Consolidation
Consolidation
Consolidation
Finance
Animé par
2021 / 2022
Dr. CHIKRI Hassan
Plan du cours
I - NOTION DE GROUPE
II - LE CONTEXTE
III - CONSOLIDATION
IV - LE PÉRIMÈTRE DE CONSOLIDATION
V - LES MÉTHODES DE CONSOLIDATION
VI - LE PROCESSUS DE CONSOLIDATION
VII - LES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS
VIII - LES VARIATIONS DE PÉRIMÈTRE
Notion de groupe
Définition
Larousse:
« Société financière qui détient des participations dans d’autres
sociétés et dont la fonction est d’en assurer l’unité de direction ».
Forme du groupe
Mr. A doit donner ses propres garanties aux banques. En cas de défaillance, ses biens seront donc engagés.
Mr. A Mr. B
100%
H
100 % 100 % 100 %
Remonter des
Mr. B ne donne pas de garantie dividendes.
F1 F2 F3 personnel.
Mr. A
100 %
Héritage ou acquisition seulement
Mr. B H
Contrôle total de holding
F1 F2 F3
Les avantages de l’organisation en groupe
Synergie
Mise en
commun de moyens, Services Achats 250 000
qui se renforcent entre
Services comptables 120 000
eux pour aboutir à un
même but. Direction générale 600 000
3. De gérer la trésorerie au niveau du groupe avec une meilleure allocation des ressources ;
B C D Total
Trésorerie 1 000 000 -200 000 1 500 000 2 300 000
69 000
Gain 51 000
Les avantages de l’organisation en groupe
4. Le Cash Pooling
« Leveraged By Out »
6. D’optimiser les charges de structures et les fonctions de support (comptabilité, informatique, juridique,
les achats, …)
A B C TOTAL
Chiffre d'affaires 10 000 000 5 000 000 5 000 000 20 000 000
Charges communes 533 500 266 750 266 750 1 067 000
Synergie
Filiales A B C TOTAL
Chiffre d'affaires 10 000 000 5 000 000 5 000 000 20 000 000 Chiffre d'affaires 1 067 000
Services Achats 200 000 156 000 160 000 516 000 Services Achats 250 000
Services comptables 120 000 120 000 120 000 360 000 Services comptables 120 000
Direction générale 200 000 200 000 200 000 600 000 Direction générale 600 000
Quote part charges 35% 32% 33% 100% Gain probable 506 000
NB : La création d’un groupe financier réduit les prélèvements fiscaux, accroit le free-cash-flow et la
rentabilité, et par conséquent la capacité d’investissement du groupe.
Les avantages de l’organisation en groupe
Ces produits, sous réserve de l’application de la condition prévue ci-dessus, ainsi que ceux
de source étrangère sont compris dans les produits financiers de la société bénéficiaire avec
un abattement de 100%.
Les avantages de l’organisation en groupe
Les filiales n’ont qu’à se concentrer sur leur cœur d’activité, ce qui est
un gain de productivité, de temps et donc d’argent.
3. La notion de groupe en droit
Loi de finances 2020 et Holding familiale : les modalités pratiques de la mise en œuvre.
• Par dérogation à l’article 67 -II, cette opération exclut les titres des
sociétés à prépondérance immobilière et ceux des sociétés
transparentes fiscalement
3. La reconnaissance de la notion de groupe en droit
Loi de finances 2020 et Holding familiale : les modalités pratiques de la mise en œuvre.
Traitement comptable :
Loi de finances 2020 et Holding familiale : les modalités pratiques de la mise en œuvre.
Traitement fiscal :
• L’écart entre la valeur d’apport et la valeur d’origine des titres est une plus
value qui est considérée comme un profit mobilier.
Loi de finances 2020 et Holding familiale : les modalités pratiques de la mise en œuvre.
• La cession des titres est autorisée hors délai (sans condition de délai)
En cas de non-respect des conditions susvisées, la plus-value réalisée suite
à l’opération d’apport est imposable dans les conditions de droit commun, sans
préjudice de l’application des sanctions prévues par les dispositions de l’article
208 du C.G.I.
La cession ultérieure des titres constitue le fait générateur de la taxation.
D’abord, lorsque la société bénéficiaire de l’apport cède ultérieurement les
titres de capital susvisés, la plus-value nette résultant de cette cession est
déterminée par la différence entre le prix de cession et la valeur des titres au
moment de l’apport.
3. La reconnaissance de la notion de groupe en droit
Loi de finances 2020 et Holding familiale : les modalités pratiques de la mise en œuvre.
Cette imposition est libératoire de tous autres impôts et taxes sur les bénéfices
ou les revenus.
Après expiration de ce délai de quinze (15) ans, les sociétés holding offshore
sont soumises à l’I.S. dans les conditions de droit commun.
Par ailleurs, elles bénéficient d’une exonération permanente sur les dividendes
distribués aux actionnaires au prorata du chiffre d’affaires offshore
correspondant aux prestations de services exonérés.
3. La reconnaissance de la notion de groupe en droit
Les opérations faites par ces sociétés et effectuées au profit des banques
offshores ou de personnes physiques ou morales non résidentes et payées en
monnaies étrangères convertibles.
3. La reconnaissance de la notion de groupe en droit
Les dividendes distribués par les sociétés holding offshore à leurs actionnaires
bénéficient d’une exonération de la taxe sur les produits des actions, parts
sociales et revenus assimilés. Cette déduction s’effectue au prorata du chiffre
d’affaires correspondant aux prestations de services exonérées.
Les traitements, émoluments et salaires bruts versés aux personnels salariés non-
résidents sont soumis à une retenue à la source au taux de 20% libératoire de
l’IR (article 73-II-F, 8° CGI).
Il en résulte que l’apport fait aux sociétés holding, quelle que soit sa nature
(numéraires, immeuble, titres de participations) sont passibles des droits
d’enregistrement au taux proportionnel de 0,25%.
Une totale liberté de change est accordée aux sociétés holdings offshore dans le
cadre de leurs opérations avec les non-résidents.
Les opérations avec des résidents (par exemple, l’octroi d’un crédit) sont soumises
à l’approbation préalable de l’office des changes.
Elles sont tenues d’opérer tous leurs règlements au Maroc au moyen de comptes en
devises ou de comptes étrangers en dirhams convertibles ouverts auprès des
banques marocaines intermédiaires agréées à cette fin par l’administration.
Au niveau du régime de change
• Les donations, le cas échéant, entre membres d'une même famille pour
assurer l'équité entre les membres (demande d'exonération des plus-values et
des droits d'enregistrement pour les donations entre descendants ou parents).
La feuille de route pour la création d'une société holding
- Mise en place d'un accord de cash pooling entre les sociétés du groupe avec
une banque de premier rang;
Aménagement
Parc Haliopolis SA 51%
Oued Fès 100%
Société d’Aménagement du Parc Selouane (SAPS) 68%
Atlantic Free Zone Investment (AFZI) 100%
Agropolis 100%
Technopole d’Oujda 100%
Midparc Invest 100%
Jnane Saïss Développement (JSD) 100%
Compagnie Générale Immobilière (CGI) 98,1%
Dyar Al Mansour 98,1%
Promotionnel
Immobilier
& Maîtrise
d’Ouvrage
Ingénierie
Déléguée
Ingeplan 84,2%
Tanger Med Engineering (TME) 47,6%
CGI Management 98,1%
Lacivac 100%
MEDZ Sourcing 100%
Management &
Compagnie Générale des Parkings (CG Park) 100%
Gestion pour
Exprom Facilities 40%
Compte
Facility
Avilmar 49%
Rabat Parking 49%
Casa Développement 49%
Témara Développement 49%
Atlantic Free Zone Management (AFZM) 100%
Cellulose du Maroc (CDM) 100%
Fonds Eucaforest 100%
Golf Green Company (GGC) 98,1%
Créative Technologies 100%
Autres Participations
✓Objectifs
Pourquoi consolider les comptes?
✓Insuffisance des comptes individuels
ou
- au référentiel de l’IASB (International Accounting Standards
Board) et qui comprend :
Le contrôle de droit
Elle est souvent complexe, car la frontière entre le contrôle exclusif, le contrôle
conjoint, l’influence notable, voire l’absence de contrôle est parfois ténue.
L’examen des niveaux de détention de titres est par conséquent une des tâches
essentielles de la consolidation.
Le contrôle de droit
Dans de nombreux pays, la lois permet aux statuts de limiter le nombre de voix
dont chaque actionnaire dispose dans les assemblées, indépendamment du
nombre d’actions détenues.
Le contrôle de droit
2. créent différentes catégories d’actions (A, B, C) avec différents systèmes de droits de vote, dont
certaines actions sans droit de vote;
3. réservent des droits de vote double à certains porteurs d’actions nominativement dénommés
4. Prévoient des certificats de droit de vote créés lors de l’émission de certificats d’investissement
Les C.I correspondent aux droits pécuniaires de l’action (droit aux dividendes
et au boni de liquidation).
NB :Seuls les certificats de droit de vote sont pris en compte pour le calcul du pourcentage de
contrôle.
Le contrôle de droit
5. Divers.
De plus en plus des actions sont démembrées et conduisent à scinder l’usufruit et la nue
propriété;
L’usufruitier a le droit aux dividendes et les droits de vote à l’assemblée générale ordinaire
(AGO);
• Liaison directe
• Liaison réciproque
• Liaison circulaire
Le contrôle de droit
Liaison réciproque
Liaison circulaire
Le cas d’une liaison circulaire ne bouclant
Sté
pas sur la société mère.
Téta
Pour le calcul des droits de vote de Téta dans
Gamma, en cas de liaison circulaire, il faut
rechercher les droits de vote pouvant être
utilisés par Téta lors de l’assemblée générale
de Gamma, il est de 92 %.
Téta contrôle Gamma directement,
X par l’intermédiaire de Gamma
Sté. Sté. Z
et Z par l’intermédiaire de X.
X
Le contrôle de fait
Il y a contrôle de fait lorsque dans la pratique, la mère nomme la
majorité des membres de l’organe de direction sans détenir la
majorité, soit plus de 50 %, des droits de vote de l’entreprise.
L’entreprise contrôle les politiques financière et opérationnelle de l’entité ad hoc en vertu d’un
contrat la liant aux apporteurs de capitaux.
Ces clauses imposent des limitations strictes et permanentes au pouvoir de décision des organes
de direction nommés par les apporteurs de capitaux.
Elles prévoient fréquemment que la politique opérationnelle de l’entité ne pourra pas être
modifiée sans l’accord de l’entreprise.
Ce contrat assure en quelque sorte un « pilotage automatique » par l’entreprise même si celle-ci
3
L’interprétation SIC-12 dispose qu’une « entité ad hoc doit être consolidée quand
en substance, la relation entre l’entité ad hoc et l’entreprise indique que l’entité
ad hoc est contrôlée par l’entreprise ».
L’entreprise doit consolider l’entité ad hoc même si elle ne détient aucune action
!
Les normes IAS/IFRS en n’exigeant plus de lien en capital pour rendre
obligatoire l’intégration une entité ad hoc dans le périmètre de consolidation.
L’interprétation SIC-12 définit ensuite les critères définissant la nature du
contrôle sur une entité ad hoc, en plus de ceux définis par la norme IAS 27 :
1. en substance, les activités de l’entité ad hoc sont menées pour le compte de
l’entreprise, selon ses besoins opérationnels spécifiques de façon à ce que
l’entreprise obtienne les avantages de l’activité de l’entité ad hoc ;
Le traitement en consolidation des entités ad hoc
Lorsque ces trois critères sont remplis, l’entité ad hoc doit être
consolidée par intégration globale dans les comptes de l’entreprise
pour laquelle elle réalise ses opérations.
Cette solution se justifie par le fait que l’entreprise contrôle les
actifs de l’entité.
Si cette entité est détenue exclusivement par des personnes
extérieures au groupe, ses capitaux propres seront par conséquent
inscrits en totalité en intérêts minoritaires.
La complexité croissante des montages déconsolidant
L’entité contrôlée conjointement passe des contrats en son nom, lève les
financements nécessaires à son activité, établit ses propres comptes individuels.
Les coassociés peuvent apporter à cette entité des compétences, du matériel, de
la trésorerie… qui sont comptabilisés dans les comptes individuels de la co-
entreprise.
Chaque coassocié a droit à une quote-part dans les résultats de l’entité contrôlée
conjointement.
La norme IAS 31 énonce que c’est l’existence d’un accord contractuel qui
permet de distinguer l’entité contrôlée conjointement d’une participation dans
laquelle l’investisseur exerce une influence notable.
Contrôle conjoint ou co-entreprises
Le contrat :
Il traite habituellement des questions suivantes :
– l’activité, la durée et les obligations de communication financière de
l’entité contrôlée conjointement ;
– la désignation du conseil d’administration ou autre organe de
direction similaire de l’entité et les droits de vote des coassociés ;
– les apports en capital des coassociés ;
– le mode de désignation du gérant…
Contrôle conjoint ou co-entreprises
Une entreprise est présumée exercer une influence notable si elle détient
directement ou indirectement 20 % ou plus des droits de vote dans une autre
entreprise, sauf à démontrer clairement que ce n’est pas le cas.
L’entreprise ayant plus de 20 % des droits de vote peut démontrer qu’elle
n’exerce pas d’influence notable, notamment parce que le reste du capital est
détenu par un seul actionnaire.
À l’inverse, un investisseur peut démontrer qu’il exerce une influence notable
avec moins de 20 % des droits de vote de l’entreprise détenue.
Ce seuil de 20 % ne constitue donc qu’une présomption, qui peut être
confirmée ou contredite par des éléments factuels.
II- LE PÉRIMÈTRE DE CONSOLIDATION
Les éléments factuels qui caractérisent l’influence notable sont les suivants :
1. représentation au conseil d’administration ou à l’organe d’administration
équivalent de l’entreprise détenue ;
2. participation au processus d’élaboration des politiques ;
3. transactions significatives entre l’investisseur et l’entreprise détenue ;
4. échange de personnels dirigeants ; ou
5. fourniture d’informations techniques essentielles.
III- LES MÉTHODES DE CONSOLIDATION
Méthodes de consolidations
Méthode de
Nature de la relation Dénomination Objectifs de la présentation économique des comptes consolides Normes
consolidation
La Ste. M détient 40% du capital de la société F – soit une Entité contrôlée ou filiale (sous contrôle exclusif) ;
Dans ce cas la Ste. F peut être – soit une Co-entreprise (sous contrôle conjoint) ;
– soit une Entité associée (sous influence notable).
1. Le choix d’une méthode de consolidation
Charges financières 5 5 10 10
Intérêts minoritaires 60 % x 10 6
F (intégration globale)
Actif Passif
– +
Coût d’acquisition des titres F -50 Résultat consolidé F 4
+
Intérêts minoritaires dans F 96
+
Dettes F 90
Ou
Bilan consolidé groupe Ste. M 40% Ste. M + 40 % F Éliminer les titres F Consolidé Ste. M
Ste. M + F (40 %)
Ste.M 40 % F
intégrer
Charges financières 5 2 7
Intérêts minoritaires
Résultat net (part du groupe) 24
3. L’intégration proportionnelle
Actif Passif
– +
Dettes F (40 %) 36
Total 50 Total 50
3. L’intégration proportionnelle
Ou
Mise en Mise en
Consolidé Consolidé
Ste. M équivalenc Ste. M équivalenc
Ste. M Ste. M
e de F e de F
Réserves
Titres F 50 -50 0 100 10 110
consolidées
Titres F mis en
64 64 Résultat consolidé 20 4 24
équivalence
Total capitaux
Actifs circulants 180 180 270 14 284
propres
Dettes 80 80
Actif Passif
Total 14 Total 14
5. Comparaison des trois méthodes
Intégration
% Ste. M x (Actifs F – Dettes F) 40 % x (250 – 90) = 64
proportionnelle
1. La définition du périmètre
2. Les retraitements d’homogénéisation
3. L’élimination des opérations internes au groupe
4. Les impôts différés
5. La conversion des comptes en devises
6. Les opérations de consolidation
1. La définition du périmètre
Dividendes
Lorsqu’une société consolidée verse un dividende à une autre société du groupe cela représente
au niveau des comptes individuels une diminution des capitaux propres pour l’entreprise qui
verse le dividende et un produit financier pour l’entreprise qui le reçoit.
Ce résultat doit être éliminé au niveau de l’entité qui perçoit le dividende.
Les comptes réciproques de créances et dettes ainsi que de charges et produits sont
éliminés.
L’élimination de ces opérations permet au groupe de n’afficher dans ses états financiers que
les seules transactions à l’égard de tiers.
L’élimination des comptes réciproques ne s’effectue qu’entre entreprises consolidées par
I.G ou I.P.
Cas I.G, les créances et dettes ainsi que les produits et charges sont éliminés dans leur
totalité. Par contre, l’élimination des opérations entre une entreprise intégrée globalement et
une entreprise intégrée proportionnellement s’effectue dans la limite du pourcentage
d’intégration de la société intégrée proportionnellement.
La différence entre le montant de la créance ou dette et la quote-part éliminée est assimilée
à une créance ou dette envers des entreprises extérieures au groupe.
Pour les charges et produits. Aucune information n’est imposée dans les états financiers
consolidés sur les transactions intragroupe.
Si l’entreprise est mise en équivalence, les opérations réciproques ne sont pas éliminées.
4- Les impôts différés
•les différences permanentes qui sont des écarts entre le résultat consolidé et le
résultat fiscal définitifs (exemple : amende définitivement non déductible,
dividende reçu non imposable).
Société Mère M
M détient
400 actions
16 000 actions 6 000 actions
2 000 actions
T.A.F:
Calculer le pourcentage de contrôle de M dans toutes les filiales.?
Le taux de contrôle s’obtient par le rapport des actions détenues par la société mère sur le nombre total des actions qui composent le
capital de la filiale :
Taux de contrôle = Action s détenues par la société mère ,
Actions totales formant le capital de la filiale
Solution
Périmètre de consolidation
1 -Pourcentage de contrôle.
La société mère M détient 5 000 actions (dont 4 000 actions à double droit de
vote) dans le capital de sa filiale F composé de 12 000 actions (dont 5 000
actions sont à double droit de vote).
Les autres actions sont ordinaires.
T.A.F:
Calculer le pourcentage de contrôle de M dans toutes les filiales.?
Solution
Périmètre de consolidation
1 -Pourcentage de contrôle .
Société Mère M
Contrôle direct :
F1 70% Contrôle exclusif
F2 30% Contrôle exclusif non atteint
Contrôle indirect :
F’1 55% Le contrôle e F1 est assuré, il permet
Société mère : M
3 600 actions
2 250 actions
3 000 actions
3 750 actions
Contrôle direct = 3 000 / 10 000 = 30% Le contrôle de F’1 est assuré par la
F’1
Contrôle indirect est assuré par le contrôle participation directe et la participation indirecte
exclusif de F1 : (3 750 / 10 000) = 37,5% puisque la filiale F1 st contrôlée
Contrôle cumulé = 30% + 37,5% = 67,5% exclusivement.
Contrôle direct = 2 250/ 15 000 = 15% Le contrôle de F’2 est assuré uniquement
Contrôle indirect : nul puisque le contrôle par la participation directe, puisque le
F’2
de F2 n’est pas assuré contrôle de F2 ne revient pas à M.
Exercices
Périmètre de consolidation
1 -Pourcentage de contrôle.
Société mère
90 % 70 %
80
%
A 10 %
B C
60 % 30 %
40 %
50 %
D 60 %
21 %
E
5 %
H F 10 % G
Solution
Périmètre de consolidation
1 -Pourcentage de contrôle.
A 90% 90%
B 80% 80%
C 70% 70%
D 36% 40%