Exo Synthèse
Exo Synthèse
Exo Synthèse
SUJET 1
Exercice 1
Exercice 4
Une variable aléatoire X prend les valeur 1 ; -1 et 2 avec les probabilités respectives 𝑒 𝑎 ,
𝑒 𝑏 𝑒𝑡 𝑒 𝑐 où a, b, c sont en progression arithmétique
On suppose que l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) = 1
1. Calculer a, b, c et la variance V(X) de X
2. Soit A, B, C trois points d’abscisses respectives 1 ; -1 et 2 d’une droite graduée (∆)
a) Calculer l’abscisse du point G barycentre de {(𝐴; 1), (𝐵; 2), (𝐶; 4)}.
1
b) On pose 𝜑(𝑀) = (𝑀𝐴2 + 2𝑀𝐵2 + 4𝑀𝐶 2 ) où M est un point de (∆). Montrer que
7
𝜑(𝐺) = 𝑉(𝑋)
c) Déterminer l’ensemble (Γ) des points M de (∆) tels que 𝜑(𝑀) = 3.
Problème
Partie A
1. Déterminer les limites de g en 0 et en +∞. Etudier les variations de g et dresser son tableau de
variation.
2. a) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 avec 𝛼 ∈ ]0.27 ; 0.28[.
b) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de x.
partie B
4𝑥𝑙𝑛𝑥
On considère la fonction f définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥+1
, 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ 𝑒𝑡 𝑓(0) = 0
1.a) Montrer que f continue en 0 après avoir déterminé son ensemble de définition.
b) f est-elle dérivable en 0 ?
2. Déterminer la limite de f en +∞
4𝑔(𝑥)
3.a) Montrer que, pour tout 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ , 𝑜𝑛 𝑎 𝑓 ′ (𝑥) = (𝑥+1)2.
SUJET 2
Exercice 1
1. Démontrer que, pour tout entier naturel n : 23𝑛 − 1 est un multiple de 7 (on pourra utiliser un
raisonnement par récurrence). En déduire que 23𝑛+1 − 2 est un multiple de 7 et que 23𝑛+2 − 4 est
un multiple de 7.
2. Déterminer les restes de la division par 7 des puissances de 2.
c) Etudier le cas ou p = 3n + 2
1. Exprimer z’ en fonction de z
2. On définit la suite des points (𝑀𝑛 ) 𝑛 ∈ 𝑁 de la façon
𝑀0 𝑑′ 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑧0 = 1 + 𝑖
suivante {
𝑀𝑛 = 𝑆(𝑀𝑛−1 ) 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛 ≥ 1
𝑧𝑛 é𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙 ′ 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑛 pour tout entier naturel n
a. Déterminer les affixes des points 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3 .
b. Exprimer 𝑧𝑛 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑧𝑛−1 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛 ≥ 1.
√2 𝑛
c. En déduire que 𝑧𝑛 = (𝑖 ) 𝑧0.
2
d. Soit 𝑎𝑛 = |𝑧𝑛 | , montrer que la suite 𝑎𝑛 est une suite géométrique dont on
précisera la raison et le premier terme.
e. Etudier la convergence de suite (𝑎𝑛 ).
Exercice 3
Un sac contient 6 jetons portant chacun un numéro constituant le nombre de points qui lui est
attribué :
Un vert numéroté 3
Trois jaunes numérotés chacun 2
Deux rouges numérotés chacun 1
On tire un jeton, puis un deuxième sans remettre le premier jeton dans le sac. Calculer la
probabilité de chacun des événements suivants :
Problème
Partie A
1. Résoudre l’équation différentielle : 𝑦 ′′ − 4𝑦 ′ + 4𝑦 = 0
2. Déterminer la solution 𝜑 de cette équation, définie sur R et qui vérifie les conditions :
𝜑(0) = 0 𝑒𝑡 𝜑′ (0) = −𝑒
Partie B
SUJET 3
Exercice 1
1) Pour tout nombre complexe Z, on considère : 𝑓(𝑧) = 𝑧 4 − 10𝑧 3 − 38𝑧 2 − 90𝑧 + 261
a. Soit b un nombre réel. Exprimer en fonction de b les parties réelle et imaginaire de 𝑓(𝑖𝑏).
En déduire que 𝑓(𝑧) = 0 admet deux nombres imaginaires purs comme solution
b. Montrer qu’il existe deux nombres réels α et β, que l’on déterminera, tels que : pour tout
nombre complexe Z. 𝑓(𝑧) = (𝑧 2 + 9)(𝑧 2 + 𝛼𝑧 + 𝛽)
c. Résoudre dans C l’équation 𝑓(𝑧) = 0
2) Le plan complexe P est rapporté à un repère orthonormé.
a. Placer dans le plan P les points A, B, C et D ayant respectivement pour affixes :
𝑎 = 3𝑖 ; 𝑏 = −3𝑖 ; 𝑐 = 5 + 2𝑖 𝑒𝑡 𝑑 = 5 − 2𝑖
b. Déterminer l’affixe de l’isobarycentre G des points A, B, C et D.
c. Déterminer l’ensemble (E) des points M de P tels que
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
||𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 || = 10 .
d. Tracer (E) sur la figure précédente.
Exercice 2
𝜋
1. Soit l’intégrale 𝐾 = ∫0 𝑒 𝑥 cos(2𝑥) 𝑑𝑥
𝑒 𝜋 −1
A l’aide deux intégrations par parties successives, montrer que 𝐾 = 5
𝜋 𝜋
2. Soit 𝐼 = ∫0 𝑒 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥𝑑𝑥 𝑒𝑡 𝐽 = ∫0 𝑒 𝑥 𝑠𝑖𝑛2 𝑥𝑑𝑥 . Calculer 𝐼 + 𝐽 𝑒𝑡 𝐼 − 𝐽.
En déduire les valeurs de I et J.
3. Linéariser 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑛2 𝑥.
Retrouver directement les valeurs de I et J à l’aide de ce résultat et de la première question
Exercice 3
Le plan est rapporté à un repère orthonormé (𝑜, 𝑢, 𝑣), l’unité graphique le centimètre.
On donne le point A d’affixe i. Soit (𝛤) l’ensemble des points M du plan d’affixe Z vérifiant :
|(1 − 𝑖√3)𝑍 − √3 − 𝑖| = 6
1.a) Démontrer qu’un point M appartient à (𝛤) si et seulement si son affixe Z vérifie |𝑍 − 1| = 3
b) En déduire la nature de (𝛤).
𝑓𝑘 (0) = 0
{
𝑓𝑘 (𝑥) = 𝑥(𝑘 − 𝑙𝑛𝑥), 𝑠𝑖 𝑥 > 0.
On désigne par (𝐶𝑘 ) la courbe représentative de 𝑓𝑘 .
1. Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓𝑘 en 0
2. Pour tout nombre réel 𝑎 strictement positif, on désigne par 𝐴𝑘 le point de (𝐶𝑘 ) d’abscisse 𝑎 et
par (𝑇𝑘 ) la tangente à (𝐶𝑘 ) 𝑒𝑛 𝐴𝑘 .
a. Déterminer une équation de (𝑇𝑘 ).
b. Déterminer le point d’intersection de (𝑇𝑘 ) 𝑒𝑡 (𝑂𝐽).
c. En déduire que, lorsque k varie dans Z, les tangentes (𝑇𝑘 ) sont concourantes en un
point de l’axe (𝑂𝐽)
3. a) Pour k fixé, étudier les variations de 𝑓𝑘 .
b) En déduire les tableaux de variations de 𝑓0 , 𝑓1 𝑒𝑡 𝑓2 .
4. Construire sur le même graphique (𝐶0 ), (𝐶1 ) 𝑒𝑡 (𝐶2 ).
Problème 2
On considère la fonction f dérivable sur l’intervalle ]0; +∞[ et définie par :
1 2𝑙𝑛𝑥
𝑓(𝑥) = 2 𝑥 − 1 + 𝑥
. (C) est la représentation graphique de f dans le repère orthonormé
Partie A
On considère la fonction u dérivable sur l’intervalle ]0; +∞[ et définie par 𝑢(𝑥) = 𝑥 2 + 4 − 4𝑙𝑛𝑥
1. Etudier les variations de u.
2. Justifier que ∀ 𝑥 ∈ ]0; +∞[, u(x)> 0
Partie B
1. Calculer la limite de f en 0 et interprétation graphiquement le résultat.
𝑢(𝑥)
3.a) Vérifier que ∀ 𝑥 ∈ ]0; +∞[, 𝑓 ′ (𝑥) =
2𝑥 2
SUJET 4
Exercice 1
On considère l’équation diophantienne : 8x +5y = 1 (E) d’inconnue le couple d’entiers relatifs (x, y).
a. Citer un théorème permettant d’affirmer que l’équation (E) a des solutions.
b. Donner une solution particulière de (E).
c. Résoudre alors dans Z×Z l’équation (E).
2. Soit N un entier naturel tel qu’il existe un couple (a, b) de nombres entiers vérifiant :
𝑁 = 8𝑎 + 1
{
𝑁 = 5𝑏 + 2
a. Montrer que le couple (a, -b) est solution de (E).
b. Quel est le reste dans la division euclidienne de N par 40 ?
3. On considère l’équation : 8X +5Y = 100 (E’) d’inconnue le couple d’entiers relatifs (X , Y ).
a. Résoudre (E’).
b. Au VIIIe siècle, un groupe composé d’hommes et de femmes a dépensé 100 pièces de monnaie
dans une auberge. Les hommes ont dépensé 8 pièces chacun et les femmes 5 pièces chacune.
Combien pouvait-il y avoir d’hommes et de femmes dans le groupe ?
Exercice 2
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct
𝜋
On désigne par i le nombre complexe de module 1 et d’argument
2
On réalisera une figure que l’on complétera au fur et à mesure des questions.
𝑍−4
1. Résoudre dans l’ensemble C des nombres complexes l’équation 𝑍 = 𝑖. Écrire
la solution sous forme algébrique.
2. Résoudre dans C l’équation 𝑧 2 − 2𝑧 + 4 = 0. Écrire les solutions sous forme exponentielle.
3. Soient A, B, A′ et D les points du plan complexe d’affixes respectives :
a = 2, b = 4, a′ = 2i et d = 2+2i. Quelle est la nature du triangle ODB?
4. Soient E et F les points d’affixes respectives et 𝑒 = 1 − 𝑖√3 𝑒𝑡 𝑓 = 1 + 𝑖√3.
Quelle est la nature du quadrilatère OEAF?
5. Soit C le cercle de centre A et de rayon 2. Soit C ′ le cercle de centre A′ et de rayon 2.
𝜋
Soit r la rotation de centre O et d’angle 2
a. On désigne par E′ l’image par la rotation r du point E. Calculer l’affixe e′ du point E′.
b. Démontrer que le point E′ est un point du cercle C ′.
c. Vérifier que : 𝑒 − 𝑑 = (√3 + 2)(𝑒 ′ − 𝑑). En déduire que les points E, E′ et D sont alignés.
6. Soit D′ l’image du point D par la rotation r. Démontrer que le triangle EE′D′ est rectangle
Exercice 3
ABC est un triangle équilatéral de côté a. Soit I le barycentre de (A, 1), (B, 2), (C, -2).
a) Déterminer et construire le point I.
b) Calculer 𝐼𝐴2 , 𝐼𝐵2 𝑒𝑡 𝐼𝐶 2 en fonction de a
c) Soit k un réel.
Déterminer l’ensemble (Ek ) des points M du plan tel que : 𝑀𝐴2 + 2𝑀𝐵2 − 2𝑀𝐶 2 = 𝑘𝑎2 .
Existe-t-elle une valeur de k pour laquelle B ∈ (Ek ).
Problème 1
𝑓(0) = 0
Soit f la fonction définie sur ]0 ; +∞[ par :{
𝑓(𝑥) = −𝑥 + 𝑥𝑙𝑛𝑥
On désigne par (C) la courbe représentative de f dans le plan muni du repère orthonormé (O,I,J).
unité : 2cm
1. Calculer f(1) et f(e)
2. a) Calculer la limite de f en +∞
𝑓(𝑥)
b) Calculer la limite de 𝑥
lorsque x tend vers +∞
c) Interpréter graphiquement le résultat obtenu
3. a) Démontrer que f est continue à droite en 0
b) Etudier la dérivabilité de f à droite en 0
c) Préciser la tangente à (C) en 0
4. a) Déterminer f ‘(x) pour tout x élément de ]0 ; +∞[
b) Dresser le tableau de variation de f
c) Donner une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse e.
5. Construire (T) et (C)
6. Soit α un nombre réel tel que 0 < 𝛼 < 1
a) En utilisant une intégration par parties, démontrer que l’aire 𝐴(∝) de la partie du plan
limité par la courbe (C), la droite (OI) et les droites d’équations x=α et x=e est égale à :
1 3 1
𝐴(∝) = 𝑒 2 + (− + 𝑙𝑛 ∝) ∝2
4 4 2
problème 2
1 ln 𝑥
On considère la fonction f dérivable sur l’intervalle ]0; +∞[ 𝑒𝑡 𝑑é𝑓𝑖𝑛𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑓(𝑥) = 2 𝑥 − 1 + 2 𝑥
4. a) Démontrer que l’équation f(x)=0 admet une solution 𝛼 𝑡𝑒𝑙 𝑞𝑢𝑒 0 < 𝛼 < 𝑒
b) Déterminer une valeur approchée à 10−1 𝑝𝑟è𝑠 𝑑𝑒 𝛼.
5. .a) Démontrer qu’il existe un point A de (C) où la tangente (T) est parallèle à la droite (D)
b) Donner les coordonnées du point A
c) Etudier la position de relative de (D) par rapport à (C)
d) Construire (T), (C) et (D)
Partie C
𝑒𝑛 2 ln 𝑡
On considère la suite numérique (𝑎𝑛 ) définie pour tout entier 𝑛 ≥ 1 par 𝑎𝑛 = ∫𝑒 𝑛−1 𝑡
𝑑𝑡.
1. Hachurer sur le graphique le domaine du plan dont l’aire en unité d’aire est égale à 𝑎1 .
2. Interpréter graphiquement le nombre 𝑎1
3. Calculer 𝑎𝑛 puis étudier la convergence de suite (𝑎𝑛 )
4. Justifier que : 𝑎1 + 𝑎2 + 𝑎3 + … … … … + 𝑎𝑛 = 𝑛2
SUJET 5
Exercice 1
ABCD est un rectangle tel que 𝐴𝐵 = 4 𝑒𝑡 𝐴𝐷 = 3
1- Construire le barycentre G des points (𝐴, 1), (𝐵, −1) 𝑒𝑡 (𝐶, 1).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝑀𝐵
2- Déterminer et construire l’ensemble E des points M du plan tels que ‖𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 5
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑀𝐶
3- a) Déterminer et construire l’ensemble F des points M du plan tels que :
25
𝑀𝐴2 − 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 = 4
c) Déterminer et construire l’ensemble des points M du plan tels que :
𝑀𝐴2 + 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 + 𝑀𝐷 2 = 61
Exercice 2
On considère la suite définie par son premier terme 𝑢0 = 3 et, pour tout entier naturel n, par :
𝑢𝑛+1 = 2𝑢𝑛 + 6
1) Démontrer que, pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = 9 ∗ 2𝑛 − 6.
2) Démontrer que, pour tout entier 𝑛 ≥ 1, 𝑢𝑛 est divisible par 6.
𝑢
On définit la suite (𝑣𝑛 ) par, pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 1, 𝑣𝑛 = 𝑛
6
3) On considère l’affirmation : « pour tout naturel n non nul, 𝑣𝑛 est un nombre premier ».
Indiquer si cette affirmation est vraie ou fausse en justifiant la réponse.
4-a) Démontrer que, pour tout 𝑛 ≥ 1, 𝑣𝑛+1 − 2𝑣𝑛 = 1
b) En déduire que, pour tout 𝑛 ≥ 1, 𝑣𝑛+1 𝑒𝑡 𝑣𝑛 sont premiers entre eux.
c) En déduire, pour tout entier n ≥ 1, le PGCD de 𝑢𝑛 𝑒𝑡 𝑢𝑛+1
On considère la fonction f définie sur R par 𝑓(𝑥) = 𝑥 − (𝑥 2 + 4𝑥 + 3)𝑒 −𝑥 . On désigne par (C) sa
courbe représentative dans le plan rapporté à un repère orthonormal (O ; I,J) ; l’unité graphique est
2cm
Partie A
Etude d’une fonction auxiliaire g
Soit la fonction g définie sur R par 𝑔(𝑥) = (𝑥 2 + 2𝑥 − 1)𝑒 −𝑥 + 1.
1. Etudier les limites de g en +∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
2. Calculer g’(x) et montrer que 𝑔′ (𝑥) 𝑒𝑡 (3 − 𝑥 2 ) ont le même signe
3. En déduire le tableau de variation de g
4. A) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet deux solutions dans R. vérifier que 𝑔(0) = 0. On
note 𝛼 la solution non nulle.
B) Prouver que −2.4 < 𝛼 < −2.3.
5. En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de x
Partie B
Etude de la fonction f
1. Déterminer les limites de 𝑓 𝑒𝑛 + ∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
2. A) Montrer que, pour tout réel x, 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑔(𝑥)
B) Dresser le tableau de variation de la fonction f
3. Démontrer que la droite (D), d’équation 𝑦 = 𝑥, est asymptote à la courbe (C)
4. A) Montrer que, la droite (D) et courbe (C) se coupent en deux points A et B dont on donnera
les coordonnées.
B) Etudier la position relative de la droite (D) et de la courbe (C).
5. Construire la courbe (C) et la droite (D)
Partie C
Calculs d’aires
SUJET 6
Exercice 1
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct (𝑂; 𝑢
⃗ , 𝑣 ) On prendra pour unité graphique
1 cm.
1. On désigne par A, B et I les points d’affixes respectives
𝑍𝐴 = 3 + 2𝑖; 𝑍𝐵 = −3 𝑒𝑡 𝑍𝐼 = 1 − 2𝑖
a. Faire une figure que l’on complétera au cours de l’exercice.
𝑍 −𝑍
b. Écrire sous forme algébrique le nombre complexe 𝑍 = 𝑍𝐼 −𝑍𝐴
𝐼 𝐵
1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 ‖ = ‖𝑀𝐴 𝑀𝐶 ‖
2
1. On considère l’ensemble Γ2 des points M du plan tels que :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 ‖ = 4√5
2. a. Montrer que B appartient à Γ2.
b. Déterminer et construire l’ensemble Γ2.
Exercice 2
On considère les suites (𝑥𝑛 ) 𝑒𝑡 (𝑦𝑛 ) définies par 𝑥0 = 1, 𝑦0 = 8 et
7 1
𝑥𝑛+1 = 𝑥𝑛 + 𝑦𝑛 + 1
3 3
{𝑦 20 8
𝑛+1 = 3 𝑛
𝑥 + 3 𝑦𝑛 +5
𝑛∈𝑁
1. Montrer, par récurrence, que les points Mn de coordonnées (𝑥𝑛 , 𝑦𝑛 ) sont sur
la droite (∆) dont une équation est 5x - y +3 = 0. En déduire que 𝑥𝑛+1 = 4𝑥𝑛 + 2.
2. Montrer, par récurrence, que tous les 𝑥𝑛 sont des entiers naturels. En déduire
que tous les 𝑦𝑛 sont aussi des entiers naturels
3. Montrer que :
a. 𝑥𝑛 est divisible par 3 si et seulement si 𝑦𝑛 est divisible par 3.
b. Si 𝑥𝑛 et 𝑦𝑛 ne sont pas divisibles par 3, alors ils sont premiers entre eux.
1
4. a. Montrer, par récurrence, que 𝑥𝑛 = (4𝑛 ∗ 5 − 2)
3
b. En déduire que 4𝑛 ∗ 5 − 2 est un multiple de 3, pour tout entier naturel n.
Problème
𝑙𝑛𝑥+𝑥𝑒
On considère la fonction f définie sur ]0; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥2
.
On note (𝛤) sa courbe représentative dans un repère orthonormal (O ; I, J), unité graphique : 2cm
Partie A
Etude d’une fonction auxiliaire
On considère la fonction g définie sur ]0; +∞[ 𝑝𝑎𝑟 𝑔(𝑥) = −2𝑙𝑛𝑥 − 𝑥𝑒 + 1.
1. Déterminer les limites de g en 0 et en +∞.
2. Etudier le sens de variation de g.
3. Montrer que dans [0.5; 1] l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution et une seule notée 𝛼.
Déterminer un encadrement de 𝛼 à 0.1 𝑝𝑟è𝑠.
4. En déduire le signe de g(x) selon les valeurs de x.
Partie B
Etude de la fonction f
1. Déterminer les limites de f aux bornes de son ensemble de définition
𝑔(𝑥)
2. Soit 𝑓′ la fonction dérivée de 𝑓. Vérifier que 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑥3
puis étudier le sens de variation
de f sur ]0; +∞[ .
1+𝛼𝑒
3. Montrer que 𝑓(𝛼) = 2𝛼 2
.
4. Donner le tableau de variation de f
5. Construire (𝛤)
Partie C
Intégrale et suite
𝑒 𝑛+1 𝑙𝑛𝑡 𝑒 𝑛+1
Soit 𝐼𝑛 = ∫𝑒 𝑛 ( 𝑡 2 )𝑑𝑡 𝑒𝑡 𝐴𝑛 = ∫𝑒 𝑛 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 pour tout entier naturel n.
𝑛+1 𝑛+2
1. Montrer à l’aide d’intégration par partie que 𝐼𝑛 = 𝑒𝑛
− 𝑒 𝑛+1 .
2. .a) Montrer que 𝐴𝑛 = 𝐼𝑛 + 𝑒.
b) Calculer 𝐼0 𝑒𝑡 𝐴0
c) Donner une interprétation géométrique de 𝐴0
3. Montrer que la suite (𝐴𝑛 ) converge vers e.
SUJET 7
Exercice 1
Dans l’ensemble C des nombres complexes, i désigne le nombre complexe de module 1 et d’argument
𝜋
2
Exercice 2
Sur une droite (D) muni d’un repère (o, i).
𝐴0 𝑒𝑡 𝐵0 sont les points d’abscisses respectives : −4 et 3. Pour tout entier naturels n, on note :
𝐴𝑛+1 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴𝑛 ; 1)(𝐵𝑛 ; 4)}
𝐵𝑛+1 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴𝑛 ; 3)(𝐵𝑛 ; 2)}
1. Placer les points 𝐴0 , 𝐵0 , 𝐴1 𝑒𝑡 𝐵1
2. Les points 𝐴𝑛 𝑒𝑡 𝐵𝑛 ont pour abscisses 𝑎𝑛 𝑒𝑡 𝑏𝑛 respectivement. Ainsi, Démontrer que, pour tout n
1 1
de N, 𝑎𝑛+1 = (𝑎𝑛 + 4𝑏𝑛 ) 𝑒𝑡 𝑏𝑛+1 = (3𝑎𝑛 + 2𝑏𝑛 )
5 5
3.a) Démontrer, par récurrence, que pour tout entier naturel n : 3𝑎𝑛 + 4𝑏𝑛 = 0
−2 −2
b) En déduire que : 𝑎𝑛+1 = 5 𝑛
𝑎 𝑒𝑡 𝑏𝑛+1 = 5 𝑛
𝑏
4.a) Exprimer 𝑎𝑛 et 𝑏𝑛 à l’aide de n.
b) Déterminer les limites de 𝑎𝑛 et 𝑏𝑛 quand n tend vers +∞.
c) Interpréter ce résultat à l’aide des points 𝐴𝑛 𝑒𝑡 𝐵𝑛 .
Problème
Partie A : Résolution d’équation différentielle (1) : 𝑦 ′ − 2𝑦 = 𝑥𝑒 𝑥
1- Résoudre l’équation différentielle (2): 𝑦 ′ − 2𝑦 = 0 où y désigne une fonction dérivable sur R
2- Soient a et b deux réels et soit u la fonction définie sur R par 𝑢(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 𝑥
a. Déterminer a et b pour que soit solution de l’équation (1)
b. Montrer que v est une solution de (2) si et seulement, si u+v est solution de (1)
c. En déduire l’ensemble des solutions de (1).
3- Déduire la solution de l’équation (1) qui s’annule en 0.
Partie B : Etude d’une fonction auxiliaire
Soit g la fonction définie sur R par 𝑔(𝑥) = 2𝑒 𝑥 − 𝑥 − 2
1- Déterminer la limite de g en −∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 + ∞
2- Etudier le sens de variation de g, puis dresser son tableau de variation
3- On admet que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 a exactement deux solutions réelles
a. Vérifier que 0 est l’une des solutions
b. L’autre solution est appelée 𝛼. Montrer que −1.6 ≤ 𝛼 ≤ −1.5
4- Déterminer le signe de g(x) suivant les valeurs du réel x
Partie C : Etude de la fonction principale
Soit f la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑒 2𝑥 − (𝑥 + 1)𝑒 𝑥
1- Déterminer la limite de f en −∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 + ∞
2- Calculer 𝑓′(𝑥) et montrer que 𝑓 ′ (𝑥) et g(x) ont le même signe.
Etudier le sens de variation de f
𝛼 2 +2𝛼
3- Montrer que 𝑓(𝛼) = − 4
où 𝛼 est définie dans la partie.
En déduire un encadrement de 𝑓(𝛼) (on rappelle que −1.6 ≤ 𝛼 ≤ −1.5)
4- Etablir le tableau de variation de f
5- Tracer la courbe (C), représentative de f dans le plan rapporté à un repère orthonormal
(unité graphique 2 cm)
Partie C : calcul d’aire
0
1- Soit m un réel négatif de f. Interpréter graphiquement l’intégrale ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 (on justifiera
la réponse)
0
2- a) Calculer ∫𝑚 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 à l’aide d’intégration par partie
0
b). En déduire ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥
0
3- calculer la limite de ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 lorsque m tend vers -∞
SUJET 8
Exercice 1
Pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 5, on considère les nombres :
𝑎 = 𝑛3 − 𝑛2 − 12𝑛 + 𝑒𝑡 𝑏 = 2𝑛2 − 7𝑛 − 4
1. Montrer que a et b sont des entiers naturels divisibles par 𝑛 − 4
2. On pose 𝛼 = 2𝑛 + 1 𝑒𝑡 𝛽 = 𝑛 + 3. 𝑂𝑛 𝑛𝑜𝑡𝑒 𝑑 𝑙𝑒 𝑃𝐺𝐶𝐷 𝑑𝑒 𝛼 𝑒𝑡 𝛽.
a. Etablir une relation entre 𝛼 𝑒𝑡 𝛽 indépendant de n.
b. Démontrer que d est un diviseur de 5
c. Démontrer que les nombres 𝛼 𝑒𝑡 𝛽 sont multiples de 5 si et seulement si 𝑛 − 2 est un
multiple de 5
3. Montrer que 2𝑛 + 1 et n sont premiers entre eux.
4. Déterminer suivant les valeurs de n et en fonction de n, le PGCD de a et b
5. Vérifier les résultat obtenus dans les cas particuliers 𝑛 = 11 𝑒𝑡 𝑛 = 12
Exercice 2
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé (O, I, J), on considère les points A, B et C
d’affixe respectives −𝑖, 8 + 5𝑖 𝑒𝑡 8 − 5𝑖.
1. Placer les points A, B et C
2. Démontrer que le triangle ABC est isocèle en B
3. Déterminer l’affixe du barycentre G des points pondérés (𝐴, −1), (𝐵, 1) 𝑒𝑡 (𝐶, −1).
4. Démontrer que GA=GC
5. On considère l’ensemble (Γ) des points M du plan tels que :
𝑀𝐴2 − 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 = −20
a. Démontrer que A et C appartiennent à l’ensemble (Γ)
b. Démontrer que (Γ) est le cercle de centre G et de rayon GA
c. On appelle (Γ’) le symétrique de (Γ) par rapport à (AC). Construire (Γ’)
Exercice 3
1. Pour tout nombre complexe z, on pose 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − 3𝑧 2 + 3𝑧 + 7
a. Calculer 𝑃(−1)
b. Déterminer les réels a et b tels que pour tout nombre complexe z, on ait
𝑃(𝑧) = (𝑧 + 1)(𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐).
c. Résoudre dans C l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
2. Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣 ). On désigne par A, B,
C et G les points d’affixes respectives 𝑍𝐴 = −1, 𝑍𝐵 = 2 + 𝑖√3, 𝑍𝐶 = 2 − 𝑖√3 𝑒𝑡 𝑍𝐺 = 3.
a. Réaliser une figure et placer les points A, B, C et G
b. Calculer les distances AB, BC et AC. En déduire la nature du triangle ABC.
𝑍 −𝑍
c. Calculer un argument du nombre complexe 𝑍𝐴 −𝑍𝐶 . En déduire la nature du triangle GAC
𝐺 𝐶
3. Soit (D) l’ensemble des points M du plan tels que : (−𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 2𝑀𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )𝐶𝐺
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 2𝑀𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 12 (1)
a. Montrer que G est le barycentre du système de points pondérés {(𝐴, −1); (𝐵, 2); (𝐶, 2)}
b. Montrer que la relation (1) est équivalente à la relation 𝐺𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∗ 𝐶𝐺
⃗⃗⃗⃗⃗ = −4 (2)
c. Montrer que le point A appartient à l’ensemble de (D)
Exercice 4
1. a) Vérifier que le couple (5 ; -7) est une solution de l’équation (E) : 13x + 7y = 16.
b) Déterminer les couples d’entiers relatifs (x ; y) vérifiant l’équation (E).
2. a) Démontrer que, pour tout entier naturel n, 42𝑛 ≡ 1[5]
b) Déterminer le reste de la division euclidienne de 20142015 par 5.
3. p désigne un entier naturel supérieur à 1. Une urne contient 2p boules numérotées de 1 à
2p, toutes indiscernables au toucher. Un joueur tire successivement, sans remise 2 boules de
cette urne.
a) Quel est le nombre de résultats possibles ?
Si les boules tirées portent des numéros pairs, il gagne 800 F. Si les boules tirées sont de
parités différentes, il gagne 400 F et il perd 800 F si elles portent des numéros
impairs. On désigne par X le gain algébrique du joueur à l’issue de chaque épreuve.
b) Déterminer la loi de probabilité de X en fonction de p.
c) Calculer l’espérance mathématique de X en fonction de p.
d) Calculer p pour que l’espérance de gain du joueur soit de 240 F.
Exercice 5
Problème 1
On se propose de résoudre l’équation différentielle (𝐸): 𝑦 ′ + 𝑦 = 2𝑥𝑒 𝑥 où y est une fonction de la
variable réelle et y’ sa dérivée.
1. Résoudre l’équation différentielle y’+y = 0 et déterminer la fonction f, solution de cette
équation, telle que 𝑓(0) = 1
2. On pose 𝑦 = 𝑓 ∗ 𝑧. Déterminer l’équation différentielle (E’) à laquelle doit satisfaire la
fonction z sachant que y est solution de (E)
3. .a) Résoudre l’équation (E)
b) En déduire la fonction 𝑔 = 𝑓𝑧 solution de (E) qui s’annule pour x = 0.
4. Soit g la fonction définie sur R par 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 𝑒 −𝑥 .
a. Etudier la fonction g
Problème 2
Partie 1
On définit la fonction 𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑅 ∗ 𝑝𝑎𝑟 𝑢(𝑥) = 2𝑥 3 − 1 + 2ln|x|.
1. Etudier les variations de la fonction 𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑅 ∗. Préciser la valeur de l’extremum relatif de u.
2. Etudier les limites de u en 0 et en +∞
3. On considère l’équation 𝑢(𝑥) = 0
a. Montrer qu’elle n’admet qu’une seule solution sur [0.5; 1] et en déduire qu’elle est la
seule sur R* ; cette solution sera notée 𝛼.
𝑛 𝑛+1
b. Donner un encadrement de 𝛼 par deux nombre rationnels de la forme 10
𝑒𝑡 10
, avec n
un entier
4. En déduire le signe de u(x) sur R*
Partie 2
ln |𝑥|
On définit la fonction f sur R* par 𝑓(𝑥) = 2𝑥 − 𝑥2
. On appelle (C) la courbe représentative dans le
plan muni d’un repère orthonormal (O, I, J)
1. Etudier les limites de f en 0, 𝑒𝑛 + ∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
2. Pour tout réel x, déterminer le nombre dérivé 𝑓 ′ (𝑥)
3. En utilisant les résultats déj) établis, donner les variations de la fonction f et le tableau de
variation de f.
1
4. .a) Démontrer que 𝑓(𝛼) = 3𝛼 − 2𝛼2.
8 9
b) Sachant que 10 ≤ 𝛼 ≤ 10, prouver que 1.6 ≤ 𝑓(𝛼) ≤ 2.1. la construction de (C) n’est pas
demandée.
Partie 3
Soit M le point de coordonnées (x ;y) et M’ le points de coordonnées (x’ ; y’) dans le repère (O ; I ;J),
où M’ est le symétrique de M par rapport à l’axe des ordonnées.
1. Déterminer x’ et y’ en fonction de x et y
2. A) Démontrer qu’une équation de courbe (Γ) à laquelle appartiennent M’ lorsque M décrit la
ln |𝑥|
courbe (C) est la suivante : 𝑦 = −2𝑥 − 𝑥2
B) Etudier la position relative des courbe (C) et (Γ).
Partie 4
On considère un réel m supérieur au égal à 1.
𝑚
1. On note A(m) l’intégrale ∫1 (2𝑥 − 𝑓(𝑥)) 𝑑𝑥. Calculer A(m). (on utilisera une intégration par
parties
2. Déterminer, si elle existe, la limite de A(m) quand m tend vers +∞