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Cours 1G3 Physique Chimie

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Chapitre 1 

: Outils de description d’un système chimique


La masse molaire :

- La mole : unité de quantité de matière (mol)

1 mol : 6,02*1023 éléments (nombre d’Avogadro)

- La masse molaire atomique : masse d’une mole d’atome

M =12 en g/mol exemple carbone : 12


Carbone C
nombre de proton 6

- La masse molaire d’une molécule : addition des masses molaires des atomes constituants

H2O : 2 atomes d’hydrogène (1 g/mol)


1 atome d’oxygène (16 g/mol)

= (2*Masse molaire d’hydrogène) + (1*Masse molaire d’oxygène)


= (2*1 g/mol) + (1*16 g/mol)
= 2 g/mol + 16 g/mol
= 18 g/mol

Détermination de matière :
m
nombre de mole (mol) : n = masse de l’échantillon (g) / Masse malaire en (g/mol) n=
M
Exemple :

Quelle est la masse de 3 mol d’acide éthanoïque C2H4O2


Masse molaire = (2*MmC) + (4*MmH) + (2*MmO)
= (2*12) + (4*1) + (2*16)
= 24 + 4 + 32
= 60 g/ mol

m = n*M
m = 60 g/mol*3 mol
m = 180 g

La masse de 3 mol d’acide éthanoïque est de 180 g.


Avec les liquides : On préfère mesurer un volume qu’une masse

La masse volumique (ρ) = masse (g) / Volume (mL)

On veut 0,2 mol d’éthanol C2H6O

M = (2*MmC) + (6*MmH) + (1*MmO)


= (2*12) + (6*1) + (1*16)
= 24 + 6 + 16
= 46 g/mol

m= n*M = 0,2 mol*46 g/mol = 9,2 g

ρ éthanol = 0,8 g/mL

9,2 g
V= =11,5 mL
0,8 g/ mL

On prendra 11,5 mL d’éthanol.

Avec des gaz : Le volume molaire des gaz

Le volume molaire des gaz ne dépend que de la température (20° C) et de la


pression atmosphérique (1013 hPa). C’est le même pour tout les gaz.

Volume molaire (VM) = 24 L/mol

1 mol de M2 = 24 L
1 mol de propane C3H8 = 24 L

nombre de mol de gaz (n) = Volume de gaz (L) / Volume Molaire (L/mol)

Exemple :

On veut prélever 72 L de dioxygène de O2 :

72 L
n= =3,0 mol
24 L/mol
Concentration d’une solution :

Une solution : Un Soluté (Sel...) + Un solvant (Eau…)

- Concentration massique :

Concentration massique = Masse de soluté (g) / Volume de solution (L)

- Concentration molaire :

Concentration molaire (mol/L) = nombre de mol (n) / Volume de solution (L)

Exemple :

Dissolution de n= 0,2 mol de glucose dans 250 mL

0,2 mol
c= −3
=0,8 mol / L
250∗10 L

Remarque :

m
n M 1 m cm (g/L) = M (g/mol) * c (mol/L)
c= = =( )∗( )
V V M V
La dilution :

Facteur de dilution = concentration mère / concentration fille = Volume fille / Volume Mère

Exemple :

On a une solution aqueuse sucré à 2 g/mL de 200 mL


Mais on veut une solution aqueuse sucré à 1g/mL de 200 mL

2 g/mL
F= =2 Il faut donc diluer 2 fois la solution
1 g/mL

200 mL 200 mL
2= Vm= =100 mL
Vm 2

On prélèvera donc 100 mL de solution mère pour faire cet solution fille.
Chapitre 2 : Oxydoréduction et bilan de matière
Une équation : 2H+ + Cl- + Zn → Zn2+ + H2
4 mol X 2 mol 0 0
0 X 0 2 mol 2 mol

Les réactifs sont H+ / Cl- / Zn


Les produits sont H2 / Cl- / Zn2+

Les coefficients stœchiométriques sont 2 pour l’Hydrogène et 1 pour les autres.

L’octane :
C8 + H18 + 25/2O2 → 8CO2 + 9H2O

Pour avoir une combustion complète, on doit équilibrer chaque coefficients stœchiométriques.

Les électrons peuvent s’échanger dans une transformation :

Cu2+ + Fe → Cu + Fe2+

L’ion cuivre II à gagner 2 électrons → On retrouver du cuivre


Le Fer à perdu 2 électrons → On retrouve l’ion Fer II.

Par exemple l’équation de la formation de la rouille est : 4Fe + 3O2 → 2Fe2O3

L’équation des gravures de circuits imprimés est : 2Fe3+ + Cu → 2Fe2+ + Cu2

Une Oxydation est une perte d’électron(s)


Une Réduction est un gain d’électron.

Par exemple : Cu → Cu2+ + 2e-

Ici, Cu est le réducteur car il peut gagner deux électrons et Cu2+ est l’oxydant car il perd 2 électrons.

On note : Cu2+ / Cu

On peut également utiliser 2 couple oxydo/réducteur :

Cu2+ / Cu et Fe2+ / Fe

On met 2 demi-équations :

Cu2+ + 2e- → Cu (réduction)


Fe → Fe2+ + 2e- (oxydation)

On peut donc noter : Cu2+ + Fe → Cu + Fe2+

Dans une demi-équation complèxe, par exemple MnO4- / Mn2+

- Il faut commencer par équilibrer les atomes sauf l’Hydrogène et l’Oxygène.


- Ensuite l’équilibre de l’Oxygène peut être réalisé avec de l’eau H2O.
- En rajoutant de l’eau, il faut équilibrer l’Hydrogène avec des ions H+.
- Et rajouter les charges avec des e-.
On débute avec :

MnO4- → Mn2+
-
MnO4 → Mn2+ + 4H2O
- +
MnO4 + 8H → Mn2+ + 4H2O
+7 +2
On équilibre les électrons :

MnO4- + 8H+ + 2e-→ Mn2+ + 4H2O


+2 +2

Dans cette réaction entre 2 couples :

On écrit 2 demi-équations
1 oxydation
1 réduction
Et la somme des 2 en éliminant e-

L’oxydation : Al/ Al3+ Al → Al3+ + 3e- *2


La réduction : Cu2+ / Cu Cu2+ + 2e- → Cu *3

On commence par : Al + Cu2+ + 2e- → Al3+ + 3e- + Cu


+2 +3

Ensuite on équilibre pour avoir des échanges délectons :

Ici notre ppcm sera 6 :

2Al + 3Cu2+ + 2e- → 2Al3+ + 3e- + 3Cu

Avec le couple :

Al3+ / Al Al → Al3+ + 3e- *2


I2 / I- I2 + 2e- → 2I- *3

Al + I2 + 2e- → Al3+ + 2I- + 3e-


2Al + 3I2 + 2e- → 2Al3+ + 6I- + 3e-

Le tableau d’avancement dans la réaction entre l’ammoniac NH3 et du dioxyde de carbone CO2 forme de l’urée
CO(NH2)2 et de l’eau
On a 5 mol NH3 et 3 mol de CO2.

Avancement (mol) 2NH3 CO2 → 1CO(NH2)2 1H2O

EI x=0 5 mol 3 mol 0 0


En cours x 5 - 2x 3-x 1x 1x
EF x=2,5 0 0,5 mol 2,5 mol 2,5 mol

Remarque : Quand un réactif est limitant, il reste encore les autres réactifs.
En général on calcul xmax et la réaction s’arrête avec la disparition d’un réactif (réactif limitant)
Dans ce cas, la réaction est totale.

Parfois xmax n’est pas atteint car il y a des échanges en continue.


Ici, la réaction est partielle.

Par exemple :

Avancement AH H2O → A- H3O+


(mol)
EI x=0 4,5 mol excès 0 0
En cours x 4,5 - x excès 1x 1x
EF1 x=4,5 0 excès 4,5 mol 4,5 mol
(théorique)
EF2 (réel) x=3,2 1,3 mol excès 3,2 mol 3,2 mol

xf < xmax Cette réaction est partielle car il reste des réactifs.

On a un autre une autre réaction avec 40 mmol d’éthanol (C2H5OH), 10 mmol de permanganate de potassium (MnO4-)
et de l’hydrogène en excès. Cela donne C2H4O, du Mn2+ et de l’eau H2O.

Avancement (mmol) 5C2H5OH 2MnO4- 6H+ → 5C2H4O 2Mn2+ 8H2O

EI x=0 40 mmol 10 mmol excès 0 0 0 0


En cours x 40 - 5x 10 - 2x excès 1x 5x 2x 8x
EF x=15 mol 15 mmol 0 excès 4,5 25mmol 10mmol 40 mmol
mo
l
Chapitre 3 : Dosages colorimétriques

Le dosage par étalonnage consiste à établir plusieurs mélanges avec différentes concentration et
les comparer avec une solution de concentration non connu. On peut ensuite mesurer avec un
colorimètre l’Absorbance des différentes solutions pour trouver celle qui s’approche le plus de la
solution non connu.

La loi de Beer lambert montre que l’Absorbance est proportionnelle a la concentration.

Un colorimètre :

Une lumière passe dans une cuve (tube à essais) et un récepteur analyse la lumière transmise de
l’autre côté (Absorbance). On peut mesurer l’Absorbance sur plusieurs longueurs d’ondes :

Ici, l’exemple avec l’absorbance du diiode I2.

Ici le diiode absorbe plus le violet ; bleu, avec ce cercle des couleurs complémentaires on sait la
couleur du diode :

Le diode sera plutôt jaune.

La loi de Beer lambert dit donc que : A = ϵ * l * C

A : Absorbance (sans unité)


ϵ  : coefficient d’extinction molaire
l : longueur de cuve
C : espèce colorié (mol / L)

Donc : A = K * C
Le dosage par étalonnage :

On doit avoir une solution avec concentration connue


On trace A = f(C) → On a une droite par étalonnage.

Le titrage :

Le titrage est basé sur une réaction chimique entre 2 espèces = on doit déterminer une
équivalence.

La réaction doit être : rapide ; unique ; totale.

Avec une équation : 2 A+ B=C avec B la solution titrante :

2nA + nB = C

donc 2nB = nA

nB
nA=
2

Bilan : A l’équivalence, on remarque un changement de réactif limitant ou les réactifs sont les
proportionnalité stœchiométrique.

On a donc détecté un changement de couleur .


Chapitre 4 : Champs et interactions

Une force est un changement ; transformation de mouvement.

Il existe 4 interactions fondamentales : Gravitationnelle (à très grande échelle : planètes…) →


poids.
électromagnétique (à notre échelle jusqu’à l’atome : 10-
10
m) → explique la cohésion des objets (cristaux)
forte (échelle du noyau 10-15m) → cohésion des noyaux
(pour que les protons ne se repoussent pas)
faible (dans le noyau) → explique la radioactivité
Β−; Β+;

Un champ est l’association d’une grandeur physique à un espace (un temps)

Pour les courants marins ou les vents, on utilise le champ vectoriel.


Les températures et les pressions atmosphériques sont des champs scalaires.

La force de gravitation :

Tout les objets, de masse m, crées autour d’eux un champ de gravitation.


Plus on se rapproche d’un objet, plus la force de gravitation augmente.
Tout les objets de masse m’, à une distance d subissent une force attractive.

⃗ ⃗ G∗m∗m '
F =m'∗⃗g F= ⃗u G étant la constante de gravitation. G=6,67*10-11 S.I.

G∗m
g=

6,62∗10−11∗62 −11
Par exemple : Un homme de 62 kg à 10m crée : g= =4,13∗10 <9,8
10²

Le champ de la pesanteur de la terre qui a une masse de 6*1024 kg et 6380 km de rayon :


6,62∗10−11∗6∗10 24
g= =9,83 m∗s ²
(6380∗10 3)²

La force de gravitation est différentes selon la distance qu’on ce trouve de la terre.


A la surface, elle reste uniforme.

Le robot Curiosity qui a une masse de 900kg, a, sur Mars un poids de 3340 N. Sachant que la
masse de Mars est de 6,42*1023kg

P 3340
La force de gravitation sur Mars est de : ⃗
F =m'∗⃗g ; g= = =3,71 m∗s ²
m 900
Et, la distance de Mars est :
G∗m g m g m∗G 6,42∗1023∗6,62∗10−11
g= ; = ; d ²=m ;d ²= = = √ 1,15∗1013=3,39∗10 6 m
d ² G d² G g 3,71
Le rayon de Mars est de 3,39*10³ km.
La force électrostatique :

On a découvert l’électrisation il y a très longtemps, avant l’électron.

On a un tableau qui montre si les matières s’électrisent de manière positive ou négative :

La force électrostatique peut avoir lieu : en arrachant une charge (électrons) → frottement
 : avec un contact entre les deux matières → contact
 : à distance entre deux matières → influence

On a une interactions électrostatique si il y a des charges électriques.

Par exemple avec la force attractive où les les signes sont contraires :

La force répulsive où les signes sont les mêmes :

La loi de Columb :

K∗q1∗q2 9
9∗10 ∗C∗C
Fe= 2
;N=
d m
Exemple avec :

2 protons avec pour les 2 : mp= 1,7*10-27kg et qp = 1,6 * 10-19C


La distance entre les deux milieux est de 10-10m.

9∗109∗(1,6∗10−19)2 −8
Fe= −10 2
=2,304∗10 N
(10 )
−11 −27 2
6,67∗10 ∗(1,7∗10 ) −44
Fe= −10 2
=1,93∗10 N
(10 )

Fe 2,3∗10−8 36
= =10 Donc Fg est négligeable comparé à Fe.
Fg 2∗10− 44

Le champs électrostatique est aussi égale à q2 * E1.

Tout les champs sont uniforme du + vers le – où E = u/d.


Les champs sont perpendiculaires aux phases du condensateur.

Si 2 particules s’attirent, elles n’auront pas le même signe, le contraire si elles sont répulsives.
Chapitre 5 : statique des fluides

Un fluide existe sous 3 états : - Solide


- liquides
- gazeux
- (plasma)

La température est basé sur les mouvements des particules.


Elle est en °Kelvin.
0°K correspond à l’immobilité.
T°K = 0°C + 273,15

Par exemple, 20°C → 293,15°K

La pression (gaz) correspond à des chocs sur les parois

F( N )
p(Pa)=
S(m2 )

Les volumes :

Un volume est en m³, la masse volumique de l’eau est de 1000 kg*m-³.


La masse volumique de l’air est de 1,3 g*L-1.

Les variables d’état d’un gaz :

Grandeur physique Unité usuelle Unité Si


Pression bar Pascal
Volume L/mL m³ = 1000 L
Température °C Kelvin (0°K = 273,15°K)
Masse Volumique g/L Kg/m3

La loi de Boyle Mariotte :

La loi de Boyle Mariotte montre qu’une constante (a) est égale à la Pression * le Volume :
P*V= constante (a) Quand la Température est constante.

La plongée sous-marine :

Au cours d’une descente en mer, la pression augmente.


Quand la profondeur augmente, la solubilité des gaz dans un fluide aussi. On se retrouve donc
avec de l’azote qui se dilue dans le sang pendant la descente. Or, pendant la remonté, contrairement
au dioxygène qui est consommé par le corps, l’azote qui redevient gazeux peut faire exploser les
vaisseaux sanguins.

Plus la pression augmente, plus le volume de gaz est élevé donc, à 10m on doit prendre 2 fois plus
de gaz qu’à 0m.
La pression augmente de 10 000 Pa/m donc, tout les 10m la pression augmente de 1 Bar.
100 000 Pa = 1 bar
1mbar = 1hPa

La pression atmosphérique est de 101 300 Pa soit 1 bar à 0m


Quand la hauteur augmente, la pression diminue, au Mont-Blanc, elle est de 600 hPa.
Chapitre 6 : Mouvement et intéraction (forces)

Il y a la chronophotographie où on prend plusieurs photos à différent temps d’un objet en


mouvement.
Il y a le mouvement rectiligne (points alignés) et circulaire (points en forme de cercle).

La trajectoire est l’ensemble des points où passe un objet. Il est rectiligne (une droite) ou curviligne.

Le mouvement uniforme a une vitesse constante.

Le vecteur vitesse est constant avec une vitesse constante et a le vecteur à la même direction (qui
est donc rectiligne).

Le référentiel est le mouvement d’un objet par rapport à quelque chose.

Le mouvement de la classe dans le référentiel terrestre est immobile.

Le mouvement de quelque chose par rapport au soleil fait partie du référentiel héliocentrique.

Le mouvement de la Lune dans le référentiel géocentrique est un cercle. (elle tourne autour de la
Terre).

Les forces :

Une force est une action mécanique.


La force est représenté avec un vecteur qui a : une direction
un sens
un point d’application
une norme ou une grandeur.

Un objet en mouvement rectiligne et uniforme à ses forces qui se compensent avec le poids qui est
dirigé verticalement (du centre de l’objet en direction du centre de la terre). Il a aussi une réaction
du sol ou une force exercé sur lui pour qui la somme des 2 forces soit nul. Cette objet peut donc
être immobile.

Le vecteur de variation est sur un point 3, le vecteur 4 – le vecteur 2.

Le vecteur Δ ⃗v a la même direction que la somme des Forces (on l’appelle la variation de
vitesse.)

Avec la deuxième loi de Newton :

m∗Δ ⃗v
Σ⃗
F= où la force est en Newton ; la masse en Kg ; la vitesse en m/s ; le temps en seconde
Δt

Cela correspond à : Σ ⃗


F =m∗⃗a

On remarque qu’avec un mouvement curviligne, ce vecteur de variation est le poids de l’objet.

22800 kN = 22 800 000 N


Chapitre 7 : Aspect énergétique des systèmes mécaniques
1. Energie potentielle

On la note Ep. Elle est liée à la forme ou à la position dans un champ.

Il y a : - Epp (pesanteur) → champ de pesanteur


- Epe → champ électrique
- EpElastique → stocké par un ressort ; élastique…

Pour la calculer, on a la formule :

Epp = m * g * z

Sous la forme :

1,08 J = 0,120 Kg * 10 N/Kg * 0,90 m

On peut prendre n’importe quel référentiel mais le plus important est de calculer la variation entre
2 positions d’un objet. Par exemple, en tombant, la pomme perd de l’énergie potentielle.

2. Energie cinétique

On la note Ec. Elle est présente quand un objet en mouvement accumule de l’énergie.

La formule est :

1
Ec = ∗m∗v 2
2

Par exemple pour une voiture de 1 tonne :

A 36 Km/h :

1 2
Ec = ∗1000 Kg∗10 m/s=50 000 J
2

A 72 Km/h :

1 2
Ec = ∗1000 Kg∗20 m/s=200 000 J
2

On remarque qu’en doublant la vitesse, on fait *4 à l’énergie cinétique.

3. La conservation de l’énergie

L’énergie mécanique Em s’écrit :

Em=E c + E p

Quand il n’y a pas de frottement, elle se conserve.


Elle se conserve également en chute libre où la seul force est le poids.

Sur plusieurs points, ΔEm = 0 car elle est constante.

Avec une balle de 1 Kg à 10 m, sont énergie mécanique sera :


(On sait que la vitesse est de 0 car elle n’est pas encore lâché)
1 2 1 2 2 −2 −2
Em= ∗m∗v +m∗g∗h= ∗1 Kg∗(0 m/s) +1 Kg∗10 m/s ∗10 m=0+1 Kg∗10 m/s ∗10 m=100 J
2 2

Ensuite, on sait quelle est en chute libre :

1 1 1
Em= ∗m∗v 2 +m∗g∗h= ∗1 Kg∗v 2+1 Kg∗10 m/ s−2∗0 m= ∗1 v 2+ 0=0,5 v2
2 2 2

Mais avec la chute libre :

Em 1=E m 2 ; 0,5 v =100 ; v =200 ; v= √ 200 ; v =14,14 m/s


2 2 −1

En rappel, on peut dire que :

vf =√ 2∗g∗h → Cela nous montre que la vitesse ne dépend pas de la masse mais de la hauteur
de la chute.

4. Le travail d’une force


(« Le travail » , c’est l’énergie créée par une force » .

On peut relever un angle (ɑ) entre la distance entre deux points et une force qui est exercé sur un
objet sur la distance.

W AB ( ⃗f )=( ⃗f )⋅( AB)=f


⃗ ∗AB∗cos (α )

La distance en m ; la force en N ; Le travail en J.

- si 0 < ɑ < 90 → le travail est moteur car il apporte de l’énergie


0 < cos ( ɑ) < 1 W AB∗( ⃗f )> 0

- si 90 < ɑ < 180 → Travail résistant car la force est opposé au mouvement.
cos ɑ < 0 W AB ( ⃗f )=0

Le travail du poids

⃗ )⋅( AB)=P∗AB∗cos(
W AB ( P ⃗ α )=m∗g∗( y A − y B )
Cela revient à faire mgh, l’énergie potentielle.

Le travail d’une force de frottement

W AB ( ⃗f )=( ⃗f )⋅( AB)=f⋅AB⋅cos(180)=−f


⃗ − AB=−f∗distance
C’est l’énergie perdu.
A retenir :

Δ Em =W AB ( ⃗f )
Chapitre 8 : Structure des édifices chimiques :

I) Le modèle de Lewis

Voir la classification et les couches :

Où l’on peut noter 1s2 2s2 2p6 3s2 3p1


Rappel : il y a 8 électrons max sur une couche
La dernière couche est la plus importante en chimie → Elle se nomme la couche de valence.

La structure de Lewis (atome/ ion simple)

Oxygène = 8 électrons 1s2 2s2 2p4 → Il y a 6 électrons de valence.

On le note avec le schéma de Lewis :

un point • pour les électrons célibataires seuls


un trait - pour les électrons doublet non liant par pairs
un rectangle ▯ pour les côtés sans électrons qui sont des lacunes électroniques

Pour l’oxygène, on obtient ceci :

l’ion oxygène :

→ Il va devenir stable car sa dernière couche sera pleine (rare). Il faut gagner 2e-.

O
Le cas d’une molécule :

NH3 :

N H

H
L’ion polyatomique :

ion NH4+ → NH3 + H+

H+▯ N avait 5e autour de lui. Il lui en reste 4.

H
+
H N H

H
Les molécules peuvent être ionique (différence > 1,7) ; polaires (0,4 < différence < 1,7) ou apolaire
(différence < 0,4) en raison l’électronégativité des atomes.

Cela va nous montrer si les molécules on plus ou moins de chance de


se dissocier.

Polaire et Apolaire nous montre si le centre géométrique des deux


charges se confondes (Apolaire) ou non (Polaire).
II) Géométrie des molécules

La stéréochimie → Forme des molécules + explique leur réactivité.

III) L’électronégativité et polarité d’une molécule

1. L’électronégativité

La stabilité des atomes respecte la règle du duet et de l’octet.

- Un atome peut perdre un électron : Cation (ion +)


- Il peut gagner 1 électron : Anion (ion -)
- Il peut former des liaisons de valence et donc former des molécules. Dans ce cas, l’atome va
partager des électrons.

Certains atomes attirent plus les électrons que les autres, c’est l’électronégativité.
→ Voir tableau.
Remarque : si la différence est trop grande, on aura 2 ions.

2. La polarité d’une molécule

Une molécule est polaire si : - Ses liaisons sont polarisés.


- Le centre des charges + n’est pas au même endroit des charges - .
Chapitre 9 : Solubilité et miscibilité :

I) Cohésion des solides :

Les solides ioniques :

Le sel NaCl est un assemblage d’ions Na+ et Cl-

- La cohésion est assurée avec les forces électriques (c’est très important => le cristal est très
stable avec une température de fusion de 800°C)

- C’est globalement neutre.

Exemple avec le chlorure de plomb : PbCl2 avec Pb2+ et 2Cl-.

Solide moléculaire :

- Liaison de Van der Waals (entre e-).


- Liaison assez faible.
→ molécules polaire ou apolaire.

Ex CH4 avec une Tfus = -160°C

L’eau H2O a elle une Tfus = 100°C car il y a des liaisons H entre 1 Hydrogène et 1 atome.

En général, le gaz prend plus de place que le solide.


Pour l’eau, le solide (glace) prend plus de place.

II) Dissolution :

Il faut un Soluté (solide) et un Solvant (eau…)

Avec la dissolution on aura une solution


Avec 2 espèces insoluble, on aura un soluté et un solvant.

Les solutions saturées :

Le sel dans l’eau arrive à saturation à 390 g/L

L’eau de mer est à 35g/L de sel. C’est une solution limpide.

A retenir :

Un solvant polaire (eau) va bien avec un soluté ionique (sel) / polaire (sucre).
Un solvant apolaire (cyclohexane) va bien avec des espèces apolaires (I2)

Pour la dissolution solide ionique :

Dissociation (+ avec – et – avec +) → solvatation (entourent la molécule d’eau) → dispersion


III) Solubilité et concentration :

La solubilité est la quantité de soluté qu’on peut dissoudre.

nsoluté
S= avec S en mol/L ; n le nombre de mol.
V solution

ou

m soluté
S= avec S en g/L et m la masse.
V solution

La solubilité augmente avec l’augmentation de la température (sauf exception).

La concentration :

nsoluté
→ Concentration en soluté C=
V solution

n Fe2+ ¿

→ Concentration en ion [Fe2+] =


V solution

IV) Extraction d’une espèce :

On utilise le plus souvent une extraction par solvant avec une ampoule à décanter.

Pour faire une extraction, il faut :


- Un solvant où elle se « plaît plus » (soit plus soluble)
- Ce solvant doit être non miscible avec le premier.

Par exemple, Si on extrait du diiode dans de l’eau, on peut utiliser du cyclohexane car le diiode et le
cyclohexane sont apolaire (grande solubilité) et le cyclohexane n’est pas miscible dans l’eau.

V) Molécules amphiphiles (tensioactif) :

tensioactif correspond à casser la membrane de l’eau.

Dans un savon, il y a 2 parties, une lipophile (vers l’eau) et une hydrophile (vers les graisses) .
Chapitre 10 : Energie électrique :

I) Introduction :

Rappels sur la loi des tensions et intensités dans les nœuds :

Les tensions :

En série, l’addition des tensions aux lampes est égale au tension aux bornes du générateur :

Ug = U1 + U2 + U3

En dérivation, la tension est la même dans chaque branche :

Ug = U1 = U2

L’intensité :

En série, l’intensité reste la même partout :

Ig = I1 = I2

En dérivation, l’addition de l’intensité aux lampes est égale à l’intensité aux bornes du générateur :

Ig = I1 + I2

La loi d’Ohm :

Elle est noté avec Ω qui est l’unité de résistance (conducteur ohmique)

On peut voir R = 222 Ω


Avec U = R*I

Exemples :

Quand U = 100 V

U 100
1er cas : R = 100 Ω → I= = =1A
R 100

U 100
2ème cas : R = 1 Ω I= = = 100 A
R 1

Pour la Puissance :

P = U*I
avec P en W, U en V et I en A.

Pour l’énergie :

E = P*Δt
avec E en J, P en W, Δt en s.
Pour la puissance, quand on parle de déperdition, on soustrait.

Comme la facture EDF est en kWh, on a 1kWh = 3,6 * 106 J

II) Intensité électrique :

Le courant est une circulation d’électrons dans les métaux/ conducteurs

La circulation dans les solutions :

|Q|
I= avec I en A, Q (la charge électrique) en Colomb C, Δt en s.
Δt

Un rendement est exprimé en η avec la formule :

P max
η=
P lum
avec Plum= E*S avec E l’éclairement de cellule en W/m² et S la surface en m²
et Pmax la puissance maximal électrique d’un générateur.
On prend environ 100lux = 1 W/m².

Plus simplement :

énergie utile P utile


η= =
énergie consomméé P consommé

La chaîne énergétique :

Pour une pile :

Un rond est un convertisseur et un rectangle est une forme d’énergie :

On peut dire que : Énergie chimique = Énergie électrique + Énergie thermique


Energie électrique
Et que : η= .
Energie chimique

L’effet joule est le faite de créer de l’énergie thermique.


III) Générateurs électriques :

Un générateur est comme une « pompe à électron »

Il y a une différence de potentielle.

1. Le générateur idéal

Quelque soit le temps : U = E (cst) {fem du générateur (force électromatrice)}

Exemple :

Avec un générateur de 6V et une résistance de 100 Ω.

U 6
U = RI donc I= = =0,06 A=60 mA .
R 100

2. Un générateur « réel »

Avec une pile :


U = E – RI
donc, en fonction de l’intensité, la tension augmente.

On peut dire que une pile + une résistance de 100 Ω est la même chose qu’un générateur idéal avec
une petite résistance + une résistance de 100 Ω.

IV) Générateurs électriques :

La puissance électrique : C’est très rapide de calculer la puissance avec P = IU, on peut retenir
certaines puissance propre à des dipôles et générateurs :

- Pampoule : xW
- Pcentrale nucléaire : 1000 MW
- Péolienne : 1 MW
- Pgrille pain : 1000 W
Chapitre 11 : Structure des composés organiques :

1. (TP Savon)

2. (TP Aspirine)

3. Cours

Un composé organique :

Un composé organique est une molécule constituer majoritairement de Carbone et d’Hydrogène.


Sinon, ce sont des composés inorganiques.
Les molécules organiques contiennent des chaînes d’atomes de carbone où d’autres atomes viennent
se greffer comme les atomes d’Hydrogènes.

1 liaison = monovalent (H)


2 liaisons = divalent (O)
3 liaisons = trivalent (N)
4 liaisons = tétravalent (C)

Les différentes chaînes carbonées :

La chaîne carbonée est un enchaînement d’atomes de carbone.

On dit qu’une chaîne carbonée est linéaire si elle contient des atomes de carbone à la suite qui ne
sont pas en cycle. Au maximum, 1 atome de carbone est lié à 2 atomes de carbone.

On dit qu’elle est ramifiée si un des atomes de carbone est liée à plus de 2 atomes de carbone. La
chaîne principale est donc celle contenant le plus d’atome de carbone.

Exemple :

Les alcanes :

Un alcanes est une molécule organique qui :


- contient que des atomes de Carbone et d’Hydrogènes
- a seulement des liaisons simples entre ses atomes de carbone.

La formule générale des alcanes est : CnH2n+2


Les Nomenclature des alcanes linéaires :

On a le tableau suivant :

Nombre d’atome de carbones Nom de l’alcane Formule brute


1 Méthane CH4
2 Éthane C2H6
3 Propane C3H8
4 Butane C4H10
5 Pentane C5H12
6 Hexane C6H14
7 Heptane C7H16
8 Octane C8H18
9 Monane C9H20
10 Décane C10H22

Pour la suite, il faut rajouter -ane avec un préfixe grec qui correspond au nombre.

Nomenclature des alcanes ramifiés :

La formule brut n’est pas précise car il y a plusieurs molécules possible avec une. En effet, les
groupements alkyles (ramifications) dérive le nom de l’alcane contenant le même nombre
d’atomes de carbone. On remplace donc -ane par -yl.
Par exemple pour le Méthane : méthyl
Éthane : éthyl
Propane : propyl

Quand la formule brut est la même et que l’on ne retrouve pas la même molécules, alors on les
appellent des isomères.

Pour bien utiliser les groupements alkyles :

- On cherche la chaîne carbonée la plus longue, la linéaire.


- On regarde le nombre d’atome de carbone sur celle-ci → nom de l’alcane.
- On cherche les groupements alkyles
- On numérote où est placé la ramification.

Exemple :
Les alcools :

Un alcool est une molécule organique qui est un groupe caractéristique hydroxyle. De manière
-OH.

Nomenclature des alcools :

On remplace tout simplement -ane par -anol de manière :


Méthane : Méthanol

Pour la numérotation, on l’intègre entre le nom de chaîne et le -ol. Il correspond au plus petit
numéro où est situer le groupe hydroxyle.
Ensuite, on place devant les groupements alkyles présents.

Exemple :

4-méthyl pentan-2-ol

Les aldéhydes et les cétones :

Les aldéhydes et les cétones sont des composés oxygénés qui contiennent le groupe C--O
« carbonyle ».

Un aldéhyde est un composé carbonylé dont le carbone fonctionnelle possède 1H. Le groupe
carbonyle se trouve obligatoirement en bout de chaîne.

Sa formule générale est :

Une cétone est un composé carbonylé donc le carbone fonctionnelle est lié à 2 carbones.

Sa formule générale est :


Nomenclature des aldéhydes et des cétones :

Pour les aldéhydes, on remplace tout simplement -ane par -anal de manière :
Méthane : Méthanal

Pour les cétones, on remplace tout simplement -ane par -anone de manière :
Méthane : Méthanone
Pour la numérotation, on l’intègre entre le nom de chaîne et le -one. Il correspond au plus petit
numéro où est situer le groupe.
Ensuite, on place devant les groupements alkyles présents.

Exemple :

Aldéhydes

2,4-diméthyl pentanal

Cétones

3-méthyl pentan-2-one

Les acides carboxyliques :

Les acides carboxyliques sont des composés oxygénés qui contiennent le groupe carboxyle.
Il est obligatoirement en bout de chaîne.

Sa formule générale est :

Nomenclature des acides carboxyliques :

On remplace tout simplement -ane par -anoïque de manière :


Méthane : Méthanoïque
On indique avec le mot acide en début de nom que c’est un acide carboxylique.
On place ensuite devant les groupements alkyles présents.
Exemple :

acide propanoïque

La spectroscopie infrarouge :

Le spectre infrarouge :

Dans une molécule, les liaisons peuvent absorber certains rayonnements infrarouges. Chaque type
de liaison absorbe une longueur d’onde précise.
On utilise la transmittance notée T pour calculer la longueur d’onde. On l’exprime en
pourcentage.

Si T= 100 % : Rien n’est absorbée → C’est comme si tout était transparent.


Si T= 0 % : Tout est absorbée → C’est comme si tout était noir.

Dans le spectre, on utilise le nombre d’onde σ (sigma).

1
Sigma correspond à : σ = L’unité est en cm-1.
λ

L’identification de groupes caractéristiques :

La présence d’une liaison est montrée par une bande d’absorption dirigé vers le bas.
On les reconnaît avec les différences de largeurs, d’intensités et des nombres d’ondes.

Les caractéristiques :
Chapitre 12 : Synthèse des composés organiques :
La synthèse en chimie organique :

La synthèse d’une espèce chimique est la création d’une nouvelle espèce. Elle est dite organique
quand elle mène à une molécule organique.
On peut donc créer des molécules rares comme pour faire des pneus de voitures.

Dans une synthèse, il y a des grandes étapes :

-La transformation chimique/ -L’isolement du produit souhaité du mélange où il se trouve/ -La


purification du produit obtenu/-L’analyse ou qualité du produit.

La transformation chimique :

La technique généralement utilisée pour réaliser la transformation chimique est le chauffage à


reflux.

On place un support élévateur pour calmer le chauffage si besoin.


Il faut également ajouter de la pierre ponce pour répartir la chaleur.

La transformation chimique :

Si le produit à isoler est un solide, on le sépare du mélange réactionnel par une filtration ou une
sous-vide. On utilise alors un Filtre Büchner.

Si le produit est un liquide, on utilise alors la décantation (voir chapitre 9).

On peut également utiliser l’isolement par distillation.

La purification du produit synthétisé :

L’étape de purification a pour but d’éliminer les impuretés présentes dans le produit synthétisé.

L’analyse du produit synthétisé :

Pour vérifier la pureté, on peut faire :

- Une chromatographie (voir 2.)


- Le spectre infrarouge
- une mesure des propriété physiques avec la température de fusion. On fait cela avec un Banc
Köfler.
Chapitre 13 : Images et couleurs :

Marche d’un rayon lumineux :

La vitesse de la lumière est de c= 3,00 *108 m/s = 300 000 km/s.

c
Dans un milieu (n) : v = où n est l’indice du milieu (air= 1 ; diamant= 2,42 ; verre= 1,5)
n

Quand elle reste dans un même milieu, on remarque que la lumière se déplace en ligne droite.
Le terme « monochromatique » signifie qu’il y a une seule couleur.

A la rencontre d’un autre milieu, les rayons incidents se réfléchissent et sont également réfractés.

Quand on observe un mirage, n ne varie pas.

La découverte des lentilles minces :

On appelle les lentilles convergentes celles qui ont un bord plus fin que le centre et qui grossissent
la taille d’un texte.
On appelle les lentilles divergentes celles qui ont un bord plus épais que le centre et qui diminuent
la taille du texte.

Les caractéristiques des lentilles minces convergentes :

Dans un schéma, une lentille convergente est représentée par une double flèche. On nomme son
centre optique O et l’axe optique et celui perpendiculaire à la lentille et passant par O.
Avec un objet AB et une lentille convergente, on peut repérer plusieurs propagations de la lumière
avec différentes dispositions.

En vert, la lumière est envoyé perpendiculairement à la lentille et est donc déviée vers le bas où elle
va passer vers le foyer image.
En bleu, la lumière passe au centre O et continue donc en ligne droite.
En rouge, la lumière passe sur le foyer objet et sort donc perpendiculairement à la lentille.

Ces rayons incidents ressortent en un même point, le point B’.

La distance entre O et F’ est la distance focale de la lentille f’.

1
On caractérise essentiellement une lentille par sa vergence noté C= Elle se note δ (delta) en
f'
dioptrie. Avec f’ en mètre.

Recherche d’une image nette :

La taille de l’image par rapport à celle de l’objet s’évalue avec le grandissement. On le note γ
taille de l' image A ' B '
(gamma) avec la relation : γ = =
taille de l ' objet AB

Quand le grandissement est négatif, alors l’image est inversé ; si il est plus grand que 1, alors
l’image est plus grande qu’à l’origine.

Déterminer la position d’une image :

Pour une mesure, on utilise les lettres de manières : AB


C’est positif de gauche à droite et de bas en haut.

Avec la mesure des images on a OA=−0,800 et OA '=0,12

1 1 1 1
Donc, avec : − = + =9,58
OA ' OA 0,12 0,8
Cela se nomme la relation de conjugaison qui amène à trouver la vergence.
OA ' AB'
=
OA AB
Le résultat est la vergence de la lentille. Ici, aux alentours de 10.

On remarque que pour la distance focale : OF '>0=−OF <0

L’œil et ses défauts :

L’œil est en fait une lentille convergente (cristallin) et un écran (rétine).

Avec cela, l’image peut ensuite être ensuite envoyée au cerveau.

Mais, plusieurs maladie arrivent dû à :

- un œil trop long (myopie)


- un œil trop court (hypermétropie)
- un problème dans la perception avec l’âge (astigmatisme pour objet éloigné/ presbytie pour un
objet près)

Des lunettes sont juste des lentilles convergentes et divergentes.

La mise au point :

Pour avoir une image clair avec un objet qui change de place, nous devons effectuer une mise au
point, pour cela, on a 2 solutions :
- La mise au point par déplacement de la lentille comme sur un appareil photo.
- La mise au point par modification de la distance focale comme sur un smartphone ou comme nos
yeux.

La focométrie :

C’est la détermination de la distance focale de façon expérimentale :

- Avec la méthode de l’objet à l’infini. Avec la distance, les rayons arrivent parallèles à la lentille.
Donc, l’image se créer sur le foyer image, donc à la distance focale.

- Avec la méthode de l’autocollimation on place un miroir juste après la lentille. Celle si renvoi
une image sur un écran que l’on peut placer à l’endroit de l’objet d’origine. A l’endroit ou cette
objet’ est nette, on a notre distance focale.
La lumière :

La lumière blanche n’existe pas vraiment puisque c’est l’addition de plusieurs.


On peut dresser ce petit schéma qui le montre :

On parle des couleurs primaires pour le Bleu/ Vert/


Rouge.
On parle de couleurs complémentaires quand
l’association de 2 donne du blanc.
Exemple :
La couleur complémentaire du rouge est le Cyan.

Quand on regarde des écrans plats, on retrouve le principe des couleurs primaires dans les pixels.
Pour avoir un pixel jaune, on allume une DEL rouge et une verte.

Dans le cas contraire, on peut soustraire les couleurs avec un fond blanc (qui renvoi toutes les
couleurs) :

Dans ce cas, on ne parle pas de couleur mais de Filtre.

Par exemple, le filtre magenta correspond à du bleu et du rouge. Avec un


filtre jaune qui correspond à du rouge et du vert, nous verrons la couleurs
rouge.

C’est la méthode utilisé dans une imprimante.


Chapitre 14 : Les Ondes :

Les ondes mécaniques :

C’est une propagation d’une perturbation (énergie) dans un milieu matériel sans déplacement de
matière.

On peut retrouver les ondes à :


- 1 dimension : corde
- 2 dimensions : surface de l’eau (vague)
- 3 dimensions : les sons

Le séisme :

Les ondes longitudinales sont des perturbations de même sens de propagation.


Les ondes transversales sont des perturbation perpendiculaires à la propagation comme les vagues.

Avec des sismographes, on peut savoir quand on lieu les tremblements de Terre. Mais, en réalité,
on peut connaître la position de l’épicentre car on peut connaître la vitesse de propagation des deux
types d’ondes en fonction d’une profondeur.

Le tsunamis :

Un tsunamis est une onde en mer. Elle se propage a très grande vitesse et se caractérise grâce à une
vague. Mais, à l’arrivée sur le rivage, cette vague prend de la hauteur car elle gagne en énergie
potentielle puisqu’elle perd son énergie cinétique.

Les ondes mécaniques périodiques :

Sur la plage, quelqu’un peut prendre une période temporelle de 4s entre chaque vague.
Sur l’eau, une autre peut prendre une période spatiale de 10m. C’est la longueur d’onde.

Avec les 2 observations, on peut on déduire la célérité (vitesse) de propagation de l’onde :

λ 10 m
C= = =2,5 m⋅s−1
T 4s

On peut faire la même chose avec la vitesse du son :

dans l’air : 340 m/s


dans l’eau : 1500 m/s

Le modèle ondulatoire de la lumière

On peut considérer la lumière comme une onde électromagnétique (OEM). Elles peuvent se
propager dans un milieu ou dans le vide. Ce type d’onde est caractérisé par une longueur d’onde et
une fréquence.
Longueur d’onde : distance entre 2 sommets successifs. Noté lambda (λ) en mètre.
Fréquence : notée nu (ν) en hertz. C’est le nombre de vibration par seconde.

Plus la fréquence est élevée, plus la longueur d’onde va être petite.


Le spectre électromagnétique représentent les différentes longueurs d’ondes :

L’œil humain n’est sensible qu’aux longueurs d’ondes entre 400 nm et 800 nm. On appelle cela le
domaine visible.

Pour calculer la longueur d’onde, on a la formule :

c où c, la vitesse de la lumière égale à : c = 3,00 * 108 m/s


λ=ν

Interaction entre photons et atomes

Avec le spectre d’émission de l’atome de mercure :

On retrouve 5 raies spécifiques de couleurs différentes.

On peut associer à un photon une énergie en rapport avec la constante de Planck qui correspond à :

E=h∗ν où h = 6,63 *10-34 J.s-1

L’énergie n’étant pas une unité très adapté, on utilise donc l’électron-volt avec le symbole eV où :

1 eV = 1,60 *10-19 J

On remarquera ensuite que cette énergie créé provient des électrons des atomes qui sautent et
redescendent des couches.
On peut le voir avec l’atome de sodium :

Il n’y a que certaines valeurs à prendre car il faut donner à un


électron l’énergie exacte pour changer de niveau. Par exemple,
1,09 eV pour passer du niveau 2 à 3.
Sur un oscilloscope :

Il y a une période chaque motif. Grâce aux graduations, on peut


connaître le temps précis et donc la fréquence.

Pour connaître la célérité, on peut comparer avec la distance réel


en mètre par rapport au temps précis qu’il y a entre l’envoi et la
réception d’un son. On peut donc découvrir la vitesse du son.

Avec deux récepteurs, on peut trouver, en éloignant un des


récepteur le nombre de superpositions des signaux. On en
découvre une longueur d’onde qui correspond à la distance
effectué du deuxième récepteur. Avec de plus en plus de
superpositions, on a un résultat plus précis. Dans l’air, on peut retrouver un λ = 8,5 * 10-3 m en une
période de
25*10-6 s.
−3
8,5∗10 m
Cela correspond à : C= =340 m/s .
25∗10−6 s

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