’heure machine.
Lors du dernier exercice mensuel, la société a produit 5000 unités de P1 et 7000 unités de
P2. La fabrication de P1 a demandé 650 heures-machines de la section usinage et 125
heures-machine de la section finition. La fabrication de P2 a demandé 350 heures-machines
de la section usinage et 350 heures machine de la section finition. Toujours durant cet
exercice, les coûts supportés par les sections ont été :
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Le reste des coûts a pu être directement affecté aux produits. Ces coûts directs, qui sont
des coûts variables, se sont élevés à 12F par unité de P1 et à 5,8 F par unité de P2. Les prix
de vente unitaires de P1et P2 ont été de 50F et 30F.
1- Calculer la marge sur coûts variable unitaires pour les deux produits P1 et P2.
2- Les capacités de production mesurées en heures-machine sont de 1100 pour la
section usinage et de 550 pour la section finition. On considère que la main d’œuvre
est disponible sans limitation. Déterminer graphiquement les productions qui
maximisent la marge sur coûts variable de la société après avoir formé le programme
correspondant.
Exercice 4
Exercice 5
Une entreprise produit deux biens en quantités x1 et x2 qui sont usinés dans deux ateliers
dont les capacités de production sont de 12 à 16 unités d’œuvre. La production d’une unité
de bien 1 nécessite 2 unités d’œuvre du premier atelier et 4 du second. La production d’une
unité du bien 2 nécessite 3 unités d’œuvre du premier atelier et de 4 du second. On désire
maximiser la marge sur coût variable sachant que les marges unitaires des deux biens sont
de 3 et 4. Pour les prix de vente utilisés dans le calcul de ces marges, le service de marketing
estime que l’entreprise ne peut écouler une production de bien 2 supérieures à 3.
Exercice 6
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