Le poème décrit le poète Apollinaire seul dans la nuit, ouvert au monde entier comme une ivresse incontrôlable. Le poème célèbre la ville et la modernité dans leur complexité et leur ambivalence. Il suggère les soifs infinies du poète pour l'ivresse.
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Le poème décrit le poète Apollinaire seul dans la nuit, ouvert au monde entier comme une ivresse incontrôlable. Le poème célèbre la ville et la modernité dans leur complexité et leur ambivalence. Il suggère les soifs infinies du poète pour l'ivresse.
Le poème décrit le poète Apollinaire seul dans la nuit, ouvert au monde entier comme une ivresse incontrôlable. Le poème célèbre la ville et la modernité dans leur complexité et leur ambivalence. Il suggère les soifs infinies du poète pour l'ivresse.
Le poème décrit le poète Apollinaire seul dans la nuit, ouvert au monde entier comme une ivresse incontrôlable. Le poème célèbre la ville et la modernité dans leur complexité et leur ambivalence. Il suggère les soifs infinies du poète pour l'ivresse.
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Pour introduire, Apollinaire est un fameux poète français, qui est
considère comme l’un des plus grands poètes du début de XXe siècle. Il fut l’un des précurseurs du surréalisme et s’essaya également à l’écriture de nouvelles ou des calligrammes. Parmi ses œuvres cubistes il y a Zone qui évoque la modernité et qui est le dernier poème écrit, fut ajoute en tête des épreuves. Le Pont Mirabeau sur le quel devait donc s’ouvrir initialement Alcool qui est un recueil qui cherche la psychologie du poète. Le poème s’adresse directement au lecteur et fait l’éloge de la ville de Paris. Il y a beaucoup des termes mélioratifs, c’est une ville de convergence.
D’abord, on doit souligner que « Vendémiaire » le titre fait un écho au titre
du recueil Alcools et annonce clairement la thématique du vin qui va être développée dans tout le poème. Le recueil s’achève donc sur une forme de renouveau.
Le poème Vendemiaire reprend les choses presque à l'endroit où les avait
laissées « Zone », au soir du jour où il est entré dans le sommeil. La personnalité du poète ici se reforme, s'arrache à la nuit des temps, de son passé, de Paris, et renoue avec elle-même dans un chant souverain.
Le poète est le seul homme présent dans la poésie ainsi que le suggère la récurrence du pronom personnel « je » et du pronom complément « me ». Il est dans la plus grande solitude de la nuit, seul, il s’ouvre au monde tout entier qui s’offre a lui telle une ivresse incontrôlable. Les vers sont très nombreux, ils connotent l'intériorisation de l'univers, temps et espace par l'ingestion des villes successives dans le personnage du poète.
Le poème alors s’invente dans une célébration quasiment unanimiste de la
ville et de la modernité, mais célébration qui, à l’image des réalités qu’elle évoque, s’écrit dans la complexité et l’ambivalence tant au point de vue thématique que formel. Il y a un signe des soifs infinie pour l’ivresse qui rien ne semble vraiment pouvoir étancher comme « les bons vers immortels qui s’ennuient patiemment » v.151, « écoutez mes chants d’universelle ivrognerie » v.171.
Pour conclure, Le lecteur a la vision d’un être différent inaccessible,
inadapté à la réalité du monde concret. Apollinaire au vin de ce poème nous inviter a écouté « les chants universelle ivrognerie » avec un pluriel qui rappelle le titre du recueil. Vendémiaire est aussi une aube, faite d'ivresse, d'illuminations et peut-être de révolutions, comme pourrait le laisser penser la référence au calendrier républicain. On peut souligner aussi que la modernité du recueil Alcools repose sur les deux poèmes Zone et Vendemiaire qui portent des titres emblématiques. Tout les oppose, le lieu est clos et le temps fait référence au premier mois du calendrier révolutionnaire.
