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AGRICULTURE

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I INTRODUCTION

Le Niger pays sahélien avec une superficie de 1267000 KM² dont les trois
quarts désertique ; a une économie déminée par l’agriculture qui contribue a
40% au PIB est représenté le premier secteur générateur de revenu pour la
population et pour l’Etat Ce secteur agricole, qui n’exploite qu’environ 12%
du territoire national, En Europe, l’agriculture extensive dans les années
1970-1980 été assimilée à l’agriculture traditionnelle propres a certaine
région de favoriser sous l’angle des conditions naturelle :Agriculture de
montagne ;Agriculture traditionnelle de certaine région méditerrané ;Elevage
en zone humide La politique agricole commune qui a favorisé à ses débuts
l’intensification de l’agriculture s’oriente depuis sa dernière réforme adopter
en 2003 vers une nette des intensifications, notamment par le découplage des
subventions par rapport à la production
II DEFINITION
L’agriculture se défini comme ensemble des activités développer par
l’homme, dans un milieu biologique et socio-économique donner, pour
obtenir les produit végétaux et animaux qui lui sont utile en particulier se
destiner à son alimentation
Ce pendant d’innombrables défis sont relever :
*DEFIS CLIMATIQUE
Le secteur agricole nigérienne est d’abord fortement tributaire des conditions
climatique caractériser par une forte aridité accentuée par des températures
élevées, une variabilité spatiaux-temporelle et inter annuelle très forte des
précipitations ainsi que leur réduction (déplacement des isohyètes vers le
sud)
A cela il faut ajouter des pertes considérable d’eau dues au ruissellement et à
l’évaporation à partir du sol et par percolation en profondeur, le Niger à
connue de nombreuse sècheresse qui ont eu des effets néfaste sur les
secteurs agricole, A titre d’exemple entre 1980 et 2009 il a été enregistré
sept année «déficit pluvial» :1984 ; 1993 ; 1997 ; 2000 ; 2004 ; et 2009. L’un
des conséquences grave de ces facteurs climatiques et la dégradation des
terres agricoles qui contribuent ainsi largement à la baisse de production
agro-sylvo-pastorale et à la paupérisation
*DEFIS ANTHROPIQUE
En plus de la dégradation due à la condition climatique, il faut ajouter la
dégradation anthropique liée aux activités humaines notamment les pratique
agricole que performante ; des outils de travail rudimentaire dont l’utilisation
tend à fragiliser d’avantage, le piétinement, la sur exploitation des terres et
des déboisements conduise à une réduction du couvert végétal au rend les
sols vulnérable a l’érosion. Cela et aggravée par la forte intensité de orage
pluvieux.
III CONSEQUENCE SUR LES SOLS
Toute ces contraintes ont engendre au Niger des sols globalement fragiles et
climatiquement très dégrader et en effets, en dehors des valles alluviales la
majorité des sols sont de type ferrugineux tropical lessive caractériser par
une faible teneur en argile de type kaolinite, une forte sensibilité à la
battance ; au lessivage à l’érosion et à l’acidification. Ce sont des sols très
sableux dans leur majorité et sont de, se fait susceptibles à la déflation
éolienne. Ils ont une carence généralisée en matière organique (moins de
0,6% d’humus) et sont déficitaires en élément nutritifs majeur que sont
l’azote( N ), le phosphore( P ) et le potassium( K ). Selon, les terres cultivées
perdent environ 22Kg d’azote( N ), 2,5Kg de phosphore (P ) et 15Kg de
potasse (K) par hectare et par an soit 10 à 45Kg de NPK par hectare et par an.
Les sols sont épuiser et souffrent d’acidité, de faible capacité d’échange de
cation et de toxicité aulique comme l’ont indiqué dans ces conditions, la
monoculture des céréales est en grande partie responsable de cette
déficience en élément nutritifs et en matière organique ainsi que de
l’acidification des sols comme l’ont démontré.
*CAS DES TERRES DES VALLEES
Le déficit en élément fertilisant n’épargne pas aussi les terres des vallées qui
connaissent en plus, des manifestations de salinisation et d’alcalinisation
dans la zone partiellement irrigables et de problème de qualité de l’eau
d’irrigation. En effet, comme l’ont souligné, la salinité des sols et un problème
bien connu qui affecte la plupart des terres irriguées en zones aride et semi-
aride. Les conséquence sont l’augmentation du potentiel de l’eau présente
dans le sol ,qui est d’autant plus difficile a mobiliser par la plante, l’apparition
des phénomènes de toxicité de certains ions(chlorure) l’in assimilabilité des
certains élément(ZN, P, K) entrain leur carence .La dispersion des agrégats et
de la matière organique ce conduit à une réduction de la porosité et a un
tassement de sol et conséquence a la réduction de la .Les effets sont néfastes
non seulement pour l’agriculture, mais aussi pour les réserves et la qualité de
l’eau. Au regard de toutes ces contraintes et de la nécessité de produire plus
pour nourrir une population en croissance rapide, il apparait clairement que
la préservation de la capacité productive des sols est indispensables

IV TYPOLOGIE
On distingue généralement plusieurs formes d’agriculture :
_forme traditionnelle  :
Basse sur des systèmes agraires anciens, on la rencontre majoritairement
dans les pays du tiers monde. Elle se présente le souvent sous la forme d’une
agriculture vivrière et utilise des moyens techniques limité avec une main-
d’œuvre relativement nombreuse, du fait de son faible niveau de
mécanisation son type extrême et l’agriculture itinérante. Encore courante en
AFRIQUE et en AMERIQUE du sud
-forme moderne:
Cette forme d’agriculture extensive ce retrouve majoritaires dans les pays
industrialisé qui dispose démence et conduire notamment en AMERIQUE du
nord ou en Asie centrale(Kazakhstan).Elle est plus mot anisée avec souvent
une main-d’œuvre limité.
Dans ce cas le caractère extensif ne rapporte qu’au sol, la productivité de la
main- d’œuvre étant au contraire très élevée.

V AGRICULTURE DE PROTECTION DES MILIEUX

Une autre agriculture extensive vise la protection voire la restauration de la


biodiversité (avec ou sans mesures agro environnementales) et cherche
notamment pour cela limiter l’eutrophisation du sol et l’eau.
*CARACTERISTIQUES 
La persistance de ces formes d’agriculture extensive est liée a différents
facteurs :
-manque de main-d’œuvre 
-manque de moyens financiers (liés au sous-développement)
- structures sociales et traditions d’une région ou d’une communautaires)
-conditions climatiques (zones semi-arides) déformables au système intensifs
ou ne les permettant pas
-volante ou obligation de protection de l’environnement, de protection ou
restauration du sol (lutte contre l’érosion, lutte contre la désertification
maintien de la biodiversité)
Elles relèvent dans certains cas une faible maitrise du territoire ou au
contraire une gestion(traditionnelle ou moderne) adoptée a la pauvreté ou
vulnérabilité de certains sols ou milieu .Les réformes agraires ont presque
toutes visé a l’intensifier les systèmes agraires, parfois avec des effets
pervers(dégradation des sols ,salinisation, épuisement de nappes phréatique,
agriculture dépendante au pétrole ou aux importations de soja, blé ,etc. pour
des raisons de protection l’environnement contre l’eutrophisation par des
engrais et contre l’eutrophisation par des pesticide dans les pays riche
comme dans les pays pauvres des primes et encouragement a une agriculture
plus extensive sont apparus dans le cadre de la politique agricole commune
ou sur certains sites nature 2000.

VI LES PROBLEMES LIEES A LA PRODUCTION AGRICOLE


D’autres problèmes graves comme l’exploitation des travailleurs migrants, la
pollution environnementales, des maladies spécifiques certaines plantations
comme la maladie du tabac vert, ou encore des discriminations et des
violences sexuelles ont été fréquemment constatés dans la production.
VII SOLLUTION POUR L’AGRICULTURE
Dans le secteur agricole, la majeure partie des mesures du plan wallon air-
climat-énergie porte sur pratiques culturales et les apports d’intrant
Que puis-je faire dans mon exploitation ?
IL existe deux grands types des mesures pour lutter contre le réchauffement
climatique :
1 Les mesures d’atténuation qui consistent à réduire les émissions de GES .Par
exemple :
*réduire les intrants, en particuliers les engrains minéraux de synthèse.
*Accroitre la part des légumineuses en culture et en prairies.
*Optimiser la gestion des prairies : allonger la durée de pâturage et la durée
des prairies temporaires, etc.
*Développer les techniques culturales sans labour
*Développer l’agroforesterie, les haies, les arbres, les bosquets
*Faire des économies d’énergies et de transport dans l’exploitation
*Produire des énergies renouvelables
*Privilégier l’autonomie protéique et réduire les apports protéiques dans les
rations animales
2 Les mesures d’adaptation qui consistent a limité les impacts des
changements climatique
*choisir des cultures et des variétés adaptées aux stress hydrique ou
thermique
*Améliorés-optimiser les techniques d’irrigation
*privilégier des assolements qui augmentent la résilience des agro systèmes
au changement climatique
*Installer des aménagements agroenvironnementaux par exemple des
bandes anti-rosiers qui vont limiter les impacts du ruissellement par l’eau lors
d’évènement climatiques extrêmes.

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