QCM Physio Neuro
QCM Physio Neuro
QCM Physio Neuro
L’axone :
A. Est toujours unique dans un neurone
B. Est toujours myélinisé (Pa tjrs , soit myélinisé soit amyélinique)
C. A un diamètre inconstant
D. A un diamètre constant
E. Est riche en ribosomes
F. Est dépourvu de ribosomes
G. Est incapable d’assurer sa propre synthèse protéique
H. Capable de synthétiser leur propres protéines
I. Joue un rôle de conduction de l'influx nerveux
J. Permet la conduction de l’influx nerveux
Concernant les transports axonaux :
Ils permettent le transfert bidirectionnel des molécules du soma aux
terminaisons axonales.
Transport antérograde rapide: transport de vésicules (40-60 nm) et des
protéines le long des microtubules de l'axone à une vitesse de 100 à 400 mm
par jour.
Transport antérograde lent: transport du cytosquelette à une vitesse de
0,1 à 2 mm par jour.
Transport rétrograde rapide: transport de corps plurivésiculaires
(100-300 nm) le long des microtubules de l'axone vers le soma à une
vitesse de 100 à 400 mm par jour.
Transport des mitochondries: vitesse de 10 à 40 mm par jour
La myéline :
A. Est formée par les cellules de Schwann dans le système nerveux central
B. Est formée par les Oligodendrocytes dans le système nerveux
périphérique
C. Est formée par les cellules de Schwann dans le système nerveux
périphérique
D. Est formée par les Oligodendrocytes dans le système nerveux central
E. Est formée par les astrocytes dans le système nerveux central.
F. Protège les axones
G. Isole électriquement les axones
H. Accroît la vitesse de propagation de l’influx nerveux (jusqu’à 150 fois
plus vite dans un axone myélinisé)
I. Ralentit nettement la vitesse de propagation de l’influx
J. Participe dans la régulation du milieu chimique autour des neurones.
(Ce sont les cellules gliales)
K. Recouvre tous les axones des neurones quel que soit leur diamètre. (les
axones longs souvent recouverts d’une gaine de myéline ,les axones
courts sont souvent amyélinisés)
L. Recouvre les axones de tous les neurones qui constituent le système
nerveux. (Pas tous, il existe des axones sans myéline mais avec une gaine
de Schwann)
Concernant le potentiel d’action :
A. La dépolarisation est secondaire à une ouverture des canaux à potassium
de la membrane plasmique du neurone.
B. La dépolarisation est secondaire à une ouverture des canaux à sodium
de la membrane plasmique du neurone.
C. La repolarisation est due à une fermeture des canaux à sodium de la
membrane plasmique du neurone.
D. La repolarisation est due à une fermeture des canaux à sodium et
ouverture des canaux à potassium
E. La repolarisation est due à une fermeture des canaux à chlore de la
membrane plasmique du neurone.
F. La repolarisation est due à une fermeture des canaux à potassium de la
membrane plasmique du neurone.
G. Après l’apparition d’un premier potentiel, la membrane plasmique du
neurone devient immédiatement réfractaire à toute stimulation.
H. Le déplacement de ce potentiel le long de la membrane du neurone est à
l’origine de l’influx nerveux
I. Le potentiel d’action se propage de façon antidromique le long de l’axone
J. Le potentiel d’action se propage de façon orthodromique le long d'axone
K. Le potentiel d’action se déplace de façon saltatoire dans les fibres
amyéliniques
L. Le potentiel d’action se déplace de façon saltatoire dans les fibres
myéliniques
L’influx nerveux :
A. Correspond au déplacement d’un potentiel d’action le long de la
membrane du neurone
B. Se propage de façon orthodromique le long de l’axone
C. Se propage de façon antidromique le long de l’axone
D. Se propage à une vitesse ralentie dans les fibres de gros diamètre
(Plus de diamètre est grand plus la vitesse est plus grande,
la présence de myéline augmente aussi la vitesse)
E. Se propage sur un mode saltatoire dans les fibres amyéliniques
(mode continue dans les fibres amyéliniques)
F. Se propage sur un mode saltatoire dans les fibres myélinisées
La synapse :
A. Est toujours un point de connexion entre 2 neurones
B. Est un point de connexion entre deux neurones ou entre un neurone est
une autre cellule
C. Est bidirectionnelle
D. Est unidirectionnelle
E. Peut être bidirectionnelle (synapse électrique)
F. Est de type électrique chez l’homme ( Assez rare )
G. Est chimique chez l'homme
H. Est toujours une synapse chimique
I. Est toujours excitatrice
J. Est dite excitatrice si l’activité de la cellule post-synaptique augmente
K. Est dite inhibitrice si l’activité de la cellule post-synaptique diminue
L. Peut-être inhibitrice en provoquant une hyperpolarisation de la
membrane postsynaptique
M. Peut-être excitatrice en provoquant une baisse de la polarité
N. Constitue toujours une connexion excitatrice au niveau de la jonction
neuromusculaire et dont le neurotransmetteur est l’acétylcholine
O. La liaison du neurotransmetteur avec son récepteur sur la cellule post
synaptique donne toujours une baisse de la polarité de cette cellule.
P. La fixation du neurotransmetteur avec son récepteur au niveau de la
cellule post synaptique donne toujours une hyperpolarisation de cette
cellule
Q. L’hyperpolarisation de la membrane postsynaptique peut être due à
l’ouverture des canaux chlore (et aussi de K+)
R. La baisse de la polarité de la membrane postsynaptique est due à
l’ouverture des canaux à sodium
S. La libération du neurotransmetteur par le bouton synaptique nécessite
l’ouverture des canaux calciques
T. Le neurotransmetteur est toujours l'acétylcholine (Il existe plusieurs
neurotransmetteurs entre deux neurones (neuromédiateurs))
L’acétylcholine :
A. Est un neurotransmetteur inhibiteur de la jonction neuromusculaire
B. Est un neurotransmetteur excitateur de la jonction neuromusculaire
C. Se fixe sur un récepteur spécifique sur le neurone pré-synaptique
D. Se fixe sur un récepteur spécifique sur le neurone post-synaptique
E. Nécessite pour sa libération dans la fente synaptique, l’entrée de sodium
dans la terminaison nerveuse pré-synaptique
F. Nécessite pour sa libération dans la fente synaptique, l’entrée du calcium
dans la terminaison nerveuse pré-synaptique
G. Entraîne tjrs une baisse de la polarité de la membrane post synaptique
H. Entraîne une baisse de la polarité de la membrane post synaptique par
ouverture des canaux Sodium (elle cause une dépolarisation)
I. Entraîne une baisse de la polarité de la membrane post synaptique par
ouverture des canaux à chlore
J. Entraîne une augmentation de la polarité de la membrane post
synaptique par ouverture des canaux calciques (L'Ach peut avoir un PPSI
sur des récepteurs muscariniques (SNA) et entraîne une
hyperpolarisation par ouverture des canaux à Cl- et à K+)
K. Se fixe toujours sur un récepteur nicotinique sur le neurone
postsynaptique (N1)
L. Est éliminé par une dégradation par l’acétylcholinestérase
M. Agit sur des récepteurs nicotiniques présents sur le neurone post
ganglionnaire du système végétatif.
N. Agit sur des récepteurs muscariniques au niveau du muscle squelettique.
(Au niveau des muscles lisses des viscères)
(au niveau du muscle squelettique c'est plutôt les récepteurs M2)
O. Est libérée par les terminaisons des deutoneurones parasympathiques.
P. Est libérée dans la fente synaptique par exocytose
Q. La vidange d’une seule vésicule synaptique peut entraîner un effet au
niveau du muscle. (il faut plusieurs vésicules (sommation spatiale et
temporelle) pour atteindre le seuil d'excitation du muscle.)
R. L’Ach n’est plus réutilisée après son action postsynaptique. (après sa
libération de son récepteur postsynaptique, l'Ach est dégradée par l'AchE
en acide acétique et en choline. La choline est recyclée au niveau des
corpuscules terminaux en Ach pour qu'elle soit réutilisée.)
Physiologie de la motricité
Le mouvement volontaire :
A. Est intentionnel
B. Le mouvement volontaire est intentionnel ou réflexe
C. Est un mouvement simple
D. est un mouvement complexe nécessitant l'identification et la localisation
de la cible avant exécution d'un programme moteur
E. Nécessite l’identification, la localisation de la cible avec une planification
de l’action
F. N’est pas amélioré par l’expérience et l’apprentissage
G. est amélioré par l'expérience et l'apprentissage
H. Est toujours déclenché par un stimulus
I. Nécessite toujours un stimulus pour son exécution
J. Peut être spontané ou déclenché par un stimulus
K. Est sous contrôle de la moelle épinière
L. Est sous contrôle du cortex cérébral
M. La moelle épinière est le centre du commande supérieure du
mouvement volontaire
N. Le cortex sensitivomoteur intervient dans l'élaboration du programme
moteur nécessaire à la réalisation du mouvement volontaire
O. Le cortex pariétal ne participe pas dans le contrôle du mouvement
volontaire
P. Le lobe pariétale postérieur fournit une aide visuelle pour la
programmation et la réalisation d'un mouvement volontaire
Q. Le lobe frontal est le seul lobe responsable de la motricité volontaire
R. Le lobe pariétal postérieur participe dans le mouvement volontaire
S. Le faisceau corticospinal participe dans le contrôle du mouvement
volontaire (les voies cortico nucléaire, voies corticospinales, voies cortico
rubro spinales, voies réticulo spinales)
T. L’aire motrice supplémentaire participe dans le contrôle du mouvement
volontaire
Une atteinte du lobe pariétal postérieur du côté droit donne :
A. Une perte de l'orientation des segments distaux des membres pour
réaliser un mouvement complexe (atteinte de l'aire motrice
supplémentaire)
B. Une négligence spatiale gauche
C. Une perturbation de la planification et de l'organisation de certains
mouvements fins dans l'espace (atteinte de l'aire motrice pré motrice)
D. Un syndrome parkinsonien (atteinte du Locus de Niger)
E. Une chorée
Le faisceau corticospinal :
A. Provient seulement du cortex moteur primaire. (1⁄3 cortex primaire)
B. Provient du cortex moteur primaire et secondaire
C. Croise la ligne médiane dans sa totalité au niveau du bulbe.
D. Croise la ligne médiane au niveau protubérantiel.
E. Les 3⁄4 des fibres qui le constituent croisent la ligne médiane au niveau
bulbaire.
F. Faisceau corticospinal latéral (FCSL) : 3⁄4 croisent la ligne médiane au
niveau du bulbe.
G. Faisceau corticospinal ventral (FCSV) : 1⁄4 croisent la ligne médiane au
niveau de la ME.
H. Se termine toujours sur les motoneurones de la corne antérieure de la
moelle.
I. Se termine au niveau du bulbe en 2 contingents faisceau corticospinal
latéral et faisceau corticospinal ventral.
Un réflexe :
A. Est une réponse rapide, stéréotypée, automatique et involontaire
B. est un mouvement simple
C. Est une réponse intentionnelle
D. Est toujours inné
E. Devient automatique par la répétition
F. Est un outil d’évaluation de l’état du système nerveux
G. L'effecteur est le muscle cardiaque en cas de réflexes viscéraux
H. Peur être monosynaptique ou polysynaptique
I. L'effecteur est le muscle strié squelettique en cas de réflexes somatiques
Réflexe spinal :
A. Le réflexe spinal est une réponse rapide et involontaire
B. Le réflexe spinal est toujours une réponse innée (innée ou acquise)
C. Le centre d'intégration est l'aire motrice primaire
D. Le centre d'intégration est la moelle épinière
E. Le centre nerveux d’intégration est le tronc cérébral
F. Le réflexe spinal est toujours polysynaptique
G. Le réflexe spinal est toujours monosynaptique
(myotatique=mono , ipsilatéral de flexion=poly)
H. Le réflexe spinal est une réponse innée ou acquise, monosynaptique ou
polysynaptique
I. L'effecteur est représenté par le muscle strié (strié squelettique)
J. L'effecteur est représenté par le muscle cardiaque
K. La voie efférente transmet l'information sensorielle du récepteur en
périphérie à la moelle épinière
L. La voie afférente transmet l'information sensorielle du récepteur en
périphérie à la moelle épinière
M. La voie efférente est constituée par le motoneurone alpha
N. La voie afférente est constituée par le motoneurone gamma
O. Il fait intervenir des neurones moteurs dont les corps cellulaires sont
situés au niveau de la ME.
Un réflexe somatique :
A. est une réponse rapide stéréotypée et involontaire
B. Est un réflexe qui est toujours inné (inné comme le réflexe rotulien, ou
acquis comme la conduite)
C. Est une réponse involontaire principalement sous le contrôle du cortex
moteur (sous contrôle de la ME)
D. Est une réponse complexe et lente nécessitant l'identification et la
localisation de la cible à atteindre (motricité volontaire )
E. Est une réflexe qui a comme effecteur le muscle squelettique
F. Est une réflexe qui a comme effecteur le muscle cardiaque
G. Est un réflexe qui fait intervenir des neurones moteurs dont le corps
cellulaires sont situés au niveau de la moelle épinière
H. Est un réflexe dont le centre d’intégration est la moelle épinière.
I. Est un réflexe dont la voie efférente est le motoneurone α.
Réflexe spinal somatique :
A. Est une réponse rapide, stéréotypée et involontaire
B. Est une réponse intentionnelle
C. Est un réflexe toujours inné (inné ou acquis)
D. Est un réflexe toujours polysynaptique
(monosynaptique ou polysynaptique)
E. Est un réflexe dont le centre d’intégration est la moelle épinière
F. Est un réflexe dont le centre d’intégration est le tronc cérébral
G. Est un réflexe dont l’effecteur est le muscle lisse (muscle strié)
H. Est un réflexe dont l’effecteur est le muscle squelettique
I. Est un réflexe dont la voie afférente est le motoneurone alpha
J. Est un réflexe dont la voie efférente est le motoneurone alpha
K. Est un réflexe qui met notre corps en relation avec le milieu extérieur
L. Est un réflexe qui régule le milieu interne (réflexes viscéraux)
M. Se produit par une voie nerveuse appelée arc réflexe
Un récepteur somesthésique :
A. sont des capteurs sensoriels des messages
B. Peut être représenté par un récepteur cutané, musculaire ou articulaire
C. s'adaptent à un stimulus continue en augmentant la fréquence du
potentiel d'action
D. s'adaptent à un stimulus continue en diminuant la fréquence du
potentiel d'action
E. s'adaptent à un stimulus continue et deviennent moins sensibles
F. s'adaptent à un stimulus continue et deviennent plus sensibles
G. Est capable de capter des messages du milieu extérieur et de les traduire
en message nerveux.
H. Le récepteur somesthésique capte les messages seulement du milieu
extérieur. (du milieu interne également)
I. Ne peut pas coder la durée du stimulus. (code la durée, l'intensité et la
qualité du stimulus)
J. Le codage de l’information par le récepteur commence par la
transduction des messages physiques ou chimiques en un message
nerveux. (4 étapes : transduction -codage intensité qualité et le durée du
stimulus)
K. L’adaptation se manifeste par une diminution de la sensibilité à un
stimulus maintenu constant pendant un certain temps.
L. Un récepteur phasique réagit lentement à un stimulus constant.(tonique)
M. Un récepteur tonique s’adapte rapidement à un stimulus constant.
N. Un récepteur phasique s’adapte rapidement à un stimulus constant.
O. S’adapte rapidement à tout type de stimulus.
P. Possède un champ récepteur de grande taille. (grande ou petite taille)
Une lésion de l'hémi-moelle cervicale droite provoque : لماذا نحن هنا
A. Donne une atteinte de la sensibilité proprioceptive de l'hémicorps droit.
B. Donne une atteinte de la sensibilité tactile de l'hémicorps gauche.
(La sensibilité tactile et proprioceptive passe par la corne postérieure
HOMOLATÉRALE de la ME, donc une atteinte de l'hémi moelle va entraîner une
atteinte de cette sensibilité bilatéralement)
C. Donne une atteinte de la sensibilité thermique de l'hémicorps droit.
D. Donne une atteinte de la sensibilité algique de l'hémicorps gauche.
(La sensibilité thermoalgique empreinte le cordon antéro latéral
CONTROLATÉRAL à la ME, donc une atteinte de l'hémi moelle va entraîner une
atteinte de cette sensibilité controlatéralement)
E. Donne un syndrome pyramidal droit
Le système lemniscal :
A. Transmet les messages tactiles et proprioceptifs.
B. Transmet la sensibilité douloureuse et thermique. ( extralemniscal )
C. Véhicule les sensibilités algique et thermique
D. Transfert la douleur, la température, le tact grossier
E. Transmet l’information vers le bulbe par le cordon antéro-latéral
homolatéral.
F. Permet de transmettre l'information vers le bulbe par le cordon latéral
de la moelle
G. Permet de transmettre l'information vers le bulbe par le cordon
postérieur homolatéral
H. Correspond au système des cordons antéro-latéraux.
I. Constitué d’axones qui empruntent le cordon antéro-latéral homolatéral
(Empruntent le cordon postérieur homolatéral)
J. Constitué d’axones qui croisent la ligne médiane au niveau médullaire.
(croisent la ligne médiane au niveau bulbaire)
K. Constitué de fibres nerveuses qui croisent la ligne médiane à chaque
niveau de la moelle épinière. (système extralemniscal)
L. Se projette sur le thalamus controlatéral.
M. Se projette sur le thalamus homolatéral
N. Se termine=se projette sur le cortex somesthésique (cortexe pariétal)
controlatéral
Concernant la sensibilité douloureuse :
A. La sensibilité douloureuse est transmise par le système extralemniscal.
B. La sensibilité douloureuse est transmise par le système lemniscal.
C. Un stimulus douloureux est à l’origine du réflexe ipsilatéral de flexion.
D. Un stimulus douloureux est à l’origine du réflexe myotatique inverse.
E. Une stimulation des fibres constituant le système lemniscal augmente la
perception de la douleur.
F. Une stimulation des fibres constituant le système lemniscal diminue la
perception de la douleur.
G. Le système lemniscal exerce un effet excitateur sur la transmission des
messages douloureux vers le cortex cérébral.
H. Un stimulus douloureux est à l’origine du réflexe ipsilatéral de flexion
donnant une flexion du membre stimulé (une extension contralateral du
membre stimulé)
I. La stimulation du système spinothalamique augmente la perception de la
douleur. (transmet la douleur et la température)
J. La stimulation du système spinothalamique bloque la transmission de la
douleur.
K. La stimulation/L’activation de la substance réticulée du tronc cérébral (=
noyau du raphé) inhibe la transmission de l’influx douloureux.
L. Les fibres transmettant cette sensibilité se projettent sur le thalamus
controlatéral.
M. Le faisceau spino-thalamique ventral transporte la sensibilité
protopathique dont l’excès de stimulation donne une sensation
douloureuse profonde
Le faisceau spinothalamique :
A. Transmet la sensibilité proprioceptive
B. Transmet la sensibilité thermique et allergique
C. est constitué des fibres nerveuses qui croisent la ligne médiane à chaque
niveau de la moelle épinière
D. Croise la ligne médiane au niveau de la moelle épinière
E. Se projette sur le thalamus homolatéral (controlatéral)
F. Se projette sur le cortex pariétal homolatéral
Le système extralemniscal :
A. Transmet les messages tactiles et proprioceptifs.
B. Transmet la sensibilité douloureuse et thermique.
C. Transmet l’information vers le bulbe par le cordon antérolatéral
homolatéral.
D. Transmet l’information vers le bulbe par le cordon antérolatéral
controlatéral.
E. Est constitué d’axones dont les corps cellulaires sont situés dans la corne
ventrale de la moelle. (corne dorsale)
F. Croise la ligne médiane à chaque niveau de la moelle épinière.
G. Se projette sur le thalamus homolatéral.
H. Se projette sur le thalamus controlatéral.
Physiologie du système nerveux végétatif
La gustation :
A. est peu développé chez l'homme (Assez développée chez l’homme :
omnivore)
B. Connaît 3 goûts de base.
C. Connaît 5 goûts de base.(le sucré, l'acide, l'amer, le salé et l'umami)
D. A une relation étroite avec l’olfaction.
E. Peut être altéré par des substances chimiques.
F. Peut être altéré par certains aliments.
G. Se caractérise par son adaptation presque complète à un stimulus
H. La region de cortex responsable est le gyrus post central homolatéral
L'olfaction :
A. est très développée chez l’homme.
B. est peu développée chez l'homme (importante socialisation)
C. Connait 3 odeurs de base.
D. Il existe 5 odeurs de base (Il ne semble pas exister d’odeurs de base)
E. Le cortex responsable est au niveau pariétal.
F. Le cortex responsable est le cortex pyriforme et orbitofrontale
G. Les récepteurs olfactifs sont constitués par des neurones bipolaires
situés au niveau de l’épithélium olfactif.
H. La dépolarisation du neurone olfactif se fait grâce à l'ouverture des
canaux de chlore
I. La sensibilité olfactive est meilleure chez les hommes.(chez les femmes)
J. La sensibilité olfactive diminue au cours de la grossesse.
(augmentation de la sensibilité olfactive et gustative au cours de la grossesse)
K. Connaît un changement de sensibilité au cours du cycle menstruel.
La vision :
A. La vision est un sens très développé chez l’homme.
B. La Fovéa est le point d’émergence du nerf optique.(tache aveugle)
C. La fovéa est une partie de la rétine constituée de cônes uniquement et
responsable d’une grande perception visuelle
D. Les cônes interviennent dans la vision acromatique. (la vision des détails
et des couleurs)
E. Les bâtonnets interviennent dans la vision chromatique. (la vision
achromatique et globale)
F. Le chiasma optique reçoit des informations des champs nasaux.
G. Le chiasma optique reçoit des informations des champs temporaux.
H. Bandelettes optiques: informations venant des hémichamps
controlatéraux
I. La bandelette optique se termine sur le corps genouillé latéral
J. L’image visuelle est inversée sur la rétine.
Le système extrapyramidal
Le locus de Niger :
A. Est un noyau mésencéphalique qui contrôle le néostriatum.
B. Contrôle le néostriatum
C. Est un noyau diencéphalique
D. La partie compacte (LNc) contient les neurones dopaminergiques.
E. La partie compacte (LNc) contient les neurones gabaergiques.
F. La partie réticulaire (LNr) contient les neurones gabaergiques.
G. La partie réticulaire (LNr) contient les neurones dopaminergiques.
H. Contient les neurones dopaminergiques.
I. Son activité augmente avec le mouvement controlatéral.
J. Une perte neuronale à son niveau est responsable de la maladie
de Parkinson.
K. Est formé du pallidum interne et externe.
L. Est formé de globus pallidus interne et externe.
L'atteinte striale=du striatum peut donner :
A. Une chorée.
B. Une athétose.
C. Un ballisme.
D. Un syndrome parkinsonien.
E. Un syndrome pyramidal. (lésion médullaire)
Concernant le sommeil :
A. Pour un individu donné, la durée du sommeil par nuit augmente avec
l’âge. (diminue)
B. Il a un rôle essentiel de récupération pour notre organisme.
C. Il occupe le ⅓ de la durée de notre vie.
D. Il occupe les 2∕3 de la durée de notre vie.
E. Le stade N3 constitue le sommeil paradoxal. (N3= sommeil profond)
F. Le stade 2 (N2) est caractérisé par les fuseaux de sommeil et les
complexes K.
G. Le sommeil lent se divise en 4 phases : N1=endormissement ,N2=léger,
N3+N4=profond
H. Il obéit à un rythme de type ultradien. (rythme circadien)
I. Le rythme veille sommeil est influencé par la dette de sommeil.
J. Ces différents stades sont définis uniquement par l’activité électrique
cérébrale (EEG). (EEG,EOG,EMG)
K. La consommation d’oxygène du cerveau diminue pendant le sommeil
paradoxal. (est maximale)
L. Le tonus est très diminué voir nul pendant le sommeil paradoxal.
M. On note des mouvements oculaires rapides pendant le sommeil
paradoxal.
N. Le sommeil lent se divise en 3 stades : N1, N2, N3. (N3 contient à son
tour 2 stades)
O. Le sommeil lent est retrouvé surtout lors de la première partie de la nuit.
P. Le sommeil lent est retrouvé surtout lors de la première moitié de la
nuit.
Q. Le tracé EEG du sommeil paradoxal ressemble à celui de l’éveil.
(oui, "paradoxalement")
R. Le stade 4 du sommeil lent s’accompagne de mouvements oculaires
rapides. (sommeil paradoxal)
S. Le tracé EEG se ralentit progressivement du stade 1 au stade 4.
T. Le sommeil paradoxal et lent léger est plus important en fin de nuit.
U. La phase du sommeil paradoxal prédomine lors de la deuxième partie de
la nuit.
V. La sécrétion de mélatonine en fin de journée induit le sommeil (par la
glande pinéale)
W. Il y a une sécrétion forte de mélatonine pendant le sommeil et faible
durant le jour
X. La baisse de la température corporelle en fin de journée induit le
sommeil.
Y. Le cycle veille sommeil est régulé par l’hypothalamus. (les noyaux
suprachiasmatiques à son niveau)
Z. La sécrétion de mélatonine favorise l’éveil. (cortisol, caféine, théophylline
le favorisent)
AA. Le sommeil paradoxal est régulé par le système parasympathique.
(sympathique: augmentation de la FC et FR pour paradoxal,
parasympathique pour sommeil lent)
BB. Dans le sommeil paradoxal, l’activité électrique corticale se ralentit
avec apparition d’ondes lentes de la bande delta. (c'est le sommeil lent
profond) (pour le paradoxal, on a une accélération de cette activité)
Concernant la mémoire :
A. La mémoire de travail est une mémoire à court terme.
B. La première étape de la mémorisation est le stockage.
C. La deuxième étape de la mémorisation est l'encodage.
D. Étapes par ordre sont Encodage - stockage - remémoration/restitution
E. la mémoire à long terme repose anatomiquement sur le circuit de Papez
F. Une lésion du circuit de Papez empêche l’apprentissage.
G. Une lésion du circuit de Papez épargne les souvenirs anciens.
La mémoire à court terme :
A. Est la mémoire sensorielle.
B. Est également appelée mémoire immédiate. (= de travail, primaire,
courte)
C. Permet de garder l'information pendant 1 à 2 heures (1 à 2 minute)
D. Est une mémoire très brève d’environ 200 à 300 millisecondes.
(mémoire sensorielle)
E. Temps de rémanence très bref
F. Est très dépendante de l’attention portée aux stimuli.
G. Est une mémoire de capacité illimitée. (capacité limitée et stockage
temporaire)
H. Capable de stocker et aussi de manipuler les informations
I. Elle est mesurée par la quantité d’items que peut retenir un sujet après
une présentation unique d’une série d’informations.
J. Permet la conservation durable des informations.
K. Permet la conservation temporaire des informations.
L. Est testée par l’empan auditif.
M. Est un passage obligé vers la mémoire à long terme.
N. La mémoire à court terme ne constitue pas un passage obligé vers la
mémoire à long terme, les deux systèmes pouvant fonctionner « en
parallèle », les informations pourraient passer d’emblée dans la mémoire
à long terme
La mémoire à long terme :
A. Constitue la mémoire sensorielle
B. Comporte la mémoire secondaire et tertiaire
C. La mémoire déclarative (explicite) est un élément de cette mémoire
D. La mémoire procédurale (implicite) est un élément de cette mémoire
E. Dépend anatomiquement sur le circuit de papez
La mémoire déclarative :
A. Est une mémoire à court terme.
B. Est une mémoire à long terme.
C. Est une mémoire explicite.
D. Est une mémoire implicite. (mémoire procédurale)
E. Est une mémoire des souvenirs conscients.
F. Est sollicitée par les activités courantes et inconscientes.
(mémoire procédurale)
Physiologie du cervelet et des voies cérébelleuses
Le cervelet :
A. Est rattaché au tronc cérébral par trois paires de pédoncules cérébelleux
antérieur, moyen et postérieur.
B. Est rattaché au tronc cérébral par trois paires de pédoncules cérébelleux
inférieur, moyen et supérieur.
C. Est rattaché au bulbe par les pédoncules cérébelleux inférieur.
D. Est rattaché à la protubérance par les pédoncules cérébelleux supérieur.
E. Est rattaché à la protubérance par les pédoncules cérébelleux moyens.
F. Est rattaché au mésencéphale par les pédoncules cérébelleux supérieurs.
G. Est formé de 3 lobes (flocculonodulaire, supérieur et inférieur)
H. Est formé de 3 lobes (flocculonodulaire, antérieur et postérieur)
I. Comporte 3 paires de noyaux (fastigiaux=du faite, interposés(globuleux
et emboliformes), dentelés).
J. Comporte 3 couches (moléculaire, couche des cellules pyramidales,
couche granulaire)
K. Comporte 3 couches (moléculaire, couche des cellules de Purkinje,
couche granulaire)
L. 3 faces (Ant, Sup, Inf),
M. 3 zones (Vermis cérébelleux, région paravermienne, hémisphères
cérébelleux)
N. 3 parties (archéocervelet=vestibulo cervelet, spino
cervelet=paléocervelet et néocervelet)
O. Il est situé dans la fosse postérieure en avant du tronc cérébral.
P. Il est situé dans la fosse postérieure en arrière du tronc cérébral.
(fermée par tente du cervelet)
Q. C’est un centre régulateur de la fonction sensitive.
R. C’est un centre régulateur de la fonction motrice.
S. Il donne aux programmes du mouvement une organisation
chronologique.
T. Il donne aux programmes du mouvement une organisation
somatotopique. (organisation temporo-spatiale)
Le cervelet : (suite)
A. Il assure la régulation des activités musculaires du mouvement
involontaire.
B. Il assure la régulation des activités musculaires du mouvement
volontaire global.
C. Il assure la régulation des activités musculaires toniques de la posture.
D. Il assure la régulation des activités musculaires toniques du maintien de
l'équilibre.
E. Les hémisphères cérébelleux ont un contrôle controlatéral de la
motricité.
F. Les hémisphères cérébelleux ont un contrôle homolatéral de la
motricité.
G. L'hémisphère cérébelleux droit contrôle la motricité de l'hémicorps droit.
H. L'hémisphère cérébelleux gauche contrôle la motricité de l'hémicorps
gauche.
I. Le lobe flocculonodulaire contrôle les noyaux vestibulaires.
J. Le spino cervelet répond aux régions vermienne et paravermienne.
K. Archéocervelet répond au lobe noduloflocculaire.
L. Néocervelet répond aux hémisphères cérébelleux.
M. Les afférences et les efférences empruntent uniquement les pédoncules
cérébelleux supérieurs.
N. Les afférences et les efférences empruntent uniquement le pédoncule
cérébelleux moyen.
O. Les afférences et les efférences empruntent les 3 paires pédoncules
cérébelleux. (inf-sup-moy)
P. Les afférences projettent directement sur le cortex cérébelleux.
Q. Les afférences projettent d’abord sur les noyaux du cervelet puis le
cortex cérébelleux.
R. Les afférences ne donnent pas de collatérales aux noyaux cérébelleux.
S. Les afférences donnent de collatérales aux noyaux cérébelleux.
T. Les afférences proviennent du tronc cérébral, du cortex cérébral et de la
moelle.
U. Les afférences sont constituées par les fibres moussues et les fibres
grimpantes.
Le cervelet : (suite)
A. Les fibres grimpantes ont une action excitatrice puissante sur les cellules
de Purkinje.
B. Les fibres moussues ont une action excitatrice puissante sur les cellules
de Purkinje.
C. Les fibres moussues ont une action excitatrice puissante sur les cellules
granuleuses. (et le noyau de sortie par des collatérales)
D. Les fibres grimpantes proviennent exclusivement de l'olive inférieure.
E. Les projections cortico-nucléaires (les neurones) du vermis vont vers les
noyaux fastigiaux=noyau du faîte
F. Les projections cortico-nucléaires du vermis se font vers les noyaux
interposés.
G. Les projections cortico-nucléaires (les neurones) des hémisphères
cérébelleux se font vers les noyaux interposés.
H. Les projections cortico-nucléaires (les neurones) des hémisphères
cérébelleux projettent sur le noyau dentelé.
I. Les projections cortico-nucléaires des hémisphères cérébelleux
projettent sur le noyau fastigial
J. Les projections cortico-nucléaires (les neurones) des régions
paravermiennes projettent sur le noyau interposé.
K. Toutes les projections cortico nucléaires projettent sur les noyaux
(dentelé, interposé et fastigial)
L. Toutes les projections cortico-nucléaires projettent sur le noyau dentelé.
M. Toutes les projections cortico nucléaires projettent sur les noyaux du TC.
N. Reçoit des informations proprioceptives directement de la ME.
O. Reçoit des informations motrices de la ME.
P. Reçoit des informations proprioceptives des NGC
Q. Reçoit des informations visuelles et vestibulaires.
R. Reçoit des informations de la plupart des NGC.
S. Reçoit des informations des noyaux du TC.
T. Reçoit les afférences du TC, du cortex et de la moelle.
U. Reçoit les afférences uniquement de la ME.
Parmis les couches qui constituent le cortex cérébelleux, on trouve:
A. La couche moléculaire.
B. La couche pyramidale interne.
C. La couche granulaire.
D. La couche des cellules de Purkinje.
E. La couche pyramidale externe.