DFD Fae 3
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Rapport de stage
De commissaire aux comptes N° 3
Thème :
LA TENUE DE COMPTABILITE
Plan du rapport
Introduction.
Prescriptions légales et réglementaires.
o Conclusion
o Appréciation du maître de stage
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INTRODUCTION :
La comptabilité générale n’est pas un compte qui se transmet par simple tradition orale c’est une
discipline de l’esprit qui a besoin de jugement, de réflexions et d’écrits. Elle est un domaine aussi vaste
que varié qui s’intéresse à toutes les étapes de développement des entreprises, car en peut plus parler de
gestion sans parler comptabilité, et elle apparaît, dès lors, comme une étape nécessaire dans la gestion.
Donc la comptabilité est le principal outil de gestion fournissant aux gestionnaires des informations
pour prendre des décisions et réaliser des objectifs.
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PRESCRIPTIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES :
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CHAPITRE I : Introduction à la comptabilité générale.
Titre 1 : Définition.
La comptabilité générale est une technique de gestion normalisée qui consiste à saisir, classer, traiter
des informations, et mesurer les mouvements affectant l’exploitation ou la structure d’une entreprise et
résultant, soit de son activité interne, soit de ses relations avec l’extérieur. Alors la comptabilité est un
système d’organisation de l’information qui permet de collecter, analysé, évaluer, calculer, présenter et
enregistrer des données de base chiffrées pour présenter des états reflétant une image fidèle du
patrimoine, de la situation financière et du résultat à la date de clôture qui pourra servir à effectuer des
comparaisons périodiques et d’apprécier l’évolution de l’entreprise dans une perspective de continuité
d’activité.
1/ Définition :
En peut présenter la normalisation comme l’obligation de se soumettre aux normes comptables
qui résultent d’un cadre cohérent et acceptable de conventions et principes comptables à respecter.
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Ainsi, par les principes généraux et identiques qu’elle préconise, la normalisation comptable est venue
mettre de l’ordre dans une multitudes de conventions dont certaines manquait parfois d’objectivité parce
qu’elles dépendaient du jugement personnel du dirigeant ou du comptable. Dans ces mesures, il faut
accepter la normalisation comme un langage commun devant permettre à l’entreprise de mieux contrôler
sa propre évolution et d’établir un contact permanent avec l’environnement dans lequel elle évolue.
1/ Définition :
Le plan comptable national est le fruit de la normalisation, l’application du P.C.N est rendue
obligatoire en Algérie à compter le 1er janvier 1976, par l’ordonnance n°=75135 du 29/04/1975.
Le P.C.N permet aux pouvoirs publics de contrôler le développement de l’économie nationale grâce
à l’exploitation des renseignements communiqués par la comptabilité de chaque entreprise.
Le plan comptable national consiste un cadre général offrant par sa souplesse de très nombreuses
possibilités d’adaptation aux cas particuliers. Chaque entreprise élabore, à partir de ce cadre général
qu’est le P.C.N, son plan comptable interne (ou plan comptable de l’entreprise), compte tenu de la nature
de ses activités, car une entreprise peut avoir une activité principale avec adjonction d’activités
secondaires ou occasionnelles.
Le plan comptable de l’entreprise comprend la liste des comptes qu’elle se prose d’utiliser pour
enregistrer des opérations la concernant et qu’elle estime convenir le mieux à sa structure de façon à
permettre le calcule des coûts, des prix de revient, … ect.
2.1/ Introduction :
Le plan comptable national constitue la base d’une bonne organisation comptable. Les présentations
normalisées du bilan, du compte de résultat et de certains tableaux sont données dans le cadre du plan
comptable et doivent être respectées.
Le P.C.N comprend 8 classes numérotées de 1 à 8, les classes sont présentées par un seul chiffre,
l’indicatif majeur, et en fonction de leur contenue et de leur nature les classes sont subdivisées comme
suit :
En comptes principaux à 2 chiffres.
En comptes divisionnaires à 3 chiffres.
En sous-comptes à 4 chiffres et plus.
L’usage des comptes divisionnaires et sous-comptes permet de détailler au maximum la nature des
enregistrements qui peuvent concerner une classe donnée.
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Classe 2 : Investissements.
Les investissements constituent l’ensemble des biens et valeurs durables, corporels ou incorporels,
meubles ou immeubles acquis ou crées par l’entreprise non pour être vendus ou transformés, mais pour
être utilisés comme moyens permanents d’exploitation.
Classe 3 : Stocks.
Les stocks représentent, d’une part, les biens acquis par l’entreprise soit pour être revendus en l’état
(marchandises), soit pour être incorporés aux produits fabriqués (matières premières),d’autre part, les
biens fabriqués par l’entreprise elle-même et qui sont destinés à la revente ou à usage interne (produits
semi-ouvrés, produits finis, les déchets et les rebuts).
Classe 4 : Créances.
Les créances représentent l’ensemble des droits acquis par l’entreprise par suite de ses relations
avec les tiers.
Classe 5 : Dettes.
Les dettes constituent normalement la contre partie des biens et services fournis à l’entreprise et qui
sont payables à terme. Ce sont des ressources volontaires que l’entreprise se procure chaque fois que sa
trésorerie ne lui permet pas de faire face à des paiements au comptant.
Comme ont peut définir les dettes comme suit : les dettes correspondent à l’ensemble des obligations
contractées par l’entreprise par suite de ses relations avec les tiers.
2- Comptes de gestion :
Classe 6 : Charges.
Les comptes de charges enregistrent (à l’exception du compte 69) par nature les consommations de
marchandises, matières et fournitures déstockées (compte 60 et 61), les charges réelles donnant lieu à
décaissement (compte 62 à 66), ainsi que les charges calculées ne donnant pas lieu à décaissement
(compte 68).
Le compte 69 enregistre, pour sa part, les charges qui ont un caractère exceptionnel par rapport aux
autres charges, ainsi que celles qui se rapportent aux exercices comptables antérieurs.
Classe 7 : Produits.
Cette classe regroupe les produits que se rapportent à l’exploitation normale représentés par les
comptes 70 à 78, le compte 79 renferme les produits ayant un caractère exceptionnel ou rapportant à des
exercices antérieurs.
Classe 8 : Résultat.
En terme économique, le résultat exprime la conséquence de la bonne ou de la mauvaise utilisation
des moyens, mais en terme comptable le résultat traduit la différence entre deux montants celui des
produits (classe7) et celui des charges. Si le total des produits est supérieur à celui des charges, il y a
bénéfice, si c’est le contraire il y a déficit.
Les comptes de résultat se présentent comme suit :
- Compte 80 → Marge brut.
- Compte 81 → Valeur ajoutée.
- Compte 83 → Résultat d’exploitation.
- Compte 84 → Résultat hors exploitation.
- Compte 88 → Résultat de l’exercice.
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Titre 2 : Le compte.
1/ Définition :
Le compte est un tableau qui enregistre les opérations saisies par la comptabilité à partir duquel
s’élabore l’ensemble du système comptable, alors il sert à constater des mouvements en entrée et des
mouvements en sortie, c’est pourquoi il doit avoir deux colonnes. Ainsi le compte doit indiquer la date,
le libelle et la nature de chaque mouvement.
2/ Forme du compte :
- Le coté gauche d’un compte s’appel en terme comptable le Débit.
- Le coté droit d’un compte s’appel le Crédit.
- L’écart entre le débit et le crédit d’un compte s’appel le Solde.
Compte……………
Mouvements Soldes
Date Libelle
Débit Crédit Débit Crédit
En théorie, la présentation du compte est abrégée comme suit pour des besoins de commodité.
3/ Rôle du compte :
Le compte sert à évaluer, en termes monétaires l’importance ou le niveau d’un élément patrimonial,
d’une charge, d’un produit ou d’un résultat.
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4/ Fonctionnement du compte :
augmentatio
n diminution diminution augmentation
Débit 3.Stocks Crédit
+ -
Débit 5. Dettes Crédit
augmentatio
n diminution - +
augmentatio
n diminution
Les principes comptables constituent des normes servant de base à la présentation de l’information
comptable. Certains de ces principes découlent de la réglementation en matière comptable (arrêté du 23
Juin 1975 relatif aux modalités d’application du plan comptable national).
Titre 2 : Périodicité.
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Un exercice comptable a normalement une durée de douze mois couvrant l’année civile (du 1 er Janvier
au 31 Décembre).
Titre 7 : La prudence.
Elle est l’appréciation raisonnable des faits dans les conditions d’incertitudes. Toutefois
l’application de ce principe ne doit pas conduire à la création de réserves occultes ou de provisions
excessives.
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CHAPITRE II : Elaboration de la comptabilité et les documents
réglementaires.
Introduction :
Les documents nécessaires à la gestion d’un nouveau dossier comptable d’un client (la tenue d’un
nouveau dossier) se représentent comme suit :
- Le statut de l’entreprise.
- Le registre de commerce.
- La carte fiscale.
- Les registres légaux et réglementaires.
- Touts les documents comptables nécessaires.
Les documents comptables représentent les factures d’achats, de ventes, état des salaires payés, pièces
justificatives des dépenses, remises de chèques et toutes les pièces bancaires (avis de débits et de crédits,
bordereaux de versement, relevés bancaires…etc). Sans oublier les déclarations fiscales (G.50) et
parafiscales (C.N.A.S), d’une manière générale tous les documents en rapport avec la comptabilité.
Après la réception des documents, ils sont triés par nature d’opération en fonction des journaux
auxiliaires ouverts à cet effet. Chaque document fait l’objet d’un contrôle systématique concernant :
- la forme juridique de l’entreprise (l’existence du nom de l’entreprise).
- La date des factures.
- Numéros des factures.
Les documents sont numérotés chronologiquement et classés en fonction du journal auxiliaire ou ils
seront enregistrés.
Chaque document reçoit une imputation comptable conformément au plan comptable national.
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Section 2 : La comptabilisation des documents.
L’informatique est un outil qui sert à faciliter la tenue de la comptabilité et l’enregistrement des
imputations comptables sur un logiciel de comptabilité afin d’exécuter les tâches comptables tel que le
bilan, le compte, le journal, l’élaboration du grand livre, la balance et la centralisation.
Les soldes des comptes reflétant la situation active et passive de l’entreprise et figurant au bilan de
l’exercice écoulé sont repris au début d’exercice suivant.
Forme du journal :
Compte Montant
Débité Débit
Date de l’opération
X XX
Montant
Compte Crédit
Crédité
X XX
Libelle de l’opération
Il existe cinq (05) journaux auxiliaires concernant les achats, ventes, caisse (recettes, dépenses),
banque (recettes, dépenses) et le journal des opérations diverses.
Remarque :
Les factures d’avoir se rapportent soit à des retours de marchandises, soit à des réductions de prix hors
factures. Elles peuvent être enregistrées au journal auxiliaire (achats - ventes).
Remarque :
Le solde de la caisse qui figure à la fin de chaque mois égal au solde sur le brouillard de caisse tenu par
l’entreprise.
Remarque :
Le solde de la banque qui figure à la fin de chaque mois égal au solde sur l’état de rapprochement
bancaire.
Il s’agit du contrôle des imputations comptables faites sur les journaux auxiliaires, c'est-à-dire le code
comptable affecté à chaque comptabilisation de document, ainsi que les vérifications des montant
débités ou crédités para port à la pièce justificative.
Les erreurs d’imputations sont régularisées en générale au niveau même ou elles ont été commises,
grâce à l’outil informatique l’imputation erronée est tout simplement remplacée par celle qui est jugée
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conforme sans rature ni surcharge. Il est possible que ces erreurs d’imputation soient régularisées en fin
d’année ou fin du mois dans le journal des opérations diverses.
Par ailleurs, les mouvements bancaires (recettes, dépenses) comptabilisés dans le journal auxiliaire de
banque, sont vérifiés avec les opérations enregistrés sur l’extrait de compte bancaire. Les écarts sont
notés dans l’état de rapprochement bancaire établi à cet effet.
Le grand livre des comptes est constitué par le volume des comptes utilisés par l’entreprise (comptes
divisionnaires et sous-comptes) du début jusqu’à la fin de l’année. Grâce à l’informatique on a la
possibilité d’obtenir le détail de chaque compte et son solde.
Les opérations du journal sont reportées aux comptes intéressés, et on porte le montant dans le compte
selon la position de ce compte dans le journal.
- Le débit du journal dans le débit du compte.
- Le crédit du journal dans le crédit du compte.
N° N° Montant
Compte Montant Compte Crédit
Débit Date Débit Crédit Date
X XX X XX
A la fin de chaque période on totalise pour chaque compte le débit et le crédit pour déterminer le solde
qui représente la différance.
- Si le total du débit est supérieur au total du crédit, le solde est débiteur et on porte la différence au
crédit du compte
- Si le total du crédit est supérieur au total du débit, le solde est créditeur et on porte la différence au
débit du compte.
- Si le total du débit égal au total du crédit, le solde est nul.
Titre 2 : La balance.
Suite à l’élaboration du grand livre, il est nécessaire d’établir une balance. La balance générale est un
document ou figure tous les comptes utilisés par l’entreprise pour le montant débit ou crédit, ainsi que
leur solde débiteur ou créditeur. La balance constitue un moyen de vérification arithmétique des
renseignements et doit exprimer, de ce fait, l’équilibre entre tous les éléments de l’entreprise.
1/ Forme de la balance :
Cette balance reflète les opérations commerciales et financières de l’exercice réalisées avec chaque
client.
3/ La balance fournisseur :
Cette balance reflète les opérations commerciales et financières de l’exercice réalisées avec chaque
fournisseur.
Le bilan comptable est un document de synthèse qui se présente sous forme de tableau reflétant la
situation active et passive de l’entreprise au 31 Décembre ou en cours de l’exercice.
- Le passif représente les ressources mises à la disposition de l’entreprise.
- L’actif représente les emplois faits à partir de ces ressources.
ACTIF PASSIF
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Classe 3 : Stocks Classe5 : Dettes
Classe 4 : Créances
Titre 5 : La centralisation.
C’est une tâche qui consiste à centraliser mensuellement sur un registre côté et paraphé
appelé Journal Général », les écritures constatées sur les différents journaux auxiliaires.
En application des dispositions de l’article 156 de la loi n° 90-11 du 21 avril 1990, la liste des livres et
registres spéciaux obligatoires pour tous les entreprises se détermine comme suit :
Ces livres doivent être cotés et paraphés et tenus par l’entreprise, il se représentent comme suit :
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CHAPITRE III : Etude de cas.
Introduction :
Dans ce chapitre on va étudier un exemple de cas pratique en procédant au traitement des documents
comptable (l’élaboration de la comptabilité) du mois de janvier 2007 d’une société X en suivant les
différentes étapes de la gestion d’un dossier.
Présentation de l’entreprise :
La société X, s.a.r.l au capital de 5.800.000,00 DA spécialisée dans la production de peinture et
dérivés. La société a réalisée à la fin d’exercice 2006 un bénéfice d’un montant de 2.016.150,26 DA.
Le volume des opérations à enregistrer, la nature d’activité de l’entreprise, ses possibilités matérielles,
financières et humaines, l’importance qui est accordée à chacun des trois enregistrements cités, sont des
facteurs qui peuvent intervenir dans le choix du système comptable de l’entreprise.
Dans ce cas pratique, le système comptable choisi par la s.a.r.l X est le système d’enregistrement
centralisateur avec les journaux auxiliaires assistés par logiciel informatique, car de tous les systèmes
existant le système d’enregistrement centralisateur est le système le plus communément employé.
Le point de départ des enregistrements comptables est, rappelons-le, constitué par les pièces
justificatives ou documents de base qui sont les factures, pièces de caisse, pièces de banque, … etc. Les
mouvements sont portés chronologiquement dans les journaux auxiliaires distincts. Il est ensuite effectué
mensuellement une centralisation des journaux auxiliaires dans le journal général et dans les comptes
principaux du grand livre.
*B.N.A. dépenses :
*B.N.A. recettes :
Le journal de paie est spécialement conçu pour récapituler et permettre de calculer la paie de chaque
période (hebdomadaire, mensuelle). Il peut prendre des formes diverses selon le traitement effectués
manuellement ou par informatique, son aspect varie aussi on fonction des informations que chaque
entreprise désir en retirer mais sa conception fondamentale comprends toujours les sections suivantes :
La s.a.r.l X est composée de 15 salariés et un Gérant. Les salaires sont présentés comme suit :
Remarque :
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Noms et S/F Nbr Salaire de I.E.P IFSP Ind. P.R.I Salaire de Retenu S.S. Prime de Salaire IRG Frais de Salaire Net à payer
prénoms Jrs base Nuis. poste 9% panier imposable déplac. Unique
1 Le Gérant M 22 40.000,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 40.000,00
2 Mohamed M 22 12.000,00 0,00 0,00 0,00 0,00 12.000,00 1.080,00 0,00 10.920,00 192,00 0,00 500,00 11.228,00
3 Mustapha M 22 22.000,00 2.200,00 2.200,00 2.200,00 2.200,00 30.800,00 2.772,00 0,00 28.028,00 2.523,90 0,00 500,00 26.004,10
4 Aomar M 22 26.000,00 2.600,00 2.600,00 2.600,00 2.600,00 36.400,00 3.276,00 0,00 33.124,00 3.456,00 0,00 500,00 30.168,00
5 M’barek C 19 10.193,18 815,45 0,00 0,00 0,00 11.008,64 990,78 975,00 10.992,86 299,30 0,00 0,00 10.693,56
6 Aissa M 22 11.192,40 1.155,00 2.100,00 2.100,00 0,00 16.547.40 1.489,27 1.100,00 16.158,13 831,60 0,00 500,00 15.826,53
7 Karim M 22 11.192,40 1.155,00 2.100,00 2.100,00 0,00 16.547,40 1.489,27 1.100,00 16.158,13 831,60 0,00 500,00 15.826,53
8 Embarek M 22 9.028,85 990,00 900,00 1.800,00 0,00 12.718,85 1.144,70 1.100,00 12.674,15 367,40 0,00 500,00 12.806,75
9 Amar M 22 12.000,00 0,00 0,00 0,00 0,00 12.000,00 1.080,00 0,00 10.920,00 192,00 2.000,00 500,00 13.228,00
10 Zoubir C 22 12.500,00 0,00 2.500,00 0,00 0,00 15.000,00 1.350,00 0,00 13.650,00 565,00 2.000,00 0,00 15.085,00
11 El Hadi C 22 11.000,00 0,00 2.200,00 0,00 0,00 13.200,00 1.188,00 0,00 12.012,00 401,20 2.000,00 0,00 13.610,80
12 Mahdjoub C 22 8.826,90 617,88 882,69 1.765,38 0,00 12.092,85 1.088,36 1.100,00 12.104,50 410,50 0,00 0,00 11.694,00
13 Mohamed C 22 9.346,20 533,08 888,46 1.776,92 0,00 12.544,66 1.129,02 1.100,00 12.515,64 451,60 0,00 0,00 12.064,04
14 Azzeddine C 17 7.043,69 422,69 704,37 1.408,74 0,00 9.579,42 862,15 875,00 9.592,27 159,20 0,00 0,00 9.433,07
15 Ramdane M 19 7.657,33 536,01 765,73 1.531,47 0,00 10.490,54 944,15 950,00 10.496,39 149,60 0,00 500,00 10.846,79
16 Ahmed M 16 6.545,45 392,73 654,55 1.309,09 0,00 8.901,82 801,16 800,00 8.900,65 0,00 0,00 500,00 9.400,65
Totaux 216.526,40 11.417,78 18.495,80 18.591,59 4.800,00 229.831,57 20.684,84 9.100,00 218.246,73 10.830,90 6.000,00 4.500,00 257.915,83
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2/ La comptabilisation des pièces :
Factures
Code Nom Fournisseur Achats TVA Tim Caisse Banque N°chèque
Folio Date N° Fournisseur 530 381 17% bre
1 07/01/07 07 1 Sarl NADECAL Algérie 99.450,00 85.000,00 14.450,00 - - 99.450,00 BNA 0088651
2 19/01/07 19 2 Sarl POLYMA Mascara 139.230,00 119.000,00 20.230,00 - - 139.230,00 BNA 0088654
3 13/01/07 69 3 Sarl PROPEINT 82.555,20 70.560,00 11.995,20 - - 82.555,20 BNA 0088659
4 13/01/07 12 4 Sarl EXIM CHIMICAL 60.021,00 51.300,00 8.721,00 - - 60.021,00 BNA 0088660
5 14/01/07 01 6 Sarl S.E.M.C. 235.374,75 201.175,00 34.199,75 - - 235.374,75 BNA 0088661
6 14/01/07 367 5 Sarl ALSOCHEM 42.120,00 36.000,00 6.120,00 - - 42.120,00 BNA 0088662
7 14/01/07 92 3 Sarl PROPEINT 71.358,30 60.990,00 10.368,30 - - 71.358,30 BNA 0088663
8 15/01/07 96 3 Sarl PROPEINT 109.547,10 93.630,00 15.917,10 - - 109.547,10 BNA 0088664
9 16/01/07 109 3 Sarl PROPEINT 128.641,50 109.950,00 18.691,50 - - 128.641,50 BNA 0088665
10 17/01/07 31 2 Sarl POLYMA Mascara 172.280,16 147.248,00 25.032,16 - - 172.280,16 BNA 0088667
21
-Journal des ventes :
Factures
Code Nom Client Vente TVA Timbr Caisse Banque N°chèque
Folio Date N° Client 470 71017 17% e
5643
22
2.4/ Journal de banque (B.N.A) Janvier 2007 :
2 3.750.387,49 588 3.750.387,49 Reprise solde créditeur de BNA au 3.750.387,49 485 3.750.387,49
31/12/2006
3 87.480,14 547 87.480,14 Déduction de la TVA récupérable des doits 87.480,14 457 87.480,14
de TVA due s/chiffre d’affaire de janvier 07
23
3/ Elaboration du grand livre :
// 50.996,00 582,00
24
C/6300
176.526,40
C/63020
4.800,00
C/6310
40.000,00
C/6320
9.100,00
C/6323
11.417,78
C/63
C/6325 289.431,57
18.495,80 289.431,57
C/6326
18.591,59
C/63281
4.500,00
C/6330
6.000,00
25
Rapport de stage n°01
La Tenue de la Comptabilité
C/543
10.254,00 10.830,90
576,90
C/545 C/54
18.459,47 20.684,84 10.254,00 10.830,90
2.225,37 18.459,47 20.684,84
282.337,00 87.480,14
87.480,14
C/547 279.534,73
282.337,00 87.480,14
87.480,14
282.337,00
C/562
6.305,95
3.925,14
10.231,09
C/5641
50.996,00
50.996,00
C/56
6.305,95 1.991,00
3.925,14
C/5643 50.996,00
2.573,00
2.573,00 1.991,00 53.327,36 115.136,45
582,00
C/5680
53.327,36
53.327,36
26
C/6281
5.128,20
5.128,20 C/62
5.128,20
57.500,00
62.628,20
C/62510
57.500,00
57.500,00
C/6462 C/64
60,00 60,00
60,00 60,00
27
4/ Centralisation :
Janvier 2007
_____________ d° _____________________
457 TVA récupérable et précompte 9.775,00
543 I.R.G. sur salaires 10.254,00
545 Cotisations sociales retenues 18.459,47
547 TVA due sur ventes 282.337,00
530 Fournisseurs 1.140.578,01
562 Créditeurs de services 10.231,09
5641 Impôts dus : T.A.P 50.995,00
5643 Impôts dus : Timbre fiscaux 2.573,00
5680 C.N.A.S 53.327,36
62510 Honoraires du comptable 57.500,00
485 Banque B.N.A 1.636.030,93
28
A reporter………... 4.548.705,17 4.548.705,17
29
o CONCLUSION :
Malgré l’utilité de la tenue de la comptabilité générale sous ses différentes formes, soit en étant un
outil de gestion ou un outil pour déterminer le résultat comptable ainsi que le résultat fiscal en matière
de fiscalité, elle marque des insuffisances au niveau de l’analyse financière de l’entreprise. Ce qui mène
à créer d’autre type de comptabilité dans le but de bien gérer l’entreprise.
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o REFERENCE BIBLIOGRAPHIE :
31
o APPRECIATION DU MAITRE DE STAGE :
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