Hadid Belkacem
Hadid Belkacem
Hadid Belkacem
MÉMOIRE
DE FIN D’ÉTUDES
EN VUE DE L’OBTENTION DU DIPLOME DE
MASTER PROFESSIONNEL EN ENERGETIQUE
PROMOTION: 2013/2014
Je tiens à remercier mes parents qu’ils ont veillé sur mes études depuis mon enfance, et qu’ils
sont toujours à mes cotés, je remercie aussi tous mes amis qui m’ont soutenus pour faire ce
travail.
Mes remerciements adressés aussi à mon enseignant promoteur monsieur Mohellbi Hakim
qui m’a aidé à suivre un plan de travail qui traduit bien mon projet de fin d’études, ainsi à
monsieur Boulahya Mohamed mon Co-encadreur au sein de l’entreprise
Je remercie bien encore tous les personnels des deux organismes universitaire (UMMTO) et
industriel (SONATRACH) qui ont contribué à la réalisation de ce modeste travail.
Introduction.............................................................................................................................. 09
II.9.2Théoreme de Bernoulli..................................................................................................... 15
Introduction............................................................................................................................. 21
Introduction.............................................................................................................................. 32
Figure II.09 Ecoulement sous pression dans une conduite inclinée ........................................... 19
Tableau II.1 Caractéristiques des puits injecteur d’eau dans le champ d’Amassak …….……07
Tableau IV.2 Diamètres optimaux de la dorsale pour les différentes vitesses d’écoulement..34
Tableau IV.3 Diamètres optimaux pour la dessertes pour les différentes vitesses
d’écoulement………………………………………………………………...………………..34
Tableau IV.9 Les pertes de charges linéaires pour toute l’installation ………………….43
Tableau IV.10 La pression réelle pour chaque puits injecteur ……………………………….47
Z hauteur L m
PT Pression en tête de puits M.L-4 bar
V Vitesse moyenne d’écoulement L.T-1 m.s-1
s Surface L2 m2
Masse volumique M.L-3 Kg.m3
Q Débit volumique L-3.T-1 l.s-1
P Pression par unité de poids L m
T température K
g Accélération de la pesanteur L.T-2 m.s-1
H Charge totale par unité de poids L m
∆H Perte de charge L m
L longueur L m
D Diamètre L m
λ Coefficient de perte de charge linéaire - -
Dh Diamètre hydraulique L m
Pm Périmètre mouillé L m
S section L2 m2
Rugosité L m
Re Nombre de Reynolds - -
L-1 -1
µ Viscosité dynamique du fluide M. .T Kg.m-1.s-1
Viscosité cinématique du fluide L2.s-1 m2.s-1
k Coefficient de perte de charge locale - -
N Nombre de puits - -
Pf Pression de fond de gisement bar
Qp Débit reçu par chaque puits L-3.T-1 l.s-1
longueur L m
Epaisseur L mm
Pms Pression max de service M.L-4 bars
Contrainte maximale de matériau M.L-6 Kgf.mm2
Limite d’élasticité de l’acier M.L-6 Kg.mm2
Résistance à la rupture M.L-6 Kg.mm2
E Epaisseur de la corrosion L mm
Ke Coefficient tenant compte de lieu - -
géographique
Ps Pression de service M.L-4 bars
Vr Vitesse réelle d’écoulement L.T-1 m.s-1
∆P Perte de charge par unité de longueur L m
" Unité de longueur anglo-saxonne pouce pouce
Le projet de maintien de pression par injection d’eau, dans le champ d’Amassak, rentre dans
la conservation de l’énergie naturelle du gisement.
Elle nécessite une installation de surface qui assure une pression ainsi qu’un débit déterminé
à l’injection dans les puits injecteurs d’eau, en maintenant la pression de la couche
constanteen tenant compte de l’équilibrede la balance injection-production.
Ces paramètres, une fois calcules nous permettent de definir la pression de refoulement
nécessaire à la pompe d’injection pour qu’elle puisse véhiculer le débit nécessaire aux têtes
des puits injecteurs.
Mon travail est divisé en quatre chapitres dont les deux premiers portent des généralités sur
les pompes ainsi que sur les écoulements et deux parties essentielles, la première partie nous
renseigne sur l’intérêt de l’injection d’eau dans un gisement de pétrole et les paramètres à
prendre en compte pour qu’une installation d’injectiond’eau soit faite, comme on a parlé sur
les différents puits dans la production pétrolière.
Tandis que la deuxième partie, est la partie dimensionnements des conduites et calcul de
différentes pertes de charges pour arriver à définir la pression de refoulement de notre pompe
et la comparer à la pression de refoulement de la pompe existante et de conclure de
dimensionnement de cette dernière.
Plusieurs techniques de récupération d’huile ont été utilisées dans la région de TFT : récupération
primaire (puits éruptifs), et récupération secondaire (gaz Lift, maintien de pression par injection
d’eau).
1300 km
TFT
DIRECTION REGIONALE
DIVISION INTANDANCE
l’un des compresseurs est toujours en marche tendis que l’autre servant de réserve ; les installations
sont conçues pour une capacité de 250Nm/h à la sortie du sécheur.
L’objectif de ce travail, est de voir si on pourra apporter une pression de refoulement amoindrie par
rapport à la pression de refoulement de la pompe existante.
Certaines données restent celles qui sont prises pour le projet existant telles que :
Ø Le tracé de projet
Ø Les données relatives aux puits injecteurs d’eau
Ø Les distances entre deux puits consécutifs
Ø Le débit total d’eau à injecter
Cependant les paramètres de calcul liés aux conduites ne seront pas forcément les mêmes
Notre projet comportera une conduite principale acheminant l’eau d’injection de la station de
traitement et de pompage du centre dit Tamendjelt, vers le manifold à partir de là, trois conduites
prévues pour véhiculer l’eau vers les têtes de puits injecteurs d’eau.
On aura besoin de robinetterie (deux types de vannes) pour l’isolation de tronçons et celles de
commandes.
C’est délibérément que l’on prend le site d’installation de l’injection d’eau du champ d’AMASSAK
sur le lieu actuel dit centre TAMANDJELT distant d’environ 49,4 km du puits injecteur le plus
éloigné dans le champ AMASSAK du fait que ce centre est bien positionné facilement accessible et
qu’il comporte aussi d’autres installations ;des bacs de stockage d’eau d’injection aspirée à partir des
puits producteurs d’eau et un centre de séparation de gaz lift.
X= 367500
Y= 31744300
Z= 341m
Autrement dit ce sont des conduites de surface ; et rectilignes du fait que il n’existe pas d’obstacles, la
topographie du lieu qui étant plane donc il s’agit d’un tracé direct surfacique qui minimise les pertes
de charge singulières. Il y a également un avantage lié au climat de la zone qui est un climat chaud et
sec, donc pas de problème de gel de l’eau transportée ; tout cela impacte positivement sur la durée
d’exécution de notre projet en plus du coût de l’installation qui sera amoindri.
Le débit d’eau qui doit être injecté dans le champ d’AMASSAK est estimé à 3500m3/Jr soit 4,05.10-
2
m3/s.
Le nombre de puits injecteurs du champ est 08 puits ; dont 05 en service et les trois puits restant sont
des puits fermés. Cette fermeture est cause d’arrêt de production de certains puits producteurs de
pétrole qui suit l’injection abusée d’eau.
Le département gisement dans la direction production, nous renseigne sur l’état de puits injecteurs il a
mis à notre disposition les paramètres nécessaires pour le calcul et le dimensionnement ces données
sont résumées dans le tableau suivant.
Tableau I.1 caractéristiques des puits injecteurs d’eau champ AMASSAK [8]
Pour notre projet, on adapte la norme API pour les conduites, la robinetterie ainsi que pour la pompe
d’injection cette norme est définie par l’institut américain de pétrole (American Petroleum Institute).
La figure suivante qui donne la configuration des puits injecteurs d’eau et les puits producteurs d’huile
ainsi que leurs cordonnées et la pression de gisement dans les différents points de champ d’Amassak.
Introduction
Une pompe, c’est un appareil mécanique servant à véhiculer un liquide d’un point A à un
point B ; elle permet aussi de prendre un liquide d’une pression 1et de le porter à une
pression 2 avec (P1<P2).
Pour véhiculer un liquide d’un endroit de basse pression à un autre de pression élevée, la
pompe doit fournir une pression qu’on appelle hauteur manométrique totale, cette pression est
la transformation de l’énergie mécanique fournie par le moteur, en énergie potentielle ; cela
dépend toujours des conditions d’aspiration et de refoulement.
L’énergie requise pour faire fonctionner une pompe, dépend de nombreux facteurs rencontrés
dans l’étude des écoulements et ceux se résument :
L’écoulement dans une pompe volumétrique résulte une variation d’une capacité ou volume
occupé par le liquide.
Pour les projets de l’industrie pétrolière, les pompes centrifuges s’avèrent les plus répandues
et cela pour beaucoup d’avantages qu’elles présentent on cite :
La pompe centrifuge doit fournir l’énergie nécessaire pour assurer le débit demandé dans le
réseau en gardent nos besoins en hauteur statique et en hauteur dynamique c'est-à-dire la
pompe doit assurer la pression nécessaire entre les deux points de départ et d’arrivée, et de
compenser les pertes de charges.
Les courbes principales qui caractérisent une pompe centrifuge et qui expriment ses
performances sont de nombre de quatre courbes, ces représentations graphiques rapportent
des données relatives à la hauteur manométrique totale de la pompe, à la puissance absorbée
par la pompe, à son rendement et au débit à élever en fonction de la capacité de la pompe.
C’est une représentation graphique qui exprime les variations de différentes hauteurs
d’élévation en fonction du débit = ( ).
Elle représente les variations de la puissance absorbée en fonction du débit refoulé, son allure
est parabolique dont sa courbure est vers le bas = ( ).
10
H C1
H eff
C2
C3
Comme on l’a mentionné au paravant, la pompe doit fournir une énergie au liquide sous
forme de hauteur manométrique totale de la pompe qu’on note HMT.
Cette grandeur HMT, représente la hauteur de liquide qui pourra être obtenue dans la
tuyauterie de refoulement de la pompe par rapport au niveau de liquide à l’aspiration.
La hauteur HMT est fonction de débit, cette relation est donnée par la courbe du constructeur
HMT= ( )cela veut dire que pour un débit donné la pompe doit fournir à son refoulement
la pression nécessaire pour surmonter le liquide à un point donné soit HMT1 comme montre
la figure suivante :
11
La charge d’un liquide dans une conduite, correspond à son énergie en ce point.
La perte de charge par frottement entre deux points dans une conduite qu’on note par ∆Hf soit
H la hauteur qui permet de vaincre la force engendrée par la différence de niveau du liquide,
La relation empirique (II.2) permet de trouver la courbe de réseau qui est fonction du débit
refoulé par la pompe et la perte de charge linéaire dans cette conduite.
Les pertes de charges dans le réseau sont en fonction de carré de débit ∆H= ( ).
On définit le NPSH par Net Positive Succion Head (charge nette absolue à l’aspiration)
Ceci dit que le liquide qui aborde l’impulseur de la pompe centrifuge, doit être animé par une
vitesse spécifique suffisante pour pénétrer la roue, et sa pression à l’entrée de pompe doit être
supérieure à la tension de vapeur Tv pour une température donnée.
On peut écrire :
13
= .
− − .
(II.3)
Un écoulement est le mouvement de fluide, contrairement aux solides les éléments d’un fluide
peuvent se déplacer à des vitesses différentes.
On s’intéresse à la dynamique des fluides incompressibles qui est régie par des équations de
conservation de masse et conservation de l’énergie
En plus de ces types d’écoulement cités précédemment, il peut être aussi caractérisé par son
régime c'est-à-dire stationnaire ou permanant quand le mouvement des particules ne dépend
pas du temps en chaque point de l’écoulement ; instationnaire ou variable dans le cas contraire
a) Régime laminaire, ou chaque particule décrit une trajectoire bien définie et animée
d’une vitesse uniquement dans sens de l’écoulement.
b) Régime turbulent, en plus de la vitesse de la particule dans le sens d’écoulement, un
mouvement d’agitation est observé avec des composantes transversales à l’écoulement
Approximativement :
On classe les régimes d’écoulement par les valeurs de nombre Reynolds comme suit
14
Dans le cas d’un liquide en écoulement dans un tube de section S1 d’entrée et S2 de sortie
Pour = constant
+ + = (II.6)
Expressions générales
Les pertes de charges linéaires dans les écoulements en charges, dans une conduite circulaire
rectilignes, sont régies par l’équation :
Δ = (II.7)
15
Avec :
a =λ . (II.9) [1]
∆H : perte de charge ou perte d’énergie, mesurée en hauteur de liquide par unité de poids
écoulé.
λ : le coefficient de perte de charge ou facteur de résistance, est sans dimension, il est fonction
de nombre de Reynolds Re et de la rugosité relative où est la rugosité absolue de la
conduite
Dh= (II.10)
• La viscosité de fluide
• La vitesse d’écoulement
• Et le diamètre hydraulique
On écrit :
= = (II.11)
= (II.12) [1]
Dans un diagramme logarithmique l’expression est représentée par une droite appelée droite
de Poiseuille, on remplace (II.18) en (II.13) on obtient la formule de poiseuille, valable pour
un fluide quelconque en régime laminaire s’écoulant dans un tuyau circulaire.
.
Δ 1 = 32 = 4,15 (II.13) [1]
.
16
= 0,221 0,237
+0,0032 (II.15) [1]
La formule de Karman-Prandtl :
Fondée à partir des rugosités artificielles, cette rugosité est réalisée dans un laboratoire, ce
sont des grains de sables de tailles bien déterminées qu’ils sont collés dans les parois d’une
conduite de diamètre approprié pour la soumettre aux essais est cette formule donnée par :
17
La perte de charge singulière, localisée dans une section de la conduite, elle est provoquée
par :
18
Comme pour les pertes de charges linéaires, les pertes de charge singulières se traduisent par
la relation :
Δ = où Δ = (II.19)[1]
Soit une ligne de courant en régime permanent. En chaque point de cette ligne à une cote z au
dessus d’un point de repère, les différentes particules qui occupent successivement ce point
sont portées à une pression P est sont animées d’une vitesse ⃗.
En chaque point de la ligne de courant, on définit les charges ou les énergies suivantes :
2
2 ∆H
Za
b
Zb
Plan de référence
La figure présente la charge de liquide au point donné (a) correspond à son énergie en ce point
qui est présentée sous les trois formes. Ep, Ec et Et
19
Si une de ces énergie est absente le cas de point (b) ou il n ya pas l’énergie cinétique Ec
Il y compensation de cette énergie par l’énergie potentielle Ep. Ep (b) > Ep (a)
II.11 Conclusion
Ce chapitre permet de nous introduire aux calculs de projet, mais avant de commencer la
partie calcul, on va essayer de donner l’intérêt de projet dans l’industrie pétrolière ainsi que
les paramètres à prendre en compte avant sa mise œuvre.
20
Introduction :
L’injection de l’eau est une méthode de récupération des hydrocarbures, elle contribue à la
récupération élevée de ces derniers, comme elle maintient la pression de gisement, cette
méthode est la plus répandue dans les récupérations secondaires de pétrole, sa mise en œuvre
nécessite des études relatives au gisement.
Un gisement de pétrole est un volume de roches poreuses, les pores de ces roches contiennent
des fluides appelés hydrocarbures fossiles.
Le gisement à huile généralement est situé entre deux couches de fluides l’eau de dessous et
le gaz de dessus.
Les hydrocarbures fossiles sont les constituants de pétrole et de gaz issus de la décomposition
des matières organiques accumulées il ya environ 500 millions d’années.
Le champ ordovicien d’Amassak reste le plus important dans la région de TFT en qualité de
production d’huile avec une proportion de GOR (gas oïl ratio) élevée par rapport à celle de
gaz cap.
21
Cependant, un puits peut avoir une autre utilité comme exemple l’injection d’eau ou
l’injection de gaz.
Un puits producteur d’huile est un puits à travers lequel l’effluent provenant du gisement
passe, sous la différence de pression créée entre le gisement et le trou de forage l’eau injectée
ou le gaz injecté balaie l’huile contenue dans le gisement vers ce trou de forage.
22
Comme on peut trouver des puits éruptifs producteurs dans un gisement sans faire appel au
système de récupération secondaire c'est-à-dire lorsqu’ il y a une grande différence de
pression entre le fond de réservoir et le trou de forage le fluide se monte dans le tubing de
puits.
Un puits injecteur est un puits dans lequel on injecte un fluide au lieu d’en produire.
L’objectif de ces puits est de maintenir la pression dans le gisement, et de permettre le bon
balayage d’huile du gisement.
Il existe deux types d’injection l’injection par le gaz et l’injection par l’eau, les deux ont
pratiquement le même principe de fonctionnement sauf différence de configuration au fond
de puits.
L’injection par le gaz se faite par la partie supérieure du gisement tandis que l’injection par
l’eau se faite par la partie inférieure du gisement ; cette différence est due à la densité des
deux fluide qui est grande.
23
Dans un gisement de pétrole, l’huile se trouve entre une couche d’eau et une autre couche de
gaz, les pressions qu’exercent ces deux fluides sur l’épaisseur d’huile la pousse à sortir du
trou de forage.
Avec la variation de la pression dans le puits lac composition de l’effluent change, c'est-à-dire
la proportion de gaz dans l’effluent est fonction de la pression de gisement si celle là est
grande il y a une grande proportion de gaz qui se dissoute dans l’effluent.
Le double effet de l’injection d’eau et le maintien de pression ont une influence sur le
fonctionnement des puits injecteurs, le débit d’eau d’injection est dépendant de la différence
de pression de fond et la pression en tête de puits commandée par une vanne duse.
Pour un bon balayage d’huile, d’importantes quantités doivent être injectées dans le gisement
et l’écart pression entre le fond et la surface doit être maintenue
La récupération secondaire par l’injection d’eau reste le plus ancien procédé employé aux
USA , soit 80%de la production totale depuis ce procédé adapté depuis 1970.
24
700 1400
Huile
600 1200
Huile (X103m3/année)
Inj. Eau
400 800
300 600
²
200 400
100 200
0 0
1975 1980 1985 1990 1995 2000 2005
Années
Mais, en dehors de cet objectif de récupération secondaire, l’injection d’eau peut être
employé pour :
25
Dans un réservoir Avec une certaine pente, on cherchera à disposer les puits d’injection de
façon telle que la pesanteur rend le déplacement assez régulier que possible .Dans les cas
notamment ou un gisement présente un gas-cap et un aquifère, il est intéressant d’injecter soit
du gaz dans le gas-cap, soit de l’eau dans l’aquifère au voisinage de l’interface huile-eau,
injection d’eau périphérique. Dans le cas d’une injection d’eau, les puits producteurs situés en
aval-pendage seront souvent reconvertis en injecteur lorsque l’eau aura envahi la zone
correspondante.
Pour obtenir un balayage uniforme, les puits producteur et injecteurs sont alors répartis
suivants un schéma assez régulier : il s’agit d’injection dispersée ou répartie `dans la zone à
huile.
Différentes configurations sont employées : les puits sont implantés en ligne directe, ou
décalés avec en particulier des schémas à 5 puits (Five spot) ,7 puits (seven spot) ou 9puits
(nine spot).
26
Les divers types de récupération secondaire font apparaître que tous ces procèdes de drainage
de l’huile se présentent sous l’aspect d’un balayage de réservoir entre puits injecteur et
producteur. Il s’agit toujours d’un écoulement de fluide et de ce fait, il existe un certain
nombre de caractéristiques de la roche magasin dont l’influence sur la récupération est
importante, de même que la nature des fluides en place et fluide injectés.
Comme le drainage résulte d’écoulement entre les puits, l’une des conditions de réussite à ce
qu’aucune barrière imperméable ne s’oppose a cette circulation.
III.4.2 La profondeur :
w Sur le plan technique : Si la profondeur est faible, on est limité en ce qui concerne les
pressions à mètre en œuvre, et le débit d’injection par puits est donc, aussi limité.
27
w Porosité : Plus la porosité est grande, plus la saturation en huile est possible ce qui est un
avantage pour la récupération primaire et secondaire.
w La pression capillaire : Les phénomènes capillaires ont une influence qui est en fonction
du rythme d’exploitation.il ont parfois un rôle utile dans la régularisation de l’avancée du
front séparant deux fluides immiscibles en milieu poreux hétérogène.
Les viscosités, les perméabilités, ainsi que le rapport de mobilité, par exemple si les viscosités
sont très élevées la vitesse du déplacement sera très faible et la récupération sera moindre.
Une bonne connaissance de la roche et les interactions entres ses fluides est d'importance
majeure à la compréhension de performance du balayage avec l’eau (waterflooding). Deux ou
plusieurs phases sont considérées comme nom miscible à une température et une pression
spécifiques, s’il se forme une interface visible après que les phases ont été mélangées avec
suffisamment du temps pour obtenir l’équilibre.
28
L’eau est le fluide d’injection, vu qu’on obtient un coefficient de récupération plus élevé à
celui d’injection de gaz.
D’un point de vue économique, un projet d’injection d’eau nécessite des coûts
supplémentaires lors de son extraction et son traitement alors que, les frais engagés pour le
gaz sont amoindris mais les quantités balayées par l’eau sont très élevées par rapport aux
autres procédés de récupérations secondaires.
Le réservoir choisi doit contenir la quantité d’eau suffisante pour assurer l’injection et la
compensation de fluide (huile) dans le gisement puisque c’est un projet de maintien de
pression dans le gisement, on doit tenir compte de coût d’exploitation.
D’ailleurs dans la région de TFT beaucoup de réservoirs candidats mais avec de différentes
quantités d’eau.
L’eau d’injection doit présenter de bonnes propriétés chimiques et biologiques afin d’éviter
les problèmes de corrosion et de dépôts insolubles.
Le mélange de cette eau d’injection et l’eau de gisement ordovicien qui contient des ions de
Ba ++, Sr++, Ca++ peut engendrer de problèmes tels que :
29
Pour cela, une étude de compatibilité des eaux d’injection et celle de gisement doit être prise
en compte pour éviter les phénomènes qu’on vient de citer.
La séparation de mélange gaz/eau des effluents provenant d’un gaz lift est assurée par un
séparateur de type horizontal fonctionnant avec un taux de rétention de deux minutes qui
permet de traiter 5000m3/jr d’eau et 100 000Sm3 /jr de gaz.
L’installation d’injection d’eau haute pression permet de traiter, filtrer, et refouler un débit de
3500m3 /jr d’eau à une pression de 220bars effective maximum.
A l’entrée de la station deux pompes boosters sont installées (P02 A et B). Elles servent à
compenser les pertes de charges du réseau de tuyauteries et de l’unité de filtration et
permettent de disposer d’une pression suffisante à l’aspiration de la pompe principale
d’injection.
L’une des deux pompes est toujours en service. Elle est affectée à l’alimentation de la pompe
d’injection l’autre pompe en réserve, est utilisée pour l’alimentation de lavage des filtres la
pression d’alimentation de l’eau de lavage est réglée par une vanne autorégulatrice.
En amont de ces deux pompe on injecte de polyélectolyte celle-là facilite la floculation des
matières en suspension dans l’eau, avant la filtration de celle-ci.
30
L’eau traverse ensuite un poste de filtration constitué de deux filtres bicouches (S01 A et B)
installés en parallèle, permettant l’élimination des particules supérieures à 3µm.
En aval du poste de filtration, l’eau filtrée reçoit les différents produits additifs (Bactéricide,
inhibiteur de corrosion) justifiées par des analyses au laboratoire de compatibilité.
Puis, la mise en pression de l’eau filtrée est assurée par la pompe d’injection haute pression.
Une vanne de régulation située au refoulement de la pompe haute pression permet de régler et
de limiter le débit d’eau et la pression de l’eau en sortie de la station.
A la sortie de la station d’injection, l’eau haute pression est alors dirigée par l’intermédiaire
d’une dorsale principale de diamètre de 10’’ soit 25,2mm vers un manifold de distribution
situé sur le champ de AMASSAK distant de 33,4 km de la station d’injection. Ensuite un
réseau de dessertes alimente les puits injecteurs d’eau.
Ces puits, actuellement au nombre de huit5/ 8 qu’ils sont en marches, ils sont équipés en
surface de matériels nécessaires pour une bonne exploitation (vanne duse, manomètre,
soupape, et enregistreur de débit). Ces équipements ne dotent d’aucun automatisme lié à la
salle de contrôle du centre TAM contrairement aux deux premières parties suscitées elles sont
commandées par une salle de contrôle.
III.7 Conclusion :
On a pu donné des informations sur le gisement d’Amassak, ainsi que des détails sur la station
d’injection d’eau, pour mettre la liaison entre les deux endroit un calcul de dimensionnement
conduites est nécessaire pour définir la pression de refoulement que devra fournir la pompe de
la station d’injection pour assurer la liaison en eau d’injection.
31
Introduction
Pour cela beaucoup de facteurs et paramètres sont à prendre en considération, compte tenu
des aspects : économiques, techniques et d’accessibilité puisque toute étude d’un projet est
fondamentalement basée sur le coût de l’installation et d’exploitation, le temps des opérations
ainsi que l’encombrement des équipements. En plus de la consommation cumulée de l’énergie
d’entrainement puisqu’il s’agit d’une installation qui consomme de l’énergie pour fournir une
puissance, quelle devra être le minimal possible.
Pour calculer les conduites nous avons besoin des données à nos calculs, ces données sont
pratiquement recensées par le département gisement qui les a mises à notre disposition, elles
sont présentées dans le premier chapitre.
= (IV.1)
Il faut signaler que le débit réel injecté dans chaque puits, n’est pas forcement la moyenne du
débit total ; car les têtes des puits injecteurs sont dotées des équipements régulateurs de débits
et de pressions vannes duses (vannes régulatrices).
C’est par hypothèse qu’on a pris le débit de chaque puits comme étant la moyenne
arithmétique du débit total.
La vitesse d’écoulement de l’eau dans les différentes conduites sera comprise entre 0,5 et 1,5
m/s. 0,5 < V < 1,5. En tenant compte du fait que le fluide est Newtonien.
Cet intervalle de vitesse est adapté pour ce genre de fluide Newtonien car une vitesse
inférieure à 0,5m/s favorise la formation des dépôts sur les parois des conduites ce qui
engendre la réduction des diamètres intérieures comme elle favorise la formations des
pellicules d’air dans les conduites, pour des vitesses supérieures à 1,5m/s le phénomène de
32
coup de bélier est possible ce qui peut détruire le réseau en provoquant le flambage dans les
pipes que des ruptures des conduites au niveau des singularités.
Réseau desserte
Distributeur
Les paramètres cités le débit et la vitesse permettent le calcul des diamètres des conduites
pour les différents tronçons de l’installation.
Le débit d’eau circulant dans une conduite est donné par la relation suivante :
Q=V.S = . ⇒ = (IV.2)
33
La desserte, est définie par les conduites d’eau du distributeur vers les puits injecteurs d’eau,
pour le calcul de ces diamètres on procède de la même façon que pour la dorsale.
Sachant que le distributeur a quatre sorties donc une desserte composée de quatre conduites .
Avec l’hypothèse Qtde débit uniformément réparti sur ce réseau
Tableau IV.3 :diamètres optimaux pour la desserte pour les différentes vitesses d’écoulement
.
= (IV.3)
.
D’où :
.
= (IV.4)
.
34
Le matériau utilisé pour tous les tronçons de notre installation est l’acier allié du type :
5LX52. Sa désignation donnée par la norme API (American Petroleum Institute).
Le choix de ce type d’acier est basé fondamentalement sur le fait qu’il admet :
On doit aussi calculer la pression maximale de service Pms donnée comme suit :
Comme on l’a fixé le diamètre optimal ou économique est de 10" soit 254 mm (voir tableau
IV.2) pour la conduite acheminant l’eau de la station de pompage vers le distributeur à partir
de l’équation (IV.3)
Dint = 241,3mm.
35
Comme on a trouvé dans les calculs précédents, les diamètres normalisés pour le réseau
desserte sont le 4" et le 6"
4" et 6" en tenant compte des épaisseurs normalisées sont respectivement 89,56mm et 138,18
mm.
Diamètre (") Diamètre ext. épaisseur épaisseur nor. Diamètre int. Vitesse réelle
Normalisé mm calculée mm mm mm Vr
m/s
4 101,6 4,61 6,02 89,56 1,29
6 152,4 4,92 7,11 138,18 1,08
10 254 5,54 6,35 241,3 0,89
Il existe deux types de pertes de charge dans un réseau de distribution d’un fluide.
Ces deux types se résument en pertes de charge par frottements ou les pertes dites pertes de
charge régulières ou pertes linéaires et le deuxième type, les pertes de charges locales (pertes
singulières).
36
SP P2
P1 ∆Z
Z2
Z1
Plan de référence
L’écoulement du liquide est permanent dans la conduite, il est régi par l’équation suivante :
+ . . + + . = 0(IV.6)
+ . + + =0 (IV.7)
On a d’autre part :
D = constante ⇒ =0
Finalement :
Δ . .
= +Δ (IV.8)
. .
37
Il est nécessaire aussi d’avoir des données sur le fluide véhiculé soient :
La rugosité absolue des conduites ou la hauteur moyenne des aspérités est à : 0,045mm
Cette donnée est fournie par le constructeur de la conduite puisqu’on travaille avec des
données normalisées (norme américaine API).Elle reste valable pour tous les diamètres de
l’installation.
Calcul du nombre de Reynolds Re pour la dorsale de l’équation (I.17) pour les valeurs
données dans le tableau (IV.5) aussi pour les caractéristiques du fluide :
Re= 3,90.105
On remarque que Re>>> 2300 donc le régime d’écoulement est un régime turbulent.
,
= , + 0,0032 (IV.9)
38
On trouve : λ= 0,013
Cette valeur deλ, est le coefficient de pertes de charges linéaire pour la dorsale de diamètre
normalisé de 254 mm pour le nombre de Reynolds Re = 3.9 .105calculé à partir de la relation
(IV.9)
C’est la même procédure de calcul de λ pour le réseau de desserte allant du manifold vers les
puits injecteurs. En utilisant la relation (IV.9)
Tronçon D De Di Q V Re λ
(") (mm) Mm (mm) (m3/s) m/s) (105) (10-4)
Il faut rappeler que le rôle primordial de manifold, est de répartir le débit total Qt sur le
nombre de puits, il est caractérisé par une entrée venant de la station de pompage TAM à10"
de diamètre, et quatre sorties dont deux à 6" et les deux autres à 4", on a seulement trois qui
39
sont en service et la quatrième est une sortie de sécurité prévue s’il y a forage d’autres puits
injecteurs d’eau ; leur alimentation sera prise à partir de cette sortie.
50 502
7
Ø6’’
Ø10’’
Ø4’’
’’
Ø6’’
’’
20
Ø4’’
’’
Ø10’’
On donne les distances ainsi que la différence d’altitude entre tous les points de repères de
notre installation comme le montrent les tableaux suivants.
40
Tronçon Longueur
TAM-MAN 32,1
MAN-AMA507 2,9
MAN-AMA20 1,2
AMA20-AMA35 3,0
MAN-AMA503 6,3
AMA503-AMA506 5,6
AMA506-AMA505 5,4
L’écart d’altitude est calculé entre deux points consécutifs, à savoir entre deux puits
injecteurs disposés en série ou bien entre le manifold et le puits injecteur. Il peut être calculé
en écart de pression ∆P (bar) ou bien par différence de hauteur ∆Z (m) avec la relation :
41
A partir des données des tableaux (IV.6), (IV.7) ainsi queles valeurs de λ, le calcul de pertes
de charge linéaire pour l’installation nous donne :
Tronçon ∆P L ∆Pt
(bar/km) (km) (bar)
TAM-MAN 0,213 32,1 6,85
Les pertes de charges ∆Pt obtenues dans le tableau sont calculées par le
produit de distance entre deux points consécutifs et la perte de charge par
l’unité de longueur en additionnant l’écart d’altitude entre ces deux points
Comme on les a défini précédemment chap. I les pertes locales dépendent principalement du
tracé de notre conduite, elles sont minimales lorsque le tracé ne subit pas des changements de
direction, et lorsque la conduite ne contient pas des changements de sections.
C’est le cas pour notre installation, ou ces pertes locales sont minimales du fait que le tracé
dépend de notre choix qu’on prend rectiligne, comme on l’a cité ; on n’envisage pas de
changement de sections à part les vannes et les robinets de commande et d’isolation de
tronçons et les brides reliant deux tuyaux et au manifold.Pratiquement, les pertes de charge
singulières dans les brides ce sont prise à 1% des pertes linéaires.
D’ailleurs, pour ce genre de projet ces pertes locales sont majorées à 2% de pertes linéaires.
42
Le manifold est un collecteur de distribution de débit total Qt, il est à une pression constante
Il est caractérisé par une entrée de 10" et 4 sorties dont 2 à 4" et les 2 autres à 6" comme
l’indique la figure 08.
Pour les sorties du manifold vers les têtes de puits injecteurs on va considérer les singularités
comme étant des rétrécissements brusques, dans ce cas les valeurs de seront données suivant
D=4" ⇒ = 0,4
Ces deux types sont utilisés en tenant compte des conditions d’utilisation qui sont la pression,
la nature du fluide, en favorisant :
43
Les vannes à soupapes sont de nombre de 02, une pour chaque puits injecteur, et une vanne
qui se trouve juste après la conduite de refoulement de la pompe.
Pour le calcul de pertes de charge dans ce type de vanne, on utilise la table donnant la valeur
de en fonction du diamètre de la conduite. [1]page n° 484 abaque 80
∆Hvs= 2,62 m
C’est de la même manière pour les vannes à passage direct, elles sont de nombre 04
∆Hb= 3,2 m
Finalement :
Cette valeur de ∆Hs est approximativement la même qu’on prend pour le calcul des réseaux
des conduites. Cela veut dire, en pratique ∆H singulière = 2% des pertes linéaires c’est un
calcul vérifié, puisque la valeur des pertes de charge linéaires est égale à 35,8 bar.
Après avoir calculé les différentes types de pertes de charge, et connaissant la position
géographique de chaque élément de la station d’injection ainsi leurs hauteurs.
= + [∑ Δ + ∑Δ +∆ ] (IV.13)
44
P r= 178+[1.02(70,56 + 32,4 + 36,5 + 58,8 + 39,2 + 17,6 + 68,5 + 11,15 + 57,6 + 32,2) +
1
(226,5 − 341)]
10
⇒ Pr = 210 bar.
Cette valeur de 210 bars est exactement la pression de refoulement de la pompe de la station
d’injection d’eau dans le champ d’Amassak.
1
PM=Pr − 1,02 − − 10
(IV.14)
⟹ = 197 .
= −[ + ΔZ] 1 10 (IV.15)
Le tableau suivant donne la pression réelle pour chaque puits injecteur en service.
45
Caractéristique Nomination
Constructeur WEIR
Rendement 59 %
Puissance 2000 kW
NPSH requis 17 m
Longueur 2,05 m
Poids 2320 kg
Nombre d’étages 05
IV.7 Conclusion :
Dans ce chapitre, on a pu trouver la pression de refoulement pour notre pompe, qui coïncide
avec la pression de refoulement de la pompe existante avec une petite marge d’erreur.
Ce résultat permet de dire que la pompe d’injection d’eau dans le champ d’Amassak est bien
dimensionnée.
46
Torche
Figure 17 : Schéma synoptique de l’installation de maintien de pression TFT
FILTRATION
Torche
POMPES BOOSTER
FILTRATION
7 bars 2 bars
E1
E2 POMPES INJECTION
3000 m3
3000 m3
STATION D’INJECTION
D’EAU CS2
• INJECTION : 18000 m3/j d’eau.
STATION PRODUCTION D’EAU TFNE • PRESSION : 210 bars.
• PUITS EN SCE : 16/29
PUITS INJ
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Conclusion générale
Après avoir élaboré les calculs pour l’installation de surface, de champ d’Amassak, on a
trouvé que la pression de refoulement de la pompe de notre étude pour les mêmes paramètres
de fonctionnement (le débit d’eau refoulé, les pressions en têtes de puits injecteurs et les
distances entre les différents tronçons de l’installation) est exactement la même pression de
refoulement de la pompe existante,
Autrement dit, ce calcul de la pression de refoulement qu’on a faite nous permet de dire que la
pompe existante est bien dimensionnée.
Quant à cette méthode de récupération des hydrocarbures l’injection d’eau reste la plus fiable,
sauf qu’elle représente certains inconvénients parfois majeurs, car l’injection d’eau est
généralement non uniforme autour de gisement ce qui provoque le déplacement non uniforme
de front d’eau au fond du gisement, ce dernier favorise la fracturation de la roche poreuse.
Le problème de non compatibilité des eaux, celle d’injection et celle de gisement forme des
dépôts insolubles au niveau de l’interface tubing et trou de forage qui provoque la fermeture
de puits injecteurs et la destruction des équipements de puits.
A travers ce mémoire de fin d’études, je me permets d’appréhender un projet concret dans son
ensemble depuis l’analyse de problème et le recueil de données jusqu’aux calculs et la
résolution et les recommandations.
[1] Hydraulique générale auteur Armando Lancastre édition Eyrolles cinquième tirage 2008.
[5] Projet de maintien de pression par injection d’eau gisement TFT Ordo. Mémoire de fin
d’études présenté par Tezkratt Aomar année 1991/1992. INHC Boumerdes.
[9] Analyse des paramètres petro physiques à partir des diagraphies du réservoir dovinien
gisement TFT mémoire de fin d’études présenté par Zahi Abdelhamid promotion 2012
université de Kasdi Merbah Ouargla.