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REVISION GENERALE

SUJET 1
Exercice 1

Soit l’équation (E) : 𝑧 2 − 6𝑧 + 12 = 0, où z est l’inconnue complexe.


a) Montrer que (E) admet deux solutions complexes conjuguées u et 𝑢̅, u étant celle
dont la partie imaginaire est positive.
b) Calculer le module et un argument de u. En déduire le module et un argument de 𝑢̅
c) Écrire u – 4 sous forme algébrique, puis sous forme trigonométrique.
𝑢−4 ̅ −4
𝑢
d) Calculer le module et un argument de 𝑢
. En déduire le module et un argument de ̅
𝑢
2. Le plan est rapporté à un repère orthonormé O ; I, J). On considère les points A, B et C d’affixes
respectives : 𝑍𝐴 = −3 ; 𝑍𝐵 = 2 + 2𝑖 𝑒𝑡 𝑍𝐶 = 7𝑖.
a) Construire le triangle ABC.
b) Calculer les distances AB et BC.
𝑍 −𝑍
c) Écrire le nombre complexe 𝑍𝐴−𝑍𝐵 sous forme trigonométrique.
𝐶 𝐵
d) Déduire des questions a) et b) la nature du triangle ABC.
Exercice 2
On veut planter des arbres sur le périmètre d’un terrain triangulaire de côté 132m, 156m et 204m, de
telle sorte qu’il y ait un arbre à chaque sommet du triangle et que les arbres soient également espacés.
Quel est le nombre minimum d’arbre que l’on pourra planter si l’on veut que la distance entre deux
arbres soit exprimée en un nombre entier de mètre ?
Exercice 3

1. Soit (E) l’équation différentielle 𝑦 ′ + 2𝑦 = 0. Où y est une fonction numérique


définie et dérivable sur R.
a) Résoudre l’équation (E)
b) Déterminer la solution f de (E) telle que f(0)=1.
𝑛+1 −2𝑥
c) Calculer ∫𝑛 𝑒 𝑑𝑥.
1
2. Soit (𝑈𝑛 ) la suite définie par : pour tout entier naturel n, 𝑈𝑛 = 2 (1 − 𝑒 −2 )𝑒 −2𝑛
a) Calculer 𝑈0 , 𝑈1 𝑒𝑡 𝑈2
b) Démontrer que (𝑈𝑛 ) est une suite géométrique dont on déterminera la raison
c) Déterminer la valeur exacte de la somme 𝑈0 + 𝑈1 + … … … … + 𝑈9

Exercice 4

Une variable aléatoire X prend les valeur 1 ; -1 et 2 avec les probabilités respectives 𝑒 𝑎 ,
𝑒 𝑏 𝑒𝑡 𝑒 𝑐 où a, b, c sont en progression arithmétique
On suppose que l’espérance mathématique 𝐸(𝑋) = 1
1. Calculer a, b, c et la variance V(X) de X
2. Soit A, B, C trois points d’abscisses respectives 1 ; -1 et 2 d’une droite graduée (∆)
a) Calculer l’abscisse du point G barycentre de {(𝐴; 1), (𝐵; 2), (𝐶; 4)}.
1
b) On pose 𝜑(𝑀) = (𝑀𝐴2 + 2𝑀𝐵2 + 4𝑀𝐶 2 ) où M est un point de (∆). Montrer que
7
𝜑(𝐺) = 𝑉(𝑋)
c) Déterminer l’ensemble (Γ) des points M de (∆) tels que 𝜑(𝑀) = 3.

M. ABDULLAH BASFAR Professeur de MATHEMATIQUES TEL : 624964843/657814051


REVISION GENERALE

Problème
Partie A

Soit la fonction g définie sur ]0 ; +∞[ 𝑝𝑎𝑟 𝑔(𝑥) = 𝑥 + 1 + 𝑙𝑛𝑥

1. Déterminer les limites de g en 0 et en +∞. Etudier les variations de g et dresser son tableau de
variation.
2. a) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 avec 𝛼 ∈ ]0.27 ; 0.28[.
b) En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de x.
partie B
4𝑥𝑙𝑛𝑥
On considère la fonction f définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥+1
, 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ 𝑒𝑡 𝑓(0) = 0

1.a) Montrer que f continue en 0 après avoir déterminé son ensemble de définition.
b) f est-elle dérivable en 0 ?
2. Déterminer la limite de f en +∞
4𝑔(𝑥)
3.a) Montrer que, pour tout 𝑥 ∈ ]0 ; +∞[ , 𝑜𝑛 𝑎 𝑓 ′ (𝑥) = (𝑥+1)2.

b) Montrer que 𝑓(𝛼) = −4𝛼


c) Dresser le tableau de variation de f
Partie C
Soit (C) la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (O, I, J) et (T) la tangente à (C) au
point d’abscisse 1
1. Donner une équation de (T).
2. On considère la fonction 𝜑 définie sur l’intervalle ]0 ; +∞[ 𝑝𝑎𝑟 ∶
𝜑(𝑥) = 𝑓(𝑥) − 2(𝑥 − 1)
4ℎ(𝑥)
a) Montrer que 𝜑′′ (𝑥) = 𝑓′′(𝑥)) = (𝑥+1)3 où h sur ]0 ; +∞[ par
1
ℎ(𝑥) = −𝑥 + − 2𝑙𝑛𝑥
𝑥
b) Calculer h’(x) et en déduire le sens de variation de h. Calculer h(1) et en déduire le signe de
h(x), puis celui de 𝜑′′ (𝑥).
c) Donner le sens de variation de 𝜑′ (𝑥), le signe de 𝜑′ (𝑥) puis tirer le sens de variation de 𝜑 et
le signe de 𝜑(𝑥).
3. Construire sur la position de (C) par rapport à (T).
4. Tracer la courbe (C) de f, la tangente (T) et les tangentes à (C) aux points d’abscisses 0 et 𝛼.

On prendra 𝛼 = 0.28, 𝑙𝑛0.27 = −1.30, 𝑙𝑛0.28 = −1.27

M. ABDULLAH BASFAR Professeur de MATHEMATIQUES TEL : 624964843/657814051


REVISION GENERALE

SUJET 2
Exercice 1

1. Démontrer que, pour tout entier naturel n : 23𝑛 − 1 est un multiple de 7 (on pourra utiliser un
raisonnement par récurrence). En déduire que 23𝑛+1 − 2 est un multiple de 7 et que 23𝑛+2 − 4 est
un multiple de 7.
2. Déterminer les restes de la division par 7 des puissances de 2.

3. Le nombre p étant un entier naturel, on considère le nombre entier 𝐴𝑝 = 2𝑝 + 22𝑝 + 23𝑝 .

a) Si p = 3n, quel est le reste de la division de 𝐴𝑝 par 7 ?

b) Démontrer que si p = 3n + 1 alors 𝐴𝑝 est divisibles par 7.

c) Etudier le cas ou p = 3n + 2

4. On considère les nombres entiers a et b écrits dans le système binaire : 𝑎 = ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅


1001001000 et
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅. Vérifier que ces deux nombres sont des nombres de la forme 𝐴𝑝 . Sont-ils
b =1000100010000
divisibles par 7 ?
Exercice 2

Le plan est muni d’un plan orthonormal direct (𝑂, ⃗⃗⃗


𝑒1 ; ⃗⃗⃗
𝑒2 ). S est la similitude plane directe de
𝜋 √2
centre 0, d’angle 2 et de rapport .
2

Soit M un point d’affixe z et le point M’ d’affixe z’ avec M’= S(M).

1. Exprimer z’ en fonction de z
2. On définit la suite des points (𝑀𝑛 ) 𝑛 ∈ 𝑁 de la façon
𝑀0 𝑑′ 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑧0 = 1 + 𝑖
suivante {
𝑀𝑛 = 𝑆(𝑀𝑛−1 ) 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛 ≥ 1
𝑧𝑛 é𝑡𝑎𝑛𝑡 𝑙 ′ 𝑎𝑓𝑓𝑖𝑥𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑛 pour tout entier naturel n
a. Déterminer les affixes des points 𝑀1 , 𝑀2 , 𝑀3 .
b. Exprimer 𝑧𝑛 𝑒𝑛 𝑓𝑜𝑛𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒 𝑧𝑛−1 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑛 ≥ 1.
√2 𝑛
c. En déduire que 𝑧𝑛 = (𝑖 ) 𝑧0.
2
d. Soit 𝑎𝑛 = |𝑧𝑛 | , montrer que la suite 𝑎𝑛 est une suite géométrique dont on
précisera la raison et le premier terme.
e. Etudier la convergence de suite (𝑎𝑛 ).

Exercice 3
Un sac contient 6 jetons portant chacun un numéro constituant le nombre de points qui lui est
attribué :
 Un vert numéroté 3
 Trois jaunes numérotés chacun 2
 Deux rouges numérotés chacun 1
On tire un jeton, puis un deuxième sans remettre le premier jeton dans le sac. Calculer la
probabilité de chacun des événements suivants :

M. ABDULLAH BASFAR Professeur de MATHEMATIQUES TEL : 624964843/657814051


REVISION GENERALE

A. « obtenir 4 points avec deux jetons de couleurs différentes »


B. « obtenir 4 points »
C. « obtenir au moins 4 points »
D. « tirer 2 jetons de couleurs différentes »

Problème
Partie A
1. Résoudre l’équation différentielle : 𝑦 ′′ − 4𝑦 ′ + 4𝑦 = 0
2. Déterminer la solution 𝜑 de cette équation, définie sur R et qui vérifie les conditions :
𝜑(0) = 0 𝑒𝑡 𝜑′ (0) = −𝑒
Partie B

1. On considère la fonction f définie sur R par 𝑓(𝑥) = −𝑥𝑒 2𝑥+1


a. Quel est, suivant les valeurs de x, le signe de f(x)
b. Etudier le sens de variation de f
c. Déterminer les limites de f 𝑒𝑛 + ∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
d. Dresser le tableau de variation de f
e. On appelle (C) la représentation graphique de f dans un repère orthonormé (O,I, J)
(unité graphique : 4cm)
i. Quelle est la tangente à (C) au point O ?
ii. Ecrire une équation de la tangente T à (C) au point d’abscisse (-1).
f. On appelle (Γ) la représentation graphique de la fonction g définie sur R par 𝑔(𝑥) = 𝑒 𝑥
Quelle est la tangente à (Γ) au point d’abscisse (-1) ?
2. On appelle h la fonction définie sur R par ℎ(𝑥) = 1 + 𝑒𝑥𝑒 𝑥
a. En déduire le sens de variation de h et le signe de h(x) suivant les valeurs de x
b. Etudier la position de (C) par rapport à (Γ)
c. Tracer sur le même graphique, les courbes T, (C) et (Γ).
3. M désigne un réel quelconque et M désigne le point de la courbe (C) d’abscisse m.
a. Ecrire une équation de tangente D à (Γ) en M
b. La tangente D coupe les axes de coordonnées en A et B. Calculer, en fonction m, les
coordonnées du milieu J du segment [AB]
c. Prouver que J appartient à (C)
d. Tracer D et J pour m = 0.
Partie C
1. Soit x un réel quelconque.
𝑥
A l’aide d’une intégration par partie, calculer l’intégrale : 𝐼(𝑥) = ∫0 𝑡𝑒 2𝑡 𝑑𝑡
2. Soit x un réel négatif.
Calculer l’aire A(x), exprimée en cm2, de l’ensemble des points N du plan dont les
𝑥≤𝑢≤0
coordonnées (u, v) vérifient :{
0 ≤ 𝑣 ≤ 𝑓(𝑥)
3. Calculer A(-1).
4. A(x) admet-elle une limite quand x tend vers moins l’infini ? si oui laquelle ?

M. ABDULLAH BASFAR Professeur de MATHEMATIQUES TEL : 624964843/657814051


REVISION GENERALE

SUJET 3
Exercice 1

1) Pour tout nombre complexe Z, on considère : 𝑓(𝑧) = 𝑧 4 − 10𝑧 3 − 38𝑧 2 − 90𝑧 + 261
a. Soit b un nombre réel. Exprimer en fonction de b les parties réelle et imaginaire de 𝑓(𝑖𝑏).
En déduire que 𝑓(𝑧) = 0 admet deux nombres imaginaires purs comme solution
b. Montrer qu’il existe deux nombres réels α et β, que l’on déterminera, tels que : pour tout
nombre complexe Z. 𝑓(𝑧) = (𝑧 2 + 9)(𝑧 2 + 𝛼𝑧 + 𝛽)
c. Résoudre dans C l’équation 𝑓(𝑧) = 0
2) Le plan complexe P est rapporté à un repère orthonormé.
a. Placer dans le plan P les points A, B, C et D ayant respectivement pour affixes :
𝑎 = 3𝑖 ; 𝑏 = −3𝑖 ; 𝑐 = 5 + 2𝑖 𝑒𝑡 𝑑 = 5 − 2𝑖
b. Déterminer l’affixe de l’isobarycentre G des points A, B, C et D.
c. Déterminer l’ensemble (E) des points M de P tels que
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
||𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 || = 10 .
d. Tracer (E) sur la figure précédente.
Exercice 2
𝜋
1. Soit l’intégrale 𝐾 = ∫0 𝑒 𝑥 cos(2𝑥) 𝑑𝑥
𝑒 𝜋 −1
A l’aide deux intégrations par parties successives, montrer que 𝐾 = 5
𝜋 𝜋
2. Soit 𝐼 = ∫0 𝑒 𝑥 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥𝑑𝑥 𝑒𝑡 𝐽 = ∫0 𝑒 𝑥 𝑠𝑖𝑛2 𝑥𝑑𝑥 . Calculer 𝐼 + 𝐽 𝑒𝑡 𝐼 − 𝐽.
En déduire les valeurs de I et J.
3. Linéariser 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑛2 𝑥.
Retrouver directement les valeurs de I et J à l’aide de ce résultat et de la première question

Exercice 3
Le plan est rapporté à un repère orthonormé (𝑜, 𝑢, 𝑣), l’unité graphique le centimètre.
On donne le point A d’affixe i. Soit (𝛤) l’ensemble des points M du plan d’affixe Z vérifiant :
|(1 − 𝑖√3)𝑍 − √3 − 𝑖| = 6

1.a) Démontrer qu’un point M appartient à (𝛤) si et seulement si son affixe Z vérifie |𝑍 − 1| = 3
b) En déduire la nature de (𝛤).

2. On considère les points B et C d’affixes respectives √3 𝑒𝑡 − 4𝑖.


L’application 𝑠 est une similitude directe qui applique A sur O et B sur C.
Soit M un point d’affixe Z et M’ d’affixe Z’ l’image de M par 𝑠.

Démontrer que : 𝑍 ′ = (1 − 𝑖√3)𝑍 − √3 − 𝑖

Déterminer les éléments caractéristiques de 𝑠, on notera Ω son centre.


Problème 1

Pour tout entier relatif k, on définit la fonction 𝑓𝑘 𝑑𝑒 [0 ; +∞[ 𝑣𝑒𝑟𝑠 𝑅 𝑝𝑎𝑟 :

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REVISION GENERALE

𝑓𝑘 (0) = 0
{
𝑓𝑘 (𝑥) = 𝑥(𝑘 − 𝑙𝑛𝑥), 𝑠𝑖 𝑥 > 0.
On désigne par (𝐶𝑘 ) la courbe représentative de 𝑓𝑘 .
1. Etudier la continuité et la dérivabilité de 𝑓𝑘 en 0
2. Pour tout nombre réel 𝑎 strictement positif, on désigne par 𝐴𝑘 le point de (𝐶𝑘 ) d’abscisse 𝑎 et
par (𝑇𝑘 ) la tangente à (𝐶𝑘 ) 𝑒𝑛 𝐴𝑘 .
a. Déterminer une équation de (𝑇𝑘 ).
b. Déterminer le point d’intersection de (𝑇𝑘 ) 𝑒𝑡 (𝑂𝐽).
c. En déduire que, lorsque k varie dans Z, les tangentes (𝑇𝑘 ) sont concourantes en un
point de l’axe (𝑂𝐽)
3. a) Pour k fixé, étudier les variations de 𝑓𝑘 .
b) En déduire les tableaux de variations de 𝑓0 , 𝑓1 𝑒𝑡 𝑓2 .
4. Construire sur le même graphique (𝐶0 ), (𝐶1 ) 𝑒𝑡 (𝐶2 ).

Faire apparaître sur le graphique :


 Les tangentes à (𝐶0 ), (𝐶1 ) 𝑒𝑡 (𝐶2 ) aux points d’abscisse 1 et leur point d’intersection.
 Les tangentes à (𝐶1 ) 𝑒𝑡 (𝐶2 ) aux points d’abscisse e et leur point d’intersection.
 La tangente à (𝐶2 ) au point d’abscisse 𝑒 2 et son point d’intersection avec (OJ)

Problème 2
On considère la fonction f dérivable sur l’intervalle ]0; +∞[ et définie par :
1 2𝑙𝑛𝑥
𝑓(𝑥) = 2 𝑥 − 1 + 𝑥
. (C) est la représentation graphique de f dans le repère orthonormé

Partie A
On considère la fonction u dérivable sur l’intervalle ]0; +∞[ et définie par 𝑢(𝑥) = 𝑥 2 + 4 − 4𝑙𝑛𝑥
1. Etudier les variations de u.
2. Justifier que ∀ 𝑥 ∈ ]0; +∞[, u(x)> 0
Partie B
1. Calculer la limite de f en 0 et interprétation graphiquement le résultat.

2.a) Calculer la limite de f en +∞


1
b) Démontrer que la droite (D) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 1 est asymptote à (C) en +∞
2

𝑢(𝑥)
3.a) Vérifier que ∀ 𝑥 ∈ ]0; +∞[, 𝑓 ′ (𝑥) =
2𝑥 2

b) En déduire le sens de variation de f et dresser son tableau de variation.


4.a) Démontrer que l’équation f(x) = 0 admet une solution ∝ telle que 1<∝< e

b) Déterminer une valeur approchée a 10−1 près de ∝


5.a)Démontrer qu’il existe un point A de (C ) ou la tangente (T ) est parallèle a la droite (D ).
b) Donner les coordonnées du point A.
c) Etudier la position relative de (D) par rapport à (C)
d) Construire (T), (D) et (C)

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REVISION GENERALE

SUJET 4
Exercice 1
On considère l’équation diophantienne : 8x +5y = 1 (E) d’inconnue le couple d’entiers relatifs (x, y).
a. Citer un théorème permettant d’affirmer que l’équation (E) a des solutions.
b. Donner une solution particulière de (E).
c. Résoudre alors dans Z×Z l’équation (E).
2. Soit N un entier naturel tel qu’il existe un couple (a, b) de nombres entiers vérifiant :
𝑁 = 8𝑎 + 1
{
𝑁 = 5𝑏 + 2
a. Montrer que le couple (a, -b) est solution de (E).
b. Quel est le reste dans la division euclidienne de N par 40 ?
3. On considère l’équation : 8X +5Y = 100 (E’) d’inconnue le couple d’entiers relatifs (X , Y ).
a. Résoudre (E’).
b. Au VIIIe siècle, un groupe composé d’hommes et de femmes a dépensé 100 pièces de monnaie
dans une auberge. Les hommes ont dépensé 8 pièces chacun et les femmes 5 pièces chacune.
Combien pouvait-il y avoir d’hommes et de femmes dans le groupe ?
Exercice 2
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct
𝜋
On désigne par i le nombre complexe de module 1 et d’argument
2
On réalisera une figure que l’on complétera au fur et à mesure des questions.
𝑍−4
1. Résoudre dans l’ensemble C des nombres complexes l’équation 𝑍 = 𝑖. Écrire
la solution sous forme algébrique.
2. Résoudre dans C l’équation 𝑧 2 − 2𝑧 + 4 = 0. Écrire les solutions sous forme exponentielle.
3. Soient A, B, A′ et D les points du plan complexe d’affixes respectives :
a = 2, b = 4, a′ = 2i et d = 2+2i. Quelle est la nature du triangle ODB?
4. Soient E et F les points d’affixes respectives et 𝑒 = 1 − 𝑖√3 𝑒𝑡 𝑓 = 1 + 𝑖√3.
Quelle est la nature du quadrilatère OEAF?
5. Soit C le cercle de centre A et de rayon 2. Soit C ′ le cercle de centre A′ et de rayon 2.
𝜋
Soit r la rotation de centre O et d’angle 2
a. On désigne par E′ l’image par la rotation r du point E. Calculer l’affixe e′ du point E′.
b. Démontrer que le point E′ est un point du cercle C ′.
c. Vérifier que : 𝑒 − 𝑑 = (√3 + 2)(𝑒 ′ − 𝑑). En déduire que les points E, E′ et D sont alignés.
6. Soit D′ l’image du point D par la rotation r. Démontrer que le triangle EE′D′ est rectangle
Exercice 3
ABC est un triangle équilatéral de côté a. Soit I le barycentre de (A, 1), (B, 2), (C, -2).
a) Déterminer et construire le point I.
b) Calculer 𝐼𝐴2 , 𝐼𝐵2 𝑒𝑡 𝐼𝐶 2 en fonction de a
c) Soit k un réel.

Déterminer l’ensemble (Ek ) des points M du plan tel que : 𝑀𝐴2 + 2𝑀𝐵2 − 2𝑀𝐶 2 = 𝑘𝑎2 .
Existe-t-elle une valeur de k pour laquelle B ∈ (Ek ).
Problème 1

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REVISION GENERALE

𝑓(0) = 0
Soit f la fonction définie sur ]0 ; +∞[ par :{
𝑓(𝑥) = −𝑥 + 𝑥𝑙𝑛𝑥
On désigne par (C) la courbe représentative de f dans le plan muni du repère orthonormé (O,I,J).
unité : 2cm
1. Calculer f(1) et f(e)
2. a) Calculer la limite de f en +∞
𝑓(𝑥)
b) Calculer la limite de 𝑥
lorsque x tend vers +∞
c) Interpréter graphiquement le résultat obtenu
3. a) Démontrer que f est continue à droite en 0
b) Etudier la dérivabilité de f à droite en 0
c) Préciser la tangente à (C) en 0
4. a) Déterminer f ‘(x) pour tout x élément de ]0 ; +∞[
b) Dresser le tableau de variation de f
c) Donner une équation de la tangente (T) à (C) au point d’abscisse e.
5. Construire (T) et (C)
6. Soit α un nombre réel tel que 0 < 𝛼 < 1
a) En utilisant une intégration par parties, démontrer que l’aire 𝐴(∝) de la partie du plan
limité par la courbe (C), la droite (OI) et les droites d’équations x=α et x=e est égale à :
1 3 1
𝐴(∝) = 𝑒 2 + (− + 𝑙𝑛 ∝) ∝2
4 4 2
problème 2
1 ln 𝑥
On considère la fonction f dérivable sur l’intervalle ]0; +∞[ 𝑒𝑡 𝑑é𝑓𝑖𝑛𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑓(𝑥) = 2 𝑥 − 1 + 2 𝑥

(C) la courbe représentative de f. Unité graphique : 2cm


Partie A
On considère la fonction g dérivable sur ]0; +∞[ 𝑒𝑡 𝑑é𝑓𝑖𝑛𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 + 4 − 4 ln 𝑥
1. Etudier les variations de g
2. Justifier que : ∀ 𝑥 ∈ ]0; +∞[ , 𝑔(𝑥) > 0
Partie B
1. Calculer la limite de f en 0 et interpréter graphiquement le résultat.
2. a) Calculer la limite de f en +∞
1
b) Démontrer que la droite (D) d’équation 𝑦 = 𝑥 − 1 est asymptote à (C) en +∞
2
𝑔(𝑥)
3. a) Vérifier que ∀ 𝑥 ∈ ]0; +∞[, 𝑓 ′ (𝑥) = 2𝑥 2
b) En déduire le sens de variation de f et dresser son tableau de variation.

4. a) Démontrer que l’équation f(x)=0 admet une solution 𝛼 𝑡𝑒𝑙 𝑞𝑢𝑒 0 < 𝛼 < 𝑒
b) Déterminer une valeur approchée à 10−1 𝑝𝑟è𝑠 𝑑𝑒 𝛼.
5. .a) Démontrer qu’il existe un point A de (C) où la tangente (T) est parallèle à la droite (D)
b) Donner les coordonnées du point A
c) Etudier la position de relative de (D) par rapport à (C)
d) Construire (T), (C) et (D)
Partie C

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REVISION GENERALE

𝑒𝑛 2 ln 𝑡
On considère la suite numérique (𝑎𝑛 ) définie pour tout entier 𝑛 ≥ 1 par 𝑎𝑛 = ∫𝑒 𝑛−1 𝑡
𝑑𝑡.

1. Hachurer sur le graphique le domaine du plan dont l’aire en unité d’aire est égale à 𝑎1 .
2. Interpréter graphiquement le nombre 𝑎1
3. Calculer 𝑎𝑛 puis étudier la convergence de suite (𝑎𝑛 )
4. Justifier que : 𝑎1 + 𝑎2 + 𝑎3 + … … … … + 𝑎𝑛 = 𝑛2

SUJET 5
Exercice 1
ABCD est un rectangle tel que 𝐴𝐵 = 4 𝑒𝑡 𝐴𝐷 = 3
1- Construire le barycentre G des points (𝐴, 1), (𝐵, −1) 𝑒𝑡 (𝐶, 1).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − 𝑀𝐵
2- Déterminer et construire l’ensemble E des points M du plan tels que ‖𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 5
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 𝑀𝐶
3- a) Déterminer et construire l’ensemble F des points M du plan tels que :
25
𝑀𝐴2 − 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 = 4
c) Déterminer et construire l’ensemble des points M du plan tels que :
𝑀𝐴2 + 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 + 𝑀𝐷 2 = 61

Exercice 2
On considère la suite définie par son premier terme 𝑢0 = 3 et, pour tout entier naturel n, par :
𝑢𝑛+1 = 2𝑢𝑛 + 6
1) Démontrer que, pour tout entier naturel n, 𝑢𝑛 = 9 ∗ 2𝑛 − 6.
2) Démontrer que, pour tout entier 𝑛 ≥ 1, 𝑢𝑛 est divisible par 6.
𝑢
On définit la suite (𝑣𝑛 ) par, pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 1, 𝑣𝑛 = 𝑛
6
3) On considère l’affirmation : « pour tout naturel n non nul, 𝑣𝑛 est un nombre premier ».
Indiquer si cette affirmation est vraie ou fausse en justifiant la réponse.
4-a) Démontrer que, pour tout 𝑛 ≥ 1, 𝑣𝑛+1 − 2𝑣𝑛 = 1
b) En déduire que, pour tout 𝑛 ≥ 1, 𝑣𝑛+1 𝑒𝑡 𝑣𝑛 sont premiers entre eux.
c) En déduire, pour tout entier n ≥ 1, le PGCD de 𝑢𝑛 𝑒𝑡 𝑢𝑛+1

5-a) Vérifier que 24 ≡ 1[5].


b) En déduire que si n est un entier de la forme 4k + 2 avec k entier naturel, alors 𝑢𝑛 est divisible par 5
c) Le nombre un est-il divisible par 5 pour les autres valeurs de l’entier naturel n ? Justifier.
Problème

On considère la fonction f définie sur R par 𝑓(𝑥) = 𝑥 − (𝑥 2 + 4𝑥 + 3)𝑒 −𝑥 . On désigne par (C) sa
courbe représentative dans le plan rapporté à un repère orthonormal (O ; I,J) ; l’unité graphique est
2cm
Partie A
Etude d’une fonction auxiliaire g
Soit la fonction g définie sur R par 𝑔(𝑥) = (𝑥 2 + 2𝑥 − 1)𝑒 −𝑥 + 1.
1. Etudier les limites de g en +∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
2. Calculer g’(x) et montrer que 𝑔′ (𝑥) 𝑒𝑡 (3 − 𝑥 2 ) ont le même signe
3. En déduire le tableau de variation de g

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REVISION GENERALE

4. A) Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet deux solutions dans R. vérifier que 𝑔(0) = 0. On
note 𝛼 la solution non nulle.
B) Prouver que −2.4 < 𝛼 < −2.3.
5. En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de x
Partie B
Etude de la fonction f
1. Déterminer les limites de 𝑓 𝑒𝑛 + ∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
2. A) Montrer que, pour tout réel x, 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑔(𝑥)
B) Dresser le tableau de variation de la fonction f
3. Démontrer que la droite (D), d’équation 𝑦 = 𝑥, est asymptote à la courbe (C)
4. A) Montrer que, la droite (D) et courbe (C) se coupent en deux points A et B dont on donnera
les coordonnées.
B) Etudier la position relative de la droite (D) et de la courbe (C).
5. Construire la courbe (C) et la droite (D)
Partie C
Calculs d’aires

1. Soit H la fonction définie par 𝐻(𝑥) = (𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐)𝑒 −𝑥 .


Déterminer les réels a, b et c tels que la fonction H soit une primitive de la fonction h définie
par ℎ(𝑥) = (𝑥 2 + 4𝑥 + 3)𝑒 −𝑥 .
2. Déterminer l’aire, en unité d’aire, la partie de plan délimitée par la courbe (C) et la droite (D)
3. Soit m un réel strictement supérieur à -1. On considère le domaine (𝐷𝑚 ) délimité par la
courbe (C), la droite (D) et les droites d’équations respectives
𝑥 = −1 𝑒𝑡 𝑥 = 𝑚
a) Calculer l’aire 𝐴𝑚 du domaine (𝐷𝑚 ), en unité d’aire.
b) Déterminer la limite de 𝐴𝑚 lorsque m tend vers +∞.

SUJET 6
Exercice 1
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct (𝑂; 𝑢
⃗ , 𝑣 ) On prendra pour unité graphique
1 cm.
1. On désigne par A, B et I les points d’affixes respectives
𝑍𝐴 = 3 + 2𝑖; 𝑍𝐵 = −3 𝑒𝑡 𝑍𝐼 = 1 − 2𝑖
a. Faire une figure que l’on complétera au cours de l’exercice.
𝑍 −𝑍
b. Écrire sous forme algébrique le nombre complexe 𝑍 = 𝑍𝐼 −𝑍𝐴
𝐼 𝐵

Que peut-on en déduire sur la nature du triangle IAB?


c. Calculer l’affixe 𝑍𝐶 du point C image de I par l’homothétie de centre A et de rapport 2.
d. Soit D le barycentre du système {(A, 1) ; (B, −1) ; (C, 1)}; calculer l’affixe 𝑍𝐷 du point D.
e. Montrer que ABCD est un carré.
2. Déterminer et construire l’ensemble Γ1 des points M du plan tels que :

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REVISION GENERALE

1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 ‖ = ‖𝑀𝐴 𝑀𝐶 ‖
2
1. On considère l’ensemble Γ2 des points M du plan tels que :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
‖𝑀𝐴 𝑀𝐵 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝐶 ‖ = 4√5
2. a. Montrer que B appartient à Γ2.
b. Déterminer et construire l’ensemble Γ2.

Exercice 2
On considère les suites (𝑥𝑛 ) 𝑒𝑡 (𝑦𝑛 ) définies par 𝑥0 = 1, 𝑦0 = 8 et
7 1
𝑥𝑛+1 = 𝑥𝑛 + 𝑦𝑛 + 1
3 3
{𝑦 20 8
𝑛+1 = 3 𝑛
𝑥 + 3 𝑦𝑛 +5
𝑛∈𝑁
1. Montrer, par récurrence, que les points Mn de coordonnées (𝑥𝑛 , 𝑦𝑛 ) sont sur
la droite (∆) dont une équation est 5x - y +3 = 0. En déduire que 𝑥𝑛+1 = 4𝑥𝑛 + 2.
2. Montrer, par récurrence, que tous les 𝑥𝑛 sont des entiers naturels. En déduire
que tous les 𝑦𝑛 sont aussi des entiers naturels
3. Montrer que :
a. 𝑥𝑛 est divisible par 3 si et seulement si 𝑦𝑛 est divisible par 3.
b. Si 𝑥𝑛 et 𝑦𝑛 ne sont pas divisibles par 3, alors ils sont premiers entre eux.
1
4. a. Montrer, par récurrence, que 𝑥𝑛 = (4𝑛 ∗ 5 − 2)
3
b. En déduire que 4𝑛 ∗ 5 − 2 est un multiple de 3, pour tout entier naturel n.

Problème
𝑙𝑛𝑥+𝑥𝑒
On considère la fonction f définie sur ]0; +∞[ par 𝑓(𝑥) = 𝑥2
.

On note (𝛤) sa courbe représentative dans un repère orthonormal (O ; I, J), unité graphique : 2cm
Partie A
Etude d’une fonction auxiliaire
On considère la fonction g définie sur ]0; +∞[ 𝑝𝑎𝑟 𝑔(𝑥) = −2𝑙𝑛𝑥 − 𝑥𝑒 + 1.
1. Déterminer les limites de g en 0 et en +∞.
2. Etudier le sens de variation de g.
3. Montrer que dans [0.5; 1] l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une solution et une seule notée 𝛼.
Déterminer un encadrement de 𝛼 à 0.1 𝑝𝑟è𝑠.
4. En déduire le signe de g(x) selon les valeurs de x.

Partie B
Etude de la fonction f
1. Déterminer les limites de f aux bornes de son ensemble de définition
𝑔(𝑥)
2. Soit 𝑓′ la fonction dérivée de 𝑓. Vérifier que 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑥3
puis étudier le sens de variation
de f sur ]0; +∞[ .
1+𝛼𝑒
3. Montrer que 𝑓(𝛼) = 2𝛼 2
.
4. Donner le tableau de variation de f
5. Construire (𝛤)

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REVISION GENERALE

Partie C
Intégrale et suite
𝑒 𝑛+1 𝑙𝑛𝑡 𝑒 𝑛+1
Soit 𝐼𝑛 = ∫𝑒 𝑛 ( 𝑡 2 )𝑑𝑡 𝑒𝑡 𝐴𝑛 = ∫𝑒 𝑛 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 pour tout entier naturel n.
𝑛+1 𝑛+2
1. Montrer à l’aide d’intégration par partie que 𝐼𝑛 = 𝑒𝑛
− 𝑒 𝑛+1 .
2. .a) Montrer que 𝐴𝑛 = 𝐼𝑛 + 𝑒.
b) Calculer 𝐼0 𝑒𝑡 𝐴0
c) Donner une interprétation géométrique de 𝐴0
3. Montrer que la suite (𝐴𝑛 ) converge vers e.

SUJET 7

Exercice 1

Dans l’ensemble C des nombres complexes, i désigne le nombre complexe de module 1 et d’argument
𝜋
2

1. Montrer que (1 + 𝑖)6 = −8𝑖


2. On considère l’équation (𝐸) : 𝑧 2 = −8𝑖
a. Déduire de 1. une solution de l’équation (E)
b. L’équation (E) possède une autre solution, écrire cette solution sous forme
algébrique.
3. Déduire également de 1. une solution de l’équation (𝐸 ′ ): 𝑧 3 = −8𝑖
2𝜋
4. On considère le point A d’affixe 2i et la rotation r de centre O et d’angle
3
a. Déterminer l’affixe b du point B, image de A par r, ainsi que l’affixe du point C,
image de B par r
b. Montrer que b et c sont solutions de (E’)
5. a) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct (𝑜, 𝑢
⃗ , 𝑣 ). Représenter les
point A, B et C.
1. Quelle est la nature de la figure que forment les images de ces solutions
2. Déterminer le centre de gravité de cette figure.
Exercice 2
n est un entier naturel supérieur ou égal à 2.
1. Montrer que n et 2n +1 sont premiers entre eux.
2. On pose α = n +3 et β = 2n +1 et on note δ le PGCD de α et β.
a. Calculer 2α - β et en déduire les valeurs possibles de δ.
b. Démontrer que α et β sont multiples de 5 si et seulement si (n - 2) est multiple de 5.
3. On considère les nombres a et b définis par :
𝑎 = 𝑛3 + 2𝑛2 − 3𝑛 𝑒𝑡 𝑏 = 2𝑛2 − 𝑛 + 1
Montrer, après factorisation, que a et b sont des entiers naturels divisibles par (n -1).
4. a. On note d le PGCD de n(n +3) et de (2n +1). Montrer que δ divise d, puis que δ = d.
b. En déduire le PGCD, ∆, de a et b en fonction de n.
c. Application : Déterminer ∆ pour n = 2001 et pour n = 2002.

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REVISION GENERALE

Exercice 2
Sur une droite (D) muni d’un repère (o, i).
𝐴0 𝑒𝑡 𝐵0 sont les points d’abscisses respectives : −4 et 3. Pour tout entier naturels n, on note :
𝐴𝑛+1 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴𝑛 ; 1)(𝐵𝑛 ; 4)}
𝐵𝑛+1 = 𝑏𝑎𝑟{(𝐴𝑛 ; 3)(𝐵𝑛 ; 2)}
1. Placer les points 𝐴0 , 𝐵0 , 𝐴1 𝑒𝑡 𝐵1
2. Les points 𝐴𝑛 𝑒𝑡 𝐵𝑛 ont pour abscisses 𝑎𝑛 𝑒𝑡 𝑏𝑛 respectivement. Ainsi, Démontrer que, pour tout n
1 1
de N, 𝑎𝑛+1 = (𝑎𝑛 + 4𝑏𝑛 ) 𝑒𝑡 𝑏𝑛+1 = (3𝑎𝑛 + 2𝑏𝑛 )
5 5
3.a) Démontrer, par récurrence, que pour tout entier naturel n : 3𝑎𝑛 + 4𝑏𝑛 = 0
−2 −2
b) En déduire que : 𝑎𝑛+1 = 5 𝑛
𝑎 𝑒𝑡 𝑏𝑛+1 = 5 𝑛
𝑏
4.a) Exprimer 𝑎𝑛 et 𝑏𝑛 à l’aide de n.
b) Déterminer les limites de 𝑎𝑛 et 𝑏𝑛 quand n tend vers +∞.
c) Interpréter ce résultat à l’aide des points 𝐴𝑛 𝑒𝑡 𝐵𝑛 .
Problème
Partie A : Résolution d’équation différentielle (1) : 𝑦 ′ − 2𝑦 = 𝑥𝑒 𝑥
1- Résoudre l’équation différentielle (2): 𝑦 ′ − 2𝑦 = 0 où y désigne une fonction dérivable sur R
2- Soient a et b deux réels et soit u la fonction définie sur R par 𝑢(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 𝑥
a. Déterminer a et b pour que soit solution de l’équation (1)
b. Montrer que v est une solution de (2) si et seulement, si u+v est solution de (1)
c. En déduire l’ensemble des solutions de (1).
3- Déduire la solution de l’équation (1) qui s’annule en 0.
Partie B : Etude d’une fonction auxiliaire
Soit g la fonction définie sur R par 𝑔(𝑥) = 2𝑒 𝑥 − 𝑥 − 2
1- Déterminer la limite de g en −∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 + ∞
2- Etudier le sens de variation de g, puis dresser son tableau de variation
3- On admet que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 a exactement deux solutions réelles
a. Vérifier que 0 est l’une des solutions
b. L’autre solution est appelée 𝛼. Montrer que −1.6 ≤ 𝛼 ≤ −1.5
4- Déterminer le signe de g(x) suivant les valeurs du réel x
Partie C : Etude de la fonction principale
Soit f la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑒 2𝑥 − (𝑥 + 1)𝑒 𝑥
1- Déterminer la limite de f en −∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 + ∞
2- Calculer 𝑓′(𝑥) et montrer que 𝑓 ′ (𝑥) et g(x) ont le même signe.
Etudier le sens de variation de f
𝛼 2 +2𝛼
3- Montrer que 𝑓(𝛼) = − 4
où 𝛼 est définie dans la partie.
En déduire un encadrement de 𝑓(𝛼) (on rappelle que −1.6 ≤ 𝛼 ≤ −1.5)
4- Etablir le tableau de variation de f
5- Tracer la courbe (C), représentative de f dans le plan rapporté à un repère orthonormal
(unité graphique 2 cm)
Partie C : calcul d’aire
0
1- Soit m un réel négatif de f. Interpréter graphiquement l’intégrale ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 (on justifiera
la réponse)
0
2- a) Calculer ∫𝑚 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 à l’aide d’intégration par partie

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REVISION GENERALE

0
b). En déduire ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥

0
3- calculer la limite de ∫𝑚 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 lorsque m tend vers -∞
SUJET 8
Exercice 1
Pour tout entier naturel n supérieur ou égal à 5, on considère les nombres :

𝑎 = 𝑛3 − 𝑛2 − 12𝑛 + 𝑒𝑡 𝑏 = 2𝑛2 − 7𝑛 − 4
1. Montrer que a et b sont des entiers naturels divisibles par 𝑛 − 4
2. On pose 𝛼 = 2𝑛 + 1 𝑒𝑡 𝛽 = 𝑛 + 3. 𝑂𝑛 𝑛𝑜𝑡𝑒 𝑑 𝑙𝑒 𝑃𝐺𝐶𝐷 𝑑𝑒 𝛼 𝑒𝑡 𝛽.
a. Etablir une relation entre 𝛼 𝑒𝑡 𝛽 indépendant de n.
b. Démontrer que d est un diviseur de 5
c. Démontrer que les nombres 𝛼 𝑒𝑡 𝛽 sont multiples de 5 si et seulement si 𝑛 − 2 est un
multiple de 5
3. Montrer que 2𝑛 + 1 et n sont premiers entre eux.
4. Déterminer suivant les valeurs de n et en fonction de n, le PGCD de a et b
5. Vérifier les résultat obtenus dans les cas particuliers 𝑛 = 11 𝑒𝑡 𝑛 = 12
Exercice 2
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé (O, I, J), on considère les points A, B et C
d’affixe respectives −𝑖, 8 + 5𝑖 𝑒𝑡 8 − 5𝑖.
1. Placer les points A, B et C
2. Démontrer que le triangle ABC est isocèle en B
3. Déterminer l’affixe du barycentre G des points pondérés (𝐴, −1), (𝐵, 1) 𝑒𝑡 (𝐶, −1).
4. Démontrer que GA=GC
5. On considère l’ensemble (Γ) des points M du plan tels que :
𝑀𝐴2 − 𝑀𝐵2 + 𝑀𝐶 2 = −20
a. Démontrer que A et C appartiennent à l’ensemble (Γ)
b. Démontrer que (Γ) est le cercle de centre G et de rayon GA
c. On appelle (Γ’) le symétrique de (Γ) par rapport à (AC). Construire (Γ’)
Exercice 3
1. Pour tout nombre complexe z, on pose 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − 3𝑧 2 + 3𝑧 + 7
a. Calculer 𝑃(−1)
b. Déterminer les réels a et b tels que pour tout nombre complexe z, on ait
𝑃(𝑧) = (𝑧 + 1)(𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐).
c. Résoudre dans C l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
2. Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑂 ; 𝑢
⃗ ; 𝑣 ). On désigne par A, B,
C et G les points d’affixes respectives 𝑍𝐴 = −1, 𝑍𝐵 = 2 + 𝑖√3, 𝑍𝐶 = 2 − 𝑖√3 𝑒𝑡 𝑍𝐺 = 3.
a. Réaliser une figure et placer les points A, B, C et G
b. Calculer les distances AB, BC et AC. En déduire la nature du triangle ABC.
𝑍 −𝑍
c. Calculer un argument du nombre complexe 𝑍𝐴 −𝑍𝐶 . En déduire la nature du triangle GAC
𝐺 𝐶

3. Soit (D) l’ensemble des points M du plan tels que : (−𝑀𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 2𝑀𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )𝐶𝐺
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + 2𝑀𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 12 (1)
a. Montrer que G est le barycentre du système de points pondérés {(𝐴, −1); (𝐵, 2); (𝐶, 2)}
b. Montrer que la relation (1) est équivalente à la relation 𝐺𝑀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∗ 𝐶𝐺
⃗⃗⃗⃗⃗ = −4 (2)
c. Montrer que le point A appartient à l’ensemble de (D)

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REVISION GENERALE

d. Montrer que la relation (2) est équivalente à la relation ⃗⃗⃗⃗⃗⃗


𝐴𝑀 ∗ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐺𝐶 = 0
e. En déduire l’ensemble (D) et le tracer.

Exercice 4

1. a) Vérifier que le couple (5 ; -7) est une solution de l’équation (E) : 13x + 7y = 16.
b) Déterminer les couples d’entiers relatifs (x ; y) vérifiant l’équation (E).
2. a) Démontrer que, pour tout entier naturel n, 42𝑛 ≡ 1[5]
b) Déterminer le reste de la division euclidienne de 20142015 par 5.
3. p désigne un entier naturel supérieur à 1. Une urne contient 2p boules numérotées de 1 à
2p, toutes indiscernables au toucher. Un joueur tire successivement, sans remise 2 boules de
cette urne.
a) Quel est le nombre de résultats possibles ?
Si les boules tirées portent des numéros pairs, il gagne 800 F. Si les boules tirées sont de
parités différentes, il gagne 400 F et il perd 800 F si elles portent des numéros
impairs. On désigne par X le gain algébrique du joueur à l’issue de chaque épreuve.
b) Déterminer la loi de probabilité de X en fonction de p.
c) Calculer l’espérance mathématique de X en fonction de p.
d) Calculer p pour que l’espérance de gain du joueur soit de 240 F.

Exercice 5

1) Développer (13𝑙𝑛3 + 1)2 , en déduire les solution de l’équation


𝑥 2 ln 3 + (1 + ln 3)𝑥 − 42 ln 3 − 6 = 0
𝑛
2) On considère la suite (𝑉𝑛 ) 𝑑é𝑓𝑖𝑛𝑖𝑒 𝑝𝑎𝑟: 𝑉𝑛 = 3−𝑛 𝑒 2 +1.
a. Montrer que (𝑉𝑛 ) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le premier
terme
b. La suite (𝑉𝑛 ) est-elle convergente ? (justifier)
𝑛+3
3) On pose 𝑈𝑛 = 2
− ln 𝑉𝑛
a. Montrer que la suite (𝑈𝑛 ) est une suite arithmétique
b. Trouver la valeur de n pour laquelle la somme 𝑆𝑛 = 𝑈0 + 𝑈1 + ⋯ +𝑈𝑛 soit égale à
7+42 ln 3
2

Problème 1
On se propose de résoudre l’équation différentielle (𝐸): 𝑦 ′ + 𝑦 = 2𝑥𝑒 𝑥 où y est une fonction de la
variable réelle et y’ sa dérivée.
1. Résoudre l’équation différentielle y’+y = 0 et déterminer la fonction f, solution de cette
équation, telle que 𝑓(0) = 1
2. On pose 𝑦 = 𝑓 ∗ 𝑧. Déterminer l’équation différentielle (E’) à laquelle doit satisfaire la
fonction z sachant que y est solution de (E)
3. .a) Résoudre l’équation (E)
b) En déduire la fonction 𝑔 = 𝑓𝑧 solution de (E) qui s’annule pour x = 0.
4. Soit g la fonction définie sur R par 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 𝑒 −𝑥 .
a. Etudier la fonction g

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b. Construire la courbe représentative de la fonction g dans un repère orthonormé (O ; I,J),


(unité graphique : 1cm)
c. Soit 𝛼 un réel strictement positif. Calculer l’aire 𝐴(𝛼) de la partie du plan limité par la
courbe (C), les axes de coordonnées la droite d’équation 𝑥 = 𝛼
d. Quelle est la limite de 𝐴(𝛼) quand 𝛼 tend vers +∞ ?

Problème 2
Partie 1
On définit la fonction 𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑅 ∗ 𝑝𝑎𝑟 𝑢(𝑥) = 2𝑥 3 − 1 + 2ln|x|.
1. Etudier les variations de la fonction 𝑢 𝑠𝑢𝑟 𝑅 ∗. Préciser la valeur de l’extremum relatif de u.
2. Etudier les limites de u en 0 et en +∞
3. On considère l’équation 𝑢(𝑥) = 0
a. Montrer qu’elle n’admet qu’une seule solution sur [0.5; 1] et en déduire qu’elle est la
seule sur R* ; cette solution sera notée 𝛼.
𝑛 𝑛+1
b. Donner un encadrement de 𝛼 par deux nombre rationnels de la forme 10
𝑒𝑡 10
, avec n
un entier
4. En déduire le signe de u(x) sur R*
Partie 2
ln |𝑥|
On définit la fonction f sur R* par 𝑓(𝑥) = 2𝑥 − 𝑥2
. On appelle (C) la courbe représentative dans le
plan muni d’un repère orthonormal (O, I, J)
1. Etudier les limites de f en 0, 𝑒𝑛 + ∞ 𝑒𝑡 𝑒𝑛 − ∞
2. Pour tout réel x, déterminer le nombre dérivé 𝑓 ′ (𝑥)
3. En utilisant les résultats déj) établis, donner les variations de la fonction f et le tableau de
variation de f.
1
4. .a) Démontrer que 𝑓(𝛼) = 3𝛼 − 2𝛼2.
8 9
b) Sachant que 10 ≤ 𝛼 ≤ 10, prouver que 1.6 ≤ 𝑓(𝛼) ≤ 2.1. la construction de (C) n’est pas
demandée.
Partie 3
Soit M le point de coordonnées (x ;y) et M’ le points de coordonnées (x’ ; y’) dans le repère (O ; I ;J),
où M’ est le symétrique de M par rapport à l’axe des ordonnées.
1. Déterminer x’ et y’ en fonction de x et y
2. A) Démontrer qu’une équation de courbe (Γ) à laquelle appartiennent M’ lorsque M décrit la
ln |𝑥|
courbe (C) est la suivante : 𝑦 = −2𝑥 − 𝑥2
B) Etudier la position relative des courbe (C) et (Γ).
Partie 4
On considère un réel m supérieur au égal à 1.
𝑚
1. On note A(m) l’intégrale ∫1 (2𝑥 − 𝑓(𝑥)) 𝑑𝑥. Calculer A(m). (on utilisera une intégration par
parties
2. Déterminer, si elle existe, la limite de A(m) quand m tend vers +∞

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