Fascicule TP MDF 2018 - 2019
Fascicule TP MDF 2018 - 2019
Fascicule TP MDF 2018 - 2019
FASCICULE
DES TRAVAUX
PRATIQUES
MDF
10, Avenue Hacène - Badi BP182 El-Harrach 16200 ALGER
Sommaire
N° 5: Cuve de Reynolds
2
TP No 1
FORCE DE PRESSION SUR
UNE PAROI PLANE
TP No 1 : Force de pression sur une paroi plane
D’où F ρ g zG S A
z B
y x
La poussée exercée sur une dF
paroi plane par un fluide pesant équilibré est égal au poids de la colonne de fluide ayant pour
base la surface de la paroi est pour hauteur la profondeur du centre de gravité de la surface au
dessous de la surface libre.
x P F x dF x ρ g z (1)
dS
A A
B B
xPFxP dF x ρ g z
P
(2)
dS
A A
z x sin α
B B
x
2
dS
d’où : x A
B
P
x dS
A
B
Ioy A
B
x dS x
A
G S : Moment statique de la paroi AB par rapport à l’axe oy
D’où : Ioy
x
P
xG S
Ioy S x2
IGy G
I Gy : Moment d’inertie de la surface S, par rapport à l’axe parallèle à Oy qui passe par le centre
de gravité de cette surface.
IGy S x 2 IGy
x G x et Z sin α
P
x
G P P
xGS x GS
I.3DESCRIPTION DU MONTAGE
L’appareil est constitué d’un quart d’anneau de section rectangulaire (paroi verticale) usiné avec
précision fixé à un fléau pivotant sur une lame couteau fine. Celui-ci comporte un contre poids
pour le remettre en équilibre (horizontale).
La ligne de contact de la lame coïncide avec l’axe du quart de l’anneau, de ce fait les forces
hydrostatiques agissant sur la paroi immergée de part et d’autre de l’anneau s’annulent (leur
moment aussi). Seule la force s’exerçant sur la paroi plane rectangulaire donne lieu à un
mouvement autour de l’axe de rotation du fléau. Celui-ci comporte un plateau destiné à recevoir
des masses d’équilibrage de la force hydrostatique. La hauteur d’eau est mesurée à l’aide d’une
règle collée sur la paroi.
Le réservoir peut être ramené à un niveau horizontal en agissant sur les pieds réglables sur
lesquels repose celui-ci. Pour la manipulation, on verse de l’eau par le haut et le réglage de
l’équilibre du système se fait en évacuant une partie de cette eau par la vanne de vidange.
Avant de commencer la manipulation il faudra mesurer le bras du contre poids (L) à l’aide
d’une règle, la largeur b et la hauteur h de la paroi rectangulaire sur laquelle est appliquée la
force de pression.
Pour procéder à la manipulation ajuster l’appareil pour qu’il soit horizontal, remplir le
réservoir d’eau jusqu’à ce que le niveau de la surface libre affleure le bas du corps curviligne.
On appelle Za, la côte entre ce niveau et l’axe d’articulation.
Remplir doucement le réservoir, chaque fois que l’on ajoute une quantité d’eau, on constate que
le corps contre balance dans le sens inverse de l’application de la force.
Rééquilibrer le système en accrochant des masses dans le plateau d’équilibrage.
Noter la masse ajoutée et la côte du niveau Z0 (la côte d’un point i compté à partir du plan
de référence sera noté Zi ?et la profondeur comptée à partir de la surface libre sera notée yi).
I.5RESULTATS
1. Dresser le tableau : hauteur mouillée Z0, surface mouillée S, côte de la surface libre Z01, côte de
l’axe de l’articulation Za, profondeur du centre de gravité ZG, moment d’inertie de la paroi IG,
bras du contre poids Lg, contre poids G, force de pression F, moment hydraulique MF,
profondeur du centre de poussée ZP, bras de la force de pression Lp et l’erreur relative
Mth MG
ε M th
Nombre d'expérience :
10 avec Z0< h
10 avec Z0> h
A. Cas où Z0< h
m
a) Remplir le tableau Z0,
Z 02
b) Représenter m
en fonction de Z0
Z 02
c) Calculer la pente de cette droite ainsi que son ordonnée à l'origine qui d'après la relation :
m g L ρ g GZ b 0Z aZ 0Z Z
p
1 Z0 1
mL ρbZ : Avec, Z Z Z doivent être égales à :
0 Z 0 p
0 3 3
0
2
ρb ρb
Z et respectivement pente et ordonnée à l'origine de la courbe.
a
6L 2L
B. Cas où Z0> h
h
a) Remplir le tableau Z Z 1 m
G 0 ;Z
: ; Z G G
2
b) Représenter : m 1
en fonction de
ZG ZG
c) Calculer la pente de cette droite ainsi que son ordonnée à l'origine qui doivent
valoir respectivement:
ρ b h3 ρ b h h
12 L et Za
L 2:
L g ZG
D'après la relation m g a
ρ
b h Z Z01 Zp
h 2
m LG ρ ZG b hZa h
2 12 ZG
d) Retrouver la relation théorique de cette droite.
3. Conclusion
TP NO 2
Equilibre des Corps
Flottants
TP No 2 : Equilibre des Corps Flottants
II.2 THEORIE
a) Définitions
a-1) Flotteur : C’est un solide de forme quelconque généralement fermé en équilibre dans un
liquide.
a-2) Carène : C’est le volume immergé du flotteur ou la structure extérieure en contact avec le
fluide.
a-3) Déplacement : C’est le produit de la carène par le poids volumique du liquide.
a-4) Métacentre : centre de poussée
Supposant que le flotteur se déplace en basculant d’un petit angle autour d’une droite OO’
et qu’on appelle l’axe d’inclinaison, il prend donc la position A1D1E1B1 qui représente le flotteur
après basculement, G1 est son centre de gravité. Le centre de carène C du premier équilibre,
considéré comme appartenant au flotteur, vient en C1 et la surface libre coupe le flotteur suivant
A’B’. C’ représente le centre de gravité de la carène délimitée par les points A’D1E1B’, qui est
aussi le point d’application de la poussée⃗𝐹⃗→′. On obtient ce point en faisant la médiane de l’arc
C1C’ tel que C1C’ est la courbe de déplacement
Le volume immergé qu’on appelle la carène s’est déformé d’ADEB en A’D1E1B’ dont le
centre de gravité est C’ qui constitue donc le nouveau centre de carène.
Le centre de carène considéré comme appartenant au flotteur s’est donc déplacé à l’intérieur du
flotteur suivant la courbe C1C’ qui est la courbe du déplacement du centre de carène.
Quant à la poussée, elle passe de 𝐹→ verticale passant par C1 à verticale passant par C’.
𝐹⃗
⃗→′
A1
OO’A BB’
A’
G C G1 C1 B1
D1
E
D
E1
F’
F1
G
r M
a
G1
C1
P
C’ C
x
X
M
P
M’
P
Entre les deux positions M et M’ du poids p, le flotteur s’incline d’un angle sous l’action
du couple px. La même inclinaison sans déplacement du poids P est provoquée par le couple
de redressement : P(r-a) .
Les deux couples sont égaux au signe près, soit : P(r-a)=px
D’où :
𝑟 − 𝑎 = 𝑃𝑥
𝑝𝛼
On peut ainsi déduire la distance métacentrique r-a de la mesure de p,X,P et .
La mesure de est effectuée à l’aide d’un fil de plomb accroché au mat du flotteur.
II.3 INSTALLATION
Mât
Masse coulissante
Fil de plomb
400 mm
Echelle angulaire
Masse réglable
Ponton
350 mm 200 mm
Déplacement Déplacement
à droite de la Angle r-a (mm) à gauche de Angle r-a (mm)
masse la masse
X(mm) X(mm)
TP NO 3
REACTION D’UN JET
C’est la mise en évidence et la mesure de la force d’impact d’un jet sur des obstacles fixés de
différentes formes :
Profil plan (angle 90°)
Profil conique (angle 120°)
Profil hémisphérique (angle 180°)
On appelle quantité de mouvement d’un point matériel de masse m se déplaçant suivant une
trajectoire T, le produit m V de la masse par la vitesse du déplacement.
La quantité de mouvement à la même direction que le vecteur de la vitesse dont elle est issue.
Soit F la résultante des forces qui agissent sur un système de points matériels entre les instants t
et t+dt, le principe fondamental de la dynamique conduit à :
dV
Fm (1)
dt
Qui peut aussi s’écrire sous la forme :
F Δt m ΔV (2)
Si l’on considère un tube de courant parcouru par un courant fluide de débit massique qm
pendant l’intervalle de temps t, la masse débitée est égale à : m qm Δt
L’expression (2) peut alors s’écrire de la manière suivante : F Δt qm Δt ΔV
Où : F qm ΔV
Cette expression vectorielle indique que la variation de la quantité de mouvement à laquelle est
soumise une masse entrant et sortant d'un volume de contrôle donnée est égale à l'action des
forces extérieures appliquées à la masse fluide :
F ext
ρ Q V2 V1
P R ρ Q V 2 V1
Avec, P : poids du liquide, R : Réaction de la plaque sur le jet, Q : Débit d'écoulement,
V1 : vitesse à l'entrée et V2 : vitesse à la sortie.
Appareil en plexiglas monté sur un banc hydraulique (voir figure), masses marquées de 5
g, 10 g, 20 g, 50 g, 100 g, de 3 profils ; plan, conique et hémisphérique et 01 chronomètre.
III.4 MANIPULATION
III.4.1 Canevas
Brancher l'appareil
Installer le profil à étudier
Régler l'horizontalité de l'appareil à l'aide de vis calantes disposées en bas de l'appareil en
plexiglas (en vérifiant le niveau).
Régler le niveau du plateau recevant les masses (plateau à vide) à l'aide de la jauge à
niveau.
Mettre une masse M sur le plateau, puis alimenter le circuit d'eau et régler le débit à l'aide
de la vanne du réservoir jusqu'à ce que le plateau revient à sa position initiale (équilibre).
A chaque masse correspondra un débit donné.
Faire une mesure volumétrique du débit à l'aide de la jauge volumétrique du réservoir et
du chronomètre.
Refaire la même mesure en augmentant la masse de 20 g à chaque fois jusqu'à l'obtention
du débit maximal.
Refaire le même canevas pour le deuxième et le troisième profil
III.4.2Mesure du débit
La mesure du débit se fait en utilisant la jauge volumétrique se trouvant sur le banc hydraulique.
a) Pour une masse M placée sur le plateau, régler le débit à l'aide de la vanne jusqu'à avoir
l'équilibre du système.
b) Attendre quelques minutes afin d'avoir un écoulement permanent.
c) Prendre le temps nécessaire pour le passage d'un volume donné, faire la mesure 02 fois puis
prendre la moyenne.
III.5 CALCULS
Q2
1. Etablir la relation F K ρ , donner une valeur théorique de K pour les trois (3) profils.
: A
2. Dresser le tableau de variation de la masse M, des volumes 1 (t1), 2 (t2) et des débits Q.
3. Tracer les courbes P f (Q2 ) . Déduire la pente de la courbe obtenue.
4. Conclusion.
TP NO 4
PERTES DE CHARGES
SINGULIERES ET LINEAIRES
TP No 4: Pertes de charges singulières et linéaires
Les pertes de charges sont définies comme la perte d’énergie mécanique totale entre deux
points distincts d’un circuit hydraulique, quantifiées par le travail des forces de frottement.
Les pertes de charge dans un circuit hydraulique sont de deux types :
- Pertes de charges régulières (linéaires).
- Pertes de charges singulières.
∆𝐻1−2 2
= 𝜉 𝑉𝑑
2𝑔
𝜉 : Est le coefficient (sans dimension) de perte de charge singulière.
𝑉𝑑 : Vitesse débitante
IV.3 SINGULARITES
IV.3.1 Elargissement progressif de section (divergent)
La perte de charge dans un élargissement progressif de section est donnée par :
(𝑉 − 𝑉 )2 𝑉12
S2
∆𝐻1−2 = 1 S1 2 = 𝜉𝑒 2𝑔
2𝑔 V1 V2
1 2
𝜉𝑟 = ( − 1) sin 𝛼
𝜇
: Coefficient de contraction
: Angle au sommet du
convergent On choisit
généralement 𝛼 < 30° 3
𝜇 = 0.59 + 0.41 (𝑆6)
𝑆5
IV.3.3 Coudes
La perte de charge singulière dans un coude est donnée par :
∆𝐻 𝑉2
=𝜉 𝑑
1−2 𝑐
2𝑔
R
𝜉𝑐 : Est un coefficient sans dimension, fonction du rapport
de rayon de courbure et de diamètre de la conduite, D
et l’angle du coude.
Dans la littérature le coefficient de perte de
charge singulière dans des coudes
convenablement arrondis est donné par
l’expression empirique suivante :
𝖺 7/2
𝐷
𝜉𝑐 = [0.131 + 1.847 ( ) ]
𝜋 2𝑅
: Angle de déviation en radians;
D : Diamètre de la conduite;
R : Rayon de courbure du coude
IV.3.4 Vannes
La perte de charge singulière dans une vanne est donnée par :
∆𝐻 𝑉2
=𝜉 𝑑
1−2
𝑉
2𝑔
Le coefficient de perte de charge singulière 𝜉𝑉 dépend du type de la vanne et de son degré
d’ouverture.
Dans la littérature on trouve des tableaux de valeurs donnant 𝜉𝑉 pour différents types de vannes
et différents angles d’ouverture.
IV.4 MANIPULATION
III.4.1 Objectif de la manipulation
Détermination des pertes de charge singulières autour de sept singularités (coudes,
élargissement et rétrécissement progressifs, vanne).
Prises de
pression
Rétrécissement
progressif
Vanne à
membrane
Elargissement
progressif
Coude 1 (long)
D = 25 mm, R=20 cm, 90°
Coude 4 (droit)
21
IV-5Exploitation des résultats
1 2
2g
V2
2. Tracer la perte de charge mesurée en fonction de la charge 1
dynamique 2g.
IV.5.3 Coudes
1. Tracer sur le même graphe l’évolution de la perte de charge mesurée en fonction de la charge
Vd2 pour chaque coude.
dynamique
2g
2. En déduire le coefficient de perte de charge singulière c pour chaque coude.
3. Tracer l’évolution des coefficients de perte de charge singulière c en fonction du rapport du
rayon de courbure sur le diamètre R . Comparer cette courbe avec celle donnée par V. L.
Sreeter. Conclusion D
IV.5.4 Vannes
22
PARTIE II : PERTES DE CHARGES LINEAIRES
IV.6 ETUDE THEORIQUE
1) Soit une prise de pression statique (tube piézométrique) placée au point A d'une conduite de
diamètre constant D et de longueur L entre deux sections (1) et (2) (voir figure III-2)
PA PB ρg h2
Pabs Prel Patm
Pabs P donc Prel 0
B atm B
d'où P ρ g h2
rel
A
et de même P1 ρg h1
Entre les sections 1 et 2, la perte de charge est exprimée
en hauteur de colonne d'eau est égale à :
P V12 P V2 2
ΔH H1 H2 1 Z1 2 Z2 Figure IV-2
ρ.g 2.g ρ.g 2.g
Avec V V car le diamètre est le constant et Z P1 P2
Z conduite horizontale d'où : ΔH
1 2 1 2
ρ.g
Soit : ΔH h1 h2
2) Cette perte de charge s'exprime par la formule de DARCY-WEISSBACH
λ 2
JΔH . V pente de la ligne de charge avec , : coefficient de frottement dépendant du
D
ΔL 2.g
type d'écoulement :
Ecoulement laminaire 64
λ Re
:
:Régime Transitoire
λf 1 ε
,
D
Re ε
Ecoulement turbulent rugueux : λ f D
0.3164
Ecoulement turbulent lisse est donné par la formule de BLASIUS : λ
Re0.25
3) Venturi : C'est un tronçon de de conduite qui est composé d'amont en aval : d'un convergent,
d'un col et d'un divergent (Figue III-3). Noter que l'angle du divergent est plus faible que celui du
convergent afin qu'il n'ait pas de décollement des filets fluides donc pas de pertes de charge à
cause de tourbillons.
En négligeant les pertes de charge entre les sections 4 et 5 on a :
P V24 P V25
H4 H5 4
Z4 5 Z5
ρ.g 2.g ρ.g 2.g
avec Z4 il vient :
Z5
V2 V2 P P
5 4
4 5 h4 h5
2.g ρ.g
Comme Q V S
2 1 1 2 S2 S2
Soit Q S 2.g.h 4 h 5 2g.h V ; 2.g.2 42 5 Figure IV-3
2 S2
Q S.hSV
5 4 5 4
IV.7 ETUDE EXPERIMENTALE
IV. 8MANIPULATION :
TP No 5:Cuve de Reynolds
V.1 BUT DE LA MANIPULATION
V.2 GENERALITE
Il existe plusieurs régimes d'écoulement présentant entre eux des différences essentielles.
Depuis longtemps les hydrauliciens avaient constaté l’existence de ces différents régimes. Mais
c'est à Osborne REYNOLDS qu'il appartenait de les mettre expérimentalement en évidence et de
dégager le critère permettant de les différencier.
En raison de la multiplicité des conditions qui régissent un écoulement et de la diversité des
solides guidant la masse liquide, il était difficile de dégager un paramètre permettant de servir de
critère à un type d'écoulement donné. C'est précisément le grand mérite de O, REYNOLDS
d’avoir su dégager ce paramètre.
Si on désigne par U la vitesse moyenne dans le tube, par D le diamètre intérieur du tube et par
le coefficient de viscosité cinématique du liquide en mouvement, le nombre adimensionnel
appelé nombre de REYNOLDS est défini comme suit :
UD
Re
ν
Ce nombre peut servir à caractériser le régime d'écoulement. Il représente le rapport des forces
d'inertie et de turbulence aux forces de viscosité.
V.3 MANIPULATION
V.3.1 Installation
V.3.3 Observations
En ouvrant plus ou moins le robinet de vidange, on fait varier la vitesse d'écoulement dans le
liquide. Tant que la vitesse d'écoulement est suffisamment faible la teinture forme dans le tube
un filet coloré parfaitement net et bien délimité et qui ne se mélange pas aux filets voisins. C'est
le régime d'écoulement laminaire. Si la vitesse d'écoulement s'accroît dans le tube, le filet coloré
doit osciller et vibrer, il devient sinueux (régime transitoire) puis la vitesse augmentant encore le
filet se rompt ne conserve plus son identité propre et se divise en un très grand nombre de
particules animées chacune de mouvements transversaux désordonnés de telle sorte que toute la
matière colorante se repartit dans la masse en mouvement qui acquiert une coloration uniforme.
C'est le régime d'écoulement turbulent.
Noter vos observations pour chaque débit.
V. 4RESULTATS
Trop plein
Tube en plexiglace
Evacuation
Débit d’eau
colorée
recueilli
Régime laminaire
Régime transitoire
Régime turbulent
Rappel
V
Le débit volumique Q U S (m /s)
3
: t
U : la vitesse de l’écoulement (m/s)
S : la section du tube