TD3 BC Semaine 7
TD3 BC Semaine 7
TD3 BC Semaine 7
Semaine 7 Biochimie Clinique
Melle Sophie MARY TD3 – Les marqueurs cardiaques
Bilan standard et examens plus poussés
Signatures biochimiques qui servent aux diagnostics, aux pronostics et aux suivis… mais aussi à la stratification du risque.
Pathologies cardiaques :
• Infarctus du myocarde : pathologie ischémique
• Insuffisance cardiaque
I – Les marqueurs cardiaques
II – Cas cliniques
Exploration Marqueurs biochimiques Etiologie
Troponine I et T spécifiques Diabète, dyslipidémies
- NFS (Protéines tissus spécifique, on dose les iso-formes cardiaques, la (Dépendante ou indépendante)
- Ionogramme, forme C est identique dans tous les muscles).
- Glycémie, Dans un prélèvement sanguin d’un individu sain, il ne doit pas y avoir de
- Urée, créatinine, bilan troponine. Sinon cela indiquerait la cytolyse des cellules musculaires
hépatique complet, cardiaque par ischémie.
- EAL. Néanmoins elle est moins précoce (il faut attendre la 6h d’atteinte pour la
voir apparaître) donc moins sensible.
Douleur thoracique
Infarctus du Myoglobine
myocarde + C’est un marqueur non spécifique qui indique la lyse des muscles en
général, cependant elle est plus précoce donc plus sensible.
Angor =
Co-peptine
Syndrome
coronarien AMI (albumine modifié par l’ischémie)
C’est une protéine qui à la capacité de transporter les cobalts modifiés en cas
aigu d’ischémie.
Dédimère
BNP
Pour diagnostiquer un IDM, on a besoin que de deux des critères sur trois pour valider le choix.
Parmi les marqueurs biologiques suivants lesquels sont spécifiques d’infarctus myocardique aigu entre la 6 ème et la 11 ème heure ?
1. CPK
2. CPK-MB
3. Troponine
4. Myoglobine : augmenté mais non spécifique, signature de lyse du muscle (rhabdomyolyse).
5. LDH
Cas clinique n°2
Les personnes qui sont dans les dernières valeurs proche de la normalité ne sont pas saines, ils sont caractérisés par les personnes atteintes d’angor.
Au delà du diagnostic des IDM permet une approche globale des SCA.
La cinétique d’augmentation permet de stratifié le risque : plus elle augmente vite plus le risque est grave.
A l’examen il n’y pas de sus décalage ST persistant, ce qui permet une stratification du risque.
à S’il y a trop de risque que les troponines soient positives, on traite le patient avec des anti-agrégants.
à Si la concentration en troponine est faible, alors il n’y a qu’un faible risque de faire un IDM. Cependant on dose une 2ème fois la troponine pour vérifier
-‐ Si cette fois c’est positif on traite avec des anti-agrégants
-‐ Si c’est encore négatif on administre traitement médical pour une évaluation secondaire.
D = Vej x F
En cas d’insuffisance cardiaque le débit chute, à cause de la diminution du volume d’éjection. Pour compenser cette action l’organisme fait augmenter la fréquence cardiaque.
Sont –elles les étiologies les plus fréquentes de l’insuffisance cardiaque ?
1. HTA ?
2. Cardiomyopathie congestive ?
3. Myocardite ?
4. Alcool et tabac
5. Valvulopathie
6. Arythmies
7. Vieillissement de la population
8. La vaccination anti-grippale
9. Usage de drogues à myocardite
La dyspnée est un signe clinique spécifique de l’insuffisance cardiaque. L’hypertension est un facteur de risque.
Quels examens ?
à On effectue une natriurèse basse : En cas d’insuffisance cardiaque il y a une rétention hydro-sodée et moins de sodium dans les urines.
à Un ECG : Sur celui de Victor on peut distinguer une surcharge ventriculaire gauche (IVG).
à Et une échographie cardiaque qui montre chez Victor une hypertrophie myocardique avec un trouble de relaxation.
En cas d’OMI ? Le débit est faible ce qui implique une mauvaise circulation, la chute de la volémie. Cette chute stimule le SRAA, et en premier lieu l’aldostérone qui permet la
réabsorption du sodium mais qui peut causer des oedèmes par accumulation d’eau. C’est le second exemple de compensation qui peut causer un défaut au patient.
BNP
• Diagnostic de l’insuffisance cardiaque et de sa sévérité.
• Pronostic et optimisation de la thérapeutique : on dose régulièrement le BNP. Si il n’augmente plus ou s’il on adapte le traitement. S’il continue d’augmenter on
prévoit une hospitalisation
• Stratification du risque.