Surdoués:: S'intégrer Et S'épanouir Dans Le Monde Du Travail
Surdoués:: S'intégrer Et S'épanouir Dans Le Monde Du Travail
Surdoués:: S'intégrer Et S'épanouir Dans Le Monde Du Travail
Surdoués :
s’intégrer et s’épanouir
dans le monde du travail
Jean
Cindy Carole
Julie
Olivier Pierre
MOI
Louisa
Marion
Simon
Ryan
Maya Issa
Hélène
Kevin
Sophie
Élodie
Farid
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INTRODUCTION. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
7
Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
L’idéalisme et le perfectionnisme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
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Sommaire
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
BIBLIOGRAPHIE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
Articles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 229
Livres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 232
Sites . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233
REMERCIEMENTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 235
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INTRODUCTION
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
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Chapitre 1
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
C’est souvent à leurs seules productions que l’on identifie les surdoués,
alors qu’ils sont d’abord intériorisation et ressentis :
1. La roche tarpéienne, rocher élevé, était dans la Rome antique le lieu d’exécutions capi-
tales : de son sommet étaient précipités les criminels, mais aussi ceux qui souffraient
d’une déficience mentale ou physique importante car on les croyait maudits des dieux
(source Wikipedia).
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Pourquoi parler des surdoués dans le monde du travail ?
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
«tendre
Ils sont des Clio, là où moi je suis une Porsche. Je ne dois pas m’at-
(espérer) à ce qu’ils arrivent à me suivre sur un circuit. »
Le Loup
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Pourquoi parler des surdoués dans le monde du travail ?
17
Chapitre 2
« Le talent est une force, pas un outil. Le talent n’est ni bon, ni mauvais.
Être doué de plusieurs talents est en fait un cadeau ambigu.
Pour certains, c’est un fléau. »
Hank Pfeffer, Mega Society
L’Université Vanderbilt mène depuis 1970 une étude longitudinale sur un
peu plus de 1 000 « mathématiciens précoces ». Quarante ans plus tard,
les données collectées sur leur évolution dressent le portrait général de
personnes très bien intégrées et même, parfois, éminentes profession-
nellement. Ce portrait, qui va si bien dans le sens de ce que les journaux
aiment publier, ne s’applique cependant pas à tous les surdoués, même
identifiés dans l’enfance.
Pour nombre de surdoués, le décalage ressenti à l’école ne s’efface pas à
l’entrée dans le monde du travail qui est loin d’être une sinécure. Il s’aggrave
même parfois, surtout pour ceux dont le cursus académique ne permet pas
de mettre pleinement à profit leur intelligence. De plus, outre que nombreux
sont encore les surdoués adultes à ne rien connaître de leurs spécificités,
la reconnaissance du surdon en entreprise est quelque peu balbutiante.
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
1. Mensa Pays de Loire, Intelligence Day 2014, « HPI et monde du travail », vidéo disponible
sur YouTube.
2. Deloitte, « Les grandes tendances RH 2014 ».
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Le surdoué est-il soluble dans l’entreprise ?
« J’ai pris un poste dans la première SSII venue, située pas trop loin
en bus. »
Alex
«gré, J’aimême
connu des changements à répétition, pas toujours de mon plein
si souvent, quand même, c’est moi qui partais. Je n’ai aucune
patience avec la médiocrité, l’amélioration lente, la construction sur le
long terme… »
Armelle
« Je dénombre dans mon parcours une dizaine de métiers, sans parler
des déclinaisons. Dans 80 % des cas, j’ai été à l’initiative du départ, ce
qui ne s’est pas fait sans difficulté par rapport à mon entourage. Lorsque
je ne pouvais changer pour des raisons alimentaires, j’étais plutôt mal-
heureux. La vérité est que je m’ennuie vite quand je m’installe dans
une routine. »
Ajar
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
«peur.
Je n’ai jamais changé de travail, parce que le changement me fait
»
Jean-Marie
«de Jestimulation
suis une habituée des changements à répétition. J’ai un fort besoin
et de nouveaux horizons. J’ai changé de ville 3 fois, dont
un changement de pays. Et j’espère bien continuer. »
Maude Labrume
« J’ai changé 6 fois en 12 ans. Je change tous les ans (cycle court)
ou 2 ans et demi (cycle long). Là, je suis depuis 7 ans dans le même
boulot, mais j’ai bien évolué au fil du temps et j’ai eu un an de congé
formation. »
Antoine
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Le surdoué est-il soluble dans l’entreprise ?
La lettre de candidature
Une candidature commence par être évaluée sur la base d’un CV, quel que
soit le candidat, mais en cas de refus, ce que retiendra le surdoué évincé,
c’est qu’une fois de plus il ne convient pas, ce qui le renverra à une situation
de rejet bien connue.
Il faut se rappeler qu’un recruteur a besoin d’être rassuré et de comprendre.
Alors pourquoi la candidature d’un surdoué pourrait-elle l’effrayer et
l’inciter à ne pas la retenir ?
Les motifs du rejet sont de deux ordres :
•• Les compétences demandées sont bien là, mais les expériences
passées font apparaître un candidat surqualifié, ou au potentiel
trop important pour ce que le poste peut offrir (« il/elle va s’en-
nuyer »).
Soit l’historique est assez déroutant au vu du « trop » grand nombre
de postes occupés et d’entreprises par lesquelles le surdoué est déjà
passé… Soit, par souci de précision, aucun détail n’est omis, d’où
une carrière très riche, et le recruteur a encore plus besoin d’être
rassuré.
« Il y a des recruteurs qui disent que ce n’est juste pas possible d’avoir
fait autant de choses […]. Ils pensent à une imposture […] Souvent, les
hauts potentiels ne sont pas très rassurants […], leur hypersensibilité les
rend trop intenses pour leur interlocuteur. […] Sans rien dire, ils peuvent
faire peur. Le recruteur peut se dire “celui-là va prendre ma place dans
6 mois” ou “celui-là va s’ennuyer dans 3 mois et va partir”. Et il n’arrive
pas à visualiser le candidat avec le reste de son équipe. »
Gaud Leroux, « HPI et monde du travail »,
Intelligence Day Mensa Pays de Loire 2014
61
Chapitre 3
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
«qu’eux.
Ils sont jaloux ! Ils voient bien que je suis plus rapide, plus “aware”
Ils n’arrivent pas à me mettre dans les cases. »
Le Loup
« Le plus dur est d’être attaqué ou critiqué sans avoir la moindre idée
de ce que j’ai fait de “mal”. Jalousie, obséquiosité, hypocrisie, etc. Quand
on a soi-même un très fort sens moral, éthique, de justice, il est dif-
ficile d’imaginer que quelqu’un puisse faire volontairement du mal à
»
autrui.
Jean-Marie
«mousser.
Les collègues te considèrent comme un arriviste qui veut se faire
Déjà, tu n’es pas assez sociable et tu ne t’habilles pas comme
il faut. Mais surtout tu dévisages les gens avec un regard qui les met mal
à l’aise, en utilisant un langage que personne ne comprend. Mets-toi
au niveau de ton public. Il faut que tu acceptes de mal travailler. J’en
suis tombé malade. »
Florian
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Quand la crise survient
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Chapitre 4
ENTREPRISE ET SURDOUÉ :
LE GRAND MALENTENDU ?
DÉCRYPTAGE
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
Une entreprise est une communauté avec sa constitution (statuts), ses lois
(règlement intérieur), sa hiérarchie, sa culture (valeurs, normes, symboles,
rituels, règles qui en font l’identité). L’objectif de l’entreprise est de fournir
des biens ou des services en faisant du profit. Cet excédent lui permet de se
développer et de mettre en œuvre sa stratégie. Et, pour construire cet ave-
nir, elle recrute des compétences et des expertises (ressources humaines)
et les mobilise.
À partir de la fin du XVIIIe siècle, avec l’apparition de la mécanisation
et de la vapeur, la révolution industrielle a introduit la concentration
humaine, la production en série, la recherche de l’utilité matérielle et de
la rentabilité. Avec Adam Smith, le travail a été divisé rationnellement en
tâches élémentaires, parcellaires et répétitives ; Ford, Taylor, Toyota, à la
conquête du monde économique, ont à leur tour introduit la maîtrise des
coûts pour tendre vers des profits maximaux.
À peine la mondialisation achevée, l’intrusion des problématiques d’infor-
mations, d’énergie et de pénurie des matières premières ont exacerbé la
concurrence, fragilisé les monopoles, accéléré les changements, complexi-
fié les environnements. La main-d’œuvre est devenue une simple variable
d’ajustement.
En France, sur 3 millions d’entreprises, 243 emploient 30 % de la popu-
lation active1. On constate que, comme au XIXe siècle, l’entreprise d’au-
jourd’hui recrute et continue de gérer ses ressources humaines comme des
ressources matérielles. Les besoins en ressources humaines s’expriment
désormais en termes de capacités de production. Dans le même temps,
pour s’inscrire dans une dynamique compétitive, la cohésion de groupe,
la capacité d’innovation, d’apprentissage, etc., doivent être préservées.
À quoi s’attache une entreprise lorsqu’elle recrute ? À l’adéquation des
compétences du collaborateur à embaucher avec le poste à tenir bien sûr,
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Entreprise et surdoué : le grand malentendu ? Décryptage
mais plus encore, elle va attendre avant tout de lui à savoir vivre avec les
autres autour de valeurs communes. Si le futur collaborateur fait montre
d’autres qualités, cela n’en sera que mieux. Mais, au fond, on ne le lui
demande pas vraiment.
Dans une PME, l’accent sera mis sur la polyvalence et l’adaptabilité, qui
impliquent réactivité et créativité. Disposant de moins de moyens qu’une
grande société, elle valorisera la débrouillardise et permettra à ses colla-
borateurs de prendre des initiatives.
Dans une grande structure (société ou administration), les rôles de chacun
sont plus précisément définis et on attend d’abord des collaborateurs qu’ils
soient capables de rentrer dans les rangs. Maîtriser les règles du marketing
personnel, qui permet d’affronter la concurrence interne et de faciliter la
progression dans l’entreprise, est un plus. L’adhésion des salariés à l’« esprit
maison » est un gage d’implication, de motivation et de performance.
Elle est aussi un vecteur de fidélisation, car elle diminue le turnover et
développe un sentiment d’appartenance au groupe.
On voit bien aujourd’hui que les recrutements privilégient souvent le mode
de l’appartenance et du clonage, les compétences passant au second plan, le
risque pour l’entreprise étant alors de s’appauvrir intellectuellement et de
perdre sa capacité d’innovation et de développement. Toutefois, sans ces
qualités de sociabilité qui préservent la cohérence de l’action, l’entreprise
perdrait beaucoup d’énergie à s’organiser au quotidien et aurait peu de
chances de se développer.
Le monde de l’entreprise présente de nombreuses similitudes avec celui
d’un champ de bataille, lieu d’affrontement entre temps courts et temps
longs : la stratégie relève du temps long, quand l’action relève du temps
court. Pour agir dans un temps court, une cohérence de l’action est néces-
saire.
Les managers sont rarement formés à leur rôle de commandement : ni à
l’école, ni par l’entreprise. On devient manager grâce à ses compétences
techniques ou à son sens politique personnel, au moins dans les plus
grosses organisations, alors que le verbe « manager » signifie « ménager
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
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Entreprise et surdoué : le grand malentendu ? Décryptage
Si acquérir des compétences revêt pour lui un très grand intérêt, le surdoué
doit d’abord impérativement s’attacher à mettre en adéquation ses valeurs
et ses besoins, mais aussi choisir un environnement qui lui convient, avant
d’intégrer le monde professionnel. Ignorer de tels « détails » peut en effet
avoir de graves conséquences.
143
Chapitre 5
POUR LA ROUTE…
Il serait bien sûr réducteur de conclure, après la lecture des chapitres pré-
cédents, que ne pas être « trop » surdoué et avoir suivi des études poussées
augmentent les chances de s’en sortir professionnellement. Mieux vaut
plutôt savoir où on en est vraiment et ce que l’on veut pour mieux s’épa-
nouir au travail : valeurs, besoins, type d’environnement.
Mais que faire quand on est « très » surdoué et que l’on souffre, quand
son parcours professionnel est déjà bien engagé ou presque terminé avec
l’impression de l’avoir raté ? Changer d’emploi ? Facile à dire quand on
sait que certains environnements sont définitivement toxiques pour les
surdoués et que changer d’emploi ne se fait pas sur un claquement de doigt.
Les pistes que je présente ici ne sont pas forcément adaptées à votre situa-
tion professionnelle et/ou personnelle. Il est en effet des traumatismes
d’enfance qui faussent durablement la vision que l’on peut avoir de soi et
des autres et qui ont un impact sur la vie professionnelle. Certes, le temps
passé n’est plus rattrapable. Mais il n’est jamais trop tard pour vous réo-
rienter et apprécier de vivre mieux.
Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’idée que vous pourriez être surdoué, rap-
pelez-vous que ce n’est pas une tare, juste un mode de fonctionnement
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
qui consiste à vivre de façon plus intense : accepter d’être surdoué change
vraiment la vie, car celle-ci s’appuie enfin sur des bases assainies.
Ce changement ne se fera pas en un claquement de doigts, mais sur la
durée. En fin de compte, être surdoué, c’est avant tout travailler sur des
questions de forme : respecter certaines formes pour mieux préserver
le fond (ses valeurs, ses besoins). Certes, cela vous demandera un peu
d’efforts, mais c’est parfaitement jouable et pourrait même vous paraître
plus intéressant que bien des jeux de stratégie !
Commencez d’abord par apprendre, comprendre et intégrer l’impor-
tance de vous savoir surdoué : tout remettre en perspective fait changer
de point de vue et gagner en sérénité. Ensuite, travaillez sur vos relations
interpersonnelles : apprenez tout particulièrement à utiliser le marketing
personnel pour mieux vous faire comprendre des autres, mais aussi à
veiller sur votre santé.
Accepter le surdon
Quand la détection du surdon n’a pas été établie dans l’enfance, c’est en
général par accident qu’on le découvre à l’âge adulte. C’est ce qui s’est
passé pour moi en 2002.
Passer un test de QI est une épreuve à laquelle un surdoué se soumet la
peur au ventre, souvent au plus fort d’une crise d’identité qui s’accom-
pagne d’effets collatéraux, dont parfois une dépression. Le danger est là :
dépression et médicaments ralentissent l’esprit, la très faible estime de soi
augmente l’anxiété, laquelle, associée à la fatigue, exacerbe la sensibilité
et la vigilance. Ces éléments se combinent pour fausser les résultats, au
risque de faire passer sous le radar de l’identification du surdon : deux
témoins participant à ce livre ont ainsi obtenu des résultats de test de QI
qui n’étaient pas probants. L’un en a vu sa dépression aggravée et ressenti
avec plus d’acuité encore le questionnement « Où est ma place ? ».
En fait, ce n’est pas tant l’estampille officielle qui importe que l’accep-
tation de votre mode de fonctionnement singulier. Ce dernier est juste
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Pour la route…
« Un jour, il faut accepter le fait qu’on est mieux armé que les autres
et que c’est normal qu’ils ne voient pas autant de choses que nous. On
ne se demande pas pourquoi une personne de petite taille ne voit pas
»
la boîte sur l’étagère tout en haut… Si ?
Armelle
«surdoué.
Finalement, je ne suis pas sociopathe, je serais plutôt bêtement
»
Myl
Avez-vous noté combien, dans la plupart des histoires, les superhéros sont
gentils et passent pourtant plus de temps à cacher leur identité qu’à être
eux-mêmes ? C’est vrai que c’est un peu ainsi qu’il faut envisager de vivre
quand on se sait surdoué : en restant vigilant.
Pourtant, il n’y a aucun avantage à refuser de considérer qu’on est surdoué,
aucun bénéfice à le nier, au contraire :
•• Même si le surdon semble effrayant, non seulement parce qu’on
garde en tête tous les discours disqualifiants à l’égard des surdoués,
mais parce qu’on se met également aussitôt la pression en se disant
que, si on l’est vraiment, alors il va falloir en faire la preuve.
•• Même s’il semble stupide de devoir l’envisager parce qu’« on n’est
vraiment pas un génie » et/ou qu’« on n’est pas bon en maths » – on
a souvent tendance à confondre réussite académique et sociale avec
intelligence.
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Surdoués : s’intégrer et s’épanouir dans le monde du travail
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Pour la route…
•• Bien sûr, on n’est jamais sûr de faire les « bonnes » rencontres quand
on se sait surdoué, mais on apprend en tout cas à éviter les ren-
contres toxiques et, surtout, à être plus ouvert lors des « bonnes »
rencontres. On apprend également à faire de meilleurs choix en
connaissance de cause, on perd moins de temps, d’énergie, de forces
et d’espoir.
« Cela m’a apaisé et m’a ouvert tout un champ de possibles pour l’équi-
libre et l’harmonie. Une sorte de carte du territoire, avec plusieurs che-
mins tortueux. C’est bête, mais je m’échinais depuis des années à tracer
des chemins de fonctionnement émotionnel, logique, etc., tout droit.
Et je me perdais sans cesse. Il me reste à comprendre la totalité de ma
carte, mais ça avance bien, et c’est un vrai plaisir vu les difficultés et le
surplace des années précédentes. »
Antoine
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Surdoués :
s’intégrer et s’épanouir
dans le monde du travail
ISBN 978-2-311-62158-7
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