Cours 1G3 Physique Chimie
Cours 1G3 Physique Chimie
Cours 1G3 Physique Chimie
- La masse molaire d’une molécule : addition des masses molaires des atomes constituants
Détermination de matière :
m
nombre de mole (mol) : n = masse de l’échantillon (g) / Masse malaire en (g/mol) n=
M
Exemple :
m = n*M
m = 60 g/mol*3 mol
m = 180 g
9,2 g
V= =11,5 mL
0,8 g/ mL
1 mol de M2 = 24 L
1 mol de propane C3H8 = 24 L
nombre de mol de gaz (n) = Volume de gaz (L) / Volume Molaire (L/mol)
Exemple :
72 L
n= =3,0 mol
24 L/mol
Concentration d’une solution :
- Concentration massique :
- Concentration molaire :
Exemple :
0,2 mol
c= −3
=0,8 mol / L
250∗10 L
Remarque :
m
n M 1 m cm (g/L) = M (g/mol) * c (mol/L)
c= = =( )∗( )
V V M V
La dilution :
Facteur de dilution = concentration mère / concentration fille = Volume fille / Volume Mère
Exemple :
2 g/mL
F= =2 Il faut donc diluer 2 fois la solution
1 g/mL
200 mL 200 mL
2= Vm= =100 mL
Vm 2
On prélèvera donc 100 mL de solution mère pour faire cet solution fille.
Chapitre 2 : Oxydoréduction et bilan de matière
Une équation : 2H+ + Cl- + Zn → Zn2+ + H2
4 mol X 2 mol 0 0
0 X 0 2 mol 2 mol
L’octane :
C8 + H18 + 25/2O2 → 8CO2 + 9H2O
Pour avoir une combustion complète, on doit équilibrer chaque coefficients stœchiométriques.
Cu2+ + Fe → Cu + Fe2+
Ici, Cu est le réducteur car il peut gagner deux électrons et Cu2+ est l’oxydant car il perd 2 électrons.
On note : Cu2+ / Cu
Cu2+ / Cu et Fe2+ / Fe
On met 2 demi-équations :
MnO4- → Mn2+
-
MnO4 → Mn2+ + 4H2O
- +
MnO4 + 8H → Mn2+ + 4H2O
+7 +2
On équilibre les électrons :
On écrit 2 demi-équations
1 oxydation
1 réduction
Et la somme des 2 en éliminant e-
Avec le couple :
Le tableau d’avancement dans la réaction entre l’ammoniac NH3 et du dioxyde de carbone CO2 forme de l’urée
CO(NH2)2 et de l’eau
On a 5 mol NH3 et 3 mol de CO2.
Remarque : Quand un réactif est limitant, il reste encore les autres réactifs.
En général on calcul xmax et la réaction s’arrête avec la disparition d’un réactif (réactif limitant)
Dans ce cas, la réaction est totale.
Par exemple :
xf < xmax Cette réaction est partielle car il reste des réactifs.
On a un autre une autre réaction avec 40 mmol d’éthanol (C2H5OH), 10 mmol de permanganate de potassium (MnO4-)
et de l’hydrogène en excès. Cela donne C2H4O, du Mn2+ et de l’eau H2O.
Le dosage par étalonnage consiste à établir plusieurs mélanges avec différentes concentration et
les comparer avec une solution de concentration non connu. On peut ensuite mesurer avec un
colorimètre l’Absorbance des différentes solutions pour trouver celle qui s’approche le plus de la
solution non connu.
Un colorimètre :
Une lumière passe dans une cuve (tube à essais) et un récepteur analyse la lumière transmise de
l’autre côté (Absorbance). On peut mesurer l’Absorbance sur plusieurs longueurs d’ondes :
Ici le diiode absorbe plus le violet ; bleu, avec ce cercle des couleurs complémentaires on sait la
couleur du diode :
Donc : A = K * C
Le dosage par étalonnage :
Le titrage :
Le titrage est basé sur une réaction chimique entre 2 espèces = on doit déterminer une
équivalence.
2nA + nB = C
donc 2nB = nA
nB
nA=
2
Bilan : A l’équivalence, on remarque un changement de réactif limitant ou les réactifs sont les
proportionnalité stœchiométrique.
La force de gravitation :
⃗ ⃗ G∗m∗m '
F =m'∗⃗g F= ⃗u G étant la constante de gravitation. G=6,67*10-11 S.I.
d²
G∗m
g=
d²
6,62∗10−11∗62 −11
Par exemple : Un homme de 62 kg à 10m crée : g= =4,13∗10 <9,8
10²
Le robot Curiosity qui a une masse de 900kg, a, sur Mars un poids de 3340 N. Sachant que la
masse de Mars est de 6,42*1023kg
P 3340
La force de gravitation sur Mars est de : ⃗
F =m'∗⃗g ; g= = =3,71 m∗s ²
m 900
Et, la distance de Mars est :
G∗m g m g m∗G 6,42∗1023∗6,62∗10−11
g= ; = ; d ²=m ;d ²= = = √ 1,15∗1013=3,39∗10 6 m
d ² G d² G g 3,71
Le rayon de Mars est de 3,39*10³ km.
La force électrostatique :
La force électrostatique peut avoir lieu : en arrachant une charge (électrons) → frottement
: avec un contact entre les deux matières → contact
: à distance entre deux matières → influence
Par exemple avec la force attractive où les les signes sont contraires :
La loi de Columb :
K∗q1∗q2 9
9∗10 ∗C∗C
Fe= 2
;N=
d m
Exemple avec :
9∗109∗(1,6∗10−19)2 −8
Fe= −10 2
=2,304∗10 N
(10 )
−11 −27 2
6,67∗10 ∗(1,7∗10 ) −44
Fe= −10 2
=1,93∗10 N
(10 )
Fe 2,3∗10−8 36
= =10 Donc Fg est négligeable comparé à Fe.
Fg 2∗10− 44
Si 2 particules s’attirent, elles n’auront pas le même signe, le contraire si elles sont répulsives.
Chapitre 5 : statique des fluides
F( N )
p(Pa)=
S(m2 )
Les volumes :
La loi de Boyle Mariotte montre qu’une constante (a) est égale à la Pression * le Volume :
P*V= constante (a) Quand la Température est constante.
La plongée sous-marine :
Plus la pression augmente, plus le volume de gaz est élevé donc, à 10m on doit prendre 2 fois plus
de gaz qu’à 0m.
La pression augmente de 10 000 Pa/m donc, tout les 10m la pression augmente de 1 Bar.
100 000 Pa = 1 bar
1mbar = 1hPa
La trajectoire est l’ensemble des points où passe un objet. Il est rectiligne (une droite) ou curviligne.
Le vecteur vitesse est constant avec une vitesse constante et a le vecteur à la même direction (qui
est donc rectiligne).
Le mouvement de quelque chose par rapport au soleil fait partie du référentiel héliocentrique.
Le mouvement de la Lune dans le référentiel géocentrique est un cercle. (elle tourne autour de la
Terre).
Les forces :
Un objet en mouvement rectiligne et uniforme à ses forces qui se compensent avec le poids qui est
dirigé verticalement (du centre de l’objet en direction du centre de la terre). Il a aussi une réaction
du sol ou une force exercé sur lui pour qui la somme des 2 forces soit nul. Cette objet peut donc
être immobile.
Le vecteur Δ ⃗v a la même direction que la somme des Forces (on l’appelle la variation de
vitesse.)
m∗Δ ⃗v
Σ⃗
F= où la force est en Newton ; la masse en Kg ; la vitesse en m/s ; le temps en seconde
Δt
Epp = m * g * z
Sous la forme :
On peut prendre n’importe quel référentiel mais le plus important est de calculer la variation entre
2 positions d’un objet. Par exemple, en tombant, la pomme perd de l’énergie potentielle.
2. Energie cinétique
On la note Ec. Elle est présente quand un objet en mouvement accumule de l’énergie.
La formule est :
1
Ec = ∗m∗v 2
2
A 36 Km/h :
1 2
Ec = ∗1000 Kg∗10 m/s=50 000 J
2
A 72 Km/h :
1 2
Ec = ∗1000 Kg∗20 m/s=200 000 J
2
3. La conservation de l’énergie
Em=E c + E p
1 1 1
Em= ∗m∗v 2 +m∗g∗h= ∗1 Kg∗v 2+1 Kg∗10 m/ s−2∗0 m= ∗1 v 2+ 0=0,5 v2
2 2 2
vf =√ 2∗g∗h → Cela nous montre que la vitesse ne dépend pas de la masse mais de la hauteur
de la chute.
On peut relever un angle (ɑ) entre la distance entre deux points et une force qui est exercé sur un
objet sur la distance.
- si 90 < ɑ < 180 → Travail résistant car la force est opposé au mouvement.
cos ɑ < 0 W AB ( ⃗f )=0
Le travail du poids
⃗ )⋅( AB)=P∗AB∗cos(
W AB ( P ⃗ α )=m∗g∗( y A − y B )
Cela revient à faire mgh, l’énergie potentielle.
Δ Em =W AB ( ⃗f )
Chapitre 8 : Structure des édifices chimiques :
I) Le modèle de Lewis
l’ion oxygène :
→ Il va devenir stable car sa dernière couche sera pleine (rare). Il faut gagner 2e-.
O
Le cas d’une molécule :
NH3 :
N H
H
L’ion polyatomique :
H
+
H N H
H
Les molécules peuvent être ionique (différence > 1,7) ; polaires (0,4 < différence < 1,7) ou apolaire
(différence < 0,4) en raison l’électronégativité des atomes.
1. L’électronégativité
Certains atomes attirent plus les électrons que les autres, c’est l’électronégativité.
→ Voir tableau.
Remarque : si la différence est trop grande, on aura 2 ions.
- La cohésion est assurée avec les forces électriques (c’est très important => le cristal est très
stable avec une température de fusion de 800°C)
Solide moléculaire :
L’eau H2O a elle une Tfus = 100°C car il y a des liaisons H entre 1 Hydrogène et 1 atome.
II) Dissolution :
A retenir :
Un solvant polaire (eau) va bien avec un soluté ionique (sel) / polaire (sucre).
Un solvant apolaire (cyclohexane) va bien avec des espèces apolaires (I2)
nsoluté
S= avec S en mol/L ; n le nombre de mol.
V solution
ou
m soluté
S= avec S en g/L et m la masse.
V solution
La concentration :
nsoluté
→ Concentration en soluté C=
V solution
n Fe2+ ¿
On utilise le plus souvent une extraction par solvant avec une ampoule à décanter.
Par exemple, Si on extrait du diiode dans de l’eau, on peut utiliser du cyclohexane car le diiode et le
cyclohexane sont apolaire (grande solubilité) et le cyclohexane n’est pas miscible dans l’eau.
Dans un savon, il y a 2 parties, une lipophile (vers l’eau) et une hydrophile (vers les graisses) .
Chapitre 10 : Energie électrique :
I) Introduction :
Les tensions :
En série, l’addition des tensions aux lampes est égale au tension aux bornes du générateur :
Ug = U1 + U2 + U3
Ug = U1 = U2
L’intensité :
Ig = I1 = I2
En dérivation, l’addition de l’intensité aux lampes est égale à l’intensité aux bornes du générateur :
Ig = I1 + I2
La loi d’Ohm :
Elle est noté avec Ω qui est l’unité de résistance (conducteur ohmique)
Exemples :
Quand U = 100 V
U 100
1er cas : R = 100 Ω → I= = =1A
R 100
U 100
2ème cas : R = 1 Ω I= = = 100 A
R 1
Pour la Puissance :
P = U*I
avec P en W, U en V et I en A.
Pour l’énergie :
E = P*Δt
avec E en J, P en W, Δt en s.
Pour la puissance, quand on parle de déperdition, on soustrait.
|Q|
I= avec I en A, Q (la charge électrique) en Colomb C, Δt en s.
Δt
P max
η=
P lum
avec Plum= E*S avec E l’éclairement de cellule en W/m² et S la surface en m²
et Pmax la puissance maximal électrique d’un générateur.
On prend environ 100lux = 1 W/m².
Plus simplement :
La chaîne énergétique :
1. Le générateur idéal
Exemple :
U 6
U = RI donc I= = =0,06 A=60 mA .
R 100
2. Un générateur « réel »
On peut dire que une pile + une résistance de 100 Ω est la même chose qu’un générateur idéal avec
une petite résistance + une résistance de 100 Ω.
La puissance électrique : C’est très rapide de calculer la puissance avec P = IU, on peut retenir
certaines puissance propre à des dipôles et générateurs :
- Pampoule : xW
- Pcentrale nucléaire : 1000 MW
- Péolienne : 1 MW
- Pgrille pain : 1000 W
Chapitre 11 : Structure des composés organiques :
1. (TP Savon)
2. (TP Aspirine)
3. Cours
Un composé organique :
On dit qu’une chaîne carbonée est linéaire si elle contient des atomes de carbone à la suite qui ne
sont pas en cycle. Au maximum, 1 atome de carbone est lié à 2 atomes de carbone.
On dit qu’elle est ramifiée si un des atomes de carbone est liée à plus de 2 atomes de carbone. La
chaîne principale est donc celle contenant le plus d’atome de carbone.
Exemple :
Les alcanes :
On a le tableau suivant :
Pour la suite, il faut rajouter -ane avec un préfixe grec qui correspond au nombre.
La formule brut n’est pas précise car il y a plusieurs molécules possible avec une. En effet, les
groupements alkyles (ramifications) dérive le nom de l’alcane contenant le même nombre
d’atomes de carbone. On remplace donc -ane par -yl.
Par exemple pour le Méthane : méthyl
Éthane : éthyl
Propane : propyl
Quand la formule brut est la même et que l’on ne retrouve pas la même molécules, alors on les
appellent des isomères.
Exemple :
Les alcools :
Un alcool est une molécule organique qui est un groupe caractéristique hydroxyle. De manière
-OH.
Pour la numérotation, on l’intègre entre le nom de chaîne et le -ol. Il correspond au plus petit
numéro où est situer le groupe hydroxyle.
Ensuite, on place devant les groupements alkyles présents.
Exemple :
4-méthyl pentan-2-ol
Les aldéhydes et les cétones sont des composés oxygénés qui contiennent le groupe C--O
« carbonyle ».
Un aldéhyde est un composé carbonylé dont le carbone fonctionnelle possède 1H. Le groupe
carbonyle se trouve obligatoirement en bout de chaîne.
Une cétone est un composé carbonylé donc le carbone fonctionnelle est lié à 2 carbones.
Pour les aldéhydes, on remplace tout simplement -ane par -anal de manière :
Méthane : Méthanal
Pour les cétones, on remplace tout simplement -ane par -anone de manière :
Méthane : Méthanone
Pour la numérotation, on l’intègre entre le nom de chaîne et le -one. Il correspond au plus petit
numéro où est situer le groupe.
Ensuite, on place devant les groupements alkyles présents.
Exemple :
Aldéhydes
2,4-diméthyl pentanal
Cétones
3-méthyl pentan-2-one
Les acides carboxyliques sont des composés oxygénés qui contiennent le groupe carboxyle.
Il est obligatoirement en bout de chaîne.
acide propanoïque
La spectroscopie infrarouge :
Le spectre infrarouge :
Dans une molécule, les liaisons peuvent absorber certains rayonnements infrarouges. Chaque type
de liaison absorbe une longueur d’onde précise.
On utilise la transmittance notée T pour calculer la longueur d’onde. On l’exprime en
pourcentage.
1
Sigma correspond à : σ = L’unité est en cm-1.
λ
La présence d’une liaison est montrée par une bande d’absorption dirigé vers le bas.
On les reconnaît avec les différences de largeurs, d’intensités et des nombres d’ondes.
Les caractéristiques :
Chapitre 12 : Synthèse des composés organiques :
La synthèse en chimie organique :
La synthèse d’une espèce chimique est la création d’une nouvelle espèce. Elle est dite organique
quand elle mène à une molécule organique.
On peut donc créer des molécules rares comme pour faire des pneus de voitures.
La transformation chimique :
La transformation chimique :
Si le produit à isoler est un solide, on le sépare du mélange réactionnel par une filtration ou une
sous-vide. On utilise alors un Filtre Büchner.
L’étape de purification a pour but d’éliminer les impuretés présentes dans le produit synthétisé.
c
Dans un milieu (n) : v = où n est l’indice du milieu (air= 1 ; diamant= 2,42 ; verre= 1,5)
n
Quand elle reste dans un même milieu, on remarque que la lumière se déplace en ligne droite.
Le terme « monochromatique » signifie qu’il y a une seule couleur.
A la rencontre d’un autre milieu, les rayons incidents se réfléchissent et sont également réfractés.
On appelle les lentilles convergentes celles qui ont un bord plus fin que le centre et qui grossissent
la taille d’un texte.
On appelle les lentilles divergentes celles qui ont un bord plus épais que le centre et qui diminuent
la taille du texte.
Dans un schéma, une lentille convergente est représentée par une double flèche. On nomme son
centre optique O et l’axe optique et celui perpendiculaire à la lentille et passant par O.
Avec un objet AB et une lentille convergente, on peut repérer plusieurs propagations de la lumière
avec différentes dispositions.
En vert, la lumière est envoyé perpendiculairement à la lentille et est donc déviée vers le bas où elle
va passer vers le foyer image.
En bleu, la lumière passe au centre O et continue donc en ligne droite.
En rouge, la lumière passe sur le foyer objet et sort donc perpendiculairement à la lentille.
1
On caractérise essentiellement une lentille par sa vergence noté C= Elle se note δ (delta) en
f'
dioptrie. Avec f’ en mètre.
La taille de l’image par rapport à celle de l’objet s’évalue avec le grandissement. On le note γ
taille de l' image A ' B '
(gamma) avec la relation : γ = =
taille de l ' objet AB
Quand le grandissement est négatif, alors l’image est inversé ; si il est plus grand que 1, alors
l’image est plus grande qu’à l’origine.
1 1 1 1
Donc, avec : − = + =9,58
OA ' OA 0,12 0,8
Cela se nomme la relation de conjugaison qui amène à trouver la vergence.
OA ' AB'
=
OA AB
Le résultat est la vergence de la lentille. Ici, aux alentours de 10.
La mise au point :
Pour avoir une image clair avec un objet qui change de place, nous devons effectuer une mise au
point, pour cela, on a 2 solutions :
- La mise au point par déplacement de la lentille comme sur un appareil photo.
- La mise au point par modification de la distance focale comme sur un smartphone ou comme nos
yeux.
La focométrie :
- Avec la méthode de l’objet à l’infini. Avec la distance, les rayons arrivent parallèles à la lentille.
Donc, l’image se créer sur le foyer image, donc à la distance focale.
- Avec la méthode de l’autocollimation on place un miroir juste après la lentille. Celle si renvoi
une image sur un écran que l’on peut placer à l’endroit de l’objet d’origine. A l’endroit ou cette
objet’ est nette, on a notre distance focale.
La lumière :
Quand on regarde des écrans plats, on retrouve le principe des couleurs primaires dans les pixels.
Pour avoir un pixel jaune, on allume une DEL rouge et une verte.
Dans le cas contraire, on peut soustraire les couleurs avec un fond blanc (qui renvoi toutes les
couleurs) :
C’est une propagation d’une perturbation (énergie) dans un milieu matériel sans déplacement de
matière.
Le séisme :
Avec des sismographes, on peut savoir quand on lieu les tremblements de Terre. Mais, en réalité,
on peut connaître la position de l’épicentre car on peut connaître la vitesse de propagation des deux
types d’ondes en fonction d’une profondeur.
Le tsunamis :
Un tsunamis est une onde en mer. Elle se propage a très grande vitesse et se caractérise grâce à une
vague. Mais, à l’arrivée sur le rivage, cette vague prend de la hauteur car elle gagne en énergie
potentielle puisqu’elle perd son énergie cinétique.
Sur la plage, quelqu’un peut prendre une période temporelle de 4s entre chaque vague.
Sur l’eau, une autre peut prendre une période spatiale de 10m. C’est la longueur d’onde.
λ 10 m
C= = =2,5 m⋅s−1
T 4s
On peut considérer la lumière comme une onde électromagnétique (OEM). Elles peuvent se
propager dans un milieu ou dans le vide. Ce type d’onde est caractérisé par une longueur d’onde et
une fréquence.
Longueur d’onde : distance entre 2 sommets successifs. Noté lambda (λ) en mètre.
Fréquence : notée nu (ν) en hertz. C’est le nombre de vibration par seconde.
L’œil humain n’est sensible qu’aux longueurs d’ondes entre 400 nm et 800 nm. On appelle cela le
domaine visible.
On peut associer à un photon une énergie en rapport avec la constante de Planck qui correspond à :
L’énergie n’étant pas une unité très adapté, on utilise donc l’électron-volt avec le symbole eV où :
1 eV = 1,60 *10-19 J
On remarquera ensuite que cette énergie créé provient des électrons des atomes qui sautent et
redescendent des couches.
On peut le voir avec l’atome de sodium :