01 - CCTP

MAITRE D'OUVRAGE
VILLE DE CLERMONT L'HERAULT

Place de la Victoire, 34800 Clermont-l'Hérault
Tél. 04 67 88 87 00 | accueil.mairie@ville-clermont-herault.fr
ARCHITECTE MANDATAIRE
CARDIN GABRIEL Architectes
2 avenue Monteroni d'Arbia - 34920 LE CRES
Tél. 04 67 40 21 17 | contact@cardingabriel.com RESTAURATION SCOLAIRE
CLERMONT L'HERAULT
BUREAU TCE
OTCE LR
65 Impasse Nicéphore Niépce - 34000 Montpellier
AA
tél.04 67 20 06 15 | otcelr@otce.fr
RESTAU CONCEPTEUR
INGECOR
113 Quai Jean Péridier, 34070 Montpellier
Tél. 04 67 13 86 86 | be.ingecor@ingecor.fr
01
CCTP
OPC
Non défini
Indice Description de la révision Date
CSPS
LM COORDINATION
17 Avenue de Saint-Just PIECES ECRITES
34370 Creissan
Tél. 06 01 76 15 52 | ameunier@lmcoordination.fr
DCE
BUREAU DE CONTROLE
ALPES CONTROLE
OCT. 2021
N°20-666
2 929 Avenue Etienne Mehul | Zac Garosud | 34 070 MONTPELLIER

Tél. 04 67 02 92 27 | dconstant@alpes-controles.fr
Ech.
CONSTRUCTION D’UNE RESTAURATION SCOLAIRE
Ville de Clermont l’Hérault
CCTP PHASE DCE

LOT 00 – PRESCRIPTIONS COMMUNES
DIAG APS APD PRO DCE MARCHE EXE
Date Approuvé
Indice Etabli par Libellé de la modification Vérifié par
par
00 S. KNAFEL 20/09/21 Création du document G. AMALVY G. AMALVY
VILLE DE CLERMONT L’HERAULT
Création d’une restauration scolaire
LOT 00 COMMUN / ind 0
SOMMAIRE
Pages
1. DISPOSITIONS GENERALES................................................................................................... 5
1.1. CONSISTANCE DES TRAVAUX 5
1.2. DESCRIPTION SOMMAIRE DU PROJET 5
1.3. LISTE DES LOTS : 6
1.4. CARACTERE FORFAITAIRE DU PRIX 6
1.5. C.D.P.G.F. (CADRE DE DECOMPOSITION DU PRIX GLOBAL ET FORFAITAIRE) ET B.P.U. (BORDEREAU

DES PRIX UNITAIRES) 7
1.6. MISSION DU MAITRE D’OEUVRE 7
1.7. MISSION DU CONTROLEUR TECHNIQUE 8
1.8. MISSION OPC (ORDONNANCEMENT - PILOTAGE - COORDINATION) 8
1.9. MISSION SPS (SECURITE – PREVENTION – SANTE) 8
1.10. MISSION SSI (SYSTEME DE SECURITE INCENDIE) 8
1.11. ORDONNANCEMENT DES TRAVAUX 8
1.12. PERIMETRE D’INTERVENTION - ACCES 8
1.13. CONSTAT D’HUISSIER - REFERE PREVENTIF 9
1.14. RESEAUX EXISTANTS 9
1.15. PRISE DE POSSESSION DU TERRAIN 10
1.16. REMISE EN ETAT - RESTITUTION D’EMPRISE 10
1.17. CONSERVATION DES VOIES PUBLIQUES 10
1.18. PRESCRITIONS ENERGETIQUES 10
2. DOCUMENTS DU MARCHÉ ................................................................................................... 11
2.1. PLANS DU MARCHÉ 11
2.2. DOCUMENTS TECHNIQUES DU MARCHE 11

2.2.1. DOCUMENTS SPECIFIQUES 11
2.2.2. DOCUMENTS GENERAUX 11
2.3. PIECES A FOURNIR PAR LES ENTREPRISES 11
2.3.1. A LA REMISE DES OFFRES 11
2.3.2. PENDANT LA PERIODE DE PREPARATION (LISTE NON EXHAUSTIVE) 12
2.3.3. AVANT EXECUTION DES TRAVAUX 12
2.3.4. APRES ACHEVEMENT DES TRAVAUX 13
2.3.5. FORMAT DES DOCUMENTS 13
Page 2 sur 29
2.3.6. PRESENTATION DU DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES 13
3. DONNÉES DE BASE - PRESCRIPTIONS TECHNIQUES............................................................ 15
3.1. SÉCURITÉ ET PROTECTION INCENDIE 15

3.1.1. CLASSEMENT DE L’ETABLISSEMENT 15
3.1.2. RESISTANCE AU FEU 15
3.1.3. MOYENS 15
3.2. DONNÉES RELATIVES AU SITE 15
3.2.1. DONNEES GEOGRAPHIQUES ET CLIMATIQUES 15
3.2.2. DONNEES SISMIQUES 15
3.2.3. HYPOTHESES GEOLOGIQUES ET GEOTECHNIQUES 15
3.3. PERFORMANCES THERMIQUES ET AMBIANCES DE FONCTIONNEMENT A ATTEINDRE 16
3.4. RENOUVELLEMENT D’AIR- DESENFUMAGE – DEBITS D’EXTRACTION 16
3.5. FACTEURS SOLAIRES 16
3.6. TAUX D’OCCUPATION DES LOCAUX 16
3.7. CONTRAINTES DE CHANTIER 16
3.8. CHARGES A PRENDRE EN COMPTE 16

3.8.1. POIDS PROPRE 16
3.8.2. CHARGES FIXES 16
3.8.3. CHARGES D’EXPLOITATION 16
3.8.4. CHARGES TRANSITOIRES 16
3.9. ECHANTILLONS – CHOIX DES MATERIAUX, PRODUITS OU COMPOSANTS 17
3.9.1. DEFINITION 17
3.9.2. CHOIX DU TYPE DE MATERIAUX 17
3.9.3. ECHANTILLONS - PROTOTYPES 17
3.10. ENTREPRISES CONCERNÉES PAR DES EQUIPEMENTS ELECTRIQUES 17
4. ETUDES D’EXECUTION ........................................................................................................ 18
4.1. MODALITÉS GÉNÉRALES 18
4.2. CHAMP DES ETUDES 19
4.3. ATEX 19
4.4. FORMAT DES DOCUMENTS - DÉLAIS DE PRÉSENTATION ET D’EXAMEN 19
4.5. MODIFICATION DES DISPOSITIONS DU MARCHE PROPOSÉE PAR UN ENTREPRENEUR 20
5. CONDITIONS D'EXECUTION DES TRAVAUX .......................................................................... 21
5.1. OBLIGATIONS GÉNÉRALES 21
5.2. DISPOSITIONS DES LIEUX – SERVITUDES 21
5.3. DÉPOTS ET APPROVISIONNEMENTS 21
5.4. PANNEAU DE CHANTIER 21
Page 3 sur 29
5.5. INSTALLATIONS DE CHANTIER - CLOTURES - PORTAILS 22
5.6. AUTORISATIONS ADMINISTRATIVES 23
5.7. EMPLOI D’ENGINS MECANIQUES 23
5.8. PROTECTION ET SÉCURITÉ DU PERSONNEL ET DES RIVERAINS 23
5.9. VISITES ET INVESTIGATIONS 24
5.10. SOLIDITÉ, STABILITÉ ET PROTECTION DES OUVRAGES EXISTANTS OU A CONSTRUIRE 24
5.11. OPERATIONS DE CONTROLE ET ESSAIS 24

5.11.1. NATURE ET FREQUENCE 24
5.11.2. ESSAIS EN LABORATOIRE 25
5.11.3. ORGANISATION DE CHANTIER 25
5.12. LIAISONS ENTRE LES CORPS D'ETAT 25
5.13. TOLERANCES ENTRE CORPS D'ETAT – RECEPTION DE SUPPORT 25
5.14. IMPLANTATIONS ET TRAITS DE NIVEAUX 26
5.15. RESERVATIONS ET PERCEMENTS - INCORPORATIONS 26
5.16. SAIGNÉES – ENCASTREMENTS ET DIVERS 26
5.17. FOURREAUX POUR PASSAGE DES CANALISATIONS ET GAINES 26
5.18. FIXATIONS ET SCELLEMENTS - REBOUCHAGES - RACCORDS 26
5.19. PROTECTION DES OUVRAGES - VOLS ET DEGRADATIONS 27
5.20. NETTOYAGE DU CHANTIER 27
5.21. PRECHAUFFAGE 27
6. DEPENSES D’INTERET COMMUN – COMPTE PRORATA ........................................................ 29
Page 4 sur 29
1. DISPOSITIONS GENERALES
1.1. CONSISTANCE DES TRAVAUX

Le présent cahier des clauses techniques particulières a pour objet de préciser le programme général des
fournitures et conditions de réalisation des travaux pour l’opération :
CONSTRUCTION D’UN RESTAURANT SCOLAIRE A CLERMONT L’HERAULT
Les travaux sont réalisés pour le compte de :
Le CCTP lot n° 00, commun à tous les lots, fait partie intégrante du dossier de consultation des entreprises
Le CCTP lot n° 00 et les CCTP spécifiques à chaque lot forment un tout indissociable réputé accepté par le titulaire
d’un ou plusieurs lots.
Les termes « Entrepreneur » ou « Entreprise » repris dans le présent document désignent le titulaire d’un marché
de travaux pour un ou plusieurs lots.
Les travaux sont réalisés suivant les prescriptions établies par les Maîtres d'œuvre, détaillées dans les différents
documents du Dossier de Consultation des Entreprises.
1.2. DESCRIPTION SOMMAIRE DU PROJET

§ Description du site, de l’environnement, des conditions météorologiques…:
Construction d’un bâtiment de restauration scolaire à proximité de l’école Jean Rostand.
§ Contraintes particulières liées au site ou à l’exploitation en cours
Assurer la sécurité du chantier avec une présence de l’école Rostand en proximité immédiate.
Isoler les flux du chantier de la zone de l’école à proximité.
Accès direct au chantier.
Espace de stockage limité sur site.
§ Objectifs énergétiques et environnementaux
RT 2012
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1.3. LISTE DES LOTS :
N°
INTITULES
LOT
01 Gros œuvre- démolitions -VRD
02 Étanchéité
03 Doublages- Cloisons - Faux plafonds
04 Menuiseries extérieures
05 Menuiseries intérieures
06 Revêtement de sol durs
07 Revêtement de sol souples

08 Peinture
09 Serrurerie
10 Façades - Bardage
11 CVC - Plomberie
12 Courants forts – Courants faibles
13 Équipements de cuisine et cloisons isothermes
1.4. CARACTERE FORFAITAIRE DU PRIX
Sauf pour les cas de marché sur dépenses contrôlées, traité au bordereau avec prix unitaires, le marché est global
et forfaitaire.
Le prix du forfait indiqué à la soumission, servant de base à la conclusion du marché, comprend les prestations
décrites ou non décrites nécessaires au complet et parfait achèvement des ouvrages, conformément aux
prescriptions, dispositions législatives et règlementaires en vigueur au jour de la soumission, en application des
dispositions de l’article 1793 du Code Civil..
Pour tous les lots, il est vivement conseillé de se rendre sur le site pour avoir une parfaite connaissance des lieux
(accès au chantier, hydrographie locale, disponibilités en eau et énergies, possibilités ou difficultés de stockage,
contraintes locales particulières, etc…). L’entreprise pourra se rendre sur place afin d’évaluer les conditions de
déroulement du chantier sur site. Cf CCAP.
Par ailleurs, d’une manière générale, les CCTP n’indiquent que la description type des ouvrages à réaliser.
L’entreprise est donc tenue d’adapter ces descriptions à la construction, en les complétant afin de prévoir dans
ses dépenses tout ce qui normalement doit entrer dans les prix des travaux à exécuter, conformément aux règles
de l’Art.
En conséquence, l’entrepreneur devra signaler dans son offre toute précision complémentaire au présent
document. De même, il devra en cas d’erreurs, d’imprécisions, manques ou contradictions relevés sur les plans, le
présent CCTP ou tout autre document du DCE, les signaler et en chiffrer les conséquences avant remise de son
offre.
Page 6 sur 29
A défaut et après signature du marché, aucun supplément ne pourra être ajouté au montant forfaitaire si le travail
qu’il représente n’a fait l’objet d’aucune réserve chiffrée dans l’offre, ou s’il a été exécuté sans ordre spécial du
maître d’œuvre ou approbation du maître d’ouvrage.
En toutes hypothèses, les entrepreneurs ne pourront en aucun cas arguer que des omissions ou erreurs dans les
plans ou dans les pièces écrites du DCE pourraient les dispenser d’exécuter, intégralement et suivant les règles de
l’Art, les travaux nécessaires à un parfait achèvement des ouvrages prévus au marché.
Les entrepreneurs devront se renseigner auprès du maître d’œuvre pour tout ce qui semblerait incomplet ou
douteux dans les plans ou pièces écrites du DCE.
Enfin, dans le cas d’une contradiction entre le descriptif et les règlements en vigueur, la priorité est donnée aux
règlements, que l’entrepreneur s’engage à observer même si la conséquence pour lui en est une solution plus
onéreuse que celle faisant l’objet du marché.
Le chantier
Le prix forfaitaire inclut, en particulier :

§ L’ensemble des ouvrages indiqués aux cahiers des prescriptions techniques pour chaque lot.
§ Les frais d’approvisionnement de levage et de distribution jusqu’à pied œuvre des matériaux et matériels
nécessaire à l’exécution de ces ouvrages. La mise en œuvre des échafaudages nécessaires à l’accès des
personnels aux zones d’intervention et leur enlèvement.
§ Les frais de protection et conservation des ouvrages existants
§ Toute disposition nécessaire à la sécurité du public et du personnel, à la circulation, toute sujétion liée au
respect des règles de sécurité en vigueur dans l'établissement et sur le site.
§ Les fixations provisoires des ouvrages par tout moyen adapté, et leur enlèvement.
§ Toute sujétion spéciale liée notamment au climat, à l'environnement du terrain, à la situation des ouvrages
par rapport aux propriétés ou ouvrages riverains ou mitoyens, apparents ou cachés.
§ L’installation de magasins de chantier si nécessaire.
§ Les redevances correspondant à l’utilisation des voies publiques ou privées.
§ Les frais liés à la sécurité de la circulation ou au gardiennage des ouvrages.
§ Les frais de participation à la cellule de synthèse, suivant dispositions précisées.
§ La réalisation de prototypes ou maquettes nécessaires à la bonne résolution du contrat.
1.5. C.D.P.G.F. (CADRE DE DECOMPOSITION DU PRIX GLOBAL ET FORFAITAIRE) ET B.P.U. (BORDEREAU

DES PRIX UNITAIRES)
Sauf disposition contraire du règlement de consultation, l'entreprise présentera obligatoirement sa proposition
en faisant apparaître une distinction entre les ouvrages successifs décrits dans les CCTP, en tenant compte des
différentes tranches conditionnelles de travaux s’il en existe.
1.6. MISSION DU MAITRE D’OEUVRE

MAITRISE D’ŒUVRE DE CONCEPTION :
CARDIN GABRIEL (ARCHITECTE)
OTCE LR – BET TCE
INGECORP – BET Équipement cusine
MAITRISE D’ŒUVRE D’EXECUTION : CARDIN GABRIEL
Page 7 sur 29
Mission MOEX : VISA lots architecturaux – DET - AOR
1.7. MISSION DU CONTROLEUR TECHNIQUE

ALPES CONTROLES – M. Dominique Constant
Missions: SEI, L, PS, HAND,TH, BDR
1.8. MISSION OPC (ORDONNANCEMENT - PILOTAGE - COORDINATION)
Non attribué
1.9. MISSION SPS (SECURITE – PREVENTION – SANTE)
Non attribué
1.10. MISSION SSI (SYSTEME DE SECURITE INCENDIE)
Sans objet
1.11. ORDONNANCEMENT DES TRAVAUX

a / PHASAGE
Planning prévisionnel global des opérations :

• Remise de l’OS : à définir
• Démarrage des travaux : à définir
• Durée des travaux : 8 +1 mois
Le planning détaillé des interventions sera établi pendant la période de préparation en présence des entreprises,
il sera modifié chaque fois que nécessaire pour prise en compte des aléas de chantier, sachant que les échéances
liées au fonctionnement du complexe ne pourront en aucun cas être retardées et que les entreprises devront
adapter leurs moyens techniques et leur effectif sur site afin de respecter ces échéances.
b / DECOUPAGE EN TRANCHES
Les travaux seront réalisés en une seule tranche, toutefois certains ouvrages pourront être réalisés en phase
décalée du fait de l’occupation du site.
1.12. PERIMETRE D’INTERVENTION - ACCES

Le chantier comporte un périmètre d’intervention, suivant la limite de propriété. Les espaces situés en dehors de
ces périmètres seront inaccessibles aux entreprises sauf autorisation spéciale de l’utilisateur pour des périodes
définies en dehors des horaires de fonctionnement de l’établissement.
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Une mise au point avec les services techniques de la ville et les concessionnaires sera programmée au démarrage
des travaux de terrassements pour définir le périmètre de stockage des terres polluées qui devront être évacuées
vers les sites de traitement spécialisés.
1.13. CONSTAT D’HUISSIER - REFERE PREVENTIF

L’entreprise titulaire du lot 01Gros-Œuvre – Démolitions - VRD (1er intervenant sur le chantier auquel le référé
préventif va bénéficier avant le démarrage de ses travaux et partant du chantier) fera procéder par un huissier de
justice, à ses frais, avant le démarrage des travaux, à un état des ouvrages existants, en présence de tous les
représentants des parties concernées (Maître d’Ouvrage, Maître d’œuvre, propriétaires des bâtiments voisins,
entreprises directement ou indirectement concernées par l’état des existants, etc.).
Étant entendu qu’en toutes hypothèses, l’entreprise concernée devra informer, lors de la remise de son offre, de
toute mesure complémentaire qu’elle estimerait utile pour préserver ses droits et/ou ceux du Maître d’Ouvrage.
Ces mesures préventives seront réalisées durant la période de préparation et seront rendues opposables aux
autres entreprises retenues, par simple notification que leur en fera la maître d’œuvre.
Si les circonstances spécifiques du chantier l’exigeaient, l’entreprise désignée ci-dessus mettra en œuvre une
mesure de référé préventif au contradictoire des mêmes parties.
Le référé préventif sera réalisé par la MOA.
1.14. RESEAUX EXISTANTS

a / CONTINUITE DE SERVICE
Site sans exploitation à ce jour
b / RESEAUX ENTERRÉS
En toutes hypothèses, les entreprises procéderont suivant et selon :
- Décret 2011-1241 du 5 octobre 2011 relatif à l'exécution de travaux à proximité de certains
ouvrages souterrains, aériens ou subaquatiques de transport ou de distribution
- Arrêté du 15 février 2012 modifié par l’arrêté du 19 février 2013 encadrant la certification des
prestataires en géoréférencement et en détection des réseaux et mettant à jour des
fonctionnalités du téléservice « reseaux-et-canalisations.gouv.fr »
- Norme NF S 70-003-1 « Travaux à proximité de réseaux – Partie 1 : Prévention des
dommages et de leurs conséquences »
- Norme NF S 70-003-2 « Travaux à proximité de réseaux – Partie 2 : Techniques de détection
sans fouille »
- Norme NF S 70-003-3 « Travaux à proximité de réseaux – Partie 3 : Géoréférencement des
ouvrages »
c / RESEAUX AERIENS
La protection des réseaux aériens extérieurs conservés, voisins des travaux à effectuer, sera effectuée par
l’entreprise titulaire du lot 01 Gros-Œuvre – Démolitions – VRD, dans le respect de la réglementation en vigueur, et
à leur frais. Ces travaux feront l’objet d’une demande, avant tout commencement d’exécution, auprès des
services concessionnaires. Besoin à évaluer par l’entreprise en phase préparatoire.
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d / REMISE EN SERVICE
Tout entrepreneur devra assurer, à ses frais, le rétablissement ou la remise immédiate en état des réseaux
enterrés et/ou aériens qui viendraient à être détériorés ou déplacés par lui, soit accidentellement, soit en raison
de la progression des travaux. Les réseaux qui, en raison de leur nature et de la nécessaire continuité du service
qu’ils assurent, ne peuvent être déplacés, doivent être protégés comme dit précédemment.
1.15. PRISE DE POSSESSION DU TERRAIN

L’emprise du terrain mis à la disposition des entreprises est celle qui figure sur les plans du dossier.
Pour le cas où les mesures préventives (constat d’huissier ou référé préventif) ne seraient pas suffisamment
explicites, une réception contradictoire préalable au démarrage des travaux, avec la ou les entreprises concernées
eu égard à la nature des travaux à réaliser, sera organisée par le maître d’œuvre à la demande de la partie la plus
diligente.
Une fois celle-ci établie, elle sera portée à la connaissance de toutes les entreprises par le maître d’œuvre, et
celles-ci deviendront gardiennes de l’ensemble du site et des ouvrages encore existants le cas échéant, jusqu’à la
réception des travaux prononcée.
1.16. REMISE EN ETAT - RESTITUTION D’EMPRISE

L’entrepreneur titulaire du lot 01 Gros-Œuvre – Démolitions – VRD aura la charge de la remise en état du terrain
et des abords des zones de terrassement utilisées pour les installations de chantier et les installations communes.
Ces travaux de remise en état devront restituer un terrain et des abords absolument libres et dans leur état initial.
Ces travaux seront à exécuter à la demande du Maître d’œuvre, soit en une seule fois soit par phases successives,
en fonction du déroulement du chantier.
Dans le cas de la réalisation d’autres chantiers concomitants, des restitutions partielles d’emprise avec
déplacements des clôtures pourront être exigées en cours de chantier, selon les mêmes modalités que celles
décrites ci-dessus.
1.17. CONSERVATION DES VOIES PUBLIQUES

En cas de dégradations, les nettoyage ou remises en état des voies publiques sont réalisés aux frais des
entreprises responsables des souillures et/ou dégradations constatées contradictoirement entre les entreprises
responsables, le maître d’œuvre, avec.le concours d’un huissier si nécessaire, dont le coût demeurera à charge
des entreprises responsables.
1.18. PRESCRITIONS ENERGETIQUES

RT 2012 / Suivant rapport étude thermique – OTCE
Page 10 sur 29
2. DOCUMENTS DU MARCHÉ
2.1. PLANS DU MARCHÉ

La liste des plans est jointe au CCAP
a / Plans généraux et détails

Ils définissent l’organisation architecturale des bâtiments et les cloisonnements intérieurs.
Ils comprennent le repérage et les détails des ouvrages architecturaux et de second œuvre.
b / Plans techniques
Ils définissent les dispositions générales constructives pour les travaux de structure et pour les installations
techniques.
Ils indiquent les principes constructifs et la géométrie des ouvrages, ainsi que les spécifications techniques
principales des équipements mis en œuvre.
c / Plans et documents relatifs aux ouvrages existants
Ils ne sont donnés qu’à titre indicatif et ne constituent pas des informations contractuelles.
Les renseignements y figurant doivent être vérifiés par des relevés et investigations sur site, effectués par
l’entrepreneur, à sa charge.
En cas d’anomalie, l’entrepreneur devra en avertir sans délai le maître d’œuvre.
2.2. DOCUMENTS TECHNIQUES DU MARCHE
2.2.1. DOCUMENTS SPECIFIQUES
Le présent CCTP lot 00 ainsi que les CCTP spécifiques pour chacun des lots.
Ensemble du dossier graphique
Carnets de détails
Diagnostic environnemental
Rapport géotechnique
Cahier des charges et attendus PC du MOA
La liste des CCTP et pièces annexes est jointe au CCAP.
2.2.2. DOCUMENTS GENERAUX
Les travaux devront être réalisés conformément aux prescriptions des règles de l’Art, et devront répondre aux
prescriptions législatives et réglementaires en vigueur, notamment celles particulièrement applicables aux
ouvrages décrits dans chaque CCTP spécifique et notamment :
- Documents techniques unifiés.
- Avis techniques du CSTB pour les produits ou procédés non traditionnels
- Normes d’accessibilité des établissements ouverts aux publics
2.3. PIECES A FOURNIR PAR LES ENTREPRISES
2.3.1. A LA REMISE DES OFFRES

Cf. Pièces demandées dans le règlement de consultation.
Page 11 sur 29
2.3.2. PENDANT LA PERIODE DE PREPARATION (LISTE NON EXHAUSTIVE)

a/ L’établissement des listes prévisionnelles des plans, notes de calculs, notices de méthodologie pour la
réalisation.
b/ Le (ou les) plan d’installation de chantier, les besoins pour les installations communes
c/ Les besoins en énergie et fluides, bilan de puissance pour les installations définitives
d/ Les plans d’implantation, plans d’exécution, d’atelier et de chantier pour les premiers ouvrages à construire,
selon calendrier établi par l’OPC
e/ La transmission des données et informations nécessaires à l’établissement du planning détaillé, suivant
demandes de l’OPC
f/ Les plans d’hygiène et de sécurité (PPSPS conformes au PGC)
g/ Le Plan d’Assurance Qualité
h/ Les listes prévisionnelles des matériaux ou produits faisant l’objet d’un accord préalable ou d’un choix
technique ou architectural
i/ Les documentations, marques et modèles, PV d’essais des matériaux et installations proposés
j/ Les échantillons ou modèles nécessaires au choix du maître d’œuvre
k/ Les éléments prototypes et premiers de série
l/ Les avis techniques et cahiers des charges
2.3.3. AVANT EXECUTION DES TRAVAUX
Les études techniques, les plans d'exécution, ainsi que l'établissement des divers plans de détails nécessaires à
l'exécution des travaux, incombent aux entrepreneurs selon les modalités générales suivant le § 4.1 du présent
CCTP.
Les études et plans d'exécution sont commencés dès la période de préparation. Ils sont mis au point au cours des
réunions de coordination ou d’études, au fur et à mesure de l'avancement des travaux. Les différentes pièces sont
fournies au Maître d'Œuvre et au Bureau de contrôle pour visa, dans les délais requis.
Ne peuvent recevoir un commencement d'exécution que les travaux définis sur les plans et documents examinés
et visés par le Maître d'Œuvre et le Bureau de contrôle.
En complément des obligations précisées dans les CCTP spécifiques à chaque lot, les documents particuliers
transmis pour information préalable du maître d’œuvre sont les suivants (selon les lots) :
1. Méthodologie de montage et de mise en charge des structures
2. Fiche d’identification des aciers
3. Plan de réalisation des plates-formes
4. Plans des canalisations enterrées
5. Plans de réservations
6. Plans d’exécution, d’atelier-chantier pour la totalité des travaux
7. Plans des éléments préfabriqués (calepinage, panneautage, détails)
8. Plans de câblage des équipements électriques
9. Fiches d’homologation des systèmes de peinture
10. PV d’essais de comportement au feu des éléments ou des protections contre l’incendie
11. PV d’essais de mesures d’affaiblissement acoustique (façades, toitures, cloisons…)
12. PV d’essai de mesures de réflexion acoustique
13. PV de perméabilité aux fumées pour éléments de parois ou plafonds
14. Note de calcul des constitutions de chaussées
15. Bilan et détail des puissances électriques installées et absorbées, pour chaque matériel
16. Notes de calculs de dimensionnement des réseaux d’alimentation ou d’évacuation
17. Note de calcul et détermination des extracteurs et ventilateurs
Page 12 sur 29
18. Note de calcul des réseaux aérauliques

19. Note de calcul acoustique
20. Procédures pour les essais
2.3.4. APRES ACHEVEMENT DES TRAVAUX

1. Plans d’exécution des ouvrages
2. Plans de récolement des ouvrages
3. Nomenclature et documentation technique complète concernant les matériels installés
4. Les notices d’utilisation et les notices d’entretien
5. Essais COPREC
6. Procès-verbaux des essais réalisés
7. Manuel de fonctionnement et de maintenance des installations
8. La mise à jour de la note concernant les puissances électriques installées
9. Bilan d’exploitation prévisionnel de l’installation (été, hiver)
2.3.5. FORMAT DES DOCUMENTS
Les outils de dessin et la charte graphique retenus pour le projet sont les suivants, chaque entreprise devra s’en
équiper, à ses frais :
Format autocad 2010 + PDF
Format papier pour toute transmission au bureau de contrôle, BETs et MOEX.
2.3.6. PRÉSENTATION DU DOSSIER DES OUVRAGES EXÉCUTES
La présentation des documents à fournir par l’entrepreneur est la suivante :
a / Au plus tard lorsqu’il demande la réception, en 5 exemplaires :

§ Les notices de fonctionnement et d’entretien des ouvrages établies conformément aux prescriptions du
fabricant et conformément aux prescriptions et recommandations des normes françaises en vigueur y compris
la liste des fabricants et/ou fournisseurs avec leur adresse, téléphone et télécopie (tous documents en
français).
§ Les schémas d’armoires seront positionnés dans celles-ci dès leur mise en service. Cet exemplaire sera
remplacé par un exemplaire plastifié « Plan de recollement » lors de la remise de cette pièce dans le mois
suivant la réception.
§ L’inventaire des fournitures du bâtiment par salle ou local qui sont remplaçables avec leur référence et les
coordonnées d’un fournisseur et une indication de prix avec date de valeur. Cette fourniture sera sous forme
papier et CD au format WORD et/ou PDF sur PC.
§ Les procès-verbaux et/ou avis technique de chaque matériau et matériel employés dans la construction du
présent projet avec les indications suivantes pour chacun des documents :
. le cachet et la signature de l’Entreprise adjudicataire du marché,
. la liste des locaux où sont posés le matériau et/ou le matériel,
. le type du ou des supports sur lesquels sont fixés ce matériau.
. En outre, faute d’avoir satisfait les obligations qui précédent, l’entrepreneur ne pourra se prévaloir au
préjudice du maître d’ouvrage d’un mauvais entretien des ouvrages sous garantie.
Page 13 sur 29
. L’entreprise devra également, à la remise de ces documents, procéder à l’information et à la formation du

personnel désigné par le maître d’ouvrage, ayant à sa charge pour celui-ci, la maintenance des
installations.
. Le calendrier de formation sera établi avec l’OPC et/ou le maître d’œuvre, suivant les disponibilités du
maître d’ouvrage, après la réception des travaux.
b/ Dans le mois suivant la réception : le dossier DOE en 5 exemplaires

§ Le dossier comprend les documents listés au § 2.4.4.
§ Une liste des équipements ou composants susceptibles d’être remplacés dans le cadre d’opérations de
maintenance, avec références exactes, nom, adresse, téléphone, fax et télécopie des fournisseurs (5
exemplaires) y compris pour les lots avec quincaillerie et les lots d’agencement et mobilier. Notice en français.
§ Dossier DIUO (dossier d’intervention ultérieures sur l’ouvrage) : l’entrepreneur doit mettre à la disposition du
Coordonnateur Santé Sécurité, dans le courant des études et du chantier puis dans le mois qui suit la
réception, tous les éléments lui permettant de compléter le DIUO : en papier A4 et CD ou DVD EXCEL + PDF (voir
PGC) (il est rappelé que le dossier DOE est un dossier séparé et ne fait donc pas partie du DIUO). Tous
documents demandés par le SPS doivent être fournis et sont dus dans l’offre forfaitaire.
§ La fourniture des CD des fichiers mis à jour des plans sur AUTOCAD (PC) version 2010, numérotés 1/x
……xx/xx ; xx étant le nombre total de disques composant le dossier DOE.
Le DOE sera remis en 2 étapes :

Etape 1 : .
Remise de 2 exemplaires pour visa de la Maîtrise d’œuvre
Etape 2 :
Remise de 5 exemplaires corrigés, s’il y a lieu, suivant les observations de la Maîtrise d’œuvre
La remise des documents est à fournir dans les dossiers suivants :

A / Les exemplaires tirés sur papier en format A4 : deux chemises à sangle ou dans boîtes archives en plastiques
rigides avec anse de préhension dont le modèle sera spécifié par le Maître d’œuvre.
B / Les fichiers sur CD : tous les documents sans exception du dossier DOE papier seront présentés sous forme
numérique
La fourniture de ces dossiers (l’ensemble des documents ci-avant) conditionne le règlement financier définitif des
travaux de l’entreprise concernée (voir CCAG et CCAP).
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3. DONNÉES DE BASE - PRESCRIPTIONS TECHNIQUES
3.1. SÉCURITÉ ET PROTECTION INCENDIE

3.1.1. CLASSEMENT DE L’ÉTABLISSEMENT
ERP type R ; 5ème catégorie
3.1.2. RÉSISTANCE AU FEU

Suivant notice de sécurité
3.1.3. MOYENS
a / Remarques importantes :
Les notions « Coupe-feu » ou « Pare Flammes » impliquent que la stabilité au feu de même degré
est requise.
La notion de coupe-feu d’un plancher implique la stabilité au feu de même degré pour les poteaux supportant
ce plancher, depuis le niveau de ce plancher jusqu’aux fondations, en envisageant la disparition des éventuels
éléments de contreventement qui ont une stabilité au feu inférieure à celle du plancher considéré.
b / Ouvrages en béton :
La protection au feu jusqu’à un degré 2 heures doit être réalisée par enrobage des armatures, à déterminer
conformément aux recommandations des DTU « pour la prévision par le calcul du comportement au feu des
structures en béton et métalliques », compatible avec les contraintes techniques et architecturales du projet
ou par toute autre disposition suivant prescription des CCTP.
L'entrepreneur est tenu de fournir à ses frais toute justification nécessaire relative au comportement au feu
des matériaux et des structures (certificats d'essais, notes de calculs).
c / Ouvrages métalliques de charpente :
Par prise en compte dans le calcul des sections
3.2. DONNÉES RELATIVES AU SITE
3.2.1. DONNÉES GÉOGRAPHIQUES ET CLIMATIQUES
§ Vent : zone 3
§ Neige : zone B2
§ Altitude : 98 m environ
3.2.2. DONNÉES SISMIQUES
§ Zone 2 (aléas faibles)

§ Catégorie d’ouvrage : III
§ Classe de sol : A
3.2.3. HYPOTHÈSES GÉOLOGIQUES ET GÉOTECHNIQUES
§ Étude de sol de type G2 AVP réalisée par EGSA BTP - JACOU.
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3.3. PERFORMANCES THERMIQUES ET AMBIANCES DE FONCTIONNEMENT A ATTEINDRE
Suivant étude thermique
3.4. RENOUVELLEMENT D’AIR- DESENFUMAGE – DEBITS D’EXTRACTION
3.5. FACTEURS SOLAIRES
3.6. TAUX D’OCCUPATION DES LOCAUX
Sans objet
3.7. CONTRAINTES DE CHANTIER
Chantier en zone urbaine
3.8. CHARGES A PRENDRE EN COMPTE

3.8.1. POIDS PROPRE
Poids propre des éléments structurants ou non, résultant des dimensions des matériaux mis en œuvre et de leur
poids spécifique tel que défini par la norme NFP 06.004 ou les fiches de matériaux.
Les façades et maçonneries seront prises en compte conformément aux plans de l'Architecte, suivant les
matériaux nécessaires à la satisfaction des exigences fonctionnelles.
3.8.2. CHARGES FIXES
Elles résultent suivant les prescriptions des CCTP de l’ensemble des lots :
§ des différents revêtements et aménagements de surface (sols, plafonds, isolation thermique, formes de pente,
complexes d’étanchéité et leurs protections, etc.)
§ des différents aménagements techniques suivants les CCTP
3.8.3. CHARGES D’EXPLOITATION
Elles figurent au CCTP, ou sur les plans de coffrage le cas échéant, et sur les plans s’ils existent, plans du dossier
marché.
Les valeurs indiquées sont des valeurs moyennes, s’appliquant pour les zones courantes et n’ont qu’un caractère
indicatif. Elles n’excluent pas des concentrations locales de charges qui doivent être prises en compte également.
3.8.4. CHARGES TRANSITOIRES
Ce sont les charges « provisoires » de chantier ou d’entretien ultérieur.
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Chaque entreprise devra faire connaitre, lors des études d’exécution, les charges provisoires qui seraient rendues
nécessaires pour l’exécution des travaux qui lui incombent, ou pour leur entretien ultérieur.
En toutes hypothèses, les ouvrages doivent être dimensionnés pour résister à la combinaison de tous les cas de
charge, y compris les combinaisons extrêmes des charges structurellement les plus défavorables (exemple d’une
dalle en console en continuité du plancher : console chargée et plancher arrière non chargé ou l’inverse).
3.9. ECHANTILLONS – CHOIX DES MATERIAUX, PRODUITS OU COMPOSANTS
3.9.1. DEFINITION
Le mot « matériau » est pris dans un sens général pour désigner les matières et produits plus ou moins œuvrés
avant leur mise en place.
La liste des normes et textes visés auxquels doivent être conformes les différents matériaux est rappelée aux
termes de chaque CCTP spécifique, sans que la liste y mentionnée soit limitative.
3.9.2. CHOIX DU TYPE DE MATERIAUX
Tous les matériaux employés sur le chantier, tant en ce qui concerne leur origine, que leur préparation et/ou leur
mise en œuvre, doivent être soumis à l’agrément du maitre d’ouvrage, du maître d’œuvre et du contrôleur
technique, sans que cette démarche ne diminue en rien la responsabilité de l’entrepreneur qui demeure entière.
L’entrepreneur devra, pour obtenir l’agrément, fournir tous renseignements utiles concernant l’origine, le lieu
d’extraction ou de fabrication, les fiches d’homologation caractéristiques obtenues habituellement, etc...
Si l’indication d’une marque ou d’un type est précisée dans les CCTP, cela définit le choix du maître d’œuvre pour
une fourniture expresse, pour raisons esthétiques et/ou techniques.
Le maître d’œuvre reste juge et garde toute autorité pour décider de rejeter une proposition qu’il estime ne pas
correspondre aux définitions ou caractéristiques minimales exigées.
3.9.3. ECHANTILLONS - PROTOTYPES

Préalablement à toute exécution, les entrepreneurs sont tenus de présenter les échantillons demandés par le
maître d’ouvrage, le maître d’œuvre ou le contrôleur technique, ainsi que les prototypes des éléments qui seront
réalisés, en plusieurs exemplaires.
Ces échantillons ou prototypes seront exposés dans un local spécialement affecté à cette destination, local
aménagé par les entreprises, à leurs frais.
Un prototype significatif de façade est demandé (ouvrages en pierre, châssis vitré, encadrements et revêtements
de façades sur un angle avec raccord). Le positionnement du prototype et sa nature seront définis au démarrage
de la période de préparation.
3.10. ENTREPRISES CONCERNÉES PAR DES EQUIPEMENTS ELECTRIQUES

Afin de permettre à l'entreprise titulaire du lot « Électricité CF-cf » de vérifier que les caractéristiques de ses
installations correspondent bien aux besoins en alimentation et puissance nécessaires, toutes les entreprises
devant raccorder leur propre installation au réseau de distribution d'énergie doivent, au début de la période de
préparation, se coordonner avec le lot « Électricité CF-cf » pour faire aboutir les calculs de foisonnement et
puissance.
Pour ce faire, les entreprises préciseront le type et la puissance exacte de chaque récepteur. Toute modification
ultérieure aux équipements électriques, nécessaire mais consécutive du non-respect de cette prescription, sera à
la charge de l'entreprise défaillante.
Dans le cas où le maître d’œuvre l’exigerait, chaque entreprise soumettra à son approbation un dossier complet
comportant les plans, schémas, section et puissances en fonction des heures de fonctionnement,
Les raccordements aux points d’alimentation laissés en attente par les entreprises chargées de fournir les
énergies sur le chantier sont à la charge de chaque entreprise, à ses frais.
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4. ETUDES D’EXECUTION
4.1. MODALITÉS GÉNÉRALES

La mission confiée au Maître d’œuvre d’exécution est une mission de Direction de l’Exécution des Travaux (DET)
sans étude d’exécution (EXE) et sans synthèse (SYN)
La maîtrise d’œuvre a fourni les documents suivants, pour chaque lot :

§ pièce n° 1 : le CCTP
§ pièce n° 2 : le carnet des plans, schémas et synoptiques d’exécution des ouvrages
§ pièce n° 3 : le CDPGF sans les quantités
S’ils sont à sa charge, les plans d’exécution fournis par le Maître d’œuvre, conformément aux dispositions du
CCAG, font partie intégrante du marché de l’entreprise. Celle-ci est réputée en avoir pris connaissance et les avoir
acceptés pour réaliser ses ouvrages.
Tout autre plan ou document complémentaire, nécessaire à la bonne réalisation des ouvrages (plans d’atelier et
de chantier relatifs aux méthodes de réalisation, aux ouvrages provisoires, aux moyens de chantier…) et non
expressément compris dans les documents du DCE, sera réalisé par l’entreprise, à sa charge. Ces documents
seront alors transmis au maître d’œuvre pour VISA.
Sont notamment concernés :

a/ Infrastructure, fondations et structure :
§ Ouvrages liés aux installations de chantier
§ Relevé contradictoire des implantations réelles et plans complémentaires correspondants
§ Plans de préfabrication résultant des méthodologies propres à l’entreprise
§ Nomenclatures, façonnage et calepinages des ferraillages
§ Calculs et détails des assemblages, des scellements, des appuis
§ Plans de façonnages, détails de découpage, de fabrication… des ouvrages de structure métallique.
§ Nomenclatures des pièces
b/ Adaptation des coupes et détails de second œuvre aux marques et types d’ouvrages retenus par les
entreprises et agréés par le maître d’ouvrage.
c/ Chauffage, ventilation, climatisation, plomberie, traitement de l’eau :
§ Plans de tronçonnage, pièces de transformation, assemblages, détails de raccordement des équipements,
détails de scellement
§ Schémas des armoires électriques spécifiques, armoires de régulation et d’équilibrage
§ Analyses fonctionnelles et programmation des automates
d/ Électricité Courants Forts et courants faibles :

§ Carnets de câblage courants forts et faibles avec tenants et aboutissants
§ Détails de câblage de puissance et d’automatisme des tableaux
§ Tracés des circuits terminaux, avec fourreaux, nature et section des conducteurs
§ Schémas des armoires électriques
§ Analyses fonctionnelles et programmation des automates
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e/ Tous corps d’état :

§ L’ensemble des plans et détails d’executions,
§ Plans et notes de calcul résultant de variantes et méthodologies propres à l’entreprise.
§ Plans de réservations
§ Plans de détail d’équipement intérieur des locaux techniques
§ Plans de détail de chantier : supports, accrochages, petites réservations de traversées de parois, fourreaux
§ Marques et types des appareils sélectionnés, justification des performances
§ Dossier des plans conformes à l’exécution
§ Caractéristiques des matériels et appareillages.
Aux termes de son offre, l’entrepreneur doit porter à la connaissance du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre
les coordonnées des bureaux d’études externes auxquels il entend faire appel. De même en cours de chantier il
doit informer sans délai de tout changement dans l’identité des intervenants.
Une liste prévisionnelle de plans sera établie durant la période de préparation, ainsi qu'un planning de remise des
plans établi en liaison avec l’OPC.
Le type et le libellé des cartouches, les principes de numérotation et de suivi des indices, doivent être conformes à
la demande du maître d’œuvre d’exécution, définie au début de la période de préparation. Sur un plan réémis à
l’indice supérieur, les modifications apportées seront cerclées sur le plan.
Dans le cas de calculs informatiques, une notice précisera les entrées et synthétisera les résultats. Elle indiquera
aussi les références du code de calcul utilisé.
L'ensemble des plans et documents d’exécution doit être soumis au VISA du Maître d’Œuvre et à l’examen du
Bureau de contrôle, avant tout commencement d'exécution.
4.2. CHAMP DES ETUDES

Les études concernent l’ensemble des ouvrages provisoires et définitifs à réaliser.
En cas de fractionnement en tranches, les études d’exécution devront couvrir l’ensemble des ouvrages des
tranches conditionnelles qui impacteront ceux des tranches déjà affermies : charges à prendre en compte,
passages des réseaux, réservations, attentes pour raccordements des fluides et énergies…
4.3. ATEX
Si pour réaliser des travaux à sa charge, une entreprises envisage d’avoir recours à des procédés non traditionnels
ou de techniques non courantes, hors du champ d’application des avis techniques, cette entreprise devra en
informer le maître d’ouvrage et le maître d’œuvre dès la remise de son offre.
L’entreprise chargée de la réalisation des ouvrages correspondants prendra en charge les frais liés à une
procédure ATEX, les honoraires de l’organisme rapporteur, et tout essai demandé par le Comité d’expert et le
CSTB.
L’entreprise a obligation d’obtenir une appréciation favorable de la commission d’expert, et doit, avant même de
lancer la procédure, obtenir du CSTB une assurance de faisabilité de la technique proposée.
Avant tout démarrage de ces procédures, l’entreprise justifiera que sa couverture d’assurance ne se limite pas aux
seules techniques courantes.
4.4. FORMAT DES DOCUMENTS - DÉLAIS DE PRÉSENTATION ET D’EXAMEN

Tous les documents établis et produits par les entreprises doivent respecter la « charte graphique », et leur
circulation respecter le « système d’échange et de classement électronique des documents ».
Les entreprises s’équipent en matériel et adhèrent aux systèmes à leur frais.
Tous les documents doivent être parfaitement lisibles, identifiés par leurs auteurs afin d’assurer leur traçabilité.
L’inobservation de ces règles entraînera le refus des documents concernés.
Les délais doivent respecter ceux définis au CCAP de l’opération.
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4.5. MODIFICATION DES DISPOSITIONS DU MARCHE PROPOSÉE PAR UN ENTREPRENEUR

Voir les dispositions générales du CCAG et du CCAP.
En cas de modification acceptée, toutes les adaptations des études et documents existants, pour l’ensemble des
lots impactés, visés ou non, devront être réalisées, aux frais de l'Entrepreneur initiateur des modifications, et
recevoir un nouveau visa du maître d’œuvre avant exécution.
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5. CONDITIONS D'EXECUTION DES TRAVAUX
5.1. OBLIGATIONS GÉNÉRALES

L'Entreprise doit mettre en œuvre tous les moyens, le matériel et le personnel suffisant pour respecter les délais
d'exécution et de montage prévus au calendrier général du dossier de consultation.
Elle doit maintenir en permanence sur le chantier un responsable habilité à recevoir toute instruction ou ordre de
service du Maître d'œuvre, et ceci pendant toute la durée de l’intervention des travaux tous corps d’état du
chantier Travaux Préparatoires.
Elle doit prendre toutes les dispositions nécessaires pour permettre au maitre d’œuvre, contrôleur technique,
OPC et coordonnateur SPS de remplir leurs missions dans des conditions normales de sécurité.
Tous les ouvrages sont exécutés conformément aux indications des plans d'exécution qui doivent avoir reçu les
visas ou approbations du Maître d'œuvre et des bureaux de contrôle.
5.2. DISPOSITIONS DES LIEUX – SERVITUDES

Les entrepreneurs assurent avoir mesuré toutes les difficultés inhérentes à la disposition des lieux, en avoir tenu
compte dans le choix des méthodes de travail envisagées, et dans l’aménagement des installations de chantier,
avoir procédé à tout sondage ou investigation utile.
En conséquence, l’entreprise ne pourra réclamer ni indemnité ni plus-value de prix pour méconnaissance des
inconvénients, difficultés ou sujétions, de quelque nature qu’elles soient.
Le fait, pour l’entreprise, de ne pas s’assurer in-situ, et avant tout commencement d’exécution, de la possibilité de
respecter les cotes et notifications des plans du maître d’œuvre, ou de ne pas lui en référer au cas où la
vérification révélerait une difficulté, laisserait l’entreprise seule responsable des conséquences de toute nature
qu’elles entraineraient.
Si les méthodes envisagées nécessitent la démolition totale ou partielle d’ouvrages à conserver dans le cadre du
projet, les entrepreneurs ont la charge de leur réfection complète et à l’identique, après avoir obtenu l’accord
préalable du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre pour leur réalisation.
Dans cette hypothèse, l’entreprise devra prendre toutes les dispositions nécessaires pour réaliser ces réfections
ou reconstructions sans causer de troubles anormaux de voisinage, tels que notamment poussières, vibrations,
odeurs, bruits, etc…
5.3. DÉPOTS ET APPROVISIONNEMENTS

Tout dépôt de matériels ou matériaux sur le chantier, toute installation pérenne d'atelier à l'intérieur des
bâtiments, ne pourra se faire qu’avec l’accord préalable du Maître d'Œuvre
5.4. PANNEAU DE CHANTIER

Dès la notification de son marché, les entrepreneurs titulaires du lot 01 Gros-Œuvre – Démolitions - VRD fournit
et pose sur le terrain, conformément aux indications du Maître d'Œuvre, le panneau « réglementaire » (dim ≈
3,50ht x 2,40) indiquant les noms et adresses des Maître d’Ouvrage, Maître d'Œuvre, Bureaux de Contrôle, OPC,
CSPS, Entrepreneurs, la date de commencement des travaux et celle prévue pour leur achèvement, les références
du permis de construire, etc.…
Une maquette, préalablement validé par la MO, sera transmise à l’entrepreneur en charge par l’architecte de
l’opération.
Pendant les travaux de terrassement, le lot 01 conservera à sa charge la mise en place d’un panneau format A0 en
limite de propriété de manière à signaler le démarrage des travaux (modèle fourni par le MOEX).
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5.5. INSTALLATIONS DE CHANTIER - CLOTURES - PORTAILS

Compte tenu de la position du site et de la fréquentation de la zone (véhicules, piétons), il est demandé à
l’entreprise de gros œuvre de prévoir la mise en place un système de nettoyage de roue en sortie
d’exploitation (laveurs de roue simple, sans jet d’eau et sans alimentation électrique).
La zone de chantier du bâtiment à créer sera délimitée par une clôture opaque, avec accès unique.
Il appartiendra aux deux entreprises en charge successive de l’entretien du site de veiller à sa bonne tenue et sa
conservation en état. Toute dégradation fera l’objet de retenues sur le marché de l’entreprise concernée.
L’entreprise titulaire du lot 01 Gros œuvre – Démolitions - VDR aura à sa charge la mise place d’une clôture
opaque de 2,00m de hauteur. L’ossature, le contreventement et la fixation au sol devront être dimensionnés pour
une bonne tenue pendant toute la durée du chantier (Ancrage béton). L’entreprise du lot 01 Gros œuvre –
Démolitions - VDR aura la charge de maintenir et d’entretenir cette clôture pendant la durée de ses travaux. Le lot
01 Gros œuvre – Démolitions - VDR en aura la charge durant le chantier dès le commencement de ses prestations.
Les clôtures seront déposées en fin de chantier pour la réalisation des voiries, l’entreprise titulaire du lot 01 aura
alors la charge de mettre en place des clôtures mobiles permettant de garantir la fermeture de l’établissement
par rapport au domaine public et la séparation des zones d’intervention.
L’entrepreneur titulaire du lot 01 établira pour la zone de chantier qui le concerne, durant la période de
préparation, un projet de plan d'installation de chantier et un planning de montage et de démontage des
installations provisoires, soumis à approbation du Maître d'Œuvre et du coordonnateur SPS.
Toutes les adaptations, modifications ou déménagements nécessaires pour la bonne réalisation de l’ensemble
des travaux jusqu’à leur achèvement, leurs conséquences, les branchements, alimentations et évacuations, sont à
la charge des entreprises, dans les mêmes conditions.
Les portails d’accès seront munis d’un système de fermeture permettant de garantir l’interdiction d’accès la nuit
et en dehors des heures d’ouverture du chantier.
L’ouverture et la fermeture journalière des accès sont à la charge et sous la responsabilité des diverses
entreprises. Une surveillance de nuit sera mise en place si elle s’avère nécessaire. L’entreprise titulaire du lot 01
devra rétablir la fermeture du chantier en fin de journée.
1 / Installation de chantier
Panneau d’affichage : établissement du panneau d’affichage du permis de construire, suivant les dispositions de
l’article A 421.7 du code de l’Urbanisme, à charge du lot 1.
Panneau de chantier : fourniture et installation établis en conformité avec l’article R 8221.1 du code du travail et
sera constitué d’un panneau de 2.40 x 3.50m. à charge du lot 1.
Installation et location des bureaux de chantier :

Ces installations seront réalisées par le titulaire de Lot n° 01 Gros œuvre – Démolition - VRD pour l’ensemble des
entreprises.
§ Salle de réunion : 2x 2.50 x 6m compris mobilier, tables et chaises pour 15 personnes
§ Vestiaires, réfectoires, douches, WC, répondant aux besoins pour l’ensemble du personnel d’exécution TCE,
compris toutes sujétions et raccordements en eau et évacuations.
§ Maintien en état, entretien, nettoyage bihebdomadaire de toutes les installations précitées
§ Dépose complète et évacuation de toutes ces installations en fin de chantier
§ Les travaux préparatoires permettant l’installation des bureaux et cantonnements des entreprises, selon le
plan de principe d’installation de chantier (l’installation des bureaux et cantonnements des entreprises reste à
la charge de chacune d’entre elles).
§ La mise en place et l'entretien des moyens de lutte contre l'incendie des bureaux de chantier
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§ Les branchements et réseaux provisoires intérieurs pour la distribution d’eau, les évacuations EU-EV-EP
conformes à la réglementation sanitaire
§ Le maintien en état des voiries et réseaux de chantier (électricité, eau, assainissement, etc.)
§ Les charges temporaires de voirie publique (occupation, entretien, réparation) résultant des installations de
chantier
§ Les dépenses de consommation d'eau et électricité pour le chantier, les bureaux de chantier ci-dessus, et la
zone de cantonnement des entreprises.
§ Les réseaux électriques, la fourniture et la mise en place des coffrets provisoires intérieurs pour la fourniture
d’électricité et l’éclairage du chantier, leurs raccordements, sont réalisés par le titulaire du lot (ensemble
conforme).
§ Les évacuations provisoires des eaux pluviales reçues par les bâtiments
§ L’assurance des bureaux de chantier définis ci-dessus
§ Les frais de signalisations routière et piétonne
§ En cas de préchauffage : les dépenses pour toute isolation complémentaire et provisoire des locaux, ainsi que
les frais de consommation (eau, électricité, combustible, etc.)
§ Un reportage photographique numérique hebdomadaire sur l’état du chantier, la diffusion par mail aux Maître
d’ouvrage, Maître d’œuvre OPC et SPS.
§ Équipements pour la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrage : casques, bottes, lunettes, gilets,…
§ Mise en place des accès chantier, accès provisoires, tant horizontaux (pistes d’accès, passerelles) que verticaux
(escaliers).
§ Après achèvement des travaux et réception, repliement de toutes les installations de chantier, démolition des
voies d’accès au chantier et remise en état.
§ L’ensemble des dispositifs nécessaires pour la protection visuelle du chantier.
§ Y compris machine à café type « Nespresso », comprenant capsule type « Nespresso » ou équivalent, tasses,
sucre et touillettes
2 / Pompes
Pompes sur site à disposition en permanence pour prévenir en cas de venues d’eaux ou orages.
5.6. AUTORISATIONS ADMINISTRATIVES
CCAG Travaux
5.7. EMPLOI D’ENGINS MECANIQUES

L'emploi d’engins de terrassement, démolition, compactage ou autre, ne doit pas causer de vibrations pouvant
causer des désordres aux constructions existantes, voisines ou mitoyennes, ni à la continuité d’exploitation.
5.8. PROTECTION ET SÉCURITÉ DU PERSONNEL ET DES RIVERAINS

L’utilisation de la voirie communale par des engins et véhicules de transport fera l’objet d’une concertation avec
le service voirie de la ville. Les utilisations spéciales et toute utilisation du domaine public seront l’objet de
demande de d’autorisation.
L’entreprise titulaire du lot 1 Gros œuvre – Démolitions - VDR posera tous les panneaux de signalisation
nécessaires, prendra toute mesure utile pour prévenir les usagers des dangers encourus aux abords du chantier. Il
procédera à ses frais, au nettoyage et au balayage des chaussées, trottoirs et abords.
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L'organisation du chantier est assurée par l’entrepreneur titulaire du lot 1 Gros œuvre – Démolitions - VDR pour
les zones de chantier qui les concernent, en liaison avec le coordonnateur SPS.
De manière générale, chaque entreprise est responsable de la prévention des accidents pour ce qui concerne ses
travaux, et se conformera aux dispositions collectives et individuelles prévues par le coordonnateur SPS.
La mission de contrôle du maître d'œuvre exclut la sécurité des ouvrages provisoires et des matériels ou engins
dont la responsabilité de conception, réalisation et emploi incombe aux entrepreneurs.
5.9. VISITES ET INVESTIGATIONS

L'entrepreneur est tenu de laisser pénétrer sur le chantier pour le visiter, les représentants du Maître d'Ouvrage et
ceux du Maître d’œuvre, les contrôleurs techniques et autres autorités missionnées, et prendre toutes les
dispositions leur permettant d'exercer leurs contrôles utilement, dans des conditions normales de sécurité.
5.10. SOLIDITÉ, STABILITÉ ET PROTECTION DES OUVRAGES EXISTANTS OU A CONSTRUIRE

L'entrepreneur reste responsable de tout désordre ou dégât, et de leurs conséquences, occasionnés à tout
ouvrage dans le cadre de la réalisation des travaux de son marché.
Le phasage des travaux ainsi que les méthodes de démolition et de reprise en sous œuvre, s’il en existe, doivent
être définis de sorte à ne causer aucun dommage aux ouvrages existants et/ou créés, et prendre à cette fin toutes
les dispositions techniques qui s’imposeront.
Notamment, l’entreprise doit assurer tous les étaiements et contreventements provisoires nécessaires à la tenue
des ouvrages. La démolition d’éléments de contreventement ne peut être réalisée qu’après construction de
nouveaux ouvrages assurant de façon continue la stabilité d’ensemble du bâtiment.
En toutes hypothèses, les moyens et méthodologies utilisés doivent être compatibles avec la solidité des
structures existantes ou en construction, en particulier pour les charges roulantes. Chaque entrepreneur se
rapprochera des titulaires des autres lots pour connaître les contraintes de circulation admissibles sur leurs
ouvrages.
SURCHARGES DE CHANTIER :
Pour les stockages de matériaux sur les planchers, pendant le cours du chantier, et à supposer qu’ils soient
compatible avec le bon déroulement des travaux, il appartient aux entrepreneurs de s’informer sur les surcharges
provisoires admissibles, en fonction du calendrier de réalisation des ouvrages.
5.11. OPERATIONS DE CONTROLE ET ESSAIS

Afin de répondre aux réglementations en vigueur concernant les exigences thermiques et acoustiques,
complétées par les demandes spécifiques des CCTP, les entreprises feront réaliser à leurs frais les études et
contrôles nécessaires, afin de garantir le respect des performances exigées.
Les résultats seront transmis au Maître d'Œuvre pour avis. Celui-ci pourra, si nécessaire, demander toute étude
complémentaire, et prendre, aux frais de l’entreprise qui n’aurait pas atteint les niveaux d’isolation requis, toute
disposition pour assurer les isolations thermique et acoustique appropriées.
5.11.1. NATURE ET FRÉQUENCE

Ces opérations sont conformes aux DTU et règlements en vigueur. Les contrôles et essais s'effectuent en 3
périodes distinctes :
§ Avant exécution des travaux : les essais et contrôles préalables des matériaux. Une attention particulière devra
être apportée par l’entrepreneur pour ceux cités dans les différentes pièces du dossier. Ces essais et contrôles
sont effectués en usine ou sur le chantier, et sont en totalité à la charge de l'entreprise.
§ Pendant l'exécution des travaux : ils ont pour but de vérifier si les matériaux et matériels mis en œuvre sont
conformes aux prescriptions du marché et aux échantillons agréés. Les moyens techniques, le matériel, le
personnel et l'énergie ou fluides nécessaires à leur exécution par le maître d’œuvre ou le contrôleur technique,
seront mis en œuvre par l’entreprise, et à sa charge.
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§ Des contrôles d’isolation thermique et des mesures d’isolement acoustique seront réalisés pour valider les
performances de certaines des parois et la qualité de leur mise en œuvre. Elles sont en totalité à la charge de
l'entreprise.
§ Après l'exécution des travaux : les opérations relatives à la réception des ouvrages et installations.
5.11.2. ESSAIS EN LABORATOIRE
Si, pour valider la conformité des ouvrages par rapport aux modèles, il est nécessaire de recourir à des essais en
laboratoire, ces essais seront effectués selon les modalités prévus au CCAP. Ces essais sont toujours à la charge de
l’entrepreneur concerné.
5.11.3. ORGANISATION DE CHANTIER
Compte tenu de l’importance qu’attachent le Maître d’Ouvrage et le Maître d’œuvre à voir les travaux terminés
dans le délai fixé et afin d’obtenir une progression régulière du chantier, il sera exigé :
- La présence d’un représentant qualifié de chaque entreprise aux rendez-vous de chantier hebdomadaires ou sur
demande de l’OPC,
- Le respect constant du planning,
- Une organisation rationnelle du chantier,
- Le nettoyage ou tenue du chantier en état de propreté permanente.
Les gravois divers seront évacués aux décharges publiques par chaque entreprise au fur et à mesure de
l’avancement du chantier aucun dépôt sur place ne sera toléré. Les entrepreneurs, chacun en ce qui le concerne,
resteront seuls responsables des accidents provenant de leur négligence et de celles de leurs agents et ouvriers.
5.12. LIAISONS ENTRE LES CORPS D'ETAT

Nonobstant l’existence d’une mission OPC, la liaison entre les différentes entreprises concourant à la réalisation
du projet devra être réelle et constante, avant et pendant l'exécution des travaux.
Chaque entrepreneur est tenu de prendre contact avec tous les autres corps d'état, afin d'obtenir toute
information concernant les ouvrages de finition et d'équipements dont l'exécution aura une incidence sur la
réalisation de ses propres travaux.
L'entrepreneur doit transmettre en temps utile, aux autres corps d'état, tous les renseignements et demandes
nécessaires à la bonne coordination entre les lots. En cas d’une mission OPC, l’entrepreneur est tenu d’en référer
systématiquement à l’OPC.
L'entrepreneur qui ne respecte pas ces dispositions sera responsable de toutes les conséquences techniques et
financières, et supportera les compléments ou réparations à effectuer pour la bonne finition des ouvrages.
5.13. TOLERANCES ENTRE CORPS D'ETAT – RECEPTION DE SUPPORT

Les tolérances d’exécution, définies par les règles de l’Art ou mentionnées dans les documents techniques ou le
CCTP de chaque marché, constituent la qualité minimale acceptable pour l’aspect final de l’ouvrage exécuté par
le lot considéré, sans préjudice de toute dérogation prévue par le CCTP des travaux concernés.
Les réceptions de supports permettent d’arbitrer les conflits relatifs au respect des tolérances entre corps d’état.
La ou les entreprises intervenantes ultérieurement sur un ouvrage peuvent émettre des réserves lors de la
réception du support, il en va de même pour le maître d’œuvre.
La levée de ces réserves se fera, s’il y a lieu, aux frais et risques de l’entreprise ayant réalisé l’ouvrage litigieux. En
cas de litige entre entreprises, le maître d’œuvre arbitrera les différends.
A défaut de procès-verbal de réception de support, toute entreprise intervenant sur un ouvrage déjà réalisé est
réputée l’avoir accepté, et en assumer toutes les éventuelles conséquences..
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Si un ouvrage ne respecte pas les tolérances admissibles, le maître d’œuvre se réserve le droit de le faire
reprendre par l’entrepreneur en cause, ou de lui faire supporter les dépenses supplémentaires que cette mauvaise
réalisation entraîne pour les autres entrepreneurs.
5.14. IMPLANTATIONS ET TRAITS DE NIVEAUX

L’entrepreneur titulaire du lot 01 Gros œuvre – Démolitions - VDR aura la charge de tracer et de maintenir un trait
de niveau de référence situé à 1 m au-dessus du sol fin de chaque local. Chaque entreprise a la charge de
l'implantation pour ses ouvrages.
5.15. RESERVATIONS ET PERCEMENTS - INCORPORATIONS

Si elles sont diffusées en temps utile, les réservations consignées sur les plans d’exécution des différents lots
seront réalisées par le lot 1 Gros œuvre – Démolitions - VRD. Passé le délai défini par le calendrier des études,
chaque entreprise demandeuse réalisera à sa charge les réservations ou percements nécessaires à la réalisation
des ouvrages de son lot, sous réserve de compatibilité technique avec les ouvrages de gros œuvre.
5.16. SAIGNÉES – ENCASTREMENTS ET DIVERS

Les saignées et percements pour encastrements dans les ouvrages existants ou crées, les garnissages et
rebouchages correspondants, sont à la charge des entreprises qui en ont le besoin. Elles ne sont réalisées qu’avec
l’accord préalable du maître d'œuvre, et/ou du bureau de contrôle et sous réserve qu’elles respectent les
contraintes techniques du Lot 01 / Gros œuvre – Démolitions - VDR.
La main-d’œuvre qui les réalise doit avoir les qualifications nécessaires et y apporter les soins requis. En cas de
carence l’entreprise concernée sera responsable de toutes les conséquences consécutives.
5.17. FOURREAUX POUR PASSAGE DES CANALISATIONS ET GAINES

Les passages des gaines, canalisations pour tout fluide, dans les ouvrages existants ou crées, ou à la traversée de
cloison mince, sont réalisés au travers de fourreaux qui doivent être de diamètre suffisant pour permettre la libre
dilatation. Au sol, les fourreaux doivent dépasser le niveau fini de 5 cm dans les locaux humides, et de 1 cm dans
les autres locaux.
La fourniture et la mise en place ainsi que leur rebouchages sont à la charge de l’entreprise qui réalise les réseaux.
5.18. FIXATIONS ET SCELLEMENTS - REBOUCHAGES - RACCORDS

Les fixations et scellements sont réalisés par chaque entrepreneur, pour les travaux de son lot.
Les fixations mécaniques sur les ouvrages métalliques ou en béton sont exécutées par l’entreprise concernée sous
réserve d'accord préalable du Maître d'Œuvre et du Bureau de Contrôle. Ces modes de fixation doivent respecter
les conditions techniques admises pour chaque type d’ouvrage.
Le « spitage » est dans tous les cas interdit dans les éléments en béton armé de moins de 0m10 de petit côté, à
moins de 0m05 d'une arête, dans tout élément précontraint, les hourdis et corps creux.
Les rebouchages doivent restituer les caractéristiques des parois traversées.
Les rebouchages en cloison seront assurés par le lot cloison pour l’ensemble des réservations réalisées
conformément à l’avancement du chantier. Le rebouchage des réservations réalisés hors délais (après passage
plaquiste et suivant appréciation du MOEX) sera à la charge des lots concernés et à réaliser par le plaquiste
exclusivement.
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5.19. PROTECTION DES OUVRAGES - VOLS ET DEGRADATIONS

Chaque entrepreneur reste entièrement responsable de ses approvisionnements et de ses ouvrages jusqu'à la
réception des travaux, même pour les cas de vols, détournements ou dégradations.
Chaque entrepreneur doit réaliser les carrossages ou protections adéquats de ses ouvrages si par leur nature ou
leur positionnement ils sont exposés aux dégradations en cours de chantier, et les maintenir en parfait état
jusqu’à la réception de l’ouvrage, quand bien même il aurait achevé ses propres ouvrages et quitté le chantier.
En toutes hypothèses, les entreprises n’auront aucun recours contre le maître d’ouvrage ou le maître d’œuvre en
cas d’avarie causée à leurs installations ou travaux, par des tiers ou des entreprises appelées à exécute, sur le
même chantier ou dans le voisinage de ce dernier, des travaux autres que les siens.
5.20. NETTOYAGE DU CHANTIER

a/ Bennes à gravats avec tri sélectif des déchets.
L'évacuation dans les bennes de chantier avec tri sélectif, des déchets et gravats ordinaires, doit être assurée
quotidiennement par chaque entrepreneur, pour les travaux de son marché.
La mise en place et l’évacuation quotidienne des bennes à gravats est assurée par le lot 01 Gros œuvre –
Démolitions - VDR pour les zones de travaux qui les concernent.
b/ L’évacuation de tous les autres déchets, et notamment des gros éléments, déchets spéciaux ou éléments
d’ouvrages, reste à la charge de chaque entreprise qui les produit, et doivent être évacués a minima deux fois
par semaine..
c/ Nettoyage général en cours de chantier.
Le nettoyage de la totalité du chantier et de ses abords est placé sous la responsabilité du lot 01 Gros œuvre
– Démolitions - VDR des zones de travaux qui les concernent qui réaliseront au minimum un balayage
hebdomadaire du chantier.
d/ Nettoyage des réseaux enterrés.
Ces nettoyages sont à charge des entreprises qui les ont construits.
e/ Nettoyage de mise en service.
Sauf disposition contraire des CCTP particuliers, les nettoyages de mise en service, avant la réception, sont
réalisés par le lot 8 Peinture pour les travaux intérieurs et lot 1 Gros œuvre – Démolitions - VDR pour les
travaux extérieurs..
Les nettoyages de mise en service sont réalisés après enlèvement, par chacune des entreprises, des
dispositifs de protection mis en place par elles en cours de chantier.
En cas de non-respect de l’ensemble des prescriptions précédentes, le Maître d’œuvre pourra à tout moment faire
procéder par l’un des entrepreneurs de l’opération ou par une entreprise extérieure de son choix, aux nettoyages
prévus, à la charge des entreprises défaillantes.
Les zones de bennes seront consignées sur le plan d’installation chantier.
5.21. PRECHAUFFAGE
Sauf disposition contraire du CCAP, les conditions de préchauffage sont les suivantes :
§ Obtenir dans les locaux, les températures minimales requises pour la réalisation des travaux
§ Maintenir dans les locaux réputés achevés, une température garantissant la bonne conservation des
prestations et travaux réalisés.
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§ Si en raison de sa nature, quelque ouvrage nécessitait des conditions de température et/ou d’hygrométrie
spécifique, il appartiendrait à l’entrepreneur en charge de sa réalisation de prendre toute disposition
nécessaire, sous réserve d’information préalable du maître d’œuvre.
§ Le préchauffage est mis en œuvre par tout moyen utile et adéquat, aux frais et charges de l’entreprise qui en a
le besoin.
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6. DEPENSES D’INTERET COMMUN – COMPTE PRORATA
Les dépenses d’intérêts communs sont inscrites au « compte prorata », lequel est géré et réglé selon les
dispositions de l’article 14 et les annexes A, B et C de la norme NFP 03-001, sauf dispositions contraires du CCAP,
ou du présent CCTP lot n° 00 pour des sujets particuliers.
Les bureaux de chantier pour la Maîtrise d’ouvrage, OPC, SPS, les Contrôleurs Techniques, seront dimensionnés
pour les besoins de l’opération, en accord avec le maître d’œuvre. L’ensemble chauffé et climatisé, comprendra
les équipements électriques normalisés, pré câblages pour téléphone et informatique, la bureautique adaptée
(photocopieuses, télécopieurs, traceur…).
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CCTP PHASE DCE

LOT 01 – GROS-OEUVRE / VRD
Date Approuvé
par
00 LF 05/08/2021 Création du document GA GA
01 LF 15/09/2021 Mise à jour DCE GA GA
02 LF 15/09/2021 Mise à jour DCE suite G2 PRO GA GA
DT.2_18_CCTP_LOT_04_GROS_OEUVRE_ Version 01/06/15 Page 1 sur 52

SOMMAIRE
Pages
1. GENERALITES................................................................................................................................ 5
2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES....................................................................................................... 6
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT GROS ŒUVRE 6
2.1.1. CONSISTANCE DES TRAVAUX 6
2.1.2. DOCUMENTS A REMETTRE 7
2.1.3. OBLIGATIONS DE L’ENTREPRISE 8
2.1.4. NORMES – REGLEMENTS ET HYPOTHESES SPECIFIQUES AU LOT 11
2.1.5. SPECIFICATIONS RELATIVES AUX OUVRAGES, MATERIAUX ET MATERIELS 15
3. DESCRIPTION ET LOCALISATION DES OUVRAGES ......................................................................... 32

3.1. PREPARATION ET INSTALLATION DE CHANTIER 32
3.1.1. INSTALLATIONS DE CHANTIER 32
3.1.2. CONSTAT D’ETAT DES LIEUX 32
3.1.3. IMPLANTATION 32
3.1.4. ETUDES ET PLANS D’EXECUTION 33
3.2. DEMOLITION 34
3.2.1. GENERALITES 34
3.2.2. DEMOLITIONS 34
3.3. TERRASSEMENT 35
3.3.1. TERRASSEMENTS EN PLEINE MASSE 35
3.3.2. TERRASSEMENTS PARTICULIERS 35
3.3.3. EVACUATION DES TERRES 36
3.3.4. REMBLAIEMENT 36
3.4. FONDATIONS 36
3.4.1. BETON DE PROPRETE 36
3.4.2. SEMELLES EN BÉTON ARMÉ FILANTES 36
3.4.3. SEMELLES ISOLEES 36
3.4.4. LONGRINES ET POUTRES BETON 37
3.4.5. SOUBASSEMENT BETON 37
3.4.6. MUR DE SOUTENEMENT 37
3.4.7. TRAITEMENT ANTI TERMITE 37
3.4.8. COURRETTES ANGLAISES 38
3.4.9. PLANCHER HOURDIS ISOLANT 38
DT.2_18_CCTP_LOT_GROS_OEUVRE_ Version 12/04/03

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3.4.10. PLANCHER HOURDIS BETON 38

3.4.11. ARASE ETANCHE 38
3.4.12. LONGRINES DE REDRESSEMENT 39
3.5. SUPERSTRUCTURE 39
3.5.1. MACONNERIE DE 20CM 39
3.5.2. MACONNERIE DE PIERRE MASSIVE 39
3.5.3. POUTRES ET CONSOLES EN BETON 41
3.5.4. PLANCHER BETON 42
3.5.5. PLANCHER BETON EN CONSOLE 42
3.5.6. RELEVE D’ACROTERE BETON 42
3.5.7. CHAINAGES HORIZONTAUX ET VERTICAUX 43
3.5.8. LINTEAUX BETON 43
3.5.9. POTEAUX BETON 43
3.6. OUVRAGES DIVERS 43

3.6.1. SOCLES BETON 43
3.6.2. ENDUIT SUR MACONNERIE 44
3.6.3. REBOUCHAGE DES TREMIES PLANCHERS ET PERCEMENTS MURS 44
3.6.4. TRAITEMENT DES JOINTS DE DILATATION COUPE-FEU 44
3.6.5. TRAITEMENT DES JOINTS DE DILATATION VERTICAUX 44
3.6.6. SEUILS – APPUIS DE BAIES 45
3.6.7. DRESSAGE ENCADREMENT D’OUVERTURES 45
3.6.8. RAMPE BETON INTERIEUR 45
3.6.9. EMMARCHEMENTS BETON EXTERIEUR 46
3.6.10. DALLAGE BETON 46
3.6.11. DALLE PORTEE EXTERIEURE 47
3.6.12. CHAPE DE BETON DESACTIVE 47
3.6.13. SOUCHES DE VENTILATION 47
3.6.14. VOIRIE EN ENROBE 48
3.6.15. ESPACES VERTS 48
3.6.16. IRRIGATION ARROSAGE 48
3.6.17. SCELLEMENTS DES BORNES BASSES LEDS 49
3.6.18. REMISE A LA COTE D’OUVRAGES DIVERS 49
3.6.19. COFFRETS CONCESSIONNAIRES 49
3.6.20. ETANCHEITE ENTERREE 49
3.6.21. REPRISE DE TROTTOIR EN FIN DE TRAVAUX 50
3.7. PRESTATIONS SUPPLEMENTAIRES EVENTUELLES 50

3.7.1. CREATION D’UNE GAINE ASCENSEUR 50
3.8. ANNEXE/ RATIOS PREVISIONNELS D’ACIERS 51

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1. GENERALITES
OBJET DU PRESENT DOCUMENT

Le présent document est le cahier des clauses techniques particulières (C.C.T.P.) qui définit les ouvrages à réaliser
au titre du lot n°01 – GROS-ŒUVRE / VRD dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur
proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault en
liaison avec les autres pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.
Dans le CCTP lot 00 sont décrites les prescriptions suivantes :

 Dispositions générales du projet :
. Caractère forfaitaire des prix
. Missions
 Ordonnancement des travaux
. Réseaux existants
 Données de base :
. Sécurité et protection incendie
. Données relatives au site
. Performances techniques
. Charges
 Etudes d’exécution
 Conditions d’exécution des travaux
 Dépenses d’intérêt commun – Compte prorata
 Interfaces générales entre corps d’état

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2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT GROS ŒUVRE

2.1.1. CONSISTANCE DES TRAVAUX
Le présent document a trait aux travaux à exécuter en concordance avec les plans de structure ainsi que les plans
techniques des autres lots, et ne présente aucun caractère limitatif. Les Entreprises devront exécuter, comme
étant compris dans leur forfait, sans exception ni réserve, tous les travaux de leur profession indispensables au
parfait achèvement des ouvrages, et ce, quelles que soient les quantités d'ouvrages qu'elles auront énoncées
dans leurs offres.
 Les démolitions selon plans états des lieux existants / plans projets
 Les terrassements en pleine masse.
 Les terrassements particuliers.
 Les fondations.
 Les dallages en béton armé.
 Les ouvrages en béton armé.
 Les ouvrages maçonnerie
 Les structures en béton armé.
 Les planchers béton.
 Les isolations thermiques des planchers.
 Les maçonneries intérieures.
 Les ouvrages divers en béton armé ou autres tels que décrits dans le présent C.C.T.P.
En toutes hypothèses, pour l’établissement de son offre, le soumissionnaire tiendra compte des travaux décrits
aux CCTP des autres lots susceptibles d’interférer avec ses propres prestations.

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2.1.2. DOCUMENTS A REMETTRE

De manière générale, Voir CCTP – Lot 00
De manière particulière :
Les études techniques, les plans d'exécution, ainsi que l'établissement des divers plans de détails nécessaires à
l'exécution des travaux, incombent aux entrepreneurs selon les modalités générales suivant le présent CCTP.
Les études et plans d'exécution sont commencés dès la période de préparation. Ils sont mis au point au cours des
réunions de coordination ou d’études, au fur et à mesure de l'avancement des travaux. Les différentes pièces sont
fournies au Maître d'Œuvre et au Bureau de contrôle pour visa, dans les délais requis.
Ne peuvent recevoir un commencement d'exécution que les travaux définis sur les plans et documents examinés
et visés par le Maître d'Œuvre et le Bureau de contrôle.
En complément des obligations précisées dans les CCTP spécifiques à chaque lot, les documents particuliers
transmis pour information préalable du maître d’œuvre sont les suivants (selon les lots) :
1. Fiche d’identification des aciers
2. Plan de réalisation des plates-formes
3. Plans des canalisations enterrées
4. Plans de réservations
5. Plans d’exécution, d’atelier-chantier pour la totalité des travaux
6. Plans des éléments préfabriqués (calepinage, panneautage, détails)
7. Plans de câblage des équipements électriques
8. Fiches d’homologation des systèmes de peinture
9. PV d’essais de comportement au feu des éléments ou des protections contre l’incendie
10. PV d’essais de mesures d’affaiblissement acoustique (façades, toitures, cloisons…)
11. PV d’essai de mesures de réflexion acoustique
12. PV de perméabilité aux fumées pour éléments de parois ou plafonds
13. Note de calcul des constitutions de chaussées
14. Bilan et détail des puissances électriques installées et absorbées, pour chaque matériel
15. Notes de calculs de dimensionnement des réseaux d’alimentation ou d’évacuation
16. Note de calcul des déperditions et bilan calorifique
17. Note de calcul des apports et bilan frigorifique
18. Note de calcul et détermination des extracteurs et ventilateurs
19. Note de calcul acoustique
20. Procédures pour les essais
Il est à noter que restent à la charge de l'Entreprise :
 Plan des installations de chantier.

 Plans de chantier, d'assemblage, d'atelier et de préfabrication. Sont compris dans ces éléments notamment:
- Les plans de ferraillage modifiés ou adaptés par l’Entreprise, en fonction de la méthode de mise en
œuvre sur site des éléments béton armé, des reprises de bétonnage, des dispositions de fixation ou
scellements arrêtés par l’Entreprise.
- La nomenclature des aciers.
- Les plans de calepinage et de préfabrication des éléments béton armé préfabriqués. Les détails de
fixation dans le cas où ces éléments seraient modifiés ou adaptés par l’Entreprise.
- Les plans de ferraillage, de calepinage, de pose et de préfabrication des éléments en béton précontraint
par fils adhérents (poutres PP, prédalles pour planchers, éléments précontraints en usine).
- Les plans des ouvrages provisoires (fondations des grues, étaiement, soutènement provisoire, bilames,
prédalles en coffrage perdu, ….).

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- Le plan de tous les réseaux humides enterrés sous dallages.

 Tout plan qui dérogerait au dossier de base établi par le Maître d'œuvre remis à l'appel d'offres.
 Les plans d'exécution des ouvrages (EXE).
 Les plans d'Ouvrages Exécutés (D.O.E.) qui regroupent les plans d'Exécution (EXE), dernier indice avec toutes les
adaptations de chantier faites par l'Entreprise. Ces plans seront fournis sur support propre et sur fichier
informatique compatible AUTOCAD V 2017
L'Entrepreneur est tenu d'avertir le Maître d'Œuvre au cas où certains travaux ne seraient pas mentionnés dans le
présent C.C.T.P. et portés sur les plans ou inversement.
L'Entrepreneur devra vérifier, soigneusement, toutes les cotes portées aux dessins et s'assurer de la concordance
entre les différents plans d'ensembles ou de détails et le C.C.T.P.
L'Entrepreneur devra s'assurer, sur place, de la possibilité de respecter les cotes données et de signaler toutes les
erreurs ou omissions au Maître d'Œuvre qui opérera, s'il y a lieu, la correction.
2.1.3. OBLIGATIONS DE L’ENTREPRISE

L'Entreprise du présent lot est tenue de respecter toutes les dispositions prévues dans les Prescriptions
communes à tous les lots et le C.C.A.P.; que les travaux soient à la charge ou à répartir entre ses sous-traitants ou
les Entreprises des lots secondaires.
L'Entrepreneur est censé avoir pris connaissance des états des lieux avant la remise de son offre.
2.1.3.1. DISPOSITIONS DURANT LES TRAVAUX
La proposition de l'Entreprise s'entend compris :

1- La réfection de tous les travaux défectueux et ce, jusqu'à réception des travaux de Gros œuvre
Les ouvrages en béton brut de décoffrage destinés à rester apparents seront, en cas de défauts constatés
lors du décoffrage, entièrement démolis et repris. Les ragréages sont exclus sur ce genre d'ouvrage sauf
accord écrit de l'Architecte.
2- Les sujétions dues à la présence d'autres Corps d'Etat sur le chantier rappelées au C.C.A.P. et au C.C.T.P.
3- La protection contre les ébranlements, les chocs et les épaufrures des arêtes, la protection contre la
dessiccation et le gel, la protection des différents revêtements (parements, enduits décoratifs etc...) jusqu'à la
réception des ouvrages.
2.1.3.2. CONTROLES ET ESSAIS
Tous les ouvrages réalisés devront être conformes aux échantillons approuvés.
Tous les essais de contrôle nécessités par les Règlements seront à la charge de l'Entreprise et effectués par un
organisme agréé, ceci vise notamment :
 Les essais de contrôle des bétons durcis suivant règlementation en vigueur
 Les essais concernant les fondations spéciales.
Les procès-verbaux des essais de contrôle seront soumis au Maître d'Oeuvre en temps opportun pour permettre
une rectification en temps utile.

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2.1.3.3. IMPLANTATION – TRACAGE – TRAIT DE NIVEAU
Implantation
Avant l’ouverture des travaux, il sera procédé, par l’Entrepreneur du présent corps d’état, au piquetage et à
l'implantation des différents ouvrages visés au présent devis, et à un référé préventif des bâtiments avoisinants.
Ces opérations devront être exécutées en accord avec le Maître d’œuvre.
Toutes les implantations devront être référencées par rapport au niveau N.G.F.
L’implantation et l’établissement du plan correspondant seront effectués par un Géomètre Expert à la charge de
l’Entreprise, ce document étant soumis à l’accord du Maître d’œuvre.
Traçage
L’Entrepreneur de Gros Œuvre doit, au titre de l’incorporation dans ses propres ouvrages des matériels ou
matériaux fournis par d’autres Corps d’Etat, tous les traçages nécessaires sur ses propres ouvrages.
Toutefois, il appartient aux titulaires des lots venant se fixer sur les ouvrages du présent lot de tracer ses propres
ouvrages ; Dans le cas où le traçage sera effectué par référence à des gabarits, ces derniers seront fournis par les
Corps d’Etat intéressés.
Toutes dispositions seront prises avant traçage, pour protéger les parements dans le cas de bétons laissés
apparents.
Trait de niveau
Au fur et à mesure de l’avancement de la construction, l’Entrepreneur de gros Œuvre devra à ses frais :
 Porter à l’extérieur, sur les façades, le niveau + 1.00 m fini à chaque niveau, sur des témoins en plâtre ou
par tout autre procédé bien visible, mais n’altérant pas les façades
 Porter à l’intérieur, sur des murs et cloisons bruts et après l’exécution des enduits, le niveau + 1.00 m fini
au-dessus de tous les planchers et ce, autant de fois qu’il sera nécessaire et à tous les emplacements
demandés par les autres Corps d’Etat
Il est bien spécifié que ces traits de niveau seront à tracer par le Gros-Œuvre après exécution des enduits plâtre ou
autres type d’enduits exécutés par d’autres Corps d’Etat. L’Entrepreneur de Gros-Œuvre restera seul responsable
de ces niveaux.
A chaque niveau et dans tous les locaux, le trait de niveau ne doit être battu, sur les murs et les enduits à un mètre
du niveau fixé pour chaque plancher fini, que par l’Entrepreneur de Gros Œuvre, ceci afin d’éviter les erreurs qui
peuvent résulter du tracé par un autre Entrepreneur, erreurs dont l’auteur sera responsable ; Si le trait de niveau
vient à être effacé, l’Entrepreneur de Gros Œuvre doit le tracer à nouveau et à ses frais et ce, autant de fois que
cela s’avère nécessaire.
2.1.3.4. MISE AU POINT DES PLANS
L’Entreprise de Gros œuvre mettra au point, pendant la période de préparation, en liaison avec les autres Corps
d’Etat tous les détails techniques nécessaires à la confection des travaux de Gros œuvre (réservation, passage des
canalisations, etc …).
L’Entreprise indiquera sur les plans DOE, toutes les modifications et adaptations faites par l’Entreprise. Elles
seront élaborées par l’Entreprise, conformément à la CHARTE GRAPHIQUE sur un calque AUTOCAD spécifique.

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2.1.3.5. DOMMAGES AUX TIERS – ETAT DES LIEUX
Il est bien précisé que l'Entrepreneur du présent lot est entièrement responsable de tout dommage corporel et
matériel occasionné à des tiers par les travaux de son lot, ainsi que tous dommages aux réseaux divers (apparents
ou cachés) qui seraient en service.
Il fera son affaire de toute démarche auprès des riverains jouxtant le chantier ainsi qu'auprès des services publics
pour les réseaux éventuels.
L'Entrepreneur prendra à sa charge, et sous sa seule responsabilité, toutes dispositions nécessaires de sécurité et
de protection ainsi que tous travaux confortatifs nécessaires au fait de l'exécution des travaux de son lot.
2.1.3.6. INTERPRETATION DU C.C.T.P.
L'Entrepreneur doit prévoir toutes les fournitures et façons indispensables au parfait achèvement des ouvrages
suivant les Règles de l'Art, même si elles ne sont pas expressément mentionnées au C.C.T.P.
De la même manière, les travaux comprennent tout ce qui est indiqué aux plans, coupes et élévations, ainsi qu'au
présent C.C.T.P. quand bien même diverses indications de détails ne seraient pas précisées, l'Entrepreneur
reconnaissant avoir suppléer par des connaissances professionnelles aux éventuelles imprécisions du document
fourni.
Il est notamment précisé que « les niveaux bruts » indiqués sur les planchers sont donnés à titre indicatif en
prévision d’une réserve pour les revêtements de sol. Aucun complément de prix ne pourra être exigé par
l’Entrepreneur pour des modifications d’altimétrie ou d’implantation d’une valeur inférieure à 10cm.
L'Entrepreneur du présent lot devra prendre contact avec tous les adjudicataires des autres lots, afin de convenir
avec eux des dispositions communes à adopter en ce qui concerne la réalisation de leurs ouvrages respectifs. Il a
le devoir de prendre connaissance des pièces des dossiers des autres Corps d'Etat, et ne pourra en aucun cas ni en
aucun moment, faire état de ne pas les avoir consultés ou de les ignorer.
L'Entrepreneur est réputé connaître la nature du terrain et l'emplacement du chantier, ainsi que les possibilités
d'accès, les disponibilités en eau et en énergie etc... et plus généralement, les conditions locales du site où seront
exécutés les travaux.
Par ailleurs, l'Entrepreneur est tenu de vérifier, avant tout commencement d'exécution, des cotes des documents
graphiques et signaler au Maître d'Œuvre toute erreur ou omission qu'il pourrait constater, ou le rendre attentif à
tout changement qui serait éventuellement à opérer.
En cas d'absence ou d'oubli d’une tâche due par l'Entrepreneur, en cours d'exécution de ses travaux, celui-ci sera
tenu pour responsable et aura à sa charge les modifications qu'elles entraînent pour tous les Corps d'Etat
concernés.

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2.1.4. NORMES – REGLEMENTS ET HYPOTHESES SPECIFIQUES AU LOT

Les travaux du présent lot seront exécutés conformément aux Prescriptions des Règlements en vigueur.
Les listes ci-dessous ne sont pas limitatives et ne sauraient dispenser de l'application des Règlements en vigueur,
à la date des travaux de construction.
2.1.4.1. DOCUMENTS DE BASE – RÈGLES DE CALCUL
2.1.4.1.1 REGLEMENTATION
La réalisation des ouvrages doit être conforme aux normes, règlements et documents officiels français et
européens réglementaires en France. La conformité des ouvrages du présent lot doit suivre un ordre de préférence
d’application qui est le suivant :
 CCAG Travaux, qui reste contractuel en tous cas
 Normes nationales transposée des normes Européennes, à savoir :
 NF EN 206-1/CN
 Normes de la série NF EN 1990 à 1999, couramment appelées Eurocodes
 Annexes nationales de ces normes de la série NF EN 1990 à 1999
 Normes nationales complémentaires à ces normes, à savoir :
 Toutes les normes NF P ou NF relatives aux travaux du présent projet, présentes et en
vigueur à la date de remise de l’offre.
 NF P 94-500 (11/2013)
 DTU 13.3 P1 & 2
 Recommandations professionnelles et règles d’application françaises (type NF P 94-261,
NF p 94-262, FDP 18-717, NF P 94-281)
 NF P 94-270 / NF P 94-282 / NF P 94-290 (géotechnique de talus/soutènements)
 Agréments techniques Européens
 Autres référentiels élaborés par les organismes Européens de normalisation
 Spécifications techniques communes, à savoir :
 CCTG constitué de l’arrêté du 6 mars 2008, amendé par l’arrêté du 30 mai 2012
 Fascicules applicables aux travaux de génie civil (consulter liste sur gouv.fr)
 Normes et documents techniques nationales, à savoir :
 BAEL 91/99 : Applicable en l’absence de référentiel type Eurocodes sur certaines
dispositions constructives
 DTU non NF P
 Recommandations techniques du fabricant
Les documents officiels français ou européens émanent :

 Du CCAG Travaux
 De l'Association Française de Normalisation (AFNOR),
 Des groupes d'élaboration des Documents Techniques Unifiés Français (D.T.U.),
 De l'Institut Technique du Bâtiment et des Travaux Publics (ITBTP),

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 Du Centre Technique Industriel et de la Construction Métallique (CTICM),

 De l'Organisation Internationale de Normalisation (ISO),
 De la Communauté Economique Européenne (CEE),
 De la Commission Européenne de la Construction Métallique (CECM),
 Du Bureau de Normalisation de la Construction Métallique (BNCM),
 Du Comité Européen de Normalisation (BEN).
2.1.4.2. HYPOTHÈSES DE CALCUL
2.1.4.2.1 CHARGES
CHARGES CLIMATIQUES (EC1)

 Vent : Zone 3- vb,0 = 26 m/s
 Coefficient de rugosité : catégorie de terrain IIIB
 Neige : Zone B2 - sk = 55 Dan /m[ - sAd = 135 DaN / m[
 Altitude: 98m
CHARGES SISMIQUES (EC8)
Principe structurel
Le bâtiment est contreventé par les murs en maçonnerie (agglos et pierres massives). Les planchers poutrelles
hourdis en VS et dalles pleines en toiture sont considérés comme des diaphragmes indéformables.
Les poteaux et trumeaux dont la longueur est inférieure à 4 fois l’épaisseur sont considérés en éléments
secondaires, de manière à ce que leur contribution à la raideur totale du bâtiment soit inférieure à 15%.
Hypothèses sismiques
 Zone de sismicité : 2
 Catégorie d’importance : III
 Classe de sol : Type A -> S=1
 Coefficient d’amplification topographique : St=1
 Classe de ductilité : DCL
 Coefficient de comportement : 1.5
 Fraction des charges d’exploitation : ψEi = φ x ψ2i = 0.6x0.8 = 0.48
 Fraction de la charge de neige = 0
 Amortissement = 5%
CHARGES PERMANENTES
• Isolation + chape + Revêtement de sol souple y compris cloisons 200 DaN/m[

• Revêtement de sol par carrelage scellé, y compris cloisons 200 DaN/m[
• Etanchéité + protection gravillonnée 200 DaN/m[

. Page 12 /52
Terrasse :
. Inaccessible - Etanchéité + protection lourde 200 DaN/m[
CHARGES D’EXPLOITATION GENERALES
Catégorie
qk en KN/mG Qk en KN Ψ0 Ψ1 Ψ2
Bâtiment
Lieu de réunion C1 2.5 3.0 0.7 0.7 0.6
Toiture
H 1.0/10m[ 1.5 0.0 0.0 0.0
Inaccessible
CHARGES D’EXPLOITATION SPECIFIQUES
• Bureaux 250 DaN/m[

• Cuisine 500 DaN/m[
• Salle à manger, sanitaires 250 DaN/m[
• Locaux techniques 150 DaN/m[
• Locaux stockage 350 DaN/m[
CHARGES ACCIDENTELLES
Choc de véhicule sur rambarde/ piétonnier/ chaussée : 2kN horizontal à ht=40cm
Accroche du public aux éléments horizontaux de façade : 1kN ponctuel à mi-portée
GRADIENT THERMIQUE
Pour le calcul de l'incidence des efforts de dilatation sous l'action des variations de température, on considère des
variations de + ou – 20°C par rapport à une température conventionnelle de montage de 20°C.
2.1.4.3. HYPOTHÈSES SPÉCIFIQUES
Pour le dimensionnement des structures en béton armé, les règles et normes énoncées précédemment seront
appliquées en considérant les hypothèses suivantes :
La vérification des sollicitations, des contraintes et déplacements par calcul sur ordinateur est admise à la
condition que les logiciels utilisés soient parfaitement éprouvés et leur utilisation soit soumise à l'agrément
du maître d'œuvre et du bureau de contrôle.
Enfin, les méthodes de calcul et formules utilisées doivent être d'usage courant et acceptées par les organismes
de contrôle.

. Page 13 /52
HYPOTHESES DE COMBINAISONS
Combinaisons EUROCODE 0 & EUROCODE 1
Définition des charges

EUROCODE 1/AN & NF P06-001 pour les charges d’exploitation spécifiques
d’exploitation
- Ambiance : Non Agressive.

Définition des conditions
atmosphériques - Atmosphère extérieure : Atmosphère urbaine.
- Ventilation : Locaux faiblement ventilés.
JUSTIFICATION AUX ELS : CAS DU CALCUL DES CONTRAINTES ET DE L’OUVERTURE DES FISSURES
Type de règlements Dans le cas de l’application des EUROCODES
Un coefficient d’équivalence n = 15
Un coefficient de fluage de 1.5 à 2.0. Une justification du fluage pourra
Paramètres pour la être exigée.
justification des contraintes Le fluage a été pris en compte, lors des études de PROJET en
considérant :
Un taux d’humidité relatif RH = 70% et des ciments de type R
les Eléments en Béton Armé On considèrera une classe d’étanchéité = 1 ;

enterrés en contact avec l'eau Dans le cas de locaux nobles la classe d’étanchéité sera = 2
extérieure (cuvelage)
L'enrobage des aciers sera calculé pour chaque élément spécifique en
fonction entre autres de sa classe d’exposition.
On considèrera une classe d’étanchéité = 2

Pour les Eléments en Béton
Armé servant de fosse de L'enrobage des aciers sera calculé pour chaque élément spécifique en
rétention, de cuve ou de fonction entre autres de sa classe d’exposition.
réservoir Dans le cas de reprise de bétonnage généralisé avec toute la section de
béton armé, les largueurs de recouvrement seront de 100 x diamètre des
aciers
Elément type : Fosse ascenseur

Pour les éléments en béton Ouverture des fissures limitée à : 0.2 mm
armé dont la fissuration
pourrait etre préjudiciable Elément type : Longrines contre sol
Ouverture des fissures limitée à : 0.3 mm
Nota : les éléments considérés comme exposés au sens du BAEL seront calculé au Eurocodes avec les mêmes
pourcentages d’armatures que le BAEL. Il faudra pour cela suivre les recommandations professionnelles pour
l’application de l’EC21-1.

. Page 14 /52
DÉFORMATIONS ADMISSIBLES
Type de règlements Dans le cas de l’application des EUROCODES
Dans le cas d’éléments de portée entre nus ≤ 7.00m

Les règles professionnelles sont applicables en Combinaison caractéristique. Le
bureau de contrôle et la maitrise d’œuvre doivent approuver cette méthode.
TABLEAU
VALEURS LIMITES POUR LES FLECHES VERTICALES FRAGILES
Limites δ max
Flèches Dalle support d’éléments fragiles
- L< 7.00m - L/500

- L>7.00m - 1,4cm + (L-7m) /1000
Autres dalles
- L< 5.00m L/350
- L>5.00m 1,4cm + (L-5m)/700
 Déplacement en tête de poteau : H/300, H représentant la hauteur

Déplacement horizontal
d’étage
2.1.5. SPÉCIFICATIONS RELATIVES AUX OUVRAGES, MATÉRIAUX ET MATÉRIELS

2.1.5.1. SPECIFICATIONS RELATIVES AU MATERIAUX
2.1.5.1.1 COMPOSITION ET RESISTANCE DES BETONS
Les eaux de gâchage feront l'objet d'une analyse en début de chantier et d'analyses trimestrielles à la charge du
présent lot (Laboratoire agréé par le Maître d'Œuvre).
Il est rappelé que pour la composition des bétons des parties d'ouvrages comportant des parements fins ou
ouvragés, l’entrepreneur devra impérativement obtenir les teintes et textures définies dans le présent C.C.T.P.
Les bétons devront satisfaire aux Prescriptions de la Norme NF EN 206 -1/CN et aux normes françaises et annexes
nationales associées.

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A - BETON A PROPRIETES SPECIFIEES – B.P.S.

Le tableau récapitulatif donné ci-dessous précise, par parties d'ouvrage, les caractères de base normalisés exigés.
BETONS A PROPRIETES SPECIFIEES – selon NF EN 206-1
DOMAINE D'EMPLOI CLASSE DU CLASSE D’EXPOSITION CLASSE DE CONSISTANCE DIMENSION MAXIMUM DU GRANULAT CLASSE DE CHLORURE
BETON
Ouvrages béton armé C25/30 XC1 S3 22 mm Cl 0,4

Intérieurs
Ouvrages béton armé C25/30 XC4 S3 22 mm Cl 0,4

ayant au moins une
face extérieure non
protégée
Ouvrages béton armé
Du VS C25/30 XC3 S3 22 mm Cl 0,4
Semelles – Fondations C25/30 XC2 S3 22 mm Cl 0,4

superficielles
La dimension maximale des granulats sera choisie en tenant compte des distances des armatures entre elles et
aux parois (clause 8.2 de l’EC2.1.1) et des performances attendues du béton.
Dans tous les cas, l’enrobage des ouvrages BA de quelque type que ce soit ne sera jamais inferieur à 3cm.
La classe de chlorure peut être modifiée, mais elle sera limitée à Cl 0,65 pour des bétons formulés avec des
ciments de type CEM III.
Pour les bétons prêts à l'emploi, les résistances caractéristiques minimales des bétons à 28 jours sont définies en
fonction du type de béton et de la classe d’exposition.
Elles sont la conséquence des choix faits pour la durabilité du béton qui précisent le dosage minimal et la quantité
maximale d'eau dans le béton. Dans tous les cas, la caractéristique à 28 jours sera supérieure ou égale au tableau
ci-dessus.

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B - BÉTON À COMPOSITION PRESCRITE – B.C.P.

Les B.C.P. sont des bétons, pour lesquels aucune résistance minimale n'est imposée. Ils ne pourront jamais être
utilisés pour un élément participant à la résistance de la structure de l'ouvrage.
Ils seront exclusivement utilisés pour :
 les bétons de substitution ou massif en gros béton sous fondation,
 les bétons de propreté,
 les bétons de calage,
 les bétons de remplissage,
 le support des drains, cunettes,…
Dans le cadre de son P.A.Q, et au plus tard un mois avant la date prévue pour le coulage des premiers bétons
B.C.S., l'Entrepreneur devra proposer à l'agrément du Maître d'Œuvre la composition de ces bétons. Les
caractères spécifiés de chaque type de béton sont indiqués dans le tableau ci-dessous. Le ciment utilisé devra
résister à l'action des eaux agressives.
BETONS A COMPOSITION PRESCRITE
DIMENSION MAXIMALE
DOMAINE D'EMPLOI
DOSAGE MINIMAL EN CIMENT DU GRANULAT
Béton de substitution coulé à sec 350 Kg/m3 35 mm

Béton de substitution coulé dans l'eau 400 Kg/m3 35 mm
Béton de propreté 250 kg/m3 25 mm
Béton de blocage 300 kg/m3 25 mm
Béton de remplissage 250 kg/m3 12 mm
C - MORTIERS ET MICRO BÉTONS

Les mortiers et micro bétons seront généralement utilisés pour :
 Les bossages,
 Les scellements,
 Le scellement des platines d'ancrage des dispositifs de sécurité métalliques (glissières, barrières,
éventuellement garde-corps), et autres supports.
 Les coulis ne pourront être utilisés qu'exceptionnellement, après autorisation du Maître d'Œuvre, pour
effectuer des calages pour assise d'appareils d'appuis d'épaisseur inférieure à 3cm. Il s'agira de coulis
prédosés inscrits sur la liste des fabrications admises à la "marque NF - Produits spéciaux destinés aux
constructions en béton hydraulique," régulièrement mise à jour par l'AFNOR.

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L'Entrepreneur devra soumettre à l'acceptation du Maître d'Œuvre la formule nominale des mortiers et micro
bétons durant la période de préparation. Les principales caractéristiques sont indiquées sur le tableau
récapitulatif ci-après.
DOMAINE D'EMPLOI CONSISTANCE DIMENSION MAXIMALE DU DOSAGE MINIMAL

GRANULAT
EN CIMENT
Calage d'épaisseur e S4 12 mm 450 kg/m3 CPA - CEM I/52.5

5 cm < e ≤ 10 cm ou
Mortier industriel prêt à l'emploi
La résistance des mortiers et micro béton sera au moins égale à celle des bétons environnants. Ils devront être
parfaitement compacts et imperméables.
Les mortiers et micro béton des cachetages et de l'assise des dispositifs de sécurité et des appareils d'appuis
contiendront un adjuvant empêchant le retrait.
Les mortiers seront remplacés par des mortiers spéciaux, prêts à l'emploi, pour les calages d'épaisseur inférieure à
5 cm et dans le cas de scellement d'armatures passives.
Les matériaux entrant dans la composition des bétons devront satisfaire aux Prescriptions de la Norme NF EN 206
-1/CN et aux normes françaises et annexes nationales associées.
Les eaux de gâchage feront l'objet d'une analyse en début de chantier et d'analyses trimestrielles à la charge du
présent corps d'état (Laboratoire agréé par le Maître d'Œuvre).
Il est rappelé que la composition des bétons des parties d'ouvrages comportant des parements fins ou ouvragés,
devra tenir compte des exigences de teinte et de texture (obligation de résultat) définies dans le présent C.C.T.P.
2.1.5.1.2 FABRICATION DU BETON – TRANSPORT DES BETONS

Les prescriptions du Fascicule 65 sont complétées comme suit.
FABRICATION
Le béton sera fabriqué dans une centrale extérieure, qui doit être agréée par le Maître d’œuvre pour les classes de
béton demandées. Le transport doit alors être obligatoirement effectué dans des camions toupies. Il sera
conforme à la norme NF EN 206-1/CN.
CONDITIONS DE TRANSPORT
L'Entrepreneur proposera à l'acceptation du Maître d'Œuvre le délai maximal de transport du béton entre la
fabrication et la mise en place dans le coffrage. Ce délai dépendra des moyens de transport retenus et sera
modulable suivant la température maximale extérieure. Il ne pourra, en aucun cas, être supérieur à 1h00.
La détermination de ce délai fera l'objet d'une épreuve de convenance supplémentaire dans les conditions visées
à l'Article "Epreuves de convenance" ci-après.
L'Entrepreneur devra établir une liaison par téléphone ou radio entre les ateliers de fabrication du béton et les
chantiers de bétonnage. Les véhicules de transport du béton devront également être équipés d'une liaison radio
avec la centrale.
Ces véhicules emprunteront le (ou les) parcours défini(s) sur le plan de circulation établi par l'Entreprise et agréé
par le Maître d'œuvre et le SPS.

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CONDITIONS DE LIVRAISON
Le conducteur du véhicule, devra avant toute vidange de son malaxeur, avoir remis à l’utilisateur, un exemplaire
du bon de livraison imprimé par la centrale au fur et à mesure des livraisons. Tout ajout d'eau est interdit.
Ces bons de livraison, conformes à la norme NF EN 206.1/CN seront mis à la disposition du maître d’œuvre ou de
son représentant.
2.1.5.1.3 MANUTENTION DES BETONS – MISE EN ŒUVRE DU BETON
MISE EN ŒUVRE
Les coffrages doivent être arrosés préalablement au bétonnage. Leur surface doit être humide mais non mouillée.
Le béton doit être mis en œuvre à la benne.
Le béton ne doit pas tomber librement d’une hauteur supérieure à 4.00m ; il doit être mis en œuvre par couche
horizontale de faible épaisseur (20 à 30cm au maximum). Le laps de temps entre le bétonnage de deux couches
successives doit être au plus égal à 15 minutes. Dès que la hauteur de chute du béton dépassera 1.50m, l’emploi
d’un tube plongeur sera obligatoire.
Le temps de vibration doit être limité pour éviter la ségrégation. La vibration par l’intermédiaire des armures est
interdite. Les dalles seront vibrées superficiellement avant talochage.
L’Entrepreneur est tenu d’établir des fiches de coulage indiquant la date, l’heure, les conditions atmosphériques
et de température, la provenance du béton et la partie d’ouvrage coulée correspondante et les prélèvements de
béton pour essais. Ces fiches sont tenues à la disposition du Maître d’œuvre ainsi que les procès-verbaux des
résultats d’essais.
Toutefois, certains ouvrages peuvent être coulé à la pompe sous réserve d’appliquer les conditions du paragraphe
suivant.
Conditions d’utilisation d’une pompe à béton :

Si l'Entrepreneur souhaite utiliser une pompe à béton pour le bétonnage de certaines parties d'ouvrage, il devra
en faire la proposition au Maître d'Œuvre au plus tard lors de l'étude de composition du béton correspondant.
Le type et les caractéristiques de la pompe seront alors précisés de même que la relation existant entre la pression
de pompage et la plasticité du béton. Si la distance entre la pompe et le lieu de bétonnage est grande, une liaison
par téléphone ou par radio sera assurée entre les deux. Pendant toute la durée des bétonnages à la pompe, une
pompe de secours en état de marche devra se trouver sur le chantier.
REPRISE DE BÉTONNAGE
L’Entrepreneur soumettra au Maître d’œuvre, pour approbation, au plus tard un mois avant coulage, les plans de
chantier proposant la localisation des arrêts de coulage et le détail des joints correspondants.
Les coulages, serrages, reprises de bétonnage etc…Sont effectués conformément à l’article 3.6 du C.Ch D.T.U. 23-1
(NFP 18-210) ou de son équivalent Eurocode si disponible.
Lorsqu’il est prévu un arrêt de coulage, le béton est maintenu par un métal déployé à mailles fines fixé aux
armatures. Avant la reprise de bétonnage, la surface de reprise est nettoyée énergiquement et humidifiée à
saturation avant coulage du béton frais.
En bordure de mer, les reprises de bétonnage seront traitées afin d’éviter les pénétrations par pression de vent.

. Page 19 /52
Pour les parements peints ou enduits, un pontage par entoilage sera réalisé (classement I3 suivant D.T.U. 59.1,
NFP 74-201-1).
Pour les parements bruts de décoffrage, les dispositions suivantes seront prises :
 Joint de reprise repiqués et traités par clefs
 Double nappe d’armature (intérieur extérieur) et mise en place d’un joint hydrogonflant type FIX de chez
SOLVAY
Les reprises se feront au droit de joints creux.
BÉTONNAGE PAR TEMPS FROID

Lorsque la température mesurée sur le chantier est inférieure à – 5°C, la mise en place du béton n’est pas
autorisée. Tous les bétons ayant gelé lors de la prise seront démolis et repris aux frais de l’entrepreneur.
Lorsque cette température est comprises entre + 5°C et – 5°C, la mise en place du béton n’est autorisée que sous
réserve de l’emploi de moyens efficaces pour prévenir les effets dommageables du froid. Le programme de
bétonnage précise alors les dispositions à prendre
Après interruption de bétonnage due au froid, le béton éventuellement endommage est démoli, et il est opéré
comme dans le cas de reprises accidentelles.
De 0 à - 5°C, l'Entreprise devra la protection par bâche des parties coulées, à l'air libre, et le réchauffage des
agrégats et de l'eau. Des antigels, sans chlorure, seront utilisés pour les périodes de gelées, mais devront, au
préalable, avoir reçu l’avis du Maître d'Œuvre.
BÉTONNAGE PAR TEMPS CHAUD

Pour les périodes où la température mesurée sur le chantier est supérieure à 30°C, l’entrepreneur soumet au
Maître d’œuvre, dans le cadre du programme de bétonnage, les dispositions qu’il propose de prendre en
complément de celles indiquées ci-dessus.
PRODUIT DE CURE
La cure du béton est exigée pour toutes les surfaces soumises aux effets atmosphériques susceptibles d’affecter la
qualité du béton. Elle consiste à protéger ces surfaces par les procédés suivants qui peuvent être combinés :
 Protection temporaire imperméable, notamment par maintien prolongé des coffrages et par création
d’une barrière étanche en surface du béton
 Humidification
L’application de la protection est effectuée dès que possible. Elle est prolongée aussi longtemps que l’évaporation
de l’eau du béton risque d’affecter la qualité requise pour celui-ci. L’Entrepreneur propose au Maître d’œuvre,
dans le cadre du programme de bétonnage, la durée d’application de la cure.
La protection intéresse toute la surface du béton de manière continue et homogène ; elle est permanente pendant
la durée du traitement et son arrêt simultané sur l’ensemble de chaque zone d’application.
Les produits de cure ne peuvent être employés que s’ils sont agréés par la Commission compétente.
L’élimination du produit de cure reste à la charge du présent lot. Des essais de convenance peuvent être
nécessaires pour vérifier la facilité d’élimination du produit et sa comptabilité avec les revêtements définitifs
(éventuels) prévus pour le béton.

. Page 20 /52
DÉCOFFRAGE - DÉCINTREMENT
L'Entrepreneur soumettra à l'avis du Maître d'Œuvre, dans le cadre du programme de bétonnage, les procédures
détaillées des opérations de décoffrage et de décintrement.
Ces procédures tiendront compte des prescriptions du Fascicule 65 complétées par les indications ci-après :
 Des épreuves d'informations seront obligatoirement réalisées, si les contraintes de compression
appliquées au béton à la suite du décintrement paraissent devoir dépasser 0.4 fcm, fcm désignant la
résistance caractéristique à la date prévue, compte tenu de l'effet estimé des intempéries éventuelles et
de la température ambiante ou si les contraintes de traction paraissent devoir dépasser fctm, fctm désignant
la résistance à la traction déduite de fcm suivant l’EC 2.1.1.
 La fixation des résistances minimales à obtenir devra tenir compte également des risques de déformation
différée due au fluage. Le Maître d'Œuvre pourra éventuellement imposer un étaiement provisoire après
enlèvement du coffrage pour limiter ces effets.
 Le décoffrage ou le démoulage devront être réalisés de façon à ne pas provoquer un écart de température
entre le béton et l'ambiance de plus :
. Trente degrés Celsius (30°C) pour des températures ambiantes positives,
. Quinze degrés Celsius (15°C) pour des températures ambiantes négatives.
. Le béton ne sera pas exposé à des températures négatives avant d'avoir atteint au moins 15 MPa de
résistance moyenne en compression.
2.1.5.1.4 COFFRAGES
Les équipements de coffrage pour les parties vues de l'ouvrage feront l'objet d'un projet soumis à l'avis du Maître
d'œuvre qui précisera notamment les arrêts de coulage, les joints entre panneaux de coffrages, les trous réservés
pour la fixation des coffrages.
Les coffrages présenteront une rigidité suffisante pour résister, sans tassement ni déformations nuisibles aux
charges et efforts de toute nature qu’ils sont exposés à subir pendant l’exécution des travaux, et notamment aux
efforts engendrés par le serrage du béton.
Les coffrages devront être suffisamment étanches pour que le serrage par vibration n’entraîne pas une perte
appréciable de ciment.
Tous les trous de fixations des coffrages devront être rebouchés de façon à éviter l'éclatement du béton sous
l'effet du gel. La position et le diamètre de ces trous seront soumis à l'accord préalable du Maître d'Œuvre : ils
devront figurer sur les plans d'exécution.
Le nombre de réemplois des panneaux de contreplaqué sera limité à trois (3).
Les produits destinés à faciliter le décoffrage seront préalablement soumis à l’avis du Maître d'Œuvre.
En aucun cas, il ne devra être fait usage d'huile minérale. Ces produits devront permettre l'application directe de
peinture ou d'enduit garnissant, après simple brossage, et ne laisser aucune trace sur les bétons bruts de
décoffrage. Le nettoyage de l’huile des voiles après décoffrage est toujours prévu par l’entreprise.
La flèche des coffrages sous le poids du béton frais devra rester inférieure à :
 4 mm sur une longueur de 2 m
 20 mm en quelque point que ce soit
Quel-que-soit le matériau constitutif des parois, l’écartement maximal dans les joints est de 1 mm et le dénivelé
toléré normalement à la paroi entre 2 éléments voisins est de 2 mm.

. Page 21 /52
Les dispositifs de fixation seront obligatoirement reportés sur les dessins d’exécution (Plans d’atelier) visés ; ils
seront exclusivement constitués de trous régulièrement espacés, implantés de manière symétrique et sur une
même ligne horizontalement ou verticalement et réalisés au moyen de tubes PVC. Le Maître d’œuvre pourra exiger
l’obturation des réservations au moyen d’un mortier respectant l’uniformité de teinte des parements. Ce
remplissage devra être fait au plus tôt.
Dans le cas où l'évacuation de l'eau ne peut se faire de manière gravitaire, des évents seront prévus. Ceux-ci
figureront dans le projet de coffrage et dans les plans d'exécution.
La qualité et la nature des coffrages seront déterminées par la qualité des parements demandée au décoffrage.
Les coffrages à parois pour parements fins respecteront les stipulations suivantes :
 S'ils sont en bois, ils seront constitués de panneaux identiques ayant le même nombre d'emplois
antérieurs, en bois de même essence, sans nœuds et devront être pourvus d'un revêtement plastique ou
d'une peinture soumis à l'avis du Maître d'œuvre. L'épaisseur des planches et contreplaqués sera au
moins de 20 mm. Le nombre de réemploi sera limité à trois.
 S'ils sont en acier, ils seront constitués de tôles d'épaisseur au moins égale à 5 mm.
 Les joints entre panneaux seront alignés horizontalement et verticalement, continus, rectilignes et
régulièrement appareillés compatible avec l’aspect architectural demandé
 Les joints horizontaux et verticaux seront calepinés suivant le rainurage architectural.
 Les coffrages respecteront les principes architecturaux définis sur les plans de détails.
 Le choix de leur fixation aux coffrages sera soumis à l'avis du Maître d'œuvre.
 Les dispositifs de fixation proposés devront laisser un aspect satisfaisant après rebouchage. Aucune
modification de ceux-ci par rapport au projet de coffrage ne sera acceptée.
 Toutes les arêtes saillantes seront de type « arêtes vives ».
 Le traitement des arêtes figurera donc dans le projet de coffrage et dans les plans d'exécution.
 Pour les parements fins, le ciment et les granulats feront l'objet d'une garantie de constance de teinte de
la part du fournisseur pour l'ensemble du chantier.
2.1.5.1.5 CONTROLE - TOLERANCES

L'entrepreneur aura la responsabilité de procéder aux épreuves d'études et aux épreuves de convenance, en
temps utile pour respecter ses obligations contractuelles relatives au délai d'exécution, quels que soient les
résultats des dites épreuves.
Si les contrôles de conformité aux spécifications ne satisfont pas aux exigences contractuelles, il appartiendra à
l'Entrepreneur de procéder aux adaptations nécessaires (formule des bétons, installations, méthodes de mise en
œuvre), et d'effectuer une nouvelle épreuve de convenance, éventuellement simplifiée, en accord avec le Maître
d'Œuvre.
POINTS CRITIQUES, POINTS D'ARRÊT

Le contrôle du façonnage et de la fabrication des cages et panneaux d'armatures avant mise en place dans les
coffrages, constituera un "point critique", nécessitant une matérialisation du contrôle interne sur un document de
suivi d'exécution, si le contrôle n'est plus possible après leur mise en place.
Ce contrôle pourra être éventuellement exigé par le Maître d'Œuvre avant mise en place pour certains éléments
essentiels, même s'il peut et doit encore être effectué après mise en place.

. Page 22 /52
La réception du ferraillage et de sa mise en place dans les coffrages constituera un "point d'arrêt". L'Entrepreneur
communiquera au Maître d'Œuvre le résultat du contrôle interne et externe du ferraillage au moins vingt-quatre
heures avant le bétonnage ou dans un délai à fixer dans le P.A.Q. si le phasage des bétonnages l'exige.
Le bétonnage ne pourra donc avoir lieu avant accord du Maître d'Œuvre.
Pour corriger les imperfections de ferraillage, les armatures seront, au besoin, enlevées des coffrages et les
éléments mal façonnés remplacés, tout ceci aux frais de l'Entreprise.
Ce point d'arrêt pourra devenir un point critique, avec l'accord du Maître d'Œuvre, par exemple en cas de
périodicité rapprochée des opérations de bétonnage, et après la période de rodage des méthodes de mise en
œuvre.
TOLÉRANCES
Tolérance concernant la conception
Les tolérances sur la position des armatures après bétonnage sont fixées au chapitre 16 du CCTG. En fonction de
l'agressivité du milieu ou en cas d'enlèvement de matière postérieurement à la mise en place du béton, l'enrobage
sera majoré conformément aux dispositions des règlementations de béton armé en vigueur.
Tolérance dimensionnelle
 Pour les pièces métalliques : 0,5mm

 Pour les ouvrages béton : 1cm sous la règle des 2.00m
Tolérance sur la qualité des parements
En cas de non-conformité du résultat final avec la qualité d’aspect des parements attendus, les ouvrages
défectueux seront détruits et reconstruits sans supplément de prix ni délai.
La définition et le classement des parements sont indiqués dans les paragraphes suivants.
L'entreprise pourra dans son offre proposer à la place des "ouvrages avec parement fini soigné" des éléments
préfabriqués en béton armé, sous réserve de les soumettre au maître d'œuvre pour acceptation.
2.1.5.1.6 PAREMENTS DES OUVRAGES EN BETON ARME

La qualité des parements fera l'objet d'une attention particulière et le Maître d'œuvre se réserve la possibilité de
les faire traiter aux frais de l'entrepreneur en cas d'irrégularité ou de non-homogénéité de teinte et d'aspect de
surface. Dans ce cas, les méthodes de rattrapage et de rectification seront expressément soumises à l'accord
préalable du Maître d'œuvre.
L’Architecte refusera tout ouvrage dont l’aspect ne serait pas satisfaisant ; la démolition et la reconstruction en
seront faites sans aucun supplément de prix, ni retard toléré sur le planning.
EPREUVES DE CONVENANCE
La régularité de la texture et de la teinte des parements sera appréciée par référence à une série d’éléments de
béton témoin, représentatifs à l’échelle du chantier, réalisée par l'entreprise avant exécution des travaux lors des
épreuves de convenance.
Chacun de ces éléments comprendra au moins deux reprises de bétonnage horizontales et verticales.
Ces épreuves de convenance permettront de définir, pour les parements fins et ouvragés :
 la teinte et la texture des parements,
 les exigences de provenance et de régularité des matériaux (ciment et sable).

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Les éléments de béton témoin resteront sur le chantier pendant toute sa durée en tant que référence. La
démolition et reconstruction de ces éléments servant d’épreuve de convenance seront prévues à la charge de
l’entreprise jusqu’à l’obtention de la qualité de parement demandée par la Maîtrise d’œuvre.
Ces ouvrages seront fondés si nécessaire, afin d’obtenir toutes les garanties de sécurité nécessaires au bon
déroulement du chantier.
ASPECT DES PAREMENTS

On distinguera plusieurs aspects suivant que le parement est vu ou non et selon l'effet Architectural désiré.
Les surfaces coffrées vues d'un ouvrage seront réalisées avec les prescriptions des parements fins à l'exception
des parties prescrites en parement ouvragé.
Les surfaces coffrées non vues suivront les règles des parements simples.
Les surfaces coffrées au contact des terres suivront celles des parements ordinaires.
Les parements fins et ouvragés devront être réguliers de forme, de teinte et de texture.
L’aspect des parements vus obtenu directement au décoffrage constituera l’aspect définitif des ouvrages.
Les parements obtenus devront être tels qu’ils n’exigent qu’un simple brossage en fin de chantier.
Le calepinage des joints (verticaux, horizontaux) et les trous de banche (vrais ou faux) est imposé. Le traitement
des trous de banche (rebouchage et finition) devra respecter les exigences architecturales. La fourniture et la pose
des accessoires éventuels à intégrer dans leur fonction (rondelle d’acier inox, …) sont à la charge du présent lot.
Pour les joints, dans le cas où aucune dimension n’est précisée dans les pièces graphiques, l’entreprise devra
prévoir les dimensions suivantes :
 joints creux 2/2
 joints en saillis 2/2
Le traitement de l’étanchéité à l’eau et à l’air des joints sera complété par une « fermeture » au mastic de tous les
joints.
CLASSEMENT DES PAREMENTS
0. Parements ordinaires/élémentaires – (Aspect : 0)

Parement : P (1) ; E (1-1-0) ; T (0)
 Parements : Laissés bruts de décoffrage.
 Planéité : Tolérance de 15 mm à la règle de 2 m et de 6 mm au réglet de 0.20 m
Pour les parties courbes, les mesures sont effectuées, par analogie aux surfaces planes, à l'aide de gabarits
reproduisant les formes théoriques.
 Texture : Bullage moyen : niveau E1
 Texture : Zone de bullage concentrée : niveau E1
 Défauts : niveau E0 - critère non considéré
 Teintes : niveau E0 - critère non considéré

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1. Parements courant/simples – (Aspect : A)

Parement : P (2) ; E (1-1-0) ; T (0)
 Parements : Laissés bruts de décoffrage.
 Planéité : Tolérance de 8 mm à la règle de 2 m et de 3 mm au réglet de 0.20 m
reproduisant les formes théoriques.
 Défauts : niveau E0 - critère non considéré
 Teintes : niveau E0 - critère non considéré
2. Parements soignés/fins – (Aspect : B)

Parement : P (3) ; E (3-3-2) ; T (3)
 Parements : Laissés bruts de décoffrage
 Planéité : Tolérance de 5 mm à la règle de 2m et de 2 mm au réglet de 0.20m
reproduisant les formes théoriques
 Défauts : niveau E2. La surface maximale d'un défaut de texture visible à une distance de L en
mètres est de S en centimètres carrés. L = 5 m et S = 20 cm[
 Teinte : niveau T3. La teinte devra se situer dans les catégories 1 à 3 de l'échelle, et recevra
l'approbation de l'Architecte.
 Forme : Indication sur les plans de la distribution et de la constitution des joints. Le calepinage des joints
sera sur les engravures horizontales et verticales, symbolisées sur les façades "architecte".
Le calepinage des joints et trous de banche sera soumis à l’approbation de l’Architecte en fonction de la
finition désirée.
Le rebouchage des trous de banche et les joints de coffrage seront traités afin d’obtenir la finition
architecturale demandée.
Parements ouvragés : (Aspect C)

Parement : P (3) ; E (4-3-3) ; T (3)
 Parements : Béton architectonique
 Planéité : Tolérance de 5 mm à la règle de 2m et de 2 mm au réglet de 0.20m
reproduisant les formes théoriques

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 Défauts : niveau E3. La surface maximale d'un défaut de texture visible à une distance de L en
mètres est de S en centimètres carrés. L = 2 m et S = 6 cm[
 Teinte : niveau T3. La teinte devra se situer dans les catégories 1 à 3 de l'échelle, et recevra
l'approbation de l'Architecte.
 Forme : Indication sur les plans de la distribution et de la constitution des joints. Le calepinage des joints
sera sur les engravures horizontales et verticales, symbolisées sur les façades "architecte".
Le calepinage des réservations ou éléments nécessaires au levage, au stockage, à la pose sera soumis à
l’approbation de l’Architecte en fonction de la finition désirée.
Le rebouchage et le calfeutrement de ces réservations seront traités afin d’obtenir la finition architecturale
demandée.
Il est rappelé que ces éléments doivent être fournis dans le PAQ dans le cas des « procédures d’exécution».
2.1.5.1.7 PRESCRIPTIONS COMMUNES A TOUS LES TYPES D'ARMATURES

La fourniture des armatures en acier pour béton armé satisfera aux stipulations du C.C.T.G. Les armatures et
treillis utilisés devront être agréés NF - AFCAB (Association Française de Certification des Armatures du Béton).
Seules seront utilisées des nuances garanties "aptes au soudage", cette aptitude étant définie par la Norme NF
A35-018.
L'approvisionnement des armatures sous forme de panneaux, de rouleaux, ou d'éléments préfaçonnés en atelier
sera soumis à l'avis du Maître d'Œuvre. L'Entreprise devra choisir un atelier bénéficiant d'un certificat AFCAB. Dans
le cas où il n'existerait pas d'usine certifiée, l'usine de façonnage choisie sera portée à la connaissance du Maître
d'Œuvre sur les critères du Règlement de la certification et du Contrôle des Armatures Industrielles pour le béton
de l'AFCAB.
Les armatures pour béton armé seront stockées à plat sur un calage bois disposé sur une aire de stockage
(bétonnée ou sur remblai calibre 0/20 bien compacté) à l'abri de toute source de pollution ou d'altération, et
classées par nuances, catégories et diamètres.
Les diamètres des mandrins de cintrage des armatures (ronds lisses et armatures à haute adhérence) seront au
moins égaux à ceux définis à la norme NF P 02-016 (Armatures industrielles pour Béton Armé - Façonnage -
Codification).
Toute soudure sera soumise à l'acceptation du Maître d'Œuvre après justification de la qualification du soudeur et
du mode opératoire employé.
Les cales d'enrobage seront ligaturées aux armatures. Les cales fragiles ou multi-épaisseurs seront interdites.
RONDS LISSES
Seuls les ronds lisses de nuance Fe E 235 seront approvisionnés sur l'ensemble du chantier.
Ils seront utilisés comme armatures de barres de montagne, chaises, râteliers pour câbles de précontrainte,
épingles de manutention, et armatures en attente de diamètre inférieur ou égal à quatorze (14) mm si elles sont
exposées à un pliage suivi d'un dépliage.
ARMATURES À HAUTE ADHÉRENCE

Les armatures pourront être de nuances Fe E 400 ou Fe E 500. Pour une même partie d'ouvrage, il ne pourra
être utilisé qu'une seule nuance, et même une seule catégorie d'acier.
La possibilité d'utiliser des marques d'acier différentes ne sera que tolérée, le nombre de marques étant limité à
deux.

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TREILLIS SOUDÉ
L'emploi de treillis soudé sera soumis à un accord préalable du Maître d'Œuvre.
Le treillis soudé sera en acier tréfilé, nervuré ou cranté, à haute limite élastique répondant aux prescriptions de la
Norme NF A 35-022.
ATTENTES, RECOUVREMENTS ET MANCHONS DE RACCORDEMENT

L'Entrepreneur prendra, dès le stade des études, toutes les mesures de prévention nécessaires contre les risques
d'empalement sur les armatures en attente qui seront systématiquement coudées jusqu'à un diamètre de 16 mm
et à partir de 20 mm de diamètre munies d'embouts de protection plastique. Des cadres soudés en protection
sont tolérés
L'utilisation de manchons pourra être demandée par le Maître d'Œuvre, dans le cas d'utilisation de barres d'un
diamètre strictement supérieur à 32 mm. Le modèle de ces manchons sera soumis à son agrément; il devra
satisfaire aux dispositions des Normes NF A35-020-1 et NF A35-020-2.
Les conditions d'enrobage seront appliquées sans réduction locale, en considérant le demi diamètre
d'encombrement du manchon.
2.1.5.2. PRESCRIPTIONS PARTICULIERES POUR LES TERRASSEMENTS
Le Fascicule 2 du CCTG ainsi que les textes de l’annexe informative sont obligatoires.
Les prix rémunérant les travaux d’exécution de terrassement, comprennent implicitement l’ensemble des
fournitures, matériels, énergie, eau, main-d’œuvre ainsi que toutes les charges et sujétions se rapportant à leur
complète et parfaite exécution.
Le métré du cubage des terrassements demandé dans le C.D.P.G.F., intégrera :
 Les terrassements projetés : Surface du projet selon les plans x la hauteur de terrassement exigée
 Les terrassements périmétriques dus à la tenue du terrain : les pentes des talus provisoires seront prises
selon les hypothèses géotechniques.
 Le terrassement des ouvrages enterrés
Dans le cas où l’Entreprise ne prend pas en compte les terrassements périmétriques dans son métré, ce poste sera
considéré intégré dans le prix unitaire et le prix global et forfaitaire fourni par l’Entreprise.
Ne seront pas inclus dans ces métrés :
 Les terrassements complémentaires découlant de la méthode d’exécution des travaux par l’Entreprise
(Rampes d’accès chantier, ouvrages provisoires de chantier, plate forme de travail,….)
 Le complément de terrassement du au foisonnement des matériaux lors des travaux ou du transport.
Ces paramètres seront directement intégrés dans le poste installation de chantier ou dans les postes de
terrassement s’ils existent.
L'exécution des divers travaux de terrassement prévus au présent devis ne donnera lieu à aucun supplément sur le
prix forfaitaire pour difficultés ou sujétions quelconques provenant de :
 La nature des terrains : Dans le cas de rencontre lors de l'exécution des fouilles de toute nature, de maçonnerie
roche ou béton de quelque nature que ce soit, matériaux gravois, canalisations, débris, de souches d'arbres, il
ne sera jamais alloué de supplément à l'Entrepreneur et ce, quels que soient les moyens mis en œuvre pour
effectuer cette démolition (pics, pioches, poinçons, moyens pneumatiques).

. Page 27 /52
 De l’organisation des travaux : Exécution de certaines parties à la main si cela s'avérait nécessaire à la bonne
exécution des travaux et à la bonne tenue des existants
- Exécution de toutes les rampes d'accès nécessaires aux travaux
- L'exécution en plusieurs passes de terrassements
- Sujétions résultant d'une exécution par petites parties, dans l'embarras des étais ou en terrain mouillé
 La présence de l'eau quelle qu'en soit l'origine : L'Entrepreneur ne pourra prétendre à aucun supplément
sur le prix forfaitaire tant pour les travaux de terrassements proprement dits (fouilles, manutentions et
enlèvement des terres), que pour les frais d'épuisement dans les fouilles et les travaux en résultant
(établissement de puisards ou autres, double transport et location de matériels d'épuisement,
consommation du courant et du carburant etc..).
Il est expressément demandé à l'Entrepreneur :

 De n'entreprendre aucune dépose de canalisations sans en référer auparavant au Maître d'œuvre
 De prendre, en tout état de cause, toutes dispositions de sécurité nécessaires, sa responsabilité
demeurant entière en cas d'accident ou dégâts pouvant survenir du fait de la démolition d'une
canalisation en service
Le déplacement éventuel de canalisations en service est à prévoir dans le prix forfaitaire. Seul, le dévoiement de
canalisations électriques n'est pas à la charge du présent lot.
Les terres à provenir des fouilles, les gravats et les débris d'anciennes maçonneries, matériaux matériels, débris ou
objets rencontrés dans les fouilles, les gravats à provenir des démolitions en superstructure, les broussailles,
arbustes et végétaux et autres débris rencontrés sur le terrain seront enlevés et transportés aux décharges, par
l'Entrepreneur du présent lot.
Il est bien précisé que l'Entrepreneur ne pourra prétendre à aucun supplément pour l'évacuation des déblais, quel
que soit le lieu de décharge, ou pour un refus de stockage sur site.
Le Maître d’œuvre et le Maître d’ouvrage se réservent la possibilité d’utiliser les terres et gravats pour d’éventuels
mouvements de terrain.

. Page 28 /52
2.1.5.3. PRESCRIPTIONS PARTICULIERES POUR LES FONDATIONS
Une campagne de sondage a été réalisée par des géotechniciens. Les rapports sont joint au dossier de
consultation :
 G2 AVP – 20-705-A1 – EGSA BTP – 04/02/2021
 G2 PRO – 20-705-B1 – EGSA BTP – 08/10/2021
Le système de fondation envisagé est de type semelles superficielles. Le taux de travail est variable sur 3 zones
suivant le rapport géotechnique.
Les fondations seront descendues à une profondeur telle que les critères suivants seront respectés au minimum :
 Le taux de travail du sol soit au moins égal à la contrainte de sol retenue dans le rapport géotechnique
 L’assise des fondations est à une hauteur dite « Hors gel » pour la localisation du projet
 Les caractéristiques géométriques répondent aux éléments graphiques du dossier d’exécution de
l’entreprise
 Les couches de terrains traversées ainsi que la couche d’ancrage correspondent aux éléments décrits
dans le rapport géotechnique
 Les tassements différentiels entre ouvrages neufs et ouvrages existants seront compatibles avec les
méthodes de calcul des ouvertures de fissures probables. Les valeurs seront limitées à L/700ème
Si nécessaire, des reconnaissances complémentaires seront faites par et à la charge de l’Entreprise, au fur et à
mesure de l’exécution des fondations et, en aucun cas, l’Entreprise ne sera autorisée à couler les fondations sans
information préalable et dans les délais suffisants du bureau de contrôle et du Maître d’œuvre.
Si le titulaire du lot considère qu’un complément de calculs ou qu’un affinage des hypothèses est nécessaire du
fait de ses travaux ou de sa méthodologie, il devra le prévoir dans son offre sous la forme d’une mission
géotechnique complémentaire de type G3 à sa charge. Le cas échéant, il ne pourra se prévaloir d’un quelconque
retard de travaux ou prestation complémentaire.
L’entrepreneur prendra toutes les précautions pour éviter la contamination du béton par le terrain. La finition du
fond de fouille doit être exécutée juste avant la mise en place du béton de propreté ou des fondations, de telle
sorte que les caractéristiques mécaniques des sols en place ne soient pas altérées.
Une analyse des eaux de la nappe sera exécutée à la charge du présent lot avant tout commencement
d’exécution, faisant ressortir notamment les caractères d’agressivité vis-à-vis des ouvrages construits.
L’Entreprise devra remettre en état la plate forme après exécution des travaux.
2.1.5.4. PRESCRIPTIONS PARTICULIERES POUR LES DALLAGES
Les dallages seront étudiés conformément à la norme NF P11-213 – partie ½. Les essais nécessaires pour le sol
support sont intégrés dans le prix de l’Entreprise.
TRAITEMENT DE SURFACE DES DALLAGES : sauf indications contraires dans le présent CCTP.
Les traitements de surfaces seront conformes au DTU du revêtement associé. Une réception du support par le
poseur de revêtement, en présence du Maître d’œuvre sera exigée. Dans le cas de non-conformité, le prix de
l’Entreprise comprend la réfection de l’ouvrage jusqu’à l’obtention de cette réception intermédiaire.
Les joints de fractionnement du dallage, ainsi que les joints périphériques des poteaux seront remplis au mastic
coulable mono composant type SIKAFLEX 10 MT (polyuréthane

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Il est également bien prévu que les dallages support d’un revêtement considéré comme fragile seront prévus
armés en conséquence suivant les prescriptions règlementaires.
2.1.5.5. PRESCRIPTIONS PARTICULIERES POUR LES OUVRAGES DU GROS OEUVRE

PLANCHERS BETON
Le Maître d'Œuvre a prévu, dans son étude pour la réalisation des divers planchers du bâtiment, les solutions de
base suivantes :
 Plancher béton coulés en place
 Planchers type poutrelles hourdis
Ce type de plancher devra être conformes à la réglementation choisie (usage C.P.T, titre II ou Eurocodes) et
répondre aux exigences de la Réglementation Acoustique.
Les prix comprennent tous les aciers ou éléments pris en compte ou résultant des calculs des ouvrages,
notamment :
 Les aciers de chapeau.
 Les aciers de renforcement éventuels pour stabilité au feu.
 Les aciers de pontage.
 Les aciers de suspentes d’about.
 Les chevêtres nécessaires pour les réservations.
 Les dispositions constructives nécessaires.
 Les aciers complémentaires pour des percements ultérieurs en ∅ 200mm maximum.
 Les dispositions exigées par la partie sismique de la règlementation
Il est bien précisé que les planchers sont considérés comme des diaphragmes participant au contreventement de
l’ouvrage.
L'Entreprise adjudicataire pourra proposer à l'exécution, des solutions équivalentes, à la condition exclusive de
répondre aux critères suivants :
 Présenter un Avis Technique du C.S.T.B. ou être de conception traditionnelle.
 Avoir le degré coupe-feu demandé.
 Satisfaire aux conditions de flèche, d’acoustique et de thermique.
 Permettre l'ancrage des tuyauteries, gaines, chemins de câbles etc. fixés au moyen de tout procédé à
soumettre au Maître d'œuvre.
 Permettre, sans aucune contrainte, le passage des gaines et canalisations.
 Les éventuels isolants devront être munis d’une protection Anti-Rongeur.
Les plans modifiés sont, dans ce cas, à la charge du présent corps d'état.
Le maître d'œuvre et/ou le maître d’ouvrage se réserve le droit de maintenir le projet de base s'il présente plus
d'avantages que les solutions variantes proposées.

. Page 30 /52
En aucun cas, l'Entrepreneur ne pourra prétendre à une plus-value pour une modification d'entraxes, nervures,
chevêtres.
Dans le cas d’utilisation d’éléments précontraints, l’Entrepreneur fournira au Maître d’œuvre et au Bureau de
Contrôle, les plans de calepinage et de préfabrication. Il ne pourra être fait de modification d’élément sans accord
préalable du tenant du système, en particulier, il sera formellement interdit de modifier les aciers en attente ou
d’utiliser des moyens pneumatiques pour créer des réservations.
ELEMENTS EN MACONNERIES
Les éléments de béton manufacturés (agglomérés pleins ou agglomérés creux) devront avoir les dimensions
conformes aux Normes en vigueur.
En conséquence, les dimensions indiquées au présent C.C.T.P. pour ces éléments, sont toujours les dimensions
nominales.
Les maçonneries seront exécutées conformément à la Norme P 10.202.1 (DTU 20.1) et à ses amendements.
En dérogation de l'article 5.2.3.2 de la Norme P 10.202.1-1 et de ces amendements. Les joints verticaux seront
remplis à moins que la brique ne présente un système spécial soumis dont la nature aura été soumise
préalablement et en temps utiles au maître d’œuvre et/ou au bureau de contrôle pour information.
Toutes les maçonneries seront hourdées au mortier avec remplissage des joints verticaux.
La finition sera de type soignée permettant une mise en peinture éventuelle.
Les prix comprendront toutes sujétions pour :
 Raidisseurs d'angles, chaînages, linteaux.
 Hachages de liaison.
 Réservations de feuillures, saignées, trous de scellement, percements et leurs calfeutrements.
 Chaînages verticaux et horizontaux parasismiques exigés par la règlementation sismique.
 Semelles résilientes - épaisseur 1cm pour cloisons d'épaisseur inférieure ou égale à 0.10m.
 Système de blocage en tête, ou système de contreventement
ENDUITS
L'attention de l'Entreprise est tout particulièrement attirée sur les points suivants :
 Les Prescriptions des Normes NF EN 13914-1 et NF P 15.201.2 imposent, pour les enduits traditionnels,
l'exécution des enduits en trois couches : gobetis ou couche d'accrochage, couche intermédiaire, couche
de finition.
 Les enduits non traditionnels seront exécutés conformément aux notices de mise en œuvre des
fabricants.
Le produit utilisé devra obligatoirement posséder un Avis Technique du C.S.T.B. autorisant l'emploi dans les
conditions du chantier. Cet Avis et la notice de mise en œuvre seront soumis préalablement et en temps utiles au
maître d’œuvre et/ou au bureau de contrôle pour information.
Par ailleurs, il est précisé que :
 Quelle que soit la nature de l'enduit, les jonctions entre les parois verticales et plafonds seront réalisées
avec arêtes vives
 Les angles verticaux sortants seront traités avec des baguettes d’angle de type P.V.C.

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3. DESCRIPTION ET LOCALISATION DES OUVRAGES
3.1. PREPARATION ET INSTALLATION DE CHANTIER

3.1.1. INSTALLATIONS DE CHANTIER
Métré : Ens
Nature : l’ensemble de la prestation à prendre en compte est définie au CCTP Lot 00.
3.1.2. CONSTAT D’ÉTAT DES LIEUX

Métré : Ens
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra :
 L’entrepreneur, en présence des représentants du Maître d’Ouvrage et du Maître d’œuvre doit faire
dresser à ses frais par un homme de loi agrée, un constat des lieux. Cette pièce est accompagnée de
toutes photographies, croquis nécessaires attestant de façon visuelle l’état des lieux pour lesquels ces
documents sont jugés utiles.
 Un constat semblable doit être établi pour les voies privées et publiques.
 La convocation aux opérations de constat est adressée par l’homme de Loi en recommandé avec A.R. aux
différentes parties au moins deux semaines avant les opérations. Le texte de la convocation doit être
soumis au Maître d’œuvre avant expédition.
 Le P.V. du constat est diffusé en recommandé avec A.R. à chaque partie 15 jours après les opérations de
constat par l’entrepreneur.
 En fin des travaux, une visite contradictoire aura lieu entre les intervenants.
 Si ces opérations ne sont pas exécutées en temps voulu, toutes réfections ou détériorations susceptibles
d’être commis par le présent lot, sera à la charge du présent lot.
3.1.3. IMPLANTATION
Métré : Ens
 L’implantation générale de l’ouvrage. Cette implantation sera, obligatoirement, effectuée par un
Géomètre Expert. Elle devra être matérialisée sur le terrain par des bornes normalisées en ciment sur
lesquelles sera notée la cote N.G.F. Ces bornes seront, ensuite, protégées et maintenues en état pendant
toute la durée du chantier et ceci, sous la responsabilité exclusive de l'Entreprise.
 L’exécution des traits de niveau dans toutes les pièces dans le cadre du projet :
 Porter à l’extérieur, sur les façades, le niveau + 1.00m fini à chaque niveau, sur des témoins en plâtre ou
par tout autre procédé bien visible, mais n’altérant pas les façades.
 Porter à l’intérieur, sur des murs et cloisons bruts et après l’exécution des enduits, le niveau + 1.00 m fini
au-dessus de tous les planchers, et entretenir ce trait de niveau.

. Page 32 /52
3.1.4. ETUDES ET PLANS D’EXECUTION

Métré : Ensemble
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra l’élaboration des plans d’exécution, soit :
 Les études et les plans d’exécution doivent être établis conformément aux spécifications du présent
C.C.T.P.
 L’entrepreneur est tenu de fournir au Maître d’œuvre et au Bureau de Contrôle, tous les éléments
d’études techniques comprenant les plans de coffrage er de ferraillage à une échelle définie
préalablement avec la Maitrise d’œuvre.
 Pour les prestations d’ouvrages fabriqués dans le commerce, l’entrepreneur devra fournir les fiches
techniques du fabricant et les avis techniques.
 Pendant les travaux les documents seront transmis sous forme de papier, ou sur support informatique
suivant demande de la maîtrise d’œuvre.
 Les frais d’établissement et de transmission de ces documents sont à la charge de l’entreprise.
 Il est stipulé que les plans d’études doivent être établis en collaboration étroite avec les autres
entreprises, avant remise.
 Les plans seront obligatoirement informatisés, réalisés avec le logiciel AUTOCAD, version 2007 au
minimum, ou tout autre logiciel capable de produire des fichiers DXF compatibles AUTOCAD. Le Maître
d’œuvre refusera tout système dont la compatibilité ne serait pas parfaite. Un test sera effectué au
préalable pour agrément.

. Page 33 /52
3.2. DEMOLITION
3.2.1. GENERALITES
Les prix rémunérant les travaux d’exécution des démolitions, comprennent implicitement l’ensemble des
Les travaux de démolitions ne pouvant être décrit précisément, la nature et l’ampleur des travaux seront à
apprécier sur place par l’entrepreneur et par un rapprochement entre les plans existant et les plans projet.
3.2.2. DEMOLITIONS
Métré : Ensemble
Localisation : Selon plans de démolitions architectes
Nature : Les neutralisations des réseaux gaz, électricité, chauffage, téléphone et autres réseaux au droit
des démolitions seront réalisées par les lots techniques.
Prestations à réaliser :
 Démolitions de murs de soutènement, y compris fondations, serrurerie, clôtures, etc…
 Démolitions des murs et murets de clôture, y compris fondations, serrurerie, clôtures, etc…
 Démolition de l’enrobé sur l’emprise du projet
 Démolition de l’ensemble des clôtures, serrureries, portillons, etc…
 Abattage et dessouchage d’arbres
 Evacuation des gravats en décharge
 Y compris toutes sujétions de raccord avec l’existant au droit des démolitions
GESTION DES DECHETS

La gestion des déchets de chantiers du bâtiment sera réalisée conformément au
recommandation N° T 2-2000 du GPEM (Groupe Permanent d’Etudes des Marchés) Travaux et
maîtrise d’œuvre adopté le 22 juin 2000.

. Page 34 /52
3.3. TERRASSEMENT
Les prix rémunérant les travaux d’exécution de terrassement, comprennent implicitement l’ensemble des
3.3.1. TERRASSEMENTS EN PLEINE MASSE

Métré : M3
Localisation : Suivant plans de structure au droit du bâtiment projeté

 Terrassement et évacuation des terres jusqu’à obtention des fonds de formes nécessaires à
l’exécution des ouvrages de gros œuvre tels que définis ci-après.
 L’ensemble des terres issues des terrassements sera à évacuer à la décharge.
 PFT = 96.30 NGF / 96.10 NGF / 95.70 NGF
3.3.2. TERRASSEMENTS PARTICULIERS

Métré : M3
Localisation : Suivant plans de structure et plans des lots techniques
 Les terrassements des ouvrages décrits ci après
 L’ensemble des terres issues des terrassements sera à évacuer à la décharge.
 Terrassements pour :
 Fondations filantes et isolées
 Longrines béton.
 Tranchées pour réseaux suivants :
 Courant forts.
 Courants faibles.
 Téléphone.
 EP.
 EU.
 Cour anglaise
 Gaine de prise d’air frais
 Fosses de relevage EP et EU

. Page 35 /52
3.3.3. EVACUATION DES TERRES

Métré : M3
Localisation : /
Nature : L'ensemble des terres provenant des terrassements sera à évacuer à la décharge
3.3.4. REMBLAIEMENT
Métré : M3
Localisation : Contre les murs de soubassement – coursives extérieures
Nature : Réalisation d'un remblai en tout venant concassé 0/31.5 soigneusement affiné et compacté par
couche de 20cm afin d'éviter tout risque de tassement.
3.4. FONDATIONS
3.4.1. BETON DE PROPRETE

Métré : Ensemble
Localisation : Suivant plans de structure
Nature : l’ensemble de la prestation comprendra :
 Au droit de tous les éléments béton en contact avec le terrain, il sera coulé une galette de béton de 0.05m
minimum d'épaisseur
3.4.2. SEMELLES EN BÉTON ARMÉ FILANTES

Métré : Béton : au m3
Acier HA et Fe E 500: au kg
Remplissage des fouilles en béton armé, de sections indiquées selon plans Structures y compris
coffrage si nécessaire et toutes sujétions de liaison selon les règles parasismiques.
 Y compris attentes pour ouvrages
 Y compris réservations pour passage réseaux, pontage éventuel
3.4.3. SEMELLES ISOLEES

Acier HA et TS Fe E 500 : au kg
Nature : Réalisation de semelles isolées en béton armé
 Mise en place des platines fournies par le lot charpente compris réservations et scellement.

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 Y compris attentes pour ouvrages en élévation

 Y compris réservations pour passage réseaux
3.4.4. LONGRINES ET POUTRES BÉTON

Coffrage type B : au m2
Acier HA et Fe E 500 : au kg
 Réalisation de longrines périphériques et des longrines intérieures en béton armé de
sections indiquées selon plans structures.
 Toutes sujétions de réservations pour passage des réseaux enterrés, pontage éventuel
 Toutes sujétions de liaison selon les règles parasismiques.
3.4.5. SOUBASSEMENT BETON

Acier HA Fe E 500 : au kg
Nature : Réalisation de soubassements en béton armé reposant sur les fondations filantes y compris :
 réservations pour divers passages de réseaux (E.U. – E.P. – E.G.)
 façon de seuils (voir détails menuiseries)
 Réservations ventilation
3.4.6. MUR DE SOUTENEMENT

Acier HA Fe E 500 : au kg
Nature : Réalisation d'un mur de soutènement en béton armé, compris barbacanes et méthodologie de
réalisation.
 Compris les ouvrages de soutènement provisoire et les tenues de terres chantier
 Compris drainage vertical type Enkadrain à l’arrière du mur
3.4.7. TRAITEMENT ANTI TERMITE

Métré : Au m[
Localisation : toute la surface du bâtiment, y compris zones visitables

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 Fourniture et pose d’un film de polyéthylène de haute résistance type TERMIFILM de chez
CECIL ou techniquement équivalent.
 Pose selon prescriptions du fabricant y compris certification CTBA+
 L’entreprise fournira les coupes EXE et l’implantation de ces ouvrages.
3.4.8. COURRETTES ANGLAISES

Métré : A l’unité
Localisation : Suivant plans de structure et plans projet
Nature : Fourniture et mise en œuvre de courette anglaise composé d’un corps et d’une grille en PVC
traitée anti-UV. Coloris au choix de l’Architecte.
3.4.9. PLANCHER HOURDIS ISOLANT

Métré : Au m2
Nature : Mise en place d’un plancher poutrelles en béton précontraint par fils adhérents associés à des
entrevous polystyrène y compris :
 Dalle de compression en béton
 Protection anti-rongeur
 Le plancher devra être titulaire d'un avis technique valide en zone sismique
3.4.10. PLANCHER HOURDIS BETON

Métré : Au m2
Nature : Mise en place d’un plancher poutrelles en béton précontraint par fils adhérents associés à des
entrevous béton y compris :
 Dalle de compression en béton
 Le plancher devra être titulaire d'un avis technique valide en zone sismique
3.4.11. ARASE ETANCHE

Métré : Au ml
Localisation : Suivant plans de structure, au droit des maçonneries du RDC.
Nature : Réalisation d’une arase étanche en béton armé permettant l’assise des maçonnerie à +15cm du
niveau fini extérieur.

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3.4.12. LONGRINES DE REDRESSEMENT

Coffrage type A : au m2
Nature : Réalisation de longrines de redressement en béton armé, compris ancrage de l’équilibrage
 Toutes sujétions de réservations pour passage des réseaux enterrés, pontage éventuel
 Toutes sujétions de liaison selon les règles parasismiques.
3.5. SUPERSTRUCTURE
Les ouvrages du présent chapitre seront estimés en décomposant béton, coffrage, armatures pour chaque poste
principal et en tenant compte de toutes les réservations, feuillures, incorporations diverse (mise en place des
huisseries, cadres, précadres, calfeutrements …) et toutes sujétions de mise en œuvre.
3.5.1. MACONNERIE DE 20CM

Métré : Au m2
Nature : Il sera réalisé une maçonnerie en agglos creux de 20 cm, hourdée au mortier de ciment/chaux
hydraulique dont la résistance minimale à la compression du mortier de pose sera de 5 Mpa y
compris :
 Réservations, feuillures (portes, réseaux de gaines)
 Compris réalisation des chainages, raidisseurs et linteaux béton armé
 Calfeutrements divers (rebouchage en béton après passage des réseaux)
 Pose et scellement des huisseries métalliques ou bois selon le cas
 Calfeutrement béton à réaliser au droit des murs arasés sous les bacs de la couverture
3.5.2. MACONNERIE DE PIERRE MASSIVE

Métré : Au m2
Nature : La pierre utilisée sera de type massive appareillée, à joints minces et devra être conforme à la
norme NF EN 771-6. Elle sera de type Pierre de Vers.
Caractéristiques des pierres :

 Capillarité : C1 = 192.6 et C2= 245
 Masse volumique moyenne : 1700 à 1770 kg/m3
 Porosité : 34.8% à 37.1% maximum
 Résistance à la compression : 6.3 Mpa
 Dimension : 35 cm suivant détails architecte

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Ces caractéristiques devront être justifiées par essais ou PV
Qualité d’aspect :
Les pierres seront débitées en carrière dans une qualité pouvant présenter des poches ou modules d’argile
d’une dimension n’excédant pas quinze centimètres dans leur plus grande dimension. Les faces seront
parallèles, régulières et resteront brut de sciage. Les arêtes seront rectilignes et régulières. En règle générale, les
murs et les piliers auront une précision de plus ou moins un centimètre pour les dimensions et l’équerrage.
Certains ouvrages particuliers demanderont une précision supérieure pour des raisons d’alignement ou de
contrainte de compression, et feront l’objet d’un traitement spécifique au cas par cas. La teneur en fines des
poussières de pierre doit être justifiée.
Identification :
Chaque élément sera identifié et marqué conformément aux prescriptions des DTU et fera l’objet d’une
réception sur l’aire de stockage.
Echantillon :
Préalablement à la notification du marché, l’échantillon contractuel sera celui accepté par le Maître
d’œuvre. Il sera réalisé dans les conditions définies dans les DTU.
Ragréages et rebouchages :
Les pierres sont livrées brutes de sciage et destinées à rester apparentes sans reprises. Cependant, les ragréages
et rebouchage éventuels des éléments en pierre et en général toutes les finitions à exécuter sur de la pierre, seront
faites au mortier (1/3 volume en chaux aérienne, et 2/3 de volume de poussière de pierre). Les dosages des
produits et leur mise en œuvre devront faire l'objet de test et d'essais avant mise en œuvre. Ces travaux seront
exécutés suivant les instructions du Maître d'Œuvre, notamment en ce qui concerne la nature et la qualité des
produits utilisés et leur mode de mise en œuvre.

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Joints :
Les joints de pierre seront réalisés au mortier de composition adaptée La fluidité sera telle que tous les vides
seront remplis. Tous les joints restant apparents seront réalisées au mortier (1/3 volume en chaux aérienne, et 2/3
de volume de poussière de pierre). La teinte et la granulométrie du mortier seront déterminées après une
étude sur échantillons afin de se rapprocher au plus près de la teinte naturelle de la pierre.
Scellements et raccords :
Les scellements seront exécutés au mortier bâtard de composition adaptée à la pierre et de telle façon que la
cavité ménagée à cet effet soit entièrement garnie à refus.
Sujétions particulières :
Au titre du présent article, prévoir toutes sujétions de fourniture et mise en œuvre suivantes :
 Sujétions de pose pour réalisation de claustras.
 Sujétion de découpe et engravure de la pierre et réalisation des éléments structurels tel que
chaînages, raidisseurs, linteaux, relevés béton, acrotère,…
 Compris réalisation des chainages, raidisseurs et linteaux béton armé
 Sujétion de découpe et engravure de la pierre pour encastrements de poteaux en béton armé
 Prévoir réservations pour menuiseries intérieures et extérieures
 Prévoir au titre du présent article, la fourniture et pose d’une pièce métallique formant solin au droit
de la jonction entre les murs en pierre massive et les murs en maçonnerie
 Retrait en soubassement de 10cm
 Manutention et transport soigné
 Protection des murs contre les salissures en cours de chantier
 Application d'un produit minéralisant sous avis technique
 Application d’un traitement anti-graffiti incolore sur les murs donnant sur le domaine public
3.5.3. POUTRES ET CONSOLES EN BÉTON

 Il sera réalisé des poutres, consoles en béton armé, sections, selon le cas, indiquées sur les plans
structures, y compris toutes sujétions particulières
 Incorporation de fourreaux de diamètre 50mm disposés en partie centrale et sous dalle (nombre 3
par poutre)
 Y compris renforts pour réservations éventuelles et considérations de flèche fragile
 Toutes sujétions de liaison selon les règles parasismiques

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3.5.4. PLANCHER BÉTON

 Exécution d’un plancher béton coulé en place
 Toutes sujétions de réservations, décaissés, chevêtres, renforts complémentaires, bandes noyées,
suspentes, grecques de couture.
 Les aciers permettant d’obtenir des planchers diaphragmes.
 Finition : lissée mécaniquement (passage de l’hélicoptère) ou suivant revêtement
 Réservations pour équipements, passage cables, trémies diverses
 Réservations pour équipement (éclairage alimentations électrique etc.)
 Coupe feu du plancher suivant CCTP0. Les enrobages et aciers des dalles béton, seront conformes au
degré coupe feu demandé.
3.5.5. PLANCHER BETON EN CONSOLE

Nature : Exécution d'un plancher coulé en place, épaisseur selon plans de structure
 Y compris forme de pente, goutte d'eau éventuelle
 Y compris équilibrage de l’ouvrage et traitement des flèches fragiles
3.5.6. RELEVÉ D’ACROTÈRE BÉTON

Localisation : Suivant plans de structure, sur périmètre bâtiment, au droit des JD et trémies
Réalisation d’un relevé en béton y compris façon d’engravure et toutes sujétions de liaison au
droit des structures béton des voiles pour support relevé d’étanchéité.
 Prise en compte des % minimaux d’armatures suivant DTU en vigueur
 Fractionnement suivant DTU en vigueur

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3.5.7. CHAINAGES HORIZONTAUX ET VERTICAUX

Métré : Au ml
Localisation : 1. Horizontaux : Au droit de la totalité de l'ensemble des planchers
2. Verticaux : Au droit de l'ensemble des voiles extérieurs et intérieurs y compris jonction aux
angles
Nature : Il sera réalisé des chaînages verticaux et horizontaux en béton armé.
 Y compris renfort type poteaux noyés au droit des appuis de poutre particulièrement
chargés.
3.5.8. LINTEAUX BETON

Acier H.A. Fe E 500 : au kg
Nature : Réalisation de linteaux en béton armé au droit des ouvertures
3.5.9. POTEAUX BÉTON

 Réalisation de poteaux en béton armé de sections indiquées selon plan structure
 Y compris toutes sujétions de liaisons aux poutres et ouvrages béton divers.
 Il sera prévu des ratios d’aciers en convenance avec certains poteaux particulièrement
élancés.
3.6. OUVRAGES DIVERS
3.6.1. SOCLES BETON

Métré : A l'unité
Localisation : Selon plans techniques
Nature : Réalisation de socle en béton y compris : mise en place d'un matériau résilient de 60mm
d'épaisseur

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3.6.2. ENDUIT SUR MACONNERIE

Métré : Au m2
Localisation : Selon plans architecte ;
Ensemble des murs agglos intérieurs des locaux techniques
Ensemble des maçonnerie extérieures sous bardage.
Ensemble des maçonneries extérieures (Local PAC, escalier, rampe…)
 Préparation des supports : gobetis ou couche d'accrochage
 Application d’un enduit à la chaux, finition taloché fin, teinte au choix de l’Architecte.
Epaisseur totale minimale de l’enduit 15 mm
3.6.3. REBOUCHAGE DES TREMIES PLANCHERS ET PERCEMENTS MURS

Métré : Ensemble
Localisation : Selon plans de réservations des plans techniques et structure
 Planchers
 Murs en élévation
 Gaines techniques (plancher)
Nature : Après la mise en place des réseaux techniques et autres équipements, le présent lot rebouchera
l'ensemble des réservations
Le calfeutrement sera réalisé en béton et devra respecter l'intégralité du coupe-feu ainsi que
celui du phonique
3.6.4. TRAITEMENT DES JOINTS DE DILATATION COUPE-FEU

Métré : Au ml
Nature : Mise en place d’une bande de fibres minérales guipées dans une résille réfractaire au droit de
l’épaisseur des voiles béton
 Référence « JOINTOFEU » de chez COUVRANEUF
 Pose suivant Recommandations et Avis Techniques du fabricant
3.6.5. TRAITEMENT DES JOINTS DE DILATATION VERTICAUX

Métré : Au ml
Localisation : Pour tous les joints de dilatation verticaux extérieurs, intérieurs et en sol
Nature : Joints réalisés au moyen d'élastomère de 1ère catégorie type Polysulfure épaisseur égale à la
largeur du joint – application au pistolet à extrusion y compris :
 mousse en fond de joint
 préparation du support
 primaire d'accrochage éventuel

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 les fermetures et protections des joints de dilatation en fibres minérales doivent être
réalisées au moyen de feuilles PVC chargées au Baryum dont la masse surfacique est de 8
kg/m[. feuilles de matériau décrit ci-dessus doivent être collées de chaque côté du joint de
part et d’autre de la paroi avec une fixation par cornières ou équivalent
3.6.6. SEUILS – APPUIS DE BAIES

Métré : Au ml
1/- Appuis de baies
Réalisation des appuis de baies en béton armé, ancrés dans les murs existants exécutés avant
la pose des menuiseries y compris :
 Façon de rejingot et larmier
 Chape lissée sur le dessus
2/-Seuils de portes
Réalisation des seuils de portes en béton armé ancrés dans les murs existants exécutés avant la
pose des menuiseries y compris :
 Façon de rejingot
 Chape lissée sur le dessus
3.6.7. DRESSAGE ENCADREMENT D’OUVERTURES

Métré : Au ml
Localisation : Au droit des maçonneries extérieures et intérieure – Châssis du lot cuisine
Nature : Avant la pose des menuiseries de façades, le présent lot réalisera un enduit au mortier de
ciment sur une largeur de 20cm et en périmétrie de l’encadrement.
Cet enduit sera parfaitement dressé et la finition sera lissée pour permettre la pose rectiligne
des châssis.
3.6.8. RAMPE BETON INTERIEUR

Métré : Ensemble
Localisation : Suivant plans de structure – Au droit du local PAC
Nature : Réalisation de rampes béton armé comprenant rampes et paliers, renforts noyés. Y compris
toutes sujétions suivant réglementation PMR.
Finition : béton balayé

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3.6.9. EMMARCHEMENTS BETON EXTERIEUR

Métré : Ensemble
Localisation : Suivant plans de structure et détails architecte
Au droit de la terrasse
Accès coursive
Nature : Réalisation d’emmarchement béton armé comprenant marche, contre marche et paillasse,
renforts noyés, nez de marches anti décapants. La première et dernière contre marche seront
contrastée. Y compris toutes sujétions suivant réglementation PMR. Les marches seront
légèrement pentée vers l’extérieur pour éviter les stagnations d’eau.
Y compris fourniture et pose de bandes d’appel à la vigilance par clous inox de teinte noire
Finition : béton brut
3.6.10. DALLAGE BETON

Métré : au m[
Position : Selon plans structure
Nature : L'ensemble de la prestation comprendra :
a. Couche préliminaire :
- Mise en place d’une couche de glissement d’une épaisseur de 2cm en sable.
- Mise en place d’une couche de réglage d’une épaisseur de 5 cm en concassé 0/20.
- Mise en place d’une forme de 0.40m en matériaux granulaires de classe D2 selon le GTR, soigneusement arasé
avec interposition d’un non-tissé, compactés à 95% de l’OPM. Les valeurs minimales : Ks>50Mpa/m EV2 / EV1<2.0
quantité 1
b. Dallage :
- Réalisation d'un dallage en béton non armé au sens du DTU 13.3 de 13 cm d'épaisseur minimum, suivant
calculs et rapport étude de sols.
c. Sujétions particulières du dallage :

Réalisation de bèches hors gel périphériques.
Les armatures constituant le dallage pourront être soit des fibres métalliques (avec justification par le calcul et
avis technique en cours de validité), soit par des armatures type HA. La condition de non-fragilité des éléments en
traction sera appliquée.
Y compris réservation 2.5cm environ pour tapis entrée show-room.
Prise en compte des prescriptions de la G2 pour compactage.
d. Joints :
De retrait : suivant DTU.
De construction : pas besoin, vu la surface
De dilatation : pas besoin, vu les dimensions
e. Sujétions particulières des joints :

Position :
Un joint sec sera présent à l’interface des dallage/voiles, qui sera garni.
Description :
Tous les joints seront garnis de résine élastique présentant 300 à 400% d’allongement à la rupture, et durable

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dans le temps.
f. Finition du dallage : La finition du dallage sera béton désactivé idem 3.7.12
g. Réception du dallage : cf prescriptions particulières
3.6.11. DALLE PORTEE EXTERIEURE
Métré : Au m2
Localisation : Suivant plans de structure – Coursives extérieure
Nature : Exécution d'une dalle portée en béton armé, épaisseur selon plans de Structure.
 Y compris toutes sujétions de réservations, chevêtres, renforts complémentaires, chapeaux,
coutures, suspentes, …
 Coffrage terre foisonnée
 Finition selon plan Architecte (désactivé idem 3.7.12 ou balayé selon position)
 Y compris traitement des joints de dilatation et couvre joint circulable
3.6.12. CHAPE DE BETON DESACTIVE

Métré : Au m[
Position : zone terrasse
Nature : Coulage d’une chape en béton désactivé, épaisseur suivant niveaux
 La fourniture de 3 planches d’essai 1.00 x 1.00m de béton désactivé pour choix du maître de
l’architecte
 La fourniture, le transport à pied d'œuvre et la mise en œuvre de béton une épaisseur de
0,08 m mini selon prescriptions suivantes :
 Gravillons concassé granulat et couleur au choix de l’architecte
 Liant avec ciment blanc (type « PASTEL D10 FS » ou équivalent) : ciment de type
CEM II / A-LL 42.5 N BLANC PM-CP2 NF ou similaire
 La confection de joints de dilatation tous les 4 ML y compris coffrages longitudinaux et
réservations éventuelles
 La fourniture et l’application du désactivant, le lavage au jet haute pression (120 bars mini),
ainsi que le recueil et l’évacuation à la décharge de l’intégralité des produits de lavage
 La fourniture et mise en œuvre de béton avec fibres synthétiques
 Toutes sujétions de finition, protection des abords et nettoiement
 Y compris réalisation des formes de pentes
3.6.13. SOUCHES DE VENTILATION

Métré : U
Localisation : Suivant plans de structure – Local PAC
Nature : Réalisation d’un édicule en béton armé comprenant :
 Relevés béton armé

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 Poteaux béton armés

 Plancher béton
 Y compris toutes sujétions de réservations pour la mise en œuvre des grilles de ventilation
3.6.14. VOIRIE EN ENROBE

Métré : Au m[
Position : Suivant plan d’aménagements extérieurs architecte et plan de structure
 L’ensemble des terrassements en déblais et remblais pour la couche de fondation

 La réalisation d’une couche de forme en GNT 0/31.5 de 40cm mini soigneusement
compactée et réceptionnée par essai de plaque
 La fourniture à pied d’œuvre et mise en œuvre de BBSG 0/10 sur une épaisseur de 6 cm
selon provenance et modalités de mise en œuvre.
 Y compris fourniture te mise lace de bordure béton suivant plans et détails architecte
3.6.15. ESPACES VERTS

Métré : Au m[
Position : Suivant plan d’aménagements extérieurs architecte
Les prestations attendues comprennent la fourniture et plantation avec racines en motte, compris plantation
avec amendements et garantie de reprise. Espèces au choix du maître d’œuvre. Y compris la réalisation des fosses
comprenant :
 L’incorporation d’engrais, terreaux et apports de terres spécifiques compatibles en
agriculture biologique
 Le remplissage des fosses avec le matériau précédemment cité.
 Y compris paillage suivant détail architecte : Paillage gravillon concassé / Paillage écorce
bois type BRF / Gros gravillons GNT 20/40
3.6.16. IRRIGATION ARROSAGE

Métré : Ensemble
Position : Suivant plan d’aménagements extérieurs architecte
La fourniture, la pose et la programmation d’un système d’arrosage goutte à goutte, y compris :
 Raccordements au réseau primaires

 Fourniture et pose des réseaux goutteurs

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 Fourniture et pose de la robinetterie

 Fourniture et pose de systèmes complets en regard comprenant : électrovanne,
programmateur, réducteur de pression… Leur nombre devra être précisé dans l’offre et
justifié.
 Fourniture et programmation d’une centrale de programmation.
3.6.17. SCELLEMENTS DES BORNES BASSES LEDS

Métré : U
Position : Selon plans elec
 Terrassements particuliers nécessaires
 Réalisation d’un socle béton armé, y compris toutes sujétions de pré-scellements fournis
par le lot Electricité.
3.6.18. REMISE A LA COTE D’OUVRAGES DIVERS

Métré : Ensemble
Position : Selon plans architecte et plan topo – le long des rampes créées
Nature : La prestation comprend :
 Les prestations comprennent les sujétions de mise à la cote d’ouvrages divers (chambres de
tirage, regards EP EU,..).
 Seront inclus la fourniture neuve d’une proportion d’ouvrages endommagés (20 %).
 Y compris toutes sujétions de déplacements éventuels de regards au droits des fondations
des rampes et coursives.
3.6.19. COFFRETS CONCESSIONNAIRES

Métré : Ensemble
Localisation : Suivant plan architecte
Nature : Le présent lot doit la fourniture et la pose des coffrets et enveloppes béton
Ils sont intégrés à la maçonnerie. Une protection d'une épaisseur minimale de 10cm devra exister au dos du
coffret (se conformer aux exigences de E.D.F).
3.6.20. ETANCHEITE ENTERREE

Métré : m[
Localisation : Suivant plan architecte - Zone cuisine et bâtiment existant
Réalisation d’une étanchéité sur l’ensemble des murs enterrés comprenant une émulsion à chaud et une
chape bitumée auto protégée fixée en tête par plinthe aluminium anodisé.
L’étanchéité recouvrera intégralement la forme de cunette le retour de fondation
Protection mécanique de cette étanchéité assurée par onduline goudronnée maintenue en place par plots de

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colle. Solins de protection en aluminium anodisé formant plinthe de 15 cm pour protection en tête de
l’étanchéité, la plinthe recouvrera la protection onduline et sera mis en œuvre à 15 cm au dessus du niveau des
espaces extérieurs.
Y compris toutes sujétion d’exécution suivant prescriptions du fabricant.
Y compris réalisation d’un enduit de support sur les parties existantes.
3.6.21. REPRISE DE TROTTOIR EN FIN DE TRAVAUX

Métré : Ensemble
Localisation : Suivant méthodologie entreprise
L’entrepreneur doit, en fin de travaux la remise en état du trottoir périphérique dans
son état d’origine ou définitif, y compris enlèvement de tous les gravats et déchets de matériaux de toute
natures.
3.7. PRESTATIONS SUPPLEMENTAIRES EVENTUELLES
3.7.1. CREATION D’UNE GAINE ASCENSEUR
Métré : Ensemble
Position : Selon plans architecte
 L’ensemble des terrassements en déblais et remblais nécessaire
 Réalisation d’un cuvette ascenseur comprenant voiles et radier en béton armé, épaisseur
selon plans Structure y compris étanchéité type cuvelage remontée jusqu'au niveau du RdC.
 Contre-dalle en béton armé
 Elévation en agglos creux, compris chainages et raidisseurs
 Edicule ascenseur
 Création d’une casquette en dalle BA avec acrotères
 Réalisation d’enduit à la chaux
 Y compris fourreaux d’alimentation
 Y compris toutes sujétions de réservations, feuillures… suivant demandes ascensoriste.
 Y compris toutes sujétions suivant plans architectes.

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3.8. ANNEXE/ RATIOS PREVISIONNELS D’ACIERS

Les éléments suivant ne sont pas contractuels, et ne sauraient se substituer à une étude d’exécution règlementaire. Ils
sont principalement destinés à affiner l’estimation du titulaire du lot concerné.
DESIGNATION HA Fe E500 TS HA Fe E500
ELEMENTS DE FONDATIONS
Longrines et soubassements béton 170 kgs/m3
Bêche 5 kgs/ml
Semelle béton armé filantes et isolées 70 kg/m3
Chainages parasismiques 5 kg/ml
Mur de soutènement (compris patins) 100 kgs/m3
Dallage béton non armé 2.5 kgs/m[
Cuvette ascenseur (L<3m) 90 kgs/m3
ELEMENTS HORIZONTAUX
Poutre béton 200 kgs/m3
Acrotère béton – relevés – joint de dilatation 100 kgs/m3
Dalle portée 2 kg/m[ 13 kg/m[
Dalle casquette exposée 25 kg/m[
Plancher béton 20 kgs/m[
Bande noyées 250 kgs/m3
ELEMENTS VERTICAUX
Poteaux béton 140 kgs/m3
ELEMENTS DE RENFORT/RACCORD
Renforcement de chainage au droit des joints 5 kgs/ml
Chainages horizontaux ouvertures 5 kgs/ml
Chainages horizontaux courants (CH) 5 kgs/ml
Chainages verticaux courants (CV) 5 kgs/ml
Chainages niveau terrasse (CHT) 5 kgs/ml
OUVRAGES DIVERS
Socles béton pour divers équipements techniques 2,5 kgs /m2
Fosses, regards, caniveaux béton 85 kgs/m3

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HYPOTHESES
Normes et règlements en vigueur (EC/AN/EN)
Béton avec fck de 30 MPA
Ratios pour des éléments non préfabriqués :
- non compris acier de montage, de levage
- non compris aciers de chantier (liaison, reprise de bétonnage
etc.….)
- non compris recouvrements et chutes

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CCTP PHASE DCE

LOT 02 - ETANCHEITE
Date Approuvé
par
01 S. KNAFEL 14/09/21 MAJ remarques architecte G. AMALVY G. AMALVY
CCTP_LOT_02_ETANC Page 1 sur 21

LOT 02 ETANCHEITE / ind 1
SOMMAIRE
Pages
1. GENERALITES................................................................................................................................ 3
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT ETANCHEITE 4
2.1.4. SPECIFICATIONS RELATIVES AUX OUVRAGES, MATERIAUX ET MATERIELS 6
3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES ................................................................................ 13

3.1. INSTALLATION DE CHANTIER 13
3.2. ETANCHEITE DES PARTIES ENTERREES 14
3.3. ETANCHEITE SOUS GRAVILLONS SUR TOITURE TERRASSE 14
3.3.1. COMPLEXE D’ETANCHEITE COURANT 14
3.3.2. RELEVES SUR ACROTERES : 15
3.3.3. PROTECTIONS DES RELEVES 15
3.3.4. ENTREES D’EAU PLUVIALE (EEP) VERTICALE 15
3.3.5. CROSSES 15
3.4. ETANCHEITE LIQUIDE D’AUVENT 15

3.4.1. PREPARATION DU SUPPORT 16
3.4.2. ETANCHEITE 16
3.5. ETANCHEITE DALLES SUR PLOTS SUR TOITURE TERRASSE EN MAÇONNERIE 16

3.5.1. COMPLEXE D’ETANCHEITE COURANT 16
3.5.2. RELEVES SUR ACROTERES : 17
3.5.3. PROTECTIONS DES RELEVES 17
3.6. JOINTS DE DILATATION 17

3.7. ECHELLE D'ACCES EN TOITURE 18
3.8. MOIGNONS EP 18
3.9. TROP PLEIN EP 18
3.10. DESCENTES EP 19
3.11. LANTERNAU D'ACCES A LA TOITURE DE DIMENSIONS 100X100 CM 19
3.12. TRAVERSES DE TOITURE ET TREMIES POUR EQUIPEMENT 20
3.13. PROTECTIONS DES ACROTERES 20
3.14. GARDE-CORPS 20
3.15. OPTION : PSE N°2 : ETANCHEITE SOUS GRAVILLONS SUR TOITURE TERRASSE 21
Page 2/21
1. GENERALITES

au titre du lot n°02 – ETANCHEITE dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur
proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en

▪ Dispositions générales du projet :
 Caractère forfaitaire des prix
 Missions
 Ordonnancement des travaux
 Réseaux existants
▪ Données de base :
 Sécurité et protection incendie
 Données relatives au site
 Performances techniques
 Charges
▪ Etudes d’exécution
▪ Conditions d’exécution des travaux
▪ Dépenses d’intérêt commun – Compte prorata
▪ Interfaces générales entre corps d’état
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT ETANCHEITE

Le présent document a trait aux travaux à exécuter en concordance avec les plans architecte, les plans de
structure ainsi que les plans techniques des autres lots, et ne présente aucun caractère limitatif. Les Entreprises
devront exécuter, comme étant compris dans leur forfait, sans exception ni réserve, tous les travaux de leur
profession indispensables au parfait achèvement des ouvrages, et ce, quelles que soient les quantités d'ouvrages
qu'elles auront énoncées dans leurs offres.
L'entrepreneur adjudicataire du présent lot devra à minima:
▪ Toutes les installations, de quelque nature que ce soit, nécessaires à l'exécution des ouvrages (platelages,
échafaudages, planchers de travail, etc.), leur montage, leur pose et dépose,
▪ Les études, plans d'atelier et de détails, nécessaires à la réalisation des ouvrages,
▪ Le transport, chargement, déchargement et toutes manutentions nécessaires pour mise à pied d'œuvre,
▪ Les calculs des ouvrages d'évacuation des eaux pluviales,
▪ La fourniture et la pose de toutes cales ou formes de pente accessoires si nécessaire,
▪ L'exécution des solins et calfeutrements,
▪ L'exécution des abouts de rives si le type de couverture l'exige
▪ La vérification des supports exécutés par le maçon ou le charpentier, avec en cas de désaccord, consignation
en P.V. par l'architecte, avant tout commencement d'exécution (en aucun cas en cours ou après travaux).
▪ La protection des ouvrages après leur exécution quand cela est nécessaire,
▪ Les ouvrages divers et notamment les ouvrages de sécurité,
▪ Les remises en état éventuelles d'ouvrages ou parties d'ouvrages ayant subi des détériorations,
▪ Le nettoyage de tous les ouvrages du lot,
▪ L'enlèvement des gravois consécutifs à leur mise en œuvre,
▪ L'enlèvement des dispositifs de protection temporaire,
▪ Le nettoyage après exécution.
L'entrepreneur adjudicataire du présent lot devra prévoir selon le type de terrasse:
1 / TRAVAUX D'ÉTANCHÉITÉ DES TOITURES-TERRASSES AVEC ÉLÉMENTS PORTEURS EN MAÇONNERIE

Ouvrages, appliqués sur les éléments porteurs en maçonnerie définis dans le DTU n° 20.12 , comprenant :
▪ la fourniture et la mise en œuvre des panneaux isolants non porteurs :
 soit en support d'étanchéité y compris le dispositif faisant obstacle au transfert de vapeur d'eau ;
 soit directement sur l'étanchéité (technique de toiture inversée).
▪ la fourniture et la mise en œuvre des matériaux de revêtement d'étanchéité en parties courantes, relevés,
retombées, chêneaux et caniveaux définis au Cahier des Clauses Techniques, y compris les bandes de pontage.
▪ la fourniture et la mise en œuvre des entrées d'eaux pluviales (platines, moignons, crapaudines, galeries garde-
grève) et des trop-pleins ;
▪ la fourniture et la mise en œuvre des crosses de passage de fils d'antennes, des platines et manchons de
raccordement d'étanchéité des pénétrations diverses (tuyau de ventilation, etc.).
▪ la fourniture et la mise en œuvre des collerettes de tuyaux de ventilation de chute.
▪ la fourniture et la mise en œuvre des bandes métalliques insérées ou reliées au dispositif d'étanchéité.
▪ la fourniture et la mise en œuvre des protections lourdes meubles ou dures ou par dalles sur plots, y compris
les diverses sous-couches éventuelles.
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▪ la fourniture et la mise en œuvre de la couche drainante et de la couche filtrante sur toiture-terrasse-jardin.

▪ la fourniture et la pose des dispositifs d'éclairement (lanterneaux avec leurs costières préfabriquées, vitrages,
etc.) et des dispositifs d'accès en toiture et de désenfumage.
▪ la fourniture et la pose des couvertines sur acrotères ou dessus de murs.
▪ la mise hors d'eau provisoire au droit des points singuliers (trémies, etc.).
▪ la fourniture et la mise en œuvre des regards situés au droit des entrées d'eaux pluviales ainsi que des
ouvrages de protections des joints de dilatation des toitures-terrasses-jardins.
▪ la fourniture et la pose d’ emmarchements éventuels pour passer au-dessus des joints de dilatation
▪ la fourniture et la pose de bandes de solins métalliques.
▪ La réalisation des ouvrages en maçonnerie (formes de pentes, réalisation des réservations des joints
d'acrotères, besaces, dés en maçonnerie, socles, massifs, réservations pour passage des EEP..., calfeutrement
des réservations).
▪ la mise hors d'eau provisoire des ouvrages.
▪ la protection provisoire du revêtement d'étanchéité (platelages) rendue indispensable pour l'exécution de
travaux d'autres corps d'état.
▪ La fourniture et la mise en œuvre des canalisations (descentes d'eaux pluviales, tuyaux de ventilation, etc.) et
de leur raccordement au moignon, ainsi que la fourniture et la pose du jointoiement entre moignon et
canalisation, la fourniture et pose de boites à eau.
▪ la fourniture et la mise en œuvre des fourreaux métalliques solidaires du gros œuvre.
▪ la fourniture et la pose d’ouvrages de sécurité (ligne de vie, potelets d’accrochage, barres pose échelle,…)
▪ la fourniture et la mise en œuvre des contre-collerettes
▪ la fourniture et la mise en œuvre des ouvrages en maçonnerie destinés à la protection de l'étanchéité
▪ la fourniture et la mise en œuvre des ouvrages en maçonnerie destinés à la protection des rampes.
▪ la fourniture et la mise en œuvre des chemins de circulation des appareils de nettoyage en façade.
▪ les essais d’étanchéité

En plus des documents prévus au CCTP lot 00, l’Entrepreneur devra fournir :
▪ Les notes de calcul de dimensionnement des entrées d’eau pluviales (EEP)
▪ Les notes de calcul et évaluation des charges et surcharges transmises sur les éléments porteurs
▪ Les notes de dimensionnement des EEP dans le cas des toitures destinées à la rétention temporaire des eaux
pluviales.

2.1.3.1. DOCUMENTS DE BASE – REGLES DE CALCUL
Voir CCTP lot 00.
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2.1.3.2. HYPOTHESES SPECIFIQUES

Charges à prendre en compte sur les complexes d’étanchéité
Charges fixes : Complexe d’étanchéité avec protection lourde : 150 daN/m²
Matériel sur terrasse Voir plans techniques
Charges d’exploitation : terrasse inaccessible 100 daN/m²

Terrasse technique 150 daN/m²
Contraintes climatiques
Voir CCTP LOT 00
Contraintes thermiques
Voir CCTP LOT00

Tous matériaux, matériels et fournitures utilisés, pour l'exécution des travaux ainsi que les caractéristiques ou
usines de production proposées par l'Entrepreneur, devront être soumis au Maître d'Oeuvre pour acceptation
avant l'emploi.
Tous les complexes et systèmes élastomères devant être mis en œuvre devront bénéficier d'un Avis Technique
justifiant qu'ils sont admis à l'emploi prévu.
Dans le présent document ci-après, sont décrits des complexes systèmes SOPREMA ou produit techniquement
équivalent bénéficiant d'un Avis technique.
L'Entrepreneur pourra toujours proposer à l'agrément du Maître d'œuvre des complexes et systèmes d'autres
marques, sous réserve qu'ils soient équivalents et qu'ils bénéficient des Avis techniques voulus.
2.1.4.1. ISOLATION THERMIQUE

COEFFICIENT DE TRANSMISSION DES PAROIS
Les valeurs U en W/m2/°C seront conformes aux valeurs fixées par la réglementation thermique 2012 (RT 2012)
Ces matériaux devront bénéficier d'un Avis Technique ou d'un Document Technique d'Application spécifiant qu'ils
sont admis pour le type de toiture et le système d'étanchéité concernés.
2.1.4.2. PARE-VAPEUR SUR TOITURE TERRASSE AVEC ELEMENTS PORTEURS EN MACONNERIE

2.1.4.2.1 ENDUIT D'IMPREGNATION A FROID (EIF)
La teneur en bitume doit être égale ou supérieure à 40 %.
2.1.4.2.2 ENDUIT D'APPLICATION A CHAUD (EAC)

L'enduit d'application à chaud est à base de bitume oxydé pouvant contenir une certaine proportion de fines ne
dépassant pas 30 % de la masse totale.
Le point de ramollissement Bille et Anneau nominal selon la norme doit être égal ou supérieur à 100 ° C.
La pénétration à 25 ° selon la norme doit être comprise entre 25 dixièmes de millimètre et 45 dixièmes de
millimètre.
La perte de masse au chauffage à 163 °C pendant 5 h selon la norme doit être inférieure à 0,5 %.
L'enduit d'application à chaud (EAC) est une couche de matériau contenant une masse moyenne de bitume pur de
1,2 kg/m² et de masse minimale de bitume pur 1 kg/m².
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2.1.4.2.3 FEUILLES PREFABRIQUEES POUR PARE-VAPEUR

▪ Bitume modifié par élastomère SBS (BE 25 VV 50) conforme aux spécifications indiquées dans un Avis
Technique ou un Document Technique d'Application de revêtement d'étanchéité bicouche bitume SBS.
▪ Feuille de bitume élastomérique 35 Alu conforme aux spécifications indiquées dans un Avis Technique ou un
Document Technique d'Application de revêtement d'étanchéité bicouche bitume SBS.
▪ Feuille de bitume élastomère BE 35 pour relevés conforme aux spécifications indiquées dans l'Avis Technique
ou le Document Technique d'Application du revêtement d'étanchéité considéré.
▪ Aluminium bitumé conforme à la norme.
2.1.4.2.4 FEUILLES PREFABRIQUEES POUR COUCHE DE DIFFUSION DE VAPEUR

▪ Feutre bitumé perforé conforme à la norme
▪ Ecran perforé conforme aux spécifications indiquées dans un Avis Technique ou un Document Technique
d'Application de revêtement d'étanchéité bicouche bitume SBS.
2.1.4.3. ETANCHEITE
2.1.4.3.1 ENDUIT D'IMPREGNATION A FROID (EIF)
La teneur en bitume doit être égale ou supérieure à 40 %.
2.1.4.3.2 ENDUIT D'APPLICATION A CHAUD (EAC)

L'enduit d'application à chaud est à base de bitume oxydé pouvant contenir une certaine proportion de fines ne
dépassant pas 30 % de la masse totale.
Le point de ramollissement Bille et Anneau nominal selon la norme doit être égal ou supérieur à 100 ° C.
La pénétration à 25 °selon la norme doit être comprise entre 25 dixièmes de millimètre et 45 dixièmes de
millimètre.
La perte de masse au chauffage à 163 °C pendant 5 h selon la norme doit être inférieure à 0,5 %.
L'enduit d'application à chaud (EAC) est une couche de matériau contenant une masse moyenne de bitume pur de
1,2 kg/m² et de masse minimale de bitume pur 1 kg/m².
2.1.4.3.3 FEUILLES DE BITUME MODIFIE PAR ELASTOMERE SBS

Les feuilles et les revêtements relevant de la norme sont conformes aux spécifications indiquées dans les Avis
Techniques ou Documents d'application du revêtement d'étanchéité considéré.
2.1.4.3.4 FEUILLES PREFABRIQUEES POUR EQUERRES DE RENFORT, RELEVES, RETOMBEES, CHENEAUX, CANIVEAUX,
ESCALIERS, GRADINS, RESSAUTS, POUTRES SAILLANTES
de renfort en feuille de bitume SBS type BE 35 pour première couche de revêtement ou pare-vapeur sera
conforme aux spécifications indiquées dans l'Avis Technique ou le Document Technique d'Application du
revêtement d'étanchéité considéré.
▪ Feuilles de bitume élastomérique 35 autoprotégées sera conformes aux spécifications indiquées dans l'Avis
Technique ou le Document Technique d'Application du revêtement d'étanchéité considéré.
▪ Feuilles de bitume modifié par élastomère SBS spécifiques pour toiture-terrasse sera conformes aux
spécifications indiquées dans l'Avis Technique ou le Document Technique d'Application du revêtement
d'étanchéité considéré.
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2.1.4.4. MATERIAUX POUR COUCHE D'INDEPENDANCE

2.1.4.4.1 ECRAN VV 100
Voile de verre obtenu par répartition régulière de fibres de verre, sans direction préférentielle, encollées entre
elles pour former une feuille de masse surfacique 100 g/m² (tolérance : - 8 %).
Largeur minimale : 1 m, caractéristiques mécaniques selon la norme
2.1.4.4.2 ECRAN DE DESOLIDARISATION

Non tissé à base de polypropylène, polyester, polyamide ou polyéthylène de masse surfacique 170 g/m².
2.1.4.4.3 PAPIER KRAFT

De 70 g/m² minimum, il est éventuellement crêpé.
2.1.4.4.4 PAPIER DIT " ENTRE-DEUX SANS FIL " (EDSF)

Il est constitué de deux papiers kraft de 60 g/m² chacun, contrecollés par 20 g/m² de bitume.
2.1.4.5. MATERIAUX POUR COUCHE DE SEMI-INDEPENDANCE

2.1.4.5.1 ECRAN VV 50
Voile de verre obtenu par répartition régulière de fibres de verre, sans direction préférentielle, encollées entre
elles pour former une feuille de masse surfacique 50 g/m² (tolérance : - 5 %).
Largeur minimale : 1 m. Caractéristiques selon la norme.
2.1.4.5.2 ECRAN PERFORE ADAPTE AU COLLAGE (EAC) ET A L'ASPHALTE

Il est constitué :
▪ soit d'un papier kraft de 100 g/m² minimum après crêpage avant perforation
▪ soit d'un feutre bitumé perforé conforme aux spécifications de la norme
2.1.4.5.3 ECRAN PERFORE ADAPTE AU SOUDAGE

Il est conforme aux spécifications aux spécifications indiquées dans l'Avis Technique ou le Document Technique
d'Application du revêtement d'étanchéité considéré.
2.1.4.5.4 RESILLE DE VERRE

Elle présente les caractéristiques suivantes :
▪ masse minimale : 50 g/m² ;
▪ dimension d'ouverture des mailles : 5 mm à 7 mm ;
▪ résistance à la rupture par traction selon la norme
2.1.4.5.5 GRILLE DE VERRE

Elle présente les caractéristiques suivantes :
▪ masse minimale : 170 g/m² ;
▪ dimension d'ouverture des mailles : 9 mm × 9 mm ;
▪ enduction : styrène butadiène ;
▪ résistance à la rupture : L (longueur) : > 1 750 N / 5 cm
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▪ T (travers) : ≥ 1 750 N / 5 cm
2.1.4.5.6 MATERIAUX POUR ECRAN THERMIQUE

▪ Feuille de bitume modifié par élastomère SBS, d'épaisseur minimale 2,5 mm, avec armature voile de
verre et auto-protection minérale.
2.1.4.6. MATERIAUX POUR OUVRAGES ANNEXES

2.1.4.6.1 METAUX POUR OUVRAGES PARTICULIERS ET ACCESSOIRES DIVERS
Les métaux utilisés devront répondre aux D.T.U. visés ci avant, ainsi qu'aux Normes qui leur sont applicables.
Il y a lieu de se reporter à chacun des textes suivants :
▪ zinc : conforme aux spécifications de la norme
▪ cuivre : conforme aux spécifications de la norme;
▪ acier inoxydable : conforme aux spécifications de la norme;
▪ aluminium : conforme aux spécifications de la norme;
▪ plomb : pour les tables, conforme aux spécifications de la norme.
2.1.4.6.2 MATERIAUX POUR BUTEE DES PANNEAUX ISOLANTS

On distingue les matériaux suivants :
▪ pièces de bois de classe de risque biologique 3;
▪ profils métalliques en tôle d'acier galvanisé de 10/10 minimum d'épaisseur (équerre, Z, Oméga) avec
revêtement Z 350 selon la norme, de longueur maximale 2 m.
2.1.4.6.3 MATERIAUX POUR PROTECTION RAPPORTEE MEUBLE

Granulats pour béton, de classe granulaire comprise entre 5 et 22, conformes à la norme.
2.1.4.6.4 DALLES POUR PROTECTION D'ETANCHEITE

Les dalles en béton sont conformes à la norme, de classe d'appellation S4 minimum, d'épaisseur 40 mm minimum
et de longueurs et largeurs comprises entre 40 et 60 cm. Les classes de résistance, sont définies dans les normes
selon la destination de la toiture.
2.1.4.6.5 PLOTS PREFABRIQUES SUPPORT DE DALLES

Ils devront être définis dans un Avis Technique de revêtement d'étanchéité ou dans un Avis Technique spécifique.
2.1.4.6.6 PAVES
Ils seront conformes à la norme, autobloquants ou non ; leur épaisseur minimale est de 0,06 m.
2.1.4.6.7 MORTIERS ET BETONS POUR LA PROTECTION DES REVETEMENTS D'ETANCHEITE

Les constituants des mortiers et bétons répondent aux spécifications suivantes :
▪ ciment : CEM I, CEM II/A ou B (de préférence L, LL, ou D), CEM III/A ou B, ou CEM V/A ou B de classe 32,5 N ou R
conformes à la norme.
▪ adjuvant : soit réducteur d'eau-plastifiant conforme à la norme, soit superplastifiant conforme à la norme NF
EN 934-2 ;
▪ rapport eau/ciment inférieur à 0,5.
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2.1.4.6.8 COUCHE DE DESOLIDARISATION SOUS PROTECTION

Elle est constituée de l'un ou plusieurs des matériaux suivants :
▪ lit de sable d'épaisseur minimale 0,03 m (sous dalles) ou d'épaisseur moyenne 0,06 m (sous pavés), est selon la
norme de granularité d ≥ 2 mm et D ≤ 5 mm.
▪ lit de granulats courants de 0,03 m d'épaisseur minimale, roulés ou concassés, de granularité selon la norme et
comprise entre 3 mm et 15 mm.
▪ Non-tissé synthétique d'au moins 170 g/m².
▪ Film synthétique de 100 μm d'épaisseur minimale.
2.1.4.6.9 COUCHE DE SEPARATION SOUS PROTECTION (ISOLATION INVERSEE)

Elle est constituée d'un non-tissé synthétique d'au moins 170 g/m².
2.1.4.6.10 MATERIAUX POUR JOINTS DE DILATATION

Ces matériaux devront bénéficier d'un Avis Technique ou d'un Document Technique d'Application.
2.1.4.6.11 COSTIERES DE LANTERNEAUX

Les costières de lanterneaux sont en acier galvanisé ou prélaqué, épaisseur suivant dimensions
2.1.4.7. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DIVERSES

L’entrepreneur du présent lot devra l’édification de tous échafaudages nécessaires à la réalisation des travaux,
matériels et installations de levage et de montage et autres suivant nécessité, y compris toutes protections
réglementaires pour permettre l'exécution des ouvrages d’étanchéité.
Tous les garnissages, solins, calfeutrements seront à exécuter au mortier bâtard dosé à 200 kg de chaux
hydraulique, 200 kg de CPJ 45 par mètre cube de sable tamisé de rivière.
S’il s’avérait nécessaire de prévoir ces ouvrages avec une armature en grillage, en métal déployé ou en treillis
soudé, cette armature serait également à la charge du présent lot.
2.1.4.8. SUPPORTS
L'Entrepreneur du présent lot devra procéder à la réception des supports devant recevoir les revêtements
d'étanchéité.
Pour cette réception, l'Entrepreneur du présent lot vérifiera que les supports répondent bien aux exigences des
D.T.U. et aux Règles Professionnelles.
Cette réception sera faite en présence du Maître d'œuvre entre l'Entrepreneur ayant réalisé les supports et de
l'Entrepreneur du présent lot.
En cas de supports ou parties de supports non conformes, l'Entrepreneur du présent lot fera, par écrit au Maître
d'œuvre, ses réserves et observations avec justifications à l'appui.
Il appartiendra alors au Maître d'œuvre de prendre toutes décisions en vue de l'obtention de supports conformes.
Le Maître d'œuvre pourra être amené à prescrire des travaux complémentaires nécessaires.
Selon leur nature, ces travaux complémentaires seront réalisés, soit par le lot ayant exécuté les supports, soit par
le présent lot, mais les frais en seront toujours supportés par l'Entrepreneur ayant exécuté les supports.
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2.1.4.9. PRESCRIPTIONS DE MISE EN ŒUVRE

Tous les ouvrages devront être réalisés avec toutes les précautions requises dans les conditions telles qu'ils
présentent toutes les qualités de solidité, d'étanchéité et de durée.
Il est expressément spécifié ici que l'Entrepreneur devra l'exécution complète et parfaite de tous les ouvrages,
façons et fournitures nécessaires et de dimensions suffisantes pour obtenir une étanchéité absolument parfaite de
la toiture.
Avant tout commencement de travaux, le présent lot aura à effectuer un nettoyage parfait, par tous moyens, des
supports, pour obtenir des surfaces débarrassées de tout ce qui pourrait nuire à la bonne tenue des revêtements
d'étanchéité.
Sur les supports pour lesquels les D.T.U. prescrivent le pontage des joints du support, ce pontage sera
implicitement à la charge du présent lot.
Les complexes et systèmes traditionnels devront toujours être mis en œuvre dans les conditions précisées par les
D.T.U.
Les complexes et systèmes élastomères devront être conçus et réalisés en conformité avec leur Avis Technique.
Aucun travail d'application d'étanchéité ne devra être exécuté sur un support non sec.
Les reliefs d'étanchéité seront de hauteur conforme aux Règlements et Normes et, dans tous les cas, de hauteur
suffisante en fonction de la disposition des ponts d'évacuation d'eau, des hauteurs d'acrotères etc.
Les rives d'étanchéité apparentes sont toujours parfaitement rectilignes sur les acrotères ou autres.
Lors de la mise en œuvre des différentes couches d'étanchéité, toutes les précautions devront être prises pour
éviter toutes bavures ou coulures sur les parements vus des acrotères ou autres rives apparentes.
En fin de travaux, les toitures terrasses seront soigneusement nettoyées.
Sauf cas particuliers, les ouvrages des accessoires métalliques devront toujours pouvoir se dilater, librement, dans
tous les sens et l'exécution devra répondre à cette condition.
En conséquence, tous les ouvrages devront toujours être posés à libre dilatation et les calotins soudés seront
formellement proscrits.
Tous ces ouvrages devront comporter tous les accessoires de fixation utiles tels que pattes et bande d'agrafe,
pattes et ferrures en fer galvanisé etc. ainsi que tous les petits ouvrages.
Tous les ouvrages accessoires de l'étanchéité devront être de dimensions et développements suffisants pour
assurer une parfaite étanchéité dans tous les cas.
Dans tous les cas où certains ouvrages comporteront des matériaux différents en contact avec eux, toutes
dispositions devront être prises pour éviter toute action électrochimique entre eux.
2.1.4.10. ESSAIS
Le Maître d'œuvre demandera à l'Entreprise d'effectuer une épreuve d'étanchéité à l'eau sur l'ensemble des
terrasses du projet. Cette prestation est incluse dans l’offre de prix.
2.1.4.10.1 EPREUVES D'ETANCHEITE A L'EAU DES TOITURES TERRASSE AVEC ELEMENTS PORTEURS EN MAÇONNERIE.
A l'achèvement des travaux d'étanchéité avant mise en place des protections ou des couches drainantes dans le
cas des terrasses-jardins, une épreuve d'étanchéité par terrasse, sera sanctionnée par un procès-verbal.
Les épreuves d'étanchéité des toitures-terrasses sont effectuées par mise en eau. On établit le niveau à 0,05 m au-
dessous de la partie supérieure du point le plus bas des relevés.
L’entreprise veillera à ce que la charge d'eau ainsi créée ne dépasse pas celle admise pour les calculs de
résistance.
Ce niveau est maintenu 24 heures au minimum. L'obstruction des EEP doit se faire par un système permettant
d'évacuer les eaux lorsque le niveau dépasse celui prévu (par suite d'une pluie soudaine par exemple).
La vidange de l'eau est faite progressivement pour éviter tout refoulement dans les colonnes d'évacuation.
Aucune fuite ne doit apparaître, tant en sous-face de la terrasse que dans un mur ou une cloison.
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En cas d'ambiguïté sur la provenance de l'humidité, on pourra la lever en refaisant les épreuves à l'aide d'eau
teintée.
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3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES
3.1. INSTALLATION DE CHANTIER

Métré : Ens.
Nature : 0. Etat des lieux contradictoires
1. Installation de chantier est à la charge du lot gros-œuvre
L'Entrepreneur titulaire devra :
▪ Dispositions de sécurité (gardes corps ou filets antichutes périphériques)
▪ Mise en place de bungalows fermés pour le stockage de son matériel à défaut de l’évacuer
tous les soirs.
2. Nettoyage de chantier
Conformément aux Prescriptions du C.C.A.P. et CCTP lot 00, l'Entrepreneur devra, pendant la
durée du chantier, la mise en œuvre et l'évacuation des résidus de chantier
3. Moyens de levages, matériel
Tous moyens de levage et de manutention nécessaire à la mise en œuvre sont à la charge du
titulaire du présent lot.
Les bombonnes de gaz et autres outils seront rassemblés et cadenassés tous les soirs sur la
toiture à défaut d’être évacués chaque soir du chantier.
Pour tout désordre constaté (liés aux présents travaux) que ce soit dans la résidence ou sur un
ascenseur, les frais de réparation seront imputés au titulaire du présent lot.
4. Amenées et replis de matériels
L'Entrepreneur titulaire devra :
L’amenée et le repliement de son matériel, ses résidus et ses fournitures tous les soirs.
5. Réception des supports
L’entrepreneur, en présence des représentants du Maître d’Ouvrage, du Maître d’œuvre et de
l’entreprise responsable de l’exécution du support, doit faire dresser un procès-verbal de
réception de supports avant démarrage des travaux du présent lot. Cette pièce est
accompagnée de toutes photographies, croquis nécessaires attestant de la réception ou des
réserves du support.
NOTA IMPORTANT :
L’entreprise prévoira des systèmes sous avis technique en cours de validité
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3.2. ETANCHEITE DES PARTIES ENTERREES

Métré : étanchéité au m2.
solin au ml
Localisation : Selon plans Architecte, pour tous les murs en contact avec la terre. Y compris mur existant
école le long de la rampe d’accès.
Nature :
Imperméabilisation :
E.I.F. SIPLAST PRIMER ou similaire.
Membrane bitumineuse FONDAPLY soudée en plus.
Traitement du pied :
Sur chanfrein maçonné réalisé par le Maçon, mise en place d’une équerre PAREQUERRE
soudée.
Protection mécanique
Par feuille embossée tridimensionnelle en P.E.H.B. type PLATOM ou similaire avec en tête un
bugalu.
Mise en tête du complexe d’un profilé type BUGALU de chez SIMSON TRAPCO ou similaire, série
SP et traitement du joint d’étanchéité en tête de profilé.. Toutes sujétions faites de pièces
spéciales dans la gamme du Fabricant tels que coulisseau de jonction et angles préfabriqués.
3.3. ETANCHEITE SOUS GRAVILLONS SUR TOITURE TERRASSE

Métré : M² : complexe d’étanchéité courant
Ml : relevés sur acrotères
U : pour les EEP verticale
U : pour les crosses.
Ml : pour protection des relevés
Ml : pour solin
Ml : pour protections des acrotères
Localisation: Toiture du bâtiment.

3.3.1. COMPLEXE D’ÉTANCHÉITÉ COURANT

Pare vapeur
Primaire + enduit d’application à chaud + Elastophène 25 + équerre de renfort Sopralène en périmétrie des relevés
béton.
Isolation
Mise en place d’une isolation apte à recevoir une étanchéité soudée en adhérence.
Les panneaux seront collés sur le pare vapeur (conforme à l’avis technique du produit mis en place).
Valeur de résistance R, selon étude thermique.
L’isolant à mettre en place est un panneau de polyuréthane sous protection lourde ou un produit techniquement
équivalent (voir étude thermique).
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Continuité d’isolant sur acrotères, d’épaisseur aux performances conformes à l’étude thermique sur toute la
hauteur et se retournant sur la tête de l’acrotère.
Etanchéité
Le complexe d’étanchéité sera un système bicouche de performance F5.I5.T2., indice de classement incendie M0
Il comprend à partir du support :
▪ un écran Sopravoile 100
▪ une chape type Sopralène flam 180
▪ une chape Elastophène flam 25.
Protection 6 cm
La protection du complexe d’étanchéité mis en place sera réalisée par une couche de gravillons roulés de
granulométrie comprise entre 5 mm et 2/3 de l’épaisseur de la protection.
3.3.2. RELEVÉS SUR ACROTÈRES :

Le complexe d’étanchéité doit revêtir l’acrotère jusqu’à l’engravure de protection existante du relevé.
▪ un primaire
▪ une équerre de renfort Sopralène
▪ une équerre Sopralène flam 180-35
▪ une équerre Sopraplast 50 TV alu
▪ Remontées de l’étanchéité sous les couvertines.
3.3.3. PROTECTIONS DES RELEVÉS

Fourniture et pose de solin aluminium 10/10ème laquées sur l’ensemble des acrotères pour protection des relevés
3.3.4. ENTRÉES D’EAU PLUVIALE (EEP) VERTICALE

Fourniture et pose de moignons EP (cylindriques ou tronconiques suivant calcul du dimensionnement des EP à
fournir lors de la phase préparation) y compris toutes sujétions de raccordement d’étanchéité, raccordement sur
la DEP, grilles de protections.
3.3.5. CROSSES
Fourniture et pose de crosse pour le passage de câbles y compris toutes sujétions de raccordement d’étanchéité.
3.4. ETANCHEITE LIQUIDE D’AUVENT

Métré : m²
Localisation : Casquettes bétons
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3.4.1. PREPARATION DU SUPPORT

Nettoyage à sec avec un balai afin d’enlever la poussière et évacuer les parties non adhérentes.
3.4.2. ETANCHEITE
PRIMAIRE H80, résine polyuréthane monocomposante, consommation 0,250 kg /m².
Caractéristiques :
▪ Extrait sec en poids 42 %
▪ Densité 0,95 ± 0,05 %
▪ Viscosité 14 +/- 5,5 coupe AFNOR n°4
Couche type ALSAN 310

▪ Pose de 2 couches de résine polyuréthanne à raison de 0,700 kg /m² par couche.
Caractéristiques :
▪ Extrait sec en poids 74 %
▪ Densité 1.14 ± 0,05
▪ Viscosité 2500 ± 500 M Pas
Les relevés sont réalisés de manière identique à la partie courante, il faut noyer dans la 1ère couche de résine une
toile de type ALSAN toile en 0,15 afin de renforcer l’angle. Profil de rive en aluminium en nez de dalle.
3.5. ETANCHEITE DALLES SUR PLOTS SUR TOITURE TERRASSE EN MAÇONNERIE

Ml : pour solin
Localisation: Cheminement technique en toiture selon repérage des plans architecte

3.5.1. COMPLEXE D’ÉTANCHÉITÉ COURANT

Pare vapeur
Primaire + enduit d’application à chaud + Elastophène 25 + équerre de renfort Sopralène en périmétrie des relevés
béton.
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Isolation
Mise en place d’une isolation apte à recevoir une étanchéité soudée en adhérence.
Les panneaux seront collés sur le pare vapeur (conforme à l’avis technique du produit mis en place).
Valeur de résistance R, selon étude thermique.
L’isolant à mettre en place est un panneau de polyuréthane sous protection lourde ou un produit techniquement
équivalent (voir étude thermique).
Etanchéité
Le complexe d’étanchéité sera un système bicouche de performance F5.I5.T2., indice de classement incendie M0
▪ un écran Sopravoile 100
▪ une chape type Sopralène flam 180
▪ une chape Elastophène flam 25.
Protection 5 cm
Protection par dalles en béton de classe D2 gravillons lavés ou grenaillé antidérapant (dimensions 50x50x5) de
chez SOCADAL ou similaire, conformes aux caractéristiques définies dans la Norme NF XP 98-307 (DTU 43), finition
grain concassé ou lisse teintée, coloris au choix de l'Architecte et du Maître d'ouvrage. .
Les dalles seront posées sur plots PVC, réglables en hauteur.
Conforme aux caractéristiques définies dans la Norme NF P 84-204, réglables en hauteur.
3.5.2. RELEVÉS SUR ACROTÈRES :

Le complexe d’étanchéité doit revêtir l’acrotère jusqu’à l’engravure de protection existante du relevé.
▪ un primaire
▪ une équerre de renfort Sopralène
▪ une équerre Sopralène flam 180-35
▪ une équerre Sopraplast 50 TV alu
▪ Remontées de l’étanchéité sous les couvertines.
3.5.3. PROTECTIONS DES RELEVÉS

Fourniture et pose de solin aluminium 10/10ème laquées sur l’ensemble des acrotères pour protection des relevés
3.6. JOINTS DE DILATATION

Métré : Ml
Localisation : Joints de dilatation des toitures terrasses
Jonction entre la terrasse et le bâtiment
Jonction rampe et bâtiment.
Au droit des cheminement technique en toiture, prévoir un recouvrement du JD avec
autoprotégé non glissant (granuleux). Cf observations CSPS
▪ Dépose et évacuation de la coiffe d’acrotère existante.
▪ Préparation et nettoyage du support avant traitement.
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▪ Confection d’une lyre de dilatation par soudage d' une feuille à base de bitume modifié,
armée d' un tissu polyamide plié en forme de lyre .
▪ Remplissage de la lyre par un cordon de mastic bitumineux sans solvant .
▪ Recouvrement de l’ensemble par chape armé soudé avec auto protection aluminium.
3.7. ECHELLE D'ACCES EN TOITURE

Métré : U
Localisation : Selon plan de localisation
Fourniture et pose contre mur, d' une échelle en aluminium escamotable et verrouillable
avec embouts caoutchouc .
Sujétions :
- supports chevillés avec verrou et cadenas de condamnation , fixation par platines et chevilles
sur maçonnerie selon règlements de sécurité .
- crochets d' accrochage de l' échelle dans le dôme d’accès en toiture.
- crosse de préhension relevable au droit du dôme accès toiture.
- condamnation par cadenas .
Finition : par peinture antirouille pour les supports .
3.8. MOIGNONS EP
Métré : à l’unité
Position : Toitures terrasses
Nature : Platine à caissons ronds et moignon soudé en plomb de 2,5 mm d’épaisseur.
Ce moignon sera arrêté dans la chute mise en place par le présent lot en contrebas du
niveau de la sous face du plancher terrasse (côté posé en fond de collet).
L’exécution du joint est à la charge du présent lot.
Barrage isolant autour du moignon au passage à travers la forme et le plancher et
fourreau.
Sur la chute :
▪ Grille en acier galvanisé avec dessus amovible
▪ Système d’évacuation permanente selon DTU 43.1. pour la retenue temporaires des eaux
pluviales. Le dimensionnement de cette évacuation (forme, section des Trop plein ou
déversoir
3.9. TROP PLEIN EP

Position : Toiture du batiment
Nature : Fourniture et pose de trop plein ou barbacanes en plomb de 2,5 mm d’épaisseur ou en
cuivre.
Diamètre 80 mm minimum, comportant un manchon en acier galvanisé scellé à la
maçonnerie et étanché à la charge du présent lot.
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3.10. DESCENTES EP
Métré : ml
Position : Selon plans architecte
Pour toutes les toitures
Descente EP zinc circulaire:
- Le présent lot aura à sa charge la fourniture et pose de toutes les descentes en extérieures en
zinc finition selon choix de l’architecte.
- Départ naissances et raccordement sur moignons à la charge du présent lot.
- Y compris fourniture et pose des boites à eau lorsque nécessaire.
- Y compris raccordement de la descente jusqu’à l’intérieur du regard du lot Gros Oeuvre
- Descentes de type, y compris accessoires, fixations.
- Sections et implantations selon plans architecte et note de calcul à fournir par le présent lot
lors de la phase de préparation.
3.11. LANTERNAU D'ACCES A LA TOITURE DE DIMENSIONS 100X100 CM

Position : Toiture batiment
Nature :
Fourniture et pose de Lanterneaux mobiles pour accès toiture, de type Pyropass évolution
treuil de chez SKYDOME ou équivalent, sur costières métalliques isolées galvanisées
hauteur de 310mm, talon de 90mm, comprenant :
Dôme polycarbonate alvéolaire double paroi, résistant à 1200 joules, opale, épaisseur de16
mm pour protection solaire.
Cadre pare close en aluminium
Dimension 100x100
Classement M1
Ouvrants dotés d’un cadre tubulaire en acier galvanisé articulé sur charnières, 2 vérins
avec mécanisme d'ouverture à 180°
Barre d’accroche échelle en acier galvanisé
Crochet d'ancrage sur voile béton en acier galvanisé
Commande d'ouverture par treuil à manivelle amovible
Les prestations comprendront systématiquement toutes interventions nécessaires sur les
étanchéités et leurs supports.
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3.12. TRAVERSES DE TOITURE ET TREMIES POUR EQUIPEMENT

Métré : Ens
Position : Toitures terrasses
Nature : Trémies de passage, souches de sorties et dés béton dus par le lot gros œuvre.
Relevés sur traversées de tuyauteries et fourreaux, selon DTU 43.1, (au droit de toutes les
sorties de ventilations diverses sans souches maçonnées).
Relevés sur traversées avec souches maçonnées selon DTU 43.1, par habillage complet de
la souche, ou en engravure.
La jonction des divers éléments de VMC, de ventilation haute, devra être conforme aux
prescriptions du fabricant et à son cahier des charges.
3.13. PROTECTIONS DES ACROTERES

Métré : ml
Position : Ensemble des acrotères des murs en pierre et acrotères bétons
Nature : Les prestations comprennent :
▪ La fourniture et pose de couvertines d'aluminium 10/10ème prélaquées sur l’ensemble des
relevés d’acrotères
▪ Y compris profils supports, toutes sujétions de renfort des éclisses prenant en compte la
largeur de couvertines, étanchéité contre murs, tous les éléments de parachèvement.
.
3.14. GARDE-CORPS
Métré : U
Localisation : Suivant plans, en toiture
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la réalisation et mise en place de garde-corps avec
lisses horizontales, sur acrotère BA, en aluminium comprenant :
▪ Potelets verticaux en fer plat ; section 50x12mm et 50x6mm doublés.
▪ 2 lisses horizontales en tube Ø 40mm pour main courante et lisse intermédiaire.
▪ Fixation à l’anglaise sur les acrotères béton, par platines métalliques
boulonnées désaxées sous couvertine.
▪ Réalisation suivant détails architecte, compris toutes sujétions d’exécution,
notamment coupe à onglet dans angles.
▪ Protection contre la corrosion, à la charge du présent lot, par thermolaquage ou
anodisation au choix du maitre d’oeuvre.
▪ Les lisses, une fois mises en place, devront répondre aux normes garde-corps en
vigueur.
▪ Hauteur de la lisse la plus haute devra toujours être située ≥ 100 cm vis-à-vis des
dalles sur plots, seuil ou niveau fini.
▪ Les garde-corps devront être conformes en tous points à la réglementation en
vigueur et notamment les normes NFP 06-001, 01-012, et 01-013. L’entreprise
devra fournir les plans d’exécution du garde-corps ainsi que les notes de calcul
informatisées des chevilles d’ancrage au bureau de contrôle pour validation.
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3.15. OPTION : PSE N°2 : ETANCHEITE SOUS GRAVILLONS SUR TOITURE TERRASSE
Ml : pour solin
Localisation: Cage d’ascenseur.

La fourniture et pose d’une étanchéité sous gravillons en toiture de la cage d’ascenseur.
Description selon article 3.3 du présent document.
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CCTP PHASE DCE

LOT 03 - PLATRERIE
Date Approuvé
par
02 S. KNAFEL 14/10/21 MAJ remarques BCT G. AMALVY G. AMALVY
LOT 03 PLATRERIE / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES ................................................................................................................................3
2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES .......................................................................................................4

2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT PLATRERIE 4
2.1.4. SPECIFICATIONS RELATIVES AUX MATERIAUX ET MATERIELS 8
3. DESCRIPTION DES OUVRAGES ......................................................................................................11

3.1. DOUBLAGE INTERIEUR 11
3.1.1. DOUBLAGE INTERIEUR THERMIQUE 120+13MM 11
3.1.2. DOUBLAGE INTERIEUR THERMIQUE 80+13MM 11
3.2. CLOISONS 12
3.2.1. CLOISON SUR OSSATURES TYPE 98/48MM 12
3.2.2. CONTRE-CLOISONS 13
3.3. PLATRE EN PAROIS VERTICALES 13
3.4. GAINE TECHNIQUE 14
3.5. HABILLAGE DES CHASSIS DE WC SUSPENDUS 14
3.6. POSE DES HUISSERIES 14
3.7. RENFORTS EN CLOISONS SUR OSSATURES 15
3.8. POSE DES TRAPPES DE VISITE ET PORTES DE GAINES TECHNIQUES 15
3.9. PANNEAUX ACOUSTIQUES MURAUX 15
3.10. FAUX PLAFONDS 16
3.10.1. FAUX PLAFOND EN LAMES DE FIBRE PE NON TISSEES 16
3.10.2. FAUX PLAFONDS DEMONTABLES EN DALLE MINERALES 16
3.10.3. FAUX PLAFOND EN DALLE DE LAINE DE BOIS 17
3.10.4. ISOLATION INTERIEURE THERMIQUE 45MM 17
3.10.5. FAUX PLAFONDS EN PLAQUE DE PLATRE 18
3.10.6. FAUX PLAFONDS EN PLAQUE DE PLATRE CF 1H 18
3.11. RETOMBEES EN PLAQUES DE PLATRE 19
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1. GENERALITES

au titre du lot n°03 PLATRERIE dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur proposition,
sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en liaison avec
les autres pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.
Dans le CCTP 00 sont décrites les prescriptions suivantes :

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT PLATRERIE

Les travaux du présent CCTP comprennent :
▪ La fourniture et la pose de l’ensemble, quel que soit le type de l’ouvrage :
- Cloisons de distribution, contre-cloisons,
- Gaines techniques
- Habillages
- Doublages isolants
- Plafonds suspendus et leurs retombées verticales.
- Gaines et conduits de désenfumage
- L’implantation de tous les ouvrages
▪ Le nettoyage de tous les ouvrages du lot.
▪ L’enlèvement des gravois consécutifs à leur mise en œuvre.
En toutes hypothèses, pour l’établissement de son offre, le soumissionnaire tiendra compte des travaux décrits aux
CCTP des autres lots susceptibles d’interférer avec ses propres prestations.

En complément des prescriptions du CCTP 00 (dossier d’exécution, dossier des ouvrages exécutés) :
- Plans de repérage de tous les ouvrages
- Plans de calepinage, plans des détails
- Implantation, tracé et dimensions des gaines de désenfumage
- Fiches techniques, avis techniques, cahiers des charges

2.1.3.1. DEFINITION DES SYSTEMES DE CLOISONS
Le présent document s'applique aux conditions d'exécution à l'intérieur des bâtiments,
- des cloisons de distribution, contre-cloisons,
- des gaines techniques
- des habillages
- des doublages isolants
- des plafonds suspendus et leurs retombées verticales.
Les documents particuliers du marché précisent

- la localisation des ouvrages
- le type et la constitution des ouvrages
- quand besoin est, leur mode de pose
- le type de portes dont le présent lot aura à mettre en place les huisseries
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Ils précisent également les performances minimales attendues des ouvrages :

- résistance et réaction au feu
- caractéristiques thermiques éventuellement complémentaires à celles indiquées au CCTP lot 00
- isolement acoustique
- absorption acoustique
- les autres performances particulières demandées
Le présent document est applicable dans toutes les zones climatiques ou naturelles françaises y compris en climat
tropical humide.
Les préconisations du guide ministériel «Dimensionnement parasismique des ELEMENTS NON STRUCTURAUX du
cadre bâti » sont à appliquer par le présent lot.
Nota :
Ce domaine d'application couvre ainsi les départements D'outremer.
TERMES ET DÉFINITIONS
CLOISONS - CONTRE-CLOISONS - HABILLAGES - PAROIS DE GAINES TECHNIQUES

Cloison : paroi verticale de distribution autostable, non porteuse, à deux parements à l'intérieur d'une construction
et régnant sur toute la hauteur entre plancher bas et plafond fixe (non démontable) ou plancher haut et séparant
deux locaux
Contre cloison (cloison de doublage) : paroi verticale, non porteuse, à un seul parement à l'intérieur d'une
construction, régnant sur toute la hauteur entre plancher bas et plafond fixe (non démontable) ou plancher haut et
doublant une paroi existante. L'ossature verticale ou horizontale de la contre cloison peut ou non comporter des
appuis intermédiaires la reliant à cette paroi.
Habillage : paroi non porteuse, à l'intérieur d'une construction, fixée directement au support par collage ou par
fixation mécanique ou par l'intermédiaire d'une ossature intermédiaire horizontale elle-même fixée directement au
support
Paroi de gaine technique : paroi verticale auto-stable, non porteuse à une, deux, trois ou quatre faces, à l'intérieur
d'une construction et régnant sur toute la hauteur entre plancher bas et plancher haut, et assurant l'encoffrement
d'équipements techniques. Cette paroi doit en outre satisfaire à des exigences propres à ce type d'ouvrage
(isolation acoustique, protection incendie, etc.)
Cloison en surplomb : cloison implantée en rive de plancher dont le surplomb avec un autre plancher est supérieur
à un mètre (cage d'escalier, mezzanine, cloison délimitant des espaces à niveaux décalés, etc.)
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DOUBLAGES ET HABILLAGES ISOLANTS

Doublage ou habillage isolant : ouvrage constitué d’un complexe ou sandwiche d’isolation thermique intérieure,
fixé par collage ou au moyen d’une ossature à une paroi verticale, horizontale, ou inclinée, .
PLAFONDS
Plénum : espace libre situé entre le dessus des éléments d'habillage du plafond suspendu (y compris l'isolation
éventuelle) et la sous face du plancher ou de la couverture. Ce plénum peut être ventilé et utilisé comme un conduit
de ventilation. Il peut contenir des accessoires tels que canalisations, câbles, etc.
Plénum de grande hauteur : sont considérés comme tels, les plénums ou parties de plénums dont la hauteur est
supérieure à 2,00 mètres.
Caractère démontable on non d'un plafond
Les éléments d'habillage minces pour plafonds suspendus peuvent être :
▪ soit fixés à demeure sur leur ossature support,
▪ soit démontables ; dans ce cas, les assemblages varient avec le type des éléments d'habillage, l'ossature et les
éléments de suspension. Les démontages peuvent être fréquents ou occasionnels.
2.1.3.2. CLASSIFICATION DES LOCAUX

Il est rappelé (cf. DTU et normes, cahiers du CSTB,…) que les locaux sont classés en fonction le l’exposition à
l’humidité des parois.
Ce classement tient compte :
. de l’hygrométrie du local et de la production de vapeur
. de l’exposition à l’eau des parois
. de l’entretien et du nettoyage
Cinq classes sont ainsi définies :

• EA : locaux secs ou faiblement humides ;
• EB : locaux moyennement humides ;
• EB+ : locaux privatifs : locaux humides à usage privatif ;
• EB+ : locaux collectifs : locaux humides à usage collectifs ;
• EC : locaux très humides en ambiance non agressive.
Le choix du type d’ouvrage à mettre en œuvre sera fait en fonction de ce classement.

On se réfèrera pour plus de précisions au e-cahier 3567 – Classement des locaux en fonction le l’exposition à
l’humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs.
Il est également rappelé que, pour les familles d’ouvrages comprenant des plaques de plâtre, les DTU s’appliquent
généralement aux locaux classés EA, EB et EB+ privatifs.
Au delà, les procédés, techniques ou systèmes doivent faire l’objet d’un avis technique, d’un cahier des charges
visé par un organisme agréé, etc…
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2.1.3.3. MATÉRIAUX - ISOLANTS

Les matériaux sont choisis parmi ceux répondant aux prescriptions des normes et DTU en vigueur , des cahiers et e-
cahiers du C.S.T.B.
Pour les procédés, techniques, systèmes… ne relevant pas de ces derniers, les matériaux sont définis
obligatoirement par l’avis technique, ou le cahier des charges visé par un organisme agréé.
Les matériaux isolants à mettre en œuvre dans les ouvrages réalisés selon les DTU seront :
- Certifiés ACERMI, pour les laines minérales
- ACERMI I1 S1 O2 L2 E2
2.1.3.4. DIMENSIONNEMENT DES OUVRAGES

Il sera effectué en fonction des règles en vigueur (normes, DTU…), et concernera la stabilité, la résistance aux chocs
des ouvrages verticaux, la résistance au vent.
2.1.3.5. RISQUE DE SOULÈVEMENT DES PLAFONDS

Le plafond doit résister, sans soulèvement, à une mise en surpression éventuelle du local ou à une dépression du
plénum.
Les dispositifs de suspension doivent s'opposer au soulèvement des plafonds sous l'effet de pression / dépression.
2.1.3.6. CLOISONS DE GRANDE HAUTEUR

Selon le type et la constitution de la cloison retenue (cloison en plaques de plâtre sur ossatures, cloison en carreau
de plâtre, cloisons en maçonnerie de petits éléments…), la hauteur de la cloison est définie et limitée par le DTU, la
norme.
Hors dispositions du DTU ou de la norme, les procédés, techniques ou systèmes doivent faire l’objet d’un Avis
technique, d’un Cahier des charges visé par un organisme agréé, etc…
2.1.3.7. BARRIÈRE PARE VAPEUR

Les parements des cloisons, contre-cloisons, doublages , habillages et plafonds suspendus peuvent intégrer un
pare vapeur.
2.1.3.8. POSE EN ZONE DE SISMICITÉ NON NULLE

Les dispositions règlementaires et normatives en vigueur seront appliquées.
2.1.3.9. JUSTIFICATION DES PERFORMANCES DE RÉSISTANCE AU FEU

Dans le cas où des performances de résistance au feu d’un ouvrage sont requises, il doit justifier de ses
performances dans les conditions de pose (y compris vis-à-vis des rives) conformément à la réglementation et fait
l'objet de classement.
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2.1.3.10. ISOLEMENT ACOUSTIQUE LATÉRAL
Suivant la valeur d'isolement acoustique latéral requise, l'entrepreneur peut proposer au Maître de l'Ouvrage
l'interposition éventuelle d'une barrière d'isolation acoustique.
Tous les encastrements (petit appareillage électrique et câbles dans les cloisons, luminaires dans les plafonds, etc.)
doivent être traités pour ne pas diminuer les performances d'isolement acoustique latéral du plafond selon des
dispositions soumises à l'agrément du maître de l'ouvrage.
Pour justifier de leurs performances d'isolement en dB, les cloisons, doublages, habillages et les plafonds doivent
avoir fait l'objet d'essais selon la norme.
2.1.3.11. ABSORPTION ACOUSTIQUE
Dans beaucoup de locaux et pour des domaines d'emplois aussi variés que les bâtiments d'habitation,
d'enseignement, de santé, les hôtels, de travail..., la qualité acoustique du local est réglementée (Tr, temps de
réverbération, aire équivalente d'absorption et décroissance spatiale).
Les documents particuliers du marché peuvent demander à ce que le plafond suspendu y contribue en imposant
l'indice d'absorption acoustique pondéré (αw ) du plafond.
Pour justifier de la valeur de l'indice d'absorption acoustique pondéré (α w ), les plafonds font l'objet d'essais selon
les normes.
2.1.4. SPECIFICATIONS RELATIVES AUX MATERIAUX ET MATERIELS

2.1.4.1. CONDITIONS NÉCESSAIRES À L'EXÉCUTION DES TRAVAUX
Dans tous les cas, la mise en œuvre d'ouvrages à base de plâtre (enduits au plâtre, cloisons hourdées au plâtre,
ouvrages en plaques de plâtre…) ne peut être effectuée que si les conditions suivantes sont toutes satisfaites :
▪ Les vitrages doivent être posés et les locaux mis à l'abri des intempéries, des pénétrations et infiltrations d’eau.
▪ Une réhumidification importante des locaux ne doit pas être à craindre.
▪ Les canalisations d'eau chaude et d'eau froide incluses dans le plénum sont calorifugées.
▪ La fourchette d'humidité relative de l'air admissible pour la pose des matériaux doit être compatible avec la
classe de ces matériaux.
D’une façon plus générale, avant de commencer les travaux, l’entrepreneur s’assure que
• le gros œuvre dans lequel doit être monté l'ouvrage est terminé ;
• les ouvrages adjacents sont compatibles avec l'exécution des ouvrages du présent lot eux-mêmes, notamment en
ce qui concerne : les dimensions, le tracé et l'implantation, la position et le dimensionnement des réservations, la
position et les caractéristiques des huisseries et bâtis destinés à être incorporés, celles des réseaux parallèles aux
ouvrages verticaux.
2.1.4.2. DIMENSIONS, TYPE ET NOMBRE DES OSSATURES : CAS DES PLAFONDS SUSPENDUS
Les plafonds sont constitués de plaques de plâtre fixées sur une ossature secondaire
Cette dernière est,
. soit fixée directement aux structures porteuses.
. soit fixée sur une ossature dite primaire, qui est suspendue aux structures porteuses.
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Les dimensions, type et nombre de profilés d’’ossatures à mettre en œuvre pour la constitution et la suspension du
plafond en plaques de plâtre seront fonction de l’épaisseur et du nombre de plaques, des caractéristiques de
l’isolant éventuellement prévu, des autres charges appliquées.
Se référer au DTU ou à l’Avis technique.
2.1.4.3. DIMENSIONS , TYPE ET NOMBRE DES OSSATURES : CAS DES CLOISONS SUR OSSATURES
Les dimensions, type et nombre d’ossatures à mettre en œuvre dans les cloisons ou contre-cloisons en plaques de
plâtre seront fonction de l’épaisseur et de la hauteur de l’ouvrage.
Se référer au DTU ou à l’Avis technique.
2.1.4.4. DÉTAILS DE POSE

Selon DTU, ou selon Avis Technique.
2.1.4.5. JOINTS DE DILATION

Les joints de dilatation seront traités selon les prescriptions du DTU, ou celles de l’Avis technique.
2.1.4.6. JOINTS DE FRACTIONNEMENT (PLAFONDS)

Les joints de fractionnement seront traités selon les prescriptions du DTU, ou celles de l’Avis technique.
2.1.4.7. TOLÉRANCES SUR L'OUVRAGE FINI

Les tolérances concernent les cloisons, contre-cloisons, habillages et gaines techniques. (Aspect de surface,
planéité locale, planéité générale, horizontalité) sont données par le DTU.
Les tolérances concernent les plafonds (aspect de surface, planéité locale, planéité générale, horizontalité) sont
données par le DTU.
2.1.4.8. MISE À LA TERRE

Sans objet pour les ouvrages visés par le présent document.
2.1.4.9. RACCORDEMENT DE CLOISONS

Les cloisons ne sont pas maintenues par les plafonds.
2.1.4.10. LIAISON ENTRE PLAFOND ET APPAREILS D'ÉCLAIRAGE ET DE CONDITIONNEMENT D'AIR, DE CANALISATIONS

POUR FLUIDES, ETC.
Les appareils de conditionnement d'air et de ventilation et les installations de canalisations pour fluides ne sont
pas solidarisés avec les plafonds suspendus.
2.1.4.11. ENCASTREMENTS DE CANALISATIONS ELECTRIQUES DANS LES DOUBLAGES
Le présent lot réalisera dans les doublages isolants, sur leur face externe, les saignées nécessaires à la mise en place
et à l’encastrement des fourreaux de la distribution électrique.
Les fourreaux et câbles seront posés par le titulaire du lot chargé des installations électriques.
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Nota : l’attention des entreprises est attirée de façon toute particulière pour ce qui concerne les encastrements à réaliser
dans les cloisons autres qu’en plaques de plâtre : cloisons en carreaux de plâtre, cloisons en brique creuses de terre
cuite, cloisons en blocs de béton alvéolaire, cloisons en carreaux de terre cuite de grandes dimensions type
CARROBRIC….
En effet, ces types de cloisons n’autorisent que des encastrements relativement limités, généralement depuis le sol,
depuis le plafond, mais pas toute hauteur du sol au plafond.
Ils n’autorisent également pas d’encastrements dans les cloisons de faible épaisseur, ou d’encastrement horizontal ou
oblique.
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3. DESCRIPTION DES OUVRAGES
3.1. DOUBLAGE INTERIEUR

3.1.1. DOUBLAGE INTERIEUR THERMIQUE 120+13MM
Métré : Au m² pour les doublages en partie courante
Au m² en plus-value pour doublages avec plaque de plâtre hydrofugées de type H1
Localisation : Selon plan du Maître d’Œuvre
Les doublages des murs extérieurs (toute hauteur et allèges) et de certains murs intérieurs
seront réalisés en complexes isolants de hauteur d’étage.
Ils seront constitués d’une face isolante à base de chanvre, lin et coton type BioFib Trio
ou similaire sur ossature à faibles ponts thermiques, épaisseur 120mm (R= 3,15 m².°C/W), avec
pare vapeur, finition avec 1 parement de plâtre cartonné de 13mm d’épaisseur droite et de 7cm
cintrable dans les parties courbes .
Pose sur rails et montants.
Résistance thermique minimum exigée : R = 3.15 m². K / W conforme à l’étude thermique.
Au droit des pièces humides, les panneaux reposeront sur des semelles en PVC et les parements
des cloisons seront réalisés en plaque HYDROFUGES.
Sur l'ensemble de l'ouvrage, les joints seront traités selon la technique et avec les
recommandations du fabricant.
La mise en œuvre sera conforme au DTU 25.42.
La prestation inclut :
Le doublage des retours en tableau (tapées) au droit des menuiseries extérieures avec une
isolation mince adapté (30mm)
Le doublage des appuis intérieurs au droit des menuiseries extérieures suivant plans et détails
architecte
Plus-value pour doublage avec une face hydrofuge dans les locaux humides selon plans de
repérage
Plus-value pour doublage CF1h selon plans de repérage
3.1.2. DOUBLAGE INTERIEUR THERMIQUE 80+13MM

Métré : Au m² pour les doublages en partie courante
Au m² en plus-value pour doublages avec plaque de plâtre hydrofugées de type H1
Localisation : Selon plan du Maître d’Œuvre, entre l’office et le restaurant.
Les doublages des murs extérieurs (toute hauteur et allèges) et de certains murs intérieurs
seront réalisés en complexes isolants de hauteur d’étage.
Ils seront constitués d’une face isolante à base de chanvre, lin et coton type BioFib Trio
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ou similaire sur ossature à faibles ponts thermiques, épaisseur 80mm (R= 2,10 m².°C/W), avec
pare vapeur, finition avec 1 parement de plâtre cartonné de 13mm d’épaisseur droite et de 7cm
cintrable dans les parties courbes .
Pose sur rails et montants.
Résistance thermique minimum exigée : R = 2.10 m². K / W conforme à l’étude thermique.
Au droit des pièces humides, les panneaux reposeront sur des semelles en PVC et les parements
des cloisons seront réalisés en plaque HYDROFUGES.
Sur l'ensemble de l'ouvrage, les joints seront traités selon la technique et avec les
recommandations du fabricant.
La prestation inclut :
Le doublage des retours en tableau (tapées) au droit des menuiseries extérieures avec une
isolation mince adapté (30mm)
Le doublage des appuis intérieurs au droit des menuiseries extérieures suivant plans et détails
architecte
Plus-value pour doublage avec une face hydrofuge dans les locaux humides selon plans de
repérage
Plus-value pour doublage CF1h selon plans de repérage
3.2. CLOISONS
3.2.1. CLOISON SUR OSSATURES TYPE 98/48MM
Métré : Au m²
Au m² en plus-value pour parement en plaque de plâtre hydrofugées de type H1
Localisation : Selon plans architecte
Fourniture et pose de cloisons de distribution constituées de plaques de plâtre, fixées sur
ossatures métalliques.
Constitution :
▪ Une plaque de parement en plâtre cartonné et à bords amincis par faces de la cloison, de 18
mm d’épaisseur à monter jusqu'à la dalle haute
▪ ossature simple, entraxe tous les 0,60m, en tôle d’acier protégées contre la corrosion
▪ laine minérale de 45 mm d’épaisseur pour les cloisons séparatives.
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3.2.2. CONTRE-CLOISONS
Métré : Au m²
Au m² en plus-value pour parement en plaque de plâtre hydrofugées de type H1
Localisation : Selon plans architecte
La fourniture et pose d’une contre cloison constituée par une ossature métallique comprenant
des rails en partie basse et partie haute, reliés par des montants simples et doubles, et recevant
d'un seul côté de ladite ossature, une plaque de plâtre recouverte sur ses deux faces d'une feuille
de carton. Prévoir des plaques haute résistance à l'humidité dans les pièces humides, et des
plaques standard partout ailleurs.
Epaisseur de la plaque de parement : 18 mm.

Mise en place du plancher bas au plancher haut, avec matelas isolant identique à ci-dessus,
d'épaisseur adaptée pour assurer la résistance thermique R = 3.20
Mise en place de l'ossature métallique selon les prescriptions du fabricant, notamment en ce qui
concerne les fixations des rails en fonction des différents types de support, et en ce qui concerne
l'écartement et le doublage des montants en fonction de la hauteur du doublage.
Plaques de parement à bords amincis pour permettre la dissimulation des joints par bande
d'armature collée entre deux enduits garnissants suivant les prescriptions du fabricant par tous
éléments formant pièces de liaison entre les planchers, murs, plafonds ou panneaux de cloisons
entre eux.
Prévoir, pour les éléments de contre-cloison, les sujétions suivantes :

- double ossature permettant de créer un vide technique entre le pare vapeur et les plaques de
parement
- fourniture et pose d'un pare vapeur formant barrière d'étanchéité à l'air
- renforcements éventuels de l'ossature pour fixation d'appareils ou matériels en accord avec les
entrepreneurs des lots concernés (notamment ventouses de portes, appareils sanitaires, …..)
- liaison de l'ossature avec les huisseries et menuiseries
- protection en pied des panneaux par un polyane de 100 microns, de largeur suffisante pour
dépasser, après relevé, le sol fini d'au moins 2 cm
3.3. PLATRE EN PAROIS VERTICALES

Métré : Au m²
Localisation : Selon plans architecte sur les murs de refends intérieurs
La fourniture et pose de plâtre manuel des murs de refends.
Enduit type PF VERAL norme N.F.B. 12.201.
La terminologie et les conditions sont spécifiées par les normes françaises N.F.B. 12.300 et
N.F.B.12.301.
La finesse du plâtre proposée devra être conforme aux normes N.F.B. 12.401 (article 2.211). Les
parois verticales seront exécutées au plâtre fin, jeté à la taloche, soigneusement dressé et lissé
pour une épaisseur de 10 à 20 mm.
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Tous les angles seront traités comme suit : renfort métallique type cornière d’angle métallique à
boudin.
Planimétrie :
Sous une règle de 20 cm, 1 cm d’écart toléré.
3.4. GAINE TECHNIQUE

Métré : Au m²
Localisation : Selon plan architecte
Fourniture et pose de cloisons de gaines techniques CF1h
Constitution :
une plaque de parement en plâtre cartonné et à bords amincis par faces de la cloison, de 15 mm
d’épaisseur à monter jusqu'à la dalle haute existante
Une isolation acoustique 40mm mini en laine de roche haute densité
Ossature métallique protégée contre la corrosion
Performances et caractéristiques de cloisons :

Résistance au feu : EI 60
Renforts de cloisons : Suivant aménagement définitif des équipements sanitaires.
Traitement des pieds de cloisons selon DTU
3.5. HABILLAGE DES CHASSIS DE WC SUSPENDUS

Métré : A l’unité ,
Localisation : Selon plan architecte, ensemble des locaux humides et WC
Fourniture et mise en œuvre des habillages des châssis de WC suspendus fournis par le lot
Plomberie Sanitaire y compris fixations appropriées, encastrement aux cloisons du présent lot ;
Cet habillage complet sera réalisé en plaques de plâtre pour les éléments en saillie (parois
verticales, tablettes).
Traitement des joints par calicot et enduit, bande armées + enduit sur angles saillants
3.6. POSE DES HUISSERIES

Métré : A l’unité , portes à simple vantail et doubles vantaux
Pose, réglage et fixation dans les cloisons des huisseries et châssis vitrés fournis par le lot
Menuiseries intérieures, y compris réalisation d’un joint acrylique en périphérie.
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3.7. RENFORTS EN CLOISONS SUR OSSATURES

Localisation : Selon plan du Maître d’Œuvre
Sanitaires
Douches : mise en œuvre d’un renfort à base de contreplaqué CTBH, de bois traité C3 ou
d’ossatures métalliques galvanisées à chaud, fixé aux ossatures verticales de la cloison et
permettant de fixer :
- une barre de relevage
- un siège de douche
Cabines WC : mise en œuvre d’un renfort à base de bois ou d’ossatures métalliques, fixé aux
ossatures verticales de la cloison, permettant de fixer une barre de relevage coudée.
Important : ces renforts seront signalés et cotés de façon précise dans le dossier de récolement
dans les trois dimensions
3.8. POSE DES TRAPPES DE VISITE ET PORTES DE GAINES TECHNIQUES

En pied de chaque gaine technique
Pose des cadres dormants de trappes fournies par le Lot menuiserie intérieures bois y compris
scellement et fixations aux droits des cloisons en plaque de plâtre sur ossature métallique.
Calfeutrement périmétrique entre l’huisserie / cloison au plâtre ; finition par joint acrylique
3.9. PANNEAUX ACOUSTIQUES MURAUX

Métré : m²
Localisation : Suivant plans, en particulier, office
Fourniture et pose de panneaux d’absorption acoustiques muraux mineraux de type Organic
Twin 35 ou équivalent.
Pose par double encollage néoprène suivant prescription du fabricant. Réalisation de joints
souples étanches en périphérie des panneaux et sur éléments sanitaires.
Classement feu A2,s2-d0 miminum.
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3.10. FAUX PLAFONDS

3.10.1. FAUX PLAFOND EN LAMES DE FIBRE PE NON TISSEES
Métré : Au m2
Localisation : Selon plan architecte en particulier plan de plafond.
Réalisation de plafond acoustique en fibre PE non tissées, thermoformées à joint ouvert entre les
panneaux de sections rectangulaires comprenant :
Ossature :
Ossature réalisée en suspente métallique, fixation mécanique en sous face de plancher.
Support : en sous-face de dalle BA.
Plafond lame PE non tissées :
Section des lames : 80 x 40 mm d'épaisseur
Entraxe des lames : 20 mm
Plénum : 15 cm de vide minimum
Laine minérale déroulée 40mm sur feutrine noire
Classement au feu : B-S1, d0 EN 13501-1
Aspect de finition : Finition, au choix du maître d’ouvrage
Pose : Suspendu en sous-face de dalle
Isolation acoustique :
Alpha sabine : 0.50,
Masse volumique : 4.6 kg/m²
Euroclasse : A1 (classement Feu)
Référence : type HeartFelt ou techniquement équivalent
3.10.2. FAUX PLAFONDS DEMONTABLES EN DALLE MINERALES

Métré : Au m2
Localisation : Selon carnets de repérage architecte, en particulier plan de plafond
Vestiaires, locaux humides, bureaux.
Fourniture et pose de dalles de faux-plafond type Perla OP 0,95 d’Armstrong ou produit de valeur
technique équivalente au choix du maitre d’œuvre, y compris sujétion de calepinage de décor et
de teinte. A bords droits, finitions microlook 90, ou SL 2 selon localisation.
Dimensions et calepinage des panneaux selon plan de plafond.
Pose sur ossature apparente de 15 mm en profil laqué teinte suivant nuancier RAL au choix du
Maître d’œuvre.
L’ensemble sera suspendu par des suspentes appropriées et réparties selon les spécifications du
fabricant, y compris sujétions de renforts au droit des luminaires, bouche de VMC, etc.
Sujétion de réservation dans les dalles pour luminaires et bouches de VMC
Sujétion d’habillage en retombée à la périphérie des zones de faux-plafond Perla OP réalisés en
BA 13. Le panneau posé verticalement sur ossature sera tenu par des cornières de rive type F en
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“pied” et L de 34 x 15 en “tête”, y compris sujétion de pose et de fixation et de liaison avec le faux
plafond.
Dalles grillagées en aluminium laqué blanc incorporées au droit des extractions de désenfumage
en plafonds des circulations ainsi que pour la ventilation des faux plafonds, selon repérage sur
les plans.
Performances et caractéristiques des faux plafonds :
Réaction au feu : A2-s1, d0
Absorption acoustique : Conforme aux coefficients de la notice acoustique
▪ Référence : Perla OP 0.95 SL2 et microlook ou produit de valeur technique équivalente.
3.10.3. FAUX PLAFOND EN DALLE DE LAINE DE BOIS

Métré : Au m2
Localisation : Selon plan architecte en particulier plan de plafond.
Faux-plafonds en panneaux acoustiques à bords droits, composés d’un complexe en laine de
bois très fine d‘épicéa, minéralisée et enrobée de liant ciment/chaux blanche (fibre de 1 mm de
largeur) d‘épaisseur 25 mm et d‘un isolant en laine de roche de 50 mm.
Fixation des panneaux :
Par fixation mécanique sur suspentes (trame des suspentes 60*60)
Pose sur ossature apparente dans la gamme du fabricant, en profil laqué teinte suivant nuancier
RAL au choix du Maître d’œuvre.
Caractéristiques :
Coefficient d’absorption acoustique alpha w ≥ 0.95
Épaisseur minimum des panneaux : 75mm
Réaction au feu : B-s1-d0
Dalle acoustique en laine de bois de type PUREBEL DUO et PUREBEL SOLO de siniat ou ORGANIC
MINERAL, de chez KNAUF ou techniquement équivalent.
3.10.4. ISOLATION INTERIEURE THERMIQUE 45MM

Métré : Au ml
Localisation : Selon plans architectes et étude thermique
Sur la périphérie des locaux chauffés, en sous face de plancher haut
Selon plan de plafonds, hors locaux recevant des panneaux fibre de bois + laine de roche fixés sous
dalle
La fourniture et la pose d’un isolant rigide collé en sous face de plancher en laine de roche sur
une profondeur d’1.20m au droit des murs extérieurs.
Pose collée
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Résistance thermique minimum exigée : R = 1.00 m².K / W conforme à l’étude thermique.

Au droit des pièces humides, les panneaux présenteront les caractéristiques techniques
requises.
3.10.5. FAUX PLAFONDS EN PLAQUE DE PLATRE

Métré : Au m2
Localisation : Selon carnets de repérage architecte et carnets de repérage, en périphérie des faux plafonds
démontables.
▪ Fourniture et pose de faux plafond non démontable en plaques de plâtre 13mm à bords
amincis, vissées sur ossature métallique galvanisée comprenant :
▪ Une ossature primaire composée de profilés métalliques porteurs en acier galvanisé,
entretoises, cornières de rives, types et espacements appropriés suivant notice technique du
fabricant
▪ Un dispositif de suspentes par tiges filetées galvanisées, chevillées à la structure métallique,
manchons, pattes et clavettes, coulisseaux, étriers anti-soulèvement, brides etc.
▪ Mise en œuvre de piges en périphéries d’ouvrages pour contrôle de l’épaisseur.
▪ Laine minérale déroulée de 50mm sur toute la surface
▪ Plaques de plâtres 13mm à bords amincis
▪ Joints entre panneaux et jonction avec les parois parfaitement traitées
▪ Y compris renforts au droit des trappes de visite
▪ La prestation comprendra également :
▪ découpes pour incorporation de matériels (appareils d’éclairage, bouches de ventilation,
trappes,…) en coordination avec les lots Électricité, Chauffage Ventilation qui devront fournir
à temps leurs plans de réservation,
▪ Chevêtres, constitués de profilés en tôle d’acier protégée contre la corrosion
▪ pour les pièces humides la prestation comprendra le remplacement des plaques de plâtre
standard en plaques hydrofuges à haute résistance à l’humidité de 13 mm d'épaisseur et
traitement des joints avec des produits hydrofugés suivant avis technique des produits
utilisés.
3.10.6. FAUX PLAFONDS EN PLAQUE DE PLATRE CF 1H

Métré : Au m2
Localisation : Selon carnets de repérage architecte et carnets de repérage, en particulier local ménage et stock
temporaire
▪ Fourniture et pose de faux plafond non démontable en plaques de plâtre 18mm à bords
amincis, vissées sur ossature métallique galvanisée comprenant :
▪ Une ossature primaire composée de profilés métalliques porteurs en acier galvanisé,
entretoises, cornières de rives, types et espacements appropriés suivant notice technique du
fabricant
▪ Un dispositif de suspentes par tiges filetées galvanisées, chevillées à la structure métallique,
manchons, pattes et clavettes, coulisseaux, étriers anti-soulèvement, brides etc.
▪ Mise en œuvre de piges en périphéries d’ouvrages pour contrôle de l’épaisseur.
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▪ Plaques de plâtres 18mm à bords amincis de type Prégyplac BA18S de chez Siniat ou
équivalent.
▪ Joints entre panneaux et jonction avec les parois parfaitement traitées
▪ Y compris renforts au droit des trappes de visite
▪ La prestation comprendra également :
▪ découpes pour incorporation de matériels (appareils d’éclairage, bouches de ventilation,
trappes,…) en coordination avec les lots Électricité, Chauffage Ventilation qui devront fournir
à temps leurs plans de réservation,
3.11. RETOMBEES EN PLAQUES DE PLATRE

Métré : Au m²
Localisation : Selon plan de plafond:
La fourniture et pose d’ossatures en acier galvanisé 48 - 35, montants doubles entraxe de 60 cm
Une plaque type BA13, épaisseur 13 mm sur chaque face
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CCTP PHASE DCE

LOT 04 – MENUISERIES EXTERIEURES
Date Approuvé
par
LOT 04 MENUISERIES EXTERIEURES / ind 1
SOMMAIRE
Pages
1. GENERALITES ET PRESCRIPTIONS GENERALES .............................................................................. 3
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT MENUISERIES EXTERIEURES – FACADES RIDEAUX 4
2.1.3. NORMES – REGLEMENTS ET HYPOTHESES SPECIFIQUES DU LOT 4
2.1.5. RELEVES DE MESURES 15
2.1.6. ISOLATION ACOUSTIQUE 15

3.1. GENERALITES MURS RIDEAUX 16
3.2. GENERALITES CHASSIS VITRES 18
3.3. CHASSIS FIXE METALLIQUE 21
3.4. CHASSIS FIXE METALLIQUE SUR EXISTANT 22
3.5. ENSEMBLE VITRE MURS RIDEAUX 22
3.6. CHASSIS ALUMINIUM OF 24
3.7. BRISE SOLEIL ORIENTABLES 24
3.8. MOUSTIQUAIRES REPLIABLES 25
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1. GENERALITES ET PRESCRIPTIONS GENERALES

Le présent document est le cahier des clauses techniques particulières (C.C.T.P.) qui définit les ouvrages à réaliser au
titre du lot n°04 – MENUISERIES EXTERIEURES OCCULTATIONS dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées
d’établir leur proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault
(34) en liaison avec les autres pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT MENUISERIES EXTERIEURES – FACADES RIDEAUX

Le présent document a trait aux travaux à exécuter en concordance avec les plans « Architecte » ainsi que les plans
techniques des autres lots, et ne présente aucun caractère limitatif. Les entreprise devront exécuter, comme étant
compris dans leur forfait, sans exception ni réserve, tous les travaux de leur profession indispensables au parfait
achèvement des ouvrages, et ce, quelles que soient les quantités d’ouvrages qu’elles auront énoncées dans leurs
offres.

(Voir CCTP lot 00)
2.1.3. NORMES – REGLEMENTS ET HYPOTHESES SPECIFIQUES DU LOT

2.1.3.1. DOCUMENTS
Pour l’étude des ouvrages décrits, il a été fait référence notamment aux documents techniques suivants :
▪ DTU 33.1
▪ DTU 33.2
▪ DTU 34-1
▪ DTU 34.2
▪ DTU 36.5
▪ DTU 39 ; En particulier, les vitrages satisferont notamment les prescriptions du § 5 P5 en terme de protection
des personnes vis-à-vis des risques de blessure en cas de heurt
▪ DTU 44.1
▪ Prescriptions techniques – classement EdR des éléments de remplissage des panneaux de façades menuisés
2.1.3.2. CLASSEMENT DES VITRAGES - AEV

Pour les menuiseries extérieures :
▪ Région 2
▪ Situation b
▪ Perméabilité à l’air : classe A*3
▪ Etanchéité à l’eau : classe E*4
▪ Déformation sous les charges reproduisant les effets du vent : classe V*A3
▪ Vent : Classe V2
▪ Flèche : classe de rigidité C : flèche relative ne dépassant pas 1/ 300eme de la portée selon la norme NF EN
12210.
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2.1.3.3. CLASSEMENT ACO THERM

Le certificat ACO THERM portant sur l’isolement acoustique et thermique des composants sera fourni pour chaque
type de menuiseries extérieures.
▪ Type 1 châssis coulissant, basculant, oscillo-battant
▪ Type 2 bloc-porte extérieur
2.1.3.4. CLASSIFICATION DES LOCAUX

Les locaux sont classés en fonction de leur hygrométrie et ambiances (intérieures et extérieures).
▪ Atmosphère extérieure du site :
 urbaine et industrielle normale,
▪ Ambiance intérieure des locaux :
 à moyenne hygrométrie : W/n supérieur à 2,5 g/m² et inférieur à 5 g/m²,

2.1.4.1. MENUISERIES ALUMINIUM
CHASSIS ET PORTES-FENETRES BATTANTES EN ALUMINIUM
Le dormant sera constitué de profilés tubulaires de 45 mm de largeur au minimum comportant des rainures
intérieures et extérieures pour la mise en œuvre de profilés d’habillage type couvre joint, bavettes, tapées ou tôle
de 15/10° d’épaisseur.
Pièce d’appui rapportée avec gorge de récupération des eaux de condensation à l’intérieur et une rainure
extérieure recevant une bavette rapportée en profilés filés de 40 mm de débord.
Un couvre-joint clipsé et démontable de 20 mm de largeur minimum est prévu aux quatre faces intérieures.
Les ouvrants seront constitués de profilés tubulaires de 55 mm de largeur au minimum et permettront la
réalisation de fenêtres ou de portes-fenêtres d’une hauteur maximum de 2.400 m.
Les assemblages seront réalisés en coupe d’onglet avec insertion d’une équerre à sertir ou à visser.
Le drainage du dormant sera réalisé par trous oblongs dans le battement intégré et son évacuation par déflecteurs
en façade munis de clapets anti-vent et pare-tempête.
Le drainage et l’équilibrage de la feuillure de l’ouvrant seront réalisés par trous oblongs.
L’étanchéité sera réalisée par un joint de battue en EPDM situé en partie centrale assemblé d’onglet et soudé dans
les angles et en face arrière par une barrière de joints EPDM tournants dans les angles.
Les parcloses seront à coupe droite et la prise de volume de 4 à 30 mm se fera par joint EPDM de qualité marine
avec une hauteur de feuillure de 20 mm minimum.
Les meneaux éventuels simples ou renforcés ainsi que les traverses seront assemblés en coupe droite avec
insertion d’un flipot d’assemblage vissé.
Toute la visserie sera en acier inoxydable.
Ces menuiseries posséderont, sauf spécification contraire, un classement minimum A3-E2-V2.
Ces menuiseries sont à rupture de pont thermique.
CHÂSSIS ET PORTES-FENÊTRES OUVRANT À LA FRANÇAISE À UN OU DEUX VANTAUX.

La fermeture sera réalisée par un système de crémone encastrée avec entraîneurs (avec points supplémentaires
de verrouillage suivant hauteur) et embouts en polyamide ou en acier inoxydable sur tringle de verrouillage
manœuvrée par une poignée simple ou à clé de type ½ réversible en applique et sans fixations apparentes.
Les paumelles (en nombre suffisant suivant hauteur et poids des vantaux) réglables seront en aluminium avec
chemise en polyamide, axes, inserts et visserie en acier inoxydable.
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2.1.4.2. MENUISERIES METALLIQUES

Menuiseries extérieures a vitrer réalisées à partir de profilés du commerce tubulaires à ailettes en acier fabriqués
par formage à froid à partir de feuillard en acier de sections, formes et profils adaptés au type et dimensions de
l'ouvrage de menuiserie pour bâti dormant et ouvrant et traité anticorrosion (zingué ou galvanisé en continu
avant usinage), épaisseur des dormants de 45 à 55mm de type Forster, Ferro-Wic, Jansen ou RP Technik ou
équivalent.
Les dormants et traverses seront munis de rainures pour l'insertion des joints et le clipsage des parcloses. Les
ouvrants seront à recouvrement et les chambres des profils seront étudiés pour permettre la parfaite mise en
oeuvre des quincailleries.
Les traverses, les angles d'ouvrants et de dormants seront soudés, soigneusement meulés et surfacés avant
reprise des traitements de surface tels que définis ci-avant. Les zones non soudées des coupes d'onglet seront
étanchées au joint silicone - élastomère 1° catégorie mis en œuvre suivant les recommandations du SNFJ.
Les parcloses seront de formes et de profils adaptés aux type de profilés et à l'épaisseur des vitrages.
Compris tous joints étanchéité de type EPDM adaptés au système de construction. Les drainages et la ventilation
de la chambre seront réalisés par des goulottes s'évacuant à l'extérieur avec busettes anti-refoulement, les
feuillures seront drainées conformément au cahier des charges du concepteur-gammiste et les joints de vitrage
seront en EPDM en pose périmétrique et continu (les angles pouvant être soudés).
Il sera prévu une goulotte de récupération des eaux de condensation éventuelles et des jets d'eau en tôle pliée en
partie basse sauf si le système utilisé permet de garantir une étanchéité à l'eau optimum sans.
Compris quincaillerie spécifique avec manœuvre en aluminium laqué ou anodisé ton incolore en fonction avec le
type d'ouvrant.
Non compris vitrage, pièce d'appui, tapées ou précadres éventuels à reprendre.
Compris pattes de fixation pour scellement ou chevillage et joint d'étanchéité périphérique de type élastomère 1è
catégorie sur fond de joint.
Les petites pièces accessoires et la visserie seront en acier inoxydable.
La pose et la fixation des menuiseries seront réalisés par tous moyens adaptés au support. Les dimensions des
profilés seront déterminés par l'entrepreneur en fonction du type de menuiserie, de son emplacement et de son
exposition, de la fonction de l'ouvrage.
Les ouvrages de menuiseries seront livrés sur chantier
▪ soit thermolaqué en usine par poudrage polyester sur préparation de surface conforme à la norme NF P24-351,
avec garantie 7+3 (100% de garantie pendant 7 ans puis de façon dégressive pendant les trois années suivantes
quelque soit le type d'atmosphère, l'entrepreneur étant censé avoir pris tous renseignements utiles avant
remise de son offre.
▪ soit ayant reçu un traitement anti-corrosion tel que défini dans les clauses particulières par peinture primaire
▪ soit brute pour être peinte par le lot spécialisé.
2.1.4.3. JOINTS
L'entreprise du présent lot sera notamment responsable dans l'emprise des façades et autres ouvrages qui lui
sont confiés de :
▪ l'étanchéité à l'eau,
▪ l'étanchéité à l'air,
▪ l'étanchéité phonique.
JOINTS D'ETANCHEITE ENTRE MENUISERIES ET MAÇONNERIE

▪ Fonds de joints : bandes cellulaires en polyéthylène, à section rectangulaire ou cylindrique, suivant les cas
▪ Joints de remplissage : mastic élastique silicone de première catégorie (y compris primaire compatible, si
nécessaire)
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JOINTS D'ETANCHEITE ENTRE SOUS-ENSEMBLES DE MENUISERIES

Joints en mastic élastique silicone de premières catégories, complétées, selon les cas, par fond de joint en bandes
cellulaires ou bandes de mastic préformé à plasticité permanente en butyl/polyisobutylène de section adaptée à
celle du joint à obturer.
JOINTS POUR ETANCHEITE DES OUVRANTS A FRAPPE

Joints spéciaux conçus pour satisfaire aux critères de classement A.E.V exigé.
Joints souples en matière extrudée (néoprène, E.P.T, E.P.D.M, etc.) disposés en fonction des différents systèmes
décrits au présent C.C.T.P. :
▪ soit à double barrière avec chambre de décompression,
▪ soit à double barrière, dont la principale traitée avec joint central situé à l'arrière de la chambre de
décomposition.
JOINTS OU MASTICS DE MISE EN OEUVRE DES PRODUITS VERRIERS

Mise en œuvre des produits verriers sur menuiseries métalliques d'alliage léger, protégées, selon les cas, par
oxydation anodique ou traitement de laquage.
Feuillures à vitrage avec parcloses en alliage léger et rive inférieure drainée.
Les accessoires et produits de mise en œuvre comprennent :
▪ tous calages : cales périphériques, y compris cales d'assise, ainsi que les cales latérales sur les deux faces,
▪ produits d'étanchéité à prévoir pour les deux faces intérieures et extérieures,
▪ dimensions et qualités des coupes,
▪ << >> résistances de soudures, des ébavurages et des assemblages,
▪ qualité et positionnement des écoulements d'eau, des fiches,
▪ vérifications des joints, du vitrage et des ferrages.
L'évacuation de l'eau sera contrôlée et canalisée vers l'extérieur par des gorges et des trous de buée distants au
plus de 0,60 m.
L'étanchéité à l'air et à l'eau sera de qualité améliorée et garantie entre ouvrages et éléments d'ouvrage par un
double joint de profil et de nature adaptés, interchangeables et étanche dans les angles. Les jonctions avec les
maçonneries seront traitées avec joint périphérique compressible, possédant le label SNJF 1ère catégorie et joint
de finition au mastic plastique imputrescible dans le ton des menuiseries. Ces matériaux d'étanchéité seront
neutres et compatibles avec les matériaux contigus et profilés. Le contrôle des performances sera réalisé par
prélèvement sur série les produits subissant des tests d'étanchéité à l'air et à l'eau, de résistance au vent et des
contrôles d'isolation acoustique et thermique pour vérifier leur conformité aux normes et aux exigences prescrites
par le présent cahier des charges.
CODE DESIGNATION
L'ensemble des menuiseries devra être posé vitré les parties vitrées ou recevant un remplissage, comporteront
des cales de drainage et des Parcloses clipées avec joint souple d'étanchéité. Toute la visserie utilisée sera en acier
de qualité inoxydable, les trous de vis, tant pour la solidarisation des raidisseurs et renforts que pour la fixation
des ouvrages seront refermés par des bouchons PVC dans le même ton que les éléments.
Les fixations en nombre et en dimensions correspondants à la taille des châssis, ils seront situés à 200 mm des
angles et espacés au plus de 0,65 m . Ils tiendront compte des complexes d'isolation et devront transmettre
intégralement les efforts des menuiseries aux ouvrages de structure. Les ruptures de ponts phoniques et
thermiques seront aussi assurées.
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2.1.4.4. VITRAGES
2.1.4.4.1 VITRAGE DES MENUISERIES
VITRAGES COURANTS
Les vitrages courant répondront aux spécifications du D.T.U et aux prescriptions et normes qui les concernent, ces
vitrages sont essentiellement les suivants :
▪ les vitrages étirés transparents ou translucides;
▪ les glaces non colorées;
▪ les verres trempés avec certification CEKAL ;
▪ les verres armés;
▪ les verres feuilletés à base de PVB avec certification CEKAL ;
▪ les verres doubles ou triples (avec certification CEKAL) constitués d'un espace d'air rempli d'air ou de gaz
comportant éventuellement des croisillons, de produits verriers transparents ou semi-transparents minéraux
simples ou feuilletés, d'intercalaires métalliques soudés ou collés à l'aide de mastic polysulfure, polyuréthane
ou silicone en simple ou double barrière ou d'intercalaires non préfabriqués en mastic comportant un
déshydratant.
VITRAGES ISOLANTS
Les vitrages isolants devront impérativement avoir obtenu la certification CEKAL.
Pour les vitrages isolants acoustiques, ils répondront à la répartition des classes de performances acoustiques
définis par le label CEKAL (Classes acoustiques AR1 à AR6).
VITRAGES AYANT DES PERFORMANCES DE RÉSISTANCE AU FEU

Ces vitrages devront toujours être certifiés par un procès-verbal établi par un laboratoire agréé conformément à
l'arrêté de 3 août 1999 et ses annexes et à l'arrêté du 22 mars 2004 et ses annexes relatif à la résistance au feu des
produits, éléments de construction et d'ouvrages.
Cependant le classement étant attribué à un élément de construction complet (encadrement - bâti - châssis -
vitrages - accessoires - fixations et mise en œuvre et support qui reçoivent solidairement le classement),
l'entrepreneur se devra à une mise en œuvre conforme à ce procès verbal, s'obligera à une coordination totale
avec les autres corps d'état concernés et devra fourni le procès-verbal correspondant fixant avec précision les
rôles et attribution de chacun.
Dans un souci de simplification des procédures il convient qu'un seul entrepreneur prenne la responsabilité de
l'ouvrage fini, en conséquence l'entrepreneur du présent lot se rapprochera des entrepreneurs en charge des lots
Menuiseries Extérieures ou Métallerie - Menuiseries Métalliques de déterminer qui sera responsable de l'ouvrage
et soumettra cette décision à l'information du Maître d'œuvre.
VERRES FEUILLETÉS
Les verres feuilletés devront répondre aux normes et spécifications techniques les concernant et notamment :
▪ NF EN ISO 12543-1 de décembre 1998
▪ NF EN ISO 12543-6 de décembre 1998
▪ NF EN 1063 d’août 2000 concernant la mise à l'essai et la classification de la résistance à l'attaque par balles.
En ce qui concerne la résistance aux chocs en cas de garde-corps ou d'ouvrages en allège il sera fait application de
la norme NF P01-012, en ce cas c'est l'ensemble de l'ouvrage qui se doit d'être conforme et l'entrepreneur du
présent lot devra se rapprocher et se coordonner avec les autres corps d'état intervenant tel qu'il est précisé à
l'article ci-avant.
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AUTRES PRODUITS VERRIERS

Les autres produits verriers et notamment les verres teintés, les verres réfléchissants ou semi-réfléchissants, les
verres à faible émissivité etc.… devront répondre aux normes les concernant ou avoir fait l'objet d'Avis
Techniques spécifiques.
VITRAGES À HAUTES PERFORMANCES ACOUSTIQUES

Suivant application de la nouvelle réglementation acoustique, il sera fait application du classement acoustique
des vitrages isolants suivant définition du label CEKAL complétant le marquage TR "Thermique renforcé" en
fonction de l'indice d'affaiblissement acoustique recherché.
Il est toutefois précisé que l'indice d'affaiblissement acoustique est obtenu sur un ouvrage fini, en fonction de quoi
l'entrepreneur du présent lot devra se rapprocher de l'entrepreneur en charge du lot menuiseries extérieures afin
de déterminer avec précision l'indice d'affaiblissement acoustique des vitrages à mettre en œuvre.
Ceci ne saurait en aucune façon remettre en cause la valeur financière de la présente offre.
▪ Niveau 1 : 28 dB(A)
▪ Niveau 4 : 36 dB (A)
PRODUITS NON VERRIERS

Les produits non verriers fournis et mis en œuvre par l'entrepreneur du présent lot et réalisés à partir de
polycarbonates, de méthacrylate, de résines autres ou de quelque nature destinés au remplissage d'ouvrages de
menuiseries, métallerie, murs rideaux ou façades assimilés, garde-corps ou similaires etc.… devront répondre aux
normes les concernant lorsqu'elles existent ou avoir fait l'objet d'un Avis Technique correspondant strictement à
la mise en œuvre envisagée.
PRODUITS ACCESSOIRES
PRODUITS POUR JOINTS ET GARNITURES ÉTANCHÉITÉ

Ces produits répondront aux spécifications des normes et DTU qui leur sont propres et concernent
essentiellement les mastics à l'huile de lin, les mastics oléoplastiques, les mastics bitumineux, les mastics
obturateurs, les bandes préformées, les fonds de joints et les profilés caoutchouc ou élastomères dont les
références de normes et DTU sont rappelés ci-avant.
CALES
Les prescriptions concernant la nature, les matériaux acceptés, les dimensionnements, la dureté, la position et les
jonctions des cales d'assises et périphériques sont définies dans les divers D.T.U. concernant le présent lot (DTU
36.1 / 37.1 / 39), les normes, avis et spécifications techniques des ouvrages concernés tels que figurant ci-avant
notamment pour les ouvrages murs-rideaux, verrières, panneaux de façades, VEC, VEA ou VEP.
PRODUITS ET ACCESSOIRES MÉTALLIQUES

Les produits ou accessoires métalliques de fixation, de serrage, de ferrage ou autres devront impérativement être
en alliage d'aluminium anodisé ou laqué, en bois traité, en acier traité contre la corrosion, en acier inoxydable, en
laiton chromé ou non, en bronze ou tout matériau similaire accepté par les normes, DTU ou Avis Technique en
vigueur suivant définition qui en est faite au lot titulaire de la fourniture de l'encadrement.
L'entrepreneur du présent lot devra s'assurer que le matériau utilisé pour ces produits et accessoires de fixation,
de serrage, de ferrage ou autre est compatible avec la nature du vitrage mis en œuvre.
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2.1.4.4.2 SYSTEME DE VITRAGES EXTERIEURS DE FAÇADES

VITRAGE EXTÉRIEUR COLLÉ (VEC)
Sans qu'il soit nécessaire de rappeler les textes et normes définis ci-avant, il est utile de rappeler que ce type de
mise en œuvre de produits verriers constituant l'enveloppe extérieure du bâtiment devra :
▪ être titulaire d'un Avis Technique
▪ répondre au Cahier des Prescriptions Techniques (CPT) établi par le CSTB
▪ éventuellement être titulaire d'un Agrément Technique Européen (ATE) dès parution et approbation du guide
spécifique à ces travaux.
VITRAGE EXTÉRIEUR ATTACHÉ (VEA)

Sans qu'il soit nécessaire de rappeler les textes et normes définis ci-avant, il est utile de rappeler que ce type de
mise en œuvre de produits verriers constituant l'enveloppe extérieure du bâtiment devra :
▪ être titulaire d'un Avis Technique
▪ éventuellement être titulaire d'un Agrément Technique Européen (ATE) dès parution et approbation du guide
spécifique à ces travaux.
TOLÉRANCES DE FABRICATION
Les tolérances de fabrication que ce soit pour l'épaisseur, le dimensionnement, l'équerrage ou la flèche avant ou
après mises aux dimensions sont prescrites par les normes et DTU.
A défaut, ces tolérances seront celles prévues et définies par le fabricant du produit verrier considéré dans la
mesure ou celui-ci possède toutes les compétences et les agréments nécessaires dont l'entrepreneur du présent
lot devra faire la preuve.
2.1.4.5. QUINCAILLERIE
La quincaillerie, les ferrages, les accessoires de manœuvres et les serrures devront répondre en tous points aux
normes les concernant. Cette conformité devra être matérialisée par la marque NF-SNFQ poinçonnée par le
fabricant sur la pièce.
Ces quincailleries, ferrages, accessoires de manœuvre et serrures devront être adaptées à la menuiserie qui les
reçoit, avoir reçu l'agrément du concepteur - gammiste et être en tous points identiques à celles ayant été
utilisées lors des essais de la menuiserie.
L'entrepreneur devra livrer au Maître d'ouvrage toutes les clés et accessoires de manœuvre nécessaires pour une
utilisation normale des menuiseries.
Toutes les clés, sauf spécifications contraire, seront livrées en trois exemplaires.
Les cylindres et canons de serrures ayant été utilisé en cours de chantier seront remplacés par des neufs.
En cas de combinaison de serrures ou d'organigramme (dont la charge peut être demandée au présent lot si
nécessaire), l'entrepreneur devra se conformer aux marques et aux spécifications définies par ces impératifs.
Tous les articles de ferrages, quincailleries, serrures etc. devront toujours être présentés au Maître d'œuvre pour
acceptation préalable à toute commande ou à toute fabrication.
Ces articles s'entendent fournis et posés dans les règles de l'art, leurs dimensions et leur force seront adaptées
aux dimensions et poids des ouvrages ainsi qu'à leur usage.
La quincaillerie et les ferrages devront permettre une manœuvre aisée des ouvrants et posséder tous les
dispositifs de sécurité à la manœuvre et au nettoyage tels que définis par les normes en vigueur.
Les quincailleries et articles de ferrage devant rester apparents seront de même finition que la menuiserie qui les
reçoit (anodisé ou laqué) sauf spécifications contraires.
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2.1.4.6. COFFRE VOLETS ROULANTS

D'une façon générale les coffres de volets roulants font partie des prestations du présent lot.
Pour mettre en œuvre des coffres de volets roulants, il est rappelé que ces coffres doivent être de conception et de
performance n'entraînant pas la perte ou la détérioration des caractéristiques d'étanchéité, d'isolation thermique
et d'isolation phonique de la menuiserie.
2.1.4.7. VISSERIE ET PETITS ACCESSOIRES

Toute la visserie ainsi que les petits accessoires nécessaires à une parfaite finition de l'ouvrage devront répondre
aux normes les concernant. La visserie et accessoires annexes (rivets, rondelles, écrous etc.…) seront toujours en
acier inoxydable ou en alliage léger selon leur destination et usage.
2.1.4.8. PIECES D’APPUI, JETS D’EAUX, BAVETTES ET TAPEES

Toutes les menuiseries extérieures, exception faite pour les portes courantes, comporteront sur toute leur largeur
des pièces d'appui pour la récupération et l'évacuation des eaux d'infiltration, de condensation et de
ruissellement. Les eaux d'infiltration et de condensation seront rejetées à l'extérieur par des orifices
judicieusement disposés en quinconce et de forme oblongue afin de ne pas former bulle d'air, ils devront pouvoir
être correctement entretenus et débouchés.
Les eaux de ruissellement seront rejetées hors de la partie horizontale du rejingot de l'appui support (maçonné ou
non) par une bavette faisant partie intégrante de la pièce d'appui ou rapportée sur celle-ci par clipsage ou vissage.
Toutes les parties horizontales pouvant permettre une infiltration des eaux par gravité ou ruissellement seront
munies de rejets d'eaux saillants intégrés ou rapportés.
Dans le cas ou des bavettes sont prévues, celles-ci devront être largement dimensionnées et réalisées dans un
matériau compatible avec la nature de la pièce d'appui et de la menuiserie, elles seront rigides et posséderont des
relevés d'étanchéité en extrémités. De plus elles seront impérativement démontables pour permettre le contrôle
du joint d'étanchéité de la pièce d'appui.
Dans le cas ou des tapées de volets roulants sont prévues, celles-ci seront dans le même matériau, la même nature
et la même finition que la menuiserie. Elles devront être dimensionnées en fonction de la technique de volet
roulant retenue et seront soit totalement intégrées à la menuiserie (auquel cas l'étanchéité entre le support et la
menuiserie sera réalisée sur la tapée) soit rapportées et dans ce cas facilement démontables pour permettre le
contrôle du joint d'étanchéité.
2.1.4.9. PRECADRE
Dans le cas ou des précadres sont prévus ou si la technique de mise en œuvre l'impose, ces précadres seront :
1 - Soit en acier galvanisé (tôle pliée ou profils) pouvant être laqué ou non suivant indication du CCTP
2 - Soit en aluminium dito menuiseries (brut, anodisé ou laqué).
Ces précadres devront être rigides et dimensionnés en fonction des éléments à reprendre en tenant compte de
l'environnement immédiat de la menuiserie et des ouvrages connexes (doublages intérieurs ou extérieurs,
feuillure dans le gros œuvre, coffre de volet roulant etc.…).
Ils pourront éventuellement servir de tapées pour les coulisses de volet roulant. Leurs fixations et leur étanchéité
répondront aux mêmes spécifications que celles des menuiseries.
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2.1.4.10. CALFEUTREMENTS
Les calfeutrements seront toujours conformes aux normes et D.T.U. Les choix et l'exécution de ces calfeutrements
sont du domaine du présent lot.
Le mode de calfeutrement devra figurer sur les plans de fabrication et de pose ainsi que sur les plans de détails.
La fourniture et le pose de tous habillages, bavettes ou tapées intérieurs ou extérieurs ainsi que des couvre-joints
doit être prévue au présent lot afin d'assurer une finition parfaite de l'ouvrage.
Ces éléments, sauf spécifications contraires du présent C.C.T.P. seront toujours dans le même matériau que la
menuiserie au droit de laquelle ils sont posés. Les coupes et assemblages seront parfaitement réalisés et affleurés.
Les couvre-joints intérieurs seront posés parfaitement plans et seront facilement démontables pour permettre la
réalisation des revêtements muraux.
2.1.4.11. PANNEAUX DE REMPLISSAGE

Les panneaux de remplissage dans les menuiseries composées en allège ou autres, ceux des soubassements de
porte et d'une façon générale tous panneaux de remplissage à l'exclusion des panneaux entrant dans la
composition des façades rideaux ou semi-rideaux qui sont décrits ci-après dans un article spécifique, seront des
panneaux isolants de fabrication industrielle et en aucun cas des panneaux fabriqués par l'entrepreneur à moins
que celui-ci ne fasse preuve de sa compétence en ce domaine.
Ces panneaux seront du type sandwiches constitués de deux faces à parement fini collé sur un matériau isolant.
La finition de ces panneaux est spécifiée dans les articles correspondants.
Ces panneaux devront avoir des caractéristiques techniques et des performances thermiques et acoustiques au
moins égales à celles de la menuiserie dont ils font partie intégrante.
2.1.4.12. PROTECTION CONTRE LA CORROSION

2.1.4.12.1 PROTECTION CONTRE LA CORROSION DES OUVRAGES EN ALLIAGE LEGER PAR OXYDATION ANODIQUE.
Les menuiseries, façades-rideaux, semi-rideaux ou panneaux réalisés en alliage d'aluminium seront protégés
contre la corrosion par anodisation chimique répondant à la norme NF A91-450 de décembre 1981 et aux
spécifications du label QUALANOD - EURAS - EWAA de classe 15 pour milieu atmosphérique normal et de classe 20
pour milieu atmosphérique agressif (industriel ou atmosphère marine ou équivalente).
2.1.4.12.2 PROTECTION CONTRE LA CORROSION DES OUVRAGES EN ALLIAGE LEGER PAR LAQUAGE
Les menuiseries, façades-rideaux, semi-rideaux ou panneaux réalisés en alliage d'aluminium seront protégés
contre la corrosion par peinture (liquide ou poudre) répondant à la norme NF A50-452 de septembre 1984 et au
label de qualité QUALICOAT accompagné d'une garantie de bonne tenue de 10 ans.
En milieu atmosphérique agressif (industriel ou atmosphère marine ou équivalente), il sera réclamé un traitement
de "qualité marine" reconnu dans le cadre de la charte "Chaîne Qualité Aluminium" souscrite par le GLFA, le SNFA
et l'ADAL.
2.1.4.12.3 PROTECTION CONTRE LA CORROSION DES OUVRAGES ET ACCESSOIRES EN ACIER

Les ouvrages et accessoires en acier destinés à ne pas rester apparents seront réalisés à partir de tôles ou bandes
galvanisées en continu ou de profils galvanisés à chaud suivant norme NF EN ISO 1461.
En cas d'utilisation de produits galvanisés en continu, le reconditionnement des angles, assemblages et soudures
se fera soit par projection de zinc suivant la norme ISO 2063 soit par une peinture riche en zinc appropriée. En tout
état de cause ce reconditionnement de devra dépasser 0.5% de la surface totale de la pièce et aucune surface à
reconditionner ne devra mesurer plus de 10 cm².
Pour les ouvrages en acier devant rester apparents et être traités par peinture, il sera fait application des
spécifications particulières du lot Métallerie "Traitements de surface des aciers par peinture".
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2.1.4.13. THERMOLAQUAGE
En dehors de conditions particulières d'ambiance polluée par certains agents chimiques à des concentrations
élevées, particulièrement agressifs pour l'aluminium et ses alliages, les fenêtres ou façades réalisées avec ces
matériaux conformément aux normes correspondantes, ne nécessitent un traitement de surface que pour la
conservation de leur aspect.
Ce traitement de surface, lorsqu'il est prescrit, peut être réalisé avant ou après usinage par thermolaquage.
THERMOLAQUAGE
Le thermolaquage fait essentiellement appel aux peintures en poudres thermodurcissables telles que définies à
l'article 3 (confère NFP 24-351).
Pour les ambiances extérieures, on utilise généralement des peintures en poudre polyester.
Pour les ambiances intérieures, on utilise généralement des peintures en poudre polyester ou époxy-polyester.
Les peintures polyester résistent mieux aux ultraviolets.
D'autres thermolaquages peuvent être utilisés tels les revêtements fluorés, par exemple : PVDF.
Pour les applications aux ouvrages en atmosphères extérieures, les revêtements obtenus à partir de peintures en
poudre doivent répondre aux prescriptions de la norme pr EN 12206-1.
Le tableau 24 donne, selon les ambiances ou atmosphères, les épaisseurs minimales moyennes du feuil du
revêtement mesuré selon l'annexe E. (confère NFP 24-351)
Pour les applications E 14 à E 18 ainsi que E 24 à E 28 des précautions particulières doivent être prises. Ces
atmosphères marines favorisant les phénomènes de corrosion filiforme imposent des modalités particulières du
traitement de surface.
Le label QUALICOAT permet de façon générale de satisfaire aux prescriptions du présent document. Cependant en
atmosphères marines (application E 14 à E 18 et E 24 à E 28) les modalités particulières du traitement sont, soit un
traitement préparatoire de type anodique (anodisation) tel que précisé en Annexe F1 et répondant au Label
QUALICOAT, soit le label QUALIMARINE qui impose un double décapage basique et acide afin d'enlever au
minimum 2g/m 2 pour chaque attaque.
Pour les applications aux ouvrages en atmosphères extérieures, les travaux de normalisation européenne en
cours, préciseront les prescriptions des revêtements obtenus à partir de peintures liquides.
L'utilisation de tôles ou profilés thermolaquées implique certaines limites de déformation lors d'opérations telles
que pliage ou cintrage, après thermolaquage.
Pour ces limites de déformation des tôles ou profilés thermolaquées, il convient de respecter les
recommandations du fournisseur.
D'autres prétraitements pour le thermolaquage de l'aluminium, tels que chromatation filmogène ou
préanodisation peuvent aussi permettre de satisfaire à l'équivalence précisée en 5.4. Voir annexe F.
2.1.4.14. PRESCRIPTIONS RELATIVES A LA CONCEPTION DE L'EXECUTION

L'ensemble des spécifications indiquées (au paragraphe 5 confère DTU 36.5 P1-1.) s'applique, complété des
spécifications particulières indiquées ci-après.
2.1.4.15. CALFEUTREMENT DES JOINTS

Sauf dispositions contraires du présent document, le calfeutrement par mastic est réalisé selon le NF DTU 44.1.
Les spécifications pour le calfeutrement de chaque type de joint défini par la figue 13 sont les suivantes :
▪ Joint A : Il est nécessaire d'effectuer le calfeutrement de ce joint sauf au droit d'un coffre de volet roulant où il
pourra être fait un joint E.
▪ Joint B : Dans le cas de calfeutrement la dimension du profilé d'habillage formant face de ce calfeutrement
doit être de 5 mm minimum. Ce calfeutrement est indispensable si le calfeutrement C ne peut être réalisé de
façon convenable. Ce calfeutrement sera alors assuré sur les deux montants et en traverse haute.
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▪ Joint C : Il est nécessaire et doit être continu sur les deux montants et sur la traverse haute. Un solin de mastic
élastique ou plastique peut constituer une solution.
▪ Joint E : Il n'est pas nécessaire d'effectuer le calfeutrement de ce joint si le joint A est calfeutré.
▪ Joint F : Il n'est pas nécessaire de calfeutrer ce joint lorsque le joint C est calfeutré convenablement.
2.1.4.16. TRANSPORTS ET MANUTENTIONS

Il convient d'assurer un minimum de protection contre les chocs en cours de manutention ou transport.
Durant le trajet, il est nécessaire d'arrimer les menuiseries.
Cette protection peut être assurée par des bracelets, angles, cales, etc. Il est conseillé de ne poser les poignées de
manœuvre qu'en fin de chantier. Les éléments saillants doivent être protégés.
Les cales de maintien entre ouvrant et dormant sont recommandées.
En cas de manutention séparée des dormants et des ouvrants, il convient d'effectuer le repérage de ces éléments
de préférence en atelier, afin qu'il ne puisse pas y avoir d'inversion au moment de la pose.
Dans le cas où les vitrages sont livrés séparément des menuiseries, les parcloses doivent être repérées en usine ou
pré-positionnées et remises en place selon les prescriptions du fabricant.
En cas d'ensembles menuisés, les dispositions seront prises pour éviter les déformations susceptibles de dégrader
les liaisons fixes.
Le déchargement et la manutention doivent s'effectuer sans entraîner de :
▪ Rupture
▪ Déformation permanente pouvant nuire aux caractéristiques de bon fonctionnement des fenêtres
▪ Dégradation risquant d'affecter la géométrie et l'esthétique des fenêtres.
2.1.4.17. CONDITIONS PREALABLES REQUISES POUR LA POSE

La pose des fenêtres ne peut être entreprise que si les conditions générales ci-après sont toutes satisfaites.
Les travaux de gros œuvre sont suffisamment avancés pour qu'il n'y ait pas, par la suite, risque de détérioration ou
de déplacement de la fenêtre et, pour permettre à l'entrepreneur une continuité du travail :
▪ Les locaux sont dégagés et nettoyés.
▪ Les appuis de baies et les seuils sont finis, si nécessaire ragréés ou dressés et secs.
▪ Les encadrements des baies sont nettoyés de toutes salissures.
▪ Les tracés sont exécutés : traits de niveau sur les murs comportant des baies ; les nus finis extérieur et intérieur
sont repérés.
▪ Les tolérances du gros œuvre sont réputées conformes aux exigences minimales précisées en Annexe B
(Confère DTU 36.5P1-1)
Dans tous les cas où des remises en état raccord, ragréages, dressages, etc. sont nécessaires, ils auront été
exécutés, comme indiqué en Annexe B.4. (Confère DTU 36.5P1-1), avant pose de la fenêtre.
La tolérance pour le positionnement des trous en vue des scellements et pour la mise en place des taquets est de ±
10 mm par rapport à la cote nominale portée sur les plans fournis par l'entreprise de pose.
2.1.4.17.1 ACCEPTATION DES SUPPORTS

Les supports sur lesquels seront posées les menuiseries doivent être acceptées par l'entreprise de pose.
2.1.4.17.2 REALISATION DES FIXATIONS ET CALFEUTREMENTS

Les fixations et calage des fenêtres doivent être exécutés selon les dispositions de conception choisies
préalablement et indiquées au chapitre 5 (Confère DTU 36.5P1-1).
Les calfeutrements à l'aide de mastic, sauf dispositions contraires.
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2.1.4.17.3 CONDITIONS PARTICULIERES SELON LES TYPES D’OUVERTURE

Particulièrement pour les portes fenêtres et portes extérieures battantes le positionnement de ces menuiseries
doit permettre l’ouverture et le bon fonctionnement des ouvrants par rapport au niveau supérieur déclaré du sol
fini intérieur.
2.1.4.18. CONDITIONS D'USAGE NORMAL D'ENTRETIEN ET DE MAINTENANCE

Les conditions d'usage normal ainsi que l'entretien et la maintenance de toute fenêtre étant une nécessité vis-à-
vis de son aspect et de son comportement, une notice devra être fournie par le titulaire du marché au maître
d'ouvrage précisant ces recommandations.
2 Essais et contrôle des ouvrages en cas de litige
Si cela est nécessaire, en cas de litige, la vérification de l'étanchéité à l'eau d'une fenêtre posée peut être faite en
utilisant la méthode décrite dans la norme NF EN 13051.
Si cela est nécessaire, en cas de litige, des essais de vérification de la perméabilité à l'air in situ peuvent être
réalisés en s'inspirant de la méthode d'essais de laboratoire décrite dans la norme NF EN 1026. Les résultats de
tels essais ne peuvent en aucun cas permettre de vérifier la classe de perméabilité à l'air de cette fenêtre.
2.1.5. RELEVES DE MESURES

L’entrepreneur se doit, avant toute exécution, de relever sur place les dimensions et côtes de construction
nécessaires à une parfaite réalisation.
Avant tout approvisionnement ou mise en fabrication, l’entrepreneur devra relever toutes les côtes figurant sur les
plans et vérifier sur place leur exactitude.
Il sera seul responsable de ses relevés.
2.1.6. ISOLATION ACOUSTIQUE

Tous les châssis et porte fenêtres en façades des locaux habitables devront bénéficier d'une isolation acoustique
minimale selon réglementation en vigueur (NRA). Les classements acoustiques des menuiseries devront prendre
en compte l' ensemble profils + vitrage + grilles d' entrées d' air + coffres de volets roulants afin d' obtenir l'
isolement acoustique requis .(PV de classement exigés)
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Pour rappel, les caractéristiques techniques des menuiseries du projet sont :

Classement AEV = A*2E*4V*A2
3.1. GENERALITES MURS RIDEAUX

Le système de façade réalisant l’ossature secondaire est constitué de profilés montant et traverses aluminium de
50 mm de face vue, permettant la réalisation de façades type :
▪ Grille fixe
▪ Grille avec ouvrant à la Française
▪ Bande filante
▪ Aspect Cadre
▪ Pose sur structure primaire type bois, acier, béton…
OSSATURE
▪ L’ossature secondaire est constituée de montants et traverses de 50 mm de face vue avec
des modules intérieurs variants de 25 suivant la section retenue en fonction des règles, en
vigueurs, de calculs de dimensionnement des façades.
▪ Si nécessaire les constituants de l’ossature sont renforcés au moyen de profilé aluminium
extrudé spécialement conçus à cet effet, permettant d’éviter l’utilisation de tube acier en
renfort. Ce système permettra de se fixer sur une structure primaire à l’aide d’un procédé de
clame
ASSEMBLAGE
▪ L’assemblage des traverses sur le montant est réalisé en coupes droites, au moyen de
pièces spécifiques permettant l’installation des traverses en mode frontal ou par
avancement suivant la spécificité de l’ouvrage.
▪ L’étanchéité de la connexion se fera soit au moyen de bloc EPDM complété d’une étanchéité
lors de l’assemblage, soit d’une pièce auto étanchée évitant toute intervention
complémentaire lors de la pose.
▪ La réalisation de façades à pan coupé se fera au moyen des pièces spécifiques permettant la
variation d’angle de l’assemblage soit, dans le plan, ou perpendiculairement au
remplissage.
LIAISON AU GROS ŒUVRE

▪ La liaison à l’ossature primaire (gros œuvre) se fera au moyen de pièces spécifiques, en
aluminium équipées de visserie inox, permettant le réglage de la structure dans les trois
dimensions. Ces pièces permettront de réaliser des attaches fixes ou glissantes suivant le
degré de liberté requis par la conception de l’ouvrage.
▪ Les raccordements latéraux de la façade sont réalisés au moyen de profilés spécifiques en
aluminium à rupture de pont thermique afin de simplifier le raccordement et d’éviter les
déperditions thermiques.
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DRAINAGE, ETANCHÉITÉ, PRISE DE VOLUME

▪ Drainages effectués selon les recommandations du concepteur.
▪ L’étanchéité est assurée par :
▪ Un joint intérieur à solin invisible en EPDM interrompu dans les angles avec possibilité
d’angle ou de cadre vulcanisés
▪ Un joint extérieur en EPDM filant sur les parties verticales et les serreurs horizontaux.
▪ La prise de volume est de 4 à 40mm.
ISOLATION THERMIQUE
▪ L’isolation thermique entre l’intérieur et l’extérieur est assurée par l’insertion d’un profilé
isolant entre la structure interne et le profilé de serrage. L’épaisseur variera de 4 à 16 mm
suivant la performance thermique recherchée de l’ouvrage.
ESTHÉTIQUE
▪ L’aspect extérieur est :
▪ Grille apparente assuré par des capots de formes et saillies diverses suivant l’aspect
recherché,
▪ Ouvrants traditionnels (visibles de l’extérieur) pincés dans la feuillure du mur rideau,
▪ Ouverture à la Française 1 Vantail
▪ Ouvrant de type Vitrage Extérieur Collé, bordé avec adaptateur de collage, équipé d’un
vitrage VEC CEKAL..Coté intérieur, l’ouvrant est à pan incliné.
▪ Ferrage par pivots cachés en feuillure invisibles, permettant l’ouverture à 90°, manœuvre
par boîtier de crémone. Etanchéité entre dormant et ouvrant par un joint EPDM, un joint
extérieur de battement et un joint central avec angles vulcanisés.
▪ Ouvrant d’accès pour les pompiers : accès extérieur.
▪ Sur la base de l’ouverture à la française en intégration de châssis de type KALORY, le boîtier
de crémone est remplacé par un boîtier encastré manœuvrable depuis l’intérieur ou
l’extérieur par un carré.
EQUIPEMENT ET QUINCAILLERIE / MANŒUVRE

▪ La poignée aura une forme ergonomique choisie dans la gamme du fabricant par
l’architecte
PIVOT (SELON CARNET DE DETAIL ARCHITECTE) :

▪ Les pivots hauts et bas auront un axe de rotation centré dans l’épaisseur de la porte. Le
pivot sera avec frein à la fermeture.
FERMETURE (SELON CARNET DE DETAIL ARCHITECTE) A définir selon le cas :

▪ Serrure 3 points + demi-tour
▪ Serrure 3 points + rouleau
▪ Serrure électrique 1 point + demi-tour
▪ Gâche électrique
▪ Bandeau magnétique
▪ Ventouses électromagnétiques
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DESIGN
▪ Tous les profilés devront répondre à une esthétique « angle droit ». Il ne sera pas toléré
d’angles arrondis, ni au niveau des dormants, ni au niveau des ouvrants, des parcloses, et
des ensembles environnants.
PANNEAUX DE REMPLISSAGE TYPE SANDWICH ENTRE CHASSIS

▪ Panneaux de remplissage à fixation invisibles en pose verticale type panneau sandwich type
THERMIPAN de chez ISOSTA ou techniquement équivalent, adapté aux ERP
▪ Parement thermolaqué extérieur, brut intérieur
▪ Ame isolante polystyrène extrudé XPS rainuré
▪ Classement au feu M1 A2 s1d0
▪ Densité 33kg/m3
Les panneaux devront assurer l’étanchéité à l’eau et à l’air et l’isolation thermique
complémentaire au doublage rapporté côté intérieur (suivant étude thermique)
Epaisseur : suivant épaisseur et R menuiseries.
DIFFÉRENTS TYPES DE CHÂSSIS

Les généralités décrites ci-dessus s’appliquent à l’ensemble des articles détaillés suivants.
FINITION
▪ Thermolaqué finition satinée
3.2. GENERALITES CHASSIS VITRES

▪ Les profilés extrudés seront en alliage d'aluminium (Al Mg Si) 6060 (norme AFNOR) de
qualité bâtiment, assemblés :
• par équerres à sertir ou à visser pour les assemblages en onglet
• par embout de raccord droit pour les assemblages des traverses et des montants
intermédiaires éventuels.
▪ Les profilés à rupture de pont thermique, seront réalisés au moyen de barrettes en
polyamide 6.6 chargées à 25 % de fibre de verre, immobilisées par sertissage suivant norme
NF, centrée sur le profil et assurant la continuité de la rupture de pont thermique avec les
châssis environnant.
▪ La quincaillerie utilisée sera en aluminium.
▪ La visserie sera en acier inoxydable de type 18/10.
▪ Les garnitures d’étanchéité seront en EPDM de qualité bâtiment avec solins des joints de
vitrage de couleur grise.
▪ Finition laquée satinée par poudre polyester thermodurcissable
▪ Les accessoires visibles ou invisible en aluminium seront de mêmes teintes que les profilés
▪ L’isolation acoustique des menuiseries sera conforme à la règlementation en vigueur soit 33
dB.
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DORMANT
▪ Les profilés seront de forme tubulaire à trois chambres, base 62 mm, face vue extérieure de
45 mm pour la traverse haute et basse, de 51,5 pour les montants, assemblés par équerres
serties ou vissées, complétés par collage et étanchéité de fil des coupes par mastic acrylique
fluide.
▪ Une Barrière Anti-Flux sera intégrée sur la périphérie du dormant.
▪ Le système ne disposera pas de joint central d’étanchéité.
▪ L’aspect du profil de dormant sera de type « Design droit »
▪ Le drainage sera masqué dans une gorge périphérique, et ne laissera apparaitre ni busettes,
ni trous de drainage
▪ Pose au nu extérieur de l’ossature bois sur traverses et poteaux
SEUIL
▪ Le seuil de porte sera de finition thermolaqué et sera plat de hauteur 7 mm et largeur 70 mm
équipé de stries en creux pour affiner l’esthétique / à étanchéité renforcée et compatible
PMR de hauteur 18 mm et largeur 70 mm.
OUVRANT
▪ Les profiles seront de forme tubulaire à trois chambres d’isolation, base 62 mm, face vue
extérieure de 52 mm, assemblés par équerres serties ou vissées, complété par collage et
étanchéité de fil des coupes par mastic acrylique fluide.
▪ Une cage assurant l’assemblage, l’autre cage assurant le drainage,
▪ L’aspect du profil d’ouvrant sera de type « Design droit »
▪ Porte battante simple action, 1 ou 2 vantaux, ouverture intérieure ou extérieure :
▪ Les profiles ouvrant seront tubulaires à trois chambres de base 52,5 mm, assemblés en
coupe d’onglet par équerres serties ou goupillées complété par collage et étanchéité de fil
des coupes par mastic acrylique fluide translucide
▪ Les vues d’aluminium seront de 81 mm et 145,5 mm pour le battement central des portes 2
vantaux.
▪ Le système anti-pince doigts se composera de 2 joints tubulaires permettant d’éviter le
pincement des doigts à la fermeture côté rotation (Niveau 1).
▪ La plinthe en partie basse sera de hauteur 125 mm, assemblée en coupe droite, avec rejet
d’eau à rupture de pont thermique et étanchéité par double joint brosse. Le drainage sera
invisible (pas de busettes).
▪ Les portes devront répondre à un résultat d’essais ouverture fermeture de 1 million de cycle
classe 8 (EN 12400) essais CEBTP BPI n°3.6.4087.1.
MENEAUX ET TRAVERSES INTERMÉDIAIRES

▪ Simples ou renforcés suivant inertie requise, ils seront assemblés en coupe droite.
▪ La face vue extérieure des profils sera de 71 mm, et sera de type design droit
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PRISE DE VOLUME :
▪ La feuillure fera 22mm de profondeur et permettra une prise de volume de 22 mm.
▪ L’étanchéité sera assurée par joint EPDM à solin noir ou gris en harmonie avec la couleur de
l’ouvrage.
▪ Les parecloses seront droites, tubulaires et coupées à 90°.
ENVIRONNEMENT
▪ Tous les profilés recevront une rainure de clipage de 1,5 mm pour permettre la mise en
œuvre des couvre joints de finition et habillages d'épaisseur de 15/10°.
▪ Les profilés de tapées de doublage seront étanchés, clippés et solidarisés par vis auto
foreuses inox.
▪ Les tapées seront adaptées pour l’ensemble des châssis aluminium à l’épaisseur de
doublage, en particulier pour les murs en pierre (isolant + double ossature + pare vapeur +
vide technique)
▪ Les bavettes seront clippées permettant la visite du calfeutrement
▪ Le raccordement au gros œuvre sera réalisé au moyen de :
▪ - Profilé de calage isolant pour la partie basse
▪ - Vérin de calage ou de pattes de fixation, reprenant les différentes épaisseurs de doublage,
immobilisées par clameau, permettant le réglage du châssis en 3 dimensions.
ETANCHÉITÉ, DRAINAGE
▪ L'étanchéité sera assurée entre le dormant et l’ouvrant par deux joints de battement : un
intérieur et un extérieur.
▪ Les drainages invisibles seront réalisés selon les recommandations du gammiste
EQUIPEMENT ET QUINCAILLERIE / MANŒUVRE

▪ La poignée aura une forme ergonomique choisie dans la gamme du fabricant par
l’architecte
PIVOT (SELON CARNET DE DETAIL ARCHITECTE) :

▪ Les pivots hauts et bas auront un axe de rotation centré dans l’épaisseur de la porte. Le
pivot sera avec frein à la fermeture.
FERMETURE (SELON CARNET DE DETAIL ARCHITECTE) A définir selon le cas :

▪ Serrure 3 points + demi-tour
▪ Serrure 3 points + rouleau
▪ Serrure électrique 1 point + demi-tour
▪ Gâche électrique
▪ Bandeau magnétique
▪ Ventouses électromagnétiques
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DESIGN
▪ Tous les profilés devront répondre à une esthétique « angle droit ». Il ne sera pas toléré
d’angles arrondis, ni au niveau des dormants, ni au niveau des ouvrants, des parcloses, et
des ensembles environnants.
PANNEAUX DE REMPLISSAGE TYPE SANDWICH ENTRE CHASSIS

▪ Panneaux de remplissage à fixation visibles en pose verticale type panneau sandwich type
THERMIPAN de chez ISOSTA ou techniquement équivalent, adapté aux ERP
▪ Parement brut
Les panneaux devront assurer l’étanchéité à l’eau et à l’air et l’isolation thermique
Epaisseur : suivant épaisseur et R menuiseries.
DIFFÉRENTS TYPES DE CHÂSSIS

Les généralités décrites ci-dessus s’appliquent à l’ensemble des articles détaillés suivants.
3.3. CHASSIS FIXE METALLIQUE

Métré : U
Localisation : Selon carnet de détail et plans de repérages CA02 ; CA02a ; CA03 ; CA06 ; CA08.
Nature : Les prestations comprennent la fourniture et la pose des éléments suivants.
Précadre
▪ En aluminium dito menuiserie (laqué)
Châssis
▪ Le châssis est en aluminium laqué.
Vitrages :
▪ Thermique Uw = 1.40 W/m².°C
▪ Isolement acoustique = 30 dB(a)
▪ Facteur solaire Scw = 0.25 mini
▪ Facteur de transmission lumineuse Tlw = 0.40 mini
▪ Vitrage isolant double composé de 2 verres et d’un espace rempli de gaz transparent; les
verres sont feuilletés.
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3.4. CHASSIS FIXE METALLIQUE SUR EXISTANT

Métré : U
Localisation : Selon carnet de détail et plans de repérages. Sur bâtiment existant.
Nature : Les prestations comprennent le remplacement de châssis fixes existants, la fourniture et la
pose des éléments suivants.
Précadre
▪ En aluminium dito menuiserie (laqué)
Châssis
▪ Le châssis est en aluminium laqué.
Vitrages :
▪ Degré coupe-feu : REI 60
Dimensions :
▪ 0.80x0.45Ht (x4)
▪ 0.60x0.95Ht (x6)
3.5. ENSEMBLE VITRE MURS RIDEAUX

Métré : U
Localisation : Selon carnet de détail et plans de repérages. CA04 ; CA05 ; CA12.
Précadre
▪ En aluminium dito menuiseries (laqué)
Châssis / Porte
▪ L’ensemble aluminium comprenant 1 ouvrant, 1 châssis semi fixe latéral, 1 imposte fixe.
▪ Le châssis est en aluminium laqué au four.
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Vitrages :
verres seront feuilletés sur les portes fenêtres et les allèges vitrées.
Panneaux sandwichs
▪ Panneaux de remplissage en pose verticale type panneau sandwich type THERMIPAN de
chez ISOSTA ou techniquement équivalent, adapté aux ERP et sous avis technique valide
▪ Parement brut intérieur, thermolaqué extérieur
▪ Les panneaux devront assurer l’étanchéité à l’eau et à l’air et l’isolation thermique
▪ Fixation mécanique en pose sur parclose
▪ Dimension variable
▪ Thermique Uw = 1.40 W/m².°C mini
▪ Epaisseur : à adapter suivant caractéristiques thermiques et acoustiques recherchées et
épaisseur châssis.
Quincaillerie :
Pour l’ouvrant :
▪ Système de fermeture : 3 points avec organe de manœuvre
▪ Serrure à têtière filante à 3 pennes
▪ Poignée en aluminium
▪ Canon de cylindre européen
▪ Crémone pompier, ancrage en tête et pied de porte
▪ Ferme-porte hydraulique, sélecteur de vantaux
▪ Butée de porte dans la gamme du fabricant.
▪ Bâton maréchal toute hauteur en aluminium laqué noir ou gris selon choix architecte
▪ Anti pince doigt sur les chassis CA10 et CA13
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3.6. CHASSIS ALUMINIUM OF

Métré : U
Localisation : Selon carnet de détail et plans de repérages CA01 ; CA07
Précadre
▪ En aluminium laqué
Châssis
▪ Châssis composé d’un ouvrant à la française en aluminium laqué au four
Vitrages :
▪ Facteur solaire Scw 0.25 mini
Quincaillerie :
▪ La ferrure comprend la crémone, le verrouillage, les renvois d’angle et les gâches.
▪ La poignée est en aluminium.
▪ Pivots hauts et bas
3.7. BRISE SOLEIL ORIENTABLES

Métré : Ens
Localisation : Selon carnet de détails architecte
Brise-Soleil Orientable tout métal avec lames autoporteuses, sans cordon vertical apparent.
Mécanisme de relevage et d‘orientation intégré dans les coulisses.
Relevage : Par moteur électrique à commande radio.
Orientation : pantographe inoxydable pour l’orientation des lames.
Descente des lames en position ouverte à 45° ou 70°.
L’orientation des lames se fait au pas à pas à toute hauteur. Très bon obscurcissement.
Sécurité contre le relevage retardateur d’effraction. Protection du produit intégré lors de la
descente.
Lames en profil rigide bordées des deux côtés avec un joint insonorisant en matière
synthétique, largeur 96 mm, en aluminium thermolaqué.
Coulisses latérales en aluminium extrudé thermolaqué 85 × 45 mm avec patins
insonorisants.
Coloris : lames dans la gamme des 150 coloris standards de Premium Colors. Coulisses dans
la gamme des 150 coloris standards de Premium Colors ou RAL standard.
Produit conforme selon la norme européenne EN 13659. Lame supérieure (traverse
supérieure) en tôle d’acier galvanisée avec moteur pour le système de relevage et de
retournement.
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Manœuvre électrique avec commande radio :

Commandes individualisées et commande centralisée avec asservissement à un détecteur
de vitesse de vent.
Avec systême de télécommande « multittel » bidirectionnel jusqu’à 15 canaux et Pad pour
gérer l’orientation des lames.
Un détecteur de vitesse de vent sera installé en façade ouest.
Il sera relié à chaque moteur de BSO, ou au système de commande, de sorte qu’au delà du
seuil de 100 km/h des bourrasques de vent, l’ensemble des lames brise-soleil se replieront
automatiquement en position haute – en paquet derrière les lambrequins.
3.8. MOUSTIQUAIRES REPLIABLES

Métré : Ens
Localisation : Selon carnet de détails architecte ; En particulier sur les ouvrants de l’office
La fourniture et pose de moustiquaires à enroulement en caisson PVC.
Comprenant :
Coffre, coulisses et barre de charge en aluminium laqué
Toile grise en fibre de verre enduite de PVC, résistante et imputrescible.
Manoeuvre à l'aide d'un cordon de tirage et de 2 poignées sur la barre de charge.
Joint balai de 7 mm sur la barre de charge pour assurer l’étanchéité.
Butée de lame finale avec vis réglable pour rectifier les imperfections de planéité.
Pose en tunnel, dans l’extérieur du tableau des menuiseries.
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CCTP PHASE DCE

LOT 05 – MENUISERIES INTERIEURES
Date Approuvé
par
LOT 05 MENUISERIES INTERIEURES / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES................................................................................................................................ 3
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT MENUISERIES INTERIEURES 4

3.1. BLOCS PORTES INTERIEURS PLEINS 14
3.2. BLOCS PORTES INTERIEURS CF1H 14
3.3. BLOCS PORTES ACIER 15
3.4. FACADES DE GAINES TECHNIQUES 15
3.5. SIGNALETIQUE 16
3.6. COUVRE-JOINTS DE DILATATION INTERIEURS 16
3.7. PROTECTION EN PVC DE PIEDS DE PORTES 16
3.8. CLAUSTRA BOIS 16
3.9. PANNEAUX D’HABILLAGE MURAL 17
3.10. BAGUETTES HABILLAGE D’ANGLE 17
3.11. SEPARATION D'URINOIRS 17
3.12. PATERES MURALES 18
3.13. VITROPHANIE 18
3.14. FILM OPALESCENT 18
3.15. BANQUE D’ACCUEIL 18
3.16. ORGANIGRAMME - CYLINDRES 19
3.16.1. ETABLISSEMENT DE L’ORGANIGRAMME 19
3.16.2. CYLINDRES 19
3.16.3. PASSE GENERAL 19
3.16.4. CONTROLE D’ACCES 20
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1. GENERALITES

titre du lot n°05 – MENUISERIES INTERIEURES dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur
proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en liaison
avec les autres pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT MENUISERIES INTERIEURES

▪ Les autres bloc-portes ;
▪ L’organigramme ;
▪ Les châssis vitrés ;
▪ Les façades des placards coulissants ;
▪ Les aménagements des intérieurs des placards coulissants ;
▪ Les rayonnages ;
▪ Les plans de travail stratifiés ;
▪ Les plans de vasques stratifiés ;
▪ Les tableaux ;
▪ Les panneaux d’affichage ;
▪ Les habillages des joints de dilatation ;
▪ Les protections des angles ;
▪ Les signalétiques ;
▪ Les plans de sécurité incendie ;
▪ Les consignes sur portes coupe-feu ;
▪ Le détalonnage des portes ;
▪ Les nettoyages et les enlèvements hors chantier de tous déchets, gravois résultant de l’exécution des travaux
du présent lot ;

En complément des pièces demandées au CCTP lot 00 :
Plans de repérages des menuiseries
Tableaux d’associativité, porte par porte, (menuiserie, quincaillerie et équipements associés)
PV de classement au feu des portes
PV de classement au feu des vitrages pare-flamme et vitrages coupe-feu
PV de classement au feu des cloisons vitrées
Ces documents seront à produire avant exécution pour visa par le maître d’œuvre, puis au titre du récolement.
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2.1.3.1. LISTE DES DOCUMENTS
L'Entrepreneur est tenu de respecter les lois, décrets, arrêtés et règlements administratifs qui s'appliquent à cette
réalisation ainsi qu'aux normes et documents qui régissent techniquement les travaux objet du présent lot.
En cas de discordance entre ces différents documents, celui de date la plus récente fait foi.
La liste des documents rappelés ci-dessous n'est pas limitative. Tous les documents en vigueur à la date de remise
de l'offre sont réputés connus de l'Entrepreneur.
Outre les prescriptions réglementaires ou techniques d'intérêt général énoncées par le C.C.T.C. tous les travaux,
objets du présent corps d’état seront conçus et exécutés pour satisfaire aux documents techniques en vigueur 15
jours avant la date de remise des offres et notamment avec :
A) LES DOCUMENTS TECHNIQUES UNIFIÉS (D.T.U.)

Les prescriptions des D.T.U. seront intégralement appliquées et en particulier celles des D.T.U. suivants :
▪ D.T.U. N° 36.2. Menuiserie intérieure bois.
▪ D.T.U. N° 39. Travaux de vitrerie - miroiterie, en particulier la P5 en terme de protection des personnes vis-à-
vis des risques de blessure en cas de heurt ainsi que le § 5 de la NF.
B) PRÉSERVATION DES BOIS

▪ NF EN 351-2 / Préservation - Traitement préventif - Directives
▪ NF EN 351-1 / Traitement préventif - Attestation
▪ NF EN 335-2 / Définition des classes - Spécifications minimales de préservation à titre préventif Panneaux à
base de bois - Aspects généraux
▪ NF B 54-200, / Panneaux décoratifs plaqués bois - Définition et classification -
▪ NF B 54-201 et XP B 54-202 / Aspect des faces - Spécifications
C) CONTRE-PLAQUÉ
▪ NF B 54-150 / Classification - Désignation
▪ NF B 54-160 / D'usage général - Caractéristiques dimensionnelles
▪ NF B 54-161 / Panneaux extérieurs - Spécifications
▪ NF EN 313-1-2 / Classification et terminologie
▪ NF EN 635-1-2-3 / Classification selon l'aspect des faces
D) PANNEAUX DE PARTICULES ET DE FIBRES

▪ NF B 54-100 / Définition - Classification
▪ NF B 54-110 / Caractéristiques dimensionnelles
▪ NF B 54-111 / Usage en milieu sec - Spécifications
▪ NF B 54-112 / Usage présentant des risques d'exposition à l'humidité - Spécifications
▪ NF B 54-113 / À surfaces mélaminées - Spécifications
▪ NF EN 309 / Définition et classification
▪ NF EN 316 / Définition - Classification et symboles
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E) MENUISERIES EN BOIS
▪ NF B 53-510 / Bois de menuiserie - Nature et qualité
▪ NF B 52-001-4 / Règles d'utilisation du bois dans les constructions
▪ NF P 23-101 / Terminologie
▪ NF EN 942 / Classification de la qualité esthétique et définition des caractéristiques du bois dans les produits
de menuiserie massive
F) PORTES
▪ NF P 20-311 / Spécifications techniques de résistance à l'effraction
▪ XP P 20-315 / Performances des portes et blocs-portes
▪ NF P 20-511 / Mesurage des défauts de planéité générale des vantaux
▪ NF P 50-512 / Mesurage des dimensions et des défauts d'équerrage des vantaux
▪ NF P 20-514 / Comportement des vantaux placés entre 2 climats différents
▪ NF P 20-520 / Mesurage des défauts de planéité locale des vantaux
▪ NF P 23-300 / Dimensions des vantaux de portes intérieures
▪ NF P 23-302 / Portes planes intérieures - Caractéristiques générales
▪ NF P 23-303 / Portes planes intérieures de communication - Spécifications
▪ NF P 23-307 / Vantaux plans de portes palières performantes - Spécifications
▪ NF P 23-502 / Blocs-portes pare-flamme et coupe-feu - 1/2 heure
LABELS ET AUTRES
FASTE : blocs-portes intérieurs - Classement des performances au feu, acoustiques, de stabilité et de
perméabilité à l'air, thermiques et à l'effraction.
ACERFEU : résistance au feu.
A2P 1 à 3* : système de prévention contre le vol et l'incendie.
CEKAL : vitrages isolants.
GTFI : produits de traitement ignifugé.
SNJF : matériau pour joints de calfeutrement.
EUROCLASSES : classement des matériaux selon leur réaction au feu.
G) ARTICLES DE FERRAGE - QUINCAILLERIE

▪ NF P 26-101 / 301 / 314 / 315 / 409 / 412 / 414 / 428 / 431 et 432 Serrures de bâtiment - Dispositifs anti panique
▪ NF P 26-313 / 405 / 410 et 411 / Béquilles et accessoires
▪ NF P 26-306 / Paumelles
▪ NF P 26-316 / Ferme-porte à freins - Spécifications
▪ XP P 26-427 / Montures et accessoires pour portes coulissantes et pliantes suspendues
▪ NF P 26-401 / Pattes à scellement
▪ NF P 26-402 / Équerres
▪ NF P 26-403 / Verrou à entailler et à gâche plate
▪ NF P 26-304 / 309 et 312 / Articles de quincaillerie
▪ NF P 26-315 / Dispositifs anti panique
▪ NF P 27-815 / Chevilles métalliques à expansion
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▪ NF E 25-XXX / Visserie - Boulonnerie
H) LES RÈGLES PROFESSIONNELLES

▪ Les textes techniques de l'U.E.A.T.C.
▪ Règles professionnelles concernant l'utilisation des mastics pour l'étanchéité des joints.
▪ Règles UNPVF.
▪ Les règlements de sécurité contre les risques d'incendie et de panique dans sa dernière édition.
Cette liste ne pouvant être considérée comme exhaustive.

L’énumération ci-dessus des DTU et Normes n’est donnée qu’à titre d’information.
L’Entrepreneur devra se référer à tous les Cahiers des clauses ou prescriptions techniques particulières ou
administratives afférentes à tous les travaux dont il a la charge et relevant de sa spécialité, en vigueur à la date de
la remise de son offre.
2.1.3.2. HYPOTHESES DE CALCUL

(Voir CCTP 00)
NOTES DE CALCULS
L'Entrepreneur effectue la justification de l'ensemble de l'ouvrage, notamment :
▪ Le dimensionnement de tous éléments de structure, habillages, quincailleries, etc...,
▪ Le dimensionnement de tous assemblages et détails,
La justification de certaines pièces d'assemblage peut nécessiter des analyses informatiques aux éléments
finis. Le dimensionnement des poteaux et poutres de la structure est effectué en se conformant aux formes
et dimensions représentées dans les plans du marché. La justification de la totalité des pièces doit respecter les
normes et spécifications décrites dans le présent document.
L'Entrepreneur effectue en outre l'ensemble des analyses des phases de montage. L'Entrepreneur modifie, à
sa charge, les points de la note de calculs qui font l'objet d'une objection de la part de la Maîtrise d'Œuvre
(objection d'ordre technique ou pour non-respect de l'esprit de la conception initiale)
PLANS D'EXÉCUTION
Les plans d'exécution doivent définir à eux seuls complètement les formes et la constitution des ouvrages,
de toutes leurs pièces et leurs assemblages. Ils comprennent les plans de repérage, les plans d'implantation
et les plans de détails, chacun d'eux étant établi à une échelle appropriée.
L'ensemble des détails d'assemblages est représenté avec, pour chaque assemblage, la totalité des pièces
dessinées à l'échelle ainsi que les éléments contigus mis en œuvre par d'autres lots. Les plans d'exécution sont
établis à partir du dossier et des indications fournis par la Maîtrise d'Œuvre, en cohérence avec le tracé
géométrique, la note de calculs et les procédures de fabrication et de montage. Ces plans sont exécutés
conformément aux règles de l'art, et comprennent les indications suivantes :
▪ La nomenclature et le repérage complets des éléments représentés,
▪ Toutes les dimensions des éléments,
▪ La nature des matériaux structurels et leurs caractéristiques mécaniques (qualité, charges de rupture, etc...),
▪ Toutes les sujétions de raccordement à l'interface avec d'autres corps d'état,
▪ Tous les percements, réservations ou trémies pour les passages de gaines, conduits, canalisations des autres
corps d'état.
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DIMENSIONS DES ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS

Les sections et dimensions des éléments constitutifs des menuiseries indiquées ci-après au CCTP sont des
dimensions minimales.
Ces sections et dimensions sont à vérifier par l'entrepreneur sur la base des critères ci-dessous, qui devra mettre
en œuvre des éléments de dimensions et sections plus importantes, si nécessaire.
Les sections et dimensions des éléments constitutifs des menuiseries devront être déterminées par
l'entrepreneur.
Les sections et dimensions sont à déterminer pour chaque ouvrage en fonction notamment :
▪ des dimensions de l'ouvrage ;
▪ du type du ou des ouvrants ;
▪ du type et du nombre des ferrages et des fixations ;
▪ de l'utilisation de l'ouvrage ;
▪ des efforts à subir du fait de la fonction de l'ouvrage ;
▪ des orifices d'entrée d'air, grilles de ventilation ;
▪ de la position de l'ouvrage.

FOURNITURES ET MATÉRIAUX
Les fournitures et matériaux entrant dans les ouvrages du présent lot devront répondre aux conditions et
spécifications suivantes :
Nature et qualité des bois massifs

Les bois utilisés pour les menuiseries faisant l'objet du présent lot devront répondre au moins aux classifications
d'aspect et aux caractéristiques technologiques et physiques précisées par les normes, notamment :
▪ NF B 52-001-4 et B 52-001-5 ;
▪ NF B 53-510.
Les spécifications essentielles de ces normes sont résumées ici.
Choix d'aspect (selon norme NF B 53-510 - Chapitre III)
Les choix des bois utilisés seront déterminés en fonction de la nature des travaux et de leur mode de finition et
devront correspondre au moins à ceux fixés ci-après :
Essences : Visibles Peintes Cachées

Sapin - Epicéa Classe B Classe C Classe D
NF B 53-502
Pins Sans nœuds Menuiserie fine Menuiserie commune
Mélèze 1er choix Menuiserie Menuiserie
Résineux d'importation : Choix au moins équivalent aux précédents, suivant l'essence et les conditions d'emplois
Feuillus durs Classe A Classe B Classe C
NF B 53-501
Feuillus tendres Choix Bon bois Bon bois
Feuillus d'importation : Choix au moins équivalent aux précédents, suivant l'essence et les conditions d'emplois
Caractéristiques physiques (selon norme NF B 53-510 - Chapitre V)
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HUMIDITÉ
Tous les bois seront pour l'usinage, amenés à l'état d'humidité compatible avec l'emploi considéré, soit (15 ± 2) %.
Pour les éléments collés, l'humidité doit être abaissée à un taux permettant de garantir un collage satisfaisant, en
général inférieur à 15 %.
Au départ du lieu de fabrication, le bois des menuiseries devra avoir un état hygrométrique au plus égal à 18 %.
DURABILITÉ
Les bois utilisés pour les menuiseries extérieures devront présenter une bonne durabilité naturelle ou assurée par
un traitement reconnu efficace.
Caractéristiques technologiques (selon norme NF B 53-510 - Chapitre IV)
Les caractéristiques technologiques ci-après demeurent impératives, quel que soit le choix d'aspect.
RÉSINEUX
Les résineux devront présenter des cernes étroits et réguliers d'épaisseur moyenne inférieure ou égale à :
▪ 5 mm et une texture forte pour usages extérieurs ;
▪ 7 mm pour usages intérieurs.
FEUILLUS
Les feuillus à structure hétérogène (chêne, châtaignier, orme, etc.) devront présenter des cernes étroits et
réguliers d'épaisseur moyenne inférieure ou égale à 5 mm.
Les feuillus à structure homogène (hêtre, peuplier) devront présenter une structure douce et ne seront ni
pelucheux, ni chanvreux.
Epaisseurs des bois massifs
Les épaisseurs finies des bois massifs ne devront en aucun cas être inférieures à celles indiquées au DTU 36.1 -
Article 2.11, selon qu'ils sont corroyés 1 ou 2 parements.
NATURE ET QUALITÉ DES PANNEAUX DÉRIVÉS DU BOIS

Les choix d'aspect, les caractéristiques physiques et les caractéristiques technologiques des panneaux dérivés du
bois devront être au moins égaux aux spécifications des DTU et répondre aux normes les concernant énumérées
en tête du présent document.
FERS ET ACIERS
Les aciers employés, le cas échéant, pour précadres, renforts ou autres, devront répondre aux normes les
concernant.
FERRAGES - SERRURES - QUINCAILLERIE

Les articles de ferrage et de quincaillerie devront répondre aux normes les concernant, cette conformité aux
normes devra être matérialisée par la marque NF - SNFQ poinçonnée par le fabricant.
Les serrures devront répondre aux normes visées ci-avant, et porter la marque NF - SNFQ - 1 ou A 2 P Serrures.
PROFILÉS EN PVC
Les profilés seront en PVC rigide extrudés.
Ils seront obligatoirement de type à chambres multiples, en provenance de fabricants notoirement connus tels
que Trocal, Veka, Kommerling ou équivalents, avec certification de suivi et de marquage du CSTB.
Les profilés comporteront, le cas échéant, en fonction des dimensions de l'ouvrage, des renforts en acier
galvanisé.
Les profilés de teinte claire répondront à la norme NF P 24-500.
Visseries et petits accessoires
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Ces fournitures devront répondre aux normes les concernant. Les visseries et autres seront toujours selon leur
usage en alliage léger, en acier cadmié ou en inox.
Joints et garnitures souples

L'entrepreneur ne pourra mettre en œuvre que des joints titulaires du label SNJF.
PROTECTION DES BOIS

Protection insecticide et fongicide
La protection insecticide et fongicide n'est pas obligatoire dans tous les cas.
L'entrepreneur aura toutefois implicitement à sa charge l'application d'un produit de traitement adapté, dans
tous les cas où cette protection est nécessaire selon spécifications du DTU et normes:
▪ DTU 36.2
Couche d'impression
Le CCTP précise ci-après si une couche d'impression, une première couche de vernis ou une couche
d'imprégnation, selon le cas, est à appliquer sur les menuiseries par le présent lot, ou si le présent lot n'a aucune
couche à sa charge.
Dans le cas où le présent lot doit appliquer une couche préparatoire en atelier sur les menuiseries, le produit
employé devra être compatible avec les couches de finition qui seront réalisées par l'entrepreneur de peinture.
L'entrepreneur du présent lot aura à prendre contact en temps voulu à ce sujet avec l'entrepreneur de peinture.
Dans le cas où aucune couche préparatoire n'est à appliquer sur les menuiseries en atelier par le présent lot, celui-
ci devra néanmoins appliquer une couche de protection sur toutes les parties d'ouvrages non accessibles après
coup.
Toutes les pièces de ferrage et articles de quincaillerie, sauf ceux en métal traité ou métal non oxydable, devront
être livrés par le présent lot, munis d'une couche primaire de protection contre la corrosion.
PROTECTION DES OUVRAGES ACCESSOIRES MÉTALLIQUES

Selon spécifications ci-après, au présent document, les éléments accessoires, renforts, etc. en métal ferreux
seront traités contre la corrosion, selon le cas par :
▪ peinture antirouille en résines époxy plus poudre de zinc épaisseur 40 microns après décapage degré de soin :
2,5 ;
▪ métallisation au zinc, épaisseur 40 microns après décapage au jet de corindon, répondant à la norme NF A 91-
201 ;
▪ galvanisation, répondant à la norme NF A 91-121, masse nominale du revêtement par face 300 grammes par
mètre carré.
ECHANTILLONS
Avant toute commande, l'entrepreneur devra fournir les échantillons de tous les articles de ferrage et de
quincaillerie qu'il envisage de mettre en œuvre.
Pour les ouvrages fabriqués de grandes dimensions (huisseries, bâtis, portes, etc.), l'entrepreneur devra présenter
les documentations techniques des fournisseurs.
ELÉMENTS MODÈLES
Pour tous les ouvrages dont le nombre d'éléments de même type ou de même principe est relativement
important, le maître d'œuvre aura la faculté de demander à l'entrepreneur la mise en place d'un élément à titre de
modèle.
La fabrication de la série ne devra en aucun cas commencer avant approbation par le maître d'oeuvre de l'élément
modèle.
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ACCESSOIRES DE MANOEUVRE - CLÉS – COMBINAISONS

Accessoires de manœuvre
L'entrepreneur du présent lot aura à livrer au maître d'ouvrage toutes les clés et accessoires de manœuvre
nécessaires pour l'utilisation normale des menuiseries, notamment :
▪ les clés pour les serrures ;
▪ les clés à carré pour les batteuses et autres ;
▪ etc.
Nombre de clés à fournir pour toutes les serrures : il sera, sauf spécifications contraires ci-après, fourni trois clés
par serrure .
Chaque jeu de trois clefs ou passe sera fourni avec un anneau de sécurité double en acier chromé et un porte-
étiquette rigide en matière synthétique avec fenêtre de lecture et de protection translucide.
Une étiquette provisoire amovible sera mise en place pour la remise des clefs au maître d’ouvrage avec mention
du niveau et du local concerné.
Ces jeux de clefs seront remis au maître d’ouvrage regroupés par bâtiment et par niveau, avec anneau et porte-
étiquette sur un tableau en médium mélaminé.
Les ouvrages extérieurs et les passes feront l’objet d’un autre assemblage.
Le plan de l’organigramme sera également remis avec le tableau et les clefs ; il fera par ailleurs partie du dossier
des ouvrages exécutés.
L'entrepreneur du présent lot restera responsable de toutes ces clés jusqu'à la réception des travaux.
Livraison des clefs -
Combinaisons de serrures
C'est l'entrepreneur du présent lot qui aura à sa charge la mise au point de la combinaison de serrures.
Dans ce but, cet entrepreneur établira un organigramme en temps voulu avec le maître d'ouvrage.
L'entrepreneur du présent lot aura à sa charge de coordonner avec les entrepreneurs des autres lots concernés les
commandes des serrures et cylindres devant entrer dans la combinaison de serrures
FERME-PORTES
Force des ferme-portes
Force effective au point zéro (entre 4° et 0° d'ouverture) exigée par la norme NF EN 1154. Les poids tolérés peuvent
être fonction de la largeur du vantail et de sa hauteur.
Les ferme-portes seront conformes aux exigences de règlementation relative à l’accessibilité des personnes
handicapées.
Forces déterminées
▪ Force 1 EN (9-12 Nm), correspondant à un vantail inférieur de 750 mm (20 Kg),
▪ Force 2 EN (13-17 Nm), correspondant à un vantail de 850 mm (40 Kg),
▪ Force 7 EN (plus de 87 Nm), correspondant à un vantail supérieur à 1400 mm (160 Kg),
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TENUE AU FEU
Toutes les portes et autres coupe-feu et pare-flammes prévus au présent lot doivent avoir fait l'objet d'un procès-
verbal d'essais émanant d'un organisme de contrôle habilité. Les essais ne pourront être extrapolés que dans le
cadre de la législation officielle en vigueur.
Dans l'hypothèse d'ouvrages ne possédant pas de procès-verbal d'essais ou pour lesquels une extrapolation ne
pourrait être acceptée, l'entrepreneur aurait à sa charge les essais à effectuer pour lesdits ouvrages. Ceux-ci
devront alors être entrepris avec suffisamment d'avance pour ne pas entraîner de retards sur le planning
d'exécution.
La mise en œuvre des portes et blocs-portes coupe-feu et/ou pare-flammes de degré 1/4 et 1/2 heure, devra être
effectuée en respectant strictement les prescriptions du DTU 36.1, article 5.83.
La mise en œuvre des blocs-portes de degré coupe-feu supérieur devra être effectuée en stricte conformité avec
les spécifications de l'Avis Technique ou du PV d'essai, et les prescriptions du fabricant.
En ce qui concerne les bois massifs et les panneaux dérivés du bois, les classements de réaction au feu sont
précisés aux " commentaires " de l'article 3.21 du DTU 36.1 en fonction de leur essence et de leur épaisseur. Dans
le cas où la réglementation impose un classement de réaction au feu amélioré (M1 - M2) par rapport au classement
initial, l'entrepreneur devra réaliser un traitement ignifuge, le produit ou le bois ignifugé devra alors faire l'objet
d'un PV de classement
2.1.4.1. EXECUTION DES TRAVAUX

STOCKAGE ET PROTECTION DES MENUISERIES ET QUINCAILLERIE
En attendant leur mise en place, l'Entrepreneur du présent corps d’état aura la responsabilité du stockage de ses
ouvrages.
Les ferrages et articles de quincaillerie seront, suivant leur destination, soit peint d'une couche de minium, soit
graissés.
Les pièces de quincaillerie seront munies du film de protection prévu par le fabricant, ce film sera enlevé par les
soins du présent corps d’état, lors du nettoyage final.
Toutes pièces présentant des défauts tels que : rayures, tâches, piqûres de rouille, etc., seront immédiatement
remplacées.
OBSERVATIONS COMPLÉMENTAIRES
Il est rappelé que le présent corps d’état comprend, outre les ouvrages décrits, tous les travaux nécessaires à la
parfaite réalisation du projet défini par les plans et le C.C.T.P., que ces ouvrages soient détaillés ou non dans un
des articles du présent document.
Sont comprises également toutes réserves, découpes ou entailles autour des canalisations, gaines, etc., tous les
ouvrages nécessaires à une bonne finition de l'ensemble, ainsi que toutes les réparations ou jeux jugés
nécessaires à un bon fonctionnement jusqu'à la fin de l'année de garantie.
Les raccords d'enduits et de peinture éventuels que nécessiteraient ces retouches seront à la charge de
l'Entrepreneur du présent corps d’état tout en étant réalisés par les corps d'état spécialistes.
Les sections et les épaisseurs des bois et panneaux sont à la responsabilité de l'Entrepreneur qui devra des
ouvrages d'une rigidité parfaite et indéformables dans le temps.
MISE EN OEUVRE DES BATIS ET HUISSERIES DE BLOC-PORTES ET TRAPPES

Dans les murs en maçonneries et murs en béton
Les huisseries, bâtis et contre bâtis seront fournis au titulaire du corps d’état Gros Œuvre pour incorporation,
réglage et scellement dans les murs.
Le titulaire du présent corps d’état devra la fourniture et la distribution à pied d'œuvre des huisseries et bâtis à
incorporer.
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DANS LES CLOISONS

Les huisseries, bâtis, contre bâtis seront fournis au corps d’état Cloisons pour pose, réglage et fixation aux
cloisons.
Le titulaire du présent corps d’état devra la fourniture et la distribution à pied d'œuvre des huisseries et bâtis à
incorporer.
DECOUPES
Les découpes devront être réalisées au maximum en atelier en prévoyant les jeux sur place.
Les travaux décrits comprendront toutes les découpes de panneaux bois ou éléments nécessaires à la mise en
place des boîtiers permettant l'incorporation et la fixation des appareils d'éclairage ou autres (interrupteurs,
prises de courants, …)
Ils comprendront également le "détalonnage" des vantaux de porte, les lumières, toutes les découpes nécessaires
à l'incorporation des grilles nécessaires au fonctionnement de l'installation de ventilation.
A cet effet, l’Entreprise chargée des travaux du présent corps d’état doit, dés le démarrage du délai de
préparation, s’enquérir, auprès des autres corps d’états intéressés, des éléments à fixer ou à passer en percement
dans les portes ou ensemble menuisé.
Elle aura à s’informer de leurs dimensions, leurs formes, du mode de fixation.
A la suite de l’obtention de ces renseignements de la part des Entreprises concernés, l’Entreprise établira un
calepinage précis, indiquant le positionnement de l’équipement et le mode de fixation
La pose des canalisations (gaines d’électricité) se fera dans l’épaisseur des ensembles menuisés, avant la pose des
plaques de parements, mais après la distribution des montants, traverses ou cadres.
Les travaux comprendront également toutes les coupes droites ou courbées, apparentes ou non (résultant
éventuellement d'un dessin ou d'un passage d'appareil), tous les percements, entailles, renforts, éléments de
rattrapage, etc., nécessaires à la parfaite exécution.
L’Entreprise assurera également tous les trous, scellements et raccords nécessaires à ses travaux.
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3.1. BLOCS PORTES INTERIEURS PLEINS

Métré : U
Localisation : Selon plans architecte ; PI 20
- Fourniture et pose de blocs portes isoplanes à âme pleines stratifiés
- Huisserie bois posée sur cloison de 72mm ou mur béton avec recouvrement.
- Vantail parement stratifiée, plein épaisseur 40mm, cadre en bois européen
- Ferrage 3 paumelles de 140x55 mm en acier roulé par vantail
- Serrures :
o à larder pour l’ensemble des accès aux locaux
o A bec de cane à condamnation pour sanitaires
o Poignée de porte sur rosace inox type J-Rox Modèle 63 de chez JPM ou équivalent
- Butée de porte type J-Rox de chez JPM ou équivalent
- Détalonnage des portes 20 mm pour circulation d’air pour VMC
- Anti-pince doigt et oculus ronds intégrés (uniquement sur la PI 21)
- Ferme porte hydraulique (PI 20)
- Résistance au feu : PF 1/2h au minimum
- Résistance au feu : CF 1.2/h au minimum pour la PI 20.
3.2. BLOCS PORTES INTERIEURS CF1H

Métré : U
Localisation : Selon plans architecte, local entretien PI 30
- Fourniture et pose de bloc porte à isoplanes à âme pleine
- Huisserie métallique ép. 15/10 posée ou en tableau dans voile béton
- Huisserie bois exotique dur posée sur cloison de 72mm avec recouvrement.
- Vantail à âme pleine finition stratifiée, épaisseur 40mm, CF1h
- Serrures :
o Doubles tubulaires coudés avec rosace type BEZAULT LINOX 494/6450 ou
équivalent.
o A bec de canne, condamnation décondamnation de l’extérieur avec témoin libre
occupé pour sanitaires
o A canon européen sur organigramme pour les autres locaux
- Butée de porte caoutchouc sur support inox assorti aux garnitures de portes
- Crémones pompier à glissière sur les semi-fixes des portes à 2 vantaux
- Ferme porte hydraulique à glissière
- Etanchéité au feu par joints thermo gonflants
- Intégration d’1 oculus en verre dans le bloc porte. (selon carnet de détail)
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3.3. BLOCS PORTES ACIER

Métré : U
Localisation : Selon plans architecte, zone office / laverie . PI 10
- Fourniture et pose de bloc porte en acier thermolaqué
- Huisserie métallique ép. 15/10 posée ou en tableau dans voile béton
- Vantail à âme pleine finition thermolaquée, épaisseur 40mm, CF1h
- Serrures :
o Doubles tubulaires coudés avec rosace type BEZAULT LINOX 494/6450 ou
équivalent.
o A bec de canne, condamnation décondamnation de l’extérieur avec témoin libre
occupé pour sanitaires
o A canon européen sur organigramme pour les autres locaux
- Butée de porte caoutchouc sur support inox assorti aux garnitures de portes
- Asservissement par ventouse électromagnétique.
- Support de ventouse en tube d’acier thermolaqué.
- Angles d'ouverture de la porte maintenue en position de sécurité : +90 °.
- Contacts de position portes ouvertes et portes fermées, intégrés.
- Signalisation sur les 2 faces de la porte par étiquette autocollante (sécurité) .
- Boîtier de raccordement permettant la gestion de toutes les informations relatives à l'
- Etat du bloc porte (vantail ouverts ou fermés)
Garniture sans point de fermeture par poignée fixe
- Joint périphérique intumescent
- Ferme porte hydraulique à glissière
- Etanchéité au feu par joints thermo gonflants
- Intégration d’1 oculus en verre dans le bloc porte. (Selon carnet de détail)
- Ces bloc-portes justifieront d'un PV DAS conformément au MS 60.
3.4. FACADES DE GAINES TECHNIQUES

Métré : Unité
Localisation : Gaines techniques et placards PI 40
- Fourniture et pose de façades de gaines techniques constituées :
- d’un cadre assemblé section 70 x 70 mm, en bois dur à peindre posé sur socle et
comportant, si nécessaire, des trumeaux de même nature suivant indications des plans.
- Ouvrants de 40 mm d’épaisseur en panneaux de médium ép 19mm, finition à peindre.
- Verrou à folio avec rosaces normales, verrou à onglet dans le cas de double ouvrant
- Compris toutes sujétions d’habillages.
- Dimensions selon plans architecte.
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3.5. SIGNALETIQUE
Métré : Ens
Localisation : Selon plan architectes
Nature : Fourniture et pose d’autocollants découpés appliqués sur les supports muraux du projet selon
plan de repérage.
3.6. COUVRE-JOINTS DE DILATATION INTERIEURS

Métré : ml
Localisation : Au droit des JD intérieurs, traitement vertical et horizontal
- Fourniture et pose de couvre-joints larges en médium chanfreiné à peindre, chevillés vissés
sur 1 seul côté.
3.7. PROTECTION EN PVC DE PIEDS DE PORTES

Métré : ml
Localisation : Selon plan architectes, pieds de portes des locaux humides,
- Fourniture et pose de plaques de protection de bas de portes en plaques de PVC M1 coloré
dans la masse épaisseur 2 mm
- Pose en habillage de la face humide des portes des salles de bains, y compris habillage
latéral épaisseur d’ouvrant et sous face
- Type : DECOCHOC de SPM ou ACROVYM COLOR de CS FRANCE ou équivalent.
- Dimensions : hauteur 0,80 m.
- Pose : par double encollage à la colle néoprène selon prescriptions du fabricant.
- Couleur : au choix de l’Architecte dans gamme du fabricant.
- Y compris coupes, chutes, finitions, etc...
- La matière (sans plomb) sera conforme à la Directive Européenne 2002/95/CE.
3.8. CLAUSTRA BOIS

Métré : Unité
Localisation : suivant plans architecte,
- Fabrication et mise en place de panneaux séparatifs mobiles ajourés, type claustra :
- Panneaux auto portants, cadre en bois de type mélèze.
- Remplissage en tasseaux de bois de même essence.
- Finition lasurée.
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3.9. PANNEAUX D’HABILLAGE MURAL

Métré : m²
Localisation : Suivant plans, carnets de détails
Fourniture et pose de panneaux d’habillage mural d’hauteur minimale d’1,30m en PVC de type
FOREX ou produit équivalent.
Film protecteur en PE standard sur une face. Teinte et décor au choix du décorateur dans la
gamme du fabricant.
Euroclasses EN 13501-1: C - s3 - d0 (1 - 19 mm).
Pose par double encollage néoprène suivant prescription du fabricant. Réalisation de joints
souples étanches en périphérie des panneaux et sur éléments sanitaires.
3.10. BAGUETTES HABILLAGE D’ANGLE

Métré : m²
Localisation : Suivant plans, carnets de détails
Fourniture et pose de baguettes de renfort et protection d’angles toute hauteur sur les poteaux
de la zone restauration. Baguettes PVC dans le nuancier fabriquant sur chaque angle saillant du
poteau.
3.11. SEPARATION D'URINOIRS

Métré : U
Entre les urinoirs, sanitaires
- Fourniture de séparation d'urinoirs maternelle FRANCE EQUIPEMENT ou équivalent.
- Séparations en stratifié massif 10 mm
- Bords et angles supérieurs arrondis
- Fixation au mur par 4 équerres en inox laqué gris, assemblées par paire, montées dos à dos
afin d’assurer une meilleure stabilité latérale
- Fixation au sol par pied vérin en polyfor armé de fibres de verre
- Visserie inox à empreinte spéciale anti-effraction
- Séparation d’urinoirs fixée uniquement au mur par 4 équerres
- Angles supérieurs et inférieurs arrondis
- Hauteur : 610 mm. Largeur : 750 mm
- Coloris selon le choix de l'Architecte
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3.12. PATERES MURALES

Métré : U
- Fourniture et mise en œuvre de patères PVC murales à fixer par vis type VH 58 à fixation
invisible. Couleur en fonction des sections. Patères type Parkid sur lisse en médium à
peindre.
- Espace patères élémentaire : 104 unités
- Espace patères maternelle : 96 unités
3.13. VITROPHANIE
Métré : ml
Position : Ensemble des portes vitrées PMR
Suivant plans architecte et carnets de repérage
Nature : La prestation comprend la fourniture et pose d’une signalisation des surfaces vitrées
▪ Bandes autocollantes horizontales largeur 5cm
▪ Hauteur de pose : une bande à 1.10m et une à 1.60m
▪ Couleur contrastée au choix de l’architecte et sous avis bureau de contrôle
▪ Pose côté intérieur du local sur support propre
▪ Ensemble conforme aux prescriptions de l’arrêté du 20 avril 2017 et au DTU 39 P5 article
5.5.3
3.14. FILM OPALESCENT

Métré : m²
Position : Châssis CA 02 et CA 02a
Nature : La prestation comprend la fourniture et pose de :
▪ Film adhésif sur la totalité de la partie vitrée, avec dégradé du blanc opale à transparent.
Suivant détail architecte
3.15. BANQUE D’ACCUEIL

Métré : U
Position : Entrée
▪ Fourniture et pose de meuble menuisé avec revêtement de finition à la charge du présent
lot.
▪ Meuble aux formes adoucies comprenant :
▪ Bâti nécessaire
▪ Enveloppe du meuble avec façade, côtés, séparation, dessus, dessous, tablettes, etc…
▪ Revêtement de finition plateau stratifié toutes faces vues y compris chants
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▪ Panneaux verticaux en mélaminé pour le corps principal du meuble.

▪ Pour mémoire : plateau accessible aux personnes handicapés sans piétement, compris
entre 70 et 80.
▪ Quincailleries nécessaires, modèles à proposer à l’architecte pour approbation.
▪ Poignées inox brossé
3.16. ORGANIGRAMME - CYLINDRES

3.16.1. ETABLISSEMENT DE L’ORGANIGRAMME
Métré : L’ensemble
Localisation : Toutes portes munies de serrures
Le présent lot doit la mise au point de l’ensemble de l’organigramme avec le maître de
l’ouvrage et le maître d’œuvre, et la coordination des commandes avec les autres corps d’état.
3.16.2. CYLINDRES
Métré : Unité selon types
Localisation : Selon plans architectes
▪ Cylindres à profils Européens doubles, système à goupilles multidirectionnelles de 32
goupilles, anti crochetage, finition laiton nickelé, à clés brevetées permettant le contrôle de
la reproduction sans limite de validité dans le temps.
 Fourniture de 4 clés incopiables pour serrure de sûreté y compris repérage suivant
organigramme.
 Y compris vis de fixation du cylindre, montage, réglages, tous détails et sujétions de mise
en œuvre.
Y compris vis de fixation du cylindre, montage, réglages, tous détails et sujétions de mise en
œuvre.
Le présent lot doit la fourniture de l’ensemble des cylindres concernant les portes palières, et
les portes des locaux vélos.
Référence : de type CYLINDRE RADIAL DUO NT+ A2P** de chez VACHETTE ou techniquement
équivalent.
3.16.3. PASSE GENERAL

Fourniture de 5 clés incopiables pour ouverture des serrures de l’organigramme de cylindre.
▪ Référence : de type CYLINDRE RADIAL DUO NT+ A2P** de chez VACHETTE ou techniquement
équivalent.
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3.16.4. CONTRÔLE D’ACCES

Fourniture et pose de serrures électroniques à commande par badge de chez Salto systèmes ou
équivalent.
Modèle de béquille de type Ex7P0.
Fourniture de 10 badges.
Y compris programmation et paramétrage
Y compris ajustement, réglage, finition
▪ Référence : de type XS4 One de chez SALTO ou techniquement équivalent.
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CCTP PHASE DCE

LOT 06 – REVETEMENTS DE SOLS DURS
Date Approuvé
par
LOT 06 REVETEMENTS DE SOLS DURS / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES................................................................................................................................ 3
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT REVETEMENTS DURS POUR SOLS ET MURS 4
3. DESCRIPTION DES OUVRAGES ..................................................................................................... 11

3.1. SYSTEME D’ETANCHEITE LIQUIDE (SEL) SOUS CARRELAGE 11
3.2. CARRELAGE EN GRES CERAME SCELLE 11
3.3. PLINTHES 12
3.4. CARRELAGE GRES CERAME – ANTI-DERAPANT 12
3.5. DES BETON 13
3.6. POSE DES SIPHONS DE SOL 13
3.7. BARRES DE SEUILS 13
3.8. COUVRES JOINTS DE DILATATION 14
3.9. COUVRES JOINTS DE FRACTIONNEMENT 14
3.10. FAIENCES 14
3.11. TAPIS BROSSE 15
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1. GENERALITES

titre du lot n°06 – REVETEMENTS DURS POUR SOLS ET MURS dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées
d’établir leur proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault
(34) en liaison avec les autres pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT REVETEMENTS DURS POUR SOLS ET MURS

▪ La fourniture et pose de l’ensemble quel que soit le type de revêtement
▪ Les plinthes
▪ Les chapes de pose , dans le cas de revêtements scellés
▪ Les sous-couches isolantes (acoustiques, thermique…)
▪ Les couches de désolidarisation drainantes
▪ Les ravoirages
▪ Les systèmes d’étanchéité à l’eau sous revêtements muraux
▪ Les systèmes d’étanchéité à l’eau sous revêtements de sols
▪ Les revêtements et plinthes des escaliers
▪ Le traitement des joints de dilatation au sol, les profilés métalliques et couvre-joints correspondants
▪ Le traitement des joints de fractionnement
▪ L’enlèvement des gravois consécutifs à leur mise en oeuvre.
En toutes hypothèses, pour l’établissement de son offre, le soumissionnaire tiendra compte des travaux décrits aux CCTP
des autres lots susceptibles d’interférer avec ses propres prestations.

▪ Plans de réservations
▪ Plans de repérage des revêtements de sols durs
▪ Plans de repérage des revêtements muraux
▪ Plans de calepinage, plans des détails
▪ Nuanciers,
▪ Fiches techniques, classement UPEC, classement anti-glissance, avis techniques, cahiers des charges

2.1.3.1. DEFINITION DES SYSTEMES DE REVETEMENTS DURS POUR SOLS ET MURS
Le présent document s'applique aux conditions d'exécution, à l'intérieur des bâtiments, des revêtements définis
dans la norme.
Le présent document vise les revêtements mis en œuvre dans des bâtiments ou à l’extérieur de ceux-ci
▪ sur un support neuf
Les documents particuliers du marché précisent les performances attendues des revêtements.
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Ils précisent également :

▪ le type de pose (pose scellée, , pose désolidarisée, pose adhérente, pose flottante, pose collée…)
▪ la mise en œuvre des chapes de pose de revêtements de sol
▪ la mise en œuvre de sous-couches, de couches drainantes
▪ la mise en œuvre d’un film entre le support et la sous-couche isolante
▪ la mise en œuvre d’un produit d’étanchéité à l’eau, d’un système d’étanchéité liquide,
tropical humide, à l’exclusion :
▪ pour les revêtements de sol en pose scellée ou collée, des ouvrages extérieurs dont le terrain naturel est situé à
plus de 900 m d’altitude.
Nota : Ce domaine d'application couvre ainsi les départements d'outremer.
Il ne vise pas, pour les revêtements de sols scellés, en travaux neufs :

▪ les sols de circulation de véhicules à moteur
▪ les locaux industriels à très fortes sollicitations ou à usages spéciaux tels que hangars…
▪ les locaux commerciaux tels que supermarchés et hypermarché
▪ la pose sur plancher rayonnant électrique (PRE) ) ; se référer au CPT PRE n° 3606
▪ la mise en œuvre des dalles en béton, des pavés de terre cuite et des pavés et dalles en pierre naturelle en sols
extérieurs assimilables aux chaussées urbaines (circulations collectives extérieures…)
Pour certaines des applications mentionnées ci-avant, il y a lieu de se référer aux cahiers et e-cahiers du CSTB
suivants :
3526 – Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques ou analogues collés au moyen de mortiers colles
dans les locaux PA et P4 S en travaux neufs
3527 - Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques ou analogues collés au moyen de mortiers colles sur
chape fluide à base de sulfate de calcium en travaux neufs
Il ne vise pas, pour les revêtements de sols collés, en travaux neufs :

▪ les locaux à sollicitation modérée ou forte
▪ les travaux sur ouvrage intermédiaire (SPEC, SEL, sous-couches acoustiques, etc.),
▪ les travaux sur dalles ou chapes allégées et chapes sèches,
▪ les travaux sur chapes fluides à base de ciment ou de sulfate de calcium,
▪ les travaux sur Plancher Rayonnant Electrique (PRE) ; se référer au CPT PRE n° 3606
▪ les travaux en locaux à sollicitations modérées assimilés aux locaux P4 et en locaux à fortes sollicitations
assimilés aux locaux P4S du classement UPEC ,
▪ les travaux exécutés dans des zones normalement ouvertes à la circulation de véhicules à moteur,
▪ la mise en œuvre des dalles de pierre agglomérées à base de liant résine.
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Pour les revêtements de muraux collés, en travaux neufs : les ouvrages visés et les supports admis sont indiqués,
en fonction du degré d'exposition à l'eau défini pour les locaux, dans le tableau ci-après.
Il est rappelé que dans les locaux EB+ et EC, la conception du support doit prendre en compte les risques liés à la
présence d'eau notamment en pied de paroi (protection contre les infiltrations et les remontées capillaires).
Nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs
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Supports admis en pose collée en fonction de l’exposition à l’eau du local
Pour les travaux de revêtements sur sols et de revêtement muraux en rénovation, les supports admis, les
conditions de pose, la préparation des supports, la mise en œuvre, etc…. sont précisées dans les cahiers et e-
cahiers du CSTB suivants (liste non exhaustive) :
▪ 3522 – Certification « CERTIFIE CSTB » des colles à carrelage
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▪ 3528 - Revêtements de murs intérieurs en carreaux céramiques ou analogues collés au moyen de mortiers
colles ou d’adhésifs sur ancien carrelage ou ancienne peinture en local EB+ privatif au plus
▪ 3529 – Pose collée de revêtements céramiques et assimilés – pierres naturelles – en rénovation de sols
intérieurs dans les locaux classés P3 au plus.
▪ 3530 - Revêtements en carreaux céramiques collés en rénovation de sols intérieurs dans les locaux P4 et P4 S
▪ 3389 – Guide technique de rénovation des sols recouverts de dalles et produits associés contenant de
l’amiante
REVETEMENTS DE SOLS SCELLES - REVETEMENTS DE SOLS COLLES :
Couche de désolidarisation : couche permettant d'éviter le contact et l'adhérence entre l'ouvrage et le support.
Eléments de revêtement : le terme « éléments de revêtement » recouvre l'ensemble des matériaux « carreau », «
dalles », « plaquette de terre cuite », « pâte de verre », « pierres naturelles ». L'association de plusieurs éléments de
revêtements constitue un revêtement.
Forme sur sous-couche isolante : ouvrage en mortier ou béton réalisé sur sous-couche isolante avant d'effectuer
une pose scellée.
Forme de pente : ouvrage en mortier ou béton destiné à réaliser une pente. Lorsque l'ouvrage présente une
étanchéité, la forme de pente est toujours exécutée sous l'étanchéité.
Mortier : mélange composé de liant hydraulique, de sable, d'eau et éventuellement d'adjuvants.
Mortier bâtard : mortier dans lequel le liant est un mélange de ciment et de chaux.
Mortier de scellement : couche de mortier destinée à sceller des éléments de revêtement en pose traditionnelle.
Pose collée : méthode de pose des revêtements qui utilise un produit de collage pour la fixation d’éléments de
revêtement sur le support.
Pose scellée adhérente : pose avec mortier de scellement appliqué directement sur le support.
Pose scellée désolidarisée : pose avec mortier de scellement appliqué sur une couche de désolidarisation.
Pose scellée flottante : pose avec mortier de scellement appliqué directement sur une sous-couche isolante ou
indirectement par l'intermédiaire d'une forme.
Ravoirage : ouvrage intermédiaire, non compressible et nivelé, mis en oeuvre sur le support (dallage, plancher). Il
permet d'obtenir un niveau imposé ou d'y noyer des canalisations ou fourreaux.
Le ravoirage assure uniquement le transfert vertical des charges.
REVETEMENTS MURAUX COLLES

Procédé de protection à l'eau : procédé destiné à être appliqué sur des supports sensibles à l'eau. Les supports
sensibles à l'eau ne sont pas acceptés comme supports directs d'éléments de revêtement collés dans les locaux
humides
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MATÉRIAUX
Les matériaux (revêtements, mortiers de pose, mortiers de jointoiement, colles, adhésifs, sous-couches, …) sont
choisis parmi ceux répondant aux prescriptions des normes et DTU en vigueur , des cahiers et e-cahiers du C.S.T.B.
obligatoirement par l’avis technique, ou le cahier des charges visé par un organisme agréé.
2.1.3.2. CLASSIFICATION DES LOCAUX ET DES SUPPORTS
Le choix du revêtement de sol intérieur ou extérieur, de son mode de pose, … doivent tenir compte :
▪ du classement UPEC de chaque local ou espace concerné, des sollicitations reçues par le revêtement
▪ de l’âge du support
▪ de la mise en œuvre éventuelle de sous-couches
▪ éventuellement des contraintes mécaniques, chimiques, ou autres telles que précisées par les pièces
particulières du marché
Le choix d’une sous-couche, d’un système d’étanchéité liquide ,… doivent tenir compte :
▪ des conditions d’utilisation du local.
▪ de la nature du support
Le choix d’un revêtement mural intérieur, du mortier-colle, d’un éventuel procédé de protection à l’eau doivent
tenir compte :
▪ du classement du local en fonction de l’exposition à l’humidité des parois,(hygrométrie des locaux, exposition
à l’eau, entretien et nettoyage) : EA, EB, EB+ privatif, EB+ collectif, EC
Le choix d’un revêtement mural extérieur, de son coloris, du mortier de pose doit tenir compte :
▪ de la hauteur et de la situation de la paroi
▪ de la situation de la paroi
▪ des dimensions de la surface à revêtir
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2.1.4.1. CONDITIONS NECESSAIRES A L'EXECUTION DES TRAVAUX
Dans tous les cas, la mise en œuvre d'un revêtement de sol ou d’un revêtement mural ne peut être effectuée que si
les conditions suivantes sont toutes satisfaites :
▪ Les supports ont l’âge minimal requis
▪ La température du support doit être compatible avec les températures minimale et maximale de mise en
œuvre des produits (mortiers, colles, adhésifs…)
▪ Les canalisations traversant les supports sont posées
▪ Les boitiers d’encastrement des appareils encastrés sont scellés
▪ Les socles protégeant au sol ces canalisations sont posés
▪ Les locaux sont propres et débarrassés de tous gravats et déchets
▪ Les appareils sanitaires et le mobilier ne sont pas posés
2.1.4.2. JOINTS DE DILATATION – JOINTS DE RETRAIT - JOINTS DE FRACTIONNEMENT – JOINTS PERIPHERIQUES - JOINT DE
FINITION
Le traitement des joints de dilatation sera réalisé selon les prescriptions de documents techniques de référence :
DTU, cahiers et e-cahiers du CSTB, avis techniques, cahiers des charges.
Les profilés métalliques correspondant à ces ouvrages sont à prévoir au titre du présent lot
Le traitement des joints de retrait, des joints de fractionnement, des joints périphériques et des joints de finition
sera réalisé selon les prescriptions de documents techniques de référence : DTU, cahiers et e-cahiers du CSTB, avis
techniques, cahiers des charges
2.1.4.3. ESCALIERS
Le traitement des escaliers sera réalisé selon les prescriptions de documents techniques de référence : DTU,
cahiers et e-cahiers du CSTB, avis techniques, cahiers des charges.
2.1.4.4. POSE DES CLOISONS

SAUF INDICATION DANS LA SUITE DU PRESENT DOCUMENT, LES CLOISONS SERONT POSEES AVANT EXECUTION DES CHAPES ET
REVETEMENTS DE SOLS.
2.1.4.5. TOLERANCES SUR L'OUVRAGE FINI
Elles sont indiquées par les documents techniques de référence
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3.1. SYSTEME D’ETANCHEITE LIQUIDE (SEL) SOUS CARRELAGE

Métré : Au m²
Localisation : suivant plans architectes
Espace douche muni d’un siphon de sol, et zone cuisine
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra l’exécution d'un système d’étanchéité liquide en sol
sous le carrelage, composée d’un micro-mortier hydraulique souple bicomposant type 588
Enduit d’étanchéité de chez Parex Lanko
▪ Classe SP3
▪ Épaisseur minimale : 1 mm.
▪ Application en 2 couches croisées minimum.
La réalisation de ces ouvrages doit justifier d’un avis technique favorable et le produit proposé par
l’entreprise sera soumis au bureau de contrôle pour avis.
3.2. CARRELAGE EN GRES CERAME SCELLE

Métré : Au m²
Localisation : suivant plans et carnets de repérage architecte
Nature :
L’ensemble de la prestation comprendra la fourniture et mise en œuvre de carreaux en grès
cérame 40*40, pose scellée, comprennent :
▪ Réceptions des supports.
▪ Préparations et nettoyages des supports.
▪ Fourniture et pose des carreaux en grès cérame à bain de mortier (pose scellée). Le type de
carrelage devra recevoir l’approbation du Maître d’Ouvrage et toutes teintes au choix de
l’architecte dans la gamme du fabricant avec un minimum de 15 teintes.
▪ Format 40 x 40 cm
▪ Epaisseur : environ 9 mm.
▪ Classement U.P.E.C : U4.P4.E3.C2 minimum
▪ Réalisation de formes de pente au mortier, suivant nécessité du projet : 1 cm/m minimum.
▪ Joints de fractionnement nécessaires.
▪ La mise en œuvre et le mode de pose (pose flottante/pose désolidarisée ou pose adhérente)
seront conformes à la règlementation en vigueur.
▪ Traitements des joints périphériques, des joints de fractionnement, des joints de dilatation,
etc...
▪ Pose droite à joints serrés, épaisseur minimum selon les préconisations des
règlementations en vigueur.
▪ Joints de carrelage à base de résines dans les locaux humides.
▪ Joints élastomères fongicides de teinte blanche en périphérie des appareils sanitaires et
équipements divers.
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▪ Les revêtements devront épouser rigoureusement la totalité de la surface des pièces et

particulièrement le profil des huisseries, les angles rentrants et saillants des locaux, etc...
▪ Jointoyages et nettoyages de toute trace de liant.
▪ Les découpes autour des émergences du carrelage (tuyauteries d’eau potable chaude ou
froide, écoulements, etc...) devront être particulièrement soignées. En cas de mauvaise
réalisation l’entrepreneur du présent lot aura à fournir et à poser des collerettes en métal
chromé autour de ces émergences pour dissimuler l’imperfection de ses découpes.
▪ Réalisation de formes de pente au mortier, suivant nécessité du projet : 1 cm/m minimum.
▪ Calepinages au choix de l’architecte.
▪ Glissance adaptée aux espaces.
3.3. PLINTHES
Métré : Au ml,
Localisation : Selon plan architecte, au droit des pièces traitées en carrelage (Hors zone cuisine).
Fourniture et pose de plinthes droites assorties au carrelage y compris joint souple de
désolidarisation avec le revêtement horizontal.
Pose collée
Compris traitement des joints par produit sous avis technique. Coloris au choix du maître
d’œuvre.
Plinthes assorties au carrelage dans la même gamme du fabriquant.
Compris angles saillants et angles sortants
Joint de finition entre le carrelage et la plinthe.
3.4. CARRELAGE GRES CERAME – ANTI-DERAPANT

Métré : m²
Position : Suivant tableau de finitions, zone cuisine
Nature : Les prestations comprennent la fourniture et pose de carrelage grès cérame à glissance limitée.
Format : 20x20cm
Aspect : anti-dérapant.
Teintes : toutes teintes au choix de l’architecte dans la gamme du fabricant.
Classement UPEC : U4, P4s, E3, C2.
Classification du risque de glissance : R12
Préconisations CARSAT :
Locaux Réserve et Office : Coefficient INRS > 0.30 relevant de la liste de la établie par la CNAMTS
ainsi que la recommandation nationale R462 répondant aux conditions d’aptitude à l’emploi en
matière d’hygiène et de nettoyage.
Pose : Collé à l’aide d’un adhésif agréé par le fabricant. Cette colle devra posséder un AT
favorable du CSTB en cours de validité à fournir au bureau de contrôle.
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Exécution : suivant DTU y compris toutes coupes, chutes, sujétions de mise en œuvre
d’exécution.
Plinthes : PVC à la charge du lot cuisine.
Joints (sols et plinthes) : Rejointoiement à l’aide d’un mortier poudre hydrofugé à effet «
perlant ». L’effet « perlant » a pour but de limiter l’encrassement des joints en empêchant l’eau
de pénétrer dans ces derniers (étanchéité totale) et en formant des perles sur la surface des
carreaux. Le produit devra également intégrer un traitement empêchant la prolifération de
bactéries et de moisissures. Il devra permettre la réalisation de joints allant de 2 à 15mm.
Joints souples tous les 60m2 maximum, et en périphérie de chaque local.
Y compris toutes coupes, chutes et sujétions de mise en œuvre.
3.5. DES BETON

Métré : Ensemble
Localisation : Selon plan structure
Dans les locaux techniques et des équipements qui le nécessiteront
▪ La réalisation de dés en béton avec tubes PVC formant coffrages, pour l’ensemble des
sorties intérieures, assurant ainsi la protection des traversées des canalisations dans les
dallages/planchers/dalles. Réservations pour passages des canalisations et fourreaux (dus
par les corps d’état techniques concernés).
▪ Finition : taloché fin.
▪ Dimensions : suivant plan structure.
3.6. POSE DES SIPHONS DE SOL

Localisation : Selon plan de plomberie et des équipements de cuisine :
Ensemble des siphons de sol et caniveaux dans les locaux revêtus par le présent lot.
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra le scaillement des siphons de sol et des caniveaux
fournis par les entreprises titulaires des lots Plomberie et Equipements de cuisine, y compris
toute sujétion de réalisation de l’étanchéité et de la jonction avec les revêtements de sols avec
forme de pente.
3.7. BARRES DE SEUILS

Métré : Ensemble
Localisation : Selon plan de repérage des sols en particulier :
Chaque changement de revêtements de sols.
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la fourniture et pose de barres de seuils plate en acier
inoxydable poli de 30 mm de largeur posées à mi feuillure. Fixations par vis inox à tête fraisée
demi-ronde dans chevilles expansives et trous tamponnés. Les barres de seuils doivent avoir un
profil spécial pour rattraper les différences d'épaisseurs des revêtements.
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3.8. COUVRES JOINTS DE DILATATION

Métré : Ensemble
Tous joints de dilatation dans les locaux revêtus par le présent lot.
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la fourniture et pose de couvres joints de dilatation
d'un modèle adapté à la nature du revêtement de sol, à soumettre à l'agrément du Maître
d'œuvre y compris toutes sujétions pour incorporation, fixation, pré-scellement, couvre-joint
provisoire, piochement de feuillure et autres. Les couvres joints seront posés à fleur du
revêtement. Profilés encastrés en aluminium, teintes au choix de l'architecte, type Mifasol
de Couvraneuf ou produit équivalent. Y compris exécution de joint coupe-feu et étanchéité à
l'eau et au bruit.
3.9. COUVRES JOINTS DE FRACTIONNEMENT

Métré : Ensemble
Tous joints de fractionnement dans les locaux revêtus par le présent lot.
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la fourniture et pose de joints réalisés par baguettes
P.V.C droite, de couleur assortie à la teinte du carrelage, incorporés à l’avancement de la pose
des carreaux. La largeur minimale des joints de fractionnement est de 5 mm (3 mm si joints
sciés). La surface entre joints de fractionnement sera adaptée au support et au mode de pose.
3.10. FAIENCES
Métré : Au m²
Localisation : suivant plans et carnets de repérage architecte ; Salle de propreté
▪ La fourniture et pose de carreaux de faïences format 20 x 20 cm
▪ Pose collée à l'aide d'un adhésif approprié aux supports. Joints traités au coulis de ciment
blanc, 2 mm de largeur minimum
▪ Compris toutes sujétions de découpes, percements pour passages des canalisations,
habillages de toutes les faces vues de l’ensemble des dés béton, socles béton, socles de
douches, etc...
▪ La colle devra bénéficier d’un avis technique favorable du C.S.T.B. Avis technique à fournir
au bureau de contrôle. La nature de la colle devra être compatible avec la nature des
carreaux, celle du support et le classement du local vis-à-vis de son exposition à l’eau.
▪ Traitements des angles saillants par profilés d’angles type baguette à angle droit, de teinte
identique à la faïence.
▪ Joints entre le bas des faïences et les appareils sanitaires ou tablettes horizontales d’une
largeur suffisante pour être garni par le présent lot d’un mastic de 1ère catégorie à la pompe
et lissé. Compris mise en œuvre d’un système d’étanchéité liquide avant faïences.
▪ Modèles au choix de l'architecte dans 15 teintes compris teintes vives et pastels unis
▪ Classement U.P.E.C : U4.P4.E3.C2 minimum
▪ Calepinage suivant détails architecte.
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▪ Y compris habillage des trappes d’accès verticales suivant besoins lots techniques
3.11. TAPIS BROSSE

Accueil, vie scolaire
- La fourniture et la pose d’un tapis d’entrée absorbant pour fosse posé sur cadre aluminium
non visible, répondant aux normes ERP accessibilité et adapté à un usage intérieur.
- Tapis brosse présentant une surface anti dérapant constitué de sous couches en vinyle et
d'éléments brosse de nylon en touffes alignées, type Socosystème brosse de chez Socofra
ou produit équivalent en un seul élément.
- Epaisseur mini : 17mm
- Compris :
o Chape en mortier lissé au fond de la cuvette au niveau nécessaire à un parfait
affleurement du tapis brosse avec enduit de lissage éventuellement nécessaire.
o Toutes sujétions de découpes et d’ajustage aux dimensions du cadre.
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CCTP PHASE DCE

LOT 07 – REVETEMENTS DE SOLS SOUPLES
Date Approuvé
par
LOT 07 REVETEMENTS DE SOLS SOUPLES / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES................................................................................................................................ 3
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT REVETEMENTS DE SOLS SOUPLES 4
3. DESCRIPTION DES OUVRAGES ....................................................................................................... 8

3.1. CHAPES MINCES SOUS SOLS SOUPLES 8
3.2. REVETEMENT DE SOL PVC VYNILIQUE 8
3.3. TAPIS BROSSE 9
3.4. TRAVAUX DIVERS 9
3.4.1. PROFILS D’ARRET SOL SOUPLE 9
3.4.2. JOINTS DE DILATATION 9
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1. GENERALITES

titre du lot n°07 – REVETEMENTS DE SOLS SOUPLES dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir
leur proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT REVETEMENTS DE SOLS SOUPLES

▪ La fourniture et pose de l’ensemble, quel que soit le type de revêtement,
 Revêtements de sols PVC collés en lés
 Revêtements de sols PVC collés en dalles
▪ Les enduits de préparation de sol courants (ragréage courant)
▪ Les enduits de préparation de sol épais (ragréage épais)
▪ Les sous-couches d’interposition ou les systèmes anti-remontée d’humidité
▪ Les plinthes associées aux sols souples
▪ Les sous-couches isolantes acoustiques
▪ Les revêtements de sols et plinthes des escaliers
▪ Le traitement des joints de dilatation au sol et muraux, les profilés métalliques et couvre-joints correspondants
▪ Le traitement des joints de fractionnement
▪ L’enlèvement des gravois consécutifs à leur mise en oeuvre.

▪ Plans de réservations
▪ Plans de repérage des revêtements de sols souples
▪ Plans de calepinage, plans des détails
▪ Nuanciers,
▪ Fiches techniques, classement UPEC, classement anti-glissance, avis techniques, cahiers des charges
▪ Avant mise en œuvre des revêtements, les rapports de mesure de l’humidité des supports, et les rapports de
reconnaissance des supports

2.1.3.1. DEFINITION DES SYSTEMES DE REVETEMENTS SOUPLES POUR SOLS ET MURS
Le présent document s'applique aux conditions d'exécution, à l'intérieur des bâtiments, des revêtements définis
dans la norme.
Le présent document vise les revêtements mis en œuvre dans des bâtiments ou à l’extérieur de ceux-ci
- sur un support neuf
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Les documents particuliers du marché précisent :

▪ la nature et le type des des revêtements
▪ leurs supports
▪ les performances attendues des revêtements (classement UPEC, atténuation acoustique, coefficient anti-
glissance, résistance à divers types d’agression : chimique, mécanique…)
▪ le mode de jonction entre éléments de revêtement de sol (lés, dalles, bandes…)
▪ le mode de traitement des plinthes
▪ si besoin est, le mode de traitement autres des points singuliers (rives, seuils, pénétrations…)
Il est rappelé que le domaine d’application du DTU ne vise pas :

▪ les zones en climat tropical humide
▪ la pose sur dallage réalisé en terrain inondable
Nota : Ce domaine d'application ne couvre donc pas les départements d'outremer.
Le DTU ne vise également pas :

▪ la pose en locaux classés P4S
▪ la pose en locaux comportant des siphons de sols et des caniveaux
▪ les revêtements plastiques muraux
Pour ces cas, les produits seront obligatoirement sous avis technique ou cahier des charges visé par un contrôleur
technique.
La mise en œuvre des enduits de préparation de sol (ragréage) sera effectuée selon les prescriptions du cahier du
CSTB n°3634 - CPT d’exécution des enduits de sol intérieurs pour le pose de revêtements de sols – Travaux neufs
Pour les travaux de revêtements de sols en rénovation, les supports admis, les conditions de pose, la préparation
des supports, la mise en œuvre, etc…. sont précisées dans les cahiers et e-cahiers du CSTB suivants (liste non
exhaustive) :
▪ 2055-1 Guide pour la rénovation des revêtements de sol – Cas d’un nouveau revêtement textile collé ou tendu
▪ 2055-2 Guide pour la rénovation des revêtements de sol – Cas d’un nouveau revêtement plastique collé
▪ 3389 – Guide technique de rénovation des sols recouverts de dalles et produits associés contenant de
l’amiante
▪ 3635 - Exécution des enduits de sol intérieurs pour la pose de revêtements de sols – Travaux de rénovation
Dalles : revêtement de sol PVC manufacturé, de format carré, d'une dimension minimale de 25 × 25 cm et
conditionné en boites.
Lés : revêtement de sol PVC manufacturé dont la largeur entre les lisières est au moins égale à 100 cm et qui est
conditionné en rouleaux.
Bandes : revêtement de sol PVC manufacturé de format rectangulaire, dont la largeur minimale est de 8 cm et qui
est conditionné en boites.
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Ravoirage : ouvrage intermédiaire, non compressible et nivelé, mis en oeuvre sur le support (dallage, plancher). Il
permet d'obtenir un niveau imposé ou d'y noyer des canalisations ou fourreaux.
Le ravoirage assure uniquement le transfert vertical des charges
MATÉRIAUX
Les matériaux (revêtements, chapes, colles, adhésifs, sous-couches, …) sont choisis parmi ceux répondant aux
prescriptions des normes et DTU en vigueur , des cahiers et e-cahiers du C.S.T.B.
obligatoirement par l’avis technique, un cahier des charges visé par un organisme agréé, une cahier des
prescriptions technique du CSTB….
2.1.3.2. CLASSIFICATION DES LOCAUX ET DES SUPPORTS

Le choix du revêtement de sol intérieur, de son mode de pose, … doivent tenir compte :
▪ du classement UPEC de chaque local ou espace concerné, des sollicitations reçues par le revêtement
▪ de la mise en œuvre éventuelle de sous-couches
▪ éventuellement des contraintes mécaniques, chimiques, ou autres telles que précisées par les pièces
particulières du marché
Le choix d’une sous-couche doit tenir compte :

▪ des conditions d’utilisation du local.
Le choix d’un revêtement mural intérieur, doit tenir compte :

▪ du classement du local en fonction de l’exposition à l’humidité des parois,(hygrométrie des locaux, exposition
à l’eau, entretien et nettoyage) : EA, EB, EB+ privatif, EB+ collectif, EC

2.1.4.1. CONDITIONS NECESSAIRES A L'EXECUTION DES TRAVAUX
Dans tous les cas, la mise en œuvre d'un revêtement de sol ou d’un revêtement mural ne peut être effectuée que si
les conditions suivantes sont toutes satisfaites :
▪ Les températures du support et de l’atmosphère doivent être au moins égales à 10 °C, et compatibles avec les
température minimale et maximale de mise en œuvre des produits (mortiers, colles, adhésifs…)
▪ L’humidité ambiante et la température du support doivent être telles qu’il n’y ait pas de condensations au
niveau du support
▪ Les travaux de gros oeuvre, les enduits et raccords sont secs. Les travaux d'apprêt ou de peinture (incluant les
finitions) sont terminés sur les plafonds, les huisseries et les murs, à l'exclusion des plinthes qui recevront les
couches de finition.
▪ L'étanchéité des installations sanitaires et de chauffage a été vérifiée.
▪ Les portes laissent le jeu nécessaire pour la pose du revêtement.
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▪ Les plinthes en bois ont été posées, traînées, et la couche d'impression appliquée.
▪ Les canalisations traversant les supports sont posées
▪ Les socles protégeant au sol ces canalisations sont posés
▪ Les boitiers d’encastrement des appareils encastrés sont scellés
▪ Les locaux sont propres et débarrassés de tous gravats et déchets
▪ Les appareils sanitaires et le mobilier ne sont pas posés
▪ Les éventuelles fissures du support ont été traitées
▪ Sols chauffants : le titulaire du lot chauffage aura mis en service et arrêté le chauffage des sols chauffants
conformément aux dispositions de mise en oeuvre décrites à l'article 6.2.4 du DTU avant l'intervention du
titulaire du lot revêtement de sol
▪ La reconnaissance des supports a été effectuée
▪ L’humidité des supports ne doit pas dépasser les valeurs limites indiquées par le DTU ou l’avis technique
▪ Les éventuelles fissures du support ont été traitées
▪ La cohésion de surface, la porosité et la planéité des supports sont satisfaisantes
2.1.4.2. JOINTS DE DILATATION – JOINTS DE RETRAIT - JOINTS DE FRACTIONNEMENT – JOINTS DE CONSTRUCTION -

JOINT DE FINITION
Le traitement des joints de dilatation sera réalisé selon les prescriptions de documents techniques de référence :
DTU, cahiers et e-cahiers du CSTB, avis techniques, cahiers des charges.
Les profilés métalliques correspondant à ces ouvrages sont à prévoir au titre du présent lot
Le traitement des joints de retrait, des joints de fractionnement, des joints de construction, sera réalisé selon les
prescriptions de documents techniques de référence : DTU, cahiers et e-cahiers du CSTB, avis techniques, cahiers
des charges.
2.1.4.3. ESCALIERS
Le traitement des escaliers sera réalisé selon les prescriptions de documents techniques de référence : DTU,
cahiers et e-cahiers du CSTB, avis techniques, cahiers des charges.
2.1.4.4. TOLERANCES SUR L'OUVRAGE FINI

Elles sont indiquées par les documents techniques de référence : DTU, avis technique….
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3.1. CHAPES MINCES SOUS SOLS SOUPLES

Métré : Au m²
Localisation : Suivant plans architecte et plan de repérage
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra:
▪ Fourniture et pose de panneaux isolants sous chape en polyuréthane de type KNAUF Thane
Sol ou similaire épaisseur 80mm (R=3.70m²/C/W)
▪ Fourniture et mise en œuvre de chapes minces avec formes de pentes vers les siphons de
sol, réalisées au mortier de résine spécial bénéficiant d’un avis technique favorable du CSTB
pour réaliser des chapes minces sous sols souples.
3.2. REVETEMENT DE SOL PVC VYNILIQUE

Métré : Au m²
Localisation : Selon plan architecte et plan de repérage
▪ La fourniture et pose de revêtement de sol en P.V.C acoustique imprimé, en lés de 2.00 m de
large, avec une double couche d'usure transparente.
▪ Lés de 2.00 m de large.
▪ Epaisseur totale : 2.00 mm.
▪ Epaisseur de la couche d'usure : 0,90 mm.
▪ Classement U.P.E.C : U4. P3. E3.C2 minimum
▪ Efficacité acoustique : delta LW = 16 dB.
▪ Classement au feu (NF EN 13501-1) : M3 P.V à fournir.
▪ Poinçonnement rémanent (NF EN 433) : 0.11 mm.
▪ Le matériau sera agréé pour l’aménagement des pièces d’eau à usage pieds nus, le
complexe revêtement de sol + mur devra être garanti 10 ans
▪ Toutes teintes et toutes gammes au choix de l’architecte.
▪ Le revêtement sera du groupe T d’abrasion et composé d’une double couche compacte
armaturée sur dossier de mousse renforcée.
▪ Y compris découpes, finitions et liaisons avec les siphons de sols
▪ Joints soudés à chaud, coupes, protections, nettoyage.
▪ Toutes sujétions pour une parfaite étanchéité de l’ensemble.
▪ Boudin au droit de chaque porte pour éviter tout refluage d’eau.
▪ Relevé en plinthe sur 8cm de haut avec profil de finition en PVC en tête.
Le revêtement P.V.C sera doté d'un traitement facilitant l'entretien et évitant toute
métallisation pendant toute la durée de vie du matériau. Il comportera un traitement
bactériostatique et fongistatique renforcé par un traitement antibactérien et antifongique à
base d'ions d'argent.
Mise en œuvre conformément au Cahier des Charges du Fabricant (le Fabricant doit
obligatoirement toute assistance technique
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3.3. TAPIS BROSSE

Espaces patères maternelle et élémentaire
- La fourniture et la pose d’un tapis d’entrée absorbant pour fosse posé sur cadre aluminium
non visible, répondant aux normes ERP accessibilité et adapté à un usage intérieur.
- Tapis brosse présentant une surface anti dérapant constitué de sous couches en vinyle et
d'éléments brosse de nylon en touffes alignées, type Socosystème brosse de chez Socofra
ou produit équivalent en un seul élément.
- Epaisseur mini : 17mm
- Compris :
o Chape en mortier lissé au fond de la cuvette au niveau nécessaire à un parfait
affleurement du tapis brosse avec enduit de lissage éventuellement nécessaire.
o Toutes sujétions de découpes et d’ajustage aux dimensions du cadre.
3.4. TRAVAUX DIVERS

3.4.1. PROFILS D’ARRÊT SOL SOUPLE
Métré : ml
Position : Pour finition entre sols souples et peinture ou sol brut.
Nature : Les prestations comprennent la fourniture et mise en place d’un profil d’arrêt PVC comprenant
une languette venant sous le revêtement de sol d’un coté et avec forme de pente sur son autre
côté.
Fixation par collage.
Teinte au choix de l’architecte dans la gamme du fabricant.
Archétype : « Profil d’arrêt P769 de Gerflor » ou produit équivalent.
Choix des finitions, références selon demandes de l’architecte et du maitre d’ouvrage.
3.4.2. JOINTS DE DILATATION

Métré : ml
Position : Suivant plans pour traitement des joints de dilatation au droit des sols souples.
Nature : Les prestations comprennent les traitements des joints de dilatation par couvre joints
spécifiques en bande souple de PVC maintenue de part et d’autre du joint par profilés en
aluminium disposé sous le revêtement de sol.
Epaisseur de la bande PVC adaptée à celle du revêtement de sols souples.
Liaison entre bande couvre joint et revêtement de sol par soudure à chaud. Choix des finitions,
références selon demandes de l’architecte et du maitre d’ouvrage.
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CCTP PHASE DCE

LOT 08 - PEINTURE
Date Approuvé
par
LOT 08 PEINTURE / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES..........................................................................................................................3
2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES.................................................................................................4
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT PEINTURE 4

2.1.5. HQE 12
3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES ..........................................................................15
3.1 PEINTURE DE PROPRETÉ MURALE VINYLIQUE 15
3.2 PEINTURE ACRYLIQUE SUR PLAQUE DE PLATRE HYDRO 15
3.3 PEINTURE ACRYLIQUE SUR PLAQUE DE PLATRE SECHES 16
2.1 PEINTURE SUR ENDUIT 16
3.4 PEINTURE ACRYLIQUE SUR BOISERIES 17
3.5 PEINTURE DE SOL TYPE PLIOLITE 17
3.6 PEINTURE ACRYLIQUE SUR PLAFONDS 18
3.7 PEINTURE SUR OUVRAGES METALLIQUES FERREUX 18
3.8 NETTOYAGE DE LIVRAISON 19
Page 2/19
1. GENERALITES

titre du lot n°08 PEINTURE dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur proposition, sans
restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en liaison avec les autres
pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT PEINTURE

▪ des préparations des supports ;
▪ des peintures aux murs et plafonds ;
▪ des peintures sur ouvrages métalliques intérieurs et extérieurs ;
▪ des peintures sur bois et dérivés ;
▪ des peintures sur canalisations PVC apparentes ;
▪ des peintures sur canalisations métalliques apparentes ;
▪ des peintures sur tuyaux de chauffage ;
▪ Les nettoyages et les enlèvements hors chantier de tous déchets, gravois résultant de l’exécution des travaux
du présent lot ;
(Voir CCTP 00)

LISTE DES DOCUMENTS
La liste des documents rappelés ci-dessous n'est pas limitative. Tous les documents en vigueur à la date de remise de
l'offre sont réputés connus de l'Entrepreneur.
Outre les prescriptions réglementaires ou techniques d'intérêt général énoncées par le C.C.T.C. tous les travaux, objets
du présent corps d’état seront conçus et exécutés pour satisfaire aux documents techniques en vigueur 15 jours avant la
date de remise des offres et notamment avec :
a) les Documents Techniques Unifiés (D.T.U.)

▪ DTU 59.1 : Travaux de peinture des bâtiments.

▪ DTU 59.3 : Peinture de sol.
▪ DTU 59.4 : Mise en œuvre des papiers peints et des revêtements muraux
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b) NORMES travaux de peinturage

▪ NF T 30-001 Dictionnaire technique des peintures
▪ NF T 30-002 à 30-302 Peintures
▪ NF T 30-003 Peintures - Classification des peintures, vernis et produits connexes
▪ NF T 30-608 Peintures - Enduits de peinture pour travaux intérieurs
▪ NF T 31-001 à 31-109 Pigments
▪ NF 31-805 : Classifications de peintures, vernis et produits connexes.
▪ NF T 32.001 Huiles siccatives
▪ NF T 33.002 Solvants, diluants
▪ NF T 34-810 Peintures et vernis - Spécifications des peintures de finition pour pièces sèches
▪ NF T 34-811 Peintures et vernis - Spécifications des peintures de finition pour pièces humides
▪ NF T 36-001 Peintures - Dictionnaire technique des peintures et des travaux d'application
▪ NF T 36.005 Peintures et vernis - Classification des peintures, des vernis et des produits connexes
▪ T 30-805 Peintures - Peintures - Guide relatif aux produits de peintures utilisés dans les travaux de peinturage du
bâtiment
▪ T 30-807 Peintures et vernis - Peinture pour le bâtiment - Fiche descriptive du produit
▪ NF EN 927-1 Peintures et vernis - Produits de peinture et systèmes de peinture pour le bois en extérieur - NF T 30-
001 : Définitions techniques des peintures et travaux de peinturage.
▪ NF EN 21512 : Peintures et vernis - Echantillonnage des produits sous forme liquide ou en pâte.
▪ NF P 74-201-1 : Peinture - Travaux de peinture des bâtiments - Partie 1 : Cahier des clauses techniques
(Référence DTU 59.1).
▪ NF P 78-201 : Travaux de bâtiment - Travaux de miroiterie vitrerie - Partie 1 : Cahier des clauses techniques ; Partie
2 : Cahier des clauses spéciales - Marchés privés (Référence DTU 39).
c) Les règles professionnelles

▪ Les textes techniques de l'U.E.A.tc
▪ Règles professionnelles concernant l'utilisation des mastics pour l'étanchéité des joints.
▪ Règles UNPVF.
administratives afférentes à tous les travaux dont il a la charge et relevant de sa spécialité, en vigueur à la date de la
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2.1.4.1. PROVENANCE ET QUALITE DES MATERIAUX
PEINTURE - REVÊTEMENT MURAUX

L'entrepreneur est responsable du choix des produits et de leur marque.
Ce choix est fait suivant l'aptitude à la fonction des produits selon la protection ou de l'état de finition recherché.
Toute autre disposition telle que l'imposition et/ou fourniture de produits émanant du maître d'ouvrage et/ou du
maître d'œuvre n'est pas conforme aux clauses d'application de la norme NF P 74-201-1 et NF P 74-204-1.
Les produits de peinture et les revêtements muraux comprennent :
a) les enduits préparatoires et/ou décoratifs,
b) les peintures proprement dites et produits pour revêtements semi-épais,
c) les vernis,
d) les lasures,
e) les préparations assimilées de produits spéciaux,
f) les hydrofuges de surface.
g) papier fini
h) papier et revêtement vinyle, expansé et expansé relief sur support papier
i) tissé
j) vinyle compact enduit sur polyester non tissé (tissu vinyle)
k) textile tissé dont la face frontale est enduite
l) toile de verre finie ou à peindre
m) vinyle compact enduit (tissu vinyle) sur support textile
n) liège
o) Revêtements isolants
Pour la définition de ces termes et d'une façon générale pour la terminologie des peintures et de leur application,
il y a lieu de se reporter à la norme NF T 36-001.
PEINTURES DE SOL
La majorité des produits de peinture est bi-composante. Ceci entraîne une opération de mélange et de malaxage
des deux composants préconditionnés. Après ces opérations, il est nécessaire de respecter le délai de
mûrissement du produit considéré. Avant application, une adaptation de consistance peut être nécessaire, elle est
faite avec le diluant préconisé.
CONFORMITÉ DES PRODUITS

Une fiche descriptive élaborée par le fabricant accompagne chacun des revêtements et guide le choix de
l'entrepreneur. Cette fiche doit indiquer :
p) normes françaises de référence,
q) marque NF,
r) procès-verbal de classement, réaction au feu,
s) spécifications GPEM/PV,
t) toute autre spécification jugée utile dont l'origine doit être alors précisée.
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ECHANTILLONS
En début de chantier et avant tout commencement d'exécution, l'Entrepreneur devra remettre tous les
échantillons nécessaires au choix de l'Architecte.
A la demande du Maître d'Œuvre, l'Entrepreneur devra fournir toutes justifications (procès-verbaux, classement
UPEC, avis techniques, attestations du fabricant, etc..) certifiant que les fournitures et leur mise en œuvre
répondent bien aux conditions du marché (agrément des revêtements, des colles, des mortiers, etc..)
Sur chaque échantillon fourni devra apparaître clairement :
▪ La marque du produit,
▪ Son classement au feu,
▪ Sa teneur en COV,
▪ Son coloris avec sa référence
Tous les contrôles et essais ne sont pas à la charge de l’entreprise sauf spécification contraire dans les pièces
écrites du marché. Tout contre-essai et contre-épreuve, découlant de résultats non favorables, sont à la
charge de l'entrepreneur.
Tout matériau ou ouvrage non conforme sera remplacé aux frais exclusifs du titulaire du présent lot. Les coloris et
motifs définitifs des différents types de revêtement ainsi que les calepinages éventuels seront à déterminer au
préalable avant tout commencement d'exécution, en accord avec le Maître d'Œuvre.
Aucun changement de coloris, de motifs ou de calepinage d'un local à l'autre ne pourra en aucun cas donner lieu à
un supplément de prix
2.1.4.2. SUPPORTS EN SUBJECTILES
CONFORMITÉ DES SUBJECTILES

L’entrepreneur devra procéder à la réception des supports devant recevoir les peintures et revêtements
muraux.
Pour cette réception, l’entrepreneur vérifiera que les supports répondent bien aux exigences des DTU et aux règles
professionnelles.
Si l’Entreprise réalise les travaux sans avoir réceptionné au préalable les supports, ceci vaudra acceptation sans
réserve des supports.
En cas de supports ou parties de supports non conformes, l’entrepreneur fera par écrit au maître d’œuvre ses
réserves et observations avec justifications à l’appui.
Il appartiendra alors au maître d’œuvre de prendre toutes décisions en vue de l’obtention de supports conformes.
Le maître d’œuvre pourra être amené à prescrire des travaux complémentaires nécessaires.
le présent lot, mais les frais en seront toujours supportés par l’entrepreneur ayant exécuté les supports.
2.1.4.3. PREPARATION DES SUPPORTS
Préalablement à l’application des revêtements, l'Entrepreneur effectuera un nettoyage général des supports.
Avant l'application de toute couche, la surface qui la reçoit devra être débarrassée des souillures, poussières,
tâches de graisse, etc.
La pollution des supports par un autre corps d’état ne peut en aucun cas remettre en cause la responsabilité
entière du lot revêtement sur la mise en œuvre de ses produits.
L'entrepreneur devra s'assurer auprès des autres corps d’état et en particulier ceux de Gros Œuvre, de Serrurerie
et de Menuiserie que les produits mis en œuvre sont compatibles avec les impressions, les adjuvants et produits
de décoffrages, les produits de traitement des bois, les produits antirouille, etc.
Dans tous les cas, les peintures seront parfaitement couvrantes.
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2.1.4.4. SPECIFICATIONS DE MISE EN OEUVRE ET DE REALISATION
PEINTURE
Les ouvrages de peinture, vernis, enduits et préparations assimilées ne sont exécutés que sur des subjectiles
propres et dépoussiérés, répondant aux prescriptions les concernant.
Ils ne sont jamais exécutés dans les cas suivants :
▪ Atmosphère humide susceptible de donner lieu à des condensations.
▪ Supports gelés ou trop humides.
▪ Supports surchauffés.
▪ Dans des conditions activant anormalement le séchage (vent, soleil, etc…).
▪ Température ambiante et température du subjectile insuffisante :
 inférieure à + 5° pour les travaux de peinture en extérieur.
 inférieure à + 8° pour les travaux de peinture en intérieur.
REVETEMENTS MURAUX
La pose des revêtements n'est exécutée que sur des subjectiles répondant aux prescriptions les concernant.
Ils ne sont jamais exécutés dans les cas suivants :
▪ Atmosphère humide susceptible de donner lieu à des condensations.
▪ Supports gelés ou trop humides.
▪ Supports surchauffés.
▪ Dans des conditions activant anormalement le séchage (changements sensibles des conditions ambiantes).
▪ Température ambiante inférieure a + 10°.
▪ Température ambiante supérieure a + 30°.
▪ Hygrométrie supérieure à 65% HR.
Se reporter aux normes en vigueur et aux fiches techniques des produits établies par les fabricants.
POSE DES REVETEMENTS MURAUX COLLES

Avant pose des revêtements le poseur prendra connaissance de la notice de pose donnée avec le revêtement. Il
vérifiera si le lot de rouleaux livrés est suffisant et provient du même bain de fabrication.
Stockage des rouleaux dans la pièce concernée jusqu'à équilibre hygrothermique avec la pièce et selon les
indications des fiches techniques.
Encollage au dos des lés ou encollage du subjectile.
Respect des notices des fabricants de colle et du revêtement :
▪ Temps ouvert de la colle, temps de détrempe ou de gommage.
▪ Collage des lés du revêtement dans le même sens : ou en sens inversé (voir notice de pose du revêtement).
▪ Mise en raccord des motifs si nécessaire.
▪ Marouflage très soigné à l'aide d'une spatule, balai ou rouleau réservé à cet usage.
▪ Confection du joint :
 1/2 joint (recouvrement de 0,2 à 0,5 cm).
 Joint vif (bord à bord).
 Double coupe (superposition de 2 lés et coupe simultanée).
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L'entrepreneur devra décider d'un calepinage des lés tenant compte :

▪ de la nécessité de réduire les variations de tonalité admissibles, ainsi que de raccorder les motifs pouvant
exister en face frontale du revêtement.
▪ des dispositions de la pièce, pour positionner les joints, et les minimiser.
▪ du type de pose: pose bord à bord, en superposition, émargement à sec.
QUALITE DE FINITION DES PEINTURES

Définition des états de finition des peintures, vernis et lasures communs à tous les subjectiles (sauf stipulations
particulières dans les descriptifs des ouvrages) :
1. Qualité de finition A
▪ La planéité finale est satisfaisante. Réalisation, par l’entreprise, de tous les travaux préparatoires jugés
nécessaires.
▪ De faibles défauts d'aspect sont tolérés.
▪ Pores des bois peu apparents.
▪ L'aspect d'ensemble est uniforme lisse.
▪ Le rechampissage ne présente pas d'irrégularités (ni détrempe, ni saignement, ni remontées).
▪ Les défauts d'aspect et les traces d'outils sont à peine perceptibles pour les vernis et lasures sur subjectiles
bois.
2. Qualité de finition B
▪ La planéité générale initiale n'est pas modifiée.
▪ Les altérations accidentelles sont corrigées.
▪ La finition B est d'aspect poché.
▪ Sur subjectiles bois l’aspect final peut être rugueux.
▪ Quelques défauts d'épiderme et quelques traces d'outils d'application sont admis.
3. Qualité de finition C
▪ Le film de peinture couvre le subjectile.
▪ Il lui apporte un coloris, mais l'état de finition reflète celui du subjectile.
▪ Des défauts locaux de pouvoir masquant et de brillance sont tolérés.
▪ La finition C est d'aspect poché.
Pour les vernis et lasure sur subjectiles bois :

▪ Sans exigence d'aspect de finition.
▪ Seule finition possible pour les lasures utilisées en travaux neufs à l'extérieur.
▪ Ne concerne pas les vernis en travaux neufs à l'extérieur.
NOTA
Dans le cas ou la qualité de finition n'est pas précisée dans la description des ouvrages, le niveau de qualité de
finition sera au minimum B.
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QUALITE DE FINITION DES REVETEMENTS MURAUX COLLES

Définition des états de finition des revêtements muraux collés communs à tous les subjectiles (sauf stipulations
particulières dans les descriptifs des ouvrages) :
1. Qualité de finition A
▪ La planéité finale est satisfaisante dans la limite d'une recharge maximale de 3 mm. Réalisation, par
l’entreprise, de tous les travaux préparatoires jugés nécessaires.
▪ De faibles défauts d'aspect sont tolérés.
▪ L'aspect est uniforme.
▪ Les découpes ne présentent pas d'irrégularités.
▪ La pose est réglée au fil à plomb. Elle débute à partir d'un angle du mur comportant une baie éclairante.
▪ La pose sera faite à partir d'un angle adjacent ; elle est réglée au fil à plomb.
▪ La tolérance de pose admissible au niveau des joints ne doit pas excéder 1 mm par mètre linéaire en
recouvrement pour les papiers peints non vinyliques ou lessivables.
▪ Le liseré clair au niveau des joints est toléré dans le cas de revêtements de teinte soutenue.
▪ Pour les papiers peints et les revêtements dont la fabrication fait l'objet d'une tolérance de 1 mm selon la fiche
technique du fabricant. La même tolérance est acceptée à la pose.
2. Qualité de finition B
▪ La planéité générale initiale n'est pas modifiée.
▪ Des altérations accidentelles sont corrigées.
▪ Quelques défauts d'épiderme ou traces d'outils sont admis, ainsi que de légers défauts de verticalité.
▪ La pose sera faite à partir d'un angle adjacent à la baie d'éclairage naturel d'une pièce. Elle est réglée au fil à
plomb.
▪ La tolérance de pose admissible au niveau des joints ne doit pas excéder 1,5 mm par mètre linéaire en
▪ Il sera admis des irrégularités de découpe et d'arasement.
3. Qualité de finition C
▪ Le revêtement couvre le subjectile. Il lui apporte une décoration, mais l'état de finition de surface reflète celui
du subjectile.
▪ Des défauts locaux de planimétrie sont tolérés.
▪ La tolérance de pose admissible au niveau des joints ne doit pas excéder 2 mm par mètre linéaire en
▪ Il sera admis des irrégularités de découpe et d'arasement.
NOTA
Dans le cas ou la qualité de finition n'est pas précisée dans la description des ouvrages, le niveau de qualité de
finition sera au minimum B
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ENDUITS PELLICULAIRES - COLLES

Les produits de préparation de support et de collage seront compatibles avec les supports et les revêtements de
finition à poser par le présent lot.
Les colles utilisées devront répondre à un avis technique du C.S.T.B.
Le choix de la colle doit toujours être adapté aux revêtements, au subjectile, aux conditions de travail sur le
chantier et à l'usage prévu.
Colles sans solvants en dispersion aqueuse. Le Système EMICODE (Allemand) pourra être utilisé en utilisant des
colles de classification EC1 (très faible émission de COV).
PEINTURES - LASURES - VERNIS

Les peintures, lasures et vernis utilisés seront certifiés NF Environnement ou Ecolabels européens (Ange Bleu,
Ecolabel européen, …) ou label environnemental équivalent.
La formulation des peintures employées devra être conforme aux prescriptions de la législation du travail en
vigueur.
Ces peintures devront être non toxiques.
Les peintures employées à l’intérieur du bâtiment devront respecter la directive européenne du 21 avril 2004.
Cette directive précise les exigences relatives au COV (composés organiques volatiles) réglementaires à partir de
2007.
Les peintures employées en intérieur seront de type aqueux sans solvants ni odeurs (taux de composants
organiques volatils : 0%).
La peinture devra présenter une bonne résistance dans le temps et devra être lessivable. A cet effet des surfaces
témoin seront réalisées dès le début du chantier afin de tester la qualité des peintures (teinte mais également
lessivabilité, résistance, tenue des couleurs..).
Les peintures glycérophtaliques employées devront être de type en phase aqueuse.
Les peintures utilisées doivent être de nature adaptée à leurs supports, le classement au feu du support + finition
doit être conforme à la notice de sécurité incendie.
2.1.4.5. RECEPTION DES TRAVAUX (EN COMPLEMENT DES O.P.R. NORMALISEES)
La réception et la visite après un an de délai de garantie des ouvrages effectuées conformément aux articles du
D.T.U.
Les différentes surfaces devront être identiques aux surfaces témoins en ce qui concerne :
ASPECT
Conformité avec les surfaces témoin examinées notamment en jour frisant, accepté par le Maître d'Œuvre
particulièrement en ce qui concerne l'uniformité, l'absence de papillons, embus, auréoles, le degré de brillant ou
de satiné, le relief, l'opacité (notamment aux arêtes) et la couleur.
EPAISSEUR
Déterminée sur métaux ferrifères avec jauge magnétique, sur autres métaux, sur bois, par mesure directe.
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ADHÉRENCE
Elle devra être totale sur toute la surface de contact avec le matériau qu'il s'agisse de rebouchage ou d'enduits, ou
de couches de peinture et elle devra se maintenir dans le temps.
Les peintures, les mastics et enduits devront, dans tous les cas, résister sans cloquer ni feuilleter à la chaleur, et à
la réaction alcaline des matériaux de ciment et des plâtres à la chaux sous condition que plâtre et ciment soient de
qualité normale et secs au moment de la mise en peinture.
Compte tenu de ce qui précède, le préchauffage éventuel est à prévoir au présent lot par radiateur mobile
électrique ou tout autre procédé particulier à l'Entreprise respectant les conditions de sécurité imposées par les
textes réglementaires sur la prévention des accidents à l'intérieur du chantier.
SUSCEPTIBILITÉ AUX SALISSURES

Différentes salissures peuvent être utilisées, mais elles peuvent se ramener à un nombre réduit de type :
▪ Salissures de boue : gouache ou détrempé en tube de terre d'ombre naturelle,
▪ Salissures sèches : poussière de graphite,
▪ Salissures grasses : couleur à l'huile en tube de fer d'ombre naturelle,
▪ Salissures grasses et teignantes : couleur à l'huile en tube de fer sienne brûlée et trait de crayon à bille
ordinaire bleu.
L'essai se fait par étalement d’une faible quantité de couleur (gros comme un pois) avec un couteau à palette à
plat.
Le même jour, après un délai d'au moins 1 heure, la tâche doit pouvoir être enlevée sans laisser de trace même en
lumière frisante avec de l'eau additionnée d'un détersif commercial, à l'éponge ou à la brosse par le peintre
RÉSISTANCE AUX AGENTS

Lorsque ces conditions ne seront pas remplies, l'Entrepreneur devra procéder, à ses frais, aux réfections
nécessaires.
Toutes les surfaces laissant apparaître des traces de pinceau seront obligatoirement refusées.
2.1.5. HQE
2.1.5.1. CHOIX INTÉGRÉ DES PROCÉDÉS, PRODUITS ET SYSTÈMES DE CONSTRUCTION (P)
La cible 2, « Choix intégré des procédés et produits de construction » est traitée en niveau Performant.
Le projet sera réalisé avec des produits et procédés exclusivement certifiés, dans les catégories en disposant
aujourd'hui ou, à défaut, justifiant de caractéristiques équivalentes (au sens de la recommandation T1-99 du
GPEM établie en date du 7/11/99 / justification d'équivalence à fournir par le fabricant à la demande du MO).
L'ensemble des produits, procédés ou matériaux sera conforme aux normes NF correspondantes et mise en
œuvre selon les DTU en vigueur. A défaut, ils possèderont un AT en cours de validité ou disposeront d'un
ATEX du CSTB.
Les peintures, lasures et vernis seront a minima labellisé Ecolabel européen ou Ange bleu ou Nature plus ou Cygne
blanc.
L’ensemble des produits de finition intérieure contient moins de 2,5% de produits dangereux et ne contient
aucun produit classé Xn au sens de la directive européenne 97/69/CE.
Les entreprises adjudicataires seront en mesure de fournir au MO les informations concernant les
performances environnementales se rapportant à la structure, l'enveloppe, le cloisonnement et les
revêtements intérieurs, relatif à leur lot, en référence à l'application ne la NFP 01.010.
Les matériaux et équipements utilisés seront retenus pour leur faible impact environnemental, certains provenant
de la filière recyclable ; entre autres, les bois seront tous éco-certifiés et proviendront de filières surveillées.
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Dans les locaux Déchets, les revêtements de murs et de sol auront des propriétés antifongiques et
antibactériennes.
2.1.5.2. COMPOSÉS ORGANIQUES VOLATILS (COV)
Les matériaux de construction choisis éviteront autant que possible les émissions de composés organiques
volatils (COV) ainsi que toutes substances soupçonnées de nocivité sur la santé humaine.
Les peintures seront sans solvants de types alkydes contenant moins de 15 grammes de COV par litre de produit
et moins de 1g/l pour les peintures blanches.
L’ensemble des peintures contiendront moins de 2,5% de produits dangereux. Les justifications seront faites par
fourniture des fiches de données sécurité.
2.1.5.3. CHANTIER À FAIBLES NUISANCES - GESTION DES DÉCHETS - LIMITATION DES NUISANCES DE CHANTIER
Une « Charte de Chantier à faibles nuisances », jointe au Dossier de Consultation des

Entreprises, définit et explicite clairement les objectifs contractuels de cette démarche pour ce lot. Comme
tout intervenant sur le chantier, les sous-traitants doivent prendre connaissance des obligations de cette
pièce du marché.
Chaque entreprise désignera un interlocuteur spécifique « Responsable Environnement ».
Le responsable « Chantier à Faibles Nuisances » sera désigné au sein de l’entreprise gestionnaire du compte-
prorata qui assurera le contrôle des engagements communs contenus dans la charte « chantier à faibles
nuisances », pendant toute la durée du chantier.
La qualité environnementale d’une opération se juge également par les dispositions prises en phase «travaux »
pour limiter les nuisances qu’il génère et s’assurer de sa propreté, participant autant à l’image donnée qu’à
la qualité des conditions de travail.
Si ces éléments peuvent se mesurer uniquement en situation, sa réussite dépend tout aussi fortement des 3
éléments suivants indissociables selon nous :
▪ Une conception optimisée pour limiter les quantités de déchets et diminuer les nuisances sonores par le
choix de techniques adaptées,
▪ Des moyens et outils définissant les règles à respecter et les pénalités applicables en cas de manquement.
(Une charte de chantier à faibles nuisances sera donc intégrée au DCE),
▪ Du suivi régulier du chantier par l’architecte, l’OPC, le SPS et le bureau HQE pour la vérification mais aussi
pour la sensibilisation et l’information. Des séances de sensibilisation seront donc prévues.
L'entreprise devra :
 Garantir un chantier propre.
 Minimiser les gênes dues aux mouvements des véhicules du chantier,
 Minimiser les nuisances acoustiques du chantier (utilisation de matériels moins bruyants),
 Limiter les pollutions pour les riverains, les ouvriers et les écosystèmes. (Gestion des eaux de lavage,
huiles de décoffrage végétales),
 Assurer une gestion et une collecte sélective des déchets (tri et limitation des déchets, taux de
valorisation d’au moins 40% en poids).
 Limiter les consommations d’eau et d’énergie (relevé mensuel des compteurs) 0.9 4
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2.1.5.4. ETANCHÉITÉ À L'AIR
Dans le cadre du projet, des inspections visuelles de la nature et de la mise en œuvre des matériaux et composants
au niveau des liaisons sensibles seront réalisées tout au long du chantier.
D’autre part des mesures en cours et en fin de chantier seront réalisées par le système de la « porte soufflante ».
Les valeurs seront mesurées selon la norme NF EN 13829 « Performance thermique des bâtiments –
Détermination de la perméabilité à l’air des bâtiments. Méthode de pressurisation par ventilateur » de février
2001.
En cas de non atteinte de la valeur cible le test final sera refait à la charge des entreprises responsables.
Les travaux correctifs seront également à la charge des entreprises responsables.
Un premier test sera réalisé avant le second œuvre, sur quelques locaux définis en cours de chantier, en fonction
de l’avancement du chantier et des possibilités de « neutralisation » des zones pour garantir la mise sous-
pression.
Un test final sera réalisé avant la réception sur l’ensemble du bâtiment. Le niveau d’étanchéité attendu est un
indice de perméabilité ;
▪ 1m3/h/m² de surface déperditive,
Chaque entreprise est responsable de l’atteinte de cet objectif.
2.1.5.5. GESTION DES DÉCHETS D'ACTIVITÉ (B)
L’entreprise devra le tri et la gestion des déchets conformément au cahier des prescriptions
environnementales.
2.1.5.6. CONFORT VISUEL (P)
La cible 10, « Confort visuel » est traitée en niveau Performant.
2.1.5.7. NOTE DE CALCUL FLJ
Les coloris seront au choix de l’architecte sous réserve de respecter les exigences de coefficient de réflexion
lumineuse de la note de calcul FLJ, à savoir :
▪ Murs : 60%
▪ Sol : 30%
▪ Plafond : 80%
▪ Sol extérieur : 20%
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3.1 PEINTURE DE PROPRETÉ MURALE VINYLIQUE

Métré : m²
Localisation : Selon plans architectes,
Support : béton
Locaux techniques
Finition :
▪ Une couche de peinture vinylique satinée aux résines vinyliques et alkydes en dispersion
aqueuse, application pneumatique
▪ État de finition recherché : Finition "C"
▪ Aspect : satinée
▪ Famille : 1 - Classe7b2
▪ Réaction au feu : M0 ou A2-s1, d0
3.2 PEINTURE ACRYLIQUE SUR PLAQUE DE PLATRE HYDRO
Métré : m2
Localisation : Suivant plans architecte et carnets de repérage
Au droit des doublages périphériques, cloisons et plafonds placo en locaux humides
- Préparation des supports par masticage, ponçage et dépoussiérage
- Support : plaque de plâtre
- Finition :
• Couche d’impression
• Deux couches de peinture alkyde satin
• État de finition recherché : Finition "B"
• Aspect : satin
• Famille : 1 - Classe7b2
• Réaction au feu : M0 ou A2-s1, d0
• Emission dans l’air intérieure : A +
Y compris
• Rechampissage, protection et nettoyage des sols, plafonds, menuiseries, reprises,
retouches et toutes sujétions de parfaite finition.
• Mise en peinture des tapées et appuis placo intérieurs
• Coloris au choix de l’architecte.
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3.3 PEINTURE ACRYLIQUE SUR PLAQUE DE PLATRE SECHES
Métré : m2
Au droit des doublages périphériques, cloisons, doublages.
- Préparation des supports par masticage, ponçage et dépoussiérage
- Support : plaque de plâtre
- Finition :
• Couche d’impression
• Deux couches de peinture acrylique satinée
• État de finition recherché : Finition "B"
• Aspect : satinée
Y compris
• Rechampissage, protection et nettoyage des sols, plafonds, menuiseries, reprises,
2.1 PEINTURE SUR ENDUIT
Métré : m²
Localisation : Suivant carnet de décoration
Ensemble des murs intérieurs, enduits. Y compris locaux techniques.
Support : enduit
Préparation des supports :
• Egrénage, époussetage
• Application d’une couche d’impression
• Enduisage repassé
• Ponçage et époussetage
Finition :
• Deux couches de peinture acrylique satinée à base de résines alkydes en émulsion et
acryliques.
• État de finition recherché : Finition "A"
• Aspect : Satiné
• Réaction au feu : A2-s1, d0
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3.4 PEINTURE ACRYLIQUE SUR BOISERIES
Métré : m2
Ensemble des portes intérieures, plinthes, habillages divers et façades des gaines techniques
menuisées.
- Préparation des supports par vérification de l’humidité, brossage, fixation des nœuds,
brûlage des résines, masticage, ponçage et dépoussiérage
- Support : bois et dérivés bois
- Finition :
• Impression complète des bois bruts
• 2 couches de peinture satin
• État de finition recherché : Finition "C"
• Aspect : Satin
• Y compris
• rechampissage, protection et nettoyage des sols, plafonds, menuiseries, reprises,
• Exécution à la brosse ou au rouleau.
3.5 PEINTURE DE SOL TYPE PLIOLITE
Métré : Au m²
Localisation : suivant plans architecte et carnets de repérage
Local technique
▪ Travaux préparatoires (égrainage, brossage, époussetage et dégrossissage)
▪ Application de 2 couches de peintures pliolite finition mâte
▪ Protection des parties non projetées
▪ Teinte au choix de l’architecte
▪ Finition exigée : type B
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3.6 PEINTURE ACRYLIQUE SUR PLAFONDS
Métré : m2
Localisation : Suivant plans architecte, locaux techniques
▪ Préparation des supports par double ratissage, masticage, ponçage et dépoussiérage
▪ Support : béton
▪ Finition :
▪ Deux couches de peinture à base d’huiles végétales
▪ État de finition recherché : Finition "B"
▪ Aspect : Mat
▪ Famille : 1 - Classe7b2
▪ Emission dans l’air intérieure : A +
▪ Y compris rechampissage, protection et nettoyage des sols, plafonds, menuiseries, reprises,
▪ Exécution à la brosse ou au rouleau.
▪ Coloris au choix de l’architecte.
3.7 PEINTURE SUR OUVRAGES METALLIQUES FERREUX
Métré : m2
Localisation : Suivant plans architecte et CCTP serrurerie
Réseaux métalliques apparents
▪ Préparation des supports par nettoyage, dégraissage et brossage
▪ Reprise de la couche anti rouille
▪ Support : ouvrage métallique ferreux
▪ Finition : thermolaquée
▪ 2 couches de peinture glycérophtalique satinée lessivable
▪ État de finition recherché : Finition "B"
▪ Aspect : satinée
▪ Emission dans l’air intérieure : A +
▪ Couleur au choix de l’architecte
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3.8 NETTOYAGE DE LIVRAISON
Métré : m2
Position : Intégralité du chantier, (x2)
Nature : L’Ensemble de la prestation comprendra :
A l’issue de la levée des réserves, l’entreprise titulaire du présent lot effectuera le nettoyage
complet et définitif permettant une prise de possession et une occupation immédiate et
normale de tous les locaux par le maître d’ouvrage (ou les clients).
Les travaux comprendront notamment :

- dépoussiérage et lavage de tous les sols
- lavage de toutes les surfaces revêtues de faïence
- nettoyage de toutes les menuiseries intérieures et extérieures (alu, bois, etc) compris
volets, cadres dormants, quincaillerie, et accessoires.
- nettoyage des miroiteries aux deux faces et miroirs.
- nettoyage de tous les appareils sanitaires et leurs canalisations apparentes et
robinetteries.
- nettoyage de tous les appareils de chauffage et leurs canalisations apparentes.
- nettoyage de tous les équipements électriques y compris ceux situés dans les placards,
mobilier, en façades extérieures, etc…
- nettoyage des façades des placards, mobilier, - dépoussiérage de toutes les parois
verticales.
- nettoyage des éléments de plafonds suspendus.
- nettoyage des terrasses et ouvrages extérieurs.
- le parachèvement au cas par cas, après retouches éventuelles de réception.
En fin d’exécution et préalablement à la réception, l’entreprise devra l’évacuation et le tri de

tous les déchets engendrés par le nettoyage.
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CCTP PHASE DCE

LOT 09 - SERRURERIE
Date Approuvé
par
LOT 09 SERRURERIE / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES..........................................................................................................................4
2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES.................................................................................................5
2.2. DOCUMENTS A REMETTRE 5
2.3. NORMES – REGLEMENTS ET HYPOTHESES SPECIFIQUES AU LOT 5
2.4. REGLES DE CALCULS 6
2.5. MODE D’ASSEMBLAGE 6
2.6. OBLIGATIONS PROPRES A L’ENTREPRISE 6
2.7. ECHANTILLONS-PROTOTYPE 6
2.8. TROUS ET SCELLEMENTS 7
2.9. SECTION DES FERS 7
2.10. QUINCAILLERIE 7
2.11. PROTECTION CONTRE LA CORROSION 7
2.12. PLANS D’EXECUTION 8
3. DESCRIPTIONS DES OUVRAGES ...............................................................................................9
3.1. GRILLES DE VENTILATION PAC 9
3.2. GRILLES DE VENTILATION CONCESSIONNAIRE 9
3.3. MAINS COURANTES 9
3.4. MAINS COURANTES SUR POTELETS 10
3.5. PORTE METALLIQUE ISOLEE CF 1/2H 10
3.6. PORTE METALLIQUE ISOLEE 11
3.7. PORTILLON METALLIQUE 12
3.8. GRILLE DE VENTILATION 12
3.9. GARDE CORPS 13
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3.10. GRILLES DE DEFENSE 13
3.11. FAUX PLAFONDS METALLIQUE 13
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1. GENERALITES
titre du Lot n°09 SERRURERIE dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur proposition, sans
restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en liaison avec les autres
pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot 00.
Dispositions générales du projet :
▪ Caractère forfaitaire des prix
▪ Missions
▪ Ordonnancement des travaux
▪ Réseaux existants
Données de base :
▪ Sécurité et protection incendie
▪ Données relatives au site
▪ Performances techniques
▪ Charges
Etudes d’exécution
Conditions d’exécution des travaux
Dépenses d’intérêt commun – Compte prorata
Interfaces générales entre corps d’état
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Les travaux comprennent la fourniture et la pose de tous les éléments de ferronnerie intérieure et extérieure, tels que
définis dans le présent C.C.T.P.
Les prix comprennent la fourniture et la pose de tous les ouvrages décrits, y compris leur scellement, façon de prototype,
les essais éventuellement nécessaires ou demandés par le bureau de contrôle, les réglages, échafaudages, protection des
ouvrages jusqu'à la réception.
2.2. DOCUMENTS A REMETTRE

- Plans de repérage de tous les ouvrages
- Plans de calepinage, plans des détails
- Fiches techniques, avis techniques, cahiers des charges
2.3. NORMES – REGLEMENTS ET HYPOTHESES SPECIFIQUES AU LOT

Tous les ouvrages du présent lot seront exécutés conformément aux règles et normes en vigueur notamment :
- Cahier des charges des D.T.U. n° 32.1
- Cahier des clauses spéciales de D.T.U. n° 32.1
- Cahier des prescriptions techniques générales applicables aux travaux de serrurerie, quincaillerie, ferronnerie et
petite charpente métallique (C.S.T.B.) cahier 18.39.91.
- Norme NFP 01.012.
- Arrêté du 2 juillet 2004 portant application aux portes, portails et barrières du décret n°92-647 du 8 juillet 1992
concernant l'aptitude à l'usage des produits de construction, modifié par les décrets n° 95-1051 du 20
septembre 1995 et n° 2003-947 du 3 octobre 2003 (DPC et ATE)
- Arrêté du 21 décembre 1993 relatif aux portes et portails automatiques et semi automatiques sur les lieux de
travail NF EN 12433-1 (décembre 1999) :
- Portes industrielles, commerciales et de garage -Terminologie - Partie 1 : Types de fermetures et portails (Indice
de classement : P25-307) NF P25-362 (octobre 1992, août 2001) : Fermetures pour baies libres et portails
- Spécifications techniques - Règles de sécurité + Amendement A1 (Indice de classement : P25-362)
La mise en oeuvre et les matériaux utilisés, devront répondre aux qualités fixées par les Organismes de Normalisation et
être conformes aux prescriptions du REEF, aux Normes publiées par le CSTB de l'Afnor, aux Arrêtés en vigueur, au code
de la construction, et directives européennes.
L’ensemble des prestations devant bien entendu, être réalisé dans les « règles de l’art »
tropical humide.
Les préconisations du guide ministériel «Dimensionnement parasismique des ELEMENTS NON STRUCTURAUX du cadre
bâti » sont à appliquer par le titulaire du présent lot.
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2.4. REGLES DE CALCULS

Les textes définissant les règles de calculs à respecter sont :
- Les règles C.M. 66
- Les règles N.V. 84.
2.5. MODE D’ASSEMBLAGE

Les pièces assemblées en atelier seront rivetées ou soudées (prioritairement soudées), mais conformément au
paragraphe 3.52 des D.T.U. n° 32.1.
2.6. OBLIGATIONS PROPRES A L’ENTREPRISE

L'entreprise a à sa charge l'ensemble des sujétions concernant particulièrement :
- Le tracé sur plans, en temps opportun, des emplacements et des dispositions exactes des réservations et des
pattes à mettre en place par le lot Gros -œuvre dans les ouvrages de béton.
- La fourniture des platines au maçon incombe au présent lot.
- Les plans à grande échelle des ouvrages avec indications précises des sections des fers et le mode de fixation.
(voir également l'article spécifique concernant les plans d'exécution).
- La fixation et le réglage de tous les ouvrages.
- Les essais mécaniques qui pourraient lui être demandés par le Maître d’œuvre ou le bureau de contrôle.
- Le calfeutrement autour des bâtis des portes métalliques.
- Le nettoyage en fin des travaux des ouvrages de serrurerie ainsi que les révisions et réglages nécessaires au bon
fonctionnement pendant la période de garantie.
- La protection de ses ouvrages jusqu'à la réception.
- Le remplacement ou la réparation des ouvrages détériorés pendant la phase chantier. A charge du présent lot à
se retourner vers le responsable des dégâts.
-
IMPORTANT :
Avant mise en fabrication de ses ouvrages, l'entrepreneur est tenu de relever sur place la totalité des
cotes des ouvrages mis à sa disposition par le maçon.
2.7. ECHANTILLONS-PROTOTYPE
Avant toute exécution des ouvrages, l'entrepreneur devra fournir à l'agrément de l'Architecte, les références des fers,
matériaux ou éléments employés.
- Sur demande du Maître d’oeuvre, et préalablement au lancement de sa fabrication, l'entrepreneur exécutera le
ou les prototypes demandés.
- Les prototypes seront présentés sur chantier à l'approbation du Maître d’œuvre qui pourra préciser les
modifications nécessaires.
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2.8. TROUS ET SCELLEMENTS

Les réservations dans les parties béton sont à la charge du lot Gros -œuvre pour autant que les indications nécessaires lui
soient fournies en temps opportun. Dans le cas contraire, elles resteront à la charge du présent lot.
- Les percements dans les maçonneries sont dus par le présent lot.
- L'ensemble des scellements des ouvrages de serrurerie sera exécuté par le présent lot sur indications et
directives du lot gros œuvre.
2.9. SECTION DES FERS

Il est rappelé à l'entrepreneur que les sections des fers et profilés précisées au présent lot ne sont donnés qu'à titre
indicatif.
- Les fers et profilés employés devront avoir une section suffisante pour assurer une parfaite rigidité des ouvrages
quelles que soient leurs dimensions et les charges imposées.
- Au besoin, l'entreprise devra la réalisation des notes de calcul justifiant le dimensionnement de ses ouvrages et
de leurs fixations.
2.10. QUINCAILLERIE
Les articles de quincaillerie seront des articles du commerce, de première qualité, et porteront l'estampille SNFQ avec
garantie de 3 ans.
- Ils seront d'une marque réputée et agréée par le Maître d’oeuvre.
- Les pièces de quincaillerie autres que celles en métal inaltérable seront protégées par une peinture antirouille
au chromate de zinc à liant glycérophtalique.
- Les clés sont à fournir, sauf spécification contraire, en 3 exemplaires au moment de la réception, plus un pass
pour les portes d'accès aux divers locaux communs.
- Les locaux techniques en RDC, les sorties de secours devront pouvoir s’ouvrir avec les clés des appartements.
2.11. PROTECTION CONTRE LA CORROSION

Ouvrages extérieurs : PROTECTION
- La protection des ouvrages en acier sera réalisée par galvanisation à chaud en usine d’une épaisseur de 28
microns suivant la norme NF A 91 121, avec garantie de 10 ans.
Ouvrages intérieurs : PROTECTION

Les pièces seront livrées à pied d'œuvre, revêtues d'une couche primaire au minium, de protection.
- Après montage, l'entrepreneur devra la mise en peinture des éraflures, soudures complémentaires, têtes de
rivets et boulons posés sur place et d'une façon générale, de toutes les parties qui par détérioration ou mise
en oeuvre brute sur chantier ne seraient pas protégées.
Localisation : Sur tous les ouvrages de serrurerie du présent lot.
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2.12. PLANS D’EXECUTION

En principe, les profils des fers donnés dans le présent CCTP, devront être considérés comme des minima.
- L'entrepreneur sera tenu de préparer, d'après les pièces du projet, tous les dessins de fabrication d'ensemble et
de détails nécessaires pour l'exécution
Ils devront être soumis à l'approbation du Bureau de Contrôle et du Maître d’oeuvre et acceptés avant commencement
des travaux.
- L'entrepreneur sera tenu, le cas échéant, de procéder, à ses frais, à des essais techniques, si le Maître d’oeuvre
ou le bureau de contrôle en expriment l'utilité.
- Un essai au sac sera prévu pour chaque type de garde-corps, loggias ou paliers d'étage, escalier, soit 3 essais
suivant les normes, à exécuter en présence du bureau de contrôle et Maître d’oeuvre.
- Sauf si le garde-corps est industrialisé, l'entrepreneur devra dans ce cas respecter intégralement le cahier des
charges du fabriquant.
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3. DESCRIPTIONS DES OUVRAGES
3.1. GRILLES DE VENTILATION PAC

Localisation : Suivant plans techniques SER03
Nature : Fourniture et pose de grille de ventilation thermolaquée.
Compris :
▪ Grille à ventelles acier thermolaqué du local PAC 1.10m x 1.80m Ht. Passage
d’air libre suivant besoin du lot CVC
▪ Cadre périphérique en cornière pour pose à encastrer (sans recouvrement)
▪ lames persiennes.
▪ grillage pare insecte en fibre de verre équipera le côté intérieur de la grille.
▪ jet d’eau en partie basse.
▪ fixation par vissage sur chevilles forcées ou par pattes à scellement.
RAL au choix de l’architecte
3.2. GRILLES DE VENTILATION CONCESSIONNAIRE

Localisation : Suivant plans techniques SER04
Nature : Fourniture et pose de grille de ventilation thermolaquée.
Compris :
▪ Grille à ventelles acier thermolaqué du coffret concessionnaire,
▪ 2 vantaux ouvrants à la française avec condamnation conforme prescription
ENEDIS + plaque de signalétique ENEDIS
▪ Cadre périphérique en cornière pour pose à encastrer (sans recouvrement)
▪ lames persiennes.
▪ grillage pare insecte en fibre de verre équipera le côté intérieur de la grille.
▪ jet d’eau en partie basse.
▪ fixation par vissage sur chevilles forcées ou par pattes à scellement.
RAL au choix de l’architecte
3.3. MAINS COURANTES
Métré : ml
Localisation : De part et d’autre des escaliers et des emmarchements extérieurs de l’accès maternelle, suivant
plans. SER 20
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la fourniture et pose de mains courantes en acier
laqué, constituées de :
▪ Lisses en tubes acier creux thermolaqué diamètre extérieur 50mm.
▪ Supports par platines rondes coudées en acier métallisé.
▪ Les mains courantes devront dépasser les premières et dernières marches des
volées d'escalier et être continues dans les cages d’escalier, conformément
aux normes PMR en vigueur.
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▪ Toutes les pièces métalliques de l'ouvrage devront être traitées contre la

corrosion Finition en acier laqué, teinte au choix de l’architecte dans la
gamme du fabricant.
▪ Dimensions : suivant plans. Double main courante à 0.75m et 0.90m du sol.
▪ Exécution : Suivant détails architecte.
3.4. MAINS COURANTES SUR POTELETS
Métré : ml
Localisation : Le long de la rampe, détail SER 30
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la fourniture et pose de mains courantes en acier
laqué, constituées de :
▪ Lisses en tubes acier creux thermolaqué diamètre extérieur 50mm.
▪ Selon la position, le fer plat se retournera et viendra se terminer sur le sol ou la

paroi, cf. détails architecte.
▪ Supports par poteaux en fer plat 40x10 en acier thermolaqués.
▪ Fixation par platines métalliques boulonnées en sol, indémontables sans

outils, anti vandales.
▪ Toutes les pièces métalliques de l'ouvrage devront être traitées contre la

corrosion Finition en acier laqué, teinte au choix de l’architecte dans la
gamme du fabricant.
▪ Dimensions : suivant plans.
▪ Exécution : Suivant détails architecte.
3.5. PORTE METALLIQUE ISOLEE CF 1/2H
Métré : U
Localisation : Suivant repérage et nomenclature architecte. Cf. Carnet de détail PM01 ;
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la réalisation d’un bloc-porte à 2 vantaux en acier
galvanisé laqué, comportant :
Dormant :
Huisserie ou dormant isophonique sur 4 côtés en tôle d'acier EZ 15/10ème profilé à froid,
finition laquée. Fixation en feuillure par pattes à scellements. (4 par vantail).
Joint souple à lèvre en fond de feuillure.
Etanchéité en pourtour de cadre par mastic élastomère de 1ère catégorie appliquée à la pompe
entre le dormant et le gros œuvre.
Profil formant rejet d'eau en partie haute pour les portes extérieures.
Ouvrants à la française :
2 vantaux ouvrants à la française, largeur utile de passage suivant carnets de détails architecte.
Porte isoplane composée d'une tôle EZ 175/100ème pliée à chant avec retour (renfort intérieur
au niveau et renfort intermédiaire en omégas soudés) et d'un contre parement en tôle EZ
15/10ème finition laquée, teinte au choix de l’architecte.
Ame en matériau isolant, Uw ≤ 2 W/m2. K.
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L’entreprise devra justifier au bureau de contrôle le niveau de performance thermique des

portes mises en œuvre. Finition : acier laqué. Teinte au choix de l’architecte dans la gamme du
fabricant.
Ferrage :
Ferrage de chaque vantail par 4 paumelles à lames lardées et soudées.
Serrure de sûreté à double entrée de clef sur organigramme + béquilles aluminium anodisé.
Dimensions : Suivant plans.
Pose au nu intérieur du local.
Crémone pompier à ancrage haut et bas sur le semi fixe.
Ferme porte hydraulique à glissière
Degré CF : REI 60.
3.6. PORTE METALLIQUE ISOLEE
Métré : U
Localisation : Suivant repérage et nomenclature architecte. Cf. Carnet de détail PM02 ; PM03
Nature : L’ensemble de la prestation comprendra la réalisation d’un bloc-porte à 1 ou 2 vantaux en acier
galvanisé laqué, comportant :
Dormant :
Huisserie ou dormant isophonique sur 4 côtés en tôle d'acier EZ 15/10ème profilé à froid,
finition laquée. Fixation en feuillure par pattes à scellements. (4 par vantail).
Joint souple à lèvre en fond de feuillure.
Etanchéité en pourtour de cadre par mastic élastomère de 1ère catégorie appliquée à la pompe
entre le dormant et le gros œuvre.
Profil formant rejet d'eau en partie haute pour les portes extérieures.
Ouvrants à la française :
1 (PM02) ou 2 (PM03) vantaux ouvrants à la française, largeur utile de passage suivant carnets
de détails architecte.
Porte isoplane composée d'une tôle EZ 175/100ème pliée à chant avec retour (renfort intérieur
au niveau et renfort intermédiaire en omégas soudés) et d'un contre parement en tôle EZ
15/10ème finition laquée, teinte au choix de l’architecte.
Ame en matériau isolant, Uw ≤ 2 W/m2. K.
L’entreprise devra justifier au bureau de contrôle le niveau de performance thermique des
portes mises en œuvre. Finition : acier laqué. Teinte au choix de l’architecte dans la gamme du
fabricant.
Ferrage :
Ferrage de chaque vantail par 4 paumelles à lames lardées et soudées.
Serrure de sûreté à double entrée de clef sur organigramme + béquilles aluminium anodisé.
Dimensions : Suivant plans.
Pose au nu intérieur du local.
Crémone pompier à ancrage haut et bas sur le semi fixe.
1 Oculus double vitrage isolant rectangulaire en partie haute de l’ouvrant (PM03).
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3.7. PORTILLON METALLIQUE
Métré : U
Localisation : Suivant repérage et nomenclature architecte. Cf. Carnet de détail SER 01 – SER02- SER06-
SER07.
Nature : Fourniture et pose d’un portillon d’accès composé par :
▪ 2 vantaux ouvrants à la française, largeur utile de passage suivant carnets de détails
architecte
▪ Dormant section 50x50mm
▪ Cadre ouvrant en tube acier
▪ 1 vantail sur béquille. La béquille sera à une hauteur minimale d’1m30 du sol fini pour
le portillon SER06.
▪ Remplissage par plaque de tôles de métal déployées soudées sur le cadre en usine et
livrés thermolaqués.
▪ Gonds en acier prévus en nombre suffisants
▪ Serrure de sureté 1 point, ouverture par clé polycoise pompier (SER02 – SER06 –
SER07)
▪ Serrure de sureté 1 point, avec cylindre européen (Clé hors organigramme, SER02)
▪ Ressort de rappel
▪ Butée caoutchouc sur axe inox fixé au sol par chevillage
▪ 1 grille semi-fixe
Typologie des portillons :
▪ SER-01 : 2 vantaux Ht 2.50m – Ouverture par clé polycoise pompier
▪ SER-02 : 2 vantaux Ht 2.50m – Ouverture par clé sur cylindre européen
▪ SER-06 : 2 vantaux Ht 1.50m – Clé polycoise pompier + contrôle d’accès. Béquille
1.30m mini du sol fini
▪ SER-07 : 2 vantaux Ht 1.80m – Clé polycoise pompier + contrôle d’accès.
3.8. GRILLE DE VENTILATION
Métré : U
Localisation : suivant plans architecte et plans techniques
Ventilation haute et basse des gaines ascenseur.
Grilles de ventilation des locaux techniques
Grilles d’amenée d’air et d’extraction selon implantation sur les plans CVC.
▪ Fourniture et pose de grilles de ventilation à ventelles, en aluminium, avec cadre
dormant, chevillé dans la maçonnerie y compris platines de fixations et quincaillerie
inox.
▪ Grillage anti rongeurs et anti insectes pour les grilles posées sur paroi verticale. Détail
à fournir avant exécution.
▪ Les grilles en façade seront thermolaquées,
▪ Les dimensions des grilles seront calculées pour obtenir les surfaces de ventilation
utiles. Selon débit et demandes du lot CVC.
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3.9. GARDE CORPS
Métré : Au ml
Localisation : suivant plans architecte et carnet de détail de serrurerie SER 10
La fourniture et pose de garde-corps composés de :
▪ Lisse haute en tube rond diamètre 40 mm,
▪ Poteaux en fer plat de 40x15 mm y compris réservation pour passage de la lisse ronde.
▪ 2 lisses intermédiaires en fer ronds diamètre 20 mm, à poser entre poteaux.
▪ Remplissage en partie basse par tôle perforée hauteur 55 cm épaisseur 20/10 mm et à
perforations rondes ou carrées au choix de l’architecte.
▪ Éléments d’obturation pour bouchement des extrémités des lisses
▪ Platines de poteaux en fer plat, épaisseur à justifier par note de calcul
▪ Fixation par soudures soigneusement meulées et polies.
▪ Il n'y aura pas de visses apparentes.
▪ Si le calcul des fixations exige des visses sur platines en complément au scellement
celles-ci seront à tête plate avec chanfrein dans la platine.
▪ Finition : Traitement par galvanisation finition thermolaquage à la charge du présent
lot.
3.10. GRILLES DE DEFENSE
Métré : Unité
Localisation : Selon plans architecte, en particulier selon détail SER 05- SER05a- SER08.
▪ Fourniture et pose de grilles de défense fixes
▪ Dimensions selon plans et carnets de détails
▪ Barreaudages soudés sur le cadre périphérique horizontaux (SER05 et SER05a), et
verticaux (SER08).
▪ Remplissage en barreaux de fer plat de 50x10 mm.
▪ Espacement maximal des barreaux, 11cm.
▪ Finition thermolaquée, teinte au choix de l’architecte.
3.11. FAUX PLAFONDS METALLIQUE
Métré : m²
Localisation : Selon plans du Maître d’Œuvre en particulier :
Sous face du préau
Fourniture et pose de plafonds extérieurs en lames métalliques larges thermo laqués sous
ossature non apparente :
Type : caissons en tôle thermo laqué, système agréé pour pose en extérieur, choix à soumettre
à l’approbation de l’Architecte.
Format : caisson filants, largeur de caisson 30 cm, pose clipsée sous ossature non apparente.
Ossature : métallique galvanisée compris toutes sujétions pour pose en extérieur.
- suspentes galvanisées chevillées sous plancher et sous ossature métallique.
- ossature cachée support de caissons compris dispositifs de fixation des caissons.
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Couleur : mat ou brillant au choix de l’Architecte.

Sujétions :
- passage et support des appareillages électriques.
- cornières de rives, pièces de finition, coupes, chutes etc...
- découpes pour spots encastrés et au droit des poteaux.
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CCTP PHASE DCE

LOT 10 – ENDUIT DE FACADE - BARDAGE
Date Approuvé
par
LOT 10 ENDUIT DE FAÇADE - BARDAGE / ind 1
SOMMAIRE
1. GENERALITES................................................................................................................................ 3
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES GENERALES DU LOT FACADES – ENDUIT EXTERIEUR 4

2.2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES PARTICULIERES DU LOT FACADE - ENDUIT EXTERIEUR 6

2.2.2. SPECIFICATIONS DE MISE EN ŒUVRE ET DE REALISATION 7
3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES .................................................................................. 9
3.1. BARDAGE METALLIQUE 9
3.2. PROTECTIONS DES ACROTERES 9
3.3. ENDUIT EXTERIEUR 10
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1. GENERALITES

titre du Lot n°10 ENDUIT DE FACADES – BARDAGE dont l’objet est de permettre aux entreprises consultées d’établir leur
proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34), en

 Missions
 Charges
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2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES GENERALES DU LOT FACADES – ENDUIT EXTERIEUR

▪ les échafaudages et tous dispositifs de sécurité nécessaires pendant la durée des travaux, ou une participation
équitable à l'entrepreneur d'un corps d'état différent l'ayant précédé sur le chantier, et consentant à lui prêter
les dites installations,
▪ si nécessaire, la mise en place de dispositifs de protection temporaire et de bâchage,
▪ la structure métal secondaire,
▪ la fourniture et la mise en œuvre des enduits de finition des façades.
▪ les ouvrages divers et notamment les ouvrages de sécurité.
▪ les remises en état éventuelles d'ouvrages ou parties d'ouvrages ayant subi des détériorations,
▪ le nettoyage de tous les ouvrages du lot,
▪ l'enlèvement des gravois consécutifs à leur mise en œuvre,
▪ l'enlèvement des dispositifs de protection temporaire.

(Voir CCTP 00)
LISTE DES DOCUMENTS

La liste des documents rappelés ci-dessous n'est pas limitative. Tous les documents en vigueur à la date de remise de
l'offre sont réputés connus de l'Entrepreneur.
Outre les prescriptions réglementaires ou techniques d'intérêt général énoncées par le C.C.T.C. tous les travaux, objets
du présent corps d’état seront conçus et exécutés pour satisfaire aux documents techniques en vigueur 15 jours avant la
date de remise des offres et notamment avec :
a) les Documents Techniques Unifiés (D.T.U.)

▪ DTU 26.1 : Travaux d’enduits de mortiers
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b) NORMES
▪ Travaux d’enduits de façade :
▪ NF EN 1504-3 Produits et systèmes pour la protection et la réparation des structures en béton - Définitions,
exigences, maîtrise de la qualité et évaluation de la conformité - Partie 3 : réparation structurale et réparation non
structurale
▪ NF EN 998-1 Définitions et spécifications des mortiers pour maçonnerie – Partie 1 : Mortiers d’enduits minéraux
extérieurs et intérieurs
▪ NF EN 1015-21 Détermination de la compatibilité des mortiers d'enduit extérieur mono-couche avec les supports
c) Les règles professionnelles

▪ Les textes techniques de l'U.E.A.tc
administratives afférentes à tous les travaux dont il a la charge et relevant de sa spécialité, en vigueur à la date de la
Les préconisations du guide ministériel «Dimensionnement parasismique des ELEMENTS NON STRUCTURAUX du cadre
bâti » sont à appliquer par le titulaire du présent lot.
d) Classification des locaux

Les locaux sont classés en fonction de leur hygrométrie et ambiances (intérieures et extérieures).
▪ Atmosphère extérieure du site :
▪ rurale non polluée,
▪ urbaine et industrielle normale,
▪ Ambiance intérieure des locaux :
▪ à faible hygrométrie : W/n inférieur à 2,5 g/m²,
▪ à moyenne hygrométrie : W/n supérieur à 2,5 g/m² et inférieur à 5 g/m²,
▪ à forte hygrométrie : W/n supérieur à 5 g/m² et inférieur à 7,5 g/m²,
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2.2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES PARTICULIERES DU LOT FACADE - ENDUIT EXTERIEUR

2.2.1.1. PROVENANCE ET QUALITE DES MATERIAUX
L'entrepreneur est responsable du choix des produits et de leur marque.

Ce choix est fait suivant l'aptitude à la fonction des produits selon la protection ou de l'état de finition recherché.
Les produits d’enduits monocouches comprennent :
a) les mortiers d’enduits monocouches (OC)
b) les gobetis d’accrochage selon le support et le type de mise en œuvre.
CONFORMITÉ DES PRODUITS

Une fiche descriptive élaborée par le fabricant accompagne chacun des revêtements de façade et guide le choix
de l'entrepreneur. Cette fiche doit indiquer :
a) normes françaises de référence,
b) marque NF,
c) toute autre spécification jugée utile dont l'origine doit être alors précisée.
Le produit utilisé devra obligatoirement posséder un Avis Technique du C.S.T.B. autorisant l'emploi dans les
conditions du chantier. Cet Avis et la notice de mise en œuvre seront soumis préalablement et en temps utiles au
maître d’œuvre et/ou au bureau de contrôle pour information.
ECHANTILLONS
En début de chantier et avant tout commencement d'exécution, l'Entrepreneur devra remettre tous les
échantillons nécessaires au choix de l'Architecte.
A la demande du Maître d'Œuvre, l'Entrepreneur devra fournir toutes justifications (procès-verbaux, avis
techniques, attestations du fabricant, etc..) certifiant que les fournitures et leur mise en œuvre répondent bien aux
conditions du marché (avis technique des mortiers performanciels)
Sur chaque échantillon fourni devra apparaître clairement :
La marque du produit,
Le coefficient d’absorption d’eau par capillarité W.
Son coloris avec sa référence
Tout matériau ou ouvrage non conforme sera remplacé aux frais exclusifs du titulaire du présent lot.
Les coloris et les aspects de finition définitifs seront à déterminer au préalable avant tout commencement
d'exécution, en accord avec le Maître d'Œuvre.
Aucun changement de coloris ou d’aspect de finition d'un local à l'autre ne pourra en aucun cas donner lieu à un
supplément de prix.
2.2.1.2. SUPPORTS EN SUBJECTILES

CONFORMITÉ DES SUBJECTILES
L’entrepreneur devra procéder à la réception des supports devant recevoir l’enduit monocouche.
Pour cette réception, l’entrepreneur vérifiera que les supports répondent bien aux exigences des DTU et aux règles
professionnelles.
Si l’Entreprise réalise les travaux sans avoir réceptionné au préalable les supports, ceci vaudra acceptation sans
réserve des supports.
En cas de supports ou parties de supports non conformes, l’entrepreneur fera par écrit au maître d’œuvre ses
réserves et observations avec justifications à l’appui.
Il appartiendra alors au maître d’œuvre de prendre toutes décisions en vue de l’obtention de supports
conformes.
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Le maître d’œuvre pourra être amené à prescrire des travaux complémentaires nécessaires.
le présent lot, mais les frais en seront toujours supportés par l’entrepreneur ayant exécuté les supports.
L’enduit utilisé sera conforme à la norme NF EN 1015-21 concernant la compatibilité de l’enduit avec le support.
D’autre part, la résistance à la compression de l’enduit sera de catégorie OC2 et sera mentionné par le fabricant de
mortier à l’aide d’un certificat attestant la bonne compatibilité de l’enduit avec la classe du support subjectile..
2.2.2. SPECIFICATIONS DE MISE EN ŒUVRE ET DE REALISATION

PREPARATION DES SUPPORTS
Préalablement à l’application des enduits monocouches, l'Entrepreneur effectuera un nettoyage général des supports.
Avant l'application de toute couche, la surface qui la reçoit devra être débarrassée des efflorescences, de salpêtre, de
plâtre, de terre, de peinture, de produits de décoffrage, des balèvres de hourdage trop saillantes etc.
Aucun produit ne doit nuire à l’adhérence.
La pollution des supports par un autre corps d'état ne peut en aucun cas remettre en cause la responsabilité
entière du lot enduits de façade sur la mise en œuvre de ses produits.
L'entrepreneur devra s'assurer auprès des autres corps d’état et en particulier celui de Gros Œuvre que les produits mis
en œuvre sont compatibles avec le support subjectile.
REALISATION DE L’ENDUIT MONOCOUCHE

Préparation et précaution d’emploi :
L’entrepreneur arrosera les briques de terres cuites moins d’une demi-heure avant l’enduisage ou à l’avancement. La
surface support ne doit pas être ruisselante d’eau lors de l’application du mortier frais.
Si des défauts de planéité sont confirmés, ils seront traités par un dressement en surcharge de même composition que le
corps d’enduit. Pour un redressement supérieur à 30mm, une armature renfort sera mise en place.
Un gobetis d’accrochage sera uniquement mis en œuvre sur les parois hétérogènes.
Mise en œuvre de l’enduit monocouche :

Nota : le mortier appliqué au présent marché sera de type « Mortier Performanciel Formulé ».
La conception et la méthode de fabrication sont choisies par le fabricant en vue d’obtenir des caractéristiques
spécifiques. Il ne peut être mélangé qu’en usine.
L'enduit est réalisé sur support neuf en maçonnerie de briques ou de blocs de béton en une couche monolithique avec le
même mortier performanciel (OC) conforme à la norme NF EN 998-1 .
Le mortier frais sera projeté à l’aide d’une pompe à mortier à gâchage continu ou discontinu en 2 passes (frais sur frais) :
dressage + finition décorative, directement sur le support de maçonnerie.
Sur des éléments de maçonnerie présentant une absorption d'eau liquide importante ou sensiblement variables ou des
joints poreux, l'application se fait en 2 passes pour éviter le phénomène de spectres des maçonneries.
La première passe doit être dressée et serrée mais non lissée (utiliser une règle ou lisseuse crantée, peigne pour griffer)
pour permettre la bonne adhérence de la seconde passe.
L'application en une seule passe dressée et serrée n'est admise que pour la finition grattée, sur un support homogène,
c'est à dire constitué rigoureusement d'un même matériau, et une maçonnerie soignée.
La mise en œuvre se fera dans les conditions climatiques idéales entre +5°C et +30°C.
La durée pratique d’utilisation donnée par le fabricant devra être respectée par l’entreprise retenue.
La planéité sera soignée.
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Epaisseur :
L'épaisseur finale de l'enduit monocouche sera de 12 à 15 mm sur maçonnerie soignée et de 15 à 18 mm sur maçonnerie
courante.
L'épaisseur totale ne devra pas être inférieure à 10 mm en tout point saillant de la maçonnerie y compris en creux de
joints ou modénatures tracés.
La première passe ne sera pas inférieure à 7 mm (10 mm pour la finition projetée rustique).
L'épaisseur de la seconde passe dépend de la finition réalisée (projetée, projeté-écrasé, gratté, gratté grésé, taloché, etc.)
mais devra permettre l'épaisseur requise de l'enduit fini.
Points singuliers :
Des renforts d’armatures métalliques ou en fibre de verre seront incorporés dans une première passe d’enduit aux
emplacements prévus au DTU maçonnerie, en particulier :
- à la jonction de 2 matériaux support différents
- au niveau des planelles des planchers
Les joints esthétiques respecteront une épaisseur en fond de joint de 10mm minimum.
Le traitement des cueillies et des arêtes se fera soit avec un enduit performanciel résistant (CS III minimum), soit à l’aide
de profilés métalliques préalablement fixés aux arêtes avec le mortier frais.
L’épaisseur de l’enduit induite par le profilé doit correspondre à l’épaisseur minimale requise de l’enduit.
Lorsque le profilé métallique est recouvert d’un jonc décoratif celui-ci doit être dégagé de l’enduit.
Les modénatures et surépaisseurs seront réalisés en une seule couche, la surépaisseur des parties en saillie est limitée à
10 mm.La tranche supérieure de la modénature en saillie doit etre inclinée vers l’extérieur pour ne pas retenir l’eau de
ruissellement.
Les joints fonctionnels de dilatation de la structure doivent obligatoirement traverser l’épaisseur totale de l’enduit. Ils
seront obturés par un mastic de calfeutrement élastomère ou par des profilés métalliques dotés d’une partie centrale
déformable ou d’un dispositif mécanique de recouvrement assurant l’étanchéité de l’eau.
Imperméabilité :
L’entrepreneur choisira un enduit performanciel composé d’un fort coefficient d’absorption d’eau par capilarité de type
W2
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3.1. BARDAGE METALLIQUE

Métré : m2
Position : Murs cintrés en béton.
La fourniture et la pose verticale de panneaux de bardage métalliques sur ossatures
primaire, de type Z réalisées en tôle d’acier 15/10 et de 50 mm de hauteur.
▪ Fixation par équerres métalliques chevillées mécaniquement au voile de gros œuvre.
▪ Equerres réglables sous avis techniques.
▪ Fourniture et la pose d’ossatures secondaires, de type Z réalisées en tôle d’acier 15/10 et de
50 mm de hauteur. La fixation s’effectuera par vis auto-taraudeuse sur l’ossature primaire
définie précédent.
▪ Pose perpendiculaire bardage vertical. L’entraxe maximum de ces ossatures secondaires
sera de 1.5 m.
▪ Fourniture et la pose d’un bac acier nervuré de type Frequence 13/18B / HB de chez
Arval ou équivalent. Le bac acier présentera une hauteur d’onde de 54 mm.
▪ La pose s’effectuera verticalement au niveau de l’ossature secondaire décrite
précédemment.
▪ Une protection par finition galvanisée pré-laquée 1 face est retenue avec une teinte "Gold
Perla" de qualité " Pearl" de chez Arval ou esthétiquement équivalent. Dans son offre
l’entreprise présentera le produit retenu.
▪ Le bardage sera microperforé au droit des ouvertures de l’office
▪ Au droit des façades avec bardage, prévoir couvertines en tête
▪ Fourniture et pose de l’ensemble des accessoires pour bardage rapporté,
▪ (Raccord d’angle extérieure et intérieur, bavette de pieds de bardage, jambage de baie,
Linteau,). Ils présenteront une finition pré-laquée RAL en rapport avec la finition du
complexe de bardage.
▪ Le titulaire s’assurera de la bonne mise en œuvre des couturages, de la densification des
clouages en conformité avec la règlementation sismique en vigueur.
3.2. PROTECTIONS DES ACROTERES

Métré : ml
Position : Ensemble des acrotères des murs recevant un bardage
Nature : Les prestations comprennent :
▪ La fourniture et pose de couvertines d'aluminium 10/10ème prélaquées sur l’ensemble des
relevés d’acrotères
▪ Y compris profils supports, éclisses, étanchéité contre murs, tous les éléments de
parachèvement.
▪ Teinte similaire au bardage
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3.3. ENDUIT EXTERIEUR

Métré : m2
Position : Selon carnet de détails architecte.
▪ Protection des ouvrages attenants tels que menuiseries, appuis de baie, poteaux
▪ Travaux préparatoires :
▪ Sondage et élimination des supports décollés ou mal adhérents
▪ Elimination des micro-organismes, mousses et moisissures
▪ Reconstitution des parties éliminées suivant DTU 26-1
▪ Traitements des fissures superficielles éventuelles par dépoussiérage, imprégnation, mise
en place d’un fond de joint en mousse de polyéthylène et rebouchage au mastic acrylique
▪ Préparation des supports par un gobetis constitué de l’enduit monocouche, gâché avec
ajout de 0,5l de 751 LANKOLATEX par sac de 30kg,
▪ Dressage et finition des tableaux et linteaux
▪ Entoilage ou grillage aux droits des liaisons entre matériaux de nature différente et sur
fissures, des sous faces de débords de toutes natures
▪ Application d’un enduit monocouche type « PAREX LANKO » ou équivalent, épaisseur 1,8
cm.
▪ Finition taloché fin
▪ Teinte similaire au bardage
▪ Nettoyage des ouvrages attenants après intervention.
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CCTP PHASE DCE

LOT 11 – CHAUFFAGE – VENTILATION
CLIMATISATION– PLOMBERIE/SANITAIRE
Date Approuvé
par
00 NA 16/09/2021 Création du document IK GA
01 NA 18/10/2021 Mise à jour IK GA
M21141_DCE_LOT11_CVC-PLB_CCTP_1.docx Page 1 sur 98

LOT 11 – CHAUFFAGE – VENTILATION – CLIMATISATION – PLOMBERIE/SANITAIRE
SOMMAIRE
Pages
1. GENERALITES ............................................................................................................................................... 5
1.1. OBJET 5
1.2. LIAISON AVEC LE CCTP 00 5
1.4. DOCUMENTS A REMETTRE 8
1.5. QUALIFICATION 11
2. DONNEES DE BASES ................................................................................................................................. 12

2.1. NORMES, REGLEMENTS 12
2.2. HYPOTHESES 12
2.3. RESULTATS DES CALCULS – ESTIMATIONS 19
3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES ........................................................................................ 20

3.1. PREAMBULE 20
3.2. ETUDES D’EXECUTION 20
3.3. TRAVAUX DE DEPOSE - REPOSE 21
3.4. POMPE A CHALEUR TRIPLE SERVICE 21
3.5. VENTILATION LOCAL PAC 23
3.6. COLLECTEURS ET RESEAUX HYDRAULIQUES PRIMAIRES 24
3.7. REMPLISSAGE DE L’INSTALLATION 24
3.8. VASE D’EXPANSION 24
3.9. PRESSOSTAT MANQUE D’EAU 25
3.10. POT A BOUES 25
3.11. FILTRE SUR RESEAU DE CHAUFFAGE 25
3.12. PURGEURS D’AIR CIRCUIT DE CHAUFFAGE 25
3.13. PURGE DE L’INSTALLATION 26
3.14. THERMOMETRES DE TEMPERATURE 26
3.15. POMPES DE CIRCULATION 26
3.16. DISTRIBUTIONS HYDRAULIQUES 27
3.17. CALORIFUGE RESEAUX HYDRAULIQUES 27
3.18. EQUILIBRAGE RESEAUX HYDRAULIQUES 28
3.19. UNITES INTERIEURES DE CHAUFFAGE/RAFRAICHISSEMENT 28
3.20. THERMOSTAT D’AMBIANCE 29
3.21. VANNES D’EQUILIBRAGE AUTOMATIQUE MOTORISEES 29
3.22. VANNES D’ARRET 30
3.23. GROUPE DETENTE DIRECTE REFROIDISSEMENT STOCK TEMPORAIRE 30
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3.24. VENTILATION DOUBLE FLUX 31

3.25. VENTILATION SIMPLE FLUX (VMC) 34
3.26. TRAITEMENT D’AIR CUISINE 34
3.27. RESEAUX DE VENTILATION 38
3.28. SILENCIEUX 38
3.29. DIFFUSION ET REPRISE D’AIR 39
3.30. MODULE DE REGULATION 40
3.31. ENTREES D’AIR 40
3.32. SORTIES TOITURE 40
3.33. SECURITE INCENDIE – CLAPETS COUPE FEU 41
3.34. ALIMENTATION D’EAU 41
3.35. DISTRIBUTION EAU FROIDE / ADOUCIE / EAU CHAUDE SANITAIRE / BOUCLAGE 41
3.36. MITIGEAGE DE L’EAU CHAUDE PAR MITIGEUR THERMOSTATIQUE 42
3.37. CALORIFUGE 43
3.38. RINCAGE DES INSTALLATIONS 43
3.39. APPAREILS SANITAIRES 43
3.40. ADOUCISSEUR EAU FROIDE 49
3.41. MAINTIEN EN TEMPERATURE- CIRCULATEUR BOUCLAGE PRIMAIRE 49
3.42. EQUILIBRAGE RESEAU ECS 50
3.43. EVACUATION EAUX USEES – EAUX VANNES- EAUX GRASSES 50
3.44. EVACUATION EAUX PLUVIALES 51
3.45. CANIVEAUX EXTERIEURS 51
3.46. BAC A GRAISSES 52
3.47. SECURITE INCENDIE 52
3.48. COMPTAGES 53
3.49. REPERAGE – ETIQUETTAGE 54
3.50. ESSAIS 54
3.51. FORMATION 58
3.52. GARANTIES 58
4. ANALYSE FONCTIONNELLE ...................................................................................................................... 59

4.1. GENERALITES 59
4.2. CENTRALES DE TRAITEMENT D’AIR DOUBLE FLUX 59
5. SPECIFICATIONS TECHNIQUES& REGLES DE L’ART ........................................................................... 61

5.1. DISPOSITIONS VIS-A-VIS DE L’ACCESSIBILITE ET DE LA MAINTENANCE 61
5.2. SUPPORTAGE ET FIXATIONS DES APPAREILS (HORS CANALISATIONS) 61
5.3. CLIMATISATION 63
5.4. VENTILATION – TRAITEMENT D’AIR 64
5.5. SPECIFICATIONS DES RESEAUX DE PLOMBERIE SANITAIRE 68
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5.6. SPECIFICATIONS DES RESEAUX HYDRAULIQUES 75

5.7. SPECIFICATIONS DES RESEAUX AERAULIQUES 80
5.8. ASPECTS BACTERIOLOGIQUES ET EPIDEMIOLOGIQUES 83
5.9. RINÇAGE - DESINFECTION DES RESEAUX 83
5.10. PROTECTION DES RESEAUX CONTRE LA POLLUTION 84
5.11. ROBINETTERIES – ACCESSOIRES 85
5.12. EQUILIBRAGE DES RESEAUX AERAULIQUES 86
5.13. PERCEMENTS – REBOUCHAGES - SCELLEMENTS 87
5.14. SECURITE INCENDIE 87
5.15. CALORIFUGE 89
5.16. PEINTURES 90
5.17. REPERAGE 91
5.18. COMPTAGES 92
5.19. REGULATION / ANALYSE FONCTIONNELLE 92
5.20. ALARMES TECHNIQUES 92
5.21. ACOUSTIQUE 92
5.22. ELECTRICITE 93
5.23. ETANCHEITE A L’AIR DES BATIMENTS 96
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1. GENERALITES
1.1. OBJET
au titre du lot N°11 – CHAUFFAGE – VENTILATION – CLIMATISATION – PLOMBERIE SANITAIRE dont l’objet est de
permettre aux entreprises consultées d’établir leur proposition, sans restrictions ni réserves pour la construction
d’un restaurant scolaire à Clermont L’Hérault en liaison avec les autres pièces du DCE et, notamment, le CCTP lot
00.
1.2. LIAISON AVEC LE CCTP 00

 Missions
 Charges
 Labels
▪ Documents du marché
1.3.1. PRODUCTION DE CHALEUR / RAFRAICHISSEMENT / ECS
La mise en œuvre de deux pompes à chaleur thermodynamique Air/EAU triple service.

Le raccordement en eau froide du circuit de remplissage des installations de chauffage.
Le gainage du refoulement des pompes à chaleur
Le raccordement de l’échappement de la soupape, des condensats et du disconnecteur sur l’attente eaux usées.
1.3.2. DISTRIBUTION ET EMISSION EN CHAUFFAGE / RAFFRAICHISSEMENT
Les réseaux de distribution chauffage entre production de chaleur et corps de chauffe et notamment les réseaux de
distribution bitube en plafonds.
Les purges et vidanges de la distribution.
La fourniture et la pose des appareils de robinetterie tels que vannes, robinets de purge, de vidange, et leurs propres
canalisations,
Le nettoyage et le rinçage de la distribution avant mise en service.
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Le calorifugeage des canalisations et appareils, y compris le revêtement extérieur du calorifuge, la fourniture et la

pose des équipements mécaniques et électriques
La fourniture et pose de émetteurs de chauffage / climatisation y compris régulation.
1.3.3. VENTILATION / TRAITEMENT D’AIR
Fourniture et pose d’une centrale de traitement d’air double flux avec ventilateur de reprise, filtre, batterie et
ventilateur de soufflage et échangeur de chaleur certifié Eurovent.
Fourniture et pose de caissons d’extraction VMC
Fourniture et pose de caisson d’extraction simple flux
Fourniture et pose de caissons d’extraction et de compensation pour le process office et laverie.
Mise en œuvre de grilles de soufflage et reprise.
1.3.4. DISTRIBUTION EN PLOMBERIE SANITAIRE
La distribution d'eau chaude sanitaire depuis la sortie de la production ou le point de livraison, selon le cas, pour
assurer l'alimentation des postes d'utilisation d’eau chaude prévus ;
Les réseaux de distribution d’eau chaude entre production d’ECS et les points de puisage
Les réseaux de distribution d’eau froide vers la production d’ECS et les points de puisage
Les réseaux de distribution d’eau adoucie vers les points de puisage
Les purges et vidanges de la distribution.
La fourniture et la pose des équipements de réseaux tels que vannes, robinets de purge, de vidange, et leurs propres
canalisations,
Le nettoyage et le rinçage de la distribution (eau froide et eau chaude) avant mise en service.
Le calorifugeage des canalisations et appareils, y compris le revêtement extérieur du calorifuge
Protection hors gel des réseaux eau passant en extérieur ou locaux existants un risque de gel,
1.3.5. APPAREILS SANITAIRES
La fourniture et pose des appareils sanitaires

Les accessoires sanitaires
Le matériel de lutte contre l’incendie
1.3.6. EVACUATION
L’évacuation de toutes les EU et EV depuis tous les points d'écoulement prévus jusqu'au point de rejet défini, avec
les ventilations réglementaires ;
L’évacuation de toutes les descentes EP intérieures au bâtiment jusqu’aux points de raccordement extérieur
L’évacuation et le raccordement sur attente de tous les appareils sanitaires ;
La fourniture et pose des réseaux EU/EV en vide sanitaire et enterrés dans une tranchée à la charge du lot GO
1.3.7. MEUBLES SUPPORTS DE LAVABOS ET PLANS DE TRAVAIL
La fourniture et la pose des meubles supports des lavabos dans les sanitaires et les plans de travail, sont à la charge
du lot MENUISERIES INTERIEURES.
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La découpe des meubles supports des lavabos pour le passage des alimentations eau froide, eau chaude et des
évacuations, ainsi que la découpe des plans de travail pour la mise en place des éviers, sera réalisée par le lot
MENUISERIES INTERIEURES, suivant les gabarits de découpe fournis par l'entrepreneur du présent lot.
1.3.8. SIPHONS DE SOL
La fourniture des siphons de sol est à la charge du présent lot et posés par lot revêtement de sol. Le présent lot devra
le raccordement des eaux usées jusqu’au regard situé à 1m du bâtiment.
1.3.9. DESCENTES D’EAUX PLUVIALES
Les descentes EP intérieures sont à la charge du présent lot depuis l’entrée d’eau pluviale posée par le lot
étanchéité.
1.3.10. VENTILATIONS PRIMAIRES ET SORTIES TOITURE
En traversée de toiture, les ventilations primaires des chutes E.U./E.V., passeront dans des fourreaux fournis et
posés par le lot ÉTANCHEITE, suivant les indications du présent lot (dimensions, implantation, etc.) ; l'étanchéité
entre le conduit et son fourreau est à la charge du présent lot.
1.3.11. REGULATION
La régulation de l’ensemble des terminaux de chauffage/climatisation.

Comptages, alarmes, ….
1.3.12. ELECTRICITE
La filerie et le raccordement électrique des équipements de génie climatique depuis les attentes laissées à proximité
par le lot Electricité.
1.3.13. OUVRAGES DIVERS
Sont également à la charge de l'Entreprise :

▪ La désinfection des réseaux sanitaires,
▪ Le rinçage des installations de plomberie,
▪ Nettoyage des réseaux de ventilation
▪ L’équilibrage des installations,
▪ Les essais et les réglages,
▪ La fourniture des notices et instructions sur le fonctionnement des installations,
▪ La mise au courant du personnel d'exploitation,
▪ Les interventions sur les installations durant la période de garantie,
▪ Les étiquettes et les peintures conventionnelles.
1.3.14. PRESTATIONS SUPPLEMENTAIRES EVENTUELLES (PSE)
▪ Voir CCTP du lot 00
1.3.15. PHASAGE
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1.3.16. LIMITES DE PRESTATIONS
▪ Voir annexes du CCTP du lot 00
1.4. DOCUMENTS A REMETTRE

En complément des documents décrits au CCTP du lot 00, l’entrepreneur sera tenu de remettre les documents
suivants et dès le début de l'étude :
1.4.1. SUIVANT PLANNING AVANT LE DEBUT DU CHANTIER, EN QUATRE EXEMPLAIRES, POUR APPROBATION
▪ L'encombrement des matériels et leur positionnement précis.

▪ Les niveaux acoustiques des équipements et les suggestions de mises en œuvre des équipements et réseaux.
▪ Les charges au sol ou appliquées aux parois et au plafond.
▪ Les réservations dans le gros-œuvre et les maçonneries. L'Entrepreneur devra donner, en temps utile, son plan
de percements et de réservations. Dans le cas où cette prescription ne serait pas remplie, il ne sera accepté
aucune sujétion pour les prestations supplémentaires à exécuter à la charge de l'Entrepreneur.
▪ Un schéma synoptique de l'installation.
1.4.2. EN COURS D'ETUDE AVANT REALISATION
▪ Les schémas de principe avec nomenclature.

▪ Les plans des tracés généraux, dimensionnement.
▪ Les plans de détail, de réalisation et de façonnage.
▪ Les plans de détail de supportage et fixations.
▪ Les cahiers des principes de fixation, chevilles, scellement par nature de matériau.
▪ Les cahiers de matériels classés au feu avec les procès-verbaux d'agrément.
▪ Les cahiers des nomenclatures de matériel, reportées sur les plans.
▪ Les certificats de conformité de l'ensemble des matériaux et appareils soumis à agrément, validité de moins de
cinq ans CSTB ou CTICM, ou les certificats ACERMI.
▪ Les cahiers de spécifications techniques des matériels sélectionnés « fiches produits ».
▪ Les schémas électriques et de régulation.
▪ L'analyse fonctionnelle des installations.
▪ Les notes de calculs de déperditions thermiques, d'apports solaires, de bilans thermiques.
▪ Les notes de calculs de débit probable, puissance de production ECS, pertes de charges réseaux, etc.
▪ Les notes de calcul de dimensionnement des conduits hydrauliques, aérauliques, notamment des réseaux d’eau
glacée, eau chaude, eaux usées, eaux vannes, des réseaux frigorifiques, le dimensionnement du ballon tampon,
de vase d'expansion, etc…
▪ Les notes de calcul des pertes de charges des réseaux d’eau glacée, d’eau chaude, des pertes de charges
ventilations, etc...
▪ Les notes de calcul et les diagrammes de l’air pour le dimensionnement des équipements de traitement d’air
pour l’humidification et la déshumidification…
▪ Les notes de calcul de niveau de pression acoustique des équipements.
L'ensemble de ces documents doit être approuvé par la Maîtrise d'œuvre et le Bureau de Contrôle dans le cadre de
la période de préparation fixée au planning.
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Les approbations ne sont données qu'avec l'intégralité des pièces permettant de juger un ouvrage.
D'autre part, il a en charge de fournir avant démarrage des travaux, l'intégralité des procès-verbaux d'essai au feu
du CSTB et CTICM.
Les plans porteront la marque, le type, les caractéristiques et le N° du PV des matériaux mis en œuvre.
Aucun accord ne sera donné sur un dossier incomplet.
NOTA : L'ensemble de ces documents doit être approuvé par le Maître d'œuvre et le Bureau de Contrôle dans le
cadre de la période de préparation fixée au planning.
1.4.3. DURANT LA PERIODE DES TRAVAUX
Durant la période des travaux, l’Entreprise devra la tenue régulière des plans sur lesquels seront notées les
modifications intervenues lors de la réalisation des travaux.
Ces plans devant servir à établir les plans de récolement (DOE).
En outre, l’Entreprise devra se soumettre aux demandes du Bureau de Contrôle désigné pour cette opération.
Les plans de chantier (réservations, accrochage, socles, etc…) seront établis par l’Entreprise avec un cartouche
réalisé selon le modèle des plans du projet fourni par le Maîtrise d’œuvre.
1.4.4. EN FIN DE TRAVAUX ET AVANT LA RECEPTION
Les ouvrages concernés par le dossier de récolement sont tous ceux réalisés au titre du marché et tous les travaux
supplémentaires ou modificatifs, commandés par le Maître d’Ouvrage.
Ce dossier sera constitué comme suit pour chaque lot, dans un ou plusieurs classeurs numérotés et contiendra :
A. Sommaire général présentant la liste des documents compris dans le dossier de récolement et dans chaque
classeur et au minimum par lot.
B. Les plans et autres documents conformes à l’exécution (plans de récolement). Chaque plan comportera la
mention « récolement », le tampon de l’Entreprise, la date de dernière mise à jour. Afin de simplifier le
dossier de récolement, les divers plans constituant chaque niveau pourront être réunis en un seul plan.
Le cartouche des plans sera constitué sur le modèle des plans PROJET fournis par la maîtrise d’œuvre.
Sont notamment concernés :
En X exemplaires (suivant besoins de la maîtrise d’ouvrage) :
▪ Les plans, schémas et carnets cités en a) et établis, « tel que construit », ces documents devront être visés par
l'organisme de contrôle en charge du dossier.
En X exemplaires (suivant besoins de la maîtrise d’ouvrage) :
▪ Plans d’implantation des équipements (réseaux hydrauliques, gaines, équipements).
▪ Schémas électriques.
▪ Schémas hydrauliques.
▪ Schémas et synoptiques de systèmes de régulation.
Les plans et schémas mentionneront les paramètres de fonctionnement (puissances électriques et thermiques,
vitesses, charges, efforts, intensités, débits, températures, etc.), des divers appareils, organes ou accessoires d’un
même équipement.
▪ Le schéma électrique plastifié en armoire et le schéma de régulation.
▪ Les notes de calcul.
▪ Les documentations techniques, P.V. d’essais, certificats de conformité aux Normes.
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▪ Les procès-verbaux d'essais ou de recettes relatifs au matériel installé.

▪ Les essais AQC .
▪ L'engagement de l'Entreprise sur la mise en œuvre des matériaux classés au feu.
▪ Les certificats de conformité de l'organisme de contrôle.
▪ Les avis techniques de moins de cinq ans.
▪ Les procès-verbaux du CSTB, CTIM, validés de moins de cinq ans.
▪ Les attestations de qualification des soudeurs.
▪ La liste exhaustive des fournisseurs.
▪ Les analyses de qualité d'air.
▪ Les notices de fonctionnement, de maintenance et d’entretien.
▪ Les rapports d’essais et de mise en service.
▪ Les notices de maintenance.
▪ La programmation de la régulation de chauffage, ECS, CTA, sous forme papier et CD.
L’ensemble des documents constituant le dossier de récolement : documents techniques, P.V. d’essais, avis
techniques, plans et schémas de récolement, notices d’exploitation et d’entretien, seront perforés et regroupés
dans des classeurs à broches normalisés de couleur bleue.
Des intercalaires à onglet sépareront respectivement les documents dans un même classeur pour le
Chauffage/Rafraîchissement, Plomberie Sanitaire, et la Ventilation.
Sur chaque plan, la nomenclature renverra aux documents techniques et notices d’entretien ; réciproquement sera
indiqué sur ces dernières, le repère de nomenclature mentionné sur les plans.
NOTA 1 : Les repères relatifs à la numérotation des locaux sur tous les documents « tel que construit »
correspondront à la numérotation définitive des-dits locaux.
Les P.V. d’essais et de classement des matériels participant au système de sécurité incendie seront intégrés avec
renvoi à la nomenclature citée ci-avant.
Ce dossier comprendra une notice rédigée d’entretien et maintenance pour chaque appareil ou équipement,
indiquant :
▪ Les documents intitulés comme tel de chacun des constructeurs.
▪ Moyens et cheminements d’accès, mesures de sécurité.
▪ Nature des opérations à effectuer.
▪ Les périodicités de visite, de contrôle et d'entretien de chacun des matériels.
▪ Matériaux et consommables à utiliser.
▪ Etc…
Le dos et la couverture des classeurs comporteront une étiquette mentionnant :
▪ La désignation de l’affaire et son année de réalisation.
▪ « Dossier de récolement ».
▪ Le lot concerné.
Un exemplaire du dossier complet de récolement sera fourni à la Maîtrise d’œuvre pour visa 15 jours avant la
date de Réception.
Après visa entièrement favorable de la Maîtrise d’œuvre, quatre exemplaires complets seront constitués et fournis
par l’Entreprise.
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Les pièces et plans seront de même, fournis sous forme informatique (CD format DWG et PDF).
NOTA 2 : Il est demandé d'établir tous les plans et schémas sur le logiciel de DAO « AUTOCAD ver 2000 minimum »
format dwg. Le CD ROM ainsi transmis devra être vérifié par l'Entreprise pour être exempt de tous virus.
Les cahiers de programmation de la régulation et CD ROM du logiciel de programmation.
1.4.5. EN FIN DE TRAVAUX ET APRES LA RECEPTION
En X exemplaires, la fiche de prise en charge d'installation (Annexe) par l'exploitant ou les Services Techniques de
l'utilisateur.
1.5. QUALIFICATION
▪ Voir Pièces administratives d’appel d’offre
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2. DONNEES DE BASES
2.1. NORMES, REGLEMENTS

Les installations de chauffage/climatisation/ventilation/plomberie sanitaire prévues au titre du présent
programme devront tenir compte des stipulations, lois, décrets, ordonnances, circulaires, normes françaises,
documents techniques unifiés, DTU, règles de calculs, Avis Techniques, Instructions Techniques..., applicables aux
travaux décrits dans le présent document et en vigueur à la date de la remise de l’offre, ainsi qu’aux règles de l’Art.
Si, en cours de travaux, de nouveaux textes entraient en vigueur, l’Entrepreneur devra en avertir le Maître d’Œuvre
et établir un avenant correspondant aux modifications de façon à livrer, à la mise en service, une installation
conforme aux dernières dispositions.
L’Entreprise tiendra compte des observations et recommandations des rapports du Bureau de Contrôle et
P.G.C.S.P.S.
2.2. HYPOTHESES
2.2.1. SITE
2.2.2. ORIGINE DES INSTALLATIONS
Eau Froide Regard eau froide à l’angle du bâtiment

Electricité Attente à 0.50 m de chaque appareil ou coffret électrique prévu par le présent lot
E.U – E.V Regard VRD à 1m de la façade
Regard VRD à 1m de la façade
E.P
Moignon d’étanchéité lot Etanchéité
2.2.3. DEBITS D’AIR (AIR HYGIENIQUE ET EXTRACTION)
Les débits d'air à prendre en compte pour le dimensionnement des installations de ventilation mécanique seront
conformes à ceux définis dans :
▪ Le document du CSTB « Exemples de solutions pour faciliter l'application du règlement relatif aux
équipements et aux caractéristiques thermiques dans les bâtiments autres que d'habitation »,
▪ le règlement sanitaire départemental sanitaire départemental type (RSDT),
▪ le Code du travail (décrets 84-1093 et 84-1094 du 7 décembre 1984),
▪ le Décret n° 2006-1386 du 15 novembre 2006 fixant les conditions d’application de l’interdiction de fumer dans
les lieux affectés à un usage collectif.
Les débits d’air seront les suivants :
Débit air neuf
Occupation
minimun en
Niveau Désignation local Nbre de
m3/h
personne Vol/h
pers.
maximum
Restaurant maternelle 96 22
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Restaurant élémentaire 104 22
Débits d’air neuf

Les débits de renouvellement d’air hygiénique :
▪ Locaux du personnel 18m³/h. par occupant.
▪ Locaux administratifs 25 m³/h par occupant.
▪ Salle à manger 22 m³/h par occupant.
Débits d’extraction dans les sanitaires
▪ Sanitaires collectifs : 30 + 15 N m³/h.
▪ W.C., lavabo : 30 m³/h.
▪ Douches collectives : 30 + 15 N m³/h.
▪ Local technique : 30 m³/h.
▪ Douche individuelle : 45m³/h.
Cuisine
Suivant les demandes du cuisiniste
2.2.4. SURDIMENSIONNEMENT DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION
Les surpuissances à prévoir pour les divers équipements sont :
Equipement Surpuissance (par rapport aux débits théoriques)

Echangeurs et batteries de
10 %
chauffage
Ventilateur 5 % du débit / pression
Moteurs électriques 15 %
Pertes en lignes réseaux 10 %
Split system 10 %
2.2.5. CONDITIONS INTERIEURES A RESPECTER
HIVER ETE
Désignation local
T (°C) HR (%) T (°C) HR (%)
Salles de restaurant 19 mini. NC 27°C NC
Bureaux 19 mini. NC 27°C NC
Vestiaires 20 mini NC 27°C NC
Stock temporaire 17 mini NC 25°C NC
NC : Non contrôlé. / ** : Rafraîchit
Ces conditions s’entendent pour des locaux clos, meublés et secs. Les températures citées ci-dessus sont des températures résultantes sèches.
Elles seront mesurées au centre du local à 1,5 m de haut et à l’abri des perturbations.
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2.2.6. VITESSE DES FLUIDES
Les vitesses maximales à prendre en compte seront :
Alimentations Eau Froide ou Eau Chaude

A l'intérieur des bâtiments, pour les canalisations de diamètre :
inférieur ou égal à 20mm vitesse maxi : 1 m/s

compris entre 20 et 40mm vitesse maxi : 1,25m/s
supérieur à 40mm vitesse maxi : 1,50m/s
Evacuations E.U. - E.V.
Vitesse d'écoulement comprise entre 1 et 3m/s avec une pente minimale de 3cm/m pour les
raccordements d'appareils et 2cm/m pour les collecteurs horizontaux.
NOTA : Les hypothèses relatives aux débits et besoins des équipements de cuisine devront être confirmés à
l’exécution par le Maître d’Ouvrage
2.2.7. CALCUL DES GAINES
Calculs aérauliques menés suivant le manuel des industries thermiques et aérauliques.

Les sections des gaines seront déterminées à l'aide des tables couramment utilisées (SEITHA, COSTIC, PORCHER) :
▪ 3 à 4 m/s en gaines horizontales
▪ 4 à 5 m/s en gaines verticales
Diamètre (Ø) en mm Débit (en m³/h) Vitesse (m/s) Vitesse

Débit inférieur ou
125 120 2,7 maximale de
égal à
160 205 2,9 l’air
(en m3/h)
200 370 3,3 (en m/s)
OU 1 000 3,9
250 630 3,6
315 1200 4,3 2 000 4,5
355 1700 4,7 4 000 5
400 2300 5 10 000 5,8
450 3100 5,4 12 000 6
15 500 6,1
19 000 6,2
27 500 6,5
35 000 6,6
40 000 6,7
52 000 6,9
Pour conduits en tôle avec transformations progressives, coudes réguliers, dérivations à 45°, les vitesses maximales
sont limitées afin que les pertes de charge n’excèdent pas 0,7 Pa/m
Ces limites pouvant être réduites, éventuellement, pour le respect des contraintes de niveau sonore.
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2.2.8. DIMENSIONNEMENT DES TERMINAUX DE SOUFFLAGE / REPRISE
Les diffuseurs de soufflage et les grilles de reprise de l’installation de traitement d’air seront dimensionnés en
fonction des exigences définies ci-dessous :
Vitesse dans la zone d'occupation < 0,25 m/s
Température de l'air de chauffage <35 °C
Diffusion
Température de l'air de 16 à 18 °C maximum par rapport à la
refroidissement diffusion dans l'ambiance
Extraction Vitesse frontale aux bouches  3 m/s
La vitesse de l'air au niveau des grilles extérieures ne devra pas dépasser 3 m/s tout en respectant les niveaux
sonores définis au § 5.
NOTA : L’entrepreneur aura à sa charge les notes de calculs pour la sélection des diffuseurs. Les
équipements ne pourront être validées puis posés qu’à l’issue des simulations aérauliques (étude des flux
d’air au niveau des zones de confort).
2.2.9. FILTRATION AERAULIQUE
Référence aux normes NF ISO 16814 (juin 2010) NF EN 13779

Seuils de filtration à observer suivant les caissons :
a) Pré-filtre sur les batteries d'entrée d'air
Efficacité 95 % gravimétrique Efficacité EN 779 :2002 : G4
2.2.10. PERTES DE CHARGE LIMITES SELON EQUIPEMENTS
Concernant les équipements, ils devront répondre aux exigences suivantes :
Perte de charge initiale Perte de charge finale

Classe de filtre
maximale au débit maximale au débit
(suivant la norme EN 13 d'utilisation maximal DP(en d'utilisation maximal DPi
053) Pa) (en Pa)
G2 à G4 50 150
F5 80 200
F6 100 200
F7 150 200
F8, F9 180 300
H13 250 450
2.2.11. VITESSES LIMITES AERAULIQUE DANS EQUIPEMENTS
Dans les équipements de ventilation ou terminaux, les vitesses limites de passage de l’air seront telles que définies
ci-dessous :
▪ Vitesse de passage au droit des pièges à son : 5 m/s maximum,
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▪ Vitesse de passage au niveau des prises d'air neuf et de rejet : 2 m/s maximum sur la surface totale de la grille ;
▪ Vitesse de passage en section libre des centrales de traitement d’air : 2,2 m/s maximum,
▪ Vitesse de passage au droit des batteries eau chaude et eau glacée dans les centrales de traitement d’air : 3 m/s
maximum (à 100% du débit),
▪ Vitesse de passage au droit des batteries chaudes terminales : 3,5 m/s maximum.
NOTA : Le fabricant devra s’engager sur la bonne performance de ses équipements d’échange de chaleur dans
les marges de fonctionnement (efficacité, homogénéité, etc.).
2.2.12. DEBIT DE BASE DES APPAREILS SANITAIRES
Le dimensionnement du débit de base des appareils sanitaires sera fonction du DTU 60.11 mis à jour le 10 Août 2013
* En alimentation eau froide ou eau chaude
- timbre d'office – évier ............................................................... : 0,20 l/s
- lavabos, vasques, douche ......................................................... : 0,20 l/s
- lave-mains ................................................................................. : 0,10 l/s
- W.C. à réservoir de chasse ........................................................ : 0,12 l/s
- W.C. avec robinet de chasse ...................................................... : 1,50 l/s
- robinet de puisage DN 15/21 .................................................... : 0,33 l/s
- machine à laver le linge ............................................................ : 0,20 l/s
- machine à laver vaisselle .......................................................... : 0,70 l/s
- table avec bac / plonge ............................................................. : 0,80 l/s
- poste de désinfection ............................................................... : 0,20 l/s
- four mixte .................................................................................. : 0,10 l/s
- Sauteuse/Marmite .................................................................... : 1,00 l/s
- fontaine à eau ........................................................................... : 0,20 l/s
* Coefficient de simultanéité Alimentation d’eau
- coefficient de simultanéité défini par la formule (majoration de 50% du coefficient)
pour x (nombre d’appareil) supérieur à 5

Les tuyauteries seront de diamètre Ø12/14 au minimum, les tuyauteries de diamètres inférieurs ne sont pas acceptées.
* En évacuation E.U. – E.V.

- timbre d'office – évier ............................................................... : 0,5 l/s
- lavabo, vasques, lave-mains .................................................... : 0,3 l/s
- W.C. à réservoir de chasse ........................................................ : 2,0 l/s
- douche ...................................................................................... : 0,50 l/s
- machine à laver ........................................................................ : 0,5 l/s
- lave-vaisselle ............................................................................ : 0,5 l/s
- Grille de sol DN100 .................................................................... : 1,3 l/s
* Débit probable réseaux d’évacuations
Pour restaurant scolaire K = 0,7
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2.2.13. CONSTANTES DE REFROIDISSEMENT
Valeurs maximums des constantes de refroidissement et des consommations

d'entretien
Capacité Constante de refroidissement Consommation d'entretien
(litres) (Wh/24 h/L/°C) (kWh/24 h à 65°C)
15 0,75-0,81 0,66
30 0,53
200 0,15 – 0,20
300 0,17-0,18
750 0,15-0,17
2.2.14. REGIME DE L’INSTALLATION – NATURE DES FLUIDES
L’installation sera conçue pour fonctionner avec les régimes d’eau suivants :
▪ Température moyenne eau froide : 11°C
▪ Courant : TRI 400 Volts-N+T / MONO 230 Volts
▪ Schéma circuit de terre : TT
▪ Eau chaude sanitaire stockage : 55 à 60°C max
▪ Fluide frigorigène groupe détente directe : R 410 a
2.2.15. PRESSIONS
▪ Au départ de l’installation : 3 bars Maximum

▪ Au point d’utilisation le plus défavorisé (hors RIA) : 1 bar minimum
2.2.16. ACOUSTIQUE
Contraintes acoustiques dans les locaux

Dans les locaux, le niveau de bruit de fond provenant des équipements, ne devra pas dépasser :
Code du travail (décret du 7 décembre 1984) § 232.8
La réglementation en la matière, qui a récemment évolué avec la transcription de la directive européenne
2003/10/CE par le décret n° 2006-892 du 19 juillet 2006.
Local Niveaux sonores à ne pas dépasser (tolérance + 3dB)

Bureaux NR 30, limité à 35 dB(A)
Salles à manger NR 30, limité à 35 dB(A)
Hall, circulation NR 40, limité à 45 dB(A)
Les niveaux de pression sonore seront conformes à la NORME NF 31 057, les contrôles seront effectués selon cette
norme et suivant l'arrêté du 9 janvier 1995 (NRA).
Contraintes acoustiques contre le bruit de voisinage
Les installations sont conçues de façon à n'engendrer aucun bruit gênant pour le voisinage, conformément à la
réglementation relative aux bruits aériens émis dans l'environnement, notamment sur les bases suivantes :
▪ 50 dB(A) en limite de propriété, période de nuit,
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▪ 55 dB(A) en limite de propriété, période intermédiaire,

▪ 60 dB(A) en limite de propriété, période de jour.
Des mesures devront être effectuées à la réception par un ingénieur acousticien à la charge de l'adjudicataire.
En outre et indépendamment des seuils fixés ci-dessus en tous points des limites de l'établissement, l'émergence
résultante ne doit pas dépasser les valeurs suivantes (valeurs auxquelles s’ajoute un terme correctif, fonction de la
durée cumulée d’apparition du bruit particulier) :
▪ 3 dB(A) en période de nuit (22h à 7h),
▪ 5 dB(A) en période de jour (7h à 22h).
Les robinetteries sanitaires devront être de classement acoustique A-2 ou A-3 pour obtenir l'objectif recherché.
Il devra d'autre part être mis en place, où besoin sera sur les installations, des raccords souples antibruit en
caoutchouc synthétique ou en élastomères genre " Stenflex " ou équivalent.
Dans le cadre de la NRA, les fabricants de robinetterie et d'autres accessoires d'installation ont pris en compte les
impératifs de cette nouvelle réglementation.
L'entrepreneur ne pourra mettre en œuvre que des fournitures prenant ces impératifs en compte.
En ce qui concerne les coups de bélier notamment, les dispositifs anti-coups de bélier devront être de type nouveau
spécialement mis au point pour répondre à cette nouvelle réglementation, à titre d'exemple, le dispositif élaboré
par les Établissements Desbordes ou un modèle équivalent.
En tout état de cause, l'entrepreneur sera soumis à une obligation de résultat et non pas à une obligation de
moyens, et il lui incombera de prendre toutes les dispositions de son choix pour obtenir les résultats acoustiques
imposés.
L’entrepreneur du présent lot devra mettre en œuvre tous les moyens techniques et technologiques pour limiter au
minimum les bruits engendrés par ses installations ainsi que leur propagation, en particulier :
• Parcours des canalisations le plus simple possible,
• Coudes longs ou à grand rayon (pas de coudes courts),
• Piquages en « pied de biche »,
• Tés cintrés,
• Pas de changement brusque de diamètre,
• Robinetterie et accessoires de tuyauteries de qualité et à passage intégral,
• Clapets silencieux,
• Les supports de tuyauteries seront suffisamment nombreux et robustes et ne seront jamais directement sur les
cloisons légères ou sur les plafonds. Les tuyauteries seront séparées de ces supports par des matériaux isolants
avec une garniture insonorisante de 24 DB minimum ainsi qu’aux traversées des planchers et parois,
• Toutes liaisons d’appareils, tuyauteries ou d’autres avec la structure du bâtiment devront comporter au contact
un matériel souple isolant.
2.2.17. CLASSE AU BRUIT
▪ Voir CCTP 00
2.2.18. DESCRIPTION DES LOCAUX A RISQUE MOYEN
Locaux à risques moyens (enveloppe CF1h, porte CF1/2h) :

TGBT, stockage, réserve, ménage.
A chaque traversée de ce type de local, il sera mis en place un clapet coupe-feu de degré égal au CF de la paroi.
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2.3. RESULTATS DES CALCULS – ESTIMATIONS

NOTA : Les puissances et débits figurant dans le présent CCTP sont donnés à titre indicatifs et ne peuvent
être pris pour les études d’exécution. Ces estimations devront être validées par les calculs
d’exécution. L'offre de l'entreprise tiendra compte des valeurs qu'elle aura déterminées
précisément.
2.3.1. ESTIMATIONS DES PUISSANCES
Le bilan thermique sera établi par l’entreprise suivant les règles de calcul définies au § 2.
2.3.2. PRESSION D’ENTREE
La pression d’entrée (historique de pressions) devra être recueillie auprès du « Service des Eaux » de la ville de
Clermont l’Hérault.
Les dispositions générales du règlement de la Compagnie Générale des Eaux indiquent (art. 5) que la pression dans
les conduites publiques (dont le Maxima est variable), ne pourra être inférieure à 2,2 bar mini.
L’entrepreneur devra donc demander la pression minimale et la pression Maximale.
Dans le cas d’une trop forte pression ou d’écarts importants entre mini et Maxi, il sera nécessaire d’installer un
réducteur de pression.
▪ Dans le cas d’une pression insuffisante, l’installation d’un surpresseur.
▪ Dans le cas de variation de pression fréquente excédent 0,7 bars, l’installation d’un anti-bélier sur l’arrivée
d’eau.
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3.1. PREAMBULE
3.1.1. MARQUES ET MATERIELS
Lorsque le nom du fabricant, la marque et la référence du modèle (ou une seule de ces désignations) sont indiqués
dans les documents écrits ou sur les plans, ils déterminent le niveau de qualité des matériels ou des éléments
prévus. L’entrepreneur pourra soumettre à l’approbation du BET et seulement en variante un matériel de
remplacement de type, qualité et emploi équivalent au modèle indiqué.
En particulier, l’Entreprise aura à sa charge les incidences qu’un changement de références induirait sur les autres
corps d’état et intervenants du projet, compris reprises éventuelles d’étude.
3.2. ETUDES D’EXECUTION

La mission confiée au Maître d’Œuvre est une mission de base, sans les études d’exécution (référence loi MOP), mais
avec VISA des plans d’exécution fournis par les entreprises.
Toutes les sujétions non expressément incluses dans l’ensemble des documents du DCE sont à la charge des
entreprises, y compris notamment :
▪ les plans des installations de chantier
▪ les notes de calculs et notes méthodologiques spécifiques
▪ le dimensionnement définitif des ouvrages
▪ les plans d’implantations
▪ les plans de réservations
▪ les plans d’exécution, plans d’atelier et de chantier, établis selon la charte graphique retenue
▪ les plans des éléments préfabriqués
▪ les plans des détails d’exécution, y compris pour les ouvrages provisoires
▪ les plans de calepinage
▪ les plans de réseaux, câblages, implantation des équipements terminaux
▪ les plans des locaux techniques
▪ les schémas et synoptiques
Aux termes de son offre, l’entrepreneur doit porter à la connaissance du maître d’ouvrage et du maître d’œuvre les
coordonnées des bureaux d’études externes auxquels il entend faire appel. De même en cours de chantier il doit
informer sans délai de tout changement dans l’identité des intervenants.
Une liste prévisionnelle de plans sera établie durant la période de préparation, ainsi qu'un planning de remise des
plans établi en liaison avec l’OPC.
Le type et le libellé des cartouches, les principes de numérotation et de suivi des indices, doivent être conformes à
la demande du maître d’œuvre, définie au début de la période de préparation. Sur un plan réémis à l’indice
supérieur, les modifications apportées seront cerclées sur le plan.
Dans le cas de calculs informatiques, une notice précisera les entrées et synthétisera les résultats. Elle indiquera
aussi les références du code de calcul utilisé.
L'ensemble des plans et documents d’exécution doit être soumis au VISA du Maître d’Œuvre et à l’examen du Bureau
de contrôle, avant tout commencement d'exécution.
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3.3. TRAVAUX DE DEPOSE - REPOSE

Il sera prévu la dépose soignée des unités de climatisation extérieure de l’école existante, compris retrait des fluides
frigorigène et toutes sujétions. Le présent lot reposera les unités de climatisation et remettra en service l’installation
suivant le planning définis par l’OPC.
3.4. POMPE A CHALEUR TRIPLE SERVICE
3.4.1. PRINCIPES
La génération de chauffage et de rafraichissement et la production d’eau chaude sanitaire seront assurées par un
système thermodynamique triple service monobloc ZéPAC70_TS de marque AUER couplant 2 pompes à chaleur
Haute Température HRC70 Air/eau d’une puissance unitaire de 40 kW à un préparateurs ECS de type VS, de marque
AUER d’une capacité unitaire de 1500L ou techniquement équivalent. La pompe à chaleur HRC70 est une pompe à
chaleur Haute température modulante 70°C à Haut Rapport de compression certifiée Eurovent.
3.4.2. PERFORMANCES
Afin d’atteindre le niveau de consommation d’eau chaude sanitaire, de chauffage et de rafraichissement de l’étude
thermique RT 2012 le ZéPAC70_TS devra assurer les performances suivantes à haute température.
La solution est conforme au Titre V PAC Triple service du 10 septembre 2018. Les performances sont déterminées
suivant la fiche d’application des chauffe-eau thermodynamiques établie par le CSTB et les performances
chauffage/rafraichissement certifiées selon EN 14511.
Tableau 1 - Tableau 2 - Performances Tableau 3 - Performances
Performances CHAUFFAGE RAFRAICHISSEMENT
ECS
* en cours de certification
* en cours de certification
3.4.3. CARACTERISTIQUES DU SYSTEME
▪ Puissance conservée pour une température extérieure donnée quelle que soit la consigne T°aval
▪ Modulation de la puissance grâce à une combinaison innovante de deux compresseurs de puissance différente
dans chaque pompe à chaleur.
▪ Démarrage étagé et progressif de la puissance.
▪ Haut rapport de compression grâce à la technologie de compresseurs Scroll type 3D.
▪ Primaire à haute température 70°C jusqu’à -20°C
▪ Fonctionnement 100% thermodynamique jusqu’à -20°C extérieur.
▪ Cycle anti-légionellose 100% thermodynamique sans faire appel à la puissance de secours
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▪ Ventilateur à vitesse modulante en fonction de la puissance demandée

▪ Utilisation d’un gaz vert écologique en très faible quantité
▪ Pas d’entretien frigorifique annuel obligatoire
▪ Pompes à chaleur non soumisse au test d’étanchéité obligatoire annuel.
▪ Ensemble mural de gestion hydraulique complet intégrant la régulation
▪ Pilote hydraulique ou bouteille de découplage pour raccorder une puissance de secours
Pour des raisons d’acoustique, le niveau de pression sonore d’une unité extérieure ne devra pas dépasser 62 dB(A)
à 1 m. La puissance acoustique mesurée selon la norme EN 12102 sera inférieure ou égale à 66 dB(A).
Pour garantir les performances du projet et le bon fonctionnement de l’ensemble du système, il est impératif que
la liaison entre les unités extérieures et le pilote soit une liaison hydraulique.
3.4.4. GENERATEUR DE CHALEUR / FROID
Il sera prévu la fourniture et la pose de deux modules extérieurs reliées

hydrauliquement à un pilote hydraulique comprenant circulateurs et régulations
associés à une bouteille de découplage. Les deux modules extérieurs seront de
marque AUER type HRC70 40kW ou techniquement équivalent ;
Caractéristiques du module extérieur HRC 70 :
▪ Puissance calorifique maximale: 40kW
▪ Certifié Eurovent
▪ Température maxi : 70°C
▪ Fluide frigorigène R290
▪ Plage d'air extérieur : -20°C à + 40°C
▪ Carrosserie : tôle galvanisée 225g/m² de 12/10 mm
▪ Peinture poudre polyester pour excellente tenue en extérieur.
▪ Kit de liaison hydraulique souple (durites) 1.5m
▪ Plots anti-vibratiles réglables inclus
▪ Câble blindé (2 fils) de liaison pompe à chaleur / pilote (lg = 10m)
▪ Alimentation électrique : 400 V triphasé
Il sera prévu, par module extérieur :

▪ Vanne filtre
▪ Vanne d’arrêt
▪ Contrôleur de débit
▪ Clapet anti-retour
▪ Circulateur
▪ Purgeur
▪ Durites de raccordement
▪ Sonde extérieure
Le présent lot prévoira l’ensemble des raccordement hydraulique et électriques nécessaire au fonctionnement du
système, suivant les recommandations du fabricant.
Les équipements seront posés sur des supports anti-vibratiles à prévoir au présent lot.
3.4.5. PREPARATEUR ECS
Il sera prévu au présent lot un préparateur ECS de 1500L de type VS, de marque AUER ou similaire.
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Caractéristiques techniques
▪ •Pression d’épreuve 10 bar
▪ •Pression de service 7 bar maxi
▪ •Protection interne émaillée
▪ •Protection externe fine couche émail et peinture de finition
▪ •Piquage de recyclage sanitaire
▪ •Protection par deux ou trois anodes magnésium selon capacité
▪ •Crochets de manutention
▪ •Trou de visite diamètre 110 mm
▪ •Isolation épaisseur 100 mm laine de verre sous PVC souple
▪ •Classement au feu M1
▪ •Pieds de rehausses
Il sera prévu au présent lot, la mise en œuvre d’une chaudière électrique en secours, de
type GALIX 36kW de marque AUER ou similaire, en cas de panne d’une des deux PAC.
3.4.6. ARMOIRE ELECTRIQUE
Suivant les prescriptions du chapitre 5
3.5. VENTILATION LOCAL PAC

Le présent lot prévoira la fourniture et pose d’une ventilation mécanique du local PAC suivant la norme 378 :
Cette ventilation permettra le renouvellement d’air dans le local en fonction normal avec un débit de 4 volumes par
heure et en urgence de 15 volumes par heure.
▪ Une tourelle 2 vitesses, débit max 1100 m3/h pour la ventilation d’urgence, asservie à un détecteur de gaz.
▪ La ventilation mécanique d'urgence doit être munie de deux commandes d'urgence indépendantes, l'une située
à l'extérieur de la salle des machines et l'autre à l'intérieur.
Il conviendra alors de mettre en place une consigne demandant l'activation de l'extraction avant toute pénétration
dans ce local.
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En cas d’arrêt de fonctionnement de la ventilation, une alarme sonore et visuelle doit être activée.
Electricité
Coffret de commande marche/arrêt et PV/GV avec voyant de fonctionnement dans le local. Armoire étanche
IP.667. Commande des différents équipements
3.6. COLLECTEURS ET RESEAUX HYDRAULIQUES PRIMAIRES

A partir des pompes à chaleur, il sera prévu par le présent lot, les collecteurs et réseaux hydrauliques primaires.
Les collecteurs départ et retour seront réalisés en acier tarif 10, pré-dimensionnée pour une vitesse
d’écoulement au débit max de 0.6m/s en collecteur horizontal.
Il sera prévu un point de vidange sur chaque collecteur.
Les réseaux hydrauliques seront en tube acier tarif 10. Ils seront calorifugés classe 4.
Localisation : LT PAC
3.7. REMPLISSAGE DE L’INSTALLATION

A partir de l’arrivée EF en local technique,
L’alimentation en eau froide est réalisée à partir de l’attente située au droit du générateur depuis la vanne d’arrêt,
La panoplie de remplissage du circuit de chauffage existant sera déposé et remplacé en totalité
Il sera prévu une panoplie complète pour l’alimentation du circuit chauffage comprenant :
▪ une vanne d’arrêt permettant l’isolement du disconnecteur et du filtre à tamis,
▪ un filtre à tamis démontable situé en amont du disconnecteur,
▪ un disconnecteur à zone de pression réduite contrôlable type BA
▪ un entonnoir de récupération des écoulements du disconnecteur,
▪ un manomètre de contrôle avec robinet d’isolement,
▪ une vanne de remplissage + bypass
▪ un compteur d’eau volumétrique eau froide communicant type DIELH HYDRUS ou similaire.
Il sera prévu également la mise en place d'un vase d'injection pour traitement de l’eau de chauffage ainsi que la
fourniture et remplissage d’un produit anticorrosif adapté.
L’alimentation en eau pour le remplissage sera issue d’un adoucisseur EF. L’adoucisseur est à charge de la présente
entreprise.
Les canalisations seront éprouvées hydrauliquement à 6 bars, pendant 24 h. L’installateur devra vérifier que
tous les composants du réseau puissent supporter cette pression, certains instruments sensibles pourront être
montés qu’après épreuve et rinçage ou alors bipassés lors de ces épreuves.
Les essais seront réalisés avant calorifugeage des canalisations ou si l’isolation est en partie réalisée en laissant
apparent les soudures pour visualisation. Avant la mise en route de l’installation, il est procédé à un lessivage et un
rinçage des circuits hydrauliques.
L'entreprise devra prévoir la fourniture des analyses d'eau de remplissage des circuits de chauffage. Les
circuits seront mis à la terre, toute rupture isolante (manchons anti vibratile par exemple) étant bipassée par une
tresse soudée en amont et en aval des brides acier. Ces tresses seront apparentes, au-dessus du calorifuge.
3.8. VASE D’EXPANSION
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La dilatation de l’eau dans l’installation ainsi que la sécurité seront assurées à l‘aide d’un vase d’expansion sous
pression d’azote de marque FLEXCON ou équivalent.
La capacité du vase sera déterminée lors des études d’exécution.
Il sera pré-gonflé à 1,5 bar, installé sur la tuyauterie de retour de l’installation de chauffage, au moyen d’un groupe
de raccordement 1/2” équipé d’une vanne d’isolement et d’un robinet purgeur.
Avant la mise en service de l’installation, l’entreprise sera tenue de vérifier la pression à froid du ou des vases sous
pression. Pression à prévoir : 1,5 bar.
La canalisation d’expansion devra être conforme à la Norme NF 52-001 et sera munie :

- d’un robinet de vidange.
- deux soupapes de sécurité (dont une en secours) type 3/4” assureront le trop plein en cas d’éventuelles
surpressions.
- Une soupape de sécurité type 3/4” assurera le trop plein en cas d’éventuelle surpression.
- Manomètre
3.9. PRESSOSTAT MANQUE D’EAU

Il sera également prévu sur le collecteur général un pressostat de manque d’eau, qui en cas de défaut coupera
l’alimentation électrique des pompes à chaleur et des pompes.
3.10. POT A BOUES

Il sera prévu l’installation d’un séparateur à boues sur le retour du collecteur principal, Ø 66/76 mm
modèle à barreau magnétique de marque EWT, ADH2OC INDUSTRIAL modèle FPI-M ou techniquement
équivalent, afin de protéger l’installation des boues résiduelles en faible concentration (boues
résiduelles dans « bras morts » de l’installation).
L’entreprise prévoira le supportage de ce filtre indépendant de la tuyauterie (pied-support)
La purge du désemboueur sera obligatoirement canalisée vers le siphon le plus proche. Elle pourra être
réalisée en acier.
Il sera prévu une forte isolation du pot à boue par bande armaflex de 25mm d’épaisseur.
3.11. FILTRE SUR RESEAU DE CHAUFFAGE

Le corps est en fonte et le filtre à tamis en acier inox, maille 100 microns.
Sur le retour du chauffage, il sera prévu un filtre à tamis avec robinet de by-pass et manomètre de contrôle
d'encrassement.
Ils devront être aisément démontables pour une maintenance rapide, il est prévu un robinet de vidange sur la
tuyauterie correspondante, vanne d'isolement et de by-pass, manchettes démontables.
3.12. PURGEURS D’AIR CIRCUIT DE CHAUFFAGE

Les purgeurs seront de type purgeurs d’air automatiques à flotteur avec :
• Un système anti-rotation et anti-vibration du flotteur : Le flotteur est fixé de façon à garantir que l’obturateur ne
subisse l’influence d’aucun mouvement externe lorsqu’il est au repos.
• Un Obturateur “à sec” : Le positionnement du flotteur et des autres organes internes doivent permettre à
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l’obturateur de n’être jamais atteint par l’eau, de façon à empêcher les risques liés à l’infiltration des impuretés
présentes dans le fluide.
Le Purgeur d’air sera automatique muni de robinet d’isolement automatique, installé en partie haute des réseaux
en position verticale ou horizontale selon la configuration. Le purgeur sera muni de couvercle en laiton, d’un
obturateur en caoutchouc au silicone, avec une température maxi d’exercice de 115°C, une pression maxi d’exercice
: 10 bars et une pression maxi de purge : 6 bars.
Les robinets de purge d’air seront du type à boisseau sphérique à passage intégral.
Localisation : LT PAC, suivant cheminement point haut réseaux hydrauliques
3.13. PURGE DE L’INSTALLATION

Il sera prévu par le présent lot la mise en œuvre d’un robinet de vidange et de purges de diamètre 40 mm minimum
avec bouchon mâle galvanisé sur les points bas des installations ainsi qu’à proximité des équipements type
échangeurs, collecteurs, etc.
Localisation : LT PAC, suivant cheminement point bas réseaux hydrauliques
3.14. THERMOMETRES DE TEMPERATURE

Les capteurs de température seront de type WIKA 52.160. La longueur du plongeur sera
adaptée à la dimension de la canalisation et à l’épaisseur du calorifuge.
Ils seront prévus suivant schéma technique sur les réseaux primaires (aller/retour,
secondaires (aller/retour de chaque circuit),
3.15. POMPES DE CIRCULATION

Il sera prévu par le présent lot, les pompes de circulation secondaires pour les réseaux hydrauliques suivants :
- Réseau hydraulique ventilo-convecteurs, débit xx m3/h
- Réseau hydrauliques CTA et compensation cuisine, débit xx m3/h
(Débits à confirmer à l’exécution).
Les circulateurs seront équipés de compteur d’énergie, à très faible consommation électrique (classe énergétique
A), à débit variable avec programmation du débit maximum (suppression des vannes de réglages sur le réseau
retour). Ils seront de type GRUNDFOS MAGNA 3 ou similaire.
Caractéristiques techniques :
* corps en fonte.
* Fonctionnement à débit variable avec surveillance du débit et limitation du débit maxi fixé
* Rotor noyé à aimant néodyme, équipé d’un moteur à aimant permanent avec chemise de refroidissement en
composite
* Capteur de pression différentielle
* Collier de serrage pour un accès facile à la Roue
* Capteur avec doigt de gant sur le retour pour comptage énergétique
* Communication avec la supervision en modbus Report comptage énergétique
* Ecran LCD couleur avec journal de bord 3D
* Compteur d’énergie thermique intégré
* Indicateur de fonctionnement et rotation.
Les corps des pompes seront calorifugés par coque de polystyrène extrudé préformé du fabricant.
Ainsi chaque circuit hydraulique sera équipé avec les accessoires suivants (suivant plans techniques) :
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▪ Pompe de circulation à débit variable adaptée aux caractéristiques du circuit, avec raccords ou contre-brides,
joints, boulons.
▪ Des vannes d'isolement ¼ de tour permettant le démontage aisé des accessoires (pompes,…)
▪ Vannes 3 voies de régulation (la vanne 3 voies des CTA sera prévu à proximité de chaque CTA)
▪ Un robinet à soupape sur le by-pass de la vanne trois voies décrite dans poste « Régulation »
▪ Des capteurs de température avec doigt de gant seront mis en œuvre sur le départ et le retour
▪ Sondes pour le comptage
* La consommation électrique des circulateurs ne devra pas dépasser le ratio de 15W/m3.

* Les sondes de température seront de marque GRUNDFOS sur tous les circulateurs MAGNA 3D.
3.16. DISTRIBUTIONS HYDRAULIQUES

La distribution sera conforme aux spécifications du § 5 du présent CCTP.
Il sera prévu par le présent lot, deux circuits hydrauliques

- un circuit en change over pour l’alimentation des ventilo-convecteurs.
A l’intérieur du bâtiment, la distribution alimentera les ventilo-convecteurs en faux plafond suivant les plans
techniques.
- un circuit chaud pour l’alimentation des batteries chaudes des centrales de traitement d’air ainsi que les caissons
de compensation cuisine.
Sur ce circuit, il sera prévu une vanne 2 voies de régulation, permettant de fermer le circuit lors du passage en mode
refroidissement (ou programmation depuis régulateur de la pompe à chaleur).
Les réseaux seront en tube acier tarif 10 posé sur colliers isolés type MUPRO y compris raccords, accessoires et
toutes sujétions.
Le calorifugeage des réseaux de chauffage en faux plafond sera conforme aux spécifications du § 5 du présent CCTP.
L’épaisseur de l’isolant sera déterminée en fonction du diamètre de la canalisation de façon afin de respecter
une perte minimale. L’isolant sera de classe 4 en volume non chauffé et chauffés.
Il sera utilisé au niveau des canalisations la pré-isolation qui consiste à faire glisser l'isolant sur la tuyauterie. Les
soudures, les raccords se font après mise en place de l'isolant
Il sera prévu des colliers présentant le même niveau d’isolation que les tuyauteries.
Les réseaux de chauffage posé encastré dans mur et cloison seront en tube en cuivre d'épaisseur 1 mm, certifié
conforme à la norme EN 1057, revêtu d'une gaine extérieure en polychlorure de vinyle y compris fourreau pour
réservation dans mur béton, raccords diélectriques et toutes sujétions Ø 12/14 à 14/16
Localisation : suivant plans techniques
3.17. CALORIFUGE RESEAUX HYDRAULIQUES

Les réseaux de chauffage en local technique, en faux plafond, dans les locaux non chauffés seront calorifugés par
des coquilles de laine de roche.
NOTA : LES EPAISSEURS DES CALORIFUGES DES CANALISATIONS DE CHAUFFAGE POSE EN TOITURE, VIDE
SANITAIRE, ZONE NON-CHAUFFE ET EXTERIEUR RESPECTERONT A MINIMA LA CLASSE D'ISOLATION 4 AU SENS
DE LA RT 2012, POUR LES RESEAUX EN VOLUME CHAUFFE RESPECTERONT A MINIMA LA CLASSE D'ISOLATION
4 AU SENS DE LA RT 2012.
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Le calorifuge des réseaux chauffage posés en local technique, gaines techniques, faux plafond sera de type coquille
de laine de roche à fibre multidirectionnelle 90kg/m3.
En local PAC, gaines techniques, faux plafonds, réseaux apparents en intérieur :
− Protection par film PVC.
Dans tous les cas, l’isolation sera arrêtée aux extrémités par des embouts de finition.
A chaque arrêt de calorifuge (brides, vannes, etc.), il sera placé une manchette de protection en zinc, à deux gorges.
Le revêtement calorifuge sera imputrescible, non hygroscopique et sans intérêt pour les rongeurs.
La surface extérieure du revêtement sera rigide, régulière, et résistante aux chocs.

Avant l’exécution du calorifugeage, les surfaces non galvanisées seront soigneusement désoxydées à la brosse
métallique pour être peintes.
Il est rappelé que les vannes d'équilibrage auront leur protection prévue par le constructeur, les autres
organes recevront aussi un calorifuge posé avec soin.
soudures, les raccords se font après mise en place de l'isolant
3.18. EQUILIBRAGE RESEAUX HYDRAULIQUES

L'Installateur devra prendre à sa charge le calcul de l'équilibrage et la détermination des réglages des organes de
réglages (vannes).
Avant de régler les débits de l'installation, il convient d'effectuer un rinçage complet de celle-ci.
Les impuretés liées au montage risquent d'obstruer les différentes vannes et organes de réglage.
3.19. UNITES INTERIEURES DE CHAUFFAGE/RAFRAICHISSEMENT

Les locaux seront traités par ventilo-convecteurs 2 tubes, encastrable horizontal placés en faux plafonds. Les tailles
des différents ventilo-convecteurs seront déterminées en fonction du bilan des déperditions et des apports et devra
couvrir tous les besoins de chaud et de froid.
Il sera prévu au présent lot l’ensemble Ils seront équipés en standard d'une pompe de relevage des condensats.
Ces unités de traitement d’air seront de marque LENNOX, CARRIER ou techniquement équivalent et comprendront
notamment :
- Une batterie d’échange chaud /eau glacée en tube cuivre et ailettes aluminium
- Un bac de récupération des condensats en tôle galvanisée
- Un groupe moto-ventilateur équipé d’un moteur Brushless à variation continue 0-100% de la vitesse.
- Un filtre d’air EU2
- Meuble métallique de protection avec peinture polyester anticorrosion
- Fonctionnement silencieux
- Faible perte de charges des batteries d’échanges
- Une régulation de type électronique avec thermostat d’ambiance et régulation vanne 3 voies sur l’eau
Les caractéristiques acoustiques des ventilo convecteurs devront être conformes aux prescriptions du chapitre 5.
Les caractéristiques des ventilo-convecteurs seront déterminées en moyenne vitesse avec une arrivée d'eau à la
température de 7°C et une chute de 5°C en été. L’arrivée d’eau sera de 45°C en hiver avec une chute de 5°C.
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Les ventilo-convecteurs seront de type silencieux. Ils seront équipés à l'aspiration du ventilateur d'un filtre à air
facile à enlever pour nettoyage, remplacement sans démontage de l'appareil.
Un bac collecteur des condensats, convenablement dimensionné, permettra la récupération des eaux de
condensation produites sur la batterie, les canalisations et la robinetterie (Bac primaire et secondaire) et
l’évacuation sur le réseau EU le plus proche.
En fonction du cas, ce bac sera adapté sous la batterie et son fond incliné assurera l'évacuation naturelle des eaux
recueillies vers le réseau d'évacuation correspondant auquel il sera raccordé.
Les canalisations incluses à l'intérieur des habillages des ventilo-convecteurs seront calorifugés en vue de réduire
les pertes à une valeur minimale.
Les moteurs seront protégés individuellement contre tout échauffement mécanique ou surintensité par mini-
disjoncteur. Ils seront prévus pour fonctionner en recyclage.
Les raccordements en eau du ventilo-convecteur et évacuation condensats se feront par des flexibles de 30 à 50 cm
ce qui permettra de pouvoir déplacer légèrement l'appareil sans devoir reprendre les raccordements.
Nota : il sera prévu par le présent lot, en présence de faux plafond non démontable, une trappe d’accès au
ventilo convecteur.
3.20. THERMOSTAT D’AMBIANCE

La régulation terminale sera de marque LENNOX ou techniquement équivalent.
Il permettra les fonctionnalités suivantes :
- Le réglage de la température de consigne
- Capteur de température
- Capteur de présence (changement de mode « confort » et « veille »)
- Commande du ventilateur
La ventilation est réglée différemment pour le fonctionnement en mode refroidissement qu’en mode
chauffage.
- Refroidissement : ventilation continue ; la ventilation reste activée indépendamment d’avoir
atteint la température réglée. Le contrôle de la température se réalise alors à travers l’ouverture
et la fermeture de la vanne motorisée
- Chauffage : ventilation thermostatée ; la ventilation s’éteint automatiquement lorsque la
température réglée est atteinte
Le thermostat d’ambiance sera raccordé électriquement par le présent lot.
3.21. VANNES D’EQUILIBRAGE AUTOMATIQUE MOTORISEES

Les vannes d’équilibrage de l’installation seront de type OVENTROP COCON QTZ ou similaire avec comme
fonctionnalités :
▪ Réglage automatique du débit à la valeur définie.
▪ Maintien permanent du débit, sur chaque vanne, par réglage dynamique de la section de
passage interne pour compenser les fluctuations de pression de l'installation.
▪ Elimination des vannes de branches, de pieds de colonne et des vannes de répartition tout
au long du réseau ainsi que la vanne générale en local technique.
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▪ Inutilité de longueur droite en amont et en aval de la vanne.

Il sera prévu une motorisation avec servomoteur 3 points.
3.22. VANNES D’ARRET

Il sera prévu 2 vannes d’arrêt au niveau de chaque ventilo convecteur suivant les prescriptions du chapitre 5.
3.23. GROUPE DETENTE DIRECTE REFROIDISSEMENT STOCK TEMPORAIRE

La climatisation se fera par un système Inverter à détente directe et à condensation par air, de puissance 3.5 kW, de
marque DAIKIN, permettant le rafraîchissement et le chauffage du local stock temporaire.
La technologie Inverter permettra de moduler en permanence la puissance de l’unité extérieure en fonction des
variations de charge thermique de la pièce.
En outre, le système sera optimisé pour une meilleure efficacité saisonnière conformément aux exigences de la
directive européenne Ecodesign.
Il devra ainsi être capable d'adapter les températures de condensation et d'évaporation de réfrigérant en fonction
des conditions extérieures afin d'améliorer l'efficacité de l'ensemble et le confort des occupants.
3.23.1. UNITE EXTERIEURE
L'unité extérieure sera de marque Daikin de puissance 3.5 kW assemblée et testé en usine. Elle sera préchargée en
fluide R410A pour une longueur de tuyauterie de 30m.
Elle sera équipée d’un compresseur “ Swing – DC Inverter ” à très haut rendement énergétique.
Le compresseur commandé par Inverter limitera les surintensités au démarrage et permettra la variation de la
puissance frigorifique.
Les ailettes du condenseur seront protégées par un revêtement polyacrylique évitant la corrosion.
De poids et dimensions réduits, l'unité s'installera aisément sur un toit, une terrasse, ou contre un mur extérieur.
En standard, une bouteille accumulatrice, équipera l’unité afin de permettre la récupération intégrale du fluide
frigorigène de l'installation.
3.23.2. UNITE INTERIEURE
L'unité intérieure sera sélectionnée en fonction des besoins thermiques des locaux et des contraintes d'installation.
Elle sera de type mural à moteur DC basse consommation.
L'unité pourra être pilotée par une télécommande infrarouge ou à fil.
3.23.3. CIRCUIT FRIGORIFIQUE ET ELECTRIQUE
Le raccordement entre l'unité extérieure et l'unité intérieure sera effectué avec des liaisons cuivre de faible diamètre
(qualité frigorifique), isolées séparément.
La longueur maximale sera de 75m équivalent (longueur entre unité extérieure et unité intérieure) dont 30m de
dénivelé.
L’unité extérieure sera alimentée en monophasé 230/1/50. Elle sera protégée par un disjoncteur différentiel de
calibre adapté.
Un câble 4x1,5mm², assurera la communication entre l'unité intérieure et extérieure.
3.23.4. REGULATION ET SECURITE
L'unité intérieure disposera de sa propre régulation et des fonctionnalités suivantes :
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· Marche/Arrêt, fixation de la température de consigne, choix des paramètres de ventilation

· Choix du mode de fonctionnement chauffage/rafraîchissement
· Plage de limitation des températures de consigne dans chacun des modes de fonctionnement.
· Horloge programmable hebdomadaire : possibilité de paramétrer jusqu'à 3 programmes indépendants (Eté, hiver,
mi-saison) et jusqu'à 5 actions par jour
· Affichage de la consommation d'énergie du système
· Redémarrage automatique après coupure de courant (avec conservation des données paramétrées pendant 48h)
· Activation du mode Puissance permettant d'atteindre rapidement le point de consigne de la pièce
· Mode abaissement de nuit permettant de réduire automatiquement le niveau sonore de l'unité extérieure
· Fonction autodiagnostic, indiquant les défauts et dysfonctionnements des unités (simplification des opérations
de maintenance)
· Pilotage à distance sur ordinateur, tablette ou smartphone via la carte de communication Wifi Plug & Play (BRP069)
et en téléchargeant l'application Daikin "Online Controller".
3.23.5. MISE EN ŒUVRE
L'installation sera réalisée dans les règles de l'art, selon les préconisations DAIKIN, afin d'engager la garantie du
constructeur de 3 ans pièces et 5 ans compresseurs.
3.24. VENTILATION DOUBLE FLUX

Dimensionnement conforme au § 2 du présent CCTP et plans.
La ventilation et le traitement d’air des salles à manger sera assurée par une centrale double flux avec
récupérateur d’énergie.
Elle sera verticale, double flux, à échangeur rotatifs (rendement >80%) avec : filtres G4 et F6, by-pass à 100%,
batterie eau chaude + régulation, ventilateurs de soufflage/de reprise et régulation, pièges à son, registres de
fermeture sur l’air neuf et l’air rejeté,
Les CTA devront être certifiés EUROVENT sur l’ensemble des composants de la centrale.
Caractéristiques :
Conformes au § 5 du présent CCTP
Les centrales doubles flux verticales double peau modulaire isolée seront de marque SWEGON, TROX ou
ROBATHERM Type GOLD TOP, COMPACT ou similaire et techniquement équivalent y compris plots antivibratiles,
manchettes souples aspirations, refoulements M0, interrupteur de proximité, manutention et protection du
matériel pendant la durée des travaux comprenant :
La centrale de traitement d’air sera du type double flux avec récupérateur de chaleur rotatif haut rendement avec
régulation intégrée.
Le SFP de chaque ventilateur sera maximum de 0.30 W/m3/h.
Elles seront de type :
Débit Débit
Désignation soufflage extraction SFP max Rendement Mode de Régulation
en m3/h en m3/h en %
CTA salles à Débit variable asservi à une
4573 4123 0.6 80
manger sonde CO2
Elle sera certifiée EUROVENT AINSI QUE LES CONSOMMATIONS VENTILATEURS
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- Résistance mécanique de l’enveloppe : D1

- Etanchéité de l’enveloppe : L2
- Fuites de dérivation des filtres : F9
- Transmittance thermique : T3
- Facteur de pont thermique : TB3
Caisson
La construction sera de type autoportant.
L’extérieur sera fabriqué en tôle d’acier galvanisée à chaud et plastifié beige.
Les panneaux intérieurs seront en tôle d’acier Aluzinc.
L’isolation intermédiaire se composera de 50 mm de laine de roche avec une isolation 90kg/m3.
Le caisson sera constitué de panneaux fixes et de portes d’inspection fermants à clef.
L’interrupteur de sécurité de l’unité sera placé à l’extérieur sur le chapeau de raccordement.
Les poignées de la centrale s’ouvriront en deux temps permettant un équilibrage de pression avant l’ouverture
complète de la porte.
L’unité sera marquée CE et répondra aux normes EN 50081-1, -2 et EN 610000-6-2.
Filtres
Elle sera munie de filtres à poches longues sur cadre métallique de classe F7-85% opacimétrique du côté air repris
et air neuf.
Le porte-filtre de l’unité sera avec un verrouillage excentrique pour une étanchéité efficace.
Les prises de mesure pour l’encrassement des filtres seront intégrées dans le système de commande.
La régulation permettra un calibrage de la perte de charge des filtres à chaque changement de ceux-ci.
Récupérateur thermique
Elle sera équipée d’un échangeur rotatif avec sondes de température intégrées à haut rendement jusqu’à 87% (sur
la température) et à vitesse variable. Le rendement de l’échangeur certifié EUROVENT pris en compte dans le
document « caractéristiques thermiques » devra être respecté compte tenu des pertes de charges des réseaux
calculés précisément lors de la phase d’exécution.
Le besoin thermique sera commandé par une régulation automatique et progressive du régime du récupérateur.
Le récupérateur thermique disposera d’un secteur de nettoyage par surpression assurant la non transmission de
polluants vers l’air neuf.
Caractéristiques
-Panneau double peau épaisseur 50 mm, avec isolation par plaques laine de roche M0
-Finition extérieure acier prépeint type polyester thermoréticulable
-Finition intérieure en acier galvanisé avec peinture polyuréthanne.
-Echangeur haut rendement > 80%
-Filtre plan plissé G4 à l’extraction facilement accessible par le côté.
-Filtre plan plissé F7 à l’aspiration d’air neuf.
-Moteurs ECM (moteur à commutation électronique), basse consommation quelle que soit la vitesse de rotation, à
régulation complète permettant un fonctionnement à pression constante des ventilateurs de soufflage et de
reprise, par signal 0/10V réglé sur la perte de charge du réseau, avec 3 sondes (air neuf air repris air refoulé)
montées/câblées pour la gestion automatique du By-pass et de la protection antigel par réduction du débit d'air
neuf
- By-pass 100% permettant la surventilation de nuit en demi-saison et en été.
- Bac de récupération des condensats.
- Pressostat pour détection encrassements des filtres
- Plénums isolés pour raccordements circulaires soufflage reprise rejet
- Registres motorisés étanches sur l’air neuf et l’air extrait
- Régulation électronique pré câblé monté sur la centrale sous boitier étanche, y compris sondes de température,
sondes de pression, sonde de CO2, variateurs de vitesses, régulateur, horloge analogique journalière,
hebdomadaire, annuelle, serveur web intégré pour fonctionnement suivant description :
Commande déportée avec écran LCD
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Régulation
Elle sera équipée d’une armoire électrique de régulation IQLogic intégrée et d’une tablette de contrôle avec écran
tactile 7 pouces et menus intuitifs IQNavigator et boitier de protection caoutchouc avec :
- Visualisation écran permanente des paramètres de fonctionnement et vue synoptique de la CTA:
o Débits (VAV, Débit Constant)
o Températures
o Pression
o Horloge
o Alarmes
- Débits d’air programmable précisément, contrôlés par Pitot annulaire

- Ajustement automatique des débits d’air aux pertes de charges du réseau aéraulique
- Historique des alarmes
- Maintien des débits constants en fonction de l’encrassement des filtres
- Mode de régulation de température ERS, assurant la gestion du FREE COOLING
- Horloge hebdomadaire incorporée avec permutation été/hiver
- Récupération automatique du rafraîchissement des locaux climatisés
- Plusieurs débits d’air programmables, débit variable, pression constante (VAV)
- Exploitation de la fraîcheur nocturne pour la mise en température des bâtiments
- 49 alarmes de contrôle : encrassement des filtres, défaut, surchauffe, …
- Report d’alarme et asservissement externe possible
- Système de régulation avec compensation automatique
- Possibilité de communication vers un système de gestion centralisé
- Comptage de l’énergie électrique consommée aux ventilateurs
- Compteur électrique KW/H
- Choix des étages de régulation de température
- Compensation température de soufflage par rapport à la température extérieure
- Indication pourcentage ouverture des vannes
La tablette de commande affichera les alarmes qui seront relayées en fonction des priorités
Il sera prévu une console tactile. Elle sera placée dans le local technique.
Nota : il sera prévu des silencieux à baffles parallèle sur les rejets et prise d’air des CTA. Ils seront
dimensionnés de manière à respecter les objectifs définis dans la note acoustique.
Ventilateurs
Elle disposera de ventilateurs à entraînement direct à roue libre classe Ie4 du type GOLD Wing+ breveté avec un
rendement élevé, un faible niveau sonore et assurant un flux d’air uniforme.
Ils seront montés sur glissières pour une maintenance aisée.
Les moteurs des ventilateurs seront à courant continu type EC basse consommation et à vitesse variable (en
fonction de l’occupation) ou ajustable (compensation de la perte de charge due à l’encrassement des filtres) sous
contrôle de variateurs de fréquence
Les ventilateurs seront munis de prises de mesure, effectuant des contrôles permanents des seuils de régulation du
débit d’air. Ces prises de mesure permettront la lecture directe du débit d’air sur la tablette.
Les vibrations des ventilateurs seront efficacement amorties par des plots à ressorts et par des manchettes souples.
Le régulateur de la centrale sera compatible avec le réseau MODBUS RTU – RS485
Le constructeur assurera :
- La mise en service de la régulation
- La vérification du raccordement des caissons entre eux, ainsi que le respect des préconisations de montage.
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- Le contrôle des filtres, batteries, siphons, moteurs, ventilateurs, registres …
Fonctionnement
Marche normal/réduit
*En hiver : L’air extrait traverse l’échangeur et cède la majeure partie de sa chaleur à l’air neuf insufflé.
*En demi-saison mai à septembre :
En période d'occupation : les locaux n'étant pas rafraichis, l’air extrait traversera l’échangeur s’il est plus frais que
l’air extérieur de 2°C, sinon le bypass sera ouvert à 100%
En période d'inoccupation : Si la température extérieure est inférieure de 2°C à la température intérieure,
l'échangeur est bipassé à 100%, les ventilateurs fonctionnent en débit nominal,
Localisation : suivants plans techniques
3.25. VENTILATION SIMPLE FLUX (VMC)

La ventilation des zones sanitaires et vestiaires sera réalisée en simple flux suivant plans techniques.
Installation conforme au § 6 du présent CCTP

Les caissons de marque VIM ou techniquement équivalent et seront composés avec :
▪ Caisson en tôle d’acier galvanisé.
▪ Agréé 400°C ½ Heure
▪ Couvercle démontable pour accès facilité au moteur
▪ Moto ventilateur double ouïe à action
▪ Bornier de raccordement en boîtier externe.
▪ Interrupteur tri-cadenassable IP 65
▪ Aspiration et refoulement en ligne
▪ Manchettes souples incombustible M0
▪ 1 dépressostat de type BDEZ de marque VIM ou techniquement équivalent
raccordé à une alarme visuelle
▪ Manchette étanche type F2A
Ces caissons seront suspendus au plafond ou en toiture afin de pouvoir être accessibles.
Le raccordement électrique est dû au présent lot depuis sortie de câble prévue par le lot électricité.
Caractéristiques (à valider au moment de l’exécution) :
Débit
Désignation extraction SFP max
en m3/h
VMC bureaux 130 0.3
VMC local déchets 90
VMC vestiaire 210
VMC sanitaires 255
VMC extraction armoire
600
réserve et office
3.26. TRAITEMENT D’AIR CUISINE

Les travaux à réaliser comprennent essentiellement la fourniture et la mise en œuvre complète en ordre de
fonctionnement, des installations suivantes :
- Extraction laverie comprenant caisson et réseau de gaine ;
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- Extraction hotte office comprenant et réseau de gaine ;
- Caisson de compensation laverie avec batterie eau chaude et régulation, et réseau de gaine ;
- Caisson de compensation office avec batterie eau chaude et régulation, et réseau de gaine ;
L’entreprise titulaire réalisera un autocontrôle de l’ensemble de l’installation, validant la conformité et le bon

fonctionnement des ouvrages.
Pour ce faire, la fourniture d’un rapport d’autocontrôle est indispensable dans lequel figurera la traçabilité des
différents points vérifiés.
Le débit global d'extraction sera calculé suivant la norme VDI 2052 en appliquant un coefficient de simultanéité de
0,8.
Limites de prestation avec lot cuisine
- Le lot équipements de restauration & cloisonnements isothermes aura à sa charge la fourniture et la pose des
hottes de ventilation. Il se raccordera sur les gaines laissées en attente au droit de celles-ci par le lot ventilation
(nombre et diamètre suivant demande du lot équipements de restauration).
- En phase de préparation de chantier ce lot aura à charge d’identifier les débits exacts de ses hottes et
équipements.
- Le lot ventilation prévoira une régulation des hottes à deux vitesses par commande manuelle dans chaque local
en disposant : GV=100% d’extraction ; PV=50% d’extraction (voir tableau en fin de document). Cette régulation devra
prévoir un arrêt différé de la ventilation (environ 30mn) afin de pouvoir ventiler les locaux pendant la phase de
nettoyage de ceux-ci.
- Le lot équipements de restauration & cloisonnements isothermes prévoira la finition entre le dessus de la hotte et
le faux plafond, ainsi que la protection murale derrière les appareils de cuisson.
- Tous les locaux devront bénéficier d’un minimum d’extraction mécanique. (y compris les réserves et les locaux
rafraîchis).
3.26.1. CAISSONS DE COMPENSATION
La compensation de l’air neuf sera réalisée par une centrale simple flux compacte de type KSCR ECOWATT. L’unité
sera de construction autoportante, avec panneaux double peau de 50 mm isolés par de la laine de roche et équipée
de pieds. L’unité pourra s’installer au sol ou se fixer au plafond.
Les panneaux seront fabriqués en acier galvanisé assurant une bonne tenue à la corrosion.
Un couvercle d’accès supérieur permettra l’accès à tous les composants.
Le raccordement des gaines se fera en ligne, avec servitudes à droite ou à gauche.
Les ventilateurs seront de type roue libre associés à des moteurs à commutation électronique (ECM), conformes à
l’ErP2015, autorisant un fonctionnement économique et silencieux dans une large plage de débit ajustable et de
pression disponible.
La centrale sera équipée d’une régulation montée / câblée située à l’intérieur de l’unité garantissant sa protection.
La régulation comprendra un automate CORRIGO spécifiquement adapté, ainsi que l’ensemble des sondes,
protections et vannes pour les batteries. Une commande tactile déportée devra permettre un accès simple et un
réglage rapide des principales fonctions. L’unité pourra fonctionner selon 3 modes possibles, débit constant (CAV),
débit variable (VAV) ou pression constante (COP), sélectionnables par une console tactile sur site, ou avec une
commande déportée Marche/Arrêt + variation.
La régulation sera communicante en Modbus RTU ou en BacNet/IP en standard.
Pour assurer un contrôle de température de soufflage, l’unité sera équipée soit d’une batterie à eau. La centrale est
prévue pour une installation intérieure ou extérieure.
Conformités / certifications…) règlementaires Produit (agréments

• Moto ventilateur type roue libre conforme à l’ErP 2015.
• Unité de ventilation conforme ErP UVNR – Moteur EC variable.
• Conformité CE.
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• Le constructeur est certifié ISO9001v2008, ISO 14001.
Construction
- Construction autoportante en panneaux double peau 50 mm.
- Isolation par laine minérale A1, densité 40 kg/m3, conductivité thermique 0.037 W/mK (20/80°C).
- Finitions intérieures et extérieures en acier galvanisé Z275.
- Modèles monobloc avec pieds supports acier galvanisé, ép. 3 mm, permettant la fixation de plots anti-vibratiles.
- Accès à l’ensemble des composants par un couvercle d’accès supérieur.
- Possibilité de remplacer facilement filtres, ventilateurs, connections débrochables (tailles 18 à 38).
- Raccordement par piquages rectangulaires ou circulaires.
- Raccordement des gaines en ligne.
Motorisation
- Ventilateur à réaction de type roue libre associé à un moteur à commutation électronique, moteur ECM.
- Moteur monophasé ou triphasé avec protection électronique intégrée :
• KSCR 08/18 : Mono 230V, 50/60Hz, IP44, classe B. pilotage par signal 0-10V ou GTC
• KSCR 28 : Mono 230V, 50/60Hz, IP 54, classe B, pilotage par signal 0-10V ou GTC.
• KSCR 38/52 : Tri 400V, 50/60Hz, IP 54, classe B, pilotage par signal 0-10V ou GTC.
Filtres
- Filtres livrés en standard : filtres miniplis M5 (ePM10 75%) sur l’introduction d’air neuf.
Batterie eau réversible

Protection antigel par sonde de contact.
- Batterie réversible.
- Construction :
• Tubes et collecteurs en cuivre, tubes de raccordements filetés.
• Ailettes en aluminium.
• Cadre en acier galvanisé.
- Vanne(s) fournie(s) 3 voies motorisées (24 V) proportionnelle par signal 0-10V.
Régulation CORRIGO intégrée

- Régulateur et bornier de raccordement totalement protégé monté à l’intérieur de l’unité dans un coffret IP65.
- Interrupteur général de proximité sur le coffret.
- Commande tactile déportée – active avec ou sans GTC.
- Sondes de températures air neuf et soufflage montées en standard.
- 3 modes de fonctionnement, débit constant, débit variable par signal externe 0-10V, pression constante.
- Pilotage possible par commande Marche/Arrêt + variation à distance.
- Horloge interne permettant la programmation horaire.
- Fonction BOOST et fonction ARRÊT par contacts externes.
- Régulation proportionnelle de batterie électrique.
- 3 possibilités de contrôle de température de soufflage :
• Soufflage à température constante.
• Température de reprise ou d’ambiance constante.
• Soufflage à température constante avec compensation en fonction de la température extérieure.
- Gestion du free cooling et du night cooling.
- Gestion des alarmes et des défauts.
- Régulation communicante ModBus RTU (RS485) ou BacNet IP en standard.
Accessoires
Il sera prévu par le présent lot les équipements suivants :
- Manchettes souples.
- Bride de raccordement lisse circulaire.
- Plots anti vibratiles.
- Sortie et prise d’air circulaire APC ou rectangulaire KSCR CH.
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- Registre motorisé circulaire REEV ou rectangulaire CDR, volet avec joint, étanchéité renforcée classe 4.
- CVF : commande déportée marche/arrêt + variation.
Débit
Localisation
(en m³/h)
Compensation laverie 1 350
Compensation office 2 070
Nota : il sera prévu des silencieux à baffles parallèle sur les ouïes de prises d’air et de soufflage des caissons
de compensations. Ils seront dimensionnés de manière à respecter les objectifs définis dans la note
acoustique.
3.26.2. CAISSONS D’EXTRACTION
Le caisson mis en place de marque VIM type KSTD ECOWATT®, est conçu pour la reprise d’air vicié. Il pourra être en
extérieur sans toiture supplémentaire aussi bien en montage horizontal que vertical.
Ce caisson de ventilation est équipé d’un moteur ECM à courant continu avec un très haut rendement. Le réglage
du signal de commande 0-10V conduira lorsque le débit est réduit, à une limitation de la consommation électrique
et à une réduction du niveau sonore.
Conformités règlementaires Produit (agréments / certifications…)

Conformité CE.
Construction
- Construction en tôle d’acier galvanisé (qualité Z275).
- Accès aisé au ventilateur et au filtre par le couvercle démontable.
- version :
o version DB : isolation renforcée 50 mm laine de roche sur 6 faces de classement M0.
- Accouplement direct.
- Configuration aspiration et refoulement en ligne.
- Piquages munis de joints classe d’étanchéité D.
Motorisation / Régulation
- Ventilateur double ouïe à action avec un niveau sonore particulièrement faible.
- Moteur ECM à courant continu, très haut rendement régulable :
o Taille 07 à 15 : moteur IP44, monophasé 230V 50-60 Hz, classe B.
o Taille 28 : moteur IP54, monophasé 230V 50-60 Hz, classe B.
o Taille 40 et 45 : moteur IP54, triphasé 400V 50-60 Hz, classe B.
- Potentiomètre de réglage du point de consigne situé dans l’interrupteur de proximité cadenassable.
- Interrupteur de proximité et dépressostat fixe réglé à 80 Pa montés câblés.
Pilotage
- Potentiomètre intégré à l’interrupteur de proximité.
- Potentiomètre déporté CVF.
Accessoires
- Manchettes souples M1.
- CVF contrôleur de vitesse pour moteur ECM
- Plots antivibratoires.
Débit
Localisation
(en m³/h)
Caisson extraction laverie 1 500
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Caisson extraction hotte office 2 000
3.27. RESEAUX DE VENTILATION

Règles de mise en œuvre conformes au § 6 du présent CCTP.
Nota : Les réseaux de gaines seront à joints système METU, VELODUCT ou similaire afin d'obtenir un réseau
de ventilation de classe B. Le présent lot prévoira l’ensemble des tests d’étanchéité (finaux et
intermédiaires).
Les conduits seront circulaires ou rectangulaires selon le cas et selon les hauteurs libres disponibles dans les
plénums.
Tous les diffuseurs de soufflage seront raccordés au réseau rigide avec un tronçon de 1 ml de conduit acoustique.
Ce conduit sera de type FDDGSL 25 de marque LINDAB ou équivalent.
Tous les diffuseurs de reprise seront raccordés au réseau rigide avec un tronçon de 1 ml de conduit acoustique.
Ce conduit sera de type FDDGSL 25 de marque LINDAB ou équivalent.
Il sera prévu :
- Les gaines rigides galva rectangulaire ou circulaire isolées pour les réseaux de soufflage et de reprise, posés dans
les faux plafonds y compris tés, coudes, réductions, suspensions par tiges filetés fourreaux et toutes sujétions,
- Les gaines rigides galva rectangulaire ou circulaire pour le réseau de rejet et d'air neuf y compris supports réseau
avec colliers, coudes raccords et toutes sujétions,
- Des registres étanches seront positionnés au niveau des gaines en contact avec l’extérieur de manière à éviter une
entrée d’air froid quand la centrale sera arrêtée.
- Une distance de 8 ml entre prise d’air neuf et rejet d’air vicié sera respectée conformément à la réglementation.
Les réseaux d’extraction et de soufflage qui chemineront en faux plafond seront isolés en et hors des locaux
chauffés. Hors volume chauffée : 50mm de laine minérale finition acier inox ; En volume chauffé : 25mm de
laine minérale finition feuille d’aluminium type KLIMABOARD. Les jonctions souples seront limitées à 1m
maximum.
Il sera prévu une étanchéité par bande butyl de toutes les jonctions de gaines aérauliques. Pour les
raccordements entre gaines flexibles et plénum de diffusion, il sera prévu de la même manière des jonctions
de haute qualité avec mastic + bande butyle type ILLBRUCK.
- Les gaines rigides galva circulaire pour le réseau d’extraction et de soufflage simple flux y compris supports réseau
avec colliers, coudes raccords et toutes sujétions,
- Raccordements des bouches d'extraction et de soufflage en conduit semi-rigide alu isophonique M0,
- Les accessoires isolés des réseaux de gaines, suspentes, fixations, coudes, tés, raccords et toutes sujétions.
3.28. SILENCIEUX
Selon plan et conformément au § 5 du présent CCTP.
Il sera prévu :
- Des silencieux circulaires ou rectangulaire avec raccordement à joint (pour les circulaires), isolation laine de roche
classement au feu M1 pour atténuation acoustique minimale de 12 dB(A) à 250 Hz (la longueur du piège à son sera
à déterminer en phase exécution en fonction du cahier des charges acoustiques du projet)
Localisation : réseaux de soufflage, reprise, prise air neuf et d'extraction CTA double flux, VMC, compensation
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3.29. DIFFUSION ET REPRISE D’AIR

Selon plan et conformément au § 5 du présent CCTP.
Les débits indiqués pour les diffuseurs de reprise et de soufflage sont donnés à titre indicatifs et doivent être validés
à l’exécution.
Le nombre de diffuseurs et de bouches sont spécifiés sur les plans mais doivent être validés à l’exécution pour
atteindre toutes les conditions de confort en particulier celles énoncées au §2.
La sélection des diffuseurs fera l’objet de sélection rigoureuse avec profil des veines d’air pour les équipements
stipulés au § 2.
3.29.1. GRILLES MURALES DE REPRISE
Les grilles seront de type AC 101, marque ALDES ou techniquement équivalent.

La reprise d’air se fera grâce à une grille murale simple déflexion avec des ailettes mobiles, réglables
individuellement, espacées de 20 mm. Les ailettes seront horizontales.
Elle sera en aluminium anodisé teinte naturelle satinée, ou tout autre RAL au choix de l’architecte.
Le produit sera muni d’un système de fixation par vis apparentes dans l’encadrement ou non apparent par clips à
friction (F3) ou par fermoirs (F5).
Le réglage du débit à la grille se fera via un registre SGS en acier galvanisé à mouvement contrarotatif ou un registre
AGB en aluminium brut avec vis de réglage incluse à mouvement contrarotatif.
Le raccordement au réseau circulaire se fera grâce au plénum en acier. Ce plénum sera être équipé d’une isolation
acoustique sur 2 faces.
3.29.2. GRILLES MURALES DE SOUFFLAGE
Les grilles seront de type AC 101 D, marque ALDES ou techniquement équivalent.

Le soufflage d’air se fera grâce à une grille murale double déflexion avec des ailettes mobiles, réglables
individuellement, espacées de 20 mm. Les ailettes seront verticales à l’arrière et horizontales à l’avant.
Elle sera en aluminium anodisé teinte naturelle satinée, ou tout autre RAL au choix de l’architecte.
Le produit sera muni d’un système de fixation par vis apparentes dans l’encadrement ou non apparent par clips à
friction (F3) ou par fermoirs (F5).
Le réglage du débit à la grille se fera via un registre SGS en acier galvanisé à mouvement contrarotatif ou un registre
AGB en aluminium brut avec vis de réglage incluse à mouvement contrarotatif.
Le raccordement au réseau circulaire se fera grâce au plénum en acier. Ce plénum sera être équipé d’une isolation
acoustique sur 2 faces.
3.29.3. DIFFUSEURS PLAFONNIERS 600X600
Le soufflage de l'air sera assuré par des diffuseurs plafonniers perforés adaptés aux faux plafonds type ALDES SC
360
▪ Diffuseur plafonnier 1 à 3 fentes adapté au débit variable 4
directions.
▪ Cadre extérieur en aluminium extrudé.
▪ Finition en RAL suivant architecte.
▪ Plénum et registre de réglage.
▪ Diffuseur s’intégrant dans les plafonds démontables.
Les diffuseurs seront raccordés au réseau rigide avec un tronçon de 1 ml de conduit acoustique. Ce conduit sera de
type gaine semi-rigide circulaire en aluminium micro-perforé isolé M0/M1.
NOTA : Lorsque le caisson est équipé d'un module de réglage, il faut respecter une distance de sécurité amont
d'un minimum de 3D, pour assurer la fiabilité de la mesure de débit.
Localisations : Suivant plans
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3.29.4. BOUCHE DE SOUFFLAGE ET REPRISE PETIT DEBIT
Pour les petits débits (inférieur à 150m3/h) il est fait usage de bouches de soufflage et de reprise type VIM BDOP y
compris plénum de raccordement
Un joint souple sera prévu à la périphérie du diffuseur, afin d'assurer l'étanchéité avec le faux plafond.
Calibre adapté au soufflage pour Nr 30.
3.29.5. GRILLE DE REPRISE A QUADRILLAGE FIXE
La reprise de l'air sera assurée par grille de reprise intégrable en faux-plafond type ALDES SC 369
La grille pourra être :
▪ Plénum de raccordement latéral en tôle d’acier galvanisé ou
plénum monté
▪ Dimensions : 600x600 spécial dalle de faux plafond
3.30. MODULE DE REGULATION

Il sera prévu sur les bouches de soufflages et de reprises des modules de régulations autoréglables type MR de chez
TROX ou techniquement équivalent.
- Les débits de sélection des modules de régulations seront réalisés en phase exécution.
- Il sera prévu au niveau de chaque module une signalétique indiquant le réglage effectué, posé sur la gaine.
Localisation : suivant cheminement réseaux aérauliques
3.31. ENTREES D’AIR

Dimensionnement conforme au §2 et pose conforme au § 5 du présent CCTP et aux limites de prestations entre lots.
Sur façades à 30 et 31 dB(A) : les entrées d’air devront avoir un isolement acoustique normalisé [Dn,e,w + Ctr] ≥ 37
dB pour une entrée d’air dans une pièce.
Sur façades à 33 et 34 dB(A) : les entrées d’air devront avoir un isolement acoustique normalisé [Dn,e,w + Ctr] ≥ 39
dB pour une entrée d’air dans une pièce.
Les entrées d’air seront de type auto-réglables acoustiques calibrées d’usine et répondant à la NRA.
Les caractéristiques aérauliques et acoustiques seront conformes aux normes NFP 50.402 et NFE 51.732.
Les régulateurs devront être facilement démontables pour permettre le nettoyage.
Toutes les entrées d'air seront incorporées soit dans les menuiseries, soit dans le coffre de volets roulants. La
fourniture et la détermination des modules et leur position est à la charge du présent lot. La pose sera effectuée par
le lot menuiseries extérieures.
Elles seront de marque VIM ou ANJOS avec la mise en place de silencieux haut de fenêtre de marque ANJOS type
SHF associé avec une bouche.
Localisation : bureaux
3.32. SORTIES TOITURE

Fourniture et pose de sorties, compris toutes sujétions de pose et étanchéité parfaite composée avec :
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▪ Chapeau pare pluie en aluminium peint couleur à valider par MOA avec grille de protection anti-volatile en
acier galvanisé
▪ Plaque support
▪ Fût de raccordement de conduit circulaire
▪ Perte de charge Maxi au débit nominal : 10 Pa
3.33. SECURITE INCENDIE – CLAPETS COUPE FEU

Conformément à la règlementation en vigueur, des dispositifs coupe-feu seront prévus pour toutes les traversées
et jonctions de parois coupe-feu.
Ils doivent restituer le degré de résistance au feu de l’élément de construction traversé.
Il sera prévu sur les réseaux de gaines en traversé de parois coupe-feu et des planchers horizontales des clapets
coupe-feu type :
- Clapet CF avec mécanisme évolutif conforme NF S 61 937 5, marque CE, équipé de fusible 70°C et de contact de
position début et fin de course.
Moteur de réarmement manuel, fixation, scellement, rebouchage et toutes sujétions
Pour les locaux à risque moyens suivant notice de sécurité, mise en place de clapet coupe-feu 1 heure à la traversée
de paroi horizontale et de bouches coupe-feu pour les locaux à risques.
CCF autocommandé
Pour assurer la continuité coupe-feu des parois traversées, il sera installé suivant la réglementation en vigueur, des
clapets coupe-feu titulaires de P.V. d'essais de laboratoires agréés et conformes à la norme NFS. 61.937 concernant
le DAS.
Ils seront constitués de volet et tunnel en matériau réfractaire exempt d'amiante de marque VIM ou FRANCE-AIR. Ils
seront actionnés par un dispositif de déclenchement thermique à 70 °C ou déclenchement par bobine à émission
avec un mécanisme autocommandé évolutif MMAG de VIM ou équivalent.
Ils seront mis en œuvre par le présent lot qui s'assurera de l'accessibilité pour les travaux de vérification et les
actions de réarmement, notamment dans les passages où les conduits reçoivent une protection coupe-feu. Ils
disposeront de contacts secs afin de relier leurs positions ouverte ou fermée sur un tableau de report.
Localisation : au niveau des traversées de parois CF
3.34. ALIMENTATION D’EAU

Conformes au § 2. du présent CCTP
L’Alimentation en eau de la zone projet sera assurée par le présent lot avec les équipements suivants :
▪ 1 compteur à eau froide classe C et manchette de remplacement,
▪ 1 filtre à tamis de type Y 222 P,
▪ 2 vannes d'arrêt 1/4 de tour,
▪ 1 réducteur de pression,
▪ 1 clapet de non-retour type EA.
3.35. DISTRIBUTION EAU FROIDE / ADOUCIE / EAU CHAUDE SANITAIRE / BOUCLAGE

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Conformes au § 2 et 5 du présent CCTP

A l’intérieur du bâtiment, les réseaux eau froide chemineront soit en plafond, en plinthe selon cas.
Toutes les canalisations principales cheminant en aérien seront en tubes multicouches de type GEBERIT
MEPLA ou équivalent.
Descriptif MEPLA : Système de tubes multicouches et raccords en matière de synthèse, laiton ou bronze. Pour
sertissage direct du tube sur le raccord, conçu pour les installations d’alimentation en fluides telles que décrites
dans l’avis technique du CSTB et le référentiel NF 545.
Le tube composite Geberit Mepla est composé d’un tube intérieur en PE-RT, de deux couches adhésives, d’un noyau
en aluminium soudé bout à bout sur toute sa longueur, et d’une protection extérieure en PE-RT noire. Le système
comprend les diamètres 16, 20, 26, 32, 40, 50, 63 et 75 mm.
Matériel disposant de l’ACS (Attestation de conformité sanitaire).
Le système est sous avis technique CSTB n°14.1/12-1747_V2 et dispose de la marque NF (NF 545).
Caractéristiques des canalisations
Mise en œuvre des canalisations
La nature des supports et fixations sera fonction, d'une part, des canalisations et, d'autre part, du local traversé.
Dans les gaines verticales
* Colliers à deux boulons galvanisés ou colliers démontables chromatés avec matériau résilient
Dans les parcours apparents
* Colliers démontables chromatés avec interposition d'un matériau résilient et fixation par chevilles expansives
* L'espacement des supports sera conforme aux Normes de telle manière qu'il ne soit constaté‚ aucune flèche entre
deux supports consécutifs
* Afin d'éviter la transmission des bruits et vibrations par l'intermédiaire des canalisations des colliers de fixation
des canalisations seront munis de bagues isolantes en caoutchouc du genre SACATEL, COLOPOL ou 110 SIMU ou
équivalent techniquement.
* Les traversées de planchers, murs se feront sous fourreaux en saillie de 2cm de part et d'autre des parois.
* Ces fourreaux en P.V.C. ou similaire seront dimensionnés de telle sorte qu'il y ait un espace de 5mm environ entre
tuyau et fourreau. L'étanchéité de cet espace sera obtenue par bourrage sur toute l'épaisseur du plancher ou du
mur par un mastic type PERENNATOR TX.2001 ou équivalent.
* Lorsque le tracé de la tuyauterie ne permet pas le rattrapage des dilatations, celles-ci devront être compensées
par des lyres de dilatation, de préférence à tout autre dispositif.
Localisation : suivant cheminement plans techniques
3.36. MITIGEAGE DE L’EAU CHAUDE PAR MITIGEUR THERMOSTATIQUE

Il sera prévu sur le départ ECS un mitigeur électronique à désinfection thermique
programmable avec contact auxiliaire pour gestion de la désinfection de marque
CALEFFI ou similaire et techniquement équivalent type 6000 avec régulateur
numérique type LEGIOMIX type 6001
L'eau chaude sera produite à 65°C. Chaque point de puisage sera pourvu d'un
mélange pour satisfaire à des températures de soutirage de 50°C.
Les robinetteries seront équipées de limiteur de température.
Pour la cuisine, la distribution sera mitigée pour un départ à 50°C.
Localisation : local technique
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3.37. CALORIFUGE
L’épaisseur de l’isolant sera déterminée en fonction du diamètre de la canalisation de façon afin de respecter
une perte minimale. L’isolant sera de classe 4 en volume non chauffé et chauffés.
soudures, les raccords se font après mise en place de l'isolant. Les calorifuges apparents dans les locaux seront
revêtu d’un film PVC blanc.
3.38. RINCAGE DES INSTALLATIONS

Conformément à l'article 20 du Règlement Sanitaire Départemental, la totalité‚ des réseaux devra faire l'objet d'un
rinçage méthodique et d'une désinfection réalisée par injection de permanganate de potassium à raison de 150
grammes par mètre cube. Les canalisations devront rester en contact avec cette solution pendant 48h00 et le
rinçage sera effectué‚ pendant 24h 00.
Un procès-verbal, établi par l'Entreprise, sera fourni au Maître d'Œuvre en fin de chantier ainsi qu'une analyse de
l'eau faite par un Laboratoire agrée.
3.39. APPAREILS SANITAIRES

Fourniture et pose de tous les appareils sanitaires définis ci-après repérés sur les plans, y compris toutes sujétions
de pose (fixations, renforts de cloisons, joint silicone, siphon, bondes...). La couleur est au choix de l’Architecte.
Les renforts pour fixation des W-C. et lavabos sont à la charge de l'entreprise, à placer en coordination avec le lot
Cloisons et adaptés au type de cloisonnement mis en œuvre.
Ils seront équipés de robinetterie NF 1A ou NF 1B et de classe E.A.U. comme ci-après.
Classement E1 A2 U3 pour les robinets des lavabos, douches.
Le matériel sera de marque JACOB DELAFON ou équivalent pour les appareils, PRESTO ou similaire pour les
robinetteries à poussoir, HANS GROHE ou équivalent pour les robinetteries mélangeuses et mitigeuses.
3.39.1. DESCRIPTION DES APPAREILS SANITAIRES
3.39.1.1. WC SUSPENDU
WC suspendu en porcelaine vitrifiée de marque GEBERIT ou équivalent, modèle RENOVA CONFORT RIMFREE,
cuvette rallongée conforme aux normes PMR, avec abattant démontable :
▪ Bâti support de marque GEBERIT ou équivalent, du type DUOFIX autoportant renforcé comprenant :
o Réservoir à encastrer, capacité 7.5 litres réglé à 6 litres en usine,
o Bâti support métallique avec tiges filetées pour fixation cuvette,
o Manchette de raccordement et coude d’évacuation PEHD,
o Pieds réglables.
o Plaque de déclenchement frontale.
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3.39.1.2. WC AU SOL PMR

Pack WC surélevé caréné prêt à poser. Cuvette au sol NF en porcelaine vitrifiée. Hauteur d'assise 45 cm conforme à
la loi Accessibilité du 11/02/2005. Sortie horizontale. Fixations au sol fournies. Bride ouverte. Avec trous d'abattant.
Plage arrière surélevée anti-infiltration. Réservoir NF double touche économie d'eau 3/6 L réversible. Mécanisme
Pocher NF complet livré monté, réglé d'usine à bouton poussoir affleurant réglable en hauteur. Robinet flotteur
silencieux Groupe I. Robinet d'arrêt 1/4 tour chromé NF fourni. Abattant compris. L70xl36xH45 cm.
3.39.1.1. WC ENFANTS
Fourniture, mise en place et raccordement de Cuvettes Maternelle fixée au sol avec alimentation indépendante de
Marque PORCHER, Modèle CUVETTE INDEPENDANTE MATERNELLE (réf. P256401) ou équivalent, y compris
équipements, accessoires de pose et toutes sujétions de mise en œuvre et de raccordement. Il devra répondre aux
prescriptions suivantes :
▪ Caractéristiques : Cuvette en céramique blanche fonctionnement 4,5 litres Hauteur assise : 30cm
▪ Réservoir : Tubchass baby de chez CLARA ou équivalent, axe commande à 950 mm du sol
▪ Accessoires : sans objet
3.39.1.2. LAVABO
Lavabo de marque GEBERIT de type RENOVA CONFORT, conforme PMR, ou équivalent compris toutes sujétions de
renfort de cloisons si installation suspendue.
Robinetterie type Tempomix 3 de marque DELABIE ou similaire.
Siphon chromé
3.39.1.3. AUGES SANITAIRES COLLECTIFS

Lavabo Collectif type Onovo de chez VILLEROY & BOCH ; en porcelaine sanitaire; Dimensions: 1000 x 205 x 415 mm;
Pour installation sur consoles, Fixation par profilés en fer, y compris siphon chromé et toutes sujétions.
Les auges pourront être positionnées à l’intérieur ou à l’extérieur (suivant plans architecte)
2 Mitigeurs muraux par auge type Temposoft2 Chromé de marque DELABIE ou similaire ref 741500. (Compris
mitigeur Delabie Premix compact ou similaire pour les auges intérieures ; les auges extérieures seront alimentées
en eau froide uniquement).
3.39.1.4. VIDOIR
Déversoir de type Onovo de chez VILLEROY & BOCH ; En porcelaine sanitaire ; Dimensions : 450 x 400 x350 mm; avec
insertas ; sans trop-plein; Fixation par 2 boulons M10 x120 mm y compris siphon et toutes sujétion.
1 Mitigeurs mural par vidoir marque DELABIE ou similaire ref 2519S
3.39.1.5. MIROIRS POUR CHAQUE LAVABO

Miroirs à bords ronds à fixations cachées incassable :
- Dimensions : 100*120cm pour les lavabos
3.39.1.6. DISTRIBUTEUR DE PAPIER HYGIENIQUE

Distributeur de papier hygiénique double rouleaux DELABIE ou techniquement équivalent. Distributeur de papier
hygiénique feuille à feuille et rouleaux
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Caractéristiques :
▪ Modèle anti-vandalisme
▪ 1 rouleau en réserve
▪ Avec serrure et clé standard
▪ Contrôle de niveau
▪ Finition au choix de l’architecte
3.39.1.7. DISTRIBUTEUR DE SAVON LIQUIDE

Distributeur de savon liquide mural à déclenchement souple.
▪ Modèle antivandalisme avec serrure et clé standard DELABIE ou équivalent.
▪ Capot articulé monobloc pour un entretien facile et une meilleure hygiène.
▪ Bouton poussoir à déclenchement souple.
▪ Antiblocage : une seule dose par appui même en cas d’appui prolongé.
▪ Pompe doseuse antigaspillage, antigoutte (étanche à l’eau).
▪ Réservoir avec une large ouverture : facilite le remplissage par des bidons à forte contenance.
▪ Réservoir empêchant la stagnation permanente de savon.
▪ Fenêtre de contrôle de niveau.
▪ Finition Inox 304 poli brillant.
▪ Épaisseur Inox : 1 mm.
▪ Contenance : 1 litre.
3.39.1.8. SIEGE DE DOUCHE

Siège de douche rabattable Grand Confort
Réf. 510420S
Siège de douche rabattable Grand Confort HR.
Siège mural rabattable à fixer.
Siège de douche pour handicapé, personne à mobilité réduite (PMR).
Modèle large.
Traitement antibactérien de l'assise : protection optimale contre le développement bactérien et les moisissures.
Retenue en position verticale. Descente freinée.
Adapté à un usage intensif en collectivité ou milieu hospitalier.
Assise pleine déclipsable réalisée en polymère haute résistance.
Surface uniforme, non poreuse facilitant l’entretien et l’hygiène.
Bonne résistance aux produits chimiques et de nettoyage.
Traitement anti-UV.
Agréable et chaud au toucher.
Structure en tube inox 304 bactériostatique Ø 32.
Finition inox poli satiné UltraSatin.
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Fixations invisibles par platine inox 304, de 4 mm d'épaisseur.

Livré avec vis inox pour mur béton.
Dimensions : 506 x 420 x 138 mm.
Encombrement replié : 95 x 540 mm.
Testé à plus de 200 kg : maximum utilisateur recommandé : 135 kg.
Garantie 10 ans. Marqué CE.
Localisation :
Douche PMR selon plan architecte
3.39.1.9. BARRE D’APPUI DROITE

Barre d'appui droite Inox brillant, 500 mm Ø 32
Réf. 50505P2
Barre de maintien droite pour personne à mobilité réduite (PMR).
Tube Ø 32, entraxe 500 mm.
Utilisation comme barre d'appui, de maintien ou de relèvement pour WC, douche ou baignoire.
Peut recevoir un siège de douche à accrocher (à commander séparément).
Barre d'appui droite en inox 304 bactériostatique.
Finition inox poli brillant UltraPolish, surface sans porosité et homogène facilitant l’entretien et l’hygiène.
Assemblage de la platine au tube par un cordon de soudure sécurité invisible (procédé exclusif “ArN-Securit”).
Écartement entre la barre et le mur de 40 mm : encombrement minimum interdisant le passage de l’avant-bras afin
d’éviter les risques de fractures lors d’une chute.
Fixations invisibles par platine 3 trous, inox 304, Ø 72.
Platines et caches en inox 304.
Livrée avec vis inox pour mur béton.
Testée à plus de 250 kg. Maximum utilisateur recommandé : 170 kg.
Barre garantie 10 ans, marquée CE.
Localisation :
Douche PMR selon plan architecte
3.39.1.10. BARRE DE MAINTIEN COUDEE

Barre d'appui coudée à 135° Ø 32, pour PMR.
Utilisation comme barre d’appui (partie horizontale) ou de relèvement (partie à 135°) pour WC, douche ou baignoire.
Utilisation indifféremment à gauche comme à droite.
Dimensions : 220 x 220 mm.
Tube Inox 304 bactériostatique.
Finition Inox poli satiné UltraSatin, surface sans porosité et homogène facilitant l’entretien et l’hygiène.
Assemblage de la platine au tube par un cordon de soudure sécurité invisible (procédé exclusif “ArN-Securit”).
Ecartement entre la barre et le mur de 40 mm : Encombrement minimum interdisant le passage de l’avant-bras afin
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d’éviter les risques de fractures lors d’une chute.

Fixations invisibles par platine 3 trous, Inox 304, Ø 72.
Platine avec protection : préserve le revêtement mural et corrige ses imperfections.
Livrée avec vis Inox pour mur béton.
Testée à plus de 200 kg. Maximum utilisateur recommandé : 135 kg.
Barre garantie 10 ans. Marquage CE.
Marque DELABIE type Barre d'appui coudée 135°, Ø 32, 220 x 220 mm, réf. 5083S ou équivalent approuvé.
Localisation :
WC PMR selon plan architecte
3.39.1.11. DISTRIBUTEUR D’ESSUIE MAINS

Distributeur mural d'essuie-mains, pour 750 formats
Réf. 6602
Distributeur mural d’essuie-mains.
Avec serrure et clé standard DELABIE.
Contrôle de niveau.
Contenance 750 formats.
Épaisseur métal : 1 mm.
Finition époxy blanc.
Possibilité de commander séparément un paquet de 180 essuie-mains enchevêtrés (réf. 6606).
Dimensions des essuie-mains : format ouvert 230 x 250 mm, format fermé 115 x 250 mm.
Garantie 10 ans.
Localisation :
Lavabos adultes / enfants selon plan architecte
3.39.1.12. POUBELLE MURALE INOX

Poubelle murale Inox 304, 38 litres
Réf. 510463P
Poubelle réceptacle murale rectangulaire pour essuie-mains et papiers usagés.
Modèle fort.
Contenance : 38 litres.
Finition Inox 304 bactériostatique poli brillant.
Épaisseur Inox : 1 mm.
Garantie 10 ans.
Localisation :
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Lavabos adultes / enfants selon plan architecte
3.39.1.13. PICTOGRAMMES
Mise en place de pictogrammes réglementaires à l’approbation du Maître d’œuvre aux endroits suivants :
• Sanitaires collectifs femmes
• Sanitaires collectifs hommes
• Sanitaires Handicapés
• Douche
3.39.1.1. SIPHON DE SOL

Il sera prévu un siphon de sol en inox 100 x100 mm avec prise de terre, hauteur 35 mm, sortie verticale diamètre 40
mm, écoulement 0.25 l/s env., garde d'eau 15 mm, rosette libre résistant à une charge répartie de 1.3 kN
Localisation : local PAC
3.39.2. ATTENTES EAU FROIDE / EAU CHAUDE SPECIFIQUES
3.39.2.1. CUISINE
Il sera prévu des attentes spécifiques eau chaude/eau froide suivant besoins du lot cuisine comprenant des vannes
d'isolement 1/4 de tour à boisseau sphérique 15/21 à 20/27 avec boîte d'encastrement avec plaque de finition inox
et raccord au choix du cuisiniste en attente matériel encastré au mur ou au sol (confère tableau de besoins lot
cuisine).
Limite de prestations (en complément du CCTP 00)

Il sera prévu par le lot plomberie, les équipements et alimentations suivantes :
- Alimentation générale en faux plafond : descente au point d’attente en encastré dans les cloisons ; les réseaux
devront être décalés des murs extérieurs d’au moins 30cm afin de permettre une pose parfaite des cloisons
isothermes.
- Pression d’alimentation 2,5bars minimum ; 3,5bars maximum.
- Les clapets anti retour sur chaque équipement de cuisine. Clapet 100% inox
- Mise en place d’un système de fixation de ses attentes sur les cloisons isothermes (voir photo) ou
sur les murs béton : le bon maintien de la robinetterie du lot cuisine repose essentiellement sur la
solidité de ces attentes.
- Les vannes d’arrêt au départ de chaque descente en faux plafond, (identifiées en sous face de
plafond par des étiquettes dylophane).
- Le TH des réseaux d’alimentation EF et EC (après adoucisseurs terminaux) sera défini par le cuisiniste.
3.39.2.2. PLATINES D’ETANCHEITE

Dans le cas de sol étanché, il sera prévu par le présent lot, la mise en place de
platines inversées afin d’éviter les plots rendant très difficile les opérations de
nettoyage et de désinfection.
Les platines seront fournis et posés par le présent lot. Une synthèse sera faite avec
le lot sols et gros œuvre.
Localisation : au droit de chaque remontée et évacuation dans la cuisine
3.39.2.3. LOCAL POUBELLES
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Mise en place d’un robinet à tournant sphérique avec poignée rouge ¼ de tour de diamètre 15x21 (filetage de sortie
20x27) avec embout porte-caoutchouc de type R621 et disconnecteur d’extrémité type R 622 de chez Giacomini ou
équivalent.
Hauteur d’implantation : 0,80 m
3.39.2.4. ROBINET DE PUISAGE

Mise en place de robinet à tournant sphérique avec poignée rouge ¼ de tour de diamètre 15x21 (filetage de sortie
20x27) avec embout porte-caoutchouc de type R621 et disconnecteur d’extrémité type R 622 de chez Giacomini ou
équivalent.
Le robinet du dégagement atelier audiovisuel aura une vanne intérieure pour la mise hors gel
3.39.2.5. ATTENTE EAU FROIDE MACHINE A BOISSON

L’entrepreneur aura à sa charge la réalisation d’une alimentation d’eau froide en diamètre 12/14 pour chaque
machine à boisson repérée sur les plans.
Une vanne type BS avec un clapet anti-pollution taraudé seront placés au niveau de l’attente de la machine ;
Il sera prévu sur l’arrivée eau froide une cartouche jetable ultrafiltration 0.02 microns
Localisation : salle à manger
3.39.2.6. ATTENTES CUISINE

Les attentes pour les appareils cuisine devront être mises en place conformément au chapitre 5 du présent CCTP
avec les équipements suivants :
• Vanne à boisseau sphérique conforme à la directive PCD 97/23/CE
• Clapet de non-retour type SOCLA EB 281 sur toutes les attentes
Toutes les attentes demandées par le lot cuisine seront dues par le présent lot y compris toutes sujétions (cf. tableau
des besoins cuisine).
Localisation : suivant plans cuisiniste
3.40. ADOUCISSEUR EAU FROIDE

Il sera prévu par le présent lot, un adoucisseur EF nécessaire pour l’alimentation en froide adoucie des équipements
de cuisine et la production ECS. Cet adoucisseur fonctionnera sur un titre hydrotimétrique à définir par le lot cuisine.
Il sera de marque Kinetico ou équivalent. Se reporter au CCTP cuisiniste pour les besoins précis en eau froide
adoucie des équipements de cuisine.
3.41. MAINTIEN EN TEMPERATURE- CIRCULATEUR BOUCLAGE PRIMAIRE

Il sera prévu par le présent lot une pompe de bouclage ECS. Elle sera de type GRUNDFOS MAGNA 3N ou similaire.
Elle devra faire l’objet d’une certification ACS.
Les pertes de charges et le bon fonctionnement de la pompe seront vérifiés par l’entreprise.
Il sera prévu par le présent lot sur chaque réseau de bouclage sanitaire les équipements suivant schéma de
principe crées en sous-station dans le cadre du projet :
• Des vannes d'isolement ¼ de tour permettant le démontage aisé des accessoires (pompes,…)
• Une vanne d’équilibrage « 4 fonctions » sur le retour
• Des thermomètres type WIKA A52-160 Ø160 0-80°C seront mis en œuvre sur les départs et les retours débit suivant
études d'exécution.
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• Des clapets anti-retour de qualité à faible perte de charge, 100% inox

3.42. EQUILIBRAGE RESEAU ECS
Le réseau de bouclage sera équipé de vanne d’équilibrage de débit avec visualisation directe avec calorifugeage
préformé du fabricant ; Dérivation à fermeture automatique, parallèle au débit principal, avec élément de mesure
et d’affichage, élément de mesure avec flotteur et ressort antagoniste. Valeur de mesure lisible sur voyant, sans
avoir à utiliser de tableaux, diagrammes et appareils de mesure. Faible perte de charge. Il sera de marque Caleffi
série 132 ou techniquement équivalent
• Temp. de service maxi. : TMS 100 °C
• Pression de service maxi. : PMS 10 bars
• Précision de mesure
• Plage de mesure de 20 à 80 % = +/- 5 % de la valeur affichée
• Plage de mesure de < 20 à > 80 % = +/-10 % de la valeur affichée.
• Valeur kVS et plage de mesure selon tableau «Gamme des modèles».
• Matériau:
o Corps : laiton
o Pièces interne : acier inoxydable, laiton et matière plastique
o Voyant : matière plastique résistante à la chaleur et aux chocs
o Joints : EPDM
Sur chaque retour de bouclage il sera prévu un débitmètre sectoriel type MF200E
(2 retours de bouclage : cuisine + du reste bâtiment)
Sur les différentes dérivations des réseaux, il sera prévu par le présent lot, des vannes
d’équilibrages suivant plans techniques de marque GRK Net ou techniquement équivalent, de
section adaptée, permettant une rotation de la poignée permettant de réduire le risque
d’encrassement de la vanne.
Localisation : Local technique , suivant cheminement réseaux
3.43. EVACUATION EAUX USEES – EAUX VANNES- EAUX GRASSES

Mise en œuvre conforme aux § 2 et 6 du présent CCTP
Les évacuations des eaux grasses seront en tubes fonte SMU HB
Les évacuations des eaux usées/vannes se feront en tube PVC NF Me.
Le présent lot devra les réseaux aériens, en vide sanitaire et enterrés, ainsi que le raccordement aux regards laissés
en attente par le lot VRD y compris pièces de raccordement.
Il sera prévu :
- Le raccordement des appareils sanitaires aux réseaux d’évacuations y compris tés coudes et toutes sujétions,
- Les collecteurs EU/EV seront en tube PVC Me NF ou fonte (suivant le cas), y compris raccordement des ventilations
primaires, rebouchages étanches, tampon de raccordement, tés de dégorgement, culottes, coudes, fixations et
toutes sujétions
- Les collecteurs EU/EV sous dallage seront en tube PVC Me NF ou fonte (suivant le cas) y compris lit de sable,
remblais, raccordements sur regards dus au lot VRD.
- Les regards de tringlage maçonnés 60x60cm à poser en collaboration avec le lot GO.
Le présent lot devra le raccordement des appareils sanitaires, y compris toutes sujétions sur les attentes en sol.
Réseaux enterrés ou VS
Les canalisations enterrées dans et hors l’emprise du bâtiment (suivant plans techniques), seront posées sous
fourreau sur un lit de sable dû par le présent lot dans une fouille réalisée par le lot Gros œuvre.
Les canalisations seront, ensuite, recouvertes de sabline due par le présent lot avant remblaiement par du tout-
venant par le lot Gros Œuvre.
L’entreprise adjudicataire devra le passage à la caméra de tous les réseaux enterrés, avec remise d’un rapport
d’inspection à la Maîtrise d’œuvre.
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Le présent lot devra la mise en eau des réseaux sous dallage avant la réalisation de la dalle afin de prévenir tout
risque de fuite.
Pour la cuisine, il sera prévu :

- Toutes les vidanges des appareils se feront sur caniveaux de sol, sauf : lave-mains, fontaines réfrigérées,
condensats chambres froides, …
- Pour ces derniers, les vidanges se feront en encastré dans les cloisons.
- Les caniveaux inox seront à charge (en fourniture) du lot équipements de restauration ; en pose au lot revêtement
de sol.
- Pour les caniveaux de sol, les canalisations seront de Ø100 avec un fil d’eau réalisé à -400mm minimum sous le sol
fini.
- Les manchons de raccordement entre les siphons du lot cuisine et les attentes du réseau d’eaux grasses seront
fournis par le présent lot.
Localisation : zone cuisine
d) Attentes EU
Les attentes EU des équipements de cuisine seront conformes aux besoins du cuisiniste. Se référer au CCTP
cuisiniste.
L'évacuation des condensats des équipements sera réalisée en tube PVC rigide de Ø 32x40 du au présent lot.
Le raccordement depuis les équipements sur l’attente EU sera fait par le présent lot
Les réseaux d’évacuations auront une pente suffisante (2cm/m)
3.44. EVACUATION EAUX PLUVIALES

L’ensemble des réseaux d’eau pluviales de la toiture terrasse (passant à l’intérieur du bâtiment) sera à la charge du
présent lot.
Les réseaux EP chemineront en verticale dans les gaines techniques et en vide sanitaire ou sous dallage.
Le présent lot devra le raccordement des réseaux jusqu’au regard en attente laissé par le lot VRD.
Les évacuations des eaux pluviales se feront en tube PVC NF Me.
Les collecteurs EP sous dallage seront en tube PVC Me NF y compris lit de sable, remblais, raccordements sur regards
dus au lot VRD.
a) Réseaux enterrés ou VS
Les canalisations enterrées dans et hors de l’emprise du bâtiment (suivant plans techniques), seront posées sous
fourreau sur un lit de sable dû par le présent lot dans une fouille réalisée par le lot Gros œuvre.
Les canalisations seront, ensuite, recouvertes de sabline due par le présent lot avant remblaiement par du tout-
venant par le lot Gros Œuvre.
L’entreprise adjudicataire devra le passage à la caméra de tous les réseaux enterrés ou en VS, avec remise
d’un rapport d’inspection à la Maîtrise d’œuvre.
Le présent lot devra la mise en eau des réseaux sous dallage avant la réalisation de la dalle afin de prévenir tout
risque de fuite
Localisation : suivant cheminement plans techniques
3.45. CANIVEAUX EXTERIEURS

La prestation comprendra :
▪ La fourniture et pose de caniveau préfabriqué en béton polyester ACO DRAIN S150 ou équivalent, conforme à la
norme NF EN1433. Caniveau de largeur intérieure 25 cm équipé de feuillures surmoulées fonte de 5 mm
d’épaisseur. Les grilles seront en fonte ductile de classe C250 encastrées dans les feuillures, verrouillées par 8
boulons au ml. Les caniveaux intégreront une pente et seront aux normes handicapées.
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▪ Toutes les sujétions de système d’ancrage de la grille avec possibilité de démontage et toutes sujétions de
raccordement et pièces spéciales.
3.46. BAC A GRAISSES

La prestation comprend :
▪ Le dimensionnement du séparateur à graisse et à fécules pour 300 repas par jour, 4 jours /7 durant l’année
scolaire, (taille 5 minimum) de type OLEOPUR de ACO ou techniquement équivalent
▪ Le terrassement pour l’installation du séparateur et la mise en décharge des déblais
▪ La création d’une dalle béton pour support et ancrage du séparateur à graisses.
▪ La fourniture et la pose d’un séparateur à graisse et à fécules en résine de fibre polyester ou polyéthylène
▪ Ventilation des odeurs / Extraction des gaz : sur bac et regard aval
• Évent sur la cuve des graisses
• Canalisation d’extraction de Ø100mm sur le regard aval si étanche (ou sur la canalisation entre le bac et
le regard aval) remontant via le local PAC jusqu’au toit avec extracteur statique de type ASTATO ou
éolien.
L’entreprise pourra proposer d’autres dispositions techniques et devra obtenir leur validation par le maitre
d’œuvre avant leur mise en œuvre. La fourniture et mise en place d’un dispositif de ventilation reste
impérativement une obligation de l’entreprise.
▪ Dispositif d’alarme pour la vidange des graisses.
• Le capteur informe que l’épaisseur maximale de la couche de graisse est atteinte.
▪ La couverture en fonte et son cadre béton, étanche et verrouillé, l’anneau préfabriqué de répartition des charges
en béton armé reposant sur le remblai compacté (GNT assise du complexe de chaussée de la cour de services),
l’anneau de réduction en béton, la réhausse en PE le cas échéant
▪ L’orifice de ventilation sur la canalisation d’arrivée des effluents dans le bac (ventilation interne au bac de la
conduite dans le bac).
• Système de couverture pour bac visitable avec ouverture direct sur cuve à graisses.
• La mise en place de 2 regards de visite, tampon fonte D600,
• La fourniture et mise en œuvre de sable pour lit de pose, calage et enrobage.
• Les sujétions de terrassement en remblais
• Les sujétions de rehausses des couvercles
L’entreprise devra fournir une fiche descriptive du séparateur à graisses et fécules en phase EXE et une note
de dimensionnement.
3.47. SECURITE INCENDIE
• PLAN DE SECURITE
Le présent lot prévoira les plans d’évacuations et d’intervention suivant les recommandations des normes en
vigueur.
Conformément à la norme NFS 61.932, NFS 60303, MS 41 il sera prévu au présent lot, la création de plans spécifiques
de sécurité regroupant les renseignements suivants :
• ARTICLE MS 41
Un plan schématique, sous forme de pancarte inaltérable, doit être apposé à l’entrée de l’établissement pour
faciliter l’intervention des sapeurs-pompiers.
Il doit représenter au minimum le rez-de-chaussée, chaque étage ou l’étage courant de l’établissement.
Doivent y figurer, suivant les normes en vigueur, outre les dégagements et les cloisonnements principaux,
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l’emplacement :
▪ des divers locaux techniques et autre locaux à risques particuliers ;
▪ des dispositifs et commandes de sécurité ;
▪ des organes de coupure des fluides ;
▪ des organes de commande des sources d’énergie ;
▪ des moyens d’extinction fixes et d’alarmes.
• ARTICLE MS 47
Consignes.
Des consignes précises conformes aux normes, constamment mises à jour affichées sur des supports fixes et
inaltérables doivent indiquer :
▪ les modalités d’alerte des sapeurs-pompiers
▪ les dispositions à prendre pour assurer la sécurité du public et du personnel ;
▪ les mises en œuvre des moyens de secours de l’établissement ;
▪ l’accueil et le guidage des sapeurs-pompiers.
(voir la NFS 60 303. plans et consignes affichés.)
On distingue généralement deux grandes catégories de consignes :

a) Les consignes générales d’incendie :
▪ Elles doivent être connues de tout le personnel de l’établissement.
▪ Elles précisent que toutes personne apercevant un début d’incendie doit donner l’alerte et mettre en œuvre les
moyens de premier secours, sans attendre l’arrivée du personnel de sécurité.
▪ Elles doivent désigner les personnes chargées d’aviser les sapeurs-pompiers (N° d’appel et adresse très
apparents).
▪ Elles désignent le personnel chargé de mettre en œuvre le matériel d’extinction et de sauvetage.
▪ Elles indiquent les emplacements et la nature des matériels d’incendie et de sauvetage.
▪ Elles désignent pour chaque local, les personnes chargées de l’évacuation.
▪ Elles précisent les exercices et essais périodiques à effectuer.
b) Les consignes particulières d’incendie.

Leur but est bien déterminé, elles s’appliquent à des services particuliers (services de sécurité, standard
téléphonique, services de gardiennage, etc…) Elles s’adressent à des personnes ayant reçu une formation, une
éducation en matière de lutte contre l’incendie. Affichées dans les locaux affectés à ces catégories de personnel,
elles ont pour but de rappeler aux personnes concernées la conduite à tenir en cas d’incendie.
• SECURITE INCENDIE / EXTINCTEURS
Le présent lot aura à sa charge la mise en place des systèmes de lutte contre l’incendie
- D'un extincteur CO2 de 2 kg dans le local T.G.B.T., local PAC et à proximité de toutes les gaines techniques
électriques ainsi que des armoires avec le panneau de signalisation réglementaire pour chaque extincteur
- D’un extincteur à eau pulvérisée à chaque 200m2 distant de moins de 15m
3.48. COMPTAGES
3.48.1.1. COMPTAGES VOLUMETRIQUES
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Fourniture et pose selon spécifications conformes au § 5.

Les compteurs seront tous impulsionnels.
Seront prévus des compteurs d’eau froide et eau chaude pour les postes suivants :
▪ Eau froide général bâtiment
▪ Eau froide remplissage chauffage
▪ Eau Chaude Sanitaire
Modèle : SAPPEL Altaïr ou techniquement équivalent
3.48.1.2. COMPTAGES DE CALORIES

Seront prévus des compteurs de calories pour les postes suivants :
• Circuit Ventilos convecteurs
• Circuit CTA / compensation
Les compteurs seront raccordés au module dans l’armoire électrique du local technique
Ils seront constitués de :
• Un débitmètre avec émetteur d'impulsion du type électromagnétique ou turbine
• Deux sondes PT100 ou 500
• Un intégrateur ou équivalent assurant la mesure de l'énergie avec écran à cristaux liquides et reliable à la
supervision (communicant en ModBus, M Bus, RS485)
• Alimentation 24 V au présent lot
3.48.1.3. COMPTAGES ELECTRIQUES

Il sera prévu au présent lot, des compteurs électriques pour les équipements suivants
• Compteur électrique PAC
• Compteurs électriques accessoire électrique de production (chauffage / ECS)
• Compteurs électriques accessoire électrique de ventilation
3.49. REPERAGE – ETIQUETTAGE

Les circuits hydrauliques et aérauliques sont repérés suivant les couleurs conventionnelles définies par l'AFNOR. Le
repérage se fera dans les locaux, circulation, en locaux techniques et galerie technique.
Les organes principaux et appareils depuis la naissance des réseaux jusqu'aux terminaux seront repérés par
médaillons lisibles portant le nom du réseau et le numéro de l'organe de réglage ou de manœuvre.
Ces repérages seront référencés en nomenclature sur schémas de principe affichés en local technique.
L'ensemble des éléments de sécurité incendie tels que ventilateur, trappe, CCT, devront être repérés. Des pastilles
autocollantes de couleurs seront mise en œuvre sur les montants métalliques de la structure des plafonds proches
des cloisons et/ou murs au droit des équipements.
Ces pastilles seront également utilisées pour repérer les organes de coupures et de régulation qui sont placés en
plénum.
Les couleurs de fond susceptibles d'être rencontrées sur les tuyauteries rigides ainsi que les différents
emplacements possibles seront conformes à la directive NF-X 08 100.
Les plaques indicatrices seront en matériau inaltérable avec indications gravées, de dimensions adaptées.
3.50. ESSAIS
3.50.1.1. PRINCIPES
Les essais devront faire, systématiquement, l'objet d'un procès-verbal. Le matériel et toutes les fournitures
nécessaires à ces essais seront à la charge de l'Entreprise.
La première série d'essais, en vue de la Réception, sera à la charge du client du point de vue énergétique.
Si une autre série (ou plusieurs) était nécessaire, par suite de résultat non conforme au marché, les frais de
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combustible seraient à la charge entière de l'Entreprise jusqu'à l'obtention des résultats concernant les
caractéristiques principales (puissance, débit, niveau sonore, température primaire, sécurité, etc…).
Seront notamment vérifiés :

▪ Pour l’ensemble des installations :
• Désinfection des réseaux d'air
L’Entreprise devra la désinfection des réseaux d'air avant la livraison des ouvrages et occupation des
utilisateurs et attester que la qualité bactérienne de l'air est conforme.
• La désinfection des réseaux d'eau et le contrôle de la qualité physico-chimique et bactérienne de
l'eau par un organisme agréé.
▪ Les essais à l'eau sous pression des différents circuits hydrauliques (pression d'épreuve égale 1,5 fois la
pression de service).
▪ Les essais de dilatation permettant de constater le bon fonctionnement des organes de dilatation et qu'il n'y a
aucun arrachement ou déformation pouvant provoquer une rupture de canalisations.
▪ Les essais de précision de la régulation, dans les fourchettes mentionnées.
▪ La température des différents réseaux et les conditions de températures ambiantes dans chaque local.
▪ Le taux d’hygrométrie de chaque local.
▪ Contrôle des débits par ventilateur.
▪ Le niveau sonore des différentes installations et de chaque local.
▪ La souplesse des installations et le bon fonctionnement des organes de régulation.
▪ L'équilibrage des différents circuits hydrauliques et aérauliques.
▪ Le fonctionnement des différents systèmes de sécurité (T° départ d’eau, etc...).
▪ Les contrôles électriques seront exécutés par les Services du Bureau de Contrôle :
• Conformité.
• Dimensionnement.
• Mise à la terre.
• Déclenchement des protections.
L'intégralité des mesures effectuées sera transmise à la Maîtrise d'Œuvre sous forme de rapport de mise en service
avant la Réception des travaux, comprenant notamment les débits d'eau, débits d'air, intensités absorbées, point
de consigne de régulation, etc… Ce document sera établi sous forme de tableau.
Les essais devront également être soumis aux conditions définies par les Documents COPREC.
Les procès-verbaux d'essais de fonctionnement seront visés par le Bureau d'Etude et obligatoirement fournis avant
que la Réception ne soit prononcée.
Les procès-verbaux d'essais des asservissements depuis les « coups de poing incendie » seront visés par le Bureau
de Contrôle avant que la Réception ne soit prononcée.
En fin de travaux, les rapports d’essais COPREC de type CH et VM seront soumis au Bureau de Contrôle pour
signature et transmis au Maître d’œuvre.
NOTA : Les documents DOE et rapport de mise en service sont des documents contractuels devant être remis
dans le délai contractuel et avant Réception des travaux.
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Des essais de fonctionnement seront effectués par l'installateur et validés par l'exploitant.
Les résultats de ces essais seront réunis dans la fiche recette en annexe, établie par l'Entreprise et seront transmis
au Bureau de Contrôle et au Maître d’Œuvre avant Réception des travaux.
Type d'essai Description des essais

Essais des dispositifs de Comprenant les vérifications de calibre des dispositifs de protection en fonction des caractéristiques et la
protections nature des canalisations suivant tableau de la NF C15.100.
Mesure de continuité de toutes les Vérification des sections, nature, connexion et continuité des conducteurs de protection.
masses électriques et des prises Vérification du bon fonctionnement du dispositif de protection à courant résiduel.
de terre Mesure de la résistance de la prise de terre
Essais des installations de

Essai à réaliser après mise en chauffe du bâtiment (minimum 1 semaine)
chauffage
Equilibrage de tous les circuits à réaliser avec documents récapitulatif (désignation des circuits en
chaufferie, valeur de réglage des vannes d'équilibrage, équilibrage des circuits de plancher chauffants
conformément aux notes de calculs, équilibrage d
Analyse de l'homogénéité des températures au niveau des locaux et modifications éventuelles des
réglages
Cet essai sera exécuté, réglages terminés, pendant la saison d'hiver. La température extérieure sera supérieure de 5° C au
plus à la valeur contractuelle
L'installation sera en fonctionnement normal 4 jours avant la date des essais.
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Réseaux hydrauliques Essais COPREC, édition d'un document mentionnant le volume d'eau de l'installation,
Rinçage des circuits et mise en place du traitement initial d'eau (Type de produit, dosage et contrôle,
consigne pour introduction de produit en cas d'appoint d'eau)
Vérification de l'absence de condensation sur les réseaux (condensas, etc. ...).
Il sera procédé, lors des essais, à un contrôle de propreté des réseaux.

Si la vérification montrait que l'eau est chargée d'impuretés l'Entreprise devrait procéder à de nouveaux rinçages de ses
installations.
Chaque réseau sera éprouvé à une pression éga
Essais d'étanchéité des évacuations EU - EV ;

Réseaux EU / EV Essais de fonctionnement de tous les appareils ;
Essais de fonctionnement des appareils de production EC
Vérification des sens de rotation.

Vérification des vitesses.
Essais électromécaniques
Mesure des intensités absorbées en marche normale.
Vérification des sécurités (protection des moteurs électriques).
Vérification du bon fonctionnement des asservissements et télécommandes.

Régulation et asservissements
Vérification avec l'électricien du fonctionnement des équipements de sécurité
Essais aérauliques Les essais porteront sur l'étanchéité des réseaux, et des organes d'obturation (registre).
Il sera mesuré, les débits et pression des ventilateurs et centrales de traitement d'air, la perte de charge
engendrée par les organes de filtration
Il sera mesuré les débits soufflés au niveau des bouches et diffuseurs.
Il sera mesuré les vitesses d'air
Les essais, réglages et équilibrages des installations de ventilation seront effectués dans les conditions définies au chapitre
8 du DTU 68.2 et des normes spécifiques définies au présent CCTP.
Essais acoustiques Vérification des niveaux sonores par rapport aux valeurs indiquées au cahier des charges.
Document COPREC N° 1 paru dans le supplément spécial n° 4899 du Moniteur du bâtiment et des travaux
Essais COPREC N°1
publics en date du 17.10.97
Document technique COPREC N° 2 paru dans le supplément spécial n° 4899 du Moniteur du bâtiment et
Essais COPREC N°2
des travaux publics en date du 17.10.97
3.50.1.2. APPAREILLAGES
Les instruments de mesures sont à la charge de l'installateur pendant la période des essais et contrôles de
performance jusqu'à parfait achèvement.
Les appareils de mesure seront fournis par l'Entreprise et seront munis d'un certificat d'étalonnage d'un organisme
agréé et à jour :
Type de mesure Equipement

Mesure de pression différentielle par manomètre Marque KIMO ou équivalent (Type MPV, AMI 306)
Tube de PITOT Marque KIMO ou équivalent (Type NPL Ø 6 Ø 8 longueur de 100 à 2000)
Thermomètre électronique Marque TESTOTHERM ou équivalent (Type FT 500)
Anémomètre électronique à hélices Marque AIRFLOW ou équivalent (Type LCA 6000) ou KIMO (type AMI)
Marque ALNOR ou équivalent Type 150 STANDARD ou KIMO (type DBM 600,
Anémomètre à cône genre BALLOMETRE
700,…)
Sonomètre avec analyseur et enregistrement sur PC Marque BRUEL & KJAER ou équivalent (Type 2236)
Contrôle hydraulique par mallette de contrôle Marque TA CONTROL ou équivalent (Type CBI)
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Thermomètre, hygromètre enregistreur Marque HAENNI ou équivalent (Type NRK 501)
Les mesures aérauliques doivent être réalisées depuis les règles d'équilibrage des installations de
conditionnement d'air (guide AICVF) et guide des mesures et normes NF X 10112, NF X 10113, NF X 44 052, NF EN ISO
5167-1 à 4, ISO 10 780 et ISO 7194,
3.51. FORMATION
En phase de fin de chantier, l’entrepreneur se rapprochera des utilisateurs afin d’organiser un plan de formation
pour les personnes : la première avant la réception du chantier (Certificat à fournir), la deuxième à la demande du
client final dans un délai compris entre 1 et 3 mois après la mise en service (Validation des acquis et
perfectionnement). La formation s’adressera au technicien de maintenance et/ou à l’utilisateur sur les points
suivants :
▪ Fonctionnement production de chaud.
▪ Fonctionnement production de froid.
▪ Fonctionnement des caissons de ventilation
Il sera prévu un nombre suffisant de formation du personnel et d’information des utilisateurs.
3.52. GARANTIES
3.52.1.1. GARANTIE DE FONCTIONNEMENT
L’installateur garantit les conditions de bon fonctionnement du matériel qu’il aura à fournir et à installer, compte
tenu des conditions physiques et climatiques du lieu et cela pendant deux ans à dater de la mise en service.
3.52.1.2. GARANTIE DU MATERIEL

Le matériel tel qu’il est spécifié, devra donner le maximum de sécurité pour un service continu de 24 heures par jour
et de 365 jours par an.
Tout le matériel qui aura été livré sera garanti pendant deux ans à dater de la mise en service, en application du
code Civil. Cette garantie portera sur tous les défauts visibles ou non des matériaux employés, et sur le bon
fonctionnement de l’installation, tant dans l’ensemble que dans les détails. Cette garantie sera totale (pièce et main
d’œuvre).
La responsabilité de l’Entrepreneur couvrira également et dans les mêmes conditions, toutes les fournitures qu’il
sous-traitera. Chaque pièce remplacée ou modifiée pendant la période de garantie sera attribuée d’un délai
supplémentaire de six mois.
Cette garantie ne s’applique pas aux conséquences de l’usure normale, ni à celles qui pourraient résulter de la
mauvaise utilisation des appareils ou de la non-observation des instructions.
L’entreprise sera notamment totalement responsable des incidents ou dégradations qui pourraient se produire du
fait de la non-fourniture en temps utiles des documents d’exploitation ou du fait d’erreurs contenues dans ces
documents. Elle restera responsable de tous les accidents matériels ou corporels qui pourraient résulter de la
fabrication ou de l’installation du matériel, ainsi que des dommages et intérêts qui pourraient en résulter.
L’entreprise à la responsabilité de la conservation de ses approvisionnements (en usine, en atelier ou sur le chantier)
et de ses travaux. Elle garde cette responsabilité jusqu’à la réception. Cette responsabilité n’est en rien diminuée
par le fait que ses approvisionnements ou travaux cessent d’être sa propriété au fur et à mesure qu’elle les fait
figurer sur les demandes d’acomptes.
Cette charge lui incombe, quelle que soit la cause des dégâts.
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4. ANALYSE FONCTIONNELLE
4.1. GENERALITES
4.2. CENTRALES DE TRAITEMENT D’AIR DOUBLE FLUX

Les centrales de traitement d’air permettront d’assurer :
▪ La récupération d’énergie entre air neuf et air rejeté (ensemble des CTA) ;
▪ Le réchauffage à température neutre de l’air soufflé (ensemble des CTA) par des batteries électriques ;
▪ Le réchauffage ou refroidissement de l’air soufflé selon demande (ensemble des CTA) par night cooling.
4.2.1. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT CTA
Contrôle de la température de soufflage

Le groupe de régulation sera intégré à la centrale.
Cet ensemble permettra de maintenir une température de soufflage neutre (à savoir 18°C) en période de chauffage
(pas d’actions hors de cette période).
Pour tout écart (mesure/consigne), cette action fera évoluer un signal de correction suivant la figure ci-dessous :
Contrôle de la pression statique de soufflage

La pression de soufflage sera maintenue constante par action sur le variateur de vitesse.
Nota : Dans le cas où la sonde de pression est hors plage (alarme de non réponse), la boucle de régulation sera
inhibée et le variateur sera fixé à une valeur de sécurité préprogrammée dans l’automate.
Contrôle de la pression statique d’extraction

La pression d’extraction sera maintenue constante par action sur le variateur de vitesse.
Nota : Dans le cas où la sonde de pression est hors plage (alarme de non réponse), la boucle de régulation est inhibée
et le variateur sera fixé à une valeur de sécurité préprogrammée dans l’automate.
Mode night cooling

Le mode dit « night-cooling » sera activable depuis supervision ou depuis automate central via interface.
Il permettra de rafraîchir les ambiances, la nuit, lorsque les conditions extérieures le permettent. Ce afin de limiter
les consommations énergétiques liées à la production d’eau glacée.
Dans ce cadre, la mise en marche de la centrale de traitement d’air sera asservie à loi suivante :
Tamb
Tamb
Non Non ≤ 19°C Oui
Tamb
< 25°C < Text ON ou Text OFF
≥ Tint
Oui Oui
OFF Non
OFF
A noter que ce fonctionnement nécessitera les pré-requis suivants :
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▪ Définition de la période de fonctionnement du dispositif (hors occupation par défaut) ;

▪ Arrêt du dispositif de récupération d’énergie ;
▪ Ouverture forcée des dispositifs de régulation terminale du débit de ventilation.
Nota : La température ambiante prise en considération sera celle du hall d’accueil.
4.2.2. PROGRAMMATION DES CTA
Le fonctionnement de la CTA sera asservi aux périodes d’occupation y compris :

▪ Maintien en fonctionnement durant une heure après fin de l’occupation ;
▪ Relance une heure avant occupation.
Le fonctionnement de la CTA fonctionnera en régime réduit hors occupation (planning spécifiques à ces locaux) de
façon à assurer le réduit:
▪ Maintien en fonctionnement durant une heure après fin de l’occupation ;
▪ Relance une heure avant occupation.
Une commande locale permettra de relancer les équipements en mode « normal » pour une durée de 4 heures.
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5. SPECIFICATIONS TECHNIQUES& REGLES DE L’ART
5.1. DISPOSITIONS VIS-A-VIS DE L’ACCESSIBILITE ET DE LA MAINTENANCE

Les emplacements des matériels installés devront tenir compte des nécessités de l'exploitation, entretien,
démontage etc.
L'Entrepreneur devra, notamment, vérifier que les ouvertures et trémies d'accès au matériel permettent sa mise en
place et son remplacement éventuel.
Pour cela, toutes les indications de poids et de dimensions des matériels seront fournies au Maître d’œuvre et les
aménagements nécessaires (passages provisoires par exemple) définis en accord avec les autres corps d'état et
sous le contrôle du Maître d’œuvre.
Tous les matériels nécessitant une surveillance ou un entretien seront accessibles et démontables. L'Entrepreneur
sera tenu de signaler en temps utile au Maître d’œuvre, la position et les dimensions des accès aux matériels qu'il
doit installer, et de prévoir ces équipements.
Outre les dimensions réglementaires à respecter, l'aménagement devra :
▪ Permettre de circuler autour des appareils : circulation libre de largeur 50 cm minimum, sauf dérogation du
Maître d’Œuvre ;
▪ Laisser aisément accessibles toutes les parties constitutives des matériels ainsi que les organes de commande,
contrôle et sécurité ;
▪ Permettre le démontage de tout ou partie des matériels sans dépose d'autres matériels ;
▪ Comporter les équipements nécessaires à la manutention des matériels ;
▪ Assurer l'évacuation des ouvrages d'eau (canalisations siphonnées raccordées au réseau EU).
Les équipements ou tuyauteries, avec risques de fuites ou de condensation, ne devront pas être placés ou cheminer
à l'aplomb d'équipements électriques.
En cas de cheminement au-dessus d’un équipement électrique, le présent lot devra toutes sujétions pour empêcher
tout écoulement d’eau sur les appareils : bac de récupération, etc.
5.2. SUPPORTAGE ET FIXATIONS DES APPAREILS (HORS CANALISATIONS)
5.2.1. GENERALITES
Les supports doivent être fixés directement aux structures du bâtiment ou à des éléments qui lui sont solidaires.
Structures et éléments doivent pouvoir supporter des charges ponctuelles au moins égales à celles du support.
En aucun cas les ouvrages ou parties d'ouvrages en béton précontraint ne seront percés sur chantier.
Les systèmes d'accrochage ne devront exercer aucun effort de torsion sur la structure du bâtiment.
Tout dispositif d'accrochage ou de scellement devra avoir reçu l'accord préalable du Maître d’œuvre.
Tousles plots antivibratoires mis en œuvre seront calculés en fonction des fréquences d’émissions des équipements
et appareils, et équilibrés en fonction de la répartition du poids supporté.
5.2.2. SUPPORTAGE ET FIXATIONS DES APPAREILS SUR FAUX-PLAFOND
Tous les appareils installés en plafond (cassettes de climatisation, diffuseurs, etc.), seront fixés par un système
coulissant, autorisant la translation horizontale dans 2 directions, en plus du réglage vertical, de manière à ce que
chaque appareil soit parfaitement calepiné avec le faux plafond. Ce support pourra être réalisé, par exemple, par
un complexe composé de rails du commerce, marque MUPRO ou similaire, disposés en croix, et équipés de double
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écrou-rails, permettant ces réglages.

De même, toutes les sujétions de mise en œuvre seront prises afin d’éviter les « vides » entre les cadres et dalles de
faux plafonds, et les façades des appareils (entretoises de finition similaire au faux plafond à prévoir).
5.2.3. SUPPORTAGE SUR TOIT-TERRASSE
Les matériels générateurs de bruits et vibrations

sur les toits-terrasses devront obligatoirement
être désolidarisés des ossatures porteuses par
supports spécifiques et plots antivibratoires.
Les ouvrages nécessitant une mise en œuvre
particulière seront soumis à l’approbation du
coordonnateur SPS.
Compte-tenu des exigences thermiques en

matière de traitement des ponts thermiques
structurels, les massifs bétons seront proscrits.
Nous proposons la mise en œuvre suivante :
5.2.4. SOCLES
Caissons de VMC, Centrales d’air, groupes frigo extérieurs, chaudières, ballons, rotors secs
En local technique, en extérieur (hors plancher technique bois et toit-terrasse), les groupes froid, refroidisseurs de
liquide à condensation par air, les centralesde traitement d'air, les ventilateurs d'extraction en caisson, les
chaudières,… seront posés sur des supportsantivibratiles solidement fixés sur des socles en béton, réalisés par le
lot GROS-OEUVRE, suivant lesindications de l'Entrepreneur du présent lot (dimensions, emplacement).
Les socles en béton reposeront sur un matériau résilient (socle antivibratoire) réalisé par le Gros Œuvre.
Conduits de ventilation extérieurs
Les conduits de ventilation passant en toiture seront maintenus au moyen de colliers avec piedtélescopique
solidement fixés sur des dallettes béton d'une surface supérieure ou égale à 900 cm² et d'unelargeur supérieure à
20 cm, posées sur un matériau de désolidarisation (panneau d'épaisseur minimale 3cm en liège, polystyrène de
densité supérieure à 25 kg/m3, caoutchouc d'épaisseur minimale 2 mm ou matériau équivalent), à la charge du
présent lot.
Réseaux de tuyauteries
Les réseaux de tuyauteries passant en terrasse seront posés sur des supports métalliques fixés surdes socles en
béton reposant sur un matériau résiliant à la charge du présent lot. La distance entre chaque support sera de 3,00
m maximum.
NOTA :Le nombre de supports sera déterminé en fonction du diamètre des tuyauteries et pour que la charge
maximum (socle et tuyauteries) ne dépasse pas 1 000 kg/m² par socle.
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5.3. CLIMATISATION
5.3.1. SYSTEME A REFRIGERANT VARIABLE
L’Entreprise fournira les valeurs des puissances restituées et absorbées par les unités intérieures et extérieures aux
conditions de température désirées au régime nominal (100 % des besoins) et en régime intermédiaire (50 % des
besoins).
Le compresseur sera contrôlé par Inverteret chaque module extérieur sera capable de réguler sa vitesse par
modulation de fréquence afin de s’adapter aux besoins frigorifiques ou calorifiques demandés par les unités
intérieures. Chaque unité intérieure sera régulée indépendamment par détendeur électronique.
Les groupes extérieurs seront assemblés testés et chargés en usine en fluide R 410 A. Les combinaisons seront
validées par la norme NF EN 378
Les unités intérieures pourront être de type cassette encastrable, un, deux ou quatre flux, de type gainable, variante
par muraux.
Toutes les unités de type plafonnier seront accessibles par le dessous par enlèvement de la façade et ceci afin de
faciliter la maintenance dans toutes les conditions ; de plus, elles devront s’adapter aux plénums de faux plafonds.
Chaque groupe extérieur se raccordera directement sur les unités intérieures par l’intermédiaire de conduites en
cuivre de qualité frigorifique.
L’ensemble des appareils de climatisation (unités intérieures, boîtiers de fonctionnement chauffage ou
rafraîchissement, les groupes de condensation et commandes à distance) devra bénéficier d’une garantie de 3 ans
pièces.
Les groupes extérieurs seront alimentés en triphasé 400 V + Neutre + Terre depuis l’attente prévue à 0.50 m de
chaque unité sur le lot Electricité.
Les unités intérieures et les boîtiers de sélection seront alimentés indépendamment de l’unité extérieure en
monophasé 220 V + Neutre + Terre depuis attente lot Electricité à 0.50 m de chaque appareil.
Le raccordement des unités sera réalisé par l’Entreprise, y compris protections nécessaires et adaptées. Chaque
groupe sera équipé d’une coupure de proximité prévue par le présent lot.
Les condensats seront collectés par un réseau PVC M1 siphonné et raccordé sur les chutes E.U et descentes
condensats raccordés sur attente prévue par le lot G.O.
Une liaison bus (série/parallèle) une paire non polarisée, non blindée assurera la communication entre unités
extérieures, boîtiers de sélection et unités intérieures, et entre unités intérieures et télécommandes.
L’installateur veillera à limiter le rayonnement électromagnétique des sources susceptibles de perturber le bus.
Un contrôle PID (proportionnel intégral / dérivé) assisté par microprocesseur sera utilisé pour maintenir une
température locale correcte (1°+C en régime stabilisé) avec une consommation minimale et une action très rapide
amplifiée par le système de détente directe (très faible inertie).
Des commandes à distance câblées avec affichage à cristaux liquides assureront un contrôle individuel (1
télécommande par local).
Les principales fonctions de ces télécommandes seront :
▪ Marche / arrêt,
▪ Choix du mode de fonctionnement (chauffage, rafraîchissement, déshumidification et ventilation),
▪ Consigne de température,
▪ Choix de la vitesse de ventilation,
▪ Fonction balayage (selon modèles)
▪ Affichage des codes défaut.
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▪ Programme hebdomadaire.
La mise en œuvre des réseaux sera conforme au § 5

L’installation terminée, le réseau seul sera mis sous pression de 35 bars d’azote. Ce test sera réalisé durant 24 heures
avec les vannes de l’unité extérieure fermées.
Une recherche de fuite sera éventuellement faite.
L’installation sera soigneusement tirée au vide (12 heures minimum) et laissée ainsi jusqu’à la mise en route.
Le métré (branche par branche) de l’installation sera nécessaire avant la mise en service afin de calculer le
complément de charge de réfrigérant éventuel.
L’unité extérieure sera mise sous tension 12 h au minimum avant la mise en service.
Une fois l’installation terminée et éprouvée, le Fabricant assurera la mise en service du matériel en présence de
l’installateur (frigoriste et électricien).
Accords sur plan :
▪ Validation des schémas frigorifiques et électriques sur plans d’exécution,
▪ Rappel des préconisations d’installation du fabricant.
Assistance technique :
▪ Passage sur chantier du Service Technique du Fabricant pour aide et contrôle de l’installation en cours.
Mise en service :
▪ Contrôle des circuits frigorifiques et électriques,
▪ Complément de charge de fluide frigorigène,
▪ Mise en route de l’installation
▪ Paramétrages,
▪ Vérification du bon fonctionnement de l’ensemble des composants,
▪ Conseils d’utilisation des télécommandes,
Un procès-verbal d’essais en présence du constructeur sera rédigé par l’installateur (et contre signé par le Bureau
d’Etudes du Maître d’Ouvrage).
5.4. VENTILATION – TRAITEMENT D’AIR
5.4.1. CENTRALE D’AIR
Normes
Toutes les centrales devront avoir un certificat EUROVENT LABEL ENERGY CLASS :A justifiant des classes sera exigé
selon Norme EN 13 053.
Toutes les centrales devront être conformes à la NF EN 13779 (juillet 2007) “Ventilation dans les bâtiments non
résidentiels - Exigences de performances des systèmes de ventilation et de conditionnement d'air (Indice de
classement : E51-744)” avec au minima la valeur SFPv 3 (exprimé en W / m³/ s)
Leur construction sera de type autoportante à rupture de ponts thermiques et conforme à la norme européenne EN
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1886. Leur dimensionnement et leurs caractéristiques devront favoriser une faible consommation énergétique avec
comme valeur minimale de l’enveloppe :
▪ Résistance de l’enveloppe à la classe D2
▪ conductivité thermique à la classe T2
▪ fuite d’air de l’enveloppe à la classe L2
▪ ponts thermiques à la classe TB2
▪ fuite de dérivation des filtres à la classe F9
Panneaux
Les surfaces seront parfaitement lisses à l’intérieur et à l’extérieur pour faciliter le nettoyage. Tous les panneaux
seront de type double peau avec laine de laine de roche M0, densité 70 kg/m³.
Construction : les tôles intérieures et extérieures seront serties au moyen d’une feuillure chicanée sur un cadre
rigide en matière composite. La fermeture sur les 6 faces des panneaux sera impérative pour éviter toute
condensation intérieure et garantir une excellente étanchéité. Les panneaux devront être parfaitement étanches
pour éviter tout défibrage de l’isolant. Les panneaux de sol et de toit devront couvrir toute la largeur de la centrale
sans raccord intermédiaire.
Visserie
La visserie des panneaux devra assurer la compression des tôles intérieures et extérieures et sera accessible de
l’extérieur pour faciliter le démontage. Une parclose clipsée en composite avec joint casse goutte assurera la
protection des vis ainsi que l’étanchéité à l’eau des jonctions inter panneaux. Aucune vis de maintien des panneaux
ne sera tolérée dans la veine d’air évitant toute « empreinte » de tête de vis.
Portes
Les portes seront de même conception que les panneaux. Elles seront sur charnières fixées sur un meneau
spécifique, garantissant une excellente rigidité de l’ensemble. Les charnières seront protégées par un cache vis
amovible. L’ouverture se fera vers l’extérieur, et en aucun cas en coulissant pour garantir une excellente étanchéité.
Les joints d’étanchéité seront placés sur l’ouvrant et non sur le dormant. Toutes les fermetures se feront en 2 points
minimum par verrou discal à serrage progressif. Les gâches seront traitées anti-corrosion. Ces ensembles de
fermeture équipés de poignés seront en applique verticale et hors flux d’air pour éviter tout défibrage, faciliter le
nettoyage et garantir une bonne étanchéité.
Les différents modules et caissons devront être repérés par symboles normalisés.
Accès
Les servomoteurs de registre, by-pass, vannes de régulation, seront impérativement montés à l’intérieur de la
centrale pour être protégés de la pluie et de la poussière. Aucune traversée de panneau par axe de commande de
registre ne sera admise.
Les percements pour les passages de câbles électriques ainsi que la pose des presse-étoupes seront réalisés en
usine. L’entreprise ne devra pas effectuer de percement de panneaux après livraison.
Manutention
La centrale sera équipée d’anneaux de levage fixés sur le toit, aux 4 coins d’angle permettant une manutention aisée
des différents modules.
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Assemblage
L’assemblage des blocs se fera par emboîtements conique situé dans l’épaisseur du panneau et garantissant un
parfait alignement des modules les uns avec les autres.
Le constructeur assurera une assistance à l’assemblage afin de vérifier le raccordement des caissons entre eux.
Leur fabrication sera sous assurance qualité ISO 9001 et elles bénéficieront d’une garantie 2 ans, y compris pièces
tournantes. Leur composition sera détaillée dans le § 3.
Mise en service
La mise en service de la centrale d’air sera assurée par le constructeur. Celui-ci devra :
▪ procéder au réglage des débits d’air et pressions par action sur les poulies,
▪ contrôler la puissance absorbée et la vitesse de rotation,
▪ mesurer les températures d’air à l’aspiration et au refoulement,
▪ vérifier le sens de raccordement des batteries.
Le constructeur devra remettre un rapport complet présentant ces mesures ainsi que ses observations.
5.4.2. CAISSONS DE VENTILATION
Le caisson sera largement dimensionné pour permettre un bon fonctionnement aéraulique du ventilateur, et pour
assurer une chambre de détente autorisant de bonnes performances acoustiques (conforme aux réglementations
en vigueur),
Construction :
▪ Caisson d’extraction de catégorie 4
▪ Structure en tôle d’acier galvanisé
▪ Motorisation basse consommation courant continu avec carte de régulation
▪ Régulation de pression constante
▪ Ventilateur centrifuge
▪ Fonctionnement sur plage de fréquence limité entre 40 et 60 Hz (sauf sur moteurs à courant continu)
▪ Raccordement par brides sur une gaine rectangulaire ou circulaire
▪ Il possèdera une trappe de visite par le dessous pour l’accès au motoventilateur ;
▪ Moteur à rotor extérieur de type fermé, IP 44, classe F, monophasé 230 V –50 Hz
Accessoires :
▪ Manchettes souples de raccordement étanches au refoulement du caisson.
▪ Interrupteur/sectionneur de proximité cadenassable IP 65 / 55 monophasé/ triphasé câblé et monté, conforme
à la norme NF EN 60204-1 et NF 15-100 §46.3 (Raccordement au présent lot depuis attente lot électricité).
▪ Pressostat d’alarme, réglé à 80 Pa monté en série, boîtier de raccordement extérieur.
▪ Le contrôle du fonctionnement du ventilateur se fera à l’aide d’un branchement d’une alarme en cas de défaut
(détection par pressostat).
▪ Raccordement électrique depuis attente électricien.
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5.4.3. VENTILATEUR EN LIGNE
Ventilateur de type mural avec aspiration et refoulement en ligne.

Construction :
▪ Structure en tôle d’acier galvanisé
▪ Turbine centrifuge à réaction à entrainement direct
▪ Raccordement par virole circulaire norme EUROVENT
▪ Moteur à rotor extérieur de type fermé, IP 44, classe E, monophasé 230 V –50 Hz avec protection thermique
▪ Vitesse variable par dévoltage
Accessoires :
▪ Manchettes souples de raccordement étanches à l’aspiration du caisson.
▪ Interrupteur/sectionneur de proximité cadenassable IP 65 / 55 monophasé/ triphasé câblé et monté, conforme
à la norme NF EN 60204-1 et NF 15-100 §46.3 (Raccordement au présent lot depuis attente lot électricité).
▪ Le contrôle du fonctionnement du ventilateur se fera à l’aide d’un variateur de vitesse.
▪ Raccordement électrique depuis attente électricien.
5.4.4. GRILLES DE PRISE OU REJET D’AIR
Les grilles de prise ou de rejet d’air, en maçonnerie, auront, sauf précision contraire au chapitre 3, les
caractéristiques suivantes :
▪ Construction : aluminium ou acier galvanisé, avec contre-cadre à sceller en acier galvanisé
▪ Type ailettes pare-pluie et grillage anti-volatile maille 10x10 mm
▪ Vitesse de passage de l’air < 2,0 m/s avec perte de charge < 30 Pa.
Leur implantation devra être conforme à la NF EN 13779 (juillet 2007) “Ventilation dans les bâtiments non
résidentiels - Exigences de performances des systèmes de ventilation et de conditionnement d'air (Indice de
classement : E51-744)” Annexe A.
5.4.5. ENTREES D’AIR
Sur façades à 30 et 31 dB(A) : les entrées d’air devront avoir un isolement acoustique normalisé [Dn,e,w + Ctr]
 37 dB pour une entrée d’air dans une pièce.
Sur façades à 33 et 34 dB(A) : les entrées d’air devront avoir un isolement acoustique normalisé [Dn,e,w + Ctr] 
39 dB pour une entrée d’air dans une pièce.
Les entrées d’air seront de type hygro-réglables acoustiques calibrées d’usine et répondant à la NRA.
Les caractéristiques aérauliques et acoustiques seront conformes aux normes NFP 50.402 et NFE 51.732.
Les régulateurs devront être facilement démontables pour permettre le nettoyage.
Toutes les entrées d'air seront incorporées soit dans les menuiseries, soit dans le coffre de volets roulants. La
fourniture et la détermination des modules et leur position est à la charge du présent lot. La pose sera effectuée par
le lot menuiseries extérieures.
Sur façades  40 dB(A) : les entrées d’air devront avoir un isolement acoustique normalisé [Dn,e,w + Ctr] 49 dB
pour une entrée d’air dans une pièce.
Les entrées d’air seront intégrées en maçonnerie avec manchon (classement de façade 40 dB(A))de marque ANJOS
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ou techniquement équivalent.
▪ Type SC (Dn, e, w) de 47 dB
▪ Type SHF (Dn, e, w) de 46 à 48 dB
▪ Type STM (Dn, e, w) de 49 à 51 dB
▪ Type SRT (Dn, e, w) de 51 à 54 dB
▪ Type SRT+ (Dn, e, w) de 54 à 57 dB
Le modèle proposé et la traversée de mur devront avoir une perte de charge au plus égal à 20 Pa au débit nominal.
Les réservations, ou les percements ( 160 ou 125 mm) en façade sont dues au lot Gros œuvre.
Sur façades à 35 et 38 dB(A) : 5.10.6

Pour des isolements acoustiques compris entre 41 et 44 dB (Dn,e,w + Ctr)
Lorsque le volet roulant le permet, il peut être mis en place

un silencieux posé en applique de volet roulant de marque
ANJOS type TH associé avec une bouche hygroréglable HY :
▪ Manchon de réglage
▪ Ils sont réalisés en tôle galvanisée 0,75 mm avec
absorbant acoustique épaisseur 12 mm
▪ ils sont disponibles en longueurs 460, 600, 800 et
1000 mm
Le silencieux TH est fixé à l’intérieur du coffre de volet
roulant.
L’entrepreneur se mettra en relation avec le lot menuiserie
pour les réservations et les caractéristiques du volet roulant
qui doivent être compatibles avec l’emploi d’un système TH.
Fourniture des entrées d’air par le présent lot au lot menuiseries et pose par le lot menuiserie ;
5.5. SPECIFICATIONS DES RESEAUX DE PLOMBERIE SANITAIRE
5.5.1. TUBES TEMOINS – PRISES D’ECHANTILLON
Voir DTU 60.1 additif N° 4 et 5

Conformément à ces dispositions, les circuits d’eau chaude sanitaire devront comporter des moyens de contrôle
tels que définis ci-après :
Robinets de prise d’échantillon type vanne BS Ø 15 Tube témoin sur retour d'eau froide
installés :
En amont et aval de l’adoucisseur,
Au niveau de chaque départ d’eau froide en
aval de l’adoucisseur,
Sur la boucle de retour d’eau chaude en aval Tube témoin sur retour d'eau chaude
du circulateur de bouclage.
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5.5.2. CANALISATIONS EAUX VANNES – EAUX USEES – EAUX PLUVIALES
5.5.2.1. CANALISATIONS PVC

L’entrepreneur du présent lot doit la totalité des évacuations des appareils sanitaires et des équipements
particuliers, à l’exception des réseaux sous dallage et en vide.
Les chutes seront réalisées en PVC NF E et NF Me et seront installées en gaines techniques ou en coffres menuisés.
Elles seront équipées de tés hermétiques de dégorgement avant chaque dévoiement et en pied de chute. Tous les
tampons de dégorgement des chutes devront être facilement accessibles.
Les raccordements des appareils seront réalisés en PVC NF E et NF Me collé. Ils se raccorderont sur les chutes au
moyen de tampons étanches.
Les chutes EU et EV mises en place dans les gaines techniques seront posées sur colliers à patte de scellement en
acier galvanisé à double boulon. Elles seront prolongées ou regroupées en ventilation primaire par un tuyau PVC.
Elles comporteront une attente métallique pour le lot étanchéité Elles seront équipées de chapeaux parapluie.
Les colliers supports auront une largeur suffisante pour ne pas faire subir aux canalisations des effortsde
cisaillement ; leur espacement sera de 1,00 m maximum horizontalement et de 2,70 mverticalement.
Les évents EU/EV chemineront en toiture pour sortir soit en toiture terrasse technique, soit en toiture combles.
NOTA : Au endroits où existe des risques phoniques, les collecteurs EU et EV passant en faux-plafond seront
calorifugés extérieurement par un feutre delaine de verre imprégnée de résine thermodurcissable, de 25 mm
d'épaisseur, revêtu sur une face d'un kraft aluminium renforcé d'une grille de verre (classement au feu M1), de
marque ISOVER, type CLIMAVER 224 M1 ou équivalent. Fixation par colle, ruban adhésif et feuillard très souple (selon
les prescriptions techniques du fabricant).
NOTA : Le présent lot doit, dans le respect des articles CO30 à 32 extraits des règlements de sécurité contre
l’incendie pour tous les réseaux d’évacuation, la restitution du degré coupe-feu des parois traversées.
Les collecteurs passant dans les locaux à risques (ex : locaux buanderie, ) seront réalisés en tube fonte SMU ou en
tube PVC avec manchon coupe-feu type PACIFYRE Mk II de marque WALRAVEN ou techniquement équivalent à
chaque extrémité par local.
5.5.2.2. CHUTES ET COLLECTEURS D’EVACUATIONS EU - EV

L’entrepreneur du présent lot doit la totalité des évacuations des appareils sanitaires et des équipements
particuliers, à l’exception des réseaux sous dallage et en vide.
Les chutes seront réalisées en PVC M1 et seront installées en gaines techniques ou en coffres menuisés.
Elles seront équipées de tés hermétiques de dégorgement avant chaque dévoiement et en pied de chute. Tous les
tampons de dégorgement des chutes devront être facilement accessibles.
Les raccordements des appareils seront réalisés en PVC M1 collé. Ils se raccorderont sur les chutes au moyen de
tampons étanches.
Les chutes EU et EV mises en place dans les gaines techniques seront posées sur colliers à patte de scellement en
acier galvanisé à double boulon. Elles seront prolongées ou regroupées en ventilation primaire par un tuyau PVC.
Elles comporteront une attente métallique pour le lot étanchéité Elles seront équipées de chapeaux parapluie.
cisaillement ; leur espacement sera de 1,00 m maximum horizontalement et de 2,70 mverticalement.
Les évents EU/EV chemineront en toiture pour sortir soit en toiture terrasse technique, soit en toiture combles.
NOTA : Au endroits où existe des risques phoniques, les collecteurs EU et EV passant en faux-plafond seront
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calorifugés extérieurement par un feutre delaine de verre imprégnée de résine thermodurcissable, de 25 mm

d'épaisseur, revêtu sur une face d'un kraft aluminium renforcé d'une grille de verre (classement au feu M1), de
marque ISOVER, type CLIMAVER 224 M1 ou équivalent. Fixation par colle, ruban adhésif et feuillard très souple (selon
les prescriptions techniques du fabricant).
NOTA : Le présent lot doit, dans le respect des articles CO30 à 32 extrait des règlements de sécurité contre
l’incendie pour tous les réseaux d’évacuation, la restitution du degré coupe-feu des parois traversées.
Les collecteurs passant dans les locaux à risques (ex : locaux buanderie, ) seront réalisés en tube fonte SMU ou en
tube PVC avec manchon coupe-feu type PACIFYRE Mk II de marque WALRAVEN ou techniquement équivalent à
chaque extrémité par local.
5.5.2.3. CANALISATIONS FONTE

Les canalisations seront réalisées en matériau appartenant au classement MO, en Fonte Bâtiment de Saint-Gobain
PAM, ou techniquement équivalent, comprenant :
• les tuyaux, raccords, joints et accessoires issus des gammes SMU S ou SMU Plus pour un système à bouts unis
• les tuyaux, raccords, joints et accessoires issus des gammes SME ou Pluviale pour un système à emboîtements.
L’écartement des supports sera conforme aux Normes NF P 30 201. En règle générale, il sera prévu un collier à
chaque jonction avec scellement.
Les joints et leur mise en œuvre devront être conformes aux prescriptions du DTU 60-2 de juillet 1984.
Rejets des eaux usées (E.U) des eaux vannes (E.V) et des eaux pluviales (E.P) en aérien
Gammes SME ou SMU®S
Tuyaux
• Revêtement intérieur : époxy bi composant ocre, épaisseur moyenne du film sec 130 m
• Revêtement extérieur : acrylique brun rouge, épaisseur moyenne du film sec 40 m
Raccords
• Revêtement intérieur et extérieur : phosphatation épaisse puis époxy brun rouge déposé par cataphorèse,
épaisseur moyenne du revêtement 70 m
Jonction
• Joint JC pour la SME ou joint SMU Rapid ® 2
Rejets des eaux usées, des eaux vannes et des eaux pluviales en enterré
Gamme SMU®Plus : dans des diamètres supérieurs ou égaux au DN 100 (diamètre extérieur de 110 mm), avec
des raccords d’angles inférieurs ou égaux à 68°
Tuyaux
• Revêtement intérieur : époxy bi composant et bicouche ocre, épaisseur moyenne du film sec 250 m
• Revêtement extérieur : zinc déposé par métallisation 130 g/m2 puis acrylique gris, épaisseur moyenne du film sec
acrylique 40 m
Raccords
• Revêtement intérieur et extérieur époxy gris déposé par poudrage, épaisseur moyenne du film sec époxydique
300 m
Jonction
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• Manchons tout inox
Rejets des effluents et fluides corrosifs

Gamme SMU®Plus :
• Réseau aérien, ambiance non agressive avec effluents agressifs évacués, sauf hydrocarbures: joints SMU Rapid ®
2
• Réseau aérien, ambiance non agressive avec effluents agressifs évacués, dont hydrocarbures : joints SMU Rapid ®
2 tout inox avec manchette nitrile
• Réseau aérien, ambiance agressive, fumées, vapeurs, fortes hygrométries : Joints SMU Rapid ® 2 tout inox ou joint
SMU-S
• Réseau enterré : manchons tout inox
Rejets des effluents des cuisines en restauration collective

En amont du séparateur
En aérien : Gamme SMU®Plus
En enterré : Gamme SMU®Plus
En aval du séparateur
En aérien : Gammes SME ou SMU®S
En enterré : Gamme SMU®Plus
5.5.2.4. VENTILATION CHUTES ET COLLECTEURS D’EVACUATIONS EU/EV

Toutes les chutes seront prolongées en toiture en ventilation primaire.
Les chutes EU et EV seront prolongées jusqu'en toiture, en tuyau de même diamètre, pour créer lesventilations
primaires.
En traversée de couverture, les tubes passeront dans des fourreaux métalliques fournis et posés parle lot
Étanchéité. L'étanchéité entre le tube et le fourreau est à la charge du présent lot et sera réaliséepar un chapeau de
ventilation avec collerette d'étanchéité.
Les sorties de ventilation EU/EV en Ø 100 seront remplacer par des sorties de Ø 125 lorsque les sorties de ventilations
primaires regroupent plusieurs chutes.
Dans le cas où la ventilation primaire ne peut déboucher à l’air libre, il pourra être fait usage de clapet aérateur. Le
clapet sera équipé d’une membrane élastomère appuyée sur un siège annulaire et chapeau en polystyrène pour
empêcher gel et condensation avec garantie à vie. Il aura un avis technique du CSTB.
Marque : DURGO
5.5.2.5. CHUTES ET COLLECTEURS D’EAUX PLUVIALES

Les descentes d'eaux pluviales seront raccordées par l'entrepreneur du présent lot, sur les entrées d'eau à moignon
tronconique, laissées en attente en sous face des toitures terrasses, par le lot ÉTANCHEITE.
Les descentes et les collecteurs d'eaux pluviales, y compris toutes pièces de raccord, seront réalisés en tubes PVC-
M1 NF série COMPACT, correspondant aux Normes et seront raccordés par l'entrepreneur du présent lot, sur les
regards extérieurs fournis et posés par le lot VRD.
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Les tuyaux seront assemblés de telle manière qu'ils ne provoquent aucune gêne au bon écoulement des eaux
pluviales.
Les collecteurs seront munis aux endroits appropriés (extrémités de collecteurs, changements de direction, pied de
chutes, etc.) de bouchons de visite et de tampons hermétiques, facilement accessibles.
cisaillement ; leur espacement sera de 1,00 m maximum horizontalement et de 2,70 m verticalement.
Les pieds de chutes seront équipés d’un tampon hermétique de visite. Ils seront raccordés au moyen de deux coudes
à 45° au lieu d'un seul coude à 87°30, sur les collecteurs passant en plafond.
NOTA : Tous les tronçons des évacuations devront absolument être dégorgeables, et l'entrepreneur devra à cet
effet mettre en œuvre aux endroits voulus et accessibles toutes pièces de raccords utiles telles que tampons
amovibles, tés de dégorgement, etc.
5.5.2.6. RACCORDEMENT DES APPAREILS SANITAIRES

Les raccordements EU/EV des appareils sanitaires seront réalisées en PVC M1, jusqu’aux attentes laissées en sol du
rez-de-chaussée par le lot « VRD/GO » ou jusqu’aux culottes de branchements avec manchons de dilatations
incorporés situées sur les chutes dans les gaines techniques pour le niveau supérieur, conformément aux
prescriptions techniques générales et aux indications mentionnées sur les plans.
Le raccordement des WC sera réalisé au moyen de pipes PVC démontables, l'assemblage avec la cuvette sera réalisé
par un joint à lèvre, tandis que les évacuations des appareils seront réalisées au moyen de tampons prédécoupés
équipés de joints à lèvre, de telle sorte que toute tuyauterie de liaison entre un appareil ou groupe d'appareils puisse
être démontée et remontée entre les siphons et le point de raccordement.
Le raccordement dans la paroi devra être réalisé dans l’axe du siphon et non déporté.
Pour l’ensemble des appareils en Cuisine et Buanderie, l’entreprise devra prévoir la mise en place d’attentes
adaptées aux caractéristiques du matériel qui sera mis en œuvre. Certains appareils nécessiteront l’emploi
d’évacuation en fonte ou PVC HTA (en raison des températures élevées des rejets ≈ 95°C).
Le présent lot assurera les percements et rebouchages des cloisons & refends pour le passage des canalisations.
5.5.3. APPAREILS SANITAIRES
5.5.3.1. QUALITE DES MATERIAUX

Appareils sanitaires
Les appareils en céramique seront en faïence émaillée, en grès émaillé, en inox ou en porcelaine vitrifiée. La
céramique doit satisfaire aux essais de résistance aux variations de température, de dureté de l’émail, de continuité
de la couche d’émail.
En ce qui concerne la résistance à l'abrasion de l'émail dont ils sont revêtus, les appareils sanitaires devront être
choisis en fonction de leur domaine d'utilisation, à savoir au minimum :
Privatif intense ou collectif léger - groupe d'usure : 2- 3

Collectif intense - groupe d'usure : 3
Tous les appareils sanitaires devront comporter un marquage " NF - Appareils sanitaires " comportant tous les
critères de qualité de l'appareil.
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Robinetteries
Toutes les robinetteries sanitaires devront être titulaires au minima des certifications et marques suivantes :
NF - Robinetterie sanitaire ",
CE – pour les robinetteries électroniques
ACS – Attestation de Conformité Sanitaire
Les mitigeurs devront répondre à la norme NF D 18-202 et seront équipés de palier ou point dur limitant l’ouverture
maximale.
Classement ECAU
Selon norme NF P18-201 (norme EN 200), un classement des robinets est établi selon les critères suivants :
E : Écoulement
A : Acoustique avec 3 niveaux de classement : 1 - 2 et 3.
U : Usure
C : Confort
Le choix de classement EAU en fonction des locaux a été établi par l'association EPEBAT.
Eviers, lavabos, lave-mains, vidoir E1 A2 U3 C1
Douches E1 A2 U3 C1
WC Robinet à flotteur NFI
5.5.3.2. ACCESSIBILITE HANDICAPES

WC
La hauteur de la cuvette avec abattant sera comprise entre 0,46 et 0,50 m ;
Une barre d’appui latérale sera installée pour faciliter le transfert sur la cuvette : cette barre doit comporter une
partie horizontale située à coté de la cuvette entre 0,70 et 0,80 m (les barres coudées seront privilégiées) ;
L’axe dorsal de la cuvette sera à 60 cm de la paroi d’adossement du bloc WC et l’axe de cette même cuvette sera à
35 cm de la paroi latérale ;
La commande de chasse devra pouvoir être atteinte par une personne handicapée ;
Les barres d’appui coudées à 135° possèderont obligatoirement 3 points de fixations ;
LAVABO
Le lavabo est sans colonne avec un bord inférieur à plus de 0,70 m du sol.
Le bas des miroirs accessibles doit se situer à une hauteur maximale de 1,05 m ;
Tous les accessoires du sanitaire (porte-savon, séchoir...) doivent être disposés à moins de 1,30 m du sol.
EVIER
Les éviers seront de type « à poser » sans meuble sur des jambages au lot plâtrerie.
DOUCHE
Positionnement du mitigeur à 40 cm de l’angle du mur, hauteur 90 cm.
Pas de barre d’appui ni de siège à prévoir au marché.
Le pré-renforcement des ossatures des cloisons sera prévu par le plaquiste pour la pose ultérieure de barre d’appui
et de siège de douche.
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L’ensemble des accessoires sanitaires (barre, d’appui, siège,…) seront de marque PBA ou techniquement
équivalent;
Barre d’appui fixe ouverte constituée par un tube en nylon sans plan de joint, Ø 36mm X 3mm renforcé avec un
noyau continu en aluminium anticorrosif Ø 30mm X 3,2mm. Longueur horizontale 500* mm X 300* mm (*
dimensions extérieures).
Rosace de fixation murale en nylon renforcé par une rosace en acier anticorrosif Ø 77mm et disque de protection en
nylon pour fixation cachée avec trou pour vissage par les outils.
5.5.3.3. BATI-SUPPORTS
Ils seront élaborés suivant les directives de la Norme expérimentale AFNOR XP-D12-208 et devront résister à une
charge statique de 400 kg.
Les bâti-supports de type autoportants seront fixés à l’aide de goujons M10 au minima.
Sur les cloisons sèches, afin d’éviter l’écrasement de la cloison, il sera prévu systématiquement une entretoise de
renfort à l’appui bas de la cuvette (entre bâti et cloison) de type plaque de renfort Clara ou similaire.
Leur sélection fera l’objet d’une étude d’exécution attentive afin de s’assurer de leur compatibilité avec les
exigences dimensionnelles des gaines techniques.
5.5.3.4. RESERVOIR DE CHASSE

Les robinets à flotteur seront NF et à double débit 3 / 6 litres ou interrompable.
Dans les logements, sauf spécification particulière au chapitre 3, il sera sélectionné des réservoirs :
Avec robinet flotteur NF classe I “très silencieux” de marque CLARA modèle Claraclip ou techniquement équivalent.
Ou
Avec robinet flotteur NF de marque CLARA modèle Maxilence, LAP = 0 décibels (A) à 3 bars.
5.5.3.5. LUTTE CONTRE LES LEGIONELLES

Toutes les robinetteries auront des becs démontables pour effectuer des désinfections,
Toutes les robinetteries seront équipées de brise jet étoile et non de mousseur.
Organes de sécurité
Afin d’être conforme à la norme spécifiant la température limite de distribution d’eau (45°c) pour éviter les risques
de brûlures, toutes les robinetteries (mélangeur, mitigeur, électronique et thermostatique) seront équipées d’une
butée limitant la température de l’eau au point de puisage.
5.5.3.6. SPECIFICITES DE POSE

Concernant les joints en périphérie des appareils sanitaires, il sera utilisé un mastic sanitaire acrylique avec
fongicide. La réalisation sera strictement conforme au schéma ci-dessous :
PHASE 1 :
→ PHASE 2 :
2ème cordon silicone
1er cordon silicone après séchage phase 1
lors de la pose Lissage à l'outil
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Cette mise en œuvre devra être respectée et pourra faire l’objet d’un refus de réception.
5.5.3.7. MISE EN ŒUVRE DES ATTENTES PLOMBERIE

Collier résilient (tous les 20 cm)
Sauf spécifications contraires au chapitre 3,

Fourreau plastique arasé à 3 cm
lorsque l‘incorporation dans les parois n’est pas + étanchéité silicone
réalisable, la mise en œuvre des attentes pour les Dé béton avec plinthe carrelée mur
appareils cuisine devront être mises en place (10 cm)
conformément au schéma ci-dessous avec 1 vanne

à boisseau sphérique conforme à la directive PCD
97/23/CE.
5.6. SPECIFICATIONS DES RESEAUX HYDRAULIQUES
5.6.1. NATURE DES PROTECTIONS :
Toutes les tuyauteries susceptibles d'être exposées aux chocs seront protégées par des dispositifs résistants.
Les canalisations PER, PEHD, PVC devront être maintenues éloignées des sources de chaleur (tuyauteries de
chauffage, zones exposées à des rayonnements intenses). En cas d'impossibilité, les réseaux doivent être protégés
par une enveloppe calorifuge ou un fourreau de protection.
Les traversées de parois verticales ou horizontales seront réalisées sous fourreaux PVC dépassant légèrement les
deux faces de la paroi traversée. L'espace restant entre la tuyauterie et le fourreau sera comblé à l'aide d'un
matériau compressible, imputrescible.
Les canalisations enterrées reposeront sur un lit de sable, et seront repérées par un grillage avertisseur de couleur
réglementaire par rapport au fluide véhiculé.
Toutes les canalisations acier noirs seront protégées par 2 couches de peinture antirouille compatible, mise en
œuvre après un brossage ou un sablage efficace permettant d'éliminer toute calamine et toute impureté. Afin de
garantir sa tenue dans le temps, les colliers de fixation des tuyauteries seront munis de bandes de caoutchouc
antivibratoires (marque MÜPRO, type « Dammgulast® », ou techniquement similaire).
Les tubes cuivre pré-gainés, de par la nature de leur mode de pose (encastré), seront pré-fourreautés dans des
gaines cannelées solidaires ou non.
5.6.2. NATURE DES RESEAUX
Canalisations en Acier Noir

Ce type de canalisation se présente sous formes de tubes en acier noir, référencé par des « Tarif » donnant des
indications quant à leur mode de fabrication, et leurs caractéristiques physiques.
Les canalisations utilisées seront des tubes en acier répondant aux Normes en vigueur et adaptées aux exigences
des ouvrages à réaliser, du « Tarif 1 » pour Ø ≤ 50/60 (DN50), au « Tarif 10 » et « Tarif 19 » pour des Ø > 50/60 (DN 50).
Les tubes en acier noir « Tarif 3 » seront réservés aux canalisations véhiculant du gaz naturel desservit par le réseau
de ville, ou du gaz de pétrole liquéfié en citerne. Dans tous les cas, il ne sera pas utilisé de tube acier dont le Ø <
15/21 (DN 15).
▪ Assemblage par raccords en fonte malléable, ou par jeux de brides soudées et de contre-brides en acier
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▪ Assemblage par soudure autogène (les travaux de soudure ne seront effectués que par des ouvriers spécialisés
dont la qualification sera garantie par l'Entreprise. Ils seront exécutés et vérifiés conformément aux règles de
l'Institut de Soudure Autogène).
Canalisations en cuivre
Tube cuivre écroui conforme à la norme NF EN 1057 type SANCO garantie 30 ans.
Le diamètre intérieur des tubes sera toujours supérieur à 10 mm.
Les canalisations en cuivre seront dégraissées et assemblées par brassage à l’argent sans aucun raccord
démontable. Les canalisations étant sous la pression d’un gaz inerte (azote).
▪ Raccords filetés, suivant NORMES NF A 51/120 et NF A 68 / 201, anticorrosion.
▪ Assemblage par emboîtement, brasure par capillarité, fusion à basse température
▪ Assemblage par raccords sertis à froid (Système MANNESMANN « Mapress », ou techniquement équivalent)
▪ Les tuyauteries encastrées ne comporteront pas de soudures, et seront revêtues d'une gaine protectrice en
matière plastique, continue et d'une dimension suffisante pour permettre la dilatation du tuyau.
Les raccords sertis, encastrés, sont tolérés, dans le cas d’Avis Techniques fournis par certains fabricants
(MANNESMANN et son système « Mapress », par exemple).
Canalisations en Cuivre « Qualité Frigorifique »

Ce type de canalisation se présente sous forme de barres de tubes à bouts lisses, destinées à cheminer en aérien,
conformes aux Normes NF EN 1057, de 1 mm d'épaisseur, sans soudure, écroui étiré à froid, et livrés dégraissés
d’usine et bouchonnés. Limite d'utilisation 30 bar.
▪ Assemblage par brasage capillaire, sous atmosphère neutre, dont la teneur de l’alliage ≥ 40% d’argent, sans
cadmium (cf. NF EN 737-3)
▪ Les dérivations et raccords particuliers seront réalisés par des raccords et collecteurs de type spécifiques
(Marque DAIKIN, type « REFNET », ou techniquement similaire)
▪ Les tuyauteries encastrées ne comporteront pas de soudures, et seront revêtues d'une gaine protectrice en
matière plastique, continue et d'une dimension suffisante pour permettre la dilatation du tuyau.
▪ Les canalisations pour liquide et gaz seront calorifugées par manchons de mousse synthétique, de forte
épaisseur (19 mm minimum), marque NMC KENMORE, type INSUL’TUBE®, ou techniquement similaire.
Canalisations en Polyéthylène Réticulé &Polybutène

Ce type de canalisation se présente sous forme de couronnes de tubes à bouts lisses, en polyéthylène réticulé (PER),
de couleur bleue ou rouge, ou en polybutène (PB), de couleur grise, en couronnes ou en barres, conformes aux
Normes NF T 54-002 et NF T 54-091. Les canalisations de type PER ne seront utilisées que pour un cheminement
encastré, sous fourreau, tandis que les canalisations de type PB, seront utilisées indifféremment pour un
cheminement encastré sous fourreau (couronnes), ou aérien (en barre).
Ce type de canalisation possèdera, au minimum, les caractéristiques suivantes :
▪ Utilisation pour le chauffage à eau chaude (ou le conditionnement d’air), classe 0, série 4 bar, pour le chauffage
par « panneaux rayonnants », classe 2, série 6 bar, et pour la distribution eau chaude et eau froide sanitaire,
série 6 bar
▪ Les tubes utilisés seront de la série S5, suivant NF T 54-002, Classe 2 - Classe 0 – Classe ECFS
▪ ATEC n°14 + 15/82-129 du CSTB, pour le tube PER
▪ Qualité alimentaire attestée par PV n°3723 du Laboratoire National d’Essais
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▪ Limite d’utilisation du PER : 9.8 bar à 20°C - 3.9 bar à 90°C

▪ ATEC n°14 + 15/87-245 et n°14 + 15/93-360 du CSTB, pour le tube PB
▪ Limite d'utilisation du PB : 13 bar à 20°C - 4.6 bar à 90°C.
▪ Les tubes en encastré dans la dalle sur terre-plein seront gainés et en polyéthylène réticulé Conformément au
CPT 2808 du CSTB.
▪ Une gaine ICT de protection rouge ou bleu.
▪ Une gaine de mousse isolante en PER étanche et résistante à l’arrachement répondant aux exigences de la RT
2000. Livré en couronne, associé à des raccords en laiton.
▪ Tubes sous Avis Technique 14/01-669 avec une durée de validité de 5 ans, pour les applications suivantes
▪ Classe 0: Installation de chauffage du type radiateur (90°C) maximum avec des pointes accidentelles à 110°C.
Prescriptions particulières relatives à la mise en œuvre des canalisations PER :

▪ Les remontées des canalisations, au droit des parois verticales, devront être parfaitement perpendiculaires, et
à l’aplomb des terminaux de chauffage ou de plomberie desservis. Pour se faire, l’Entreprise mettra en œuvre
les accessoires spécifiques de pose tels que sorties de dalle pleine, sortie de chape, et sorties de cloison,
nécessaires à l’obtention d’une finition parfaite (marque ACOME, réf. 523215, 523214, 523363, 523364, 523150,
ou techniquement similaire).
▪ Les canalisations apparentes, entre le sol et le terminal desservi, seront habillées par manchettes spécifiques,
permettant l’application d’une éventuelle peinture de finition (marque ACOME, réf. 523209, ou
techniquement similaire).
NOTA : Dans tous les cas, le principe devra être décrit précisément sur plan par l’entrepreneur est validé
par le BET.
Tubes multi couches

Tube multicouches constitué d’un cœur en aluminium lié à deux couches internes et externe de PER extrudées.
Type : ALPEX DUO de marque PB TUB du diamètre 16x2 au diamètre 63x4,5
Le diamètre intérieur des tubes sera toujours supérieur à 10 mm.
La pose est autorisée en encastrée et dans ce cas devra être conforme au DTU.
Les canalisations multicouches seront assemblées selon recommandations du fabricant avec des raccords à sertir
en PPSU (Polyphénilsulfon) ou corps en laiton avec deux joints toriques EPDM. La douille à sertir sera en acier
inoxydable
Canalisations d’Adduction d’Eau en Polyéthylène Haute Densité (PeHD)

Ce type de canalisation se présente sous forme de couronnes ou de barres de résine de polyéthylène haute densité,
qualité eau potable (à bandes bleues), et est conforme à la Norme NF T 54-063. Les tubes retenus auront une
pression nominale (PN) toujours ≥ 12.5 bar.
Dans le cadre de l’opération, ce type de canalisation sera utilisé essentiellement pour véhiculer de l’eau froide.
Seuls seront utilisés les tubes portant une marque de fabrique indiquant qu'ils sont conformes aux Normes, les
pièces de raccords électro-soudables étant, quant à elles, conformes à la Norme NF T 54-063.
▪ Le polyéthylène ne se colle pas
▪ Pour Ø ≤ 315 mm, l’assemblage des tuyauteries peut être réalisé par raccords mécaniques plastiques (jusqu’au
Ø 110 mm), métalliques (jusqu’au Ø 250 mm), ou polyéthylène électro-soudables (jusqu’au Ø 315 mm),
conformes aux prescriptions du fabricant, et aux Avis Techniques du CSTB, relatifs à ces produits
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▪ Pour Ø >315 mm, l’assemblage des tuyauteries est réalisé par soudure bout à bout, sans apport de matière
(tubes entre eux, ou tubes avec raccord de même nature).
Canalisations d’Adduction d’Eau Froide en PVC-P

Ce type de canalisation se présente sous forme de barres de tubes prémanchonnés en polychlorure de vinyle, de
couleur gris foncé, conformes à la Norme NF T 54-016. Les tubes retenus auront une pression nominale (PN) toujours
≥ 16 bar, pour une pression de service (PMS) ≤ 10 bar. Ce type de canalisation sera utilisé pour véhiculer de l’eau
froide exclusivement. De même, tout façonnage ou formage des éléments en PVC, aussi bien en atelier que sur
chantier, est formellement interdit. Seuls seront utilisés les tubes portant une marque de fabrique indiquant qu'ils
sont conformes aux Normes, les pièces de raccords étant, quant à elles, conformes aux Normes NF T 54-016 et NF T
54-029.
▪ Le tulipage de ce type de canalisation est formellement interdit
▪ Assemblage des tuyauteries et divers éléments (brides pour robinetterie) par collage (colle à solvants forts),
après décapage, ou par bague d'étanchéité (mise en œuvre impérativement avec lubrifiant), conformément
aux prescriptions du DTU 60.31
▪ Assemblages démontables réalisés par raccords 3 pièces à coller, ou par collets collés et brides, suivant les
prescriptions du DTU 60.31
▪ Assemblage des tuyauteries avec des matériaux de nature différente (robinetteries, tubes métalliques), par
raccords mixtes à coller et taraudés, par brides ou par douilles à coller et écrou métallique.
▪ Il existe, pour ce type de canalisation, des précautions particulières à prendre, lors de leur mise en œuvre :
▪ Répartition judicieuse de points fixes et des changements de direction afin d'absorber les importantes
dilatations, et éléments de supportage conformes à ceux décrits dans le poste « Supportage& Fixations »
▪ Supportage, indépendant de celui de la tuyauterie, de toutes les pièces lourdes (robinetteries, accessoires)
▪ Montage des colliers de fixation sans serrage à force, permettant un léger glissement de la tuyauterie (Dans le
cas de pose en pente supérieure à 20%, le serrage réalisé constituera un point fixe, de part et d'autre duquel
seront aménagées des lyres de dilatation, ou des manchons de compensation de dilatation)
Canalisation d’Adduction d’Eau Chaude en PVC-C

Ce type de canalisation se présente sous forme de barres de tubes à bouts lisses chanfreinés, en polychlorure de
vinyle (gamme HTA POLY-V® Chaleur), de couleur brune, conformes aux Normes NF T 54-002 et NF T 54-028. Les
tubes retenus auront une pression nominale (PN) toujours ≥ 25 bar, pour une pression de service (PMS) fonction de
la température du fluide transporté (PMS ≤ 4 bar pour Fluide ≤ 90°C).
▪ ATEC n° 14 + 15/98-516, du Ø 12 mm au Ø 63 mm
▪ Qualité alimentaire attestée par l’Institut d’Analyses et d’Essais du Centre-Ouest
▪ Classement M1 suivant PV N°RA 98-959 du CSTB
▪ Raccordement par collage (colle spéciale à remise en eau rapide) en respectant les temps de séchage
▪ Utilisation dans le bâtiment, pour le transport d’eau chaude et froide sanitaire, et pour le chauffage central de
classe 2, et dans l’industrie, pour le transport de liquides corrosifs en température
▪ Température d'utilisation recommandée, dans le cadre de l’opération : ≤ 60°C
▪ Coefficient de dilatation : 0.065 mm/m.°C.
Pour une température de fluide limitée à 60°C, et pour des canalisations horizontales (majoration des distances de
20% pour les canalisations verticales), les espacements seront :
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▪ Ø extérieur = 20 mm nécessite un espacement maximal de : 70 cm

Canalisation d’Evacuation en PVC « Bâtiment NF » et « Assainissement Composite »

Le choix de l’un ou l’autre de ces matériaux, pour l’évacuation d’eaux usées (EU), d’eaux pluviales (EP) et d’eaux
vannes (EV), est fonction des contraintes de charge (CR 4 ou CR 8), et du domaine d’application public (utilisation
du PVC « Assainissement Composite »), ou privatif (utilisation du PVC « Bâtiment NF Me »), dans lequel les
canalisations seront mises en œuvre.
Ce type de canalisation se présente sous forme de barres de tubes en polychlorure de vinyle, à bouts
prémanchonnés ou lisses, de couleur grise, conformes aux Normes NF.
• Utilisation du PVC « Bâtiment NF Me», dans le domaine privatif, pour l’évacuation EU/EV, aérienne ou enterrée
• Utilisation du PVC « Bâtiment NF Me», dans le domaine privatif, pour l’évacuation EP, aérienne uniquement
• Utilisation du PVC « Assainissement Composite», dans le domaine privatif, pour l’évacuation EP enterrée
• Utilisation du PVC « Assainissement Composite», dans le domaine public, pour l’assainissement général, en
fonction des de la résistance sous charge souhaitée (CR 4  Classe 41 / Série 1 et CR 8  Classe 34).
• Dans le cas d’assainissement avec refoulement (station de relevage), utiliser de préférence du PVC-P, sélectionné
en fonction de la pression maximale de service, pour une °C ≤ 25°C
5.6.3. MISE EN OEUVRE
Les canalisations seront montées suivant les règles de l’art, d’aplomb, bien parallèles et avec une pente régulière.
Sur les canalisations de départ, les branchements d’eau chaude se feront sur la partie supérieure en faisant un angle
de 45° avec l’horizontale (sauf spécification contraire).
Les parties cintrées conserveront la même section circulaire sur toute la courbe. Le cintrage se fera uniquement à
la cintreuse hydraulique.
Les coudes sont des coudes du commerce, les cintrages ne sont admis que pour les diamètres inférieurs à 26/34.
Pour les diamètres intérieurs supérieurs à 50 mm, seuls les coudes du commerce de même qualité que les tubes
sont admis. Les coudes à souder doivent être du type 5D.
Les piquages des dérivations pourront être droits à la condition toutefois que le rapport des diamètres et la vitesse
du collecteur principal soient compatibles sinon le piquage est réalisé en pied de biche
Sur les canalisations de retour, ils seront réalisés sur le dessus ou sur le côté.
Les raccordements aux appareils tels que batteries, ventilo-convecteurs, panoplie de régulation, radiateurs, etc.
sont réalisés par raccords unions démontables et brides.
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5.6.4. SUPPORTAGE ET FIXATIONS DES CANALISATIONS
Le présent lot doit les ouvrages métalliques de supportage, compris depuis le sol en locaux techniques ou
chaufferies.
Les canalisations sont supportées par colliers. Leur nombre est défini de façon qu'aucune déformation de la
tuyauterie ne soit observée et selon les valeurs suivantes :
▪ 1.50 m : pour les diamètres inférieurs à : 34 mm
▪ 2.25 m : pour les diamètres compris entre : 34 mm et 49mm
▪ 3.00 m : pour les diamètres compris entre : 49 mm et 76 mm
Entre la tuyauterie et le collier, il est interposé un matériau souple, insonorisant, afin qu'aucune vibration ou
transmission de bruit ne soit possible (supportage MUPRO).
Les supports sont suffisamment libres pour satisfaire à la dilatation des tuyauteries.
D'une façon générale, les tiges filetées et boulonnerie sont cadmiées.
De façon générale, lorsque le passage le permet, il est fait usage de rail MUPRO galvanisé, à fixation coulissante, fixé
à la dalle. Il est fait usage de collier à visser avec matériau isolant.
Des bagues antivibratoires seront toujours prévues entre colliers et tuyauteries, et les effets de la dilatation des
canalisations seront absorbés de préférence par le tracé même du réseau, ou à défaut, par des organes spéciaux
(les compensateurs à presse-étoupe seront toutefois formellement interdits).
Les ouvrages de scellement, d'ancrage et de guidage des tuyauteries devront tenir compte des contraintes
maximales provoquées.
5.6.5. PRESCRIPTIONS PARTICULIERES RELATIVES AU SUPPORTAGE DES CANALISATIONS EN CUIVRE « QUALITE

FRIGORIFIQUE » :
Les liaisons frigorifiques chemineront sur chemin de câble en acier galvanisé et seront placées avec un souci
d'esthétique, parallèles et d'aplomb, toutes les fois que les conditions techniques n'y feront pas obstacle.
NOTA : Les tronçons cheminant en apparent dans les locaux seront placés sous goulotte PVC blanche, à capot
amovible.
Ce cas devra être exceptionnel et soumis à l’approbation du Maître d’œuvre.
NOTA : Si les liaisons frigorifiques cheminent en apparent à l’extérieur, elles seront posées sur chemin de câble
et protégées pas un capotage en acier galvanisé non perforé recouvrant l’intégralité de celui-ci.
5.7. SPECIFICATIONS DES RESEAUX AERAULIQUES
5.7.1. MISE EN OEUVRE
Les sections de gaines et altitudes des différents réseaux devront être définies de façon à respecter obligatoirement
les hauteurs libres des plénums de faux plafonds et des hauteurs sous plafond des différents locaux, indiquées sur
les coupes des plans Architecte, (compris épaisseur de la structure).
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Conduits circulaires
Les conduits circulairesseront en tôle d’acier galvanisé rigide, agrafés en spirales et réalisés selon la norme NF P
50.401 ;
Les conduits devront respecter les tracés et dimensions indiquées sur les plans (en cas d’impossibilité,
l’entrepreneur devra prendre contact avec le bureau d’Etudes) ;
Les conduits seront fixés à l’aide de colliers et de feuillards, raccordés par des pièces de raccordement ;
Toutes les pièces de raccordement seront livrés d’usine ;
Les bouches d’extraction seront raccordées au réseau par l’intermédiaire d’un conduit métallique flexible M0 d’une
longueur maximum 1 mètre acoustique ou non suivant les contraintes ;
Les accidents de parcours (coudes, dérivation, raccordements...) doivent être exécutés avec soin ;
Le tracé du réseau ainsi que la disposition de tous les organes, accessoires... seront conçus de façon à minimiser les
pertes de charge ;
Tous les coudes seront réalisés avec un rayon de courbure intérieur égal à la largeur de la gaine. Pour les gaines de
section circulaire, le rayon de courbure de l’axe sera égal au diamètre ;
Les coudes emboutis seront préférés aux coudes secteurs ;
L’intérieur des gaines doit être soigneusement fini afin d’éviter les bruits et sifflements ;
Les bouches les plus favorisés seront raccordées au réseau par de la gaine flexible circulaire de type ALU PHONIC,
composée d’une gaine intérieure micro perforée M0, d’un matelas de laine de verre d’épaisseur 25 mm et d’un pare-
vapeur extérieur ;
Le réseau collectif et les piquages individuels disposeront de tous les éléments (trappe de visite, bouchon pied de
colonne, etc.) pour réaliser leur nettoyage sans devoir démonter les liaisons entre les canalisations.
Les réseaux seront installés dans le plénum des locaux et circulations sous le plafond coupe-feu.
Les liaisons entre le caisson et le réseau d’extraction se fera par manchette souple M0, fixée par colliers de serrage,
mastic, bandes d’étanchéité afin de garantir une bonne étanchéité.
Un piège à sons de classement M0 sera prévu sur chaque caisson (côté réseau) avec dispositif absorbant non
susceptible de dégradation dans le temps et dimensionné pour un minimum de perte de charge, c’est à dire au
minima en laine de roche munie d’un voile anti-défribrage. Epaisseur 50 mm jusqu’au Ø 250 et 100 mm du Ø 315 au
Ø 800.
La réalisation des liaisons équipotentielles ainsi que tous travaux d’alimentation électrique autres que le
raccordement électrique entre l’extracteur et le boîtier de raccordement seront réalisés par le lot électricité.
L’entreprise du présent lot devra les raccordements électriques du caisson de ventilation à partir des attentes
laissées par le lot électricité.
Les gaines pourront être oblongues lorsque les hauteurs de plénums ne permettent pas le passage de gaines
circulaires dans les conditions aérauliques acceptables.
Nota : Toutes les gaines risquant de condenser devront être calorifugées avec un revêtement pare-vapeur..
Les gaines de soufflage ne seront pas forcément calorifugées à l’intérieur.
Les gaines d’extraction seront à calorifuger avec un revêtement pare-vapeur en cas de risque de condensation.
Conduits rectangulaires
La section des conduits sera déterminée en fonction des vitesses d'air préconisées. Les tôles utilisées devront être
conformes à la norme AF 36-320, en ce qui concerne leur galvanisation qui sera appliquée double face à raison de
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450 g/m2, soit une épaisseur de 60 m.

Le raidissage, par plis espacés de 150 mm, ou par pointes diamant autorisé pour les petites sections, devra être
complété par des cornières ou fer U.
Les gaines seront réalisée par tronçons ayant une longueur maximale de 2 m. Leur assemblage sera réalisé par
cadres cornières soudés par points sur les conduits, également galvanisés et étanchés entre la tôle et les cadres par
un masticage intérieur STULIK type Mastiflex 657 ou similaire. Les cadres auront les dimensions mentionnées ci-
après.
▪ Si 30 cm  plus grand coté du conduit  Dimensions Cadre = 25 x 25 x4 mm
▪ 100 cm  plus grand coté du conduit 30 cm  Dimensions Cadre = 30 x 30 x4 mm
▪ plus grand coté du conduit 100 cm  Dimensions Cadre = 35 x 35 x4 mm
Les points de soudure seront protégés de la corrosion, par application de peinture galvanisée, après fixation des
cadres et renforts. Les cadres seront assemblés par boulons cadmiés de 8 mm, le module de perçage restant
inférieur à 10 cm, avec serrage obligatoire aux 4 angles. L’étanchéité entre cadres sera assurée par joints STRULIK
type MEG 15 x 5 mm ou similaire, permettant de garantir un taux de fuite inférieur à 5%.
Les assemblages des gaines apparentes, ainsi que les supports, devront faire l’objet d’un plan de calepinage, soumis
à l’approbation du bureau d’études. La fixation des conduits sur les parois comportera des bagues antivibratoires.
Les traversées de parois seront étanchées, par interposition d’un matériau isolant phonique.
Les gaines ne devront pas présenter de défaut de planéité de la tôle, dans les parties courbes ou brisées. Pour se
faire, les croquis de tôlerie devront être étudiés afin d’assurer une géométrie des réseaux correspondant d’une part
aux contraintes techniques de circulation de l’air, et d’autre part à une apparence esthétique extérieure acceptable.
Dans tous les cas, les gaines seront classées M0, les épaisseurs de tôle étant définies ci-après.
▪ Si 70 cm  au plus grand coté du conduit  20 cm  Epaisseur tôle = 10/10ème
▪ 100 cm  au plus grand coté du conduit  70 cm  Epaisseur tôle = 12/10ème
▪ le plus grand coté du conduit  100 cm  Epaisseur tôle = 15/10ème
Les coudes seront réalisés avec un rayon de courbure moyen correspondant à 1.5 fois la dimension du plus grand
coté du conduit. Dans le cas où, du fait de contraintes géométriques, cette règle ne pouvait être appliquée, les
coudes seraient munis d’aubes directrices. Leur rayon intérieur sera, dans tous les cas, de 250 mm minimum, pour
des contraintes de fabrication. De même, des trappes de visite, démontables sans outillage, seront mis en œuvre
aux extrémités basses des colonnes montantes, à chaque changement de direction, et tous les 3 m des longueurs
droites, pour permettre les opérations de nettoyage.
Les pièces de transformation (trémies de changement de section) seront réalisées de façon à ce que les angles de la
pièce, par rapport au flux d’air soient de 15° maximum. Dans le cas où, du fait de contraintes géométriques, cette
règle ne pouvait être appliquée, les trémies seraient munies d’aubes directrices.
Conduits en matériau isolant autoporteur

▪ Type Fib’Air (référence France AIR), ou similaire, MO ou M1 suivant la classification du local desservi
▪ Assemblage par emboîtement des chanfreins ou par renforts périphériques extérieurs, en fonction de la
pression statique, suivant prescriptions et conseils de mise en œuvre du fournisseur
▪ Etanchéité des assemblages par collage et application de bande aluminium adhésive, suivant les prescriptions
du fournisseur
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5.7.2. SUPPORTAGE ET FIXATIONS DES RESEAUX AERAULIQUES
La répartition des supports des réseaux aérauliques sera fonction de la dimension des conduits, comme suit :
▪ Si 100 mmlargeur du conduit 600 mm  Supports tous les 3.00 m
▪ 650 mmlargeur du conduit 1200 mm  Supports tous les 2.50 m
▪ largeur du conduit 1200 mm  Supports tous les 2.00 m
5.7.3. TRAPPE DE VISITE
Afin de respecter l’article GC 14 du règlement de sécurité, les conduits d’extraction seront équipés de trappes de
visites de 3 dm² éloignées d’axe à axe de 3 m maximum ainsi que des trappes de même dimension à chaque
changement de direction et une à la base de toute partie verticale du conduit munie d’un réceptacle de résidus.
Les trappes sur conduits VMC et réseau de compensation cuisine seront de marque France AIR type VISIT’AIR C.
▪ Dimensions : 180x80 pour conduit Ø 125
▪ Dimensions : 250x150 pour conduit Ø >125
5.8. ASPECTS BACTERIOLOGIQUES ET EPIDEMIOLOGIQUES

La qualité de l’air intérieur, le traitement de l’ambiance et le confort des locaux impliquent en même temps des
installations assurant, par leur conception, fonctionnement, maintenance et conduite, sécurité bactériologique et
épidémiologique de l’environnement.
Une attention sera portée également au contrôle de la légionellose.
Les sources d’épidémie impliquées par les installations de climatisation devront être éliminées :
▪ Les condensats des batteries d’eau glacée / unités terminales seront efficacement évacués,
▪ La production de froid est assurée par des groupes à condensation par air et non par des groupes frigorifiques
associés à des tours de refroidissement,
▪ Nettoyage et rinçage de l’ensemble des réseaux sanitaires.
5.9. RINÇAGE - DESINFECTION DES RESEAUX
5.9.1. NETTOYAGE DES RESEAUX AERAULIQUES
Compte tenu de l’obligation impérative pour l’entrepreneur de livrer le réseau de conduits en état de propreté
absolue, ce nettoyage devra être réalisé avec les plus grands soins, par tous moyens qu’il jugera efficace, et plus
particulièrement en ce qui concerne l’hygiène.
En préalable, la mise en œuvre des conduits d'air doit être parfaite, le stockage des conduits est limité sur chantier
au minimum, les extrémités des conduits sont calfeutrées pour le transport et la manutention ainsi que pendant les
travaux à chaque piquage.
Avant pose les conduits sont aspirés soigneusement et nettoyés par tissus imprégnés.
Les découpes des conduits à la tronçonneuse lapidaire ou autres outillages sont limitées au strict minimum.
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5.9.2. RINÇAGE DES RESEAUX SANITAIRES
Les tuyauteries seront soumises à 2 rinçages successifs.

À cette occasion, l’Entreprise fournira la contenance de l’installation par lecture du compteur d’eau deremplissage.
5.9.3. DESINFECTION DES RESEAUX SANITAIRES
Elle devra être effectuée dans les règles du DTU conforme à l’annexe B de la circulaire du 15/03/1962 modifiée par
la Circulaire du 8 septembre 1967et réalisée par une entreprise ayant l’habitude d’effectuer ce type de prestation.
L’entreprise de plomberie sanitaire devra mettre en place un piquage sur l’entrée du réseau à stériliser avec vanne
d’isolement ¼ de tour.
La stérilisation s’effectuera par injection de permanganate de potassium. Pendant cette injection, il faut purger tous
les points d’eau jusqu’à l’apparition du produit qui donne une teinte rosée à l’eau. Laisser agir 24 H, vidanger les
réseaux, les remplir et bien rincer.
La stérilisation du réseau ne pourra pas s’effectuer avec du chlore liquide si du PVC est employé car peu compatible.
A l’issue de cette opération une attestation de stérilisation du réseau sera à remettre au bureau d’études ou au
maître d’ouvrage.
Toutes ces opérations de désinfection devront être faites avec l'accord des Services de la Compagnie Distributrice
et les autorités compétentes.
Sur les ballons de stockage de plus de 1000 litres, une stérilisation annuelle est conseillée et rendue
obligatoire par les règlements sanitaires départementaux.
Une manchette témoin démontable + prise d’injection sera prévue afin de permettre l’injection de produit de
désinfection à titre préventif ou curatif.
5.10. PROTECTION DES RESEAUX CONTRE LA POLLUTION
5.10.1. RESEAUX EAU FROIDE
Le décret du 5 avril 1995 rappelle l'obligation de la protection sur la quasi-totalité des réseaux d'alimentation eau
froide.
Les appareils de protection seront, en fonction de la nature de l'eau et des caractéristiques des installations, de type
suivant :
▪ disconnecteurs de type BA-CA-DA-EA ou HA, selon le cas ;
▪ clapets de non-retour ;
▪ dispositifs de surverse.
5.10.2. APPAREILS DE PRODUCTION D'EAU CHAUDE
Les articles 16-7 et 16-8 du RSDT, stipulent la présence sur l'installation d'une fonction de disconnection du type CB
à zones de pressions différentes non contrôlables répondant aux exigences fonctionnelles de la norme NF 43-011,
destinée à éviter les retours d'eau de chauffage vers le réseau d'eau potable est requise.
Une étiquette devra indiquer la présence ou non du disconnecteur sur l'appareil.
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5.11. ROBINETTERIES – ACCESSOIRES

Clapets de non retour
Les clapets de retenue NF seront d’un modèle en corps fonte, à battant, posés horizontalement ou du type montage
en toutes positions en cupro-alliage. Ils seront toujours précédés d’une vanne d’arrêt.
Robinetterie de diamètres égaux ou inférieurs à 50 mmet une °C ≤ 130°C

Corps en laiton matricé, passage intégral, PN 20, boisseau sphérique en laiton chromé dur, joint PTFE, commande
¼ tours avec plaquette d’identification de couleur, fonction du fluide véhiculé
Robinet type droit - avec ou sans purgeur suivant le cas. Chaque robinet d’arrêt devra pouvoir être démonté de la
canalisation qui le reçoit.
Robinetterie de diamètres supérieurs à 50 mmet une °C ≤ 100°C à boisseau sphérique

Corps en fonte FT25, passage intégral, PN 16, boisseau sphérique en laiton chromé dur, sièges et joint PTFE,
commande ¼ tours en acier, axe inéjectable en laiton, trou de fixation taraudés, brides GN10/16, écartement suivant
normes NF 29323
Vanne papillon de diamètres supérieurs à 32 mm à 200 mmet une °C ≤ 110°C

Corps en fonte ENJL 1040 revêtu époxy, bague palier de guidage en DELRIN, oreilles de centrage et de retenue
Construction selon la norme EN 593 (03/98), face à face selon la norme EN 558-1 tableau 5, platine conforme à la
norme ISO 5211, et essais réalisés suivant la norme EN12266-1 Taux A
Manchette en EPDM (élastomère moulé par injection), protégeant intégralement le corps et l’arbre de la corrosion,
assurant une étanchéité parfaite aux passages des axes par la compression des tourillons sur les portées sphériques
du papillon et de la manchette, et bénéficiant d’une plage d’étanchéité importante sur ±5°
Papillon en acier inoxydable 1.4408 (ASTM A351 CF8M), de forme lenticulaire (faibles pertes de charge)
Pivot et axe en acier inoxydable 1.4021 (à 13% de chrome)
Levier de commande à gâchette et à secteurs, en alliage d’aluminium jusqu’au DN 150, en acier à secteurs fonte
pour le DN 200, et à levier acier coulissant du DN 250 au DN 300
Filtres
Sur les réseaux et en amont d’organes de détente, de contrôle ou d’équipement particulier, il sera installé un filtre.
Ce filtre sera du type à tamis amovible en acier inoxydable.
Raccordement taraudé pour les diamètres inférieurs à 50 mm.
Raccordement à bride pour les diamètres supérieurs à 50 mm.
En tête des installations au niveau du branchement d’eau, il sera mis en place des filtres clarificateurs à lavage
automatique par déclenchement manuel.
Détendeurs
Les détendeurs, seront du type à membrane préformée avec ressort en acier cadmié, réglage de la pression par vis
et contre-écrou, ou à siège unique et clapet équilibré, corps en bronze ou en laiton.
La mise en oeuvre d’un filtre en amont est obligatoire avec manomètre amont et aval.
Le calibrage de ces équipements sera fait en fonction des besoins réels à traiter et non en rapport du diamètre de la
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tuyauterie correspondante de raccordement.
Purge d’air
Tous les points hauts des circuits seront munis de type de purgeurs d’air à grande chambre de dégazage et flotteur
coulissant avec valve inopturable 100 % automatique de marque SPIROVENT, ou techniquement équivalent.
Les bouteilles de purge seront équipées d’un purgeur d’air automatique isolé par un robinet à boisseau sphérique
de diamètre DN = 15 mm.
Manomètres
En différents points des réseaux et à proximité d’équipements particuliers, il sera installé des manomètres
indicateurs.
Ces manomètres auront un boîtier de diamètre 50 à 100 mm et leur échelle de lecture sera sélectionnée au plus près
de la pression à mesurer, tout en respectant la pression maximale des circuits.
En amont, un robinet d’isolement sera installé.
Thermomètres
Les lectures de température devront pouvoir être vérifiées sur tous les points des circuits d’eau où il sera nécessaire
de connaître :
Les températures en amont et en aval des équipements de production ou d’échange thermique,
Les températures au départ et à chaque point d’utilisation le plus défavorisé des réseaux d’eau chaude.
Les thermomètres indicateurs auront un boîtier de diamètre 50 à 100 mm et une échelle de lecture qui sera
sélectionnée au plus près de la température à mesurer, tout en respectant les limites extrêmes pouvant être
atteintes à l’arrêt de l’installation.
A l’emplacement de chaque thermomètre, il sera prévu un doigt de gant de contrôle. Ces doigts de gant seront en
acier ou en laiton suivant la nature des réseaux.
Disconnecteurs hydrauliques
Le corps du disconnecteur sera en fonte aciérée ou en bronze, marque SOCLA, JADO, WATTS ou BRAUKMANN,
suivant le diamètre avec clapet en noryl ou en laiton, joints de clapets en caoutchouc. Ressorts et visserie en acier
inoxydable.
La mise en œuvre se fera suivant les directives du service Eaux de la ville, notamment en ce qui concerne le choix du
dispositif de disconnection antipollution.
Dans le cas de débit important ou d’une alimentation ne pouvant être interrompue, le dispositif de disconnection
se fera sur la base de plusieurs disconnecteurs montés en parallèle.
5.12. EQUILIBRAGE DES RESEAUX AERAULIQUES

L’équilibrage de l’installation devra être parfait et ne générer aucun déséquilibre aéraulique.
Ils seront effectués tranche par tranche puis réseau parréseau jusqu'à la centrale, avec vérification des débits
soufflés aux grilles.
Sur les réseaux basse pression, compte tenu des parcours les organes d'équilibrage seront disposés sur les
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dérivations principales et secondaires.

Des registres manuels (de préférence à iris) ou au minima perforés seront prévus partout où cela est nécessaire de
façon à contrôler les débits. Chaque piquage sera soigneusement équilibré.
En amont et en aval de chaque appareil et après piquage, il sera prévu des trous d’accès bouchonnés pour
l’introduction d’appareils de mesure (position conforme à NF X 10112, NF X 10113, NF X 44 052) ;
Sur les diamètres inférieurs à 160 mm, il pourra être employé des régulateurs de débit autoréglables.Ils permettront
de maintenir un débit constant quelles que soient les variations de pressions dans le réseau aéraulique.
Il sera effectué, en fin de travaux, un contrôle bouche par bouche des débits réels. Ceux-ci ne devrontpas s'écarter
de plus de 5 % des débits théoriques calculés.
5.13. PERCEMENTS – REBOUCHAGES - SCELLEMENTS

Tous les percements (hors réservation), trous de scellements, saignées, scellements, rebouchages, etc., dans les
murs, cloisons, planchers, etc., existants, nécessaires pour les travaux, seront réalisés par l’entrepreneur.
L’entrepreneur aura également à réaliser les raccords de plâtre ou autres, selon le cas.
Dans le cas général, les scellements se feront au mortier de ciment et sable fin. Les cales en bois dans les scellements
sont interdites.
Dans le cas de scellement dans les parois extérieures en matériaux isolants, le scellement devra, dans la mesure du
possible, être réalisé avec des matériaux identiques.
NOTA IMPORTANT : Chaque fois que l’entreprise percera une paroi coupe-feu pour le passage de conduites, câbles,
goulotte et autres matériaux, elle aura soin de bien reboucher les ouvertures pour conserver le degré coupe-feu de
la paroi traversée.
Pour l’obturation coupe-horizontale ou verticale de passage de câble, de tuyau, de conduits (non exhaustif) :
▪ Mortier de type NOVASIT CF 2 H (PV CSTB 95-40268, pour les calfeutrements sans coffrage.
▪ Mastic silicone de type FIRESTPO 700 M1 F1, mastic silicone monocomposant utilisé comme obturateur
résistant au feu, pour étanchéité des conduits de ventilation, joints,…
▪ Mousse polyuréthanne de type FIRE FOAM 1 C CF jusqu’à 6 heures, propriétés d’isolation thermique et
acoustique pour remplissage de cavités, joints de raccordements.
5.14. SECURITE INCENDIE
5.14.1. CLAPETS COUPE-FEU AUTOCOMMANDE / TELECOMMANDE
Les clapets coupe-feu conformes à la norme NF EN 1366-2 sont disposés aux traversées de parois coupe feu et sont
du même degré coupe-feu que la paroi traversée.
Ils sont constitués d'un matériau réfractaire exempt de plâtre et amiante, pour le volet et le tunnel. L'axe du volet
est en acier et pivotera sur des paliers en laiton, l'étanchéité du volet et de l'axe est obtenue par matériau
intumescent.
Le raccordement aux conduits d'air rectangulaires est exécuté par bride et virole dans le cas de conduit circulaire.ils
posséderont leur propre supportage, leur assurant la stabilité nécessaire au feu.
La section de passage de l'air est la même que celle du conduit, les critères de niveau sonore et de perte de charge
devant être pris en compte.
Ils ne devront pas être générateurs de bruit ou de vibrations incompatibles avec les niveaux sonores imposés
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(vitesse d’air inférieur ou égale à 10 m/s).

Les organes de commande tels que levier de réarmement, fusible devront être accessibles.
La position des clapets coupe-feu est repérée par une pastille disposée sur le faux plafond portant le n° du dossier
du SSI. Les raccordements électriques sont à charge du présent lot.
Au droit des traversées de zone de compartimentage (ZC)

Les clapets seront de type télécommandés.
Les clapets télécommandés fonctionneront par déclencheur électromagnétique sur ordre du CMSI par émission
(VDS) de courant 48 V.
Au droit des traversées de zone de désenfumage (ZF)

Les clapets seront de type auto commandés avec report de position avec contact de position unipolaire
normalement ouvert.
Le câblage entre chaque clapet et le module d’entrée dans l’armoire divisionnaire du lot électricité sera réalisé par
le présent lot en câble SYT 1 paire 9/10ème.
5.14.2. BOUCHE COUPE-FEU
De type BCF 1 de marque FRANCE AIR ou techniquement équivalent (coupe-feu 1H), la bouche assure les fonctions
de débit et de compartimentage.
La bouche coupe-feu sera en tôle d’acier laquée blanc pour la partie visible et aura une perte de charge réglable. Le
mécanisme de déclenchement sera situé dans la veine d’air par fusible 70°C et ressort de rappel.
Le degré coupe-feu exigé par la législation (en réponse aux articles CH 32-42-43 notamment) sera restitué par
matériau réfractaire moulé.
5.14.3. CLAPETS TERMINAUX
De type CTCF 60 N de marque FRANCE AIR ou techniquement équivalent (coupe-feu 1H), ce type de clapet est
souvent associé à une bouche de ventilation et il restitue le degré coupe-feu exigé par la législation (en réponse aux
articles CH 32-42-43 notamment).
L’ensemble est constitué d’une cartouche circulaire insérée dans une collerette en fibro-ciment sans amiante. La
cartouche se compose de deux volets demi-ronds maintenus en position ouverte par un fusible en laiton
Le mécanisme sera conforme à la norme NFS 61 937.
Ce clapet ne pourra pas traverser un écran coupe-feu de fermettes.
5.14.4. JOINTS INTUMESCENTS
A chaque traversée de canalisation EV d’une gaine délimitée par une zone de recoupement au feu, il sera placé un
collier coupe-feu intumescents permettant d'éviter la transmission de l'incendie par les tuyaux PVC.
Composé de deux coquilles acier galvanisé verrouillées autour du tuyau par profil à glissière.
Classement tenue au feu : CF 2 h (PV n°94.A.059 et 89.28.591D délivrés par CSTB et PV n°91.E.376 délivré par CTICM).
Mise en œuvre : pose d’un collier de part et d’autre du mur et en sous-face de dalle, en encastré ou en applique.
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5.14.5. MANCHONS COUPE-FEU
A chaque traversée de canalisation EV d’une gaine délimitée par une zone de recoupement au feu, il sera placé un
collier coupe-feu intumescent permettant d'éviter la transmission de l'incendie par les tuyaux PVC.
A la traversée de plancher sur parking couvert et entre ERP et logements.
A la traversée de plancher entre ERP et logements.
Manchon coupe-feu DELMO ou techniquement équivalent
Ce produit incombustible et intumescent sous l’effet de la chaleur s’expanse et
obture l’intégralité du passage en comblant notamment l’espace libéré par les
éléments détruits sous l’effet des flammes et de la chaleur - tube PVC - et permet de
garantir la durée coupe-feu d’un mur maçonné ou d’un plancher traversé par des
tuyauteries plastiques.
Le manchon sera de diamètre correspondant à celui du tuyau.

P.V. : C.T.I.C.M.
5.15. CALORIFUGE
La nature et l’épaisseur du calorifuge d’une canalisation seront fonction de la température du fluide transporté, de
la température de l’ambiance traversée par la canalisation, et de la classe d’isolation souhaitée.
NOTA : L’entrepreneur se réfèrera à l’étude thermique Règlementaire concernant la classe d’isolation des
réseaux hydrauliques et aérauliques. La classe d’isolation indiquée conditionnera les choix des matériels et
de la mise en œuvre. L’entrepreneur ne pourra déroger à ces règles.
En l’absence de précisions contraires mentionnées explicitement au § 5« DESCRIPTION DES OUVRAGES », l’isolation
des canalisations sera de Classe 3 minimum.
Le calorifugeage des réseaux et appareils devra être réalisé de façon telle que le démontage de toutes les parties
puisse être effectué aisément avec réservation des manœuvres de robinetterie et entretien courant sans risque de
dégradation.
Les tronçons de réseaux hydrauliques soumis à la température extérieure comportent un traçage électrique antigel.
Les travaux de calorifuge ne pourront débuter qu’après les essais d’étanchéité des réseaux et peinture antirouille.
De façon générale, les accessoires utilisés seront ceux préconisés par le fabricant afin de ne pas altérer les
caractéristiques (réaction au feu, résistance thermique, etc.), de l'ensemble ainsi réalisé.
NOTA : Les vannes papillon, les vannes d’équilibrage, les corps de pompe seront calorifugés avec la même
finition que la tuyauterie sur tous les réseaux de chauffage afin de limiter les pertes de calorie sur
l’ensemble de ces éléments.
Les pertes de calorie devront être prise en compte et justifier par bâtiment. La prise en compte global des pertes
sera reportée sur l’installation. Ces notes seront à charge de l’entreprise titulaire du lot suivant la sélection du
calorifuge.
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5.15.1. RESEAUX AERAUL
5.15.2. IQUES
Tous les conduits véhiculant de l'air traité (chauffé ou rafraîchi) seront isolés, de même que tous les conduits
présentant un risque de condensation (intérieure ou extérieure).
L’isolation thermique, intérieure ou extérieure (suivant le matériau utilisé et la nature des réseaux aérauliques
traités), des gaines en tôle d'acier galvanisé sera réalisées par un isolant A2 s1 d0 (MO), mis en œuvre suivant les
préconisations du fabricant.
Sauf précision contraire mentionnée explicitement dans le chapitre « DESCRIPTION DES OUVRAGES », les critères à
respecter, en matière de calorifuge des gaines, sont les suivants :
▪ La gaine recevra un encollage destiné à la fixation du calorifuge,
▪ Pare-vapeur Kraft aluminium 15 microns renforcé par fibre de verre en maillage :
▪ Finition d'étanchéité par bandes kraft aluminium auto-adhésives.
▪ Cerclage par feuillards aluminium chaque 50 cm au maximum. Les gaines rectangulaires comporteront en
outre des clips métalliques ou en Nylon en sous face inférieure pour la fixation du calorifuge avec pour une
largeur de gaine supérieure à 600 mm :
• deux rangées minimum,
• espace maximum entre deux rangées : 300 mm,
• distance maximum au bord de la gaine : 150 mm.
A l’extérieur et dans les locaux techniques :

▪ Calorifuge ininflammable classe A2 s1 d0 (MO) minimum conforme à la réglementation.
▪ Matériau : Panneau de laine de verre d’épaisseur 25 à 50 mm(en fonction de la classe d’isolation définie à
l’étude thermique), sur face en contact avec la tôle, d’un voile de verre jaune, et sur face en contact avec l’air,
d’un voile de verre noir (Primitif 2VM0), pour les conduits rectangulaires.
▪ Matériau : Gaine double peau, isolée par matelas de laine de verre d’épaisseur 30 mm, pour les conduits
circulaires.
▪ Installation : à l'intérieur du conduit, sauf dans le cas d’un traitement d’air avec filtration absolue.
Dans les faux plafonds, ou en gaine technique :

▪ Calorifuge ininflammable classe A2 s1 d0 (MO) minimum conforme à la réglementation.
▪ Matériau : Matelas de laine de verre revêtu d’une feuille d’aluminium (Kraft’Alu).
▪ Epaisseur : 25 mm minimum.
▪ Installation : à l'extérieur du conduit.
5.16. PEINTURES
Toutes les parties métalliques, supports, tôles, tuyauteries en fer noir sont recouvertes de deux couches de peinture
antirouille (une couche de peinture antirouille de pénétration et une couche de peinture antirouille de finition lisse
et brillante et de couleur différente de la première) après dégraissage et brossage soigné, notamment au niveau des
soudures.
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Les peintures, comme tous les produits employés, devront respecter la réglementation du 7 août 1997 et du 22
janvier 1998 ainsi que le décret du 1er février 2001, relatif aux risques présentés par lesproduits contenant du
benzène ou des éthers de glycol.
Le type de peinture employée fera l’objet d’une FDES (www.fdes.fr ou www.inies.fr).
Les parties visibles, non calorifugées, sont revêtues d'une couche de peinture glycérophtalique aux couleurs
conventionnelles dans les locaux techniques exclusivement, ceci incorporera les brides et corps de vannes en fonte.
Peinture réseau gaz : Jaune RL 1004
5.17. REPERAGE
Les circuits hydrauliques et aérauliques sont repérés suivant les couleurs conventionnelles définies par l'AFNOR, en
locaux techniques et galerie technique.
Les organes principaux et appareils depuis la naissance des réseaux jusqu'aux terminaux sont repérés par
médaillons lisibles portant le nom du réseau et le numéro de l'organe de réglage ou de manœuvre.
Les centrales d'air et ventilateurs, sont identifiés par plaques lisibles.
Les caractéristiques techniques des appareils et des réseaux devront figurer sur les schémas de principe.
L'ensemble des éléments de sécurité incendie tels que ventilateur, trappe, CCT, devront être repérés. Des pastilles
autocollantes de couleurs seront mise en œuvre sur les montants métalliques de la structure des plafonds proches
des cloisons et/ou murs au droit des équipements.
Ces pastilles seront également utilisées pour repérer les organes de coupures et de régulation qui sont placés en
plénum.
Les couleurs de fond susceptibles d'être rencontrées sur les tuyauteries rigides ainsi que les différents
emplacements possibles seront conformes à la directive NF-X 08 100.
Les plaques indicatrices seront en matériau inaltérable avec indications gravées, de dimensions adaptées.
5.17.1. PERCEMENTS – REBOUCHAGES - SCELLEMENTS
Tous les percements (hors réservation), trous de scellements, saignées, scellements, rebouchages, etc., dans les
murs, cloisons, planchers, etc., existants, nécessaires pour les travaux, seront réalisés par l’entrepreneur.
Cet entrepreneur aura également à réaliser les raccords de plâtre ou autres, selon le cas.
Dans le cas général, les scellements se feront au mortier de ciment et sable fin. Les cales en bois dans les scellements
sont interdites.
Dans le cas de scellement dans les parois extérieures en matériaux isolants, le scellement devra, dans la mesure du
possible, être réalisé avec des matériaux identiques.
NOTA IMPORTANT : Chaque fois que l’entreprise percera une paroi coupe-feu pour le passage de conduites, câbles,
goulotte et autres matériaux, elle aura soin de bien reboucher les ouvertures pour conserver le degré coupe feu de
la paroi traversée.
Pour l’obturation coupe-horizontale ou verticale de passage de câble, de tuyau, de conduits (non exhaustif) :
• Mortier de type NOVASIT CF 2 H (PV CSTB 95-40268, pour les calfeutrements sans coffrage.
• Mastic silicone de type FIRESTPO 700 M1 F1, mastic silicone monocomposant utilisé comme obturateur résistant
au feu, pour étanchéité des conduits de ventilation, joints,…
• Mousse polyuréthanne de type FIRE FOAM 1 C CF jusqu’à 6 heures, propriétés d’isolation thermique et acoustique
pour remplissage de cavités, joints de raccordements.
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5.18. COMPTAGES
Les compteurs seront installés sur la tuyauterie de retour; sur une portion rectiligne de même diamètre que le
compteur, exempte de tout élément perturbateur, tel que vanne, filtre, sonde, té, etc., d'une longueur minimum de
6 diamètres en amont et de 4 diamètres en aval. Ils seront toujours précédés d’un filtre.
Par ailleurs conformément pour les bâtiments répondant à l’Arrêté du 26 octobre 2010, les comptages seront définis
de la façon suivante :
▪ Pour le chauffage : par tranche de 500 m² de SURT concernée ou par tableau électrique, ou par étage, oupar
départ direct ;
▪ Pour le refroidissement : par tranche de 500 m² de SUUT concernée ou par tableau électrique, ou par étageou
par départ direct ;
▪ Pour la production d’eau chaude sanitaire ;
▪ Pour les centrales de ventilation : par centrale ;
▪ Par départ direct de plus de 80 ampères.
5.18.1. COMPTEURS D’EAU
Tous les compteurs devront être directement connectables, via un émetteur d'impulsions.
Ils possèderont une homologation CEE classe C en position horizontale.
5.19. REGULATION / ANALYSE FONCTIONNELLE

Une analyse fonctionnelle détaillée et un synoptique de régulation expliquant le fonctionnement des différents
équipements devront être fournis en phase EXE par l’entreprise titulaire du présent lot.
5.20. ALARMES TECHNIQUES
5.20.1. PRESSOSTATS D’AIR
Les pressostats sur centrales seront de type pressostats à membrane avec microrupteur pour le contrôle des
pressions d'air dans les installations de climatisation, de ventilation et d'extraction, pour surpression, dépression
et pression différentielle, marquage CE type CPS de KROM SCHRODER, PR de chez France Air ou techniquement
équivalent avec les caractéristiques minimales suivantes :
▪ Plages de commutation : 20 à 400 Pa
▪ Raccord à flexible et molette pour le réglage du point de consigne
▪ Contacts pour les tensions de 12 à 250 V
▪ Raccordement électrique : bornes, presse-étoupe pour câble PG 11/M16
▪ Accessoires : lampes témoins pour 240 V, 110 V (vertes ou rouges), DEL pour 24 V~/=
vertes ou rouges/vertes embase et ajustement extérieur (pour certains modèles)
5.21. ACOUSTIQUE
L'appareillage sera disposé sur des plots antivibratiles de Marque MUPRO ou techniquement équivalent disposés
en double épaisseur et nombre suffisant pour répondre aux données du calcul en fréquence et en répartition de
charge. Ils seront à basse coupure de fréquence (<7 Hz).
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Les ventilateurs d'extraction seront disposés sur des plots antivibratiles parfaitement dimensionnés.
L'adjudicataire restera responsable des choix en matière de technique antivibratoire et veillera à la parfaite
planimétrie des socles maçonnés ou métalliques.
De façon générale, les caractéristiques acoustiques de l’installation sont telles que les niveaux de bruits engendrés
à l’intérieur des locaux comme à l’extérieur, ne soient pas supérieurs aux niveaux autorisés par les dispositions
réglementaires en vigueur ou par le présent descriptif.
Une attention particulière sera portée aux caractéristiques acoustiques des matériels sélectionnés et à leur mise en
œuvre.
Dans ce but, pour tout appareil susceptible d’engendrer des gênes on sélectionnera les modèles les plus silencieux
compte tenu des conditions réelles de fonctionnement (écrans, éloignement, réverbération...).
Si cette mesure est insuffisante, il conviendra de prévoir avant remise des prix des silencieux ou tout autre dispositif
d’insonorisation équivalent.
Les résultats acoustiques engagent l’entrepreneur dans le cadre de l’obligation de résultat. Si des problèmes de
bruit étaient à craindre, l’entrepreneur prévoirait implicitement dans son prix l’exécution de tous les travaux
nécessaires à l’obtention de niveaux acceptables.
Tous les travaux concernant l’acoustique des installations sont donc à la charge de l’entrepreneur.
La réception des travaux ne pourra être prononcée que lorsque l’entrepreneur aura fourni la preuve que les
conditions acoustiques exigées pour l’installation sont satisfaites.
Il devra remédier à toute cause de bruit sous peine de se voir refuser l’ensemble des travaux.
L’entrepreneur du présent lot devra mettre en œuvre tous les moyens techniques et technologiques pour limiter au
minimum les bruits engendrés par ses installations ainsi que leur propagation, en particulier :
▪ Parcours des canalisations le plus simple possible,
▪ coudes longs ou à grand rayon (pas de coudes courts),
▪ piquages en « pied de biche »,
▪ tés cintrés,
▪ pas de changement brusque de diamètre,
▪ robinetterie et accessoires de tuyauteries de qualité et à passage intégral,
▪ clapets silencieux,
▪ anti-bélier type hydropneumatique,
▪ les pompes seront montées sur des massifs en béton suffisamment lourds environ 3 fois la masse du groupe, et
séparées du bâtiment proprement dit par des matériaux isolants sous forme de cales, de rondelles ou de
feuilles de caoutchouc spécial,
▪ les supports de tuyauteries seront suffisamment nombreux et robustes et ne seront jamais directement sur les
cloisons légères ou sur les plafonds. Les tuyauteries seront séparées de ces supports par des matériaux
isolants avec une garniture insonorisante de 24 dB minimum ainsi qu’aux traversées des planchers et parois,
▪ toutes liaisons d’appareils, tuyauteries ou d’autres avec la structure du bâtiment devront comporter au
contact un matériel souple isolant.
5.22. ELECTRICITE
5.22.1. GENERALITES
Les raccordements électriques depuis les attentes laissées à proximité des équipements CVC-PLB par le lot
Electricité sont à charge du présent lot.
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Les équipements électriques seront regroupés dans des armoires disposées dans les locaux techniques
principalement à charge du lot électricité.
Seule les armoires électriques suivantes seront à charge du présent lot :
▪ Armoire local PAC
Le lot Electricité courant fort - courant faible alimentera seulement les armoires électriques décrites ci-dessus.
L’entreprise titulaire du présent lot devra la jonction depuis l’armoire jusqu'à ces équipements.
Le présent lot devra aussi la mise à la terre de tous ses équipements métalliques depuis les attentes laissées à
proximité par le lot Electricité.
L’ensemble des autres prestations électriques dues au présent lot sera décrit ci-dessous et devra être réalisé suivant
les normes en vigueur.
5.22.2. CONCEPTION DES ARMOIRES
Enveloppe
Armoire en coffret suspendu ou sur socle, en fonction de son encombrement et de la configuration du local, en tôle
d'acier, ép. 15/10, avec peinture cuite au four et porte pleine avec dispositif de fermeture à clé(s) creuse(s) à 3 ou 4
pans, dont les dimensions seront prévues pour contenir une extension de 30% de matériel supplémentaire.
En façade
▪ Chaque commande d'éléments d'installation sera réalisée par un commutateur, manuel « Arrêt/Auto » pour
installation simple.
▪ La signalisation sera faite par voyants lumineux de type LED (vert pour la marche, rouge pour la disjonction) et
par plaquettes indicatrices gravées de repérage de toutes les fonctions.
▪ Un bouton « test lampe », à action non maintenue, permettra d’alimenter l’ensemble des voyants lumineux par
l’intermédiaire de diodes.
▪ La disparition du défaut et un nouvel acquittement par bouton poussoir entraînera l’extinction totale des
défauts.
▪ Interrupteur général avec commande extérieure, l'ouverture de l'armoire ne provoquant pas sa mise hors
tension. (Contacts auxiliaires pour coupure de l’alimentation du circuit de commande).
A l'intérieur
▪ Appareillage fixé sur châssis, constitué de barreaux ou profils DIN, et éclairage intérieur par tube fluorescent
commandé dès l'ouverture de l'armoire,
▪ Accessoires de contrôle tels qu’un voyant lumineux « Présence Tension »
▪ Bornier en partie basse avec collecteur de terre,
▪ Bornier de puissance constitué de 5 barres cuivre pré percées fixées sur isolateurs (3 phases + Neutre + Terre)
comprenant la prévision d'extension de 30% (emplacement et puissance), et constitué de bornes clipsées sur
rail DIN, pour le raccordement des câbles,
▪ Collecteur de terre constitué d’un barreau de cuivre disposant d’une borne de serrage par conducteur de
protection,
▪ Protections de circuits, quelle que soit leur puissance, réalisées à partir de disjoncteurs,
▪ Alimentation du circuit de commande et des régulateurs par transformateur de sécurité 230/24 V, et
raccordement sur l’alimentation générale de l’armoire par l’intermédiaire des contacts auxiliaires de
l’interrupteur général, avec protection par disjoncteur bipolaire (Nota : La conception des circuits de
commande devra permettre une remise en fonctionnement automatique de l’installation à la suite d’une
coupure d’alimentation),
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▪ Coupure générale du circuit de commande et des régulateurs par le pressostat manque d’eau, à l’exception
des circuits de sécurité (synthèses défaut, avertisseur sonore, et détection gaz),
▪ Alimentation du circuit de signalisation par transformateur de sécurité 230/24 V, avec protections primaire et
secondaire par disjoncteurs,
▪ Repérage des circuits par étiquettes ou manchons numérotés de couleurs distinctes, permettant de
différentier les fonctions (commande, signalisation, puissance) ainsi que les polarités, et repérage des
borniers par étiquettes clipsées sur chaque borne,
▪ Identification de l’appareillage de protection, de coupure, ainsi que toutes les commandes, par étiquettes
gravées en façade d’armoire,
▪ Suite à une coupure d'alimentation ou de puissance de l'armoire, l'installation sera remise en fonctionnement
normal de manière automatique,
▪ Câblage fixe exécuté en conducteurs HO7 VK 5V sous goulotte PVC, et conducteurs multibrins équipés de
cosses serties.
Asservissements commandes
Pour chaque moteur et en face avant sera prévu :
▪ 1 commutateur : marche manuelle – marche automatique - Arrêt,
▪ 1 voyant marche,
▪ 1 voyant défaut,
▪ 1 commutateur général à clé : marche manuelle / marche automatique
5.22.3. CHEMINS DE CABLES
Les chemins de câbles doivent être conformes à la Norme AFNOR. Ceux seront des chemins de câbles en tôle d’acier
électro-zinguée, perforée, à bords sécurité.
Ils seront prévus par longueur de 3 m en ligne droite, de hauteur des bords relevés de 54 mm. Toutes les
modifications de parcours seront traitées avec des pièces préfabriquées.
Les éléments sont éclissés au moyen de raccords spéciaux, placés de préférence, en dehors des points d'appui.
Les supportages des chemins de câbles seront adaptés à la topologie du site. Dans tous les cas seront proscrites
toutes fixations des chemins de câbles par tiges filetées !
Toute partie saillante sera recouverte d’un joint carrossier.
Les chemins de câbles seront pourvus de couvercles ou de protections mécaniques au droit des traversées de
cloisons dans les parcours horizontaux, au droit des traversées de dalles dans les parcours verticaux et pour tous
les passages extérieurs.
Les chemins de câbles recevront également un couvercle assurant une protection efficace des réseaux contre les
risques de détérioration mécanique.
La continuité électrique des chemins de câbles devra être assurée, réalisant ainsi une liaison équipotentielle
supplémentaire. Leur mise à la terre sera effectuée au niveau des armoires et coffrets divisionnaires.
5.22.4. RACCORDEMENTS ELECTRIQUES
Les installations seront réalisées par une personne de l’Entreprise qualifiée et habilitée à intervenir sur ce type
d’installation, conformément aux prescriptions techniques générales, et suivant les mêmes critères qualitatifs et le
même principe que ceux décrits précédemment pour la chaufferie du bâtiment.
L’Entreprise aura la charge de la totalité des installations électriques relative à ses installations depuis le l’armoire
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jusqu’à l’équipement et notamment :

▪ Câble R2V
▪ Pose sur chemin de câbles ou tube ICT selon le cas
▪ Raccordements sur bornier de l’armoire et raccordement sur attente du lot électricité
▪ Traversées de parois
▪ Fourreaux de protection
Les connexions équipotentielles et mises à la terre des canalisations métalliques et équipements divers seront
réalisées par le lot « Electricité ».
5.23. ETANCHEITE A L’AIR DES BATIMENTS
Pour le respect des règles de l’art concernant le traitement de l’étanchéité, l’entrepreneur se réfèrera au “ Mémento
de conception et de mise en œuvre à l’attention des concepteurs, artisans et entreprises du bâtiment de
novembre 2010” édité par le Ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement
(www.developpement-durable.gouv.fr))dont figurent ici des extraits :
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5.23.1. PASSAGE DE CONDUITS
A toutes les traversées de cloisons, murs,

poutres, planchers,etc.. Les canalisations
passeront sous fourreau plastique type
‘’GAINOJAC’’ de diamètre approprié, fourni et
scellé par le plombier, y compris garnissage par
produit souple imputrescible, ininflammable et
non hygroscopique, assurant l’étanchéité du
passage et évitant la transmission du bruit de
local à local.
Chaque traversée de plancher sera rebouchée
soigneusement après le passage des conduits de
VMC avec interposition d’un gaine souple de
type ‘’DALMISOL’’ ou techniquement équivalent.
5.23.2. EVACUATION EU/EV/EP
Chaque traversée de plancher sera rebouchée

soigneusement après le passage des
canalisations avec interposition d’un fourreau
d’épaisseur suffisante (5 mm) de type
‘’DALMISOL’’ ou techniquement équivalent et
dépassant largement (10 mm) de part et d’autre
de la paroi.
5.23.3. TRAVERSEE DE MUR OU CLOISON (CONDUITS OU GAINES)
Pour chaque traversée de mur, le fourreau de

protection du conduit sera garni à l’aide d’un
feutre bitumeux, d’une bande de mousse
résiliente ou injection de mousse mono-
composante faiblement expansive. D’autre part,
sera posé :
A l’intérieur : un joint mastic acrylique plasto-
élastique extrudé sur fond de joint torique ou
rectangulaire en mousse polyéthylène expansée
à cellules fermées.
A l’extérieur : un joint mastic PU ou silicone
extrudé sur fond de joint torique ou
rectangulaire en mousse polyéthylène expansée
à cellules fermées (mastic joint labellisé
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« SNJF »).
5.23.4. TRAVERSEE ET PENETRATION DU PLANCHER HAUT (CONDUITS OU GAINES)
Sera prévue la garniture du fourreau de

protection à l'aide d'un feutre bitumineux ou
d'une bande de mousse résiliente, ou injection
de mousse polyuréthane mono-composante et
faiblement expansive
A l'intérieur sera posé un joint mastic acrylique
extrudé (mastic joint labellisé "SNJF") sur fond
de joint afin de limiter la profondeur de la
garniture d'étanchéité.
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CCTP PHASE DCE

LOT 12 – ELECTRICITE COURANTS FORTS & FAIBLES
Date Approuvé
par
00 P. Royer 15/09/2021 Création du document - G. Amalvy
01 P. Royer 14/10/2021 MAJ suite OBS BCT - G. Amalvy
02 P. Royer 19/10/2021 MAJ suite OBS MO - G. Amalvy
DT.2_18_CCTP_LOT_12_COURANTS FORTS_ Version 12/04/03 Page 1 sur 67

LOT 12 – ELECTRICITE COURANTS FORTS ET FAIBLES
SOMMAIRE
Pages
1. GENERALITES.................................................................................................................................................................... 3
1.1. OBJET DU PRESENT DOCUMENT 3
2. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES .......................................................................................................................................... 4

2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT 4
3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES COURANT FORT........................................................................................... 43

3.1. ALIMENTATIONS PROVISOIRES 43
3.2. BILAN DE PUISSANCE 43
3.3. RESEAU DE TERRE 43
3.4. ALIMENTATION GENERALE 44
3.5. TABLEAU GENERAL BASSE TENSION 44
3.6. ALIMENTATION TABLEAU DIVISIONNAIRE 46
3.7. TABLEAU DIVISIONNAIRE 46
3.8. COFFRETS SPECIFIQUES 48
3.9. DISTRIBUTION SECONDAIRE ET TERMINALE 48
3.10. EQUIPEMENTS INTERIEURS DES LOCAUX 50
3.11. ECLAIRAGE DE SECURITE 54
3.12. ALIMENTATIONS SPECIFIQUES 56
4. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES COURANT FAIBLE ........................................................................................ 59

4.1. PRECABLAGE : VOIX - DONNEES – IMAGES 59
4.2. INSTALLATION TELEPHONIQUE 60
4.3. ALARMES TECHNIQUES 60
4.4. DETECTION INTRUSION 60
4.5. SONORISATION - PPMS 61
4.6. SONNETTE - SONNERIE 64
5. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES SSI .............................................................................................................. 65

5.1. PHASAGE DES TRAVAUX 65
5.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT 65
5.3. CONSTITUTION DU SSI 65
6. ANNEXES......................................................................................................................................................................... 66
6.1. ANNEXE N° 1 : BILAN DE PUISSANCE ELECTRIQUE NORMAL (01 PAGE) 66
6.2. ANNEXE N° 2 : EXTRAIT GUIDE UTE C 15-201 DE JUIN 2004 (01 PAGE) 67
M21141_DCE_LOT12-ELEC_CCTP_2.doc Page2/67
1. GENERALITES
1.1. OBJET DU PRESENT DOCUMENT
Le présent document est le cahier des clauses techniques particulières (C.C.T.P.) qui définit les ouvrages à
réaliser au titre du lot n°12 – ELECTRICITE COURANTS FORTS ET COURANTS FAIBLES dont l’objet est
de permettre aux entreprises consultées d’établir leur proposition, sans restrictions ni réserves pour la
construction d’un restaurant scolaire à Clermont l’Hérault (34) en liaison avec les autres pièces du DCE et,
notamment, le CCTP lot 00.

 Dispositions générales du projet :
. Caractère forfaitaire des prix
. Missions
. Ordonnancement des travaux
. Réseaux existants
 Données de base :
. Sécurité et protection incendie
. Données relatives au site
. Performances techniques
. Charges
 Etudes d’exécution
 Conditions d’exécution des travaux
 Dépenses d’intérêt commun – Compte prorata
 Interfaces générales entre corps d’état
2.1. PRESCRIPTIONS TECHNIQUES DU LOT
- Voir chapitres des parties 3, 4 et 5 du sommaire
En toutes hypothèses, pour l’établissement de son offre, le soumissionnaire tiendra compte des travaux
décrits aux CCTP des autres lots susceptibles d’interférer avec ses propres prestations.
 Voir CCTP du lot 00

 En complément des documents décrits au CCTP du lot 00, l’entrepreneur sera tenu de remettre les documents suivants :
AVANT EXECUTION DES TRAVAUX

 Plan de masse indiquant les besoins en fourreaux à installer soit par le lot VRD, soit par le titulaire du présent lot selon le
cas
 Plans de réservations
 Plan du réseau de terre
 Plans de cheminements intérieurs avec indication des largeurs et altimétries des chemins de câbles
 Coupes sur différents passages
 Synoptique Courants forts avec indication des sections de câbles
 Plans d’implantation et de filerie courants forts avec repère de chaque circuit correspondant aux départs des armoires
électriques
 Schémas détaillés des armoires et coffrets électriques indiquant : le calibre, les intensités de réglage thermique et
magnétique, la chute de tension en bout de ligne, les sections de câbles, les repères de bornes, les schémas de relayage et
d’automatismes, etc.
 Notes de calcul de sections de câbles réalisées par un logiciel agréé avec certificat de conformité à jour
 Plans d’implantation des équipements de courants faibles avec la filerie correspondante et les repères de chaque élément
 Synoptiques du précâblage et de la face avant des sous-répartiteurs créés et autres baies existantes modifiées
 Le synoptique contrôle d’accès
 Le synoptique alarme intrusion
 Le synoptique sonorisation - PPMS
 Les notices techniques de chaque équipement avec, dans le cas d’une modification des références du CCTP, un dossier
reprenant les fiches des équipements prévus au CCTP et celles proposées par l’entreprise
 Les procès-verbaux permettant de vérifier la conformité de certains équipements à la réglementation (P.V. des luminaires
utilisés par l’éclairage de sécurité, PV de tenue au fil incandescent des luminaires, etc.)
 L’ensemble des éléments constitutifs relatifs à l’équipement d’alarme incendie ou L’ensemble des éléments constitutifs du
dossier d’identité du SSI permettant au coordinateur de le constituer :
. le plan de la centrale avec le repérage des éléments du système,
. les schémas de principe,
. les schémas du câblage électrique et des borniers de raccordement,
. les plans d'exécution avec l'implantation des détecteurs, DAS, tableaux, etc., avec l'indication des repères
correspondant à chaque élément,
. le descriptif technique complet : tableau de corrélation, diagramme de fonctionnement, grille de
programmation,
. la liste des points de détection (déclencheurs manuels),

. la liste des matériels du SSI et la documentation technique associée,
. les certificats de conformité aux normes, fournis par le constructeur, des matériels,
. les PV d'association des matériels,
. les notes de calcul des consommations et dimensionnements des câbles,
. tous autres documents, à la demande du prescripteur nécessaire à la vérification et à l'exploitation du
système.
DOCUMENTS DE CHANTIER QUI DEVRONT ETRE REMIS PAR LE TITULAIRE DU PRESENT LOT :
 Plans de réservations
 Plan du réseau de terre
 Plans de cheminements intérieurs avec indication des largeurs et altimétries des chemins de câbles
 Coupes sur différents passages
 Plans de filerie courants forts suivant plans d’implantations remis au DCE avec repère de chaque circuit correspondant aux
départs des armoires électriques.
 Les schémas des borniers des armoires et coffrets électriques suivant les schémas fournis par OTCE LR, les schémas de
relayage et d’automatismes, etc.
 Le synoptique et les plans d’équipements des baies de précâblage
 Le synoptique contrôle d’accès
 Le synoptique alarme intrusion
 Le synoptique sonorisation - PPMS
 L’ensemble des éléments constitutifs du dossier d’identité du SSI permettant au coordinateur de le constituer. Cet
ensemble devra être constitué au minimum des éléments suivants :
. le plan de la centrale avec le repérage des éléments,
. les schémas de principe,
. les schémas du câblage électrique et des borniers de raccordement,
. les plans d'exécution avec l'implantation des détecteurs, DAS, tableaux, etc., avec l'indication des repères
correspondant à chaque élément.
. le descriptif technique complet : tableau de corrélation, diagramme de fonctionnement, grille de
programmation,
. la liste des points de détection - déclencheurs manuels,
. la liste des matériels du S.S.I. et la documentation technique
. les certificats de conformité aux normes, fournis par le constructeur,
. les PV d'association des matériels,
. les notes de calcul des consommations et dimensionnements des câbles,
. les notices d'exploitation et de maintenance, les instructions de manoeuvre,
. tous autres documents, à la demande du prescripteur nécessaire à la vérification et à l'exploitation du
système.
 Les notices techniques de chaque équipement avec, dans le cas d’une modification des références du CCTP, un dossier
reprenant les fiches des équipements prévus au CCTP et celles proposées par l’entreprise.
 Les procès-verbaux permettant de vérifier la conformité de certains équipements à la réglementation (PV des luminaires
utilisés par l’éclairage de sécurité, PV de tenue au fil incandescent des luminaires, etc.)
APRES ACHEVEMENT DES TRAVAUX

 La mise à jour des plans de cheminement et de filerie tels que réalisé,
 Les mises à jour des schémas et synoptiques tels que réalisé,
 Les documentations techniques des matériels réellement installés,
 Les consignes détaillées de fonctionnement des installations permettant à toute personne chargée de la maintenance,
d'intervenir sans erreur ni omission, ainsi que les garanties sur les différents matériels mis en œuvre,
 Une liste des pièces de rechange de première nécessité à approvisionner par le Maître d'Ouvrage, ainsi que la
nomenclature de tous les matériels mis en œuvre (marques et caractéristiques des matériels, notices de fonctionnement et
d'entretien),
 L'état des interventions obligatoires à prévoir dans le contrat de maintenance avec leur périodicité,
 Les feuilles de mesures des essais,
 Les essais COPREC, les P.V. d’essais des matériels, etc.
2.1.3. HYPOTHESES SPECIFIQUES AU LOT
2.1.3.1. SELECTIVITE
Le critère de sélectivité consistant, pour tout défaut, à provoquer uniquement l'ouverture du disjoncteur
placé immédiatement en amont de ce défaut sera obligatoirement à respecter (Sélectivité totale imposée).
Cette sélectivité pourra être :
 « Ampèremétrique » : reposant sur les réglages des déclencheurs magnétiques des disjoncteurs rapides ou limiteurs
rapides.
 « Chronométrique » : en utilisant des disjoncteurs dont la caractéristique est de posséder une temporisation retardant le
déclencheur sur court-circuit.
Cette sélectivité ne pourra en aucun cas être « Energétique » (filiation interdite).

L’entreprise fournira au MOE les fiches de sélectivité des matériels qu’elle aura proposés.
2.1.3.2. CHUTES DE TENSION

Les chutes de tension maximales sur les liaisons basse tension répondront au minimum aux prescriptions
de la réglementation, ou seront fonction des exigences des constructeurs de matériels dans le cas
d’équipements spécifiques.
2.1.3.3. POUVOIR DE COUPURE

Suivant exigences des constructeurs des appareils de protection.
2.1.4.1. CONDITIONS D'ENVIRONNEMENT

Les caractéristiques des matériels et de mise en œuvre seront adaptées aux classes d'influences externes
des locaux dans lesquels ils seront installés.
2.1.4.2. INDICE DE PROTECTION

L'IP indiqué ci-après est l'indice de protection minimale que devra respecter l'entreprise, suivant le local
considéré pour respecter les conditions d'influences externes.
Dans tous les cas pour tous les locaux, les pénétrations des canalisations dans ces appareils ne devront
pas diminuer les I.P. ; les pénétrations des canalisations "saillies" dans les appareils se feront donc par
presse-étoupe avec joint d'étanchéité et serre-câbles lorsque cela est nécessaire.
INDICES DE PROTECTION MINIMAUX A RESPECTER :

 LOCAUX IP IK (CHOC) COMMENTAIRE
 Bureau / Réunion / espaces de vie 20 02 (0,225 joule)
 Locaux techniques 23 08 (5 joules)
 Extérieur 35 07 (2 joules) TBTS 25V
 Local service électrique 20 07 (2 joules)
 Sanitaires 23 07 (2 joules
 Circulations horizontales et hall 20 07 (2 joules)
 Archives 50 02 (0,2 joule) BE2
 Dépôts, réserves, rangement 40 08 (5 joules) BE2
2.1.4.3. CONTACTS AVEC LES SERVICES PUBLICS ET PRIVES

L'Entreprise sera chargée d'établir, à ses frais, tous les contacts avec les Services Publics ou Privés
(France Télécom, etc…), afin d'assurer une parfaite réalisation des installations ; il s’agit de créer un
branchement à puissance surveillée (anciennement tarif jaune) pour les besoins électriques du projet.
Ces démarches s'effectueront sous le contrôle et en accord avec le Maître d'œuvre.
2.1.4.4. PRISE DE TERRE – MISE A LA TERRE

2.1.4.4.1 SCHÉMA DE MISE À LA TERRE BASSE TENSION
Le régime de neutre sera : TT (neutre raccordé à la terre, masses raccordées à la terre).
2.1.4.4.2 PRISE DE TERRE DU BATIMENT

Effectuée par une boucle en fond de fouille du bâtiment créé, par un conducteur cuivre nu de 50 mm2
minimum, avec une longueur telle que la résistance de terre soit toujours inférieure à 1 ohm.
Les câblettes en fond de fouille aboutiront au droit du TGBT sur une barrette de terre.
L’interconnexion des prises de terre sera réalisée via le conducteur PE des câbles d’alimentation des
différents TD.
2.1.4.4.3 MISE À LA TERRE DES MASSES

Compte tenu du caractère impératif de la continuité des circuits de terre, ces derniers ne doivent comporter
aucune barrette de coupure et tous leurs raccordements sont, en conséquence, effectués par soudure ou
brasage, ou via un outil à sertir ayant fait l’objet d’une certification du CSTB.
Il ne peut y avoir de sécurité des personnes que si la continuité du réseau de terre est assurée, d'une façon
parfaite et permanente. Pour respecter cet impératif, chaque dérivation du circuit de terre sera raccordée
sur une borne individuelle afin que la suppression ou l'adjonction d'une dérivation quelconque ne puisse
interrompre la continuité du circuit de terre en aval de cette dérivation.
Les fils du circuit de terre ne doivent, en aucun cas, être raccordés directement sur la fiche de terre d'une
prise de courant car l'élimination de cette prise entraînerait, immédiatement, la rupture du circuit de terre en
aval de cette prise de courant.
Les fils de terre des différents circuits fractionnaires ou d'utilisation ne doivent, en aucun cas, être groupés
et serrés par une seule borne de raccordement du type FERLE ou similaire.
Ces bornes ne peuvent être valablement utilisées que dans le cas où le circuit principal de terre passerait
sans coupure à hauteur d'une dérivation.
Lorsqu'un conducteur est constitué de plusieurs brins, toute précaution doit être prise pour que le courant
se répartisse entre tous les brins, c'est-à-dire que chaque extrémité d'un conducteur multibrins devra être
soudée ou munie d'une cosse sertie isolée d'un modèle approprié à la forme de la plage de raccordement
de l'organe à connecter.
La distribution du circuit de terre sera faite par l'intermédiaire d'un conducteur de cuivre.
Le présent lot devra s'assurer que les résistances de contact de toutes les masses accessibles soient
conformes à la norme NF C15-100.
2.1.4.4.4 CONDUCTEUR PE
Le conducteur PE sera toujours incorporé au câble d'alimentation d'énergie de l'utilisation considérée.
Les sections des conducteurs PE seront telles qu'elles permettront :
 Pour les circuits principaux de respecter, en cas de défaut, le temps de coupure défini par la Norme C 15.100 en fonction
des tensions de courant
 Pour les circuits terminaux d'obtenir les valeurs fixées par la Norme NF C15-100.
2.1.4.4.5 INTERCONNEXION DES ÉLÉMENTS MÉTALLIQUES

Sur la platine de terre, seront raccordés les équipements tels que :
 L'enveloppe et les châssis métalliques des tableaux
 Le réseau de terre informatique
 Les appareils d'éclairage
 Les masses métalliques faisant partie intégrante de la construction (charpente, ossature, faux plafonds, huisseries, etc.)
 La borne de terre de toutes les prises de courants
 Les canalisations (eau, fluides divers etc.)
2.1.4.5. ARMOIRES, TABLEAUX ET COFFRETS DE PROTECTIONS

2.1.4.5.1 CONSTITUTION
Ces armoires et coffrets seront choisis pour réaliser des tableaux électriques d’intérieur ou d’extérieur
suivant le cas. Ils seront robustes, avec porte et canon 405, et auront un IP / IK en adéquation avec les
influences externes du local considéré. Ils permettront de recevoir les organes de protection, commande et
signalisation, avec possibilité d’installer l’appareillage de commande et signalisation en face avant de
tableau sur porte partielle.
Chaque ensemble devra comporter, après exécution correspondant au présent descriptif, 40% de volume
libre.
Tous les raccordements des circuits extérieurs de puissance se feront directement raccordés à l'organe de
protection et coupure du départ. Les câbles seront à évacuation par le haut ou par le bas, au travers de
presse-étoupes ou plaques passe-câbles à membranes IP55 si les influences externes l’imposent.
Tous les éléments constitutifs de tableaux (disjoncteurs, relais, voyants, borniers etc...) seront repérés par
des étiquettes dilophanes gravées et fixées par vis sur un support isolant indépendant de l'appareil repéré.
La visserie sera cadmiée ou galvanisée à chaud, les rondelles plates seront intercalées entre les organes
de serrage et la tôlerie afin d'éviter de détériorer la protection anti-corrosive.
2.1.4.5.2 LIAISONS ÉLECTRIQUES INTERNES

Le câblage interne s'effectuera en conducteur souple de la série H 07 SV de teinte uniforme, sous
goulottes PVC avec couvercles. Les extrémités des conducteurs de filerie seront, dans tous les cas, munis
de cosses ou d'embouts adaptés au type de bornes auxquelles elles se raccordent.
Dans tous les cas où plusieurs conducteurs se raccorderont sur un même organe de protection ou
d'isolement, il sera fait usage de jeux de barres correctement isolés pour éviter les contacts accidentels
pendant les interventions.
Les circuits seront repérés par bagues de numéros qui seront reportés sur les plans détaillés de filerie. Les
conducteurs de terre porteront la double coloration vert jaune pour les circuits de protection.
Tous les circuits seront câblés sur borniers en partie latérale de l'armoire. Les borniers seront
impérativement de type WAGO ou équivalent.
2.1.4.5.3 MISE À LA TERRE

Tous les éléments métalliques des tableaux de protection dont l'assemblage ne permet pas de garantir la
bonne conductibilité seront à relier à la terre.
Lorsqu'il sera fait usage de tresses souples en cuivre étamé ou non, celles-ci seront équipées à leurs
extrémités d'embouts munis d'œillets permettant de s'opposer à la détérioration des brins, notamment lors
du serrage.
2.1.4.6. SERRURERIE
Dans le cas où le Titulaire aurait à réaliser des pièces de serrurerie particulières nécessaires à la fixation
ou au support de certains équipements, ces pièces seraient :
 à l’extérieur : galvanisées à chaud (avec boulonnerie galvanisée ou inox),
 à l’intérieur : peintes.
Tous les travaux de perçage, sciage, … sur ces pièces métalliques seront effectués avant protection contre
la corrosion (galvanisation ou peinture).
2.1.4.7. FIXATION DES MATÉRIELS

2.1.4.7.1 SUR CHARPENTE MÉTALLIQUE
Par pincement ou ceinturage à l’aide d’accessoires préfabriqués (type ERICO CADDY ou équivalent).
Soudure électrique autorisée sous réserve de l’accord du Maître d’Œuvre.
Percements interdits.
2.1.4.7.2 SUR OSSATURE BÉTON PRÉCONTRAINT

Douilles ou rails noyés (type Halfen ou équivalent).
Tiges filetées placées dans des réservations prévues à cet effet.
Par pincement ou ceinturage.
Percements interdits.
2.1.4.7.3 SUR OUVRAGES BÉTON NON PRÉCONTRAINTS

Par chevilles métalliques ou plastiques adaptées à la charge de l’équipement à fixer et au type de matériau
constituant l’ouvrage.
Par scellement au ciment lent ou au plâtre suivant la charge de l’équipement à fixer et au type de matériau
constituant l’ouvrage.
2.1.4.7.4 SUR OUVRAGES EN PIERRE OU EN BRIQUE

Par chevilles chimiques.

2.1.4.8. DISTRIBUTION ELECTRIQUE
Les types de câbles et leurs cheminements sont spécifiés dans la partie 3 du présent CCTP et sur les
plans techniques.
Les plans techniques donnés au dossier de consultation servent à indiquer uniquement les cheminements
principaux (fourreaux, chemins de câbles, plinthes, caniveaux, etc.) à partir desquels le reste des
cheminements dits « terminaux » devra être prévu. Il appartient à l’entreprise de définir elle-même ces
cheminements terminaux pour les inclure dans son offre de manière à respecter les règles imposées dans
les chapitres ci-après.
2.1.4.8.1 CANALISATIONS
Les types de câbles et leurs cheminements sont spécifiés dans la partie 3 du présent CCTP et sur les
plans techniques.
Les plans techniques donnés au dossier de consultation servent à indiquer uniquement les cheminements
principaux (fourreaux, chemins de câbles, plinthes, caniveaux, etc.) à partir desquels le reste des
cheminements dits « terminaux » devra être prévu. Il appartient à l’entreprise de définir elle-même ces
cheminements terminaux pour les inclure dans son offre de manière à respecter les règles imposées dans
les chapitres ci-après.
Concernant les alimentations et gestion des équipements de sécurité incendie, les câbles devront être
conformes aux prescriptions du coordinateur SSI exprimées dans le dossier phase conception joint au
dossier de consultation.
2.1.4.8.2 CHEMINS DE CÂBLES

Les chemins de câbles doivent être conformes à la Norme AFNOR et seront métalliques, galvanisés à
chaud du type dalles perforées pour les câbles du réseau de précâblage et du type treillis soudés ou dalles
perforées galvanisé à chaud pour les câbles courants forts et pour les autres courants faibles.
En cheminements verticaux, ils seront constitués de dalles perforées galvanisées à chaud fixées aux parois
par l’intermédiaire de profilés Z, et munis de couvercles sur toute leur hauteur visible.
NOTA : Une attention toute particulière sera portée lors de la mise en œuvre des chemins de câbles, en
utilisant des supports de fixation en adéquation avec le matériel choisi, robustes et adaptés à la
configuration des lieux. Tout « bricolage » ou utilisation de support sous-dimensionné pour la fixation des
chemins de câbles sera refusé.
Ils seront prévus par longueur minimale de 3m en ligne droite. La hauteur des bords relevés sera au
minimum de 48mm. Les changements de plan s'effectuent au moyen de raccordements spéciaux concaves
ou convexes. Les virages sont assurés, également, par raccords spéciaux 90 ou divers.
Les éléments sont éclissés au moyen de raccords spéciaux, placés de préférence, en dehors des points
d'appui.
Les chemins de câbles placés à moins de 1,50m du sol recevront un couvercle assurant une protection
efficace des câbles contre les risques de détérioration mécanique, ainsi que dans toutes les zones où ces
derniers seront apparents.
La continuité électrique des chemins de câbles devra être assurée, réalisant ainsi une liaison
équipotentielle supplémentaire. Leur mise à la terre sera effectuée au niveau des armoires et coffrets
divisionnaires.
Les chemins de câbles seront dimensionnés afin de limiter, au mieux, les effets de proximité des câbles et
de permettre des adjonctions ultérieures de 40 %.
Le parcours des chemins de câbles sera établi en fonction de l'implantation des équipements des autres
Corps d'Etat techniques.
2.1.4.8.3 CONDUITS – FOURREAUX

Les câbles ne devront pas occuper plus d’1/3 de la section des conduits et fourreaux dans lesquels ils
cheminent.
2.1.4.8.4 CÂBLES POSÉS AUX PAROIS

Les câbles posés directement sur parois maçonnées, seront posés sur colliers fixés à intervalles de 0,33m.
Lorsqu'il y aura pose de 5 câbles ou plus, ceux-ci seront obligatoirement posés sur chemins de câbles.

Le rayon de courbure ne sera, en aucun cas, inférieur à celui donné par le fabricant.
Dans le cas de croisement de canalisations affectées à un autre usage, celui-ci doit être effectué par un
pont ou une tranchée laissant une distance d'au moins 3cm entre les 2 canalisations.
La traversée des parois sera réalisée quelle que soit la longueur de la traversée au moyen de fourreaux
munis d'embouts protecteurs. Dans le cas où la communication des locaux doit être évitée (poussière
etc..), les fourreaux possèderont des presse-étoupe à chaque extrémité.
Dans le cas de montage en applique pour tous les équipements à plus de 2m du sol, il pourra être fait
usage de tube I.R.L. ou A.P.E. Pour toutes réalisations situées à moins de 1,50m du sol, il sera utilisé des
tubes M.R.B. Dans ce cas, les tubes seront équipés de manchons isolants à chaque extrémité.
Pour tous locaux à risques d’incendie au sens de la norme C15-100, les canalisations étrangères à ces
locaux devront être protégées par un caisson coupe-feu d’un degré équivalent au degré des cloisons du
local (minimum 1h) à prendre en compte dans le cadre du présent lot.
2.1.4.8.5 CÂBLES SUR CHEMIN DE CÂBLES

Les câbles seront posés côte à côte sans se chevaucher. Les rayons de courbure devront être supérieurs à
10 fois le diamètre du câble.
A la sortie des chemins de câbles, les câbles ou conducteurs seront posés sous gaines et devront reposer
sur des parties ne présentant pas d'arêtes vives. A cet effet, les extrémités des chemins de câbles sont
repliées afin de représenter une surface arrondie ou seront équipées de raccords à 90° convexes.
Les câbles posés à plat seront fixés par des colliers polyamide sans halogène.
NOTA : Au-delà de 5 câbles, l’entrepreneur aura l’obligation de faire cheminer ses câbles sur chemins de
câbles ou sous goulottes.
2.1.4.8.6 RACCORDEMENTS PUISSANCE

Câble de section ≥ 16 mm²
Sauf cas particulier d’étrier ou de borne à cage, tous les câbles de puissance de section ≥ 16 mm² seront
raccordés par l’intermédiaire de cosses à sertir adaptées à la section, au type et à la nature du conducteur
ainsi qu’aux conditions d’environnement. Le sertissage sera effectué soit par poinçonnage soit par rétreint
hexagonal.
Câble de section < 16 mm²
Sauf cas particulier d’étrier ou de borne à cage, tous les câbles de puissance de section < 16 mm² seront
raccordés par l’intermédiaire d’embouts à sertir.
Raccordements commande
Sauf dérogation écrite du Maître d’Œuvre, tous les raccordements des circuits de commande seront
réalisés par l’intermédiaire de bornes à ressort avec alvéole de test (WAGO ou équivalent).
Toutes les liaisons point à point seront équipées, au minimum à une extrémité, de bornes sectionnables.
Capacité : 1 seul fil par borne (dans le cas de repiquage ou de commun, il sera fait usage de shunt).
2.1.4.8.7 COULEURS
 gris, blanc, noir ou marron en règle générale,
 bleu réservé au raccordement des circuits sécurité intrinsèque,
 orange réservé aux circuits dont les polarités sont issues d’une source extérieure à l’armoire considérée,
 vert / jaune pour le raccordement des conducteurs de protection.
2.1.4.8.8 REPÉRAGE
Tous les câbles seront repérés avec des étiquettes en gaine thermo rétractable imprimable sur deux faces,
fermement maintenu sur le conducteur, pour un encombrement particulièrement réduit. Elles seront
prévues sur tous les câbles qui ont une section comprise entre 1,5 à 16mm².
Exemple d’étiquettes :
Pour les câbles possédant une section supérieure à 16 mm² il sera utilisé des étiquettes fixées par collier
de serrage et qui seront constituées de caractères sérigraphiés sur PVC enclipsables sur un support
spécifique.
Exemple d’étiquettes :
Les étiquettes réalisées par système type DYMO seront proscrites ainsi que les étiquettes issues d’un
« bricolage » quelconque (indications au marqueur sur scotch, bout de papier imprimé et scotché, ….)
Chaque canalisation issue d’une boîte de dérivation sera équipée d’un système de repérage par câbles
type étiquettes souples plastiques type LEGRAND Réf. 32.085 ou équivalent, gravées de telle façon que
l'inscription ne puisse disparaître dans le temps
PRINCIPE DE REPERAGE :
Indication de la famille des câbles ou chemin des câbles
Pré Précâblage
Son Sonorisation
Heu Heure
SSI Sécurité incendie
Ces étiquettes seront maintenues aux câbles par l'intermédiaire d'agrafes; les indications suivantes seront
mentionnées:
 Repère de la zone
 Repère du type de câble
 Numéro de folio de la nomenclature correspondante
 Numéro de la ligne de folio en question
Repérage des Conducteurs de puissance :

 Phase 1 : marron repère filerie R
 Phase 2 : noir repère filerie S
 Phase 3 : rouge repère filerie T
 Neutre : bleu repère filerie N
 Conducteur P.E. : vert/jaune
2.1.4.9. RACCORDEMENT AUX TABLEAUX

Le raccordement des câbles aux tableaux et armoires de protection s'opèrera de telle sorte que l'on puisse
passer une pince ampèremétrique sur chacun des conducteurs et autour de l'ensemble des conducteurs
actifs propres à un même départ.

Les câbles multiconducteurs possédant un conducteur de terre seront posés de telle sorte que le passage
d'une pince mobile de contrôle sur ce conducteur de terre soit aisé.
Les conducteurs de protection seront toujours intégrés aux câbles et les raccordements s'effectueront,
exclusivement, sur les coffrets de répartition en gaines ou locaux techniques et sur les équipements et
appareillages alimentés.
2.1.4.10. CARACTÉRISTIQUES DES CÂBLES COURANTS FORTS

Les câbles (y compris les conducteurs) d’énergie et de communication doivent être conformes aux
dispositions du RPC (Règlement Produits de Construction) N°305/2011 applicables aux câbles pour la
partie réaction au feu depuis le 10 juin 2016 et obligatoire le 1er juillet 2017 et doivent faire l’objet d’un
marquage CE accompagné de la Déclaration de Performance (DdP).
Suivant segmentation des exigences de sécurité issue du cahier de recommandations SYCABEL, dans un
ERP de type R de la 5ieme catégorie, il est préconisé l’euro classes « améliorée » : Cca-s1, d1, a1.
2.1.4.10.1 CABLES COURANTS FORTS - INDUSTRIELS RIGIDES

Ce chapitre concerne les canalisations issues des tableaux divisionnaires destinées à alimenter les
appareils d’éclairage, prises de courant et les alimentations dites « petites forces «
Toutes les canalisations apparentes seront obligatoirement sur chemins de câbles ou dans des conduits
PVC rigides de haute densité, conformes aux normes françaises
Les conducteurs et câbles seront choisis en fonction de leur mise en œuvre et des locaux qu’ils équiperont
ou traverseront. Suivant le cas ces derniers seront de la série énoncée ci-dessous :
 H07VU : pour les conducteurs posés sous conduits
 U1000R2V : pour les câbles posés en apparent dans les locaux nécessitant notamment une protection mécanique
 Résistant au feu ( CR1 ) : pour les circuits spécifiques
Les sections minimales de ces conducteurs seront de :

 1.5 mmM pour les circuits d’éclairage et les télécommandes
 2.5 mmM pour les circuits prises de courant
 6 mmM pour les circuits prises de courant ou boîtiers de connexion 20 ou 32 A
Suivant les parcours et les locaux de destination, les conducteurs et câbles seront posés d’une manière
générale :
 Sous conduits ICTA en encastré dans les planchers des locaux en construction
 Sous conduits ICTA dans les cloisons ou faux plafonds
 Sur chemins de câbles et sous conduit IRL dans les locaux techniques ou gaines techniques
 Sous conduits MRB dans les locaux particuliers à risque mécanique
 Sous goulotte PVC compartimentée dans les locaux distribués par des réseaux informatique et/ou téléphone
Les câbles utilisés pourront être de type suivant :

 Pour toutes sections
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 1 conducteur

. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 1 conducteur type Vert Jaune ou autres couleurs selon l'affectation
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 2 conducteurs
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 2 conducteurs sans câble Vert jaune
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 3 conducteurs sans câble Vert jaune
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 3 conducteurs + neutre
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 3 conducteurs + neutre sans câble vert jaune
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 4 conducteurs sans câble vert jaune
. Câble FR-N1 X1G1 cuivre à 5 conducteurs avec câble vert jaune
 Pour les sections supérieures à 35mmM
. Câble FR-N1 X1G1 aluminium à 3 conducteurs

. Câble FR-N1 X1G1 aluminium à 3 conducteurs sans câble vert jaune
. Câble FR-N1 X1G1 aluminium à 3 conducteurs + neutre
. Câble FR-N1 X1G1 aluminium à 3 conducteurs + neutre
2.1.4.10.2 CABLES COURANTS FORTS - CABLES MULTICONDUCTEURS POUR TELECOMMANDE

appareils de commande ou gestion liés aux appareils d’éclairage, prises de courant et les alimentations
dites "petites forces"
 FR-N1 X1G1 : pour les câbles posés en apparent dans les locaux nécessitant notamment une protection mécanique

générale :
 Sous goulotte PVC compartimentée dans les locaux distribués par des réseaux informatique et/ou Téléphone

2.1.4.10.3 CABLES COURANTS FORTS - CABLES INDUSTRIELS SOUPLES
appareils d’éclairage, prises de courant et les alimentations dites "petites forces"
HO7 RNF : pour appareils mobiles ou machines-outils

 4 mmM pour les circuits prises de courant ou boîtiers de connexion 20 A
 6 mmM pour les circuits prises de courant ou boîtiers de connexion 32 A
générale :
 En apparent avec fixations
2.1.4.10.4 CABLES COURANTS FORTS - CABLES RESISTANT A LA CHALEUR OU AU FEU, À ÂME CUIVRE.
appareils d’éclairage, prises de courant et les alimentations dites "petites forces"
 Résistant au feu ( CR1 ) : pour les circuits spécifiques
 Résistant à la chaleur ( C1 ) : pour appareils d'éclairage ou autres

 6 mmM pour les circuits prises de courant ou boîtiers de connexion 20/32 A
générale :
 Sous goulotte PVC compartimentée dans les locaux distribués par des réseaux informatique et/ou Téléphone

Les câbles utilisés pourront être de type suivant :
 Type C1 à 1 conducteur
 Type CR1-C1 sna-sh à 2 conducteurs
 Type CR1 vinyle 9/10e avec écran, câble résistant au feu pour installation industrielle de sécurité.
2.1.4.11. ECLAIRAGE
2.1.4.11.1 APPAREILS D’ECLAIRAGE
Tous les luminaires devront respecter les caractéristiques suivantes :
 Classes électriques : Les luminaires garantiront une protection des personnes contre les chocs électriques de classe 1 ou de
classe 2
 Degrés de protection contre les chocs : Les enveloppes des luminaires auront un degré de protection contre les impacts
mécaniques externes conformes à la Norme NF EN 50.102 (énergie aux chocs IK de 02 à 07 joules)
 Degrés de protection contre les pénétrations de corps solides ou de liquides : Les luminaires auront un degré de protection
IP suivant classification de la Norme NF EN 60.529 (d’IP 20 à IP 65)
 Réaction au feu : Les luminaires d’éclairage général et les luminaires d’éclairage de sécurité devront avoir un
comportement au feu de 850° C
 Rendement : Egal ou supérieur à celui du luminaire prescrit
 Cos phi par appareil > 0,95
 Harmoniques rang 2 < 5 %
 Harmoniques rang 3 < 30 %
 Tension : suivant description spécifique partie 3 du présent C.C.T.P.
 Sources : suivant description spécifique partie 3 du présent C.C.T.P.
 Ballasts : Tous les luminaires seront équipés de Ballasts électroniques à cathodes chaudes de classe A. Ils seront construits
en conformité aux exigences essentielles de sécurité de l’Union Européenne avec obligatoirement le marquage ENEC.
2.1.4.11.2 REFERENCES DES LUMINAIRES

La référence de tous les appareils d’éclairage est donnée en partie 3. L'entreprise devra impérativement
respecter la référence de chaque appareil ou elle aura la possibilité de proposer une référence différente,
et, dans ce cas, elle devra accompagner sa proposition d'un dossier constitué :
 Des fiches techniques des appareils d’éclairage proposés,
 Des notes de calcul d’éclairement pour chaque local,
 Des caractéristiques des luminaires proposés au CCTP pour permettre la comparaison.
Chaque fiche devra faire apparaître entre autres :
 L'indice de protection
 La tenue à l'essai au fil incandescent
 Les courbes de répartition photométriques
 Les courbes de Bodmann et Sollner
 Les dimensions externes et éventuellement d'encastrement
 Les modes de fixation
 Le type de source (lampe, puissance, intensité lumineuse, température de couleur)
 Les caractéristiques du matériel
Dans le cas où les caractéristiques des appareils d’éclairage ne seraient pas équivalentes à celles des
appareils d’éclairage prescrits au présent CCTP, y compris sur le plan esthétique, la proposition sera
refusée.
2.1.4.11.3 IMPLANTATION DES APPAREILS D’ÉCLAIRAGE

Les appareils d’éclairage sont implantés sur les plans techniques à titre indicatif pour la réalisation des
travaux. Ils seront définitivement implantés afin de garantir le facteur d’uniformité sur les postes de travail et
obtenir un aspect esthétique. Tous les locaux sont équipés d’appareils d’éclairage.
Fixations des appareils d’éclairage :
 Les luminaires posés sous IPE seront fixés sur chemins de câbles capotés dimensionnés pour accueillir les câbles de
distribution,
 Les luminaires encastrés dans les faux plafonds seront maintenus par suspentes fixées sur des éléments fixes du bâtiment.
Les suspensions seront rigides et réglables,
 Les luminaires encastrés directement dans le béton recevront obligatoirement un boitier adapté d’encastrement,
 Les luminaires en saillie seront fixés sur des éléments fixes du bâtiment par fixation adaptée et spécifique à la structure du
bâtiment,
 Les luminaires en saillie sous dalle en béton, seront fixés directement sous dalle avec boite d’encastrement d’alimentation.
Les fixations des appareils d’éclairage, y compris les fixations adaptés et spécifiques sont à la charge du
présent lot.
Raccordements des appareils d’éclairage :

Tous les luminaires encastrés et en saillis seront équipés de connecteurs type WIELAND ou équivalent
Validation de l’implantation des appareils d’éclairage :

Le présent lot devra fournir sur les plans d’exécution l’implantation de tous les appareils d’éclairage avec
un symbole distinct par type d’appareil d’éclairage pour validation par la Maîtrise d’Œuvre.
2.1.4.11.4 CHOIX DES APPAREILS D’ÉCLAIRAGE

La référence de chaque appareil d’éclairage est donnée à titre indicatif. Le présent lot doit impérativement
respecter ce choix qui a été prescrit pour des caractéristiques techniques et esthétiques précises.
Dans le cas contraire, le présent lot fournira à la remise de l’offre une référence autre, dont ses critères
devront être respectés; faute de quoi la proposition de l’entreprise sera rejetée.
Lors de l’établissement des plans d’exécution, l’entreprise fournira des notes de calcul d’éclairement pour
chaque type de locaux et d’appareils d’éclairage.
Aucun appareil d’éclairage ne sera posé sans information préalable et en temps utiles du maître d’œuvre
sur ces éléments.
Le choix définitif sera retenu par la maitrise d’œuvre sur présentation d’échantillon de chaque appareil
d’éclairage (ceux prescrits et ceux éventuellement proposés en équivalents, de manière à pouvoir les
comparer objectivement) et éventuellement si la demande en est faite, après essais d’éclairage sur site
avec les appareils d’éclairages retenus.
2.1.4.11.5 NIVEAUX D’ÉCLAIREMENT

Les niveaux d’éclairement à atteindre sont indiqués en partie 3 du présent CCTP.
Par manque de précision sur un local, les niveaux d’éclairement minima à respecter seront ceux
recommandés par l’AFE.
Ils seront à atteindre en prenant en compte les dispositions générales suivantes :
 Coefficient de majoration pour compensation du vieillissement : 1,20
 Coefficient de majoration pour compensation du vieillissement pour les luminaires placés dans les locaux propres avec une
utilisation inférieure à 1000 heures / an : 1,10
 Hauteur du plan de travail en circulation par rapport au sol : 0m
 Hauteur du plan de travail dans locaux techniques par rapport au sol : 0,80m
2.1.4.12. ECLAIRAGE DE SECURITE PAR BLOCS AUTONOMES

Les blocs autonomes utilisés seront uniquement à Leds de type non permanent, conformes à la marque NF
ENVIRONNEMENT, ou porteurs de l’Ecolabel européen, à très faible consommation (< 1,6 W par bloc), et
garantis au minimum 4 ans.
Ils seront équipés d’un système automatique de test intégré (SATI), réalisant automatiquement l’ensemble
des tests réglementaires, tels que :
 Contrôle hebdomadaire de la commutation et des lampes
 Contrôle trimestriel de l’autonomie batterie
 Test automatique du témoin de charge et de la charge batterie
2.1.4.12.1 ECLAIRAGE D’ÉVACUATION

Les locaux recevront des blocs BAES, étanches ou non, en fonction des influences externes auxquelles ils
seront soumis (voir plan série 400).
Les blocs utilisés seront conçus pour recevoir des signalétiques modifiables facilement.
Le câblage d'alimentation et de commande sera de catégorie C2. La canalisation électrique devra être
issue d'une dérivation prise en aval du dispositif de protection.
Les blocs seront posés selon le cas en encastré, en drapeau ou en saillie (prévoir les kits d’encastrement
et kits drapeau nécessaires).
2.1.4.12.2 ECLAIRAGE ANTI-PANIQUE

Sera réalisé avec des blocs d’ambiance 400 lumens.
Un Bloc Autonome Portable d’Intervention (BAPI) étanche sera mis en œuvre dans le placard du TGBT,
avec sa prise associée, y compris dans le local chaufferie.
2.1.4.12.3 TÉLÉCOMMANDES
Les boîtiers de télécommande et de mise au repos seront mis en œuvre dans le TGBT ou/et dans le(s) TD
distribuant la zone concernée.
Ils intègreront les fonctionnalités suivantes :
 Mise au repos manuelle locale
 Mise au repos automatique par coupure volontaire
 Fonction anti-panique
2.1.4.13. CHEMINEMENTS DES CABLES INFORMATIQUES

Il faudra tenir compte des exigences de séparation entre cheminements courants forts et précâblage ci-
dessous :
Longueur du cheminement en parallèle (m) Séparation à respecter (cm)
2 2
5 4
10 7
15 12
20 15
30 20
40 25
50 30
Au-delà 30

Les chemins de câbles seront mis à la terre générale du bâtiment
Les chemins de câbles (ou les goulottes) courants faibles seront séparées de 3m minimum des moteurs et
de 50cm minimum des tubes fluorescents
Tous les câbles circulant en dehors des chemins de câbles ou des goulottes doivent être attachés et fixés à
la maçonnerie au moins tous les 2 mètres. S'ils sont regroupés en torons (10 câbles maxima), des colliers
Rilsan doivent les maintenir tous les mètres. Aucun câble ne doit être fixé sur des chemins de câbles
même sous tube apparent
2.1.4.14. CARACTÉRISTIQUES DES CÂBLES COURANTS FAIBLES

Les câbles (y compris les conducteurs) d’énergie et de communication doivent être conformes aux
dispositions du RPC (Règlement Produits de Construction) N°305/2011 applicables aux câbles pour la
partie réaction au feu depuis le 10 juin 2016 et obligatoire le 1er juillet 2017 et doivent faire l’objet d’un
marquage CE accompagné de la Déclaration de Performance (DdP).
Suivant segmentation des exigences de sécurité issue du cahier de recommandations SYCABEL, dans un
ERP de type R de la 5ieme catégorie, il est préconisé l’euro classes « améliorée » : Cca-s1, d1, a1.
2.1.4.14.1 CABLES COURANTS FAIBLES - TELEPHONIQUES D'INSTALLATION

Ce chapitre concerne les canalisations issues des répartiteurs, baies de distribution destinées à alimenter
les prises téléphoniques et/ou informatiques ou récepteurs
Spécifications Gaine Norme Norme de

Usage Nb paires
FT ext générique référence
ITC, Multipaires en 8, 14, 28,

L278 PVC UTE C 93-526 UTE C 93-527-8
vertical 56,112, 224
L298 ITC, Branchement

4, 8 PVC UTE C 93-530 UTEC 93-531-11
ST/FTR&D/6291 client, câblage client
Série 299 ITC, Branchement

4, 8 PVC - ZH UTE C 93-530 UTEC 93-531-12
ST/FTR&D/6223 client, câblage client
ITC, Rocade Immeuble

Série 299 d’affaire (ZH) ou PVC, ZH
32, 64, 128 UTE C 93-530
ST/FTR&D/6829 adduction et campus + PeBD
avec surgaînage PeBD
Catégorie 6 ITC, câblage client 4, 8, 12 ZH UTE C 93-530 UTEC 93-531-13
ITC, Rocade Immeuble

d’affaire (ZH) ou ZH +
L120 32, 64, 128 UTE C 93-530 UTE C 93-531-7
adduction et campus PeBD
avec surgaînage PeBD
Spécifications Gaine Norme Norme de

Usage Nb paires
FT ext générique référence
Adduction, Multipaires
L123
en conduite. Cu Ф0,4 ou 8,14,….2688 PeBD UTE C 93-526 UTE C 93-527-2
Série 88
0,6mm
L124 Adduction, Multipaires 8,14,28,56,11

PeBD UTE C 93-526 UTE C 93-527-2
Série 89 en conduite Ф 0,8mm 2
L129
en 224, 448, 672 PeBD UTE C 93-526 UTE C 93-527-4
Série 90
conduite. Cu Ф 0,8mm
Adduction multipaires
L150 conduite ou enterrable.
8,14, …1792 PeHD UTE C 93-526 UTE C 93-527-1
Série 74 Cu
Ф 0,4mm ou Ф 0,6mm
Adduction multipaires
L151
conduite ou enterrable. 14, …224 PeHD UTE C 93-526 UTE C 93-527-1
Série 74
Cu Ф 0,8mm
16, 28, 56,
Série 93 en PeBD UTE C 93-526 UTE C 93-527-5
112
conduite. Cu Ф 0,8mm
Raccordements des
Série 91 répartiteurs 16, 28, 56,
ZH
DTD/CMR/16 numériques. Cu Ф 112
0,8mm
Branchement, conduite
L157 ou
2 PeHD UTE C 93-526 UTE C 93-527-9
Série 92 enterrable Cu Ф 0,6mm
ou Ф 0,8mm
Branchement,
Série 92 R enterrable 2 PeHD UTE C 93-526 UTE C 93-527-11
Cu, Ф 0,6mm
Branchement, aérien
L136
Cu 2 PeBD UTE C 93-526 UTE C 93-527-9
Série 5/10
Ф 0,8mm
Série 5/10E 2 PeBD UTE C 93-526 UTE C 93-52710
écranté Cu Ф 0,8mm
Série 5/99
Cu 1 PeHD
ST/FTR&D/6820
Ф 0,6mm
générale :
2.1.4.14.2 CABLES COURANTS FAIBLES – PRECABLAGE TELEPHONIQUE

ROCADES TELEPHONIQUES CUIVRE U/UTP
Chaque sous répartiteur sera relié au répartiteur général par un câble de rocade cuivre nx4 paires
torsadées écrantée quatre par quatre. Toutes les paires de chaque extrémité du câble devront être
raccordées.
Le câble sera de type Rocades U/UTP - 100 Ohms - 200 MHz - Catégorie 5 - LSOH et aura les
 (1) Type de conducteur : Fil de Cuivre nu, ∅ 0.510 mm (24AWG)
 (2) Nature de l’isolant : Polyéthylène cellulaire coloré, ∅ 0,90 mm
 (3) Type d’assemblage : n fois 4 paires U/UTP catégorie 5.
 (4) Type de gaine : LSOH
 Résistance en boucle du conducteur : ≤ 190 Ω / km
 Déséquilibre de résistance : ≤ 2 %
 Rigidité diélectrique Courant continu 50 Hz : 1kV pendant 1 minute = pas de claquage
 Résistance d'isolement (500 V) : ≥ 5000 MΩ . km
 Déséquilibre de capacité Réel-terre : ≤ 1600 pF / km
 Impédance caractéristique à 100 MHz : 100 ± 5 Ω
 Vitesse de propagation nominal : 66 %
 Impédance : 100 Ω
 Capacité rocade : n x 4 paires : capacités en fonction des besoins.
Le câble devra être compatible avec les applications suivantes :

 IEEE 802.3
 IEE 802.5
 FDDI
 ATM
 RNIS
Le câble devra répondre aux exigences des normes suivantes :

 IEC 61156-4
 EN 50288-3-1
 ISO/IEC 11801 ed.2
 EN 50173-1
 EIA/TIA 568
Le câble sera de type ACOLAN 200UU de marque ACOME ou techniquement équivalent

Les câbles rocades seront raccordés à chacune de leurs extrémités sur les panneaux de brassage RJ45
de chaque baie de brassage.
Les prises RJ45 correspondantes seront câblées en 4 paires en ce qui concerne les liaisons entre les baies
de brassage.
Un « mous » d’une love de câble sera laissé disponible du côté des baies pour tous câbles de rocade
téléphonique.
ROCADES TELEPHONIQUES CUIVRE F/UTP

Chaque sous répartiteur sera relié au répartiteur général par un câble de rocade cuivre nx4 paires
torsadées écrantée quatre par quatre. Toutes les paires de chaque extrémité du câble devront être
raccordées.
Le câble sera de type Rocades F/UTP - 100 Ohms - 200 MHz - Catégorie 5 - LSOH et aura les
 (1) Type de conducteur : Fil de Cuivre nu, ∅ 0.510 mm (24AWG)
 (3) Type d’assemblage : n fois 4 paires F/UTP catégorie 5.
 (4) Faisceau de 4P avec ruban synthétique hydrofuge et blindage par ruban Alu/Polyester
 + fil de continuité
 (5) Ruban synthétique hydrofuge
 Rigidité diélectrique Courant continu 50 Hz :1kV pendant 1 minute = Pas de Claquage
 Impédance caractéristique à 100 MHz :100 ± 5 Ω
 Impédance de transfert à 1 MHz : ≤ 50 mΩ / m
 Impédance de transfert à 10 MHz ≤ 100 mΩ / m
 Impédance de transfert à 30 MHz ≤ 200 mΩ / m
 Capacité rocade : n x 4 paires : capacités en fonction des besoins.

 IEEE 802.3
 IEE 802.5
 FDDI
 ATM
 RNIS

 IEC 61156-4
 EN 50288-2-1
 EN 50173-1
 EIA/TIA 568
Le câble sera de type ACOLAN 200FU de marque ACOME ou techniquement équivalent
Les câbles rocades seront raccordés à chacune de leurs extrémités sur les panneaux de brassage RJ45
de chaque baie de brassage.
Les prises RJ45 correspondantes seront câblées en 4 paires en ce qui concerne les liaisons entre les baies
de brassage.
Un « mous » d’une love de câble sera laissé disponible du côté des baies pour tous câbles de rocade
téléphonique.
2.1.4.14.3 CABLES COURANTS FAIBLES – PRECABLAGE VDI
CABLAGE HORIZONTAL INTERIEUR F/UTP

Ce chapitre concerne le câblage pour une installation de précâblage de catégorie 6a.
ou traverseront.
générale :
Les câbles auront les caractéristiques suivantes :

La distribution de chaque point terminal sera assurée par un câble écranté de 1 ou 2 fois 4 paires
torsadées. Toutes les paires seront raccordées aussi bien au niveau de la prise terminale que du panneau
de brassage. L’écran sera raccordé à chaque extrémité aux plots de mise à la terre.
Ce câble devra permettre une transmission de signaux standards jusqu'à 1 Gbits/s sur des distances
pouvant atteindre 90 mètres et conformément à la norme IEEE 802.3 an et permettre la transmission de
protocoles de la classe E.
Le câble sera de type F/UTP - 100 Ohms - 450 MHz - Catégorie 6 - 4P ou 2x4P LSOH et aura les
 (1) Type de conducteur : Fil de Cuivre nu, ∅ 0,535 mm (24AWG)
 (3) Type d’assemblage : 1 ou 2 fois 4 paires F/FTP catégorie 6.
 (4) Jonc séparateur
 (5) Protection : Ruban synthétique hydrofuge
 (6) Blindage général : Ruban Alu/Polyester et fil de continuité
 Norme catégorie 6 selon IEC 61156-5
 Rigidité diélectrique : Courant continu 50 Hz 1kV pendant 1 minute = pas de claquage
 Impédance caractéristique à 100 MHz : 100 ± 5 Ω

Caractéristiques de Transmission à 20° C :
Fréquence (MHz) 4 10 20 62.5 100 250

Valeur typique 3.6 5.7 8.3 14.8 19 31
Affaibli. Max. (dB/100m)
Cat. 6 (max.) 3.8 6 8.5 15.5 19.9 33
Valeur typique 68 62 57 50 47 41
Min. Next (dB)
Cat. 6 (min.) 66 60 56 48 45 39
Valeur typique 64.4 56.3 48.7 35.2 28 10
Min. ACR (dB)
Cat. 6 (min.) 62.5 54.3 47.3 32.9 25.4 6.3
PS Next (dB)
Cat. 6 (min.) 63.3 57.3 52.8 45.4 42.3 36.3
ELFEXT (dB/100 m)
Cat. 6 (min.) 56 48 42 32 28 20
PS ELFEXT (dB/100 m)
Cat. 6 (min.) 53 45 39 29 25 17
Valeur typique 25 25 25 23.8 23 20
Return Loss (dB)
Cat. 6 (min.) 23 25 25 21.5 20.1 17.3

 IEEE 802.3
 IEE 802.5
 FDDI
 ATM
 RNIS

 IEC 61156-5
 EN 50288-5-1
 EN 50173-1
 EIA/TIA 568
Le câble sera de type ACOLAN 450FU de marque ACOME ou techniquement équivalent
2.1.4.15. CARACTÉRISTIQUES DES FIBRES OPTIQUES

2.1.4.15.1 STRUCTURES DES ROCADES FIBRES OPTIQUES
Il sera fait usage de rocade type structure serrée. Le nombre de fibres optiques sera en fonction des
besoins de la présente opération et selon prescriptions de la partie 3 du présent CCTP.
La structure de la rocade optique sera dimensionnée en fonction des besoins et des conditions
environnementales auxquelles elle sera soumise. Pour cela les rocades auront les caractéristiques
suivantes :
INTERIEUR – FAIBLE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Fibre optique : 4 à 24 Fibres optiques 900µm, multi modes ou monomodes
 Structure serrée
 Renforts : Renforts périphériques 100% Fibres de verre.
 Protection contre les rongeurs : faible
 Gaine finale : Gaine LSOH bleue, conforme EN 50290-2-27
INTERIEUR – MOYENNE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Fibre optique : 4 à 24 Fibres optiques 900µm, multi modes ou monomodes
 Structure serrée
 Renforts : Renforts périphériques 100% Fibres de verre avec produits hydro bloquant
 Protection contre les rongeurs : moyenne
 Gaine finale : Gaine LSOH bleue, conforme EN 50290-2-27
INTERIEUR/EXTERIEUR – MOYENNE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Fibre Optique : Fibres optiques multimodes ou monomodes
 Tube : Matériau thermoplastique
 Etanchéité dans tube : Gel de remplissage
 Renforts : Protection contre les rongeurs à base de fibres de verre avec produit
hydrobloquant : faible
 Gaine finale : Gaine LSOH bleue, conforme EN 50290-2-27.
INTERIEUR/EXTERIEUR - BONNE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Fibre Optique : Fibres optiques multimodes ou monomodes
 Tube : Matériau thermoplastique
 Etanchéité dans tube : Gel de remplissage
 Renforts : Protection renforcée contre les rongeurs à base de fibres de verre avec produit
hydrobloquant : renforcée
 Gaine finale : Gaine LSOH bleue, conforme EN 50290-2-27.
Intérieur/Extérieur – très Bonne protection contre les rongeurs

 Fibre Optique : Fibres optiques multimodes, monomodes
 Tube : Polyester PBT.
 Etanchéité : Gel de remplissage.
 Renforts : Mèches de verre et d’aramide avec produit hydrobloquant.
 Armure : acier copolymère annelé. Indice de protection anti-rongeur : très renforcée.

 Gaine finale : Zéro halogène, bleue.
EXTERIEUR – MOYENNE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Fibre Optique : : Fibres optiques multimodes, monomodes
 Tube : Polyester PBT
 Etanchéité : Gel de remplissage
 Renforts : Protection contre les rongeurs à base de fibres de verre avec produit
hydrobloquant.
 Protection contre les rongeurs : faible
 Gaine finale : Polyéthylène noir
EXTERIEUR - BONNE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Renforts : Protection renforcée contre les rongeurs à base de fibres de verre avec produit
hydrobloquant
 Protection contre les rongeurs : renforcée
 Gaine finale : Polyéthylène noir
EXTERIEUR – TRES BONNE PROTECTION CONTRE LES RONGEURS

 Renforts : Mèches de verre et d’aramide avec produit hydrobloquant
 Armure : acier copolymère annelé
 Protection contre les rongeurs : très renforcée
 Gaine finale : Polyéthylène HD, noir.
2.1.4.15.2 FIBRE OPTIQUE OM1

Chaque brin de chaque extrémité du câble devra être raccordées et chaque brin aura les caractéristiques
minimales suivantes :
 Diamètre du cœur : 62.5 +/- 2.5 µm
 Diamètre de gaine : 125 +/- 1 µm
 Diamètre du revêtement : 245 +/- 10 µm
 Non-circularité de la gaine : < 1 %
 Non-circularité du cœur : < 5 %
 Erreur de concentricité cœur/gaine : < 1.5 µm
 Erreur de concentricité gaine/revêtement : < 10 µm
 Essai de tension continue : Allongement > 1% pendant 1s (0.69 Gpa)
 Essai de résistance à la traction : > 45 N
 Facteur de corrosion sous contrainte dynamique (nd) : > 20

 Essai de dénudabilité : 1.2 < Fmoy < 3N et Fmax < 5 N
 Affaiblissement linéique fibre câblée λ = 850 nm : < 3.2 dB/km
 Irrégularité de la courbe de rétrodiffusion < 0.2 dB
 Variation de température [–60 à 85°C] < 0.2 dB/km à 850 & 1300nm
 Vieillissement en chaleur sèche (85°C pendant 30j) < 0.2 dB/km à 850 & 1300nm
 Vieillissement en chaleur humide (85°C et 85%HR pendant 30j) < 0.2 dB/km à 850 & 1300nm
 Bande passante (source LED) : λ = 850 nm > 200 Mhz.km
Bande passante (source LED) : λ = 1300 nm > 500 Mhz.km
Les performances minimales auxquelles les fibres otiques devront répondre sont :
 Réseaux 10Mbits/s à 850 nm : 2 000 m
 Réseaux 100 Mbits/s à 1300 nm : 5 000 m
 Réseaux 1 Gbits/s à 850 nm : 275 m
La fibre optique devra être compatible avec les applications suivantes :

 IEEE 802.3
 IEE 802.5
 FDDI
 ATM
La fibre optique devra répondre aux exigences des normes suivantes :

 IEC/EN 60793-1
 IEC/EN 60793-2
 EN 50173
La fibre optique sera de type ACMM62.5 OM1de marque ACOME ou techniquement équivalent
Sur tout leur parcours, les fibres optiques seront posés obligatoirement sous conduit ICT ou IRL, y compris
poses sur chemins de câbles. Ces conduits seront soigneusement fixés par collier appropriés à raison de 1
collier tous les 50cm.
Nota : Un « mou » d’une love de câble sera laissé disponible du côté des baies pour tous câbles de rocade
fibre optique.

 Diamètre du cœur : 50 +/- 2.5 µm

Les performances minimales auxquelles les fibres optiques devront répondre sont :

 IEEE 802.3
 IEE 802.5
 FDDI
 ATM

 IEC/EN 60793-1
 IEC/EN 60793-2
 EN 50173
La fibre optique sera de type ACMM50 OM2 de marque ACOME ou techniquement équivalent
Sur tout leur parcours, les fibres optiques seront posés obligatoirement sous conduit ICT ou IRL, y compris
poses sur chemins de câbles. Ces conduits seront soigneusement fixés par collier appropriés à raison de 1
collier tous les 50cm.
fibre optique.

 Diamètre du cœur : 50 +/- 2.5 µm

 Bande passante (DMD) : λ = 850 nm > 2000 Mhz.km
 Distance de transmission à 10Gbit/s : 300m
Les performances minimales auxquelles les fibres optiques devront répondre sont :

 IEEE 802.3
 IEE 802.5
 FDDI
 ATM

 IEC/EN 60793-1
 IEC/EN 60793-2
 EN 50173
La fibre optique sera de type ACMM50 OM3 de marque ACOME ou techniquement équivalent
Sur tout leur parcours, les rocades optiques seront posées obligatoirement sous conduit ICT ou IRL, y
compris poses sur chemins de câbles. Ces conduits seront soigneusement fixés par collier appropriés à
raison de 1 collier tous les 50cm.
fibre optique.
2.1.4.15.5 LES CONNECTEURS FIBRES OPTIQUES

A chaque extrémité des fibres optiques il sera mis en place des connecteurs qui auront les caractéristiques
suivantes :
Connecteur Norme Caractéristiques

CEI 60 874- Code couleur d’usage sur le corps du
10 connecteur :
Verrouillage noir ou rouge pour le multimode
par jaune ou bleu pour le monomode.
baïonnette

Connecteur Norme Caractéristiques
CEI 60 874- Connecteur pour les réseaux WAN et
14 LAN.
Verrouillage Code couleur sur le corps du
de type connecteur :
“Push-Pull” beige ou noir pour le multimode,
bleu pour le monomode PC,
vert pour le monomode APC
CEI 60 874- Association de deux connecteurs SC

19 rendus solidaires à l’aide d’un clip, ses
caractéristiques sont identiques à
celles du SC.
Identification des ports Rx et Tx.
Code couleur est identique à celui du
SC.
Les normes ISO 11 801 et EN 50 173
recommandent l’utilisation de ce
connecteur au poste de travail et au
répartiteur
CEI 61 754- Connecteur bi-voie, réalisé autour
18 d’une férule rectangulaire en polymère
Verrouillage chargé.
à languette Les fibres sont séparées de 750 µm
sur la férule. Le principe d’alignement
fibre à fibre s’inspire de la férule MT et
utilise deux pions de centrage de part
et d’autre des fibres.
La tenue mécanique est réalisée par
un sertissage du revêtement de la
fibre.
CEI 61 745- Connecteur bi-voie utilisant :
20 Férule céramique de 1,25 mm sur
Verrouillage corps plastique.
à languette Les fibres sont espacées de 6,25 mm.
Code couleur est celui utilisé pour le
connecteur SC.
Le connecteur LC duplex sera utilisé
sur les matériels actifs cœurs de
réseaux présentant des interfaces
mini-GBIC.
Verrouillage Ces connecteurs seront utilisés dans
de type le cadre d'installations dites "Plug and
Push-Pull. Play" où l'utilisateur recherche un
Dénominatio système de câblage dont les éléments
ns : MPO ou de rocades ont été pré-assemblés et
MTP testés en usine, pour une mise en
œuvre rapide.
Ce connecteur intègre une férule
rectangulaire MT en silice chargée.
Il se décline en multimode pour une
capacité de 4 à 12 fibres sur une
rangée, et jusqu’à 24 fibres sur deux
rangées.
La déclinaison en monomode est
limitée à 12 fibres en finition APC.

2.1.4.16. EQUIPEMENTS DES REPARTITEURS ET SOUS RÉPARTITEURS INFORMATIQUES
2.1.4.16.1 LOCAUX TECHNIQUES
Le site sera pourvu d’un réseau VDI, architecturé sur le schéma « étoile ».
Il s’agira de placer un Répartiteur Général dans un placard dédié.
Dans tous les cas de figure, il sera indispensable que les locaux techniques soient situés de manière à ce
que les câbles y étant raccordés respectent les contraintes de longueur exprimés dans les normes ISO
11801 éd.2 et EN 50173-1
Enfin, les caractéristiques générales du local technique (environnement second œuvre,

distribution/alimentation électrique, climatisation/refroidissement, contrôle d’accès, …) devront bien
entendu respecter les différentes mises en œuvres CEM.
2.1.4.16.2 COFFRET VDI – REPARTITEUR GENERAL

L’arrivée des différents câbles jusqu’au coffret se fera sous goulottes permettant le cheminement des
câbles, toutes les arrivées de câbles dans le coffret se faisant par le bas.
Le coffret VDI aura les caractéristiques minimales suivantes :
 Coffret avec porte avant en verre sécurit et serrure à clé
 Standard 19“, hauteur utile 12U minimum.
 Barrette de masse toute hauteur avec plage de raccordement 6,35 mm
 Entrées de câbles haute et basse au format DLP
 Entrées de câble arrière prédécoupées.
 Il sera prévu des espaces avec des guides câbles horizontaux pour les cordons de brassage.
 Il sera prévu une tablette fixe pour poser le matériel actif
 En partie basse, mise en place d’un bandeau de 6 prises secteur 2P + T 10/16 A avec un disjoncteur différentiel 30 mA
 Une pochette porte - plan rigide fixée dans le local contenant le ou les plans d’implantation des points d’accès avec leur
repérage.
Le coffret sera de marque LEGRAND type Coffrets 19’’ LCS² fixes ou techniquement équivalent.
La répartition des équipements pourra être tel que présentée ci-dessous :

La répartition des équipements dans le coffret pourrait être effectuée de la manière suivante (à titre
indicatif) :

2.1.4.16.3 PANNEAUX DE BRASSAGE 19’’ DISTRIBUTION HORIZONTALE
Les panneaux de brassage 19’’auront les caractéristiques suivantes :
De type bandeau 19’’, haute densité avec 24 ports en 1U, multi-applications (multiservices) exécution
compatible aux câbles S/FTP, face avant décaissée avec reprise du blindage à 360°.
 Adaptés aux supports multi-applications et le montage et démontage des connectiques par l’avant
 Complétés par les supports multi-applications et les barrettes de frein de câbles sur 6 ports
 Les ports vides seront obligatoirement complétés par les obturateurs
 Kits de mise à la terre et kit de vis de fixation de chaque bandeau 19’’
 Les panneaux horizontaux, type guide de cordons 1U avec « mange » cordon (brosse), 1 entre tous les panneaux de
brassage à 24 ports, et entre tous les tiroirs FO
 Anneaux guides cordons placés sur les montants 19 pouces de part et d’autre des baies (2 anneaux pour chaque guide
horizontal de cordons de brassage)
 Divers équipements de montage et de fixation de chaque panneau
 Les supports seront en couleurs : noir, rouge, vert, jaune, bleu, blanc, gris … (nombre et couleur sont à définir par
l’utilisateur).
 Il sera prévu une réserve de 30%.
2.1.4.16.4 PANNEAUX DE BRASSAGE 19’’ DES ROCADES TELEPHONIQUES

Les panneaux de brassage 19’’auront les caractéristiques suivantes :
 De type bandeau 19’’, haute densité avec 24 ports en 1U, multi-applications (multiservices) exécution compatible aux
câbles S/FTP, face avant décaissée avec reprise du blindage à 360°.
 Adaptés aux supports multi-applications et le montage et démontage des connectiques par l’avant
 Complétés par les supports multi-applications et les barrettes de frein de câbles sur 6 ports
 Les ports vides seront obligatoirement complétés par les obturateurs
 Kits de mise à la terre et kit de vis de fixation de chaque bandeau 19’’
 Les panneaux horizontaux, type guide de cordons 1U avec « mange » cordon (brosse), 1 entre tous les panneaux de
brassage à 24 ports, et entre tous les tiroirs FO
 Anneaux guides cordons placés sur les montants 19 pouces de part et d’autre des baies (2 anneaux pour chaque guide
horizontal de cordons de brassage)
 Divers équipements de montage et de fixation de chaque panneau
 Les supports seront en couleurs : noir, rouge, vert, jaune, bleu, blanc, gris … (nombre et couleur sont à définir par
l’utilisateur).
 Il sera prévu une réserve de 30%.
2.1.4.16.5 TIROIRS OPTIQUES

Les tiroirs optiques auront les caractéristiques suivantes :
 Format 19" 1 unité capacité 12 connecteurs ou 2 unités capacité 24 connecteurs
 Matériaux : Acier et aluminium
 Série fixe à 1 compartiment permettant :
 L'amarrage et l'épanouissement des câbles
 La protection et le lovage des câbles non - gainées
 La protection des points d'épissure
 Le bandeau support des connecteurs de traversées
 L'identification et le repérage
 Chaque connecteur sera doté d’un embout protecteur

 Les percements non utilisés seront équipés d’un bouchon
2.1.4.17. PRECABLAGE : VOIX - DONNEES – IMAGES (CATÉGORIE 6A)

Le système de pré câblage informatique proposé, sera banalisé et devra permettre de distribuer sur le
même support :
 La voix (liaisons téléphoniques)
 Les données informatiques (liaisons asynchrones et synchrones, réseau locaux,…)
 Les images (liaisons analogiques et numériques)
 L’architecture générale du réseau actif de communication sera basée sur l’utilisation des châssis actifs multimédia
permettant :
 La connexion aux différents types de réseaux par l’intermédiaire d’interfaces
 L’intégration des différents modules fonctionnels comme Hubs, Serveur, Routeurs, Commutateurs, Administration
avancée,....
 La formalisation des réseaux de type Fast Ethernet, ATM, AnyLAN 100 VG, ...
La distribution finale sera organisée en étoile à partir des panneaux de brassage, constitués de prises RJ-
45 blindées de catégorie 6a reliées par des cordons de brassage en câble blindé RJ45-RJ45.
Le précâblage satisfera aux performances suivantes :
 Catégorie 6a (classe Ea) pour des signaux de fréquence égal ou inférieur à 500 MHz sur 100 mètres maximum avec cordons
IMPORTANT: afin de valider la chaîne de liaison, tous les composants doivent avoir le même niveau de
performances (répartition, câble, extrémité). Le câblage peut être banalisé Informatique et Téléphonique,
c'est à dire composé de composants de même type, de même référence et de même performance.
2.1.4.17.1 CONVENTION DE CÂBLAGE DES ÉQUIPEMENTS PASSIFS

Le câblage des équipements passifs de la chaine de liaison sera conforme à la convention de câblage
EIA/TIA 568 B.
Le choix de la convention de câblage peut influencer les performances d’une liaison. Cette convention doit
être unique sur toute l’installation.
2.1.4.17.2 CARACTÉRISTIQUE DU MATÉRIEL DE LA CHAINE DE LIAISON

NOYAUX RJ-45
Les noyaux RJ-45 seront utilisés indifféremment à chaque extrémité de la chaine de liaison (prises
terminales et panneaux de brassages).
Les noyaux seront de type RJ 45, 9 contacts blindées, catégorie 6a, disposeront d’un système de reprise
d’écran à 360° et d’un volet de protection intégré à fermeture automatique.
Ils seront adaptés au montage sur des plastrons au format 45 X 45 mm.
Les noyaux RJ45 auront les caractéristiques minimales suivantes :

 Noyaux RJ-45 à 9 contacts suivant ISO/IEC 11801 éd 2 amendement 1, de catégorie 6a classe Ea, blindées, compatible avec
les câbles F/FTP et avec connexion auto dénudante
 Sur chaque panneau de brassage noyaux avec sortie à 180°
 Sur chaque prise utilisateur noyaux avec sortie à 90°
 Le câblage doit être réalisé sans outil.
 Repérage des broches par couleur standard ou numérotation
 Volet de protection (anti-poussière) intégré à fermeture automatique
 Equipé d’une coquille métallique avec tresse métallique pour reprise à 360° de l’écran du câble.
 Adapté au plastron format 45 x 45

2.1.4.17.3 REGLES DE MISE EN ŒUVRE
Contraintes d'environnement :
Les perturbations des données transmises sur un câblage capillaire ont pour origine des champs
électromagnétiques ou électriques. L'origine des perturbations peut être interne ou externe et celles-ci
peuvent être rayonnées ou conduites.
Protection contre les sources électromagnétiques :

 La protection contre les perturbations d'origine électromagnétiques est assurée en respectant les contraintes suivantes :
 Eloignement des sources perturbatrices (moteurs, émetteur radio, poste MT/BT, appareils fluorescents,....)
 Cheminement sur chemins de câbles métalliques pour les grandes longueurs.
 Séparation des circuits courants forts / courants faibles.
 Les mises à la terre
2.1.4.17.4 REPERAGE
Le repérage et l'identification concernent :
 Les câbles
 Les infrastructures
 Les supports de cheminement
 Les baies
 Les panneaux de brassage
 Les points d'accès
Tous les câbles seront repérés avec des étiquettes en gaine thermo rétractable imprimable sur deux faces,
fermement maintenu sur le conducteur, pour un encombrement particulièrement réduit. Elles seront
prévues sur tous les câbles qui ont une section comprise entre 1,5 à 16mm².
Le repérage des équipements de baies est réalisé par des étiquettes de marquage
Le repérage sera conforme aux principes de codification mis en place par le Maitre d’ouvrage.
2.1.4.17.5 PERFORMANCES DE TRANSMISSION

Les performances de transmission devront être en adéquation avec les performances normatives pour les
liens permanents selon l’ISO/IEC 11 801 éd. 2 amendement 1 et l’EN 50 173-1.
Il sera notamment vérifié les paramètres de performances suivants :
 Insertion loss (perte d’insertion)
 Return Loss (pertes par réﬂexion)
 NEXT (Paradiophonie)
 PS-NEXT
 FEXT (Télédiaphonie)
 PS-FEXT
 ACR (Attenuation to Crosstalk Ratio, rapport signal sur bruit)
 PS-ACR
 ELFEXT (Equal Level Far End CrossTalk, rapport signal sur bruit distant)
 PS-ELFEXT
 Power Sum (summation en puissance)
 L’Alien Crosstalk
Ces mesures “cuivre” devront être réalisées avec un appareillage certifié ISO PL2 25N1599 voire même
ISO PL2 CLASSE Ea. Il sera impératif de réaliser une “initialisation de la référence” (étalonnage) avant le
début de la campagne de tests. De plus, il faudra intégrer la date de calibration de l'appareil utilisé, sur le
rapport de test.
2.1.4.17.6 RECETTE TECHNIQUE, GARANTIE

Les équipements choisis par l’entreprise pour créer la chaine complète de précâblage devra être validé
avec la fourniture d’un certificat d’un laboratoire indépendant.
En fin de travaux, le réseau sera scrupuleusement contrôlé.
Les opérations de contrôle devront permettre de valider la totalité du réseau.
La procédure de recette comportera plusieurs niveaux de contrôle :
CONTROLES VISUELS
Il s’agit de vérifier que les composants utilisés par l’installateur sont conformes au cahier des charges et
qu’ils n’ont pas été dégradés :
Les points importants seront :
 contrôler les références des composants installés,
 vérifier l'absence de contrainte mécanique sur les câbles (rayons de courbure a minima acceptables de 8 fois le diamètre
du câble, colliers de fixation ne déformant pas la gaine du câble, absence d'arrachement de la gaine,
 vérifier les câblages des prises et modules de raccordement ; convention de raccordement, longueur de détorsation des
paires de 8 mm maximum, longueur de suppression de l'écran,
 vérifier le raccordement et la distribution des terres et masses sur les chemins de câbles, les baies et fermes de répartition,
 vérifier la mise à la terre des écrans des câbles,
 s’assurer du respect des distances d'éloignement par rapport aux sources de perturbation.
CONTROLES DE TRANSMISSION HAUTE FREQUENCE

Il s’agit de tester la capacité de transmission des liaisons installées selon la norme ISO 11801 Ed.2
amendement 1. Ce contrôle permet de vérifier si l’installation réalisée est de Classe Ea, c’est-à-dire
capable de transmettre des signaux aux niveaux de performances de transmission souhaitées, dans les
conditions de qualité prévues par la norme.
Remarques : les valeurs contrôlées seront celles de l'installation, en partant de la prise du poste de travail
jusqu’à la prise du répartiteur, et non pas celles des composants. Il ne faudra donc pas confondre les
valeurs définies pour les classes d’installation et celles des catégories des composants.
DOSSIER DE RECETTE
Le présent lot devra la fourniture du dossier de recette de l’installation précâblage. A ce titre il doit :
Une copie du cahier des charges
Une description précise de l’architecture de l’installation, les plans du site, les modes de passage des
câbles, les plans de repérage avec les références permettant l’identification des connexions.
Une présentation des matériels utilisés ainsi qu’une documentation des fournisseurs
La liste des critères de qualité sur laquelle a porté l’examen visuel de l’installation ainsi qu’un commentaire
sur les non-conformités constatées.
Les fiches de mesure relatives aux tests statiques et hautes fréquences.
2.1.4.18. INSTALLATION TELEPHONIQUE

2.1.4.18.1 ADDUCTION INDIVIDUELLE
CANALISATION INDIVIDUELLE
La canalisation individuelle est constituée d'au moins un tube pour le service universel auquel il faut ajouter
les tubes nécessaires à la livraison des autres services de communications.
Les caractéristiques des tubes sont les suivantes :
 lisses à l'intérieur
 de diamètre intérieur minimum 25 mm,
 de diamètre extérieur maximum 45 mm,
 en polyéthylène de couleur verte, conformes à la norme NF EN 50086 (2-4) ou en polychlorure de vinyle de couleur grise,
conformes à la norme NF T 54-018.
A chaque point de changement important de direction de la canalisation et, si besoin, au point d'entrée
dans le bâtiment, un regard de dimensions minimum 0,30 x 0,30 x 0,30 m sera installé.
POINT D'ENTREE DANS LE PLACARD VDI

Le point d'entrée de la canalisation est situé au RDC du bâtiment dans le placard VDI. Il doit :
 permettre d'assurer la continuité du câblage, au plus court et directement jusqu'au point de terminaison des services de
communications sans contraintes excessives (rayon de courbure, continuité dimensionnelle de la canalisation...).
 être étanche aux écoulements : eau, gaz et autres fluides.
Le nombre et le diamètre des tubes sont les mêmes que ceux relatifs à l'adduction.
POINT DE TERMINAISON
Le point de terminaison des services de communication sera situé dans le placard VDI proche du RG. Il est
matérialisé par un Dispositif de Terminaison Intérieure (DTI).
De plus, le point de terminaison comprend, pour France Télécom, un module d'essais à deux pattes qui
permet de s'assurer de la continuité de la ligne, depuis le central jusque chez le client, en cas de
déconnexion de tous les terminaux. Ce module d'essais est composé d'un condensateur et d'une
résistance noyés dans une résine isolante. Les deux sorties se raccordent sur la paire utilisée.
Les informations relatives aux produits recommandés ainsi que les sources d’approvisionnement
(Distributeurs) sont disponibles auprès des services techniques de France Télécom (UPR).
La baie VDI regroupe en un seul emplacement les arrivées et les départs, courants faibles et signaux (voix,
données, images). Elle inclut la barrette de coupure de la prise de terre. La canalisation individuelle
d'adduction arrive dans cette gaine.
Un DTIO est à prévoir en attente de raccordement dans le local VDI, à placer proche du DTI. Celui-ci
pourra être mis à disposition sur un rail din à prévoir par le présent lot.
2.1.4.18.2 CABLAGE CLIENT

Il est prévu la mise en place d’un réseau banalisé cat 6A (Cf § précâblage réseau VDI du présent CCTP).
Les prises RJ45 pour la téléphonie seront brassées suivant besoins utilisateurs dans la baie VDI RG. Les
cordons de brassage sont prévus par le présent lot.
2.1.4.18.3 CARACTERISTIQUES ELECTRIQUES ET DE TRANSMISSION

Les mesures électriques sont nécessaires pour s'assurer de la qualité du câblage. Les câbles seront
conformes cat 6A, suivant § précâblage réseau VDI du présent CCTP.
2.1.4.18.4 AUTOCOMMUTATEUR
La baie VDI (RG) sera prévue pour intégrer un autocommutateur numérique IP (taille 2U) comprenant :
- 3 lignes numériques,
- une carte pour « entrée BIV »,
- une carte pour « entrée RTC ».
Les 3 postes numériques.
Les 3 cordons de brassages.
Nota : cet équipement n’est pas prévu dans le présent lot, étant donné qu’il est lié à la souscription d’un
abonnement auprès d’un fournisseur de service de télécommunication qui sera réalisé par le MO.
2.1.4.19. ALARMES TECHNIQUES

2.1.4.19.1 CARACTERISTIQUES DU MATERIEL
Le matériel utilisé devra avoir les caractéristiques minimales suivantes :
 De 1 à 40 directions possibles.
 Alimentation secourue intégrée
 Permettre la détection et la signalisation par signal sonore et visuel des anomalies ou défaillances techniques des
installations.
 Fonctionnement sur défaut fugitif ou permanent
 Mémorisation du premier défaut
 Isolation renforcée entre l’alarme et les appareils du type ascenseurs, aérothermes, photocopieurs, congélateurs
 Temporisation de boucle possible de 15 secondes pour éviter les déclenchements non désirés
Le matériel peut être par exemple, un dispositif d’alarme technique LEXIC de chez LEGRAND ou
techniquement équivalent comprenant :
Des centrales
Centrale informant l'utilisateur par un signal sonore et visuel

d'un ou plusieurs défauts survenus sur l'installation. C’est une
centrale 4 direction qui peut être étendue jusqu’à 20 directions
(maximum 4 extensions) réf. 407 75 ou équivalent.
Elle fonctionne sur défaut fugitif (ex. : bouton-poussoir) ou sur
défaut permanent (ouverture ou fermeture maintenue sur
contact). Mémorisation du 1er défaut. Isolation renforcée entre
l'alarme et les appareils du type ascenseurs, aérothermes,
photocopieurs, congélateurs. Peuvent être utilisées avec les
détecteurs techniques.
Des tableaux répétiteurs

Reporte toutes les informations fournies par la ou les centrales
(2 centrales maximum par répétiteur) sur afficheur à cristaux
liquides
A utiliser comme une centrale au-delà de 20 directions en
association avec 2 centrales réf. 042 74 (jusqu'à 40 directions)
Possibilité de lire et d'imprimer les 52 derniers événements
survenus
Equipé d'un Buzzer 65 dB à 1 m
Alimentation 230 V - 50 Hz avec alimentation secourue
intégrée
2.1.4.20. PRESTATIONS ET EQUIPEMENTS COMPLEMENTAIRES ET AUXILIAIRES

 Alimentations électriques, câblages, cheminements, raccordements et fixations des équipements, etc.
 Configuration, programmation, mise en service, formation des utilisateurs, etc.
 DOE, tous documents exigibles par la normalisation, par la réglementation et par le Maître d’ouvrage.
2.1.4.21. SSI CATEGORIE E

Le S.S.I. de catégorie E sera constitué d’un SMSI qui comprendra les éléments suivants :
 un D.C.M. ;
 un D.A.C. (si nécessaire) ;
 un ou plusieurs D.A.S. (si nécessaire);
 un E.A. du type 4.
. Déclencheurs Manuels (D.M.)
. Une centrale
. Un ou plusieurs Diffuseurs Sonores Non Autonome (D.S.N.A.)
. Un ou plusieurs Diffuseurs Lumineux (D.L.)
2.1.4.22. CARACTÉRISTIQUES DU MATÉRIEL ALARME INCENDIE

2.1.4.22.1 DÉCLENCHEURS MANUELS
Les déclencheurs manuels seront placés conformément à la réglementation, à chaque niveau, à proximité
immédiate des escaliers au droit de chaque issue, ainsi qu’à 10m maximum de la porte extérieure de tout
local, au rez-de-chaussée, à proximité immédiate de chaque sortie
Ils seront placés à 1,30m au-dessus du sol
Ils se présenteront sous la forme d’un boitier en matière thermoplastique de couleur rouge, du type
membrane déformable et seront munis d’un dispositif de test
2.1.4.22.2 DIFFUSEURS SONORES

Leur nombre et leur puissance seront fonction du niveau sonore ambiant et de la structure interne du
bâtiment (surface couverte avec ou sans cloisonnement).
Afin de correctement choisir le type de diffuseur sonore à installer, il sera nécessaire de tenir compte des
quatre points suivants :
 Bruit ambiant
 Atténuation naturelle des bruits
 Perception de l'oreille humaine
 Principes acoustiques
Le niveau de diffusion doit être au moins supérieur de 10dB par rapport au niveau sonore ambiant, sans
excéder 120dB.
Avant d'implanter un diffuseur sonore, il sera impératif de considérer les 3 critères d'implantation suivants :
 Lieu d'installation
 Condition d'environnement
 Condition sonore souhaitée
L'implantation des diffuseurs sonores devra tenir compte des problèmes acoustiques liés à la géographie et
à la nature des cloisons et revêtement du bâtiment (isolation, réverbération, absorption…). De ce fait,
l'alarme générale devra être audible en tout point du bâtiment, portes des locaux fermés.
Les diffuseurs sonores, les blocs autonomes d'alarme sonore (BAAS) des types Ma et Sa, ou les DSNA,
doivent être installés hors de portée du public par éloignement (hauteur minimum de 2,25m) et mis en
place de telle sorte qu'aucun obstacle ne nuise à une bonne audibilité du signal.

2.1.4.22.3 DISPOSITIFS LUMINEUX
Le signal sonore d’alarme devra être complété par un dispositif destiné à rendre l’alarme perceptible en
tenant compte de la spécificité des locaux et des différentes situations de handicap des personnes
amenées à les fréquenter isolément. Ces dispositifs seront lumineux et reliés sur une boucle en câble CR1
résistant au feu. Cette boucle sera surveillée et les équipements devront avoir un PV d’associativité avec
les autres équipements concourants au SSI.
Ils seront placés principalement dans les sanitaires ainsi que dans tous les endroits où une personne
handicapée pourrait se trouver seule.
2.1.4.22.4 AES
L’AES sera alimentée depuis le TGBT situé au niveau 0.
Une note de calculs avec un bilan de puissance de la source de sécurité sera fournie par l’Entreprise pour
dimensionner la capacité et la puissance de l’AES.
Batterie accumulateur certifiée avec une autonomie de 12 heures minimum et ceci pendant une période de
quatre ans plus une heure en sécurité ; la signalisation de surveillance et de contrôle des AES sera
présente sur le CMSI.
Il sera prévu, par tableaux SDI et CMSI, le câblage sur bornier d’une synthèse défaut batterie pour un
renvoi d’alarme sur le report téléphonique.
Les alimentations amont et aval aux tableaux AES seront en CR1 et conformes à l’article EL16. La
sélectivité entre chaque départ doit être totale.
L'alimentation de sécurité (A.E.S./E.A.E.S.) devra être implantée soit dans l'emplacement réservé au
service de sécurité incendie, soit en Volume Technique Protégé.
Les câbles d'alimentation en énergie électrique provenant d'une alimentation de sécurité (A.E.S./E.A.E.S.)
devront satisfaire aux dispositions suivantes :
 l'installation sera conforme aux normes françaises homologuées
 ils devront soit emprunter un Cheminement Technique Protégé (C.T.P.) ou un Volume Technique Protégé (V.T.P.) et être de
catégorie C2, soit être de catégorie CR1
 les dispositifs de dérivation ou de jonction ne sont pas autorisés sur cette liaison
Le câble permettant le report des dérangements de l'A.E.S ou E.A.E.S., devra satisfaire aux dispositions
suivantes :
 son installation sera conforme aux normes françaises homologuées
 Il sera au minimum de catégorie C2
 les dispositifs de dérivation ou de jonction ne seront pas autorisés sur cette liaison
2.1.4.22.5 ÉCLAIRAGE DE SÉCURITÉ

Le câble entre l'Équipement d'Alarme et le (ou les) équipement(s) de commande de l'éclairage de sécurité
doit être :
 au moins de la catégorie C2 si la commande est à rupture de courant ; ou
 de la catégorie CR1 si la commande est à émission.
2.1.4.22.6 DISPOSITIF DE VERROUILLAGE POUR ISSUES DE SECOURS

Les dispositifs de verrouillage électromagnétique seront des D.A.S de la fonction évacuation et seront
associés nécessairement à la même Z.A. que celle des diffuseurs sonores d'alarme.
En plus des dispositifs locaux de déverrouillage des portes, l'U.G.A. devra déverrouiller les issues de
secours.
Il ne sera donc pas autorisé de commander les issues de secours par l'U.C.M.C d'un C.M.S.I.
Ventouses électromagnétiques
Il sera mis en place des ventouses électromagnétiques pour le verrouillage des portes de la zone projet.
Ces ventouses de verrouillage devront permettre l'installation sous une tension de 24V ou 48Vcc. Pour cela
elles seront munies d’un boitier de commande DAS qui permettra une sélection automatique de la tension,

le raccordement des périphériques de commande comme le déclencheur manuel (boîtier bris de glace) ou
le contrôle d'accès ainsi que les informations d'état de sécurité (verrouillé/déverrouillé) du DAS.
Les ventouses devront pouvoir s'installer indifféremment dans l'huisserie ou l'ouvrant, horizontalement en
partie haute de l'issue ou verticalement en partie médiane et pourront être doublés pour une meilleure
résistance à l'effraction en cas de demande du maître de l’ouvrage.
Caractéristiques techniques minimales :
 Force de contact minimale : 500 Kg
 Bi-tension et de faible consommation
 Organes de commandes protégés, l'électronique interne de la ventouse éliminera tout effet de parasites et de retour de
tension sur la ligne d'alimentation
 Possibilité de pose en applique par l’ajout d’un boitier complémentaire
 Selon la configuration de l'ouvrant et les accessoires choisis, le produit pourra être installé pour une ouverture en poussant
ou en tirant et une fixation de face (pose avec équerre Z) ou sous linteau (pose avec équerre L).
Le titulaire du présent lot devra prévoir l’ensemble des systèmes d’adaptations pour satisfaire à tous les
types de pose rencontrés.
Le bris de glace vert y compris le câblage est à prévoir au présent lot.
2.1.4.22.7 DISPOSITIONS GÉNÉRALES

Pour les cheminements, il devra être utilisé des chemins de câbles principaux dans les sanitaires et locaux
techniques mis en place par le présent lot (ces chemins de câbles sont indiqués sur les plans techniques).
Tous les autres chemins de câbles et fourreaux secondaires non indiqués sur les plans et nécessaires pour
aboutir aux équipements terminaux seront à prévoir par le présent lot.
2.1.4.22.8 CÂBLES À UTILISER

Tous les câbles d’énergie et des commandes seront de type CR1 (câbles résistant au feu) avec conducteur
cuivre de section conforme à la puissance transitée (minimum 2,5 mm²).
Câble de sécurité de classification CR1 conforme à la Norme N.F.C. 32.310.
Le tableau ci-dessous permet de présenter (liste non exhaustive) quelques caractéristiques de câbles :
Elément Mode de Lign Type de

commandé transmission e câble
surv
eil.
T.S.I., C.M.S.I., tension seco C2 -
A.E.S., D.A.S. permanente urue U1000R2V
CR1 –
diffuseurs émission de
oui résistant au
d’alarmes sonores tension
feu
CR1 –
D.A.S. portes & émission de
oui résistant au
clapets coupe-feu tension
feu
C2 -
Cde équipements contact sec
U1000R2V
techniques CTA, NF et non
et CR1 –
VMC, Non-Stop émission de oui
résistant au
Ascenseur tension
feu
Antiparasitage, surtension
Le nécessaire sera fait afin d'éviter les parasites par rayonnement en réalisant notamment un blindage au
niveau de toutes les liaisons et les parasites par conduction en interposant des filtres antiparasites
efficaces au niveau de chaque source émettrice éventuelle.
Pour diminuer les risques de surtension dus aux câbles "d'énergie", prendre toutes dispositions pour éviter
les cheminements parallèles à une inter distance inférieure à 20cm.
De plus, les impédances des câbles (ligne de transmission) seront déterminées en fonction de l'impédance
d'entrée/sortie des divers matériels à raccorder.
2.1.4.22.9 DOSSIER TECHNIQUE DU SSI

L’entreprise et son intégrateur doit constituer un dossier technique de conformité de son installation. Il sera
joint à ce dossier technique un PV d'essais indiquant :
 les essais effectués,
 les résultats obtenus, joindre les fiches d'autocontrôle, attestant du bon fonctionnement de chacun des sous système et de
leur corrélation.
2.1.4.23. QUALIFICATION
Le personnel employé devra être qualifié et habilité pour les travaux du présent marché. L'entreprise, elle-
même, devra être en possession d'une qualification officielle pour les travaux qu'elles s'engagent à réaliser.
Sans indication précise dans le Règlement de Consultation ou l’Avis d’Appel à Candidatures, les
qualifications minimales requises seront les suivantes :
 E3, C4 : Electrotechnique
 CF3 avec mention FO : courants faibles
 D1 : détection intrusion
2.1.4.24. FORMATION
Après la mise en œuvre de chaque sous-système, l’installateur et l’intégrateur du système concerné auront
à leur charge la FORMATION de l’ensemble du personnel concerné du site.
Cette Formation sera réalisée sur la base d’un programme écrit, et en deux reprises : « 1° : formation de
base » et « 2° : formation de rappel ».
Le marché prévoit :
• 1 séances de ½ j pour la partie courants forts
• 2 séance de ½ j pour la partie courants faibles
• 1 séance de ¼ j pour la partie SSI
3. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES COURANT FORT
3.1. ALIMENTATIONS PROVISOIRES
L’entrepreneur devra assurer l’alimentation provisoire du chantier, notamment en initiant la demande de

création du branchement chantier auprès d’ENEDIS, la création du TGBT chantier, l’alimentation, la
fourniture et la pose des coffrets chantier en nombre suffisant (prévoir au minimum 2 coffrets), fourniture et
pose des compteurs défalquant pour la gestion du compte prorata géré par le Gros-œuvre.
L’entrepreneur devra faire cheminer ses câbles de manière sécurisée, en prévoyant notamment les
protections mécaniques nécessaires de l’ensemble des alimentations provisoires décrites ci-dessus.
L’entreprise titulaire du présent lot devra également assurer l’éclairage provisoire (éclairage normal +
éclairage de sécurité) du chantier durant la totalité des travaux.
NOTA : L’entrepreneur devra obligatoirement effectuer une visite du site avant remise de son offre. Aucune
plus-value ne pourra être demandée par l’entrepreneur pour des travaux ayant un lien avec les
équipements existants du site.
3.2. BILAN DE PUISSANCE
Voir bilan joint en annexe du présent CCTP.

Ces bilans tiennent compte d’une part des coefficients d’utilisation propres à chaque circuit alimenté,
d’autre part des coefficients de foisonnement et/ou de simultanéité liés à chaque zone.
Synthèse des bilans :
 Puissance énergie normale maximale : 101KVA
NOTA : Les entreprises fourniront à l’attributaire du lot courants forts les puissances à amener à chacun de ses coffrets ou
équipements en notant également le type de tension.
3.3. RESEAU DE TERRE
3.3.1. RÉGIME DE NEUTRE
Le Restaurant scolaire sera distribué en régime de neutre TT, avec généralisation de Dispositifs
Différentiels Résiduels.
3.3.2. SPÉCIFICATION DU RÉSEAU DE TERRE
La prise terre sera réalisée suivant une boucle en fond de fouille et raccordée sur une barrette de mesure
de terre à prévoir dans le placard TGBT suivant chapitre 2.1.4.4.
En complément des prestations décrites au chapitre 2.1.4.4., le présent lot devra prévoir l’ensemble des
liaisons équipotentielles nécessaires en raison de la construction de sanitaires et douches, conformément à
la réglementation. Il conviendra notamment de prévoir une liaison équipotentielle locale entre tous les
éléments métalliques et toutes les masses des volumes V1, V2 et V3.
3.4. ALIMENTATION GENERALE
3.4.1. ENERGIE NORMALE (BRANCHEMENT A PUISSANCE SURVEILLEE A CREER)
L'origine de l'alimentation générale sera constituée par le coffret de coupure ENEDIS qui sera situé au
niveau de la façade du bâtiment donnant avenue du stade et accessible depuis le domaine public.
Le présent lot devra :
 Les démarches administratives et techniques auprès des Services ENEDIS pour assurer la desserte en énergie électrique,
 La fourniture et la pose du coffret de coupure ENEDIS (CCPI), placé au niveau de la façade du bâtiment avec accès direct
depuis le domaine public, du type : « 1 arrivée 2 départs 200A », raccordé par ENEDIS.
 La fourniture et la pose des fourreaux de pénétration (2 ø 160) depuis le regard extérieur (à 1 mètre du bâtiment) jusqu’à la
coupure visible (NOTA : les fourreaux entre le coffret de coupure ENEDIS et le regard extérieur seront fournis et posés par le
présent lot, y compris regard).
 La fourniture et pose de l’interrupteur à coupure visible 4x400A,
 La fourniture et pose du disjoncteur général différentiel réglable retardé 2x250A, réglé à 150A (NOTA : L’interrupteur et le
disjoncteur général pourront être regroupés sous la forme d’un disjoncteur général différentiel réglable retardé 2x250A
réglé à 150A, accompagné d’un bloc VISU de marque SCHNEIDER ELECTRIC ou équivalent, assurant la fonction de coupure
visible, mais ne pourront en aucun cas être intégrés au TGBT,
 La fourniture et la pose d’un parafoudre avec sa protection fusible associée
 La fourniture et la pose de la liaison entre la coupure visible et le disjoncteur général en câble U 1000 R2V Cuivre de section
appropriée, posé sur chemin de câbles.
NOTA : Toutes les démarches auprès d’ENEDIS nécessaires en vue d’obtenir le branchement au réseau
public seront à effectuer par le titulaire du présent lot.
3.5. TABLEAU GENERAL BASSE TENSION
3.5.1. GENERALITES
Le Tableau Général Basse tension (TGBT) sera installé dans le placard TGBT prévu, et alimentera
l’ensemble des tableaux divisionnaires, les coffrets spécifiques, les équipements principaux
consommateurs, ainsi que les circuits d’éclairage/PC/FM des locaux proches.
L’enveloppe métallique sera conforme aux caractéristiques techniques décrites au chapitre 2.1.4.5.
3.5.2. CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
Voir chapitre 2.1.4.5.
3.5.3. CARACTÉRISTIQUES ÉLECTRIQUES
 Tension d'isolement : 1.000 Volts

 Tension de service : 400 Volts
 Régime de neutre : TT
 Intensité nominale : 200 A
 Intensité de court-circuit : Selon note de calcul à fournir par le titulaire du présent lot.
3.5.4. DEPARTS DISTRIBUTION ELECTRIQUE
Le TGBT sera composé comme suit :
 Un interrupteur 4 x 200 A réglable avec bobine MX pour arrêt d’urgence

 Une coupure d'urgence sur le TGBT agissant sur la bobine de l’interrupteur-sectionneur
 Un parafoudre avec sa protection fusible associée
 Un jeu de barres 4 x 200 A réglable
 Un disjoncteur de protection pour chaque tableau divisionnaire
 Les interrupteurs généraux avec différentiel 300 mA pour les jeux de barres éclairage sur lequel seront raccordés les
disjoncteurs terminaux (1 interrupteur général pour 6 terminaux maxi. et 9 points lumineux maxi. par disjoncteur terminal)
 Les disjoncteurs de protection avec différentiel 30 mA de type SI pour les prises associées aux prises RJ 45 des locaux (1
disjoncteur pour 6 prises maxi,. soit un départ pour 2 postes de travail informatique).
 Les disjoncteurs de protection avec différentiel 30 mA (1 disjoncteur pour 9 prises maxi.) pour les prises entretien
 Un disjoncteur pour chaque alimentation spécifique
 Les contacteurs généraux en amont des départs terminaux éclairage pour commande générale Marche/Arrêt/horloge
(Tableau de Commande des Luminaires) placée aux accès cuisine et maternelle
 Les contacteurs généraux en aval des départs ventilation pour les coupures d’urgence du bâtiment
 Les protections des alimentations de sécurité (évacuation de fumée et compensation hotte cuisine, VMC), en amont de la
coupure générale du TGBT
 40% de réserve non équipée
3.5.5. MESURES
Il sera installé en face avant du TGBT un appareil digital permettant de visualiser :

 Les tensions simples et composées
 Les intensités sur chaque phase
 La fréquence
 La puissance instantanée
 L'énergie consommée
Il sera également prévu les sous comptages suivants (RT2012) :

 Ventilo-convecteurs (Auxiliaires de chauffage)
 Eclairage intérieur
 Eclairage extérieur
 Prises de courants
 CTA DF (centrale ventilation)
 VMC (nbre=4) (centrale de ventilation)
 Extraction armoire (nbre=2) (centrale de ventilation)
 Extraction laverie et office (nbre=2) (centrale de ventilation)
 Compensation laverie et office (nbre=2) (centrale de ventilation)
Marque et type des comptages / sous comptages proposés : NEMO 72-LCM et série CONTO de IMESYS
ou équivalent.
NOTA 1 : Les protections pour les locaux recevant du public seront séparées des locaux ne recevant pas
de public tant au niveau de l'éclairage que des prises de courant. Le principe de filiation ne devra pas
remettre en cause cette séparation.
NOTA 2 : Les locaux recevant du public et pouvant recevoir plus de 50 personnes seront alimentés par au
moins deux circuits suivant des parcours différents et protégés sélectivement tant contre les surintensités
que contre les contacts indirects. Le principe de filiation ne devra pas remettre en cause cette séparation.
NOTA 3 : En complément des coupures d’urgence décrites ci-dessus, le jeux de barres cuisine sera
associé à 1 « coupure d’urgence force cuisine », qui agira sur le contacteur placé en amont du jeux de
barres spécifiques alimentant les équipements force des cuisine, à l’exception des chambres froides.
NOTA 4 : Les TD des différents niveaux seront placés dans des placards techniques fermés à clef, dont la
clef sera positionnée dans un boîtier « verre dormant » à côté de chaque placard, côté circulation : l’axe de
ces boîtiers sera positionné à 1,25m du sol fini.
NOTA 5 : Tout le matériel électrique des différents locaux contenant des douches devra être protégé par
des dispositifs différentiels de courant résiduel assigné au plus égal à 30 mA.
3.6. ALIMENTATION TABLEAU DIVISIONNAIRE
Les alimentations des Tableaux Divisionnaires (TD) et Coffrets spécifiques à prévoir sont les suivantes :
 Alimentation TD1 (depuis le TGBT)
L’ensemble des câbles seront de la série U 1000 R2V et chemineront depuis le local TGBT sur chemins de
câbles posés en apparent en plafond ou gaines techniques électriques, suivant les principes de pose
décrits au chapitre 2.1.4.8 et les plans série 400.
Ces câbles seront de section appropriée à l’intensité d’emploi ainsi qu’à une chute de tension maximale
depuis le TGBT de :
 3% pour l’éclairage
 5% pour les forces motrices et prises de courant
Les câbles de section inférieur ou égal à 25mm² seront obligatoirement prévus en Cuivre ; les autres
pourront être prévus en Aluminium.
NOTA : Les câbles principaux ne seront en aucun cas mélangés en torons avec d’autres alimentations.
Leurs cheminements seront clairement identifiables. Un intérêt tout particulier sera apporté au rangement
des câbles et à leur fixation, les câbles non rangés ne seront pas acceptés par la maîtrise d’œuvre (Voir
également le chapitre 2.1.4.8.)
3.7. TABLEAU DIVISIONNAIRE
3.7.1. CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
3.7.2. DÉPARTS DISTRIBUTION ÉLECTRIQUE
Le Tableau Divisionnaire (TD) suivant :

 TD 1 : alimentera les équipements (ECL, PC et petites FM) situés dans la partie Maternelle du restaurant scolaire,
Les zones de distribution associées à chacun de ces tableaux sont représentées sur les plans série 400
joints au dossier. Ces TD alimenteront également des coffrets spécifiques, ainsi que certaines
alimentations force motrice (voir chapitre 3.12).
Ces TD seront constitués de :
 Une coupure générale constituée d'un interrupteur (de calibre supérieur ou égal au calibre du disjoncteur en amont) avec
bobine pour coupure d’urgence

 Un parafoudre sélectif avec l’amont, et sa protection fusible
 Une coupure d'urgence en façade du TD agissant sur la bobine de l’interrupteur
 Disjoncteurs principaux de protection avec différentiel 300 mA pour les jeux de barres éclairage sur lesquels seront
raccordés les disjoncteurs terminaux (1 disjoncteur général pour 6 terminaux et 9 points lumineux par disjoncteur terminal)
 Disjoncteurs de protection avec différentiel 30 mA (1 disjoncteur pour 9 prises) pour les prises entretien
 Disjoncteurs de protection avec différentiel 30mA à haut niveau d’immunité aux courants transitoires, à raison d’un
disjoncteur pour 3 prises associées aux prises RJ 45 des locaux concernés
 Un disjoncteur pour l’alimentation de chaque coffret spécifique
 Un disjoncteur différentiel 300 mA (ou 30mA selon le cas) pour chaque alimentation spécifique
 Les contacteurs généraux en amont des départs terminaux éclairage pour commande générale Marche/Arrêt/horloge
(Tableau de Commande des Luminaires) placée aux accès cuisine et maternelle
 Les contacteurs généraux en amont des départs ventilation pour les coupures d’urgence
 40% de réserve non équipée
L’enveloppe métallique des TD sera conforme aux caractéristiques techniques décrites au chapitre 2.1.4.5.
De plus, les TD seront conçus en classe II entre les bornes de connexion amont de l’interrupteur général,
et les bornes de connexion aval des protections générales différentielles (et/ou les bornes de connexion
aval des départs spécifiques pris directement sous le jeu de barres principal).
3.7.3. MESURES
Il sera prévu les sous comptages suivants (RT2012) :

 Ventilo-convecteurs (Auxiliaires de chauffage)
 Rafraichissement du local Stock temporaire (maternelle)
 Eclairage intérieur
 Prises de courants
Marque et type des sous comptages proposés : série CONTO de IMESYS ou équivalent.
NOTA 1 : Les protections pour les locaux recevant du public seront séparées des locaux ne recevant pas
de public tant au niveau de l'éclairage que des prises de courant. Le principe de filiation ne devra pas
remettre en cause cette séparation.
NOTA 2 : Les locaux recevant du public et pouvant recevoir plus de 50 personnes seront alimentés par au
moins deux circuits suivant des parcours différents et protégés sélectivement tant contre les surintensités
que contre les contacts indirects. Le principe de filiation ne devra pas remettre en cause cette séparation.
NOTA 3 : Les TD des différents niveaux seront placés dans des placards techniques fermés à clef, dont la
clef sera positionnée dans un boîtier « verre dormant » à côté de chaque placard, côté circulation : l’axe de
ces boîtiers sera positionné à 1,25m du sol fini.
NOTA 4 : Tout le matériel électrique des différents locaux contenant des douches devra être protégé par
des dispositifs différentiels de courant résiduel assigné au plus égal à 30 mA.
3.8. COFFRETS SPECIFIQUES
3.8.1. COFFRET COUPURE LOCAL PAC
Le présent lot prévoira un coffret coupure local PAC. Il comprendra 1 départ tétra différentiel pour
l’alimentation de l’Armoire PAC, et 1 départ mono différentiel pour l’éclairage de la Chaufferie.
3.8.2. COFFRETS CHANTIER
Le titulaire du présent lot prévoira pour la durée du chantier un ensemble de 2 coffrets chantier NF adaptés
aux besoins du chantier (nombre de prises et ampérage à prévoir en fonction de la demande des autres
corps d’état). Ces coffrets seront à alimenter depuis le branchement provisoire du chantier (compte prorata
géré par le lot Gros-Œuvre – voir également chapitre 3.1).
3.9. DISTRIBUTION SECONDAIRE ET TERMINALE
3.9.1. PRINCIPE GÉNÉRAL
Ce paragraphe concerne les canalisations issues du TGBT, des TD et des coffrets spécifiques qui sont
destinées à alimenter les appareils d'éclairage, les alimentations petites forces et les alimentations
spécifiques.
RAPPEL : Aucune canalisation électrique ne devra transiter par un local à risques sinon celles réservées à
celui-ci, excepté sous gaine Coupe-Feu 2 Heures à intégrer au présent lot.
3.9.2. CONDUCTEURS
Les câbles et conducteurs seront, suivant leur mise en œuvre et les locaux équipés ou traversés, de série
FR-N1 X1G1, H07 et, si la réglementation l'impose, stables au feu, à isolement minéral ou équivalent.

 1,5 mmM pour l'éclairage
 2,5 mmM pour les prises de courant 16 A+T et pour les alimentations petites forces motrices
 6 mmM pour les prises de courant 20 ou 32A
NOTA : Un soin particulier sera accordé à la pose des câbles sur chemins de câbles. La pose en vrac des
câbles sur les supports ne sera pas acceptée; une fixation de ceux-ci par colliers rilsans sera prévu de
façon régulière. Aucun câble ne sera posé directement sur les faux plafonds.
3.9.3. CONDUITS ET SUPPORTS DIVERS
Suivant la localisation des cheminements, il est à prévoir un type de distribution particulier, à savoir :
- Les tronçons entre TGBT et les TDs du bâtiment :
* Les conducteurs seront posés sur Chemins de câbles fixés sur corbeaux en sous-face du plancher haut
du niveau et par suspentes dans le plénum de faux-plafond (masqué). (l’ensemble des réservations dans
les voiles seront à faire réaliser par le lot GROS-ŒUVRE)
Nota 1 : Les cheminements seront réalisés sur chemins de câbles suivant les principes de pose décrits au
chapitre 2.1.4.8 et les plans de la série 400. Le chemin de câble pourra être du type « FZF2 » avec éclisses
pré-montées de chez ZEDFIL/LEGRAND ou techniquement équivalent.
- Les tronçons entre les AD et les équipements terminaux … :

* Pour les liaisons horizontales, les conducteurs seront posés sur Chemins de câbles fixés sur suspentes
en sous-face du plancher haut du niveau ; les chemins de câbles seront dans le plénum de faux-plafond
(masqués). (l’ensemble des réservations dans les voiles seront à faire réaliser par le lot GROS-ŒUVRE).
* Pour les liaisons verticales (ou descentes) vers l’appareillage situé en périphérie des locaux, le passage
sera réalisé :
-> soit dans voile béton, avec 1 pot d’encastrement associé au départ / à l’arrivée et 1 fourreau ICTA
noyé entre les 2 (suivant la présence de faux-plafond, le pot d’encastrement sera recouvert d’une
plaque/enjoliveur faisant office de liaison avec la gaine pour protéger les conducteurs jusqu’au chemin de
câble).
-> soit encastré dans cloison multi matériaux avec boite rigide d’encastrement au départ / à l’arrivée et
fourreau ICTA entre les 2 (suivant la présence de faux-plafond, les boites d’encastrement seront
recouvertes d’une plaque/enjoliveur faisant office de liaison avec la gaine pour protéger les conducteurs
jusqu’au chemin de câble)
Les câbles devront être posés conformément aux prescriptions du chapitre 2.1.4.8.
Les boîtiers de dérivation devront rester accessibles. A l'intérieur, les raccordements seront effectués par
bornes isolées de type WAGO ou équivalent.
La hauteur de l’appareillage sera en règle générale (école maternelle – enfant en bas âge) :
- Pour les appareillages isolés (hors demandes spécifiques du cuisiniste) :
* prises de courant : axe à 1,40m du sol fini,
* commandes éclairage : axe à 1,40m du sol fini.
* Coffrets équipés : bas à 1,40m du sol fini.
Les appareillages dans la cuisine industrielle, ils seront conformes aux recommandations du guide UTE C
15-201 (voir annexe n°2 du présent CCTP) ; dans la cuisine le matériel électrique devra posséder l'indice
de protection suivant :
- entre 0 et 1,10 m de hauteur : IP25 IK08,
- entre 1,10 m et 2 m de hauteur : IP24 IK07,
- au-dessus de 2 m : IP23 IK02.
3.10. EQUIPEMENTS INTERIEURS DES LOCAUX
3.10.1. CARACTÉRISTIQUES SPÉCIFIQUES DES APPAREILS D’ÉCLAIRAGE
Outre les caractéristiques indiquées au chapitre 2.1.4.11, les appareils d’éclairage mis en place devront
respecter les caractéristiques techniques suivantes :
Source d’éclairage Puce LED, Module LED, Luminaires LED
IRC 80 - 89
Température de couleur 3000 - 4000°K
Type Led
Efficacité lumineuse mini 120 lm/W plafonniers et 100 lm/W
pour les autres type
Durée de vie (L80 B10) 50 000 heures / garantie fabricant 5 ans
Facteur de dépréciation 1.1 fois à maintenir ou 1.2 fois suivant
§2.1.4.13.5
3.10.2. NIVEAUX D’ÉCLAIREMENT / UNIFORMITE / UGR
 Tableau d’affectation des valeurs suivant local traité :
Local Niveau Uniformité Valeur UGR

d’éclairement (Emin/Emoy) (maximum)
moyen
(lux)
Bureau 250(1) 0,4 19
Hall d’entrée 200 0,4 22
Cantine scolaire 200 0,4 22
Cuisine 200(1) / 400(2) 0,4(1) / 0,6(2) 22
Cuisine hottes 500 0,6 22
Locaux techniques (CTA, PAC) 200 (2)
Sanitaires, douches, vestiaires, 200 0,4 25
toilettes
Stock, entretien, local déchets 200 0,4 22
Circulations horizontales ERP 100 au sol / 0,3 28
ERT 60 au sol
Circulations verticales ERP 150 au sol / 0,2 25
ERT 60 au sol
Espaces extérieurs (accessibilité 5 sinon 20 0,2
handicapé) (accessibilité (accessibilité
handicapé) handicapé)
(1) : éclairage général / appoint sur postes de travail

(2) : sur le poste de travail
(3) : L’intensité lumineuse ne doit pas réveiller une personne endormie
Pour les calculs d’éclairement, le facteur de dépréciation sera pris à 10% ou 20 % (suivant § 2.1.4.13.5);
les coefficients de réflexion seront de 0,7 en plafond, 0,5 en murs et 0,08 au sol.
 Paramètre des simulations ISOLUX

Contraintes
3.10.3. RÉFÉRENCES DES APPAREILS D’ÉCLAIRAGE
L’ensemble des éclairages seront conformes à la norme EN60598 et autres normes spécifiques.
Luminaire type 1 : Luminaire encastré à LED 23W type downlight rond, IP20, classe I, 850°C, Ø214 et hauteur 99mm,
boitier et collerette en aluminium, réflecteur en plastique et revêtement d’aluminium miroir haut
brillant, collerette en aluminium, driver électronique, source LED, 2600 lumens, IRC 80, Température
de couleur de 4000°K, durée de vie : L80 B50 : 50 000h.
Marque : PHILIPS ou équivalent
Type LUXSPACE RECESSED, modèle DN570B ou équivalent
Localisation : Bureau accueil, circulation cuisine, self et restaurant élémentaire, déposes plateaux,
restaurant et patères maternelle
Luminaire type 2 : Luminaire suspension à LED 15W, IP40, classe I, 650°C, corps en profilé d’aluminium anodisé,
vasque en PMMA opale, embouts en ABS anthracite clipsés et collés au corps, suspensions par filins
dans inserts filetés, driver électronique, sources LED, 1715 lumens, IRC >80, Température de
couleur de 4000°K, durée de vie L80 F10 : 50 000h, dim : 1190(L)x45(l)x80(h)mm, suspension
réglable sans outil.
Marque : SFEL ou équivalent
Type : Suspension SURI LED ou équivalent
Localisation : Plafonds lames feutres des salles suivantes : self, restaurant, espace patère
élémentaire et restaurant maternelle
Luminaire type 3 : Luminaire encastré étanche à LED 30W, IP65, IK08, classe I, 850°C, 600x600mm, corps en tôle
d’acier peint en blanc, vasque en polycarbonate opale, driver électronique, source LED, 3120 lumens,
IRC 80, Température de couleur de 4000°K, durée de vie L80 F10 : 50 000h, montage par le
dessous.
Type : OPALI ou équivalent
Localisation : Cuisine (faux-plafond hygiène)
Luminaire type 4 : Luminaire encastré étanche type downlight rond 11W, IP54, classe II, 850°C, Ø214 et hauteur 99mm,
boitier et collerette en aluminium, réflecteur en plastique et revêtement d’aluminium miroir haut
brillant, collerette en aluminium, verre de protection, driver électronique, source LED, 1200 lumens,
IRC 80, Température de couleur de 4000°K, durée de vie L80 B50 : 50 000h.
Type LUXSPACE RECESSED avec verre de protection, modèle DN570B ou équivalent
Localisation : Sanitaires (partie commune et cabine PMR)
Luminaire type 5 : Luminaire encastré technique étanche à LED 1x8W, IP54 (vitre de protection), IK02, classe II, 850°C,
boîtier et bord en aluminium gris ou noir, réflecteur en plastique et aluminium galvanisé, miroir mat,
Ø164, driver électronique, source LED, 820 lumens, IRC 80, Température de couleur de 4000°K,
durée de vie L80 B50 : 50 000h.
Type : LUXSPACE MINI avec verre de protection, modèle DN560B ou équivalent
Localisation : Cabine WC, dépose plateaux élémentaire et maternelle, bureau accueil
Luminaire type 6 : Luminaire étanche fonctionnel à LED 20W, IP65, IK08, classe I, 850°C, boîtier et vasque en
polycarbonate, driver électronique, source LED, 2200 lumens, IRC 80, Température de couleur de
4000°K, durée de vie L70 B50 : 50 000h.
Type : CORELINE ETANCHE, modèle WT120C ou équivalent
Localisation : Local CTA
Luminaire type 7 : Luminaire tube étanche industriel LED 15W, IP66, IK10, classe I, 850°C, corps en polycarbonate
opale anti-UV, embouts flasque avec joints à chaque extrémité, embouts et étriers (verrouillage par
vis) en inox 304L, driver électronique, sources LED, 2030 lumens, IRC >80, Température de couleur
de 4000°K, dim : Ø70 x L1304mm, durée de vie L80 F10 : 70 000h..
Type : TUMO LED réf. TUM406 ou équivalent
Localisation : Livraisons, circulations devant local PAC,
Luminaire type 8 : Luminaire encastré étanche à LED 24W, IP20, classe I, 850°C, 600x600mm, corps en tôle d’acier
peint en blanc, vasque en polycarbonate opale, driver électronique, source LED, 3081 lumens, IRC
80, UGR <19, Température de couleur de 4000°K, durée de vie L80 F10 : 50 000h, montage par le
dessous.
Type : OPOM LED ou équivalent
Localisation : Bureaux
Luminaire type 9 : Luminaire applique encastrée à LED avec éclairage dirigé vers le bas 5.6W, IP65, IK10, classe I, 150
x 150 et profondeur 95mm, fabriqué en fonderie d’aluminium, aluminium et acier inoxydable, verre de
sécurité à structure optique, joint silicone, driver électronique, source LED, 266 lumens, IRC 80,
Température de couleur de 3000°K, durée de vie : L90 B50 : 50 000h.
Marque : BEGA ou équivalent
Type 24202 ou équivalent
Localisation : Cheminement extérieurs contre la façade du bâtiment
Luminaire type 10 : Luminaire borne basse à LED 5.6W, IP65, classe I, Ø70 et hauteur 900mm, fabriqué en fonderie
d’aluminium, aluminium et acier inoxydable, verre opale avec pas de vis, joint silicone, driver
électronique, source LED, 448 lumens, IRC 80, Température de couleur de 3000°K, durée de vie :
L90 B50 : 50 000h.
Marque : BEGA ou équivalent
Type 77235 ou équivalent
Localisation : Cheminement extérieurs contre les espaces verts
3.10.4. COMMANDES D’ECLAIRAGES
Le nombre et types de commandes d’éclairage sont représentés sur les plans série 400.
Les zones de bureaux / détente personnel seront équipés du système de contrôle des éclairages,
comprenant des détecteurs de présence et de mesure de luminosité, couplés à un bouton poussoir,
permettant l'allumage et l'extinction volontaire.
Le système sera de type « semi-automatique » avec bouton poussoir.
Après avoir provoqué l’allumage par pression sur le BP, le fonctionnement des éclairages sera alors lancé.
Avec détection de présence et si le niveau d'éclairement est insuffisant (à régler en usine suivant le tableau
d’éclairements moyens du chapitre 3.11.2), les luminaires resteront allumés ; dès le dépassement du
niveau d’éclairement paramétré (par mesure du capteur) le capteur coupera l’alimentation des éclairages.
La temporisation sur extinction pour détection de « non présence » sera réglée sur 2 à 5 minutes.
Les détecteurs seront de type encastré dans les zones munies de faux-plafond, et de type sailli dans les
autres zones.
Les circulations et dégagements accessibles ou non au public seront équipés de détecteurs de présence
à sécurité positive avec temporisation réglable (30 secondes).
Le système sera de type « automatique sur détection de présence ».
Les zones de détections se chevaucheront afin de répondre à l’article EC6. Les détecteurs seront capable
de mesurer la luminosité afin d’interdire l’allumage si le niveau d’éclairement requis est atteint.
autres zones.
Les sanitaires et les locaux de passage borgnes seront équipés de détecteurs de présence à sécurité
positive avec temporisation réglable (30 secondes).
Le système sera de type « automatique sur détection de présence » externe au luminaire ou embarqué
dans celui-ci.
autres zones ou bien embarqué dans le luminaire.
Les détecteurs pourront être de marque BEG type LUXOMAT.
Les éclairages du restaurant seront équipés d’une commande centralisée des éclairages placée au
TGBT et au TD1 ; il s’agira de commandes par BP suivant les zones avec voyant associé et en fonction de
l’exposition ; un synoptique des zones d’éclairages sera mis en place à côté du tableau de commande des
éclairages (TCL) afin de répertorier l’ensemble des zones contrôlées.
Il s’agit des zones suivantes :
 C1 : espace patère élémentaire et dépose plateaux,
 C2 : restaurant et self élémentaire
 C3 : escaliers (circulation 01)
 C4 : restaurant maternelle
 C5 : dépose plateaux maternelle
NOTA 1 : Le nombre et l’implantation des détecteurs indiqués sur le plan sont donnés à titre indicatif.
L’entrepreneur devra adapter ces indications en fonction de la marque et des types de détecteurs
proposés, et intégrer ces éventuelles adaptations dans son offre, de manière à supprimer toute zone de
non détection.
NOTA 2 : Conformément à la réglementation sur l’accessibilité, chaque appareillage (commande ou
communication) devra être disposé à plus de 0,40m d’un angle rentrant.
NOTA 3 : Les caractéristiques des commandes seront choisies en fonction des influences externes
auxquelles elles seront soumises : elles seront de type étanche PLEXO de marque LEGRAND ou
équivalent (IP 44 minimum) dans les locaux techniques, dans les grandes salles et dans les locaux où le
degré d'humidité est élevé, et de série MOSAIC de marque LEGRAND ou équivalent pour les bureaux et
autres locaux.
3.10.5. PRISES DE COURANT
3.10.5.1. PRINCIPE GENERAL

Le nombre et type de prises par local sont représentés sur les plans techniques série 400.
Les prises de courant seront positionnées :
 Soit dans des goulottes techniques 3 compartiments P.V.C. 160x54 minimum, en périphérie des locaux,
 Soit en encastré dans les parois (cloisons sèches ou voile béton),
 Soit en apparent ou il n’est pas possible d’encastrer.
Les caractéristiques des prises de courant seront choisies en fonction des influences externes auxquelles
elles seront soumises.
3.10.5.2. CARACTERISTIQUES DES PRISES DE COURANT
Les prises de courants seront de marque LEGRAND type MOSAIC ou équivalent pour les locaux tels que :
- Bureaux,
- Restaurant,
- Dégagements intérieurs,
Les prises de courant seront de marque LEGRAND type PLEXO IP55 IK 08 ou équivalent dans les locaux
où le degré d'humidité est élevé, tels que :
- Cuisine,
- Sanitaires,
- Techniques,
Nota1 : les prises seront étanches avec couvercle.

Nota2 : Les prises associées aux prises RJ45 informatiques seront protégées par des disjoncteurs type SI
dotés d’un haut niveau d’immunité aux courants transitoires, limitant ainsi les déclenchements intempestifs
du différentiel.
Nota3 : les prises sur réseau ondulé seront pourvues de détrompeurs.
3.11. ECLAIRAGE DE SECURITE
3.11.1. SPÉCIFICATION DU MATÉRIEL DÉDIÉ À L’ÉCLAIRAGE DE SÉCURITÉ
3.11.2. SPECIFICITES DU PROJET
Les blocs d’évacuation seront à simple technologie BAES (45 lm pendant 1h), conformément aux
dispositions de l'article EL 4, § 4.
Marque : KAUFEL de technologie SATI
Type standard : BRIOSPOT 60L A (IP 43 – IK 04) ou équivalent, (conso < 0.5W)
Type étanche : PRIMO3 ET 60L A (IP 65 – IK 10) ou équivalent, (conso 0.5W)
Il sera également prévu des blocs d’ambiance ou anti-panique (400 lm pendant 1h).
Marque : KAUFEL de technologie SATI
Type : BRIOSPOT 400L A (IP 43 – IK 08) ou équivalent, (conso < 0.7W)
Le nombre et type de blocs de sécurité figurent sur les plans série 400.
L’éclairage de sécurité sera mis à l’état de veille pendant les périodes d’exploitation, et à l’état de repos ou
d’arrêt lorsque l’éclairage normal sera intentionnellement mis hors tension. Une télécommande de mise au
repos sera mise en œuvre dans le TGBT.
Marque : KAUFEL ou équivalent
Type : BT 5F ou équivalent.
Un bloc portatif (B.A.P.I.) sera installé dans le local T.G.B.T. et dans le local GE
Marque : KAUFEL ou équivalent
Type : EDF 100 L réf 612 105 ou équivalent.
3.12. ALIMENTATIONS SPECIFIQUES
L’implantation des alimentations figure sur les plans techniques série 400. Les puissances unitaires à
prendre en compte sont indiquées en suivant.
NOTA 1 : Toutes les liaisons seront réalisées en câble de la série FR-N1 X1G1 de marque NEXANS ou
équivalent, sauf cas particuliers spécifiés ci-dessous. Les câbles de sections inférieures ou égales à
25mm² seront prévus en Cuivre ; les autres pourront être prévus en Aluminium.
NOTA 2 : Les alimentations dites « de sécurité » seront sélectivement protégées. Ce principe ne pourra
pas être remis en cause par le principe de filiation.
3.12.1. DEPUIS TGBT ET TABLEAUX DIVISIONAIRES
ALIMENTATION POUR LOT CVC

 Armoire Local PAC : 41 kW – Tri + N + T – 400V
 Ventilo-convecteurs (nb = 25) : 0.2 kW – Mono – 230V (Puissance unitaire)
 Centrale de traitement d’air double flux : 5 kW – Tri + N + T – 400V
 VMC (nb = 4) : 0.5kW – Mono – 230V / CR1 (Puissance unitaire) --- Depuis TGBT et sélectivement protégé
 Extraction armoire (nb = 2) : 0.5 kW – Mono – 230V (Puissance unitaire)
 Extraction Laverie : 1kW – Mono – 230V
 Extraction Office : 1kW – Mono – 230V / CR1 --- Depuis TGBT et sélectivement protégé
 Compensation Laverie : 1kW – Mono – 230V
 Compensation Office : 1kW – Mono – 230V / CR1 --- Depuis TGBT et sélectivement protégé
 Split system stock temporaire maternelle, compris crosse d’étanchéité (UE) : 1.5 kW – Mono – 230V
ALIMENTATION POUR LOTS MENUISERIES EXT ET INTERIEURES

 Ventouse (SSI), (nb = 2) : 0.2 kW – Mono – 230V (Puissance unitaire)
 Brise-soleil, (nb = 3) : 0.5 kW – Mono – 230V (Puissance unitaire)
 Gâche électrique, y compris Bris de Glace de couleur verte : 0.05 kW – Mono – 230V
ALIMENTATION POUR LE PRESENT LOT ELECTRICITE

 Baie VDI : 0.5 kW – Mono – 230V
 Alarme incendie : 0.2 kW – Mono – 230V / CR1 --- Depuis TGBT
 Alarme intrusion : 0.2 kW – Mono – 230V
 Sonorisation - PPMS : 0.5 kW – Mono – 230V
3.12.2. EQUIPEMENTS CUISINE / RESTAURANT – SUIVANT LISTE INGECOR
Alimentations à prévoir concernant les besoins pour CUISINISTE (les tenants des équipements seront
situés dans le TGBT ou le TD1 maternelle) :
ELECTRICITE
Repère Désignation Qté Alimentation Puiss. P. totale Type

Réception
BA100 Balance électronique 100kg 1 Mono 240 V+T 0,4 0,40 kW PC

1,20m
DI Désinsectiseur 1 Mono 240V+T 0,1 0,10 kW PC 2,10m
PCS Prise de courant de service monophasé 240V+T 1 Mono 240V+T PC 1,20m

Bureau
ETMZM 240V + 2RJ 0,20 kW PC
Terminal de gestion et d'enregistrement des
PCS 1 Mono 240V+T 1,20m
températures
6 PC
Prise de courant de service monophasé 240V+T
1,20m
RJ Prise informatique 3 Réseau info PC
1,20m
Réserve
AFP1P Armoire froide positive 1 porte 1 Mono 240V+T 0,4 0,40 kW PC
2,10m
PCS Prise de courant de service monophasé 240V+T 2 PC
Mono 240V+T
1,20m
Chambre froide +
GCFP10 Ensemble frigorifique pour enceinte réfrigérée à t° 1 Tri 400V+T+N 3,5 3,50 kW En
positive >10m attente
Repère Désignation Qté Alimentation Puiss. P. totale Type
Local déchets
GCFP10 Ensemble frigorifique pour enceinte réfrigérée à t° 1

Tri 400V+T+N 3,5 3,50 kW En attente
positive >10m
Office de remise en température
AFP2P Armoire froide positive 2 portes 1 Mono 240V+T 0,8 0,80 kW PC

2,10m
ASC5 Armoire stérilisation de couteaux 1 Mono 240 V+T 0,02 kW PC 2,10m
BALT Balance de table 1 Mono 240 V+T 0,1 0,10 kW PC 1,20m
FRT141/1 Four de remise en température 14 niveaux GN1/1 2 Tri 400 V+T+N 13 26,00 kW Bte. 0,40
HA Hotte de ventilation adossée (ml) 2 Mono 240 V+T 0,1 0,20 kW Att.
Plaf.
MTAR20 Meuble de travail en ambiance réfrigérée 2000mm 1 Mono 240V+T 1,2 1,20 kW PC
1,20m
PCS Prise de courant de service monophasé 240V+T 4 Mono 240V+T PC
1,20m
Self / salle à manger / dépose plateaux
085-MSC20C Meuble self chaud 2000mm central 1 Tri 400 V+T+N 6,00 kW Att. Plaf.
085-MSSB Meuble self salad'bar 2 Mono 240 V+T 0,5 1,00 kW Att.
Plaf.
ACM1P61/1 Armoire chaude mobile 1 porte 1 Mono 240V+T 1 0,50 kW PC
1,20m
CDBM3B Chariot de distribution bain-marie 3 bacs 1 Mono 240V+T 4 3,50 kW PC
1,20m
FR80E Fontaine réfrigérée 80l/h à encastrer 1 PC
Mono 240V+T 0,3 0,30 kW
1,20m
Local ménage
LAVSOL Autolaveuse 1 Mono 240 V+T 1,5 1,50 kW
Stock temporaire
ACM1P1/1 Armoire chaude mobile 1 porte 17 GN1/1 1 Mono 240V+T 3 3,00 kW PC

1,20m
AFPT Armoire froide positive de transfert 15GN2/1 1 Mono 240V+T 0,50 kW PC 1,80m
Laverie
HASL Hotte de ventilation adossée spéciale laverie 2 Mono 240V+T 1,00 kW Att.
0,5
Plaf.
085-MAL6EF Machine à laver à capot 60 casiers/h 1 Tri 400 V+T+N 10 10,00 kW Bte.
0,40
PCS 2 Mono 240V+T PC
Prise de courant de service monophasé 240V+T
1,20m
Vestiaires-Sanitaires Hommes

1,20m
Vestiaires-Sanitaires Femmes
1,20m

3.12.3. COUPURES D’URGENCES
Prévoir :
 1 coupure d'urgence électrique générale de l’ensemble du site proche placard TGBT
 1 coupure d'urgence ventilation générale de l’ensemble du site proche placard TGBT
 1 coupure d'urgence par TD en façade avant ou à proximité
 1 coupure d'urgence office
 1 coupure d'urgence laverie
4. DESCRIPTION ET POSITION DES OUVRAGES COURANT FAIBLE
4.1. PRECABLAGE : VOIX - DONNEES – IMAGES
Le précâblage du bâtiment sera de catégorie 6a, classe Ea. Le câblage sera réalisé en câble blindé type
F/FTP de catégorie 6a et prises RJ45 blindées de catégorie 6a. (ISO/IEC FDIS 11801, EN 50173-1)
La distribution finale sera organisée en étoile à partir des panneaux de brassage, constitués de prises RJ-
45 blindées de catégorie 6a reliées par des cordons de brassage en câble blindé RJ45-RJ45 (cordons de
brassage à la charge du présent lot).
4.1.1. ARCHITECTURE DU SYSTÈME
L’installation sera composée de :

 Un répartiteur général, constitué d’un coffret VDI, à porte avant en verre sécurit 19’’ 12U, destiné au matériel de
précâblage, au matériel actif, placé dans le placard VDI dans la zone accueil du restaurant scolaire. La baie sera équipée de
panneaux de brassages, étagères fixes, blocs prises avec disjoncteur.
 La distribution finale sera réalisée par les câbles de 4 paires catégorie 6a blindés F/FTP de 100 Ohms avec gaine sans
halogène et par des prises RJ45 de catégorie 6a blindées
Les câbles de la distribution finale « en étoile » seront acheminés dans les plinthes, dans les faux plafonds
sur chemins de câbles en respectant les distances demandées par la Classe Ea
L’architecture globale de l’installation de précâblage est donnée dans les plans de la série 400 fournis au
dossier.
4.1.2. CHEMINS DE CABLES, CANALISATION, DISTRIBUTION
4.1.2.1. PRINCIPE GENERAL

La longueur du câble de liaison, entre une prise RJ45 et le panneau de brassage auquel elle est raccordée,
ne sera pas supérieure à 90 mètres. Ils devront être distants de 1 m des machineries (DF).
Leur rayon de courbure devra être supérieur ou égal à 8 fois leur diamètre.
Pour les parcours collectifs horizontaux en vide de faux-plafond et verticaux en gaines techniques, les
câbles seront posés sur des chemins de câbles de type dalles marines spécifiques aux courants faibles.
Ils seront reliés à la terre pour prendre part au réseau de masse.
Il sera préféré comme moyen de fixation amovible des colliers à témoin de serrage pour éviter de blesser
les câbles.
Les chemins de câbles, une fois posés, devront être validés par le fabriquant du matériel de
précâblage avant toute pose de câbles. Cette validation permettra d’éviter les problèmes pouvant
survenir en fin de chantier lors de la recette finale.
4.1.2.2. DISTRIBUTION INFORMATIQUE DES POSTES DE TRAVAIL

Dans les différentes salles les postes de travail seront configurés suivant la répartition des appareillages
terminaux indiquée sur les plans techniques.
Les prises RJ 45 seront juxtaposées pour réaliser les postes de travail. Elles pourront s’intégrer dans des
blocs nourrices, regroupant prises VDI et prises de courant.
Dans tous les locaux, les prises seront encastrées dans les cloisons dans la mesure du possible, mis à part
dans les locaux qui ne sont pas pourvus de plenum de faux-plafond (bureaux, salle personnel), ou une
goulotte est nécessaire, étant donné la concentration de conducteurs importante qui ne permet pas le
passage en encastré.

17 cordons de brassages d’1ml et 17 cordons de brassage de 3ml 4 paires catégorie 6a blindés F/FTP de
100 Ohms sont fournis par le présent lot.
4.2. INSTALLATION TELEPHONIQUE
L’installation est banalisée et la VOIX est mutualisée avec DATA et IMAGE, sur un réseau unique VDI.
Les prestations à prévoir seront :
- cordons de brassage suivant ensemble des besoins
- fourniture et mise en place DTI / DTIO suivant le type d’accès réseaux ORANGE/FTELECOM (fibre
optique ou cuivre)
4.3. ALARMES TECHNIQUES
Métré : Ensemble
Localisation : Dans le local VDI.
Nature : Mise en place d’un système d’alarmes techniques.
Les alarmes techniques suivantes seront remontées sur le tableau de signalisation :
 Synthèse alarme défaut alimentation Chambres Froides
 Synthèse défaut Groupe Froid centrale froid
 Synthèse défaut local PAC
 Synthèse en réserve de 5 défauts qui seront définis durant le chantier avec 20 mètres de
câbles par défaut
4.4. DETECTION INTRUSION
4.4.1. CENTRALE INTRUSION
Métré : Ensemble
Localisation : Local VDI.
Nature : Mise en place d’une centrale intrusion conforme aux prescriptions du chapitre 2.
4.4.2. CLAVIERCODE
Métré : Unité
Localisation : Bureau accueil, réception stock, patères maternelle.
Nature : Mise en place de boitier clavier code.
Raccordement à la centrale intrusion
4.4.3. DETECTEURS VOLUMETRIQUES
Métré : Unité
Localisation : Suivant plans (principalement dans tous les locaux accessibles de plein pied)
Nature : Mise en place de détecteurs volumétriques.
4.4.4. SIRENES INTRUSION
Métré : Unité
Localisation : Dans les circulations à raison d’une sirène intérieure et 1 sirène extérieure.
Nature : Mise en place de sirènes intrusion.

4.4.5. CABLAGE
Métré : ml
Localisation : Entre la centrale intrusion et les différents équipements intrusion.
Nature : Mise en place des canalisations pour le passage des câbles de diffusion.
Mise en place et raccordement du câblage pour les sirènes intrusions.
Mise en place et raccordement du câblage pour les détecteurs et contacts en point à
point.
4.5. SONORISATION - PPMS
Dans le cadre du présent projet il est prévu la mise en place d’un système de sonorisation permettant la
diffusion des messages PPMS.
La solution technique proposée pourra être de marque BODET ou techniquement équivalent.
Le système sera composé des éléments suivants :

- Logiciel SIGMA NTP
Logiciel Sigma par protocole NTP pour la configuration et paramétrage du matériel Harmonys.
- Boitier boutons de message et d’alerte pour réseau informatique IP
Le bouton doit permettre de :

- Déclencher/Arrêter la restitution de message audio standard ou d’alerte.
- Activer/désactiver la programmation de sonneries
Le boitier sera équipé de 4 boutons et pourra passer à 8 boutons grâce à une extension.
Il sera possible d’installer des boitiers de redondance.
La configuration de chaque bouton pourra être modifiée indépendamment et indéfiniment.
La fonction de restitution du message d’alerte permettra donc de mettre en place le Plan Particulier de Mise
en Sureté (PPMS).
Le niveau de protection sera IP 41 au minimum pour une utilisation en intérieur et fonctionnera dans des
températures comprises en 0 et +50°C.
Mode de fonctionnement sur réseau informatique.

Le boitier boutons est raccordé par un connecteur RJ 45.
Le boitier boutons doit être facilement paramétrable.
Le boitier boutons doit être alimenté par PoE.
- Carillon réseau IP modèle pour extérieur (modèle Harmonys ou équivalent)
Le carillon amplifié doit restituer des sonneries horaires, des appels généraux (depuis un microphone
connecté au réseau informatique), des alerte PPMS et de la musique.
Le carillon sera composé d’un projecteur de son et d’un boitier.
L’amplificateur sera intégré avec niveau sonore du produit réglable (110 dB maximum à 1mètre).
Le niveau de protection sera IP 54 au minimum pour une utilisation en extérieur et fonctionnera dans des
températures comprises en -20° et +50°C.
Choix
Modèles avec un ou deux projecteurs de son

Le carillon est raccordé par un connecteur RJ 45.
Le carillon doit être facilement paramétrable.
Le carillon a des mélodies préenregistrées stockées dans la mémoire interne au format MP3.
Plusieurs carillons d’une même zone peuvent jouer une mélodie différente pour une même sonnerie horaire
grâce à une personnalisation des mélodies depuis un logiciel PC.
Le carillon disposera d’un mode de test local et à distance depuis un logiciel PC.
Le carillon doit être alimenté par 230V AC.
- Carillon réseau IP modèle mural pour intérieur (modèle Harmonys ou équivalent)
Le carillon amplifié doit restituer des sonneries horaires, des appels généraux (depuis un microphone
connecté au réseau informatique), des alerte PPMS et de la musique.
Le carillon aura un boitier ABS façade blanche et fond gris anthracite.
L’amplificateur sera intégré avec niveau sonore du produit réglable (90 dB maximum à 1mètre).
Le niveau de protection sera IP 31 au minimum pour une utilisation en intérieur et fonctionnera dans des
températures comprises en 0 et +50°C.

Le carillon est raccordé par un connecteur RJ 45.
Le carillon doit être facilement paramétrable.

Le pilotage automatique des sonneries doit se faire via le réseau informatique depuis une horloge mère.
Le carillon a des mélodies préenregistrées stockées dans la mémoire interne au format MP3.
Plusieurs carillons d’une même zone peuvent jouer une mélodie différente pour une même sonnerie horaire
grâce à une personnalisation des mélodies depuis un logiciel PC.
Le carillon disposera d’un mode de test local et à distance depuis un logiciel PC.
Le carillon doit être alimenté par PoE.
L’alimentation réseau est hors lot mais sera fourni par le lot informatique et réseau, à savoir 10W pour les
sonneries par défaut et l’appel général.
- Synoptique de câblage NTP
Le switch POE sera compris dans l’offre.
4.6. SONNETTE - SONNERIE
Dans le cadre du présent projet il est prévu la mise en place d’un système de sonnerie commandée par un
bouton poussoir d’appel sans fil de marque LEGRAND ou techniquement équivalant.
La sonnerie sera du type « carillon sans fil avec 15 mélodies » alimenté sur prise, référence 0 942 54.
La sonnette sera « sans fil avec indicateur lumineux et porte-étiquette », IP 54, compris piles, référence 0
942 79.
Il s’agir d’effectuer la pose des équipements et l’appairage de ceux-ci.
MAITRE D’OUVRAGE
COMMUNE DE CLERMONT L’HERAULT
Place de la Victoire
34 800 Clermont l’Hérault
OPERATION
CONSTRUCTION D’UN GROUPE SOLAIRE
A CLERMONT L’HERAULT (34)
DCE
LOT N°13 : EQUIPEMENTS DE RESTAURATION
ET CLOISONNEMENTS ISOTHERMES
ARCHITECTE (Mandataire) : .................... CARDIN & GABRIEL Architectes Urbanistes

................................................................................................. 2, avenue Monteroni d’Arbia
..................................................................................................................... 34 920 Le Crès
..............................................................................................................Tel : 04.67.40.21.17
RESTAUCONCEPTEUR : ............................................................................. BE INGECOR

............................................................................................................... Immeuble le Tertiel
......................................................................................................... 113, quai Jean Péridier
................................................................................................................ 34 070 Montpellier
.............................................................................................................Tel : 04.67.13.86.86
BET LOTS TECHNIQUES : ....................................................................................... OTCE

........................................................................................... 65, impasse Nicéphore Niéppce
................................................................................................................ 34 000 Montpellier
..............................................................................................................Tel : 04.67.20.06.15
Septembre 2021
21-085/SA
BE INGECOR Construction d’un groupe Scolaire DCE
à Clermont l’Hérault (34)
SOMMAIRE
1. OBJET DU PRESENT DOCUMENT..................................................................................................... 5

2. GENERALITES ..................................................................................................................................... 5
3. DONNEES GENERALES DE FONCTIONNEMENT ............................................................................ 5
3.1 NOMBRE DE REPAS : ............................................................................................................................................. 5
3.2 ORGANISATION ............................................................................................................................................... 5
4. REGLEMENTATION ............................................................................................................................. 6
5. PROTECTION DES OUVRAGES ......................................................................................................... 6
6. CHOIX DES MATERIAUX ET MATERIELS ......................................................................................... 6
6.1 GENERALITES ...................................................................................................................................................... 6
6.2 PRECONISATIONS DEVELOPPEMENT DURABLE ET PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT .................................................. 7
6.3 TRAITEMENTS DES DECHETS .................................................................................................................................. 8
7. OBLIGATIONS DE L’ENTREPRISE .................................................................................................... 8
8. DOCUMENTS A FOURNIR .................................................................................................................. 9
8.1 ÉTABLISSEMENT DE LA SOUMISSION ........................................................................................................................ 9
8.2 AVANT EXECUTION ................................................................................................................................................ 9
8.3 DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES.................................................................................................................... 10
9. VERIFICATION DES COTES ............................................................................................................. 11
10. LIMITES DE PRESTATIONS .............................................................................................................. 11
10.1 RESERVATIONS GROS ŒUVRE ............................................................................................................................. 11
10.2 ELECTRICITE ...................................................................................................................................................... 11
10.3 PLOMBERIE ........................................................................................................................................................ 13
10.4 CANALISATION D’EVACUATION .............................................................................................................................. 13
10.5 RACCORDEMENT SUR EVACUATIONS ..................................................................................................................... 14
10.6 VENTILATION/EXTRACTION .................................................................................................................................. 14
10.7 CAS PARTICULIER ............................................................................................................................................... 15
10.8 CLOISONNEMENTS ISOTHERMES ET MENUISERIES SPECIFIQUES ............................................................................... 15
11. RECEPTION DES OUVRAGES .......................................................................................................... 16
11.1 ESSAIS .............................................................................................................................................................. 16
11.2 RECEPTION ........................................................................................................................................................ 16
12. GARANTIE .......................................................................................................................................... 17
13. CONTRAT D’ENTRETIEN .................................................................................................................. 17
14. EQUIPEMENTS FRIGORIFIQUES ..................................................................................................... 17
14.1 TEMPERATURE DES LOCAUX ................................................................................................................................ 17
14.2 DIMENSIONNEMENT DES COMPRESSEURS .............................................................................................................. 17
14.3 UNITE EXTERIEURE ............................................................................................................................................. 18
14.4 ÉVAPORATEURS ................................................................................................................................................. 18
14.5 LIAISONS FRIGORIFIQUES ..................................................................................................................................... 19
14.6 ALIMENTATION ET CABLAGE ELECTRIQUE ............................................................................................................... 20
14.7 TABLEAU DE COMMANDE ..................................................................................................................................... 20
14.8 SYSTEME D’ALARME/SYSTEME SONORE ................................................................................................................. 20
Septembre 2021 Lot n°13 : Equipements de Restauration Sommaire

21-085/SA et Cloisonnements Isothermes
14.9 ECLAIRAGE ET CONTROLE DE FERMETURE DES PORTES .......................................................................................... 21

14.10 EQUIPEMENTS DIVERS ..................................................................................................................................... 21
15. NATURE DES PANNEAUX ................................................................................................................ 22
15.1 PRINCIPE DE POSE ET DE FINITION DES CLOISONS................................................................................................... 22
15.2 PANNEAUX AME POLYURETHANE .......................................................................................................................... 22
15.3 PANNEAUX AME LAINE DE ROCHE .......................................................................................................................... 24
15.4 REVETEMENT POLYESTER.................................................................................................................................... 25
16. PORTES .............................................................................................................................................. 25
16.1 PORTES PIVOTANTES ISOTHERMES (CHAMBRES FROIDES) ....................................................................................... 25
16.2 PORTES DE DISTRIBUTION (SEMI ISOLEES) ............................................................................................................. 26
16.3 PORTES DE DISTRIBUTION VA ET VIENT (SEMI ISOLEES) ........................................................................................... 26
16.4 PORTES VA ET VIENT ........................................................................................................................................... 26
16.5 PORTES DOUBLES DE DISTRIBUTION (SEMI ISOLEES) ............................................................................................... 27
17. GENERALITES SUR LES EQUIPEMENTS DE PORTES ................................................................. 27
17.1 PROTECTIONS DE PORTES ................................................................................................................................... 27
17.2 ARRETS DE PORTE .............................................................................................................................................. 27
17.3 FERMES PORTE .................................................................................................................................................. 27
17.4 VERROUS SANITAIRES ......................................................................................................................................... 28
17.5 SERRURE .......................................................................................................................................................... 28
17.6 FOURNITURE DES CLES ....................................................................................................................................... 28
17.7 DETALONNAGE DES PORTES ................................................................................................................................ 28
18. CHASSIS VITRES ............................................................................................................................... 28
19. TRAPPE D’ACCES ............................................................................................................................. 28
20. PROTECTIONS ................................................................................................................................... 29
20.1 PROTECTIONS SIMPLES ....................................................................................................................................... 29
20.2 BARRE DE PROTECTION INOX ............................................................................................................................... 29
20.3 CORNIERES D’ANGLE .......................................................................................................................................... 29
21. PLINTHES ........................................................................................................................................... 29
22. CONGES D'ANGLE ............................................................................................................................ 30
23. SIGNALETIQUE .................................................................................................................................. 30
24. GENERALITES ................................................................................................................................... 30
24.1 MATERIELS REFRIGERES (Y COMPRIS CRR) .......................................................................................................... 30
24.2 EQUIPEMENTS DE DISTRIBUTION ........................................................................................................................... 31
24.3 CHAUDRONNERIE ; MATERIELS INOX ..................................................................................................................... 32
24.4 MATERIELS DE CUISSON ...................................................................................................................................... 35
24.5 LAVERIE ............................................................................................................................................................ 36
25. RACCORDEMENT DES EQUIPEMENTS .......................................................................................... 36
25.1 ÉLECTRICITE ...................................................................................................................................................... 36
25.2 PLOMBERIE ........................................................................................................................................................ 37
25.3 VIDANGE ........................................................................................................................................................... 39
26. MOBILITE DES EQUIPEMENTS ........................................................................................................ 40
26.1 ROULETTES ....................................................................................................................................................... 40
26.2 BUTEES ET PARE CHOCS ..................................................................................................................................... 41

26.3 KIT DE RETENUE ................................................................................................................................................. 42

26.4 ACCROCHAGE DES CABLES ET DES FLEXIBLES ....................................................................................................... 42
27. MOBILIER DE SALLE A MANGER.................................................................................................... 42
27.1 DESCRIPTIF TECHNIQUES .................................................................................................................................... 42
28. DIVERS ............................................................................................................................................... 43
ANNEXE 1 : ESTIMATIF PUISSANCES / LISTING DES EQUIPEMENTS

ANNEXE 2 : DESCRIPTIF DES EQUIPEMENTS DE RESTAURATION
ANNEXE 3 : NOMENCLATURE CLOISONS
ANNEXE 4 : PLANS DE PRINCIPE

BE INGECOR Construction d’un groupe scolaire DCE
1. OBJET DU PRESENT DOCUMENT
Le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières et ses annexes ont pour but de définir en complément des
documents graphiques, les prestations à effectuer pour réaliser les ouvrages suivants :
Construction d’un groupe soclaire

à Clermont l’Hérault
Les travaux font l’objet d’un lot intitulé :

Lot n°13 : Équipements de Restauration & Cloisonnements Isothermes
Ce document comprend quatre annexes :

ANNEXE 1 : Estimatif puissances/Listing des équipements
ANNEXE 2 : Descriptif des équipements de restauration
ANNEXE 3 : Nomenclature cloisons
ANNEXE 4 : Plans de principe
2. GENERALITES
Le présent document et les plans ont pour objet d’indiquer la nature et l’emplacement des ouvrages à exécuter.
Le document est énumératif et non limitatif. L’entrepreneur devra fournir, avant exécution des travaux, les plans, schémas
techniques, procès-verbaux, plans de travaux préparatoires, notes de calculs nécessaires et indispensables pour mener
l’exécution à bonne fin et ce, dans les règles de l’art.
Les ouvrages qui ne seraient pas nommément précisés dans le présent C.C.T.P., mais indispensables au parfait achèvement
des travaux, font partie intégrante des prestations dues par le présent lot.
Le C.C.T.P. est considéré comme un ensemble. En conséquence, chaque entreprise devra prendre connaissance des
ouvrages exécutés en liaison avec les autres corps d’état. L’entreprise est censée s’être rendue sur place (dans le cas d’une
restructuration) ou avoir étudié tous les plans et pièces écrites des autres corps d’état afin d’apprécier toutes les sujétions
d’approvisionnement et diverses contraintes techniques et limites de prestations liées à son intervention.
3. DONNEES GENERALES DE FONCTIONNEMENT
L’établissement fonctionnera 4 jours / 7, durant l’année scolaire.
3.1 Nombre de repas :
- 170 primaires en 2 services.

- 95 maternelles en 1 service.
- Souhait d’avoir une évolutivité de +/- 30 convives.
3.2 ORGANISATION
- Livraison des repas en liaison froide tous les deux jours en bac gastronorme multiportion en cagette sur socle
rouleur.
- Office de remise en température pour plat chaud.
- Distribution des repas à partir de salad’bar froid et chaud pour les primaires
- Distribution des repas à table pour les maternelles. Salad’bar froid pour les grandes sections.
- Plateaux de type compartimenté.
- Traitement de la vaisselle en laverie et tri des déchets par les élèves.
Septembre 2021 Lot n°13 : Equipements de Restauration Page 5 sur 43

21-085 /SA et Cloisonnements Isothermes
4. REGLEMENTATION
L’ensemble des prestations à réaliser, matériels et matériaux à mettre en œuvre, devront être conformes et répondre en tout
point aux normes et réglementations en vigueurs.
En ce qui concerne les cloisonnements isothermes, l’entreprise devra veiller à respecter les contraintes sismiques de la
région et devra respecter scrupuleusement la mise en œuvre des panneaux, conformément au dossier technique du
fabricant.
En ce qui concerne les mesures de sécurité applicable aux chambres froides ou climatisées, celles-ci doivent parfaitement
répondre à la législation en vigueur.
- Article 2 :
Dans tous les cas les portes des chambres froides doivent pouvoir être ouvertes manuellement par toute personne se
trouvant à l’intérieur des volumes.
- Article 3 :
Toute chambre froide d’une capacité supérieure à 10m 3 doit être munie d’un dispositif d’avertissement sonore simple et
robuste permettant à toute personne qui se trouve accidentellement enfermée à l’intérieur de cette chambre de donner
l’alarme à l’extérieur.
- Article 4 :
Toute installation neuve de chambre froide d’une capacité utile supérieure à 10m 3 doit comporter à l’extérieur et au voisinage
immédiat de chacune des portes un voyant lumineux s’éclairant lorsque la chambre est elle-même éclairée pour permettre
au personnel d’y travailler.
Pour les chambres froides ou laboratoires climatisés de volume supérieur à 30m 3, en cas d’interruption de l’éclairage, les
passages conduisant aux dispositifs d’appel ou de secours, doivent être repérés par tout moyen approprié.
5. PROTECTION DES OUVRAGES
Le titulaire du présent lot est responsable de ses ouvrages jusqu’à la réception des travaux. Pour cela, il mettra en œuvre
toutes les protections nécessaires et efficaces et n’entravera pas la bonne marche du chantier.
Il sera rendu responsable des dégradations éventuelles dues à l’installation ou à la pose de son matériel et prendra lui-même,
ou par le biais d’une entreprise spécialisée, et à ses frais, les mesures utiles pour la remise en état, après accord du Maître
d'Œuvre. S’il ne réagissait pas dans les délais fixés par le Maître d'Œuvre, ce dernier se réserve le droit de faire intervenir
les entreprises de son choix et de lui refacturer le coût de ces interventions ainsi que les honoraires de coordination s'y
rattachant.
Dans le cas où le titulaire du présent lot devrait procéder à un démontage (faux-plafond, canalisation, alimentations, etc...),
il en aura préalablement obtenu l'autorisation du Maître d'Œuvre, et fera constater la remise en état dès la fin de son
intervention.
6. CHOIX DES MATERIAUX ET MATERIELS
6.1 Généralités
Tous les matériaux, matériels et fournitures utilisés devront être de marques déposées, de première qualité et devront justifier
des normes et labels en vigueur.
Tous les matériels standards devront être conformes à la norme NF hygiène alimentaire et CE.
Les matériels sur mesure devront être conçus en conformité avec la norme NF hygiène alimentaire et CE.
Tous les matériaux et matériels qui présenteront des vices de forme, de construction ou des défauts de fonctionnement,
seront refusés et devront être remplacés par des matériels neufs.
Il ne sera utilisé pour tout le matériel, objet du présent descriptif, que de l'acier inoxydable de qualité minimale C.N
18/10 (AISI 304 ; Z6CN18.09).

Les précisions techniques et les performances des matériels mis en œuvre devront être au minimum équivalentes aux
spécifications précisées dans le présent C.C.T.P.
Les puissances, performances et les quantités des appareils mis en œuvre devront assurer la production et le rendement
nécessaires au bon fonctionnement de l’installation et exigences définies par le Maître d’ouvrage.
Tous les équipements de même nature ou groupe d’équipements devront être de même marque afin de faciliter les
interventions ultérieures.
Tous les matériels mis en œuvre devront être exempts de tous risques de toxi-infections alimentaires liés à la conception, à
la construction, aux conditions d’installation, d’utilisation, de nettoyage et de maintenance.
La marque « X » ou similaire n’impose aucune prescription de la marque en cause, mais fournit seulement les indications
d’une équivalence de niveau de qualité et permet une meilleure compréhension de la demande.
Les niveaux acoustiques devront respecter toutes les normes acoustiques en vigueurs et notamment le code de la santé
publique (Art R1334-30 et suivants).
6.2 Préconisations développement durable et protection de l’environnement
La machine à laver la vaisselle sera raccordée au réseau collectif de production d’eau

chaude sanitaire (uniquement pour le premier remplissage) et eau froide adoucie à
Machines à laver
7°TH.
Le niveau sonore des machines ne dépassera pas 75dB(A) à 10m.
Pour tous les matériels le fabricant devra préciser :
 Les performances des appareils.
 Les puissances sonores (supérieurs à 45dB(A)).
 Les dimensions.
Description des appareils  Les puissances en kW.
 La « durée de vie typique » de l’appareil (DVT) selon la définition de la norme NF
P01 (information sur les caractéristiques environnementales des produits de
construction).
 La fréquence et la durée des opérations annuelles de maintenance entretien.
 Les mousses isolantes utilisées seront à OPD nul (sans effet sur la couche d’ozone)
Matériel de stockage et de  Les fluides frigorifiques devront être conformes aux normes en vigueur et leur
production de froid utilisation devra tenir compte des prérogatives de la circulaire européenne F-Gas
révisée.
 Les panneaux de particules devront appartenir à la classe 1 de la norme EN 312-1
Panneaux de particules (norme d’essai NF EN 120) (émission en formaldéhydes inférieure ou égale à
8mg/100g)
 Préférer les colles d’acétate polyvinylique solubles dans l’eau (colle PVAC). A défaut,
Colle à bois choisir des produits en phase aqueuse possédant moins de 5% de solvants
organiques
Cloisonnement  Les mousses isolantes utilisées seront à OPD nul (sans effet sur la couche d’ozone)
 Les produits à base de PVC devront répondre aux exigences suivantes :
 Ils seront exempts de Cadmium.
 Eviter les stabilisants à base de plomb et de cadmium. Les produits de
Accessoires de finition
substitution possibles sont les composés à base de calcium-zinc.
 Eviter les plastifiants DEHP ou DOP, préférer des produits à base de DIDP
ou DINP.

6.3 Traitements des déchets
Dans sa proposition l'entreprise devra s'assurer que tout le matériel proposé soit issu de fabricants adhérents à un organisme
agréé en vue de la récupération des matériels en fin de vie pour le traitement des déchets de type électrique et/ou
électronique, ceci afin de respecter le décret :
"2014/928 du 19 Août 2014 » transposant la directive « 2012/19/UE du 4 juillet 2012 » relatif à la gestion des déchets
d’équipements électriques et électroniques (DEEE).
Il en sera de même pour les déchets d’ameublements dans le respect du décret :

« 2012-22 du 6 janvier 2012 » relatif à la gestion des déchets d’éléments d’ameublement
Il pourra être demandé au candidat de fournir les attestations nécessaires.
7. OBLIGATIONS DE L’ENTREPRISE
 Le titulaire du présent lot doit :

- L’emballage, le transport de l’ensemble de ses fournitures.
- L’enlèvement des emballages et gravats divers.
- La manutention et le montage complet du matériel, la pose, les raccordements et les essais nécessaires.
- La mise à disposition aux utilisateurs, d’un personnel compétent pendant la durée de 5 jours minimum afin
d’apporter toutes les indications et formations nécessaires à l’utilisation ou à l’entretien des matériels (pour
certains matériels spécifiques, un formateur d’usine pourra être demandé pour assurer une formation
complémentaire).
- Le nettoyage complet des matériels mis en œuvre, ainsi que des locaux utilisés (il pourra faire appel à une
entreprise spécialisée).
- Assister à toutes les réunions de préparation, de chantier, de coordination ou de synthèse nécessaire.
 Pour le matériel existant, le titulaire du présent lot devra :

 a) Quand ces derniers sont réutilisés dans le cadre du projet :
- Avant démontage, il devra procéder à un état contradictoire des équipements concernés entre l’entreprise,
l’utilisateur, le Maître d’Ouvrage et le Maître d’Œuvre.
- Le démontage complet et le stockage provisoire durant le chantier.
- La remise en état et le changement des pièces défectueuses (y compris état général).
- La remise en conformité.
- Sauf spécifications particulières, tous les équipements existants seront modifiés et mis en configuration mobile
suivant les critères définis pour les équipements neufs de même nature.
- Les pièces neuves seront garanties 1 an (pièces, main-d’œuvre et déplacements).
- Le remontage et le branchement de ce dernier à l’emplacement prévu dans le cadre du Marché.
- Dans le cadre de la remise des D.O.E., il devra fournir une note détaillant précisément les travaux effectués sur
ce matériel.
L’entrepreneur reste responsable de ce matériel durant toute la durée du chantier et ce, jusqu’à la réception des
ouvrages.
 b) Quand ces derniers ne sont pas réutilisés dans le projet :
- Le démontage complet des installations.
- L’enlèvement et l’évacuation dans un lieu défini par le Maître d’Ouvrage. Si le Maître d’Ouvrage ne désire pas
récupérer ces matériels, l’entrepreneur devra l’évacuer à la décharge publique. Il prendra à sa charge les
éventuels frais liés aux diverses charges et taxes.
Dans ces deux cas, l’entreprise assurera la dépose des installations frigorifiques existantes et en particulier la récupération
des gaz frigorigènes.

 Pour le matériel hors marché (marché mobilier, tranche conditionnelle ou matériel en option), le titulaire du
présent lot devra :
- Lorsque ces appareils nécessiteront des attentes (électricité, eaux, gaz, vidanges, air comprimé), préciser sur
ses plans la nature de ces réservations techniques.
- S’assurer de la réalisation de ces réservations par les autres corps d’état.
 Matériel récupéré inutilisé durant les travaux :

L'entreprise devra préciser les conditions de stockage, les mesures prises à titre conservatoire pour éviter la dégradation du
matériel. Lors de l'état contradictoire deux photos de chaque appareil devront être prises, faisant constat de l'état du matériel
avant son enlèvement. Le nettoyage devra être réalisé avant stockage. En cas de non-respect de cette procédure, aucun
recours de l'entreprise ne pourra être recevable lors d'un éventuel litige.
8. DOCUMENTS A FOURNIR
8.1 Établissement de la soumission
Le présent cahier des charges et les documents joints donnent toutes indications minimales sur l'équipement à réaliser, sur
les appareils à installer et sur leurs emplacements.
L'offre de prix devra obligatoirement être établie en conformité avec ces documents et tenir compte de ce qu'aucune
modification d'implantation d'un appareil ne saurait donner lieu à un supplément de prix.
Si le soumissionnaire constate une erreur dans le dossier d'appel d'offres, ou s'il désire proposer une variante, dans le cas
où elles sont autorisées par le règlement de consultation, il devra en faire état séparément et chiffrer d'une façon très détaillée
les modifications proposées en faisant ressortir les plus ou moins résultants.
A l'offre de prix devra être joint :
- Un bordereau détaillé, quantitatif et estimatif, de l'installation à réaliser (ce bordereau sera établi selon la base du
modèle joint).
- Un devis détaillé avec la définition complète des matériels.
- Les notices techniques des différents matériels.
- Tous documents stipulés dans le règlement de consultation.
8.2 Avant exécution
Les plans d'exécution et notes de calculs sont à la charge de l’entreprise.

L’adjudicataire transmettra au Maître d’Œuvre et au bureau de contrôle, les tirages des plans d'implantation et de réservations
en nombre suffisant, établis conformément aux spécifications définies dans ce présent descriptif. Aucun travail ne pourra être
entrepris sans que les plans d’exécution ne soient visés par la Maîtrise d’Œuvre et le bureau de contrôle.
Le titulaire du présent lot devra fournir toutes les fiches techniques, notes de calculs, procès-verbaux, détails de réalisation,
devis et tout document jugé nécessaire à la validation des visas par le maître d’œuvre. Un exemplaire de ces documents
sera envoyé directement par l'entreprise au bureau de contrôle.
Les procès-verbaux devront avoir été établis depuis moins de 5 ans.
L’entrepreneur devra transmettre en temps utile ses plans d’implantation soigneusement côtés avec toutes les réservations
supérieures à 50x50mm. Les autres réservations restent à la charge du présent lot. Passé le délai, les réservations seront
exécutées par l'adjudicataire du présent lot.
Tous les percements, quels qu’ils soient, dans la mesure où ils sont à effectuer dans les éléments de structure feront l’objet
d’une demande à la Maîtrise d’Œuvre ou à l’organisme de contrôle.
Tous les plans visés par la Maîtrise d’Œuvre seront diffusés par l’adjudicataire du présent lot à tous les corps d’état concernés
et intervenants divers. (Plan papier et support informatique)
L'adjudicataire du présent lot communiquera ou confirmera les besoins en puissance (électricité, gaz, eaux, débits de
ventilation des hottes, …) nécessaires à l'alimentation des matériels à alimenter dès la phase de préparation du chantier.
L’entrepreneur précisera également les besoins de stockage provisoire de ces équipements avant mise en œuvre.
Il devra gérer ces approvisionnements afin de se conformer aux impératifs définis dans le PGC.

Un mannequin technique, regroupant sur un ou plusieurs échantillons de panneau, tous types de terminaux ayant besoin
d’une réservation et de finitions spécifiques (robinetterie murale, vanne ¼ de tour, PC (mono et tri), éclairage encastré, …)
réalisé en collaboration avec les différents corps d’état concernés, sera présenté par l’entreprise dès la phase de
préparation de chantier pour validation par l’ensemble des intervenants MOu, MŒ et entreprises.
8.3 Dossier des Ouvrages Exécutés
L'entrepreneur constituera et remettra en fin d'exécution au Maître d'Œuvre, le Dossier des Ouvrages Exécutés (nombre
d’exemplaire papier et informatique défini dans le document des clauses générales). Avant tout envoi définitif, un exemplaire
papier devra être transmis au BE INGECOR pour VISA avant duplication et transmission.
Sauf indication contraire du Maître d’Ouvrage, les documents devront être présentés dans un ou plusieurs classeurs. Un
sommaire devra reprendre le cadre du DPGF avec la marque et le type du matériel par local. Les colonnes classeurs et
numéros d’intercalaires seront intégrées au sommaire.
Un intercalaire devra être prévu pour chaque équipement, pour les plans des équipements, les différentes attestations de
conformité, de mise en œuvre, … (intercalaires mensuels de 1 à 31).
Les dossiers complets comprendront :
- Une note descriptive technique et commerciale de chacun des appareils.
- Les plans d'implantation situant géographiquement les appareils et équipements du présent lot ainsi que leurs
nomenclatures. (plan papier et support informatique).
- Les plans de réseaux.
- Détails des supports et fixations diverses.
- Les PV des matériels et matériaux employés.
- Les notices d’entretien.
- Les avis de conformité sanitaire des appareils (robinetteries, lave-mains, cuisson, laverie…).
- La liste des installations frigorifiques réalisées avec la quantité de gaz de chacune d’entre elles. Dans le cas où
une ou plusieurs installations auraient une charge frigorifique supérieure à 2kg, l’entreprise devra fournir une
attestation d’étanchéité.
- Une attestation de l’entreprise affirmant la présence de clapets anti retour sur toutes les robinetteries du présent
lot, le nécessitant.
- Une attestation de l’entreprise stipulant de la formation des personnels techniques et utilisateurs sur l’ensemble
des équipements du présent lot.
- Tous les documents nécessaires au maintien en bon état des installations.
- Tous les documents devront être établis en langue française.
Un dossier complémentaire comprenant :

- Un listing précis (marque, type, caractéristiques, …) de chacune des installations frigorifiques.
- Un plan d’identification précis des groupes condenseurs extérieurs (ou éventuellement du local technique
« froid »).
- Un plan identifiant chacune des chambres froides et locaux rafraichis (nom du local, température de consigne,
…).
- Une liste des opérations de maintenance et de nettoyage des installations frigorifiques (nettoyage évaporateur,
condenseur, pompe de relevage, …), ainsi que de l’ensemble des équipements de restauration.
- Une note explicative pour le réglage des portes des chambres froides.
- La liste exacte et par local de tous les matériels de restauration installés (neufs, existants et hors marché).

9. VERIFICATION DES COTES
Le titulaire du présent lot est responsable du contrôle de la bonne réalisation des réservations demandées dans ses plans et
effectuées par les autres corps d’état.
Tout oubli ou mauvais positionnement devra être notifié par écrit au Maître d’œuvre, au coordinateur et à l’entreprise
concernée.
Il devra en outre contrôler les côtes du bâtiment pour assurer l’installation de ses matériels et de ses matériaux et s’assurer
que les largeurs de passage soient suffisantes pour l’approvisionnement de ces derniers. Il devra communiquer les besoins
nécessaires au stockage de ceux-ci durant le chantier ainsi que les contraintes liées à l’approvisionnement de ces derniers.
10. LIMITES DE PRESTATIONS
10.1 Réservations Gros œuvre
Les réservations de diamètre supérieur à 50mm sont à la charge du Lot « GROS ŒUVRE ETENDU ».
L’entrepreneur devra transmettre en temps utile (durant la phase de préparation de chantier) ses plans d’implantation
soigneusement cotés avec toutes les réservations supérieures à 50x50mm.
Passé le délai, les réservations seront exécutées, par le lot « GROS ŒUVRE ETENDU », à la charge de l'adjudicataire du
lot incriminé.
Tous les percements, quels qu’ils soient, dans la mesure où ils sont à effectuer dans les éléments de structure feront l’objet
d’une demande au Maître d’Œuvre ou à l’organisme de contrôle.
10.2 Electricité
10.2.1 Règles générales

Le titulaire du présent lot aura en charge, la mise en place, le raccordement, la mise sous tension en coordination avec
l'adjudicataire du lot « électricité » et les essais des matériels et appareillages de sa fourniture.
Les alimentations dues par l'adjudicataire du lot « électricité » sont protégées soit pour la section du câble d'alimentation, soit
pour l'intensité maximale admissible et normalisée du dispositif de raccordement ou de coupure réglementaire.
Le positionnement précis des points d’alimentation est à reprendre sur les plans techniques de l’adjudicataire du présent lot
qui devra assurer le contrôle de toutes les alimentations nécessaires au fonctionnement de ses matériels au fur et à mesure
de la réalisation de celles-ci. Le percement des cloisons, pour les attentes techniques est à la charge du présent lot qui est
le seul habilité à percer ses cloisons.
10.2.2 Protection des installations et des récepteurs

Sauf mention particulière, toutes les alimentations sont protégées en tête (TGBT ou TD cuisine) pour l'intensité maximale
admissible en fonction de la section nominale du câble dans le cas des alimentations en attente, ou pour l'intensité maximale
admissible sur les prises de courant.
Chaque équipement de cuisine doit avoir sa propre alimentation protégée à partir du TGBT ou TD cuisine. (Prestation au
lot « Electricité »)
Sauf spécification particulière, le titulaire du présent lot veillera à ce que les équipements et appareillages électriques ou
électroniques, composant les matériels, soient correctement protégés et ce, conformément à la réglementation en vigueur.
(Protection Magnéto-Thermique).
10.2.3 Raccordements particuliers
10.2.3.1 Alimentation sur câble en attente

A la charge de l'adjudicataire du lot « électricité »
Alimentation en câble U1000RO2V en attente auprès du matériel.
Compris fixation ou encastrement jusqu’au point d'alimentation.
Voir le point d'arrivée du câble sur les plans de l’adjudicataire du présent lot.

A la charge de l'adjudicataire du présent lot

A partir du câble en attente, raccordement de son matériel, mise sous tension en coordination avec l'adjudicataire du lot
« Electricité » et essais.
Fourniture et pose des éventuelles goulottes inox ou accessoires de fixation afin de permettre le passage de câble entre
attente plafond ou autre, et matériels pour l’alimentation des équipements positionnés à distance du mur.
Dans un souci de finition et de nettoyabilité, les sorties de câbles en attentes murales seront réalisées à l’aide de coffret de
raccordement (décrit ci-après). Un presse étoupe de section adapté au câble y sera fixé.
10.2.3.2 Alimentation sur boîte en attente

Alimentation en câble U1000RO2V auprès du matériel.
Compris fixation ou encastrement jusqu’au point d'alimentation.
Voir le point d'arrivée du câble sur les plans avec l’adjudicataire du présent lot.
Fourniture et mise en place d'une boite de raccordement largement dimensionnée.
Fourniture et raccordement en câble souple de liaison entre le matériel et le point d'alimentation (utilisation de presse étoupe).
Raccordement de son matériel, mise sous tension en coordination avec l'adjudicataire du lot « Electricité » et essais.
Fourniture et pose des éventuelles goulottes inox ou accessoires de fixation afin de permettre le passage de câble entre
boîte de raccordement et matériels.
10.2.3.3 Alimentation sur Prise de courant

Alimentation en câble U1000RO2V en attente auprès du matériel compris fixation ou encastrement jusqu’au point
d'alimentation.
Voir le point d'implantation de l’alimentation de la prise de courant de l’adjudicataire du présent lot, fourniture, pose et
raccordement de celle-ci au calibre repris sur les plans.
Les équipements de cuisine de faible puissance (mobiles) alimentés en 240V Mono+T et 400V Tri+N+T sont à livrer avec
leur fiche adaptable au socle étanche mis en attente par le lot « Electricité ».
Fourniture et raccordement par câble souple de liaison entre le matériel et le point d'alimentation.
Raccordement de son matériel, mise sous tension en coordination avec l'adjudicataire du lot « Electricité » et essais.
10.2.3.4 Alimentation des chambres froides

- Cas de groupes frigorifiques indépendants :
La fourniture, la pose et le raccordement amont des câbles d’alimentation de chacun des groupes.
Le titulaire du lot « Electricité » devra, à partir de l’armoire générale (TGBT, TD Cuisine) la fourniture, la pose et le
raccordement amont d’un ou plusieurs câbles pour l’alimentation des circuits éclairage des chambres froides.
Cette ou ces alimentations seront laissées en attente sur boîte de dérivation, dans le plénum, au droit de chacune des
chambres froides.
- Cas de groupes frigorifiques indépendants :
Le raccordement des alimentations sur chacun des tableaux de commande des chambres froides et locaux rafraîchis, est à
la charge du titulaire du présent lot. Les liaisons par câbles entre les tableaux de commandes et les groupes frigorifiques
sont également à sa charge.
L’alimentation de l’éclairage des chambres froides sera obligatoirement différente de celle du circuit frigorifique.
Le titulaire du présent lot, devra rapidement préciser la puissance nécessaire à l’alimentation de ses installations de froid
alimentaire.

10.2.4 Mise à la terre des installations

Le titulaire du lot « Electricité » réalisera l’ensemble des liaisons nécessaires pour la mise à la terre de toutes les installations
faisant partie du présent lot.
Il aura en charge la réalisation de toutes les liaisons équipotentielles au droit de toutes les installations fluides (plomberie,
chauffage, caniveaux de sol, canalisations frigorifiques, canalisations gaz,..) et des cloisons et bâtis de porte.
10.3 Plomberie
10.3.1 Généralités
Sauf particularité technique, la distribution et les alimentations dues par le lot plomberie seront passées dans le plénum du
plafond et redescendront vers les points d’utilisation en encastré.
En amont de chaque descente et dans le plénum, il sera installé une vanne d’isolement. Celle-ci sera identifiée en sous face
de plafond au moyen d’une étiquette dylophane de couleur. Le tout à charge de l’adjudicataire du lot « Plomberie ».
Le positionnement précis des points d’alimentation est à reprendre sur les plans techniques de l’adjudicataire du présent lot
qui devra assurer le contrôle de toutes les alimentations nécessaires au fonctionnement de ses matériels au fur et à mesure
de la réalisation de celles-ci. Le percement des cloisons, pour les attentes techniques est à la charge du présent lot qui est
le seul habilité à percer ses cloisons.
10.3.2 Point d’alimentation

A la charge de l'adjudicataire du lot « plomberie »
Les alimentations en eau froide et eau chaude (encastrées en cloisonnement) seront amenées (par le plénum) en attente à
chaque point d'utilisation.
Soit, sur une vanne d'arrêt, soit sur un raccord laiton à visser en fourniture et pose à la charge du lot plomberie (suivant
besoin défini par le présent lot).
Le raccordement par flexibles aux couleurs conventionnelles à partir des vannes d'arrêt ou des raccords.
Le percement des cloisons, pour les attentes concernant les équipements de cuisine.
Les rosaces de finition ou toutes sujétions équivalentes.
10.3.3 Raccordements
A la charge de l'adjudicataire du lot « plomberie »
Fourniture et pose de la vanne d’isolement (vanne 1/4 de tour dans le plénum).
Réalisation des descentes jusqu’aux points d’alimentation définis par le présent lot.
En aval des vannes ¼ de tour, ou en aval du raccord à visser, les flexibles de liaison gainés inox ou PVC aux couleurs
conventionnelles seront à raccorder sur raccords rapide comportant partie mâle et partie femelle en fourniture et pose à
charge du présent lot.
Depuis l’attente laissée par le lot plomberie, mise en œuvre de coffrets inox de raccordement des appareils (fournis par le
présent lot).
Les rosaces de finition ou toutes sujétions équivalentes.
10.4 Canalisation d’évacuation
A la charge du titulaire des lots « gros œuvre » et « plomberie »

Toutes les canalisations seront amenées en attente au droit des implantations reprises sur les plans de canalisation.
Pour les évacuations sur attente visibles, les canalisations seront, sauf spécifications particulières, d’un diamètre précisé par
l’adjudicataire du présent lot et en attente à la hauteur définie. L’entreprise les équipera systématiquement dès la pose de
tampon d’obturation et réalisera des plots béton nettoyables (aucun angle inférieur à 90°).
Pour les évacuations en raccordement sur les siphons et caniveaux de sol, les canalisations seront, sauf spécifications
particulières, de Ø100. Au droit des attentes, le fil d’eau sera réalisé à -400mm minimum sous le sol fini pour les caniveaux
en inox (à vérifier avant exécution suivant le type et la taille des siphons et caniveaux de sol).

Pour les évacuations sur attente encastrées dans les cloisons ou à l’arrière de celle-ci, les canalisations seront, sauf
spécifications particulières, d’un diamètre et d’une hauteur en attente au niveau du sol fini précisés par l’adjudicataire du
présent lot. L’entreprise les équipera systématiquement, dès la pose, de tampon d’obturation. Il est généralement préférable
de réaliser l’attente en même temps que la pose des cloisons.
10.5 Raccordement sur évacuations
Évacuations sur siphons de sol, sur caniveaux, sur attentes et en règles générale toutes canalisations d’évacuation passées
au-dessus du niveau +/-0,00 de référence sont à la charge, suivant répartition ci-après, du lot plomberie ou du présent lot.
10.5.1 Limites de fourniture

Les siphons et caniveaux de sol inox (suivant l’annexe 1) sont fournis par le titulaire du présent lot.
10.5.2 Limites de prestation

- Toutes les réservations pour l’implantation des siphons et caniveaux de sol sont à la charge du lot « gros œuvre
étendu ».
- Dans le cas d’une cuisine située sur un niveau occupé, le calfeutrement des percements de dalle (suite à la pose
des caniveaux de sol) nécessaire au maintien d’un pouvoir coupe-feu de celle-ci (si obligation) est à la charge du
lot « gros œuvre ». Dans le cas d’un caniveau de sol avec platine d’étanchéité, le lot gros œuvre doit la mise en
œuvre de celle-ci.
- La mise en place des caniveaux de sol est à la charge de l’adjudicataire du lot « chapes » ou
« revêtements de sol ».
- Le raccordement de ces caniveaux sur les réseaux d’évacuation est à la charge du lot « gros œuvre » ou
« plomberie ».
- Le titulaire du présent lot doit le traçage au sol de l’implantation des caniveaux, le contrôle des réservations de
ceux-ci ainsi que la protection durant toute la phase du chantier, à l’aide d’un panneau d’aggloméré de 22mm de
même dimension que la grille caillebotis (à fournir en même temps que les caniveaux). Il fournira un détail précis
d’installation aux divers lots concernés dès la phase de préparation de chantier.
- Mise à la terre des caniveaux par le lot « électricité ».
10.5.3 Raccordements dus par le titulaire du présent lot

Le raccordement des matériels de cuisine et équipements frigorifiques sur les attentes (vidanges, siphons de sol ou
caniveaux) sera exécuté par le titulaire du présent lot :
- En tube PVC blanc de diamètre approprié lorsque la canalisation n'est pas exposée aux chocs (matériels fixes
le cas échéant).
- En tube inox de diamètre approprié pour tous les écoulements susceptibles d'être soumis aux chocs (tous les
matériels mobiles et les matériels fixes le cas échéant : matériels de laverie).
- En PVC souple résistant à 100°C de diamètre approprié pour les appareils légers fixes ou mobiles suivant la
demande ou la nécessité. (ce type de vidange souple ne sera utilisé que dans des cas très particuliers).
10.6 Ventilation/Extraction
Toutes les installations de ventilation de la cuisine, hormis la fourniture et la pose des capteurs, des hottes, sont dues par le
titulaire du lot « Chauffage/Ventilation » (sauf prescriptions contraires).
Lors de la phase VISA ou EXE, le titulaire du présent lot précisera les débits, pertes de charge, sections, positions exactes
des extractions spécifiques, nécessaires au fonctionnement de certains matériels, comme décrit dans le CCTP du même lot.
Le raccordement des hottes ou plafonds filtrant sur les gaines laissées en attentes suivant les indications du présent lot reste
à la charge de celui-ci.
Après la mise en place de ses hottes, le titulaire du présent lot devra assurer l’ensemble des finitions nécessaires et obturer
les vides au droit de la maçonnerie et ouvrages divers, à l’aide de cornières ou plaques inox.

10.6.2 Les raccords

En cas de raccordement direct de certains matériels, une gaine sera en attente du dessus du faux plafond au droit de
l'appareil. Le titulaire du présent lot devra alors le raccordement entre son matériel et la gaine en attente.
Ce raccordement sera réalisé en inox 18/10 brossé.
L'installateur prendra toute disposition pour la maîtrise et l'évacuation des eaux de condensation, sachant que les gaines ne
sont pas calorifugées (étanchéité des raccords, coude avec écoulement siphonné en partie basse de pente ou tronçon
vertical de gaine).
10.7 Cas particulier
Dans le cas où le titulaire du présent lot a à sa charge la fourniture et la mise en œuvre d’une structure d’alimentation de
fluides ou d’une colonnette d’alimentation, il devra assurer toute la distribution et les organes de raccordements intégrés sur
cette dernière. Cette distribution sera raccordée depuis les attentes laissées en un point par les lots « électricité »,
« plomberie », « chauffage/ventilation ».
10.8 Cloisonnements isothermes et menuiseries spécifiques
Sauf spécifications contraires, le présent lot devra la fourniture et la mise en œuvre des :
- Cloisonnements isothermes.
- Doublages isothermes (toute hauteur sur les murs extérieurs ; hauteur des panneaux suivant coupes Archi ; toute
hauteur suivant degré coupe-feu).
- Menuiseries spécifiques.
- Châssis vitrés spécifiques.
- Toutes les pièces de finition en inox 18/10 nécessaires au parfait achèvement des travaux.
- Toutes les vis de fixations doivent être en inox ou bénéficier d’un traitement anti corrosion efficace et seront dans
la mesure du possible avec tête bombée et empreinte plate.
- Protections périphériques haute et basse.
- Plinthes.
- Congés d’angles, (et accessoires de finition).
- Toutes les découpes et percements de panneaux nécessaires aux autres corps d’état, tout particulièrement aux
lots techniques.
- Aucune réservation technique ne doit se faire dans les cloisonnements isothermes à moins de 15cm des angles
saillants, des ouvertures de porte, des baies libres, … (afin d’éviter de positionner les interrupteurs ou autres
terminaux entre la finition inox et la cloison).
- Toutes les finitions nécessaires pour assurer la liaison et le calfeutrement avec les ouvrages existants ou
maçonnés.
- Les soupapes de décompression ainsi que leur raccordement électrique.
- Les trappes d’accès au plénum et trappes techniques (utiles pour les interventions ultérieures des autres corps
d’état, isolées thermiquement (avec rupture de pont thermique) et parfaitement étanches).
- Les gardes corps de protections.
- Toutes les réinjections d’isolant nécessaires au parfait calfeutrement au droit des traversées diverses (verticales
ou horizontales, bâtis de porte, prises de courant, …), afin d’éviter tous risques de condensation. Ces
calfeutrements seront étanches à l'air et à l'eau. Si le silicone est utilisé, il sera parfaitement lissé et exempt de
bavures. Une collerette de finition au diamètre ajusté sera soigneusement collée pour obturer le calfeutrement.

- Pour les plafonds isothermes, fourniture et mise en place d’une ossature primaire si l’ouvrage le nécessite.
- Traitement des joints de dilatation suivant les directives du CSTB et du fabricant des panneaux isothermes.
- Dans le cas de passage de fluides dans les cloisons séparatives simples, il pourra être demandé des inserts
réalisés en usine. Les implantations précises de ces inserts seront déterminées lors de la réalisation des plans
d’exécution, durant la phase de préparation de chantier.
- Tous les renforts et contreventements nécessaires à la tenue parfaite de ses ouvrages.
- Les U ou cornières d’angle inox 18/10, 15/10ème avec bords pliés ou de même nature que les lisses de protection
après accord du maître d’œuvre, toute hauteur et en une seule partie, sur tous les angles saillants et les têtes de
cloison, (les cornières d’angle devront avoir les deux retours de même dimensions ; en cas de revêtement de sol
souple, les retours sur cloisons devront être de 120mm minimum).
- Dans le cas de la pose d’un revêtement de sol souple (ou résine) après la pose des cloisons, les parties basses
de ces cloisons (découpes pour porte ou angles saillants) devront être munies d’une tôle d’inox 18/10 de 10/10ème
d’épaisseur afin d’assurer la parfaite remontée en plinthe sur panneaux de ce sol souple. Un détail de cette finition
est à fournir en préparation de chantier.
- Deux traçages au sol, des cloisonnements :
 Un sur dalle brute avant réalisation des percements de caniveaux, de la chape et des formes de pente.
Ce traçage sera réalisé à l’aide de peinture sur pochoir à chaque départ de cloisons ou changement de
direction suivant l’épaisseur réelle de ces dernières. Ces différents traçages peints seront reliés entre
eux par des traits tirés au cordon.
 Un avant montage de ses cloisons.
- Toutes les finitions en tôle laquée blanche ou de même nature que les panneaux au droit des ouvrages, tels que :
Menuiseries, Maçonneries, Trappes, Châssis vitrés, Monte-charge, Faux-plafond, Poteaux, Gaines techniques,
Armoires électriques, … etc. (sauf indications particulières sur le plan).
- Revêtements en polyester pour assurer la finition d’ouvrage maçonnés ou divers, dans le cas très particulier ne
nécessitant pas d’assurer une isolation du local, et par manque de place (poteaux, arrières de portes, etc…). Ces
finitions devront être clairement identifiées, et acceptées par le maître d’œuvre.
- Dans le cas où les dimensions des panneaux de chambre froide seraient inférieures à la hauteur de faux plafond
des locaux adjacents, il sera nécessaire de rajouter des rehausses au-dessus de celles-ci.
- Sauf cas très particulier ou accord préalable de la Maîtrise d’œuvre, le titulaire du présent lot doit savoir que
toutes les alimentations diverses sont impérativement encastrées afin de respecter les critères d’hygiène imposés
par la nature de l’ouvrage.
- Les protections en fil inox des AU et organes de sécurité ou de régulation risquant une détérioration par chocs
avec des chariots ou matériels de manutention.
11. RECEPTION DES OUVRAGES
11.1 Essais
Le titulaire du présent lot devra exécuter, avant la réception des travaux, tous les essais de parfait fonctionnement :
électriques, régulations, contrôles des fuites, acoustiques, … etc.
Et en particulier tous les relevés de température permettant de visualiser la descente en température en un temps donné,
conformément au DTU 45.1
La constatation d’essais satisfaisants conditionne la réception des ouvrages.
11.2 Réception
La réception des travaux sera effectuée en présence du Maître d’ouvrage ou de son représentant légal et du Maître d’œuvre.
Tous les matériels devront être en état de marche et dépourvus de toutes protections plastiques d’origine ou de chantier. Les
enceintes réfrigérées devront être aux températures de consigne.
Pour certains matériels, des pré-réceptions d’usine pourront être effectuées avant mise en œuvre.
Le Maître d’Œuvre pourra demander au titulaire du présent lot une attestation du fabricant validant l’installation de
certains matériels.

12. GARANTIE
Le titulaire du présent lot garantit l'installation des équipements de cuisine qu'il a réalisée :
- En qualité.
- En bon fonctionnement.
Sauf spécification particulière définie dans les clauses générales, la durée sera de un an à dater de la réception des travaux,
prononcée sans réserve, pour l’ensemble des matériels neufs.
Dans le cas de réutilisation d’équipements existants, il assurera la même garantie sur les pièces neuves mises en œuvre
dans le cadre de la remise en état de ces matériels.
Il garantit le Maître d’Œuvre contre toutes les actions et poursuites qui pourraient lui être intentées au sujet du matériel ou
des procédés utilisés dans l'équipement.
Même réceptionné, après l'année de garantie, il reste entendu que tout vice des équipements de cuisine, même décelé
postérieurement à cette période et ayant entraîné des accidents (incendie, électrocution, etc...) sera considéré comme
imputable au titulaire du présent lot. Celui-ci devra la réparation des dommages tant à l'installation qu'au tiers.
13. CONTRAT D’ENTRETIEN
Le titulaire du présent lot devra, le jour de la réception, proposer au Maître D'ouvrage, un contrat d'entretien tri annuel en
précisant les travaux effectués, la fréquence des interventions, les coûts horaires et de déplacement hors contrat, et les
délais d'intervention.
14. EQUIPEMENTS FRIGORIFIQUES
Ce chapitre concerne les installations de froid repérées GCFP

L’entreprise devra fournir en fin de chantier :
- La liste des installations frigorifiques réalisées avec la quantité de gaz de chacune d’entre elles.
- Une attestation d’étanchéité de chacune des installations (charge frigorifique supérieure à 2kg).
Les installations de production de froid des stockages amonts servent à maintenir des produits déjà à température de
consigne.
Le type de fluide frigorigène doit être :
- Pour le froid positif : le R134A ou équivalent (suivant la F-Gas révisée).
- Pour le froid négatif : au choix suivant la F-Gas révisée.
14.1 Température des locaux
Locaux Températures des Locaux
Chambre Froide Positive +4°C

Local Déchets +12°C
14.2 Dimensionnement des compresseurs
La puissance des compresseurs sera calculée en tenant compte d'une surpuissance de 30% par rapport au régime de
fonctionnement « normal », afin de compenser l'ouverture des portes dans un délai assez court et d'éviter une hausse de
température trop rapide.
L'entreprise fournira un justificatif de ses notes de calculs.

14.3 Unité extérieure
Les groupes de condensation seront situés à l'extérieur sauf prescriptions particulières.
Les unités frigorifiques extérieures seront entièrement carrossées. Construction de la carrosserie et du châssis en tôle acier
laquée, traités antirouille, ainsi que la visserie.
Carrosserie facilement démontable pour accès au groupe et aux organes. Caisson isolé par mousse à haute absorption des
sons et des vibrations.
Le châssis sera de type autoporteur intégré, pouvant se fixer à une paroi verticale sans utilisation d'un bâti ou d'une chaise
supplémentaire.
Tous les groupes devront être posés sur un ou des châssis de type « Big Foot » et devront respecter la réglementation et
plus particulièrement le DTU 43.1 (hauteur suivant poids des équipements).
Le groupe et ses accessoires seront désolidarisés du châssis par des plots antivibratoires.
Chaque unité sera munie d'une plaque gravée et vissée en façade, permettant son identification en précisant le nom du local.
14.3.2 Composition
Le groupe de condensation comprendra :
- Une résistance de carter (selon puissance et tension).
- Un condenseur à ailettes aluminium/cuivre.
- Un ventilateur hélicoïde piloté par un régulateur proportionnel de pression de condensation avec grille de
protection.
- Une bouteille liquide avec vanne départ.
- Un déshydrateur, un voyant liquide avec vannes d’isolement.
- Un pressostat HP/BP à réarmement automatique.
- Une régulation par pressostat BP.
- Une vanne électromagnétique.
- Un boîtier électrique contenant un disjoncteur magnéto-thermique, éventuellement une horloge de dégivrage
automatique, les contacteurs pour le compresseur, les ventilateurs et la résistance.
14.3.3 Niveau sonore

Le niveau sonore du groupe de condensation ne devra pas dépasser 35dB(A) à 10 mètres et devra respecter les normes et
réglementation en vigueur.
D'une manière générale, les caractéristiques phoniques des installations seront étudiées et réalisées de manière à ne pas
engendrer de vibrations, ni de gêne pour des tiers. Ces installations ne devront pas transmettre aux parois et éléments
d'équipement des locaux des vibrations repérables.
14.3.4 Localisation
Les unités extérieures seront positionnées en toiture terrasse (localisation sur plan technique).
14.4 Évaporateurs
Les évaporateurs seront placés de préférence perpendiculairement à la porte d'accès. Ils seront fixés au plafond par des
tiges filetées en nylon, (y compris visserie intérieure), avec profilé en acier galvanisé en U, placés au-dessus du plafond de
la chambre froide pour répartir la charge.
Les percements de passage seront calfeutrés par injection de mousse, puis finition par joint silicone.
Les appareils seront prévus entièrement carrossés en acier lisse traité époxy selon normes DIN 8964, avec grilles de
protection normalisées, panneaux facilement démontables.
L'encombrement en hauteur de l'appareil devra permettre le passage d'un rayonnage mobile (hauteur mini : 1900mm sous
évacuation des condensats).

(Dans le cas d'évaporateurs double flux, l'égouttoir central devra reprendre les deux batteries extérieures, il devra être
rabattable.)
Les canalisations de condensats seront réalisées :
- En PVC blanc pour les chambres froides positives (peinture interdite).
- En cuivre peint pour les chambres froides négatives, de section supérieure à 30mm.
Les réseaux verticaux seront encastrés et suivant certaines prescriptions particulières, il sera demandé des pompes de
relevage.
Dans le cas des locaux de travail réfrigérés, l’évaporateur sera de type basse température, et basse vitesse double flux,
intégré dans le faux plafond du local. Les condensats seront obligatoirement évacués par un système de pompe de relevage.
Les performances seront les suivantes :
- Acoustiques :
- Pression acoustique Lp à 10m : 54dB.
- Puissance acoustique Lw : 85dB (A).
- Aérauliques :
- Ventilateur : 2x355mm de diamètre.
- Vitesse de rotation : 1500tr/mn.
14.4.2 Description
L'appareil comportera essentiellement :
- Des batteries en tube cuivre et ailettes en aluminium gaufré.
- Des ventilateurs hélicoïdaux dans un cloisonnement, classe IP44 SELON DIN 40050, graissés à vie, classe F et
protection thermique montés sur plots antivibratoires.
- Un égouttoir intermédiaire par by-pass permettant de limiter la condensation.
- Un égouttoir principal facilement démontable avec siphon en partie basse.
- Un détendeur justement calibré et approprié au fluide frigorigène utilisé.
- La partie arrivée/départ des fluides sur l’évaporateur, doit être « habillée » d’un cadre ou d’une trappe, de manière
à ne rien laisser de visible, ou d’accessible, aux utilisateurs.
- Les évaporateurs installés dans les chambres froides négatives seront équipés de résistances électriques
blindées pour le dégivrage ainsi que d'une résistance d'écoulement. Thermostat de fin de dégivrage;
temporisation du système de démarrage de la ventilation après une séquence de dégivrage.
Dans le cas de chambre froide négative l'entreprise devra préciser ou faire apparaître le type et le pas d'ailettes de
l'évaporateur.
En fin de chantier il sera procédé à une désinfection de toutes les batteries froides à l'aide d'un produit approprié et ce afin
de débarrasser les évaporateurs de toutes souillures de chantier qui pourraient contaminer les produits alimentaires. Une
attestation sera demandée par le B.E.T.
14.5 Liaisons frigorifiques
Les liaisons frigorifiques seront en tubes cuivre frigorifique poli intérieurement et déshydraté, de section adaptée, entièrement
calorifugés pour la partie BP sur tout le parcours, avec isolant flexible à structure cellulaire fermée à base de caoutchouc
synthétique µ 5000 ép. 19mm pour le froid positif, ép. 32mm pour le froid négatif.
Les raccords sur groupe seront redirigés par éliminateur de vibration.
Les cheminements des canalisations se feront sur des supportages type chemin de câbles. Tous les passages à l'intérieur
du bâtiment seront entièrement visitables. Les canalisations apparentes seront habillées soit par goulotte PVC, soit par coffre
démontable.
Toutes les canalisations situées à l'extérieur seront réalisées sur chemin de câble métallique et protégées lorsqu'il y aura
risque de chocs éventuels ou de dégradation de l’isolement par rayonnement solaires.
L’utilisation de couronne pré isolée en tube recuit est interdite.

14.6 Alimentation et câblage électrique
Les câbles utilisés devront répondre aux normes électriques en vigueur. Il sera fait usage de câbles type U 1000 R02V pour
les chambres froides positives et H07RNF pour les appareils mobiles et chambres froides négatives. Leur cheminement sur
le chemin de câbles devra être dissocié des liaisons frigorifiques. Les passages en apparent se feront sous goulotte PVC
pour la liaison vers l'armoire électrique et, en encastré dans les panneaux des chambres froides pour les liaisons vers les
interrupteurs ou les boîtiers de commande.
Alimentation et position du câble en attente laissé par le lot Electricité : voir limite de prestations.
14.7 Tableau de commande
Sur la façade de chaque chambre froide ou local rafraichi, il sera prévu un tableau de commande et de contrôle de la
température. Pour la chambre froide négative, lorsque que celle-ci sera accessible par un SAS ou une autre chambre froide,
ce tableau sera situé au-dessus de la porte du SAS.
Celui-ci sera positionné juste au-dessus de la porte, les câbles d’alimentation seront encastrés (prévoir injection de mousse
pour éviter la condensation) ou protégés par une goulotte inox et composé essentiellement de :
- 1 boîtier ABS étanche classe IP 55.
- Affichage digital de la température.
- Programmation de la température, des cycles de dégivrage par claviers.
- Indicateurs d'actions et de défauts avec alarmes et possibilité de reports d'alarmes sur G.T.C. ou G.T.B.
Pour ce qui concerne les locaux de travail refroidis (préparations froide, pâtisserie, … etc.) une commande déportée sera
mise en place à l’entrée du local et à l’intérieur. Cette commande à commutateur (type commande de hotte) permettra
d’actionner ou d’arrêter le fonctionnement de l’installation frigorifique ; mise en place à 1,80m du sol fini (prévoir une protection
mécanique en fil inox de celle-ci).
Chaque commande déportée devra mettre la production de froid du local en question et lorsqu’elle sera sur « arrêt », elle ne
devra pas couper l’alimentation électrique du tableau de régulation. Il faut que l’action de cette commande n’intervienne
aucunement sur l’alarme centralisée des chambres froides : pas d’alarme lorsque la commande du local est sur « arrêt ».
Des étiquettes gravées indiqueront l’état de la commande (marche/arrêt).
14.8 Système d’alarme/système sonore
Il sera prévu :
Une alarme avec sirène, en cas de défaut de température haute sur l’ensemble des chambres froides :
- Temporisation du déclenchement de l'alarme.
- La sirène sera du type électromécanique classe ip30-9.
- Puissance acoustique minimum = 100db à 1 mètre.
La chambre froide négative sera équipée d'un dispositif d'alarme sonore,

pour personne enfermée.
La sirène sera de même type que pour l'alarme haute température, mais
d'une tonalité différente.
La sirène sera pilotée par un bouton tournant type « coup de poing » avec
voyant lumineux et étiquette gravée. Le bouton sera à côté de la porte, à
l'intérieur de la chambre, à 0,50 mètre du sol. L'arrêt de la sonnerie ne
pourra se faire qu'après décondamnation du bouton. Ce bouton sera équipé
d’une protection mécanique (même fabricant) contre les chocs des chariots
ou autres (voir photo).
Si besoin et suivant la réglementation en vigueur, une sonde de sol placée sous le plancher isolé de la chambre froide
négative, sera reliée directement à l’alarme sonore conformément au D.T.U. 45.1.

14.9 Eclairage et contrôle de fermeture des portes
Les chambres froides négatives seront équipées de luminaires prévus pour les basses températures.
L’éclairage des chambres froides sera réalisé à partir d’une alimentation électrique distincte laissée en attente par le lot
« électricité » au-dessus des chambres froides.
La commande de l’éclairage sera réalisée au moyen de détecteurs infrarouge passifs (détection 180°), judicieusement
positionné au-dessus de la porte afin d’éviter toute gêne due au stockage de denrées en partie haute des étagères.
Ceux-ci seront orientables verticalement et horizontalement, réglables en durée d’enclenchement et au niveau du seuil
crépusculaire.
Les chambres froides seront équipées de luminaires étanches (IP54 tubes fluorescents type T5) assurant un éclairement
homogène de 300lux. Cet éclairage sera doublé par un voyant de balisage étanche et de couleur rouge, situé en façade au-
dessus de la porte à côté du tableau de commande.
14.10 Equipements divers
14.10.1 Soupape de décompression

Les chambres froides négatives seront équipées d'un dispositif de décompression du type soupape d'équilibrage (conforme
au DTU 45.1), avec cordon de dégivrage 16W/240V.
La fourniture, la pose et le branchement électrique seront à la charge du présent lot.
14.10.2 Thermographe
S’il n’est pas prévu un système d’enregistrement centralisé des températures, le titulaire du présent lot devra, sur l’ensemble
des locaux à température dirigée et équipements désignés ci-après, un enregistreur de température électronique
hebdomadaire (avec imprimante intégrée ou port USB).
L’enregistreur sera installé en façade des locaux, ou équipements, avec bulbe à distance, judicieusement placé et protégé
des chocs éventuels et immergés dans une solution neutre évitant les variations intempestives de températures.
Calfeutrement du percement du panneau par silicone ou mousse de polyuréthane suivant la dimension de la réservation.
Localisation :
Locaux/Equipements
Chambre Froide Positive

Local Déchets
14.10.3 Pompe de relevage

Pompe de relevage de type péristaltique.
La pompe doit comprendre un rotor avec deux galets écrasant un tube. La dépression ainsi créée, permet de véhiculer l'air
(elle peut tourner à sec), l'eau et les petits résidus des condensats. Les galets jouent le rôle de clapet anti-retour. Elle doit
être auto-amorçante, doit pouvoir s'installer dans un faux-plafond et tourner dans n'importe quelle position verticale ou
horizontale ; elle doit être conçue pour fonctionner par intermittence.
Système de mise en route par flotteur Marche/Arrêt ou sur contact auxiliaire.

15. NATURE DES PANNEAUX
L’ensemble des panneaux, les matériaux et les accessoires divers mis en œuvre, seront classés au minimum Bs3d0
(équivalent M1).
Une attention particulière sera apportée sur les joints entre panneaux. La largeur et la profondeur de ces derniers devront
être réduites à leur strict minimum.
La couleur des panneaux devra par défaut correspondre au RAL 9010 sauf demande particulière durant la phase de
préparation de chantier.
L’entreprise est tenue de prendre en référence les coupes et élévations dessinées par l’architecte pour définir les bonnes
hauteurs de cloisons.
La pose des cloisons au droit des JD devra respecter les règles de l’art et l’entreprise produira en phase visa un détail précis
sur la mise en œuvre réglementaire (documents techniques à l’appui).
15.1 Principe de pose et de finition des cloisons
15.2 Panneaux âme polyuréthane
15.2.1 Cloisons séparatives ou chambres froides positives

- Epaisseur 80mm minimum. - Rep PI2F80
- Panneaux à emboîtement constitués de mousse polyuréthanne :
 Densité moyenne : 40kg/m³
 Lambda : 0,027W/m.K
 Injectée entre deux tôles d’acier galvanisé, épaisseur 60/100 revêtues d’un complexe laque polyester
et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum.
- Finition des panneaux : couleur blanche, sans rainure.
- Montage par emboîtement, avec joint silicone alimentaire, en fond de nervure, assurant une parfaite
étanchéité à l’air et à l’eau. Un joint silicone blanc assurera la finition et la liaison parfaite entre panneaux.
- Pour la réalisation des chambres froides positives, les panneaux d’angle devront être fixés entre eux en
prenant soin d’avoir réalisé une coupure du pont thermique de la tôle acier.
- Les fixations en pied de cloison seront réalisées sur « U » PVC (d’épaisseur minimale pour permettre la mise
en œuvre de la remonté en plinthe), posé sur joint souple étanche (silicone interdit), chevillé ou collé suivant
le revêtement de sol réalisé. En cas de fixation par cheville, l’entreprise veillera à ne pas percer l’étanchéité
éventuellement réalisée.
- Pour les chambres froides implantées contre des murs, la face cachée des panneaux pourra être revêtue
d’une simple tôle galvanisée.
Nota : Dans le cas où l’entreprise soumissionnaire, n’est pas couverte par ses assurances pour garantir les encastrés de
fluides dans ces panneaux, elle devra proposer un principe d’exécution, tel que défini dans le chapitre suivant (2 cloisons de
40mm avec vide d’air de 40mm) Rep : DCS120 ou DCS120LR même si ces cloisons ne sont pas repérées sur les plans.

15.2.2 Doubles cloisons séparatives

- Epaisseur totale 120mm - Rep : DCS120
- Construction : 2 panneaux d’épaisseur 40mm, avec vide d’air de 40mm pour le passage des fluides.
- Panneaux à emboîtement, constitués de mousse polyuréthane :
 Injecté entre deux tôles d’acier galvanisé, épaisseur 60/100 revêtues d’un complexe laque polyester
et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum coté vu.
- Finitions des panneaux : couleur blanche, sans rainure.
- Montage par emboîtement, avec joint silicone en fond de nervure, assurant une parfaite étanchéité à l’air et
à l’eau. Un joint silicone blanc, alimentaire, assurera la finition et la liaison parfaite entre les panneaux.
- Des entretoises en PVC ou Alu seront mises en œuvre entre les deux panneaux pour assurer la rigidité de
l’ensemble.
- Les deux faces intérieures cachées des panneaux pourront être revêtues d’une simple tôle galvanisée.
15.2.3 Panneaux de doublage

- Epaisseur 40mm Rep PID40
- Epaisseur 60mm Rep PID60
- Panneaux à emboîtement constitués de mousse de polyuréthanne.
et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum côté vu.
- Montage par emboîtement, avec joint silicone en fond de nervure, assurant une parfaite étanchéité à l’air et
à l’eau. Un joint silicone blanc, alimentaire, assurera la finition et la liaison parfaite entre panneaux.
- Un vide de 40mm sera laissé contre la maçonnerie existante (pour permettre le passage des fluides).
- Un renfort à mi-hauteur sera mis en œuvre pour assurer la rigidité du panneau.
- Les doublages contre les murs extérieurs seront réalisés toute hauteur, afin d’assurer l’isolation totale du
bâtiment.
- La face cachée du panneau pourra être revêtue d’une simple tôle galvanisée.

15.2.4 Panneaux de plafond

- Epaisseur 80mm locaux à température positive - Rep PIPCFP
- Panneaux à emboîtement constitués de mousse de polyuréthanne.
et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum côté vu.
- Montage par emboîtement, avec joint silicone alimentaire, en fond de nervure, assurant une parfaite
étanchéité à l’air et à l’eau. Un joint silicone blanc assurera la finition et la liaison parfaite entre panneaux.
- Le plafond devra être autoporteur et circulable.
- La face cachée du panneau pourra être revêtue d’une simple tôle galvanisée.
15.3 Panneaux âme laine de roche
15.3.1 Cloisons séparatives coupe-feu 1h

- Epaisseur 80mm minimum. - Rep PI2FCF80
- L’épaisseur du panneau pourra varier si les caractéristiques sont au moins équivalentes aux panneaux
d’épaisseur 80mm.
- Panneaux à emboîtement constitués d’une âme en laine de roche.
 Densité moyenne : 165kg/m³.
 Parement extérieur et visible en tôles d’acier galvanisé, épaisseur 60/100 revêtues d’un complexe
laque polyester et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum.
- Finition des panneaux : couleur blanche, sans rainures.
- Joints intumescents posés à la pompe lors du montage.
- Montage par emboîtement, avec joint silicone en fond de nervure assurant une parfaite étanchéité à l’air et à
l’eau. Un joint silicone blanc assurera la finition et la liaison parfaite entre panneaux.
- Des entretoises en PVC ou Alu seront mises en œuvre en deux panneaux pour assurer la rigidité de
l’ensemble.
- Les fixations en pied de cloison seront réalisées avec des cornières en « L » en Acier galvanisé (d’épaisseur
minimale pour permettre la mise en œuvre de la remontée en plinthe), posé sur joint souple étanche (silicone
interdit), chevillé ou collé suivant le revêtement de sol réalisé. En cas de fixation par cheville, l’entreprise
veillera à ne pas percer l’étanchéité éventuellement réalisée.
- Pour les cloisons implantées contre des murs, la face cachée des panneaux pourra être revêtue d’une simple
tôle galvanisée.
- Cloisons montées toute hauteur.
- Procès-verbal à fournir en phase VISA.
Les locaux suivants devront respecter un coupe-feu 1H :

 Local entretien.
 Local réserve.

15.4 Revêtement polyester
- De couleur blanche, épaisseur 2mm pour les doublages intérieurs. - Rep POLY
- Mélange de résine : copolymère de polyester modifié, enduits et pigments inorganiques.
- Réaction au feu Bs2d0.
- L’entreprise devra s’assurer du bon état du support avant toute pose ; le cas échéant enduire le mur d’un
apprêt pour garantir une bonne planéité.
- Posée à l’aide de colle et de rivets si nécessaire.
- Compris tout élément de finition et jointoiement.
16. PORTES
La couleur des portes devra par défaut correspondre au RAL 9010 sauf demande particulière durant la phase de préparation
de chantier.
Le passage libre des portes est défini :
- Pour la largeur, par la désignation de la porte : exemple, PICFP80 pour passage libre 80cm.
- Pour la hauteur, systématiquement de 200cm, sauf indications contraires ci-après ou sur plan.
16.1 Portes pivotantes isothermes (chambres froides)
- Epaisseur 60mm minimum, chambre froide positive (Rep : PICFP).

- Finition de même nature que les panneaux verticaux.
- Ouverture 180°.
- Largeur de passage suivant intitulé et suivant plan.
- Entourage intérieur et habillage du chant d’embrasure et de l’huisserie en tôle d’aluminium 16/10 laquée
blanche ou acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome).
- Vantail constitué de mousse de polyuréthane injectée entre deux tôles d’acier galvanisé, revêtu d’un complexe
laque polyester et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum.
- Protections basses intérieure et extérieure.
- Huisserie en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome) ou en polyester.
- Charnières à rampes hélicoïdales.
- Joint d’étanchéité clipsé sur 4 côtés.
- Fermeture un point, condamnation à clé (une seule clé condamnant l’ensemble des chambres froides ;
fourniture d’un jeu de trois clés), décondamnation intérieure par coup de poing et suivant réglementation en
vigueur (les serrures seront sur organigramme défini par le Maître d’ouvrage).
- Nombre de portes, largeur d’ouverture et sens d’ouverture suivant plan.
- Cordon chauffant pour les portes des chambres froides négatives, conforme à la réglementation en vigueur
(fourniture et raccordement à la charge du présent lot).
- Les portes des chambres froides négatives seront munies de rideaux à lanières.

16.2 Portes de distribution (semi isolées)
- Portes semi isolées. Epaisseur 40mm.

- Isolation par mousse polyuréthanne injectée entre deux tôles d’acier galvanisé revêtues d’un complexe laque
polyester et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum (Rep : PSI, PSIH).
- Huisserie en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome) ou aluminium laqué avec système de fixation non
apparent. Celle-ci ne devra en aucun cas être doublée (cas des cloisons DCS120 ou autres cloisons
d’épaisseur supérieure à 100mm).
- Charnières inox.
- Poignées inox, contre coudées.
- Serrure à condamnation à clé (les serrures seront sur organigramme défini par le Maître d’ouvrage).
- Dimensions, ouvertures et localisation selon plan.
- Les hublots seront en méthacrylates, entourés de caoutchouc type pare-brise. Dimensions 400x400mm ou
Ø400mm minimum. Ces hublots seront de type double vitrage avec rupture du pont thermique, dans le cas
de locaux à températures différentes.
- Certaines portes devront être coupe-feu 1/2h00 (Rep : PSICF) :
 Localisation :
o Local entretien
o Réserve sèche.
16.3 Portes de distribution va et vient (semi isolées)
- Portes semi isolées Epaisseur 40mm.

- Isolation par mousse polyuréthanne entre deux tôles d’acier galvanisé revêtues d’un complexe laque
polyester et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum (Rep : PSIHVV).
- Huisserie en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome) ou aluminium laqué, avec système de fixation
non apparent. Celle-ci ne devra en aucun cas être doublée (cas des cloisons DCS120 ou autres cloisons
d’épaisseur supérieure à 100mm).
- Blocage de la porte en position 90°.
- Sécurité anti-pince doigts.
16.4 Portes va et vient
- Portes en polyéthylène alimentaire de 15mm d'épaisseur avec oculus intégré (Rep : PPHVV).
- Huisserie en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome) ou aluminium laqué, avec système de fixation
non apparent. Fixation par serrage du double bâti sur le panneau de cloison. Celle-ci ne devra en aucun être
doublée (cas des cloisons DCS120 ou autres cloisons d’épaisseur supérieure à 100mm).
- Blocage de la porte en position 90°.
- Sécurité anti-pince doigts.
Ø400mm minimum.
- Référence couleur à définir avec le Maître d’Ouvrage.

16.5 Portes doubles de distribution (semi isolées)
- Portes 2 vantaux tiercées semi isolées. Épaisseur 40mm.

- Isolation par mousse polyuréthanne injectée entre deux tôles d’acier galvanisé revêtues d’un complexe laque
polyester et film PET d'une épaisseur totale de 55µm minimum (Rep : PSID, PSIHD).
- Huisserie en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome) avec système de fixation non apparent. Celle-ci
ne devra en aucun cas être doublée (cas des cloisons DCS120 ou autres cloisons d’épaisseur supérieure à
100mm).
- Charnières inox.
- Poignées inox contre coudées.
- Serrure à condamnation à clé (les serrures seront sur organigramme défini par le Maître d’ouvrage).
- Dispositif de blocage du chant du semi fixe en partie haute du vantail.
- 400x600mm minimum.
- Référence couleur à définir avec le Maître d’Ouvrage.
17. GENERALITES SUR LES EQUIPEMENTS DE PORTES
17.1 Protections de portes
Mise en place sur l’ensemble des portes du projet, d’une plaque de protection P.V.C. collées ; hauteur 115cm et à minima
10cm plus haut que la poignée de porte ; épaisseur 2 à 3mm ; classement Bs3d0 (équivalent M1) (voir plan de principe).
La face visible sera légèrement granuleuse (et non lisse) afin de ne pas marquer à la suite de chocs répétés.
La partie haute de ces plaques sera chanfreinée avec joint silicone blanc de qualité alimentaire.
Chaque plaque de protection aura une largeur adaptée au type de porte, mais aussi suivant sa position : intérieur ou extérieur
de la porte (écrasement du joint de porte à prendre en compte).
En complément de cette prestation, le titulaire du présent lot devra mettre en œuvre sur certaines portes « hors lot » une
protection basse de même nature que celles positionnées sur les portes du présent lot (Rep : PBP).
17.2 Arrêts de porte
Mise en place de protections collées, de même nature et couleur que les bandes de protection P.V.C, épaisseur 2mm et de
forme « demi-lune » (dimensions indicatives : rayon de 15cm). Celles-ci seront collées juste au-dessus de la lisse de
protection haute à chaque fois qu’elles seront nécessaires et quel que soit les portes (voir schéma de principe en annexe).
Des butoirs de porte déportés pourront être installés pour toutes les portes butant sur des terminaux (quels qu’ils soient)
avant que la poignée ne touche la cloison. Ceux-ci seront fixés (sauf cas particulier) sur les murs ou les cloisons en partie
haute (de façon à garder son efficacité quel que soit la position de la béquille).
ATTENTION : aucun butoir au sol ne sera accepté.
17.3 Fermes porte
Les portes de distribution seront munies de ferme porte type hydraulique, avec bras à glissière et mécanisme de blocage en
position ouverte.

17.4 Verrous sanitaires
Pour les portes de cabines de déshabillage, cabines de douches et WC, fourniture et pose de verrous à loquet, verrouillage
de l’intérieur avec décondamnation de l’extérieur.
17.5 Serrure
Fourniture et pose de coffres et serrures de sûreté en acier inoxydable à chacune des portes (sauf portes va et vient). Dans
le cas d’une réhabilitation, l’entreprise devra se rapprocher de la Maîtrise d’Ouvrage pour connaître le type de clé
habituellement utilisée dans l’établissement.
Toutes les portes des réserves et celles se trouvant sur le circuit d’évacuation (sécurité incendie) devront être équipées d’un
demi bouton moleté.
17.6 Fourniture des clés
Le titulaire du présent lot devra la fourniture d’un minimum de trois clefs par serrure.
Les serrures fonctionneront sur passe partiel et général.
Les canons feront l'objet d'une coordination avec les lots menuiseries, serrurerie et menuiseries alu pour mise sur
organigramme (la fourniture reste au présent lot). Le type de canon devra obligatoirement être du même type que celui de
l’adjudicataire du lot menuiseries intérieures ou de celui des canons existants.
Le tableau général de combinaison des clefs de la cuisine sera établi par le titulaire du lot menuiseries intérieures sur
indications du Maître d’Ouvrage et en coordination avec l’entreprise de menuiserie adjudicataire pour la réalisation du Clos
et Couvert.
17.7 Détalonnage des portes
L’entrepreneur devra, si nécessaire, détalonner les portes, de manière à permettre une ouverture aisée. Toutes les portes
devront avoir un espace libre entre ouvrant et sol de 1cm minimum (dans le cas où ce détalonnage serait compatible avec
les contraintes de maintien en température du local).
18. CHASSIS VITRES
(Rep CSV5, CSV10, CSV15, CSV20)

Profilés affleurant en aluminium laqué blanc ou de même nature et finition que les huisseries de porte.
Vitrages affleurant des deux côtés des cloisons.
Entre locaux à températures différentes et lorsque l’un des deux est rafraichi, le vitrage côté local à température la plus basse
sera de type double vitrage (élément constitué d’usine d’un vide d’air ou d’un gaz inerte entre deux vitres) avec rupture de
pont thermique.
Dans tous les cas, le bâti du châssis vitré devra être fabriqué ou installé avec une rupture de pont thermique (voir également
le schéma de principe d’isolation des ouvertures joint en annexe).
Ces châssis seront positionnés avec le bas du cadre à 1300mm du sol fini ; le cadre, en partie haute, sera aligné avec les
cadres des portes.
Dimensions et localisation selon plan ; la largeur est définie par la désignation du châssis : exemple, CSV10 pour clair de
vitrage 100cm.
19. TRAPPE D’ACCES
L’entreprise devra, dans tous les locaux disposant d’un faux plafond constitué de panneaux isothermes, la réalisation d’au
moins une trappe de visite (si le plénum est visitable et une de plus tous les 20m²) ; et dans tous les cas à chaque endroit où
il y aura lieu d’effectuer une intervention sur un appareillage technique quel qu’il soit.
Cette trappe sera constituée de la partie de panneau découpé, ainsi que d’un cadre inox ép. 20/10ème (profilé en T) réalisé
en une seule partie (angles soudés). L’ensemble sera fixé sur les panneaux au moyen de vis inox. La manipulation de cette
trappe devra se faire le plus aisément possible en la déplaçant au-dessus du faux plafond.
Les dimensions seront au minimum de 600x600mm et dépendront des équipements installés dans le plénum.

20. PROTECTIONS
La couleur des lisses de protection sera définie par le maître d’ouvrage en phase de préparation de chantier. Par défaut la
liste des couleurs ci-dessous sera à respecter :
- De couleur jaune pour les zones réservées au personnel.
- De couleur bleue pour les diverses zones de stockage.
- De couleur bleue en bas et verte en haut pour les locaux de pré traitement.
- De couleur verte pour les locaux de production et de distribution.
- De couleur rouge pour les zones souillées ou dites « sales » (local déchets).
- De couleur grise pour les locaux de lavage.
20.1 Protections simples
(Rep BPB et BPH)

Mise en place sur l’ensemble des panneaux, de bandes de protection P.V.C. collées ; hauteur 20cm ; épaisseur 2 à 3mm ;
classement Bs3d0 (équivalent M1).
 Une au-dessus de la plinthe.
 L’autre axée à 85cm du sol fini.
 Particularité du local déchets (avec conteneurs voirie) : la bande de protection haute sera axée à
105cm et une troisième lisse sera positionnée entre les deux premières.
La face visible sera légèrement granuleuse (et non lisse) afin de ne pas marquer à la suite de chocs répétés.
La partie haute de ces bandes sera chanfreinée avec joint silicone blanc de qualité alimentaire.
Chaque bande de protection devra être arrêtée, au droit des bâtis de porte, protection d’angle, congé d’angle, …, par un joint
silicone de qualité alimentaire.
20.2 Barre de protection inox
Le titulaire du présent lot prévoira la mise en place d’une barre de protection inox 18/10 de diamètre 50mm minimum. Cette
dernière sera fixée solidement au sol dans le cas de menuiseries vitrées, soit murale, si le support le permet. Elle sera
décalée de 20cm du mur, afin d’éviter les chocs. La hauteur devra être de 20cm (voir plan).
L’ensemble platine support et barre sera soudé. Les fixations seront réalisées à l’aide de visserie et chevilles inox. Les
extrémités de la barre de protection seront réalisées avec une crosse arrondie revenant vers le revêtement mural et bouchons
inox d’obturation.
20.3 Cornières d’angle
Les cornières d’angle seront en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome), 15/10ème avec bords pliés ou de même nature
que les lisses de protection (avec bande centrale souple pour angles variables) après accord du maître d’œuvre. Celles-ci
seront toute hauteur et en une seule partie, du dessus de la plinthe au-dessous du faux plafond et sur tous les angles
saillants, (les cornières d’angle devront avoir les deux retours de mêmes dimensions ; en cas de revêtement de sol souple,
les retours sur cloisons devront être de 120mm minimum).
21. PLINTHES
Le titulaire du présent lot aura à sa charge la fourniture et la mise en place des plinthes. Elles seront en P.V.C. blanc RAL
9010, hauteur 100mm minimum.
Fixation non apparente, rayon de 30mm avec lèvres souples en partie haute et basse pour assurer une parfaite étanchéité
à l’eau.
Le titulaire du présent lot aura à sa charge tous les éléments de finition tels qu’obturateur en bout, éléments d’angles entrants
et sortants, … etc. (éléments collés et visés avec bouchons d’obturation).

22. CONGES D'ANGLE
Le titulaire du présent lot aura à sa charge la fourniture et la mise en place des congés d'angles. Ils seront en P.V.C stabilisé
Calcium-Zinc de couleur blanche (RAL9010) avec lèvres souples pour assurer une parfaite étanchéité à l'eau.
Le congé d'angle sera fixé sur un profilé en P.V.C ou en aluminium. Fixation non apparente et clippage aisé.
Le titulaire du présent lot aura à sa charge tous les éléments de finition.
23. SIGNALETIQUE
L’entreprise aura à sa charge la fourniture et la pose de la signalétique sur l’ensemble des portes de la cuisine et annexes à
l’aide d’un moyen visuel approprié (lettres adhésives de couleur sans fond). Cette signalétique sera fixée sur toutes les portes
et des deux côtés en indiquant la désignation du local (Voir plan de principe et échantillon à soumettre au maître d’œuvre
pour approbation). Caractéristiques du lettrage, police : Century Gothic, Gras, taille des lettres 3,5cm de haut (ou 3cm selon
longueur du nom du local).
Sauf indication contraire du maître d’œuvre, les lettres seront de même couleur que la protection de porte s’y rapportant.
24. GENERALITES
Ce chapitre « Généralités » décrit des critères techniques généraux de grandes familles de matériels de restauration. Les
prescriptions particulières, par matériel, sont reprises dans les fiches techniques jointes en annexe.
Dans le cas où il y aurait contradiction sur le descriptif d’un équipement, entre les généralités et les prescriptions
particulières, ceux sont ces dernières qui prévaudraient.
Toutes les alimentations (eau, gaz, électricité, …) et évacuations apparentes, devront faire l’objet d’un habillage inox étanche
et démontable, de manière à cacher et protéger celles-ci.
Tous les équipements « techniques » devront avoir une plaque signalétique « constructeur » apparente et facilement
accessible. Celle-ci devra faire apparaître la référence, le type, la puissance, etc… propre à chaque appareil, ainsi que la
certification CE.
En fonction des hauteurs d’allège, le positionnement des dosserets des lave-mains sera à adapter.
24.1 Matériels réfrigérés (y compris CRR)
Le matériel sera de fabrication inox AISI 304, les plateaux supérieurs seront d'épaisseur 15/10 ; bord tombé de 45mm et
rayonné R=l5mm.
L’isolation thermique se fera par mousse polyuréthane sans CFC, d’une épaisseur minimale de 60mm.
Les portes ou portillons seront isolées, réversibles, tout inox équipés de joints facilement nettoyables, poignée ergonomique
encastrée avec fermeture automatique et maintien d’ouverture à 90°. L’ouverture des portes à 90° devra permettre la sortie
des grilles GN2/1 (largeur d’entrée 530mm ou 325mm si GN1/1 demandé) et devra respecter le sens d’ouverture représenté
sur les plans. Dans le cas de portes vitrées, les parois vitrées seront de type double vitrage et teintées anti-UV pour les caves
à vins.
Ces portes seront équipées de fermeture à clé ; une clé unique pour l’ensemble des matériels de stockage et/ou par secteur
d’activité.
Pour ce qui concerne les équipements de stockage à froid ventilé (idem CRR), l’arrêt de la ventilation devra être effectif à
l’ouverture des portes.
Les angles de cuve seront arrondis (respect de la norme H.A.).
La réfrigération sera assurée par un groupe frigorifique de type hermétique, monté sur rails coulissants pour les
équipements de distribution, pouvant fonctionner dans une ambiance de 43°C avec un gaz frigorigène conforme à la
réglementation en vigueur.
Le niveau acoustique des groupes frigorifiques des matériels, suivant leur localisation, ne devra pas dépasser les valeurs
prescrites au présent CCTP. Dans le cas contraire, l’entreprise devra déporter ceux-ci et prévoir les réservations
nécessaires dès la phase de préparation de chantier.

La détente sera assurée par détendeur thermostatique.

Les évaporateurs seront de type ventilé, traités époxy contre les acides.
Les eaux de condensation seront récupérées et reévaporées par gaz chauds ou par résistance électrique de faible puissance
(alimentée indépendamment du fonctionnement du groupe frigorifique) dans un bac de capacité adaptée, incorporé dans
chaque équipement.
Le dégivrage sera autonome, programmé par une horloge incluse dans chaque matériel et réglée afin que les périodes d'arrêt
des équipements ne se fassent pas pendant les heures de fonctionnement du service.
La régulation et l’affichage de température se feront par système électronique.
Les équipements de stockage (armoires, réserves, CRR, …) seront équipés de grilles inox ; la quantité sera fonction du
nombre de niveaux. Les niveaux de stockage auront un pas minimum de 60mm.
Les équipements de stockage à température négative seront équipés d’enregistreur de température électronique (incorporé
en façade du matériel).
24.2 Equipements de distribution
Le matériel de self-service sera de fabrication inox AISI 304, les plateaux supérieurs seront d'épaisseur 20/10 ; bord tombé
de 45mm et rayonnés R=l5mm, finition polymiroir.
Les cuves des meubles réfrigérés seront aux dimensions gastronormes, décaissées, suivant les prescriptions particulières,
de 40mm (froid statique) pentées de l'arrière sur l'avant de 15 à 25mm, de 130mm (froid ventilé) ou de 90mm (cuve isolée
non réfrigérée) et entièrement rayonnés avec pointe de diamant et vidange. L’isolation thermique se fera par mousse
polyuréthane sans CFC, d’une épaisseur minimale de 40mm.
Suivant les prescriptions particulières, les meubles de présentation froids et neutres devront être équipés d’une
superstructure en verre à un niveau : tubes ronds, embases arrondies, étagère en verre bombé formant un niveau servant
de pare-haleine de mi-hauteur.
Quand les meubles seront équipés de réserves réfrigérées, celles-ci seront de capacité GN2/1 avec portes grilles inox 5
niveaux GN2/1 suspendues au plafond et facilement amovible (largeur d’entrée 530mm), l'évaporateur sera de type ventilé
double flux avec détendeur et tube sécheur.
La prise d’air permettant la ventilation du groupe frigorifique ne doit pas être réalisée en façade des matériels. (Privilégier les
aérations sur les côtés pour les meubles de distribution)
Quand les meubles seront équipés d’une vitrine réfrigérée, celle-ci aura :
- Régulation et affichage digital de la température propre à la vitrine.
- Température réglable de +1 à +10°C.
- 3 niveaux de grilles GN2/1 (entrée 530mm) équipés de pare-haleine.
- Parois latérales double vitrage, vitrage extérieur en verre trempé.
- Evaporateur traité anticorrosion, ventilé par ensemble de turbines tangentielles.
- Fermeture par rideau thermique avec enrouleur automatique coté client et rideau thermique transparent avec
enrouleur automatique coté service, ou deux portes coulissantes suspendues.
Pour les meubles chauds bains-marie (à eau ou à air), équipés ou non d'étuve, la cuve sera entièrement rayonnée ; le corps
de chauffe sera situé à l'extérieur de l'enceinte afin de faciliter le nettoyage ; l’isolation thermique se fera par laine de roche
d’une épaisseur minimale de 30mm. Le système de chauffe pourra suivant les prescriptions particulières être de type
« convection forcée ou naturelle ».
La régulation se fera par thermostat avec voyant de contrôle.
Dans le cas des bains-marie à eau, le remplissage de la cuve sera automatique par électrovanne ; le contrôle se fera par
sonde électronique ; la vidange sera assurée par une bonde avec trop plein de diamètre suffisant
Ces meubles seront équipés de barrettes amovibles de séparation de bacs et de couvercles inox GN1/1 (le nombre sera
fonction de la capacité en bac GN1/1 des meubles).
Dans le cas de meubles vitro céramique, les dessus chauffants de maintien en température, seront décaissés de 50mm ; le
système de rehausse est proscrit.

Les régulations des plaques s'effectueront par groupe de 2 plaques GN1/1.

Une tablette repose assiettes sera positionnée à l'arrière du meuble chaud en prolongement du dessus (décaissé), la largeur
devra permettre la dépose d'une assiette de 23cm (minimum 20cm).
Celle-ci devra faire pièce unique avec le dessus.
Quand les meubles seront équipés d’étuves, celles-ci seront équipées d’une étagère intermédiaire et de portes coulissantes
tout inox isolées et doublées, et suspendues sur rail inox. Leur régulation sera séparée de celle du dessus.
Tous les équipements de maintien en température doivent avoir des cuves à angles arrondis (respect de la norme H.A.).
Suivant les prescriptions particulières les meubles chauds devront posséder une structure supérieure chauffante : tubes
ronds, embases arrondies, pare-haleine en verre toute hauteur, isolation thermique haute température de type « Karlane »
ou similaire, chauffage assuré par système céramique ou quartz éclairant avec régulation indépendante située sur le meuble
avec les autres commandes.
Les étagères présentoirs mono colonnettes posséderont une rampe chauffante de type céramique ou quartz éclairant.
Suivant les fiches techniques, les meubles chauds seront équipés de prises de courant encastrées, étanches de 240V+T,
protégées par disjoncteurs 30mA (un par prise) et répondants aux normes en vigueur.
Les façades seront en habillage stratifié couleur au choix du maître d'ouvrage ou maître d’œuvre.
Les panneaux de stratifiés utilisés seront de qualité « E1 » à faible taux de formaldéhyde.

Les meubles auront un habillage de façade descendant à 20mm du sol ; le champ du bas du panneau sera protégé par un
profilé U en inox brossé.
Les équipements de la ligne de self devront être solidaires entre eux avec un minimum de pieds (empattement minimal :
700mm ; réalisation de platines inox avec un seul pied réglable et fixées sur les équipements côte à côte).
Les rampes à plateaux seront en tubes inox Ø30mm minimum et posséderont des crosses à chaque extrémité ou en cas
d’impossibilité être obturés en bout (rampe unique dans le cas où plusieurs meubles de self seraient assemblés entre eux).
Les meubles centraux ou isolés (îlot), seront équipés d’une rampe à plateaux sur toute leur périphérie et devront être habillés
latéralement en panneaux stratifiés.
La hauteur de rampe sera compatible pour un accès aux personnes à mobilité réduite.
Les alimentations électriques seront réalisées par le faux-plafond. Elles descendront dans une goulotte ou un tube inox
adapté en fourniture et pose au présent lot.
Une attention particulière sera apportée sur la finition et l’esthétique de cette dernière.
La norme NF sera exigée pour tous les meubles standards et respectée pour la fabrication des meubles sur mesure ; les
étuves et les réserves réfrigérées devront aussi remplir cette règle. Le matériel devra répondre à la norme CE.
Un manuel technique et d'entretien sera fourni avec chaque appareil.
Dans le cas de présence de contraintes architecturales dans la ligne de self (poteaux, …) la prestation comprendra toutes
suggestions de finition et d’étanchéité de ces contraintes. (Habillage inox, …).
24.3 Chaudronnerie ; matériels inox
Sauf indication contraire sur la fiche technique, le système de mobilité de matériel devra être respecté.
Les dessus des matériels (plans de travail, étagères, bacs, …) seront d'une épaisseur minimale de 15/10ème, bords tombés
de 45mm et contre pli de 10 renforcé par panneau hydrofuge.
Quand les matériels ne posséderont pas d'étagère basse, les piétements seront renforcés par une traverse basse soudée
reprenant la rigidité des pieds ronds ; cette traverse sera de même nature que les piétements ou de diamètre inférieur si la
fabrication peut le permettre, (3 côtés sauf la façade pour matériels adossés ; 2 cotés latéraux + renfort central pour tables
mobiles).
Les angles des tables et plonges seront soudés et rayonnés quand la disposition le permettra.
Les plonges, tables ou meubles munis de bac(s) seront habillées des quatre faces par un bandeau cache cuve. La partie
arrière pourra être démontable suivant conception du matériel.

Les plonges ou tables avec bac, équipées de robinetterie avec douchette et disposées sous un
châssis vitré, devront être mises en œuvre en incluant une barre inox verticale permettant la
fixation de la colonne de douchette. Cette barre inox sera réalisée grâce à un plat inox en 20/10ème
d’épaisseur représentant un « Oméga » et fixée de part et d’autre du châssis vitré au moyen de
vis inox appropriées.
Les trous vide-déchets seront automatiquement équipés d’une collerette caoutchouc amovible et encastrés dans la table
d'un diamètre minimum de 200 mm (pas de gêne pour le passage des casiers).
Les tiroirs équipant les meubles seront tout inox, de dimensions GN1/1, livrés avec bac inox GN1/1 amovible et devront être :
- Montés sur glissières inox double extension dans le cas où le tiroir s’ouvre sur la largeur 325mm.
- Montés sur glissières inox télescopique dans le cas où le tiroir s’ouvre sur la largeur 530mm.
Les dosserets seront obturés sur les côtés et sur l'arrière et auront les dimensions minimales suivantes : 100x20mm.
Les dosserets des matériels contigus seront, autant que possible, identiques.
Dans le cas où un lave-mains serait implanté sous un châssis vitré, cet équipement devra ou pourra être dispensé de
dosseret. En aucun cas un dosseret ne devra être superposé à un cadre d’un châssis vitré.
Tous les équipements de rangement ou de stockage (matériels neutres en inox ou non) ayant des dessus à une hauteur
supérieure à 1,60m, devront avoir leurs dessus pentés.
Les panneaux de doublage bois sont acceptés toutefois ceux-ci devront avoir subi un traitement hydrofuge et la fabrication
devra les en cloisonnés dans le châssis inox. En aucun cas (dans une position normale) le panneau de doublage ne doit être
visible et en contact avec les denrées ou l’eau.
Pour les matériels fixes, les piétements seront ronds, munis de vérins de réglage en inox (éventuellement en matériau
inoxydable après accord de la maîtrise d’œuvre) avec un pas de vis non apparent.
Les équipements de stockage (échelle, réserves, …) seront équipés de grilles inox ; la quantité sera fonction du nombre de
niveaux. Les niveaux de stockage auront un pas minimum de 60mm.
Toutes les vis et tous les boulons seront en acier inoxydable ; les têtes de vis seront parfaitement arasées pour éviter
l'accumulation de graisses ou l'accrochage des chiffons (l’utilisation d’écrous borgnes est ici fortement conseillée).
Les vis inox à tête bombées et empreinte plate ne seront utilisées qu'en cas de nécessité de démontage (cas de structure
d’alimentation des fluides).
Pour tous les meubles et matériels fixes, adossés ou équipés d'un dosseret, l'entreprise prévoira un joint silicone
correctement lissé entre le matériel et le support. Tous les matériels fixes (principalement les éléments de cuisson) devront
être correctement finis par rapport aux parois sur lesquelles ils viendront s’adosser (murs arrière et de côté) : mise en place
systématique de dosseret, trappes d’accès (pour les servitudes fluides) ou de barre de finition inox, sur les parties
horizontales et verticales.
En sortie de machine à laver à avancement, tous les équipements (table à rouleaux, virage etc ...) devront être équipés de 5
rouleaux inox minimum.
Tous les caniveaux de sol seront en inox AISI 304.
Suivant le revêtement de sol réalisé (traditionnel : carrelage, résine, … ou sol souple) les caniveaux de sol pourront être,
soit monoblocs, soit télescopiques ; le choix devra être validé par la Maîtrise d’œuvre.
Le titulaire du présent lot prévoira, dans son offre, de rallonger si nécessaire la partie télescopique ou la partie
« raccordement » des caniveaux (à adapter selon les épaisseurs de chapes et de dalle).

Tous les caniveaux de sol et en particulier les caniveaux télescopiques, devront répondre au descriptif suivant (dans le cas
de caniveaux monobloc, les parties 1 et 2 sont regroupées en une seule) :
- 1ère partie :
o Cuve arrondie, angles arrondis, Ø maximum 220mm, servant de siphon. En partie haute de cette cuve,
une platine largeur 130mm minimum permettra, le cas échéant, d’assurer la reprise d’étanchéité. Cette
platine devra s’appuyer sur la dalle béton.
o Sortie horizontale ou verticale suivant configuration de Ø100 ou 110mm. Cette cuve devra assurer une
garde d’eau permanente (pas de possibilité de vider la cuve dans la canalisation) ou disposer d’un
système de siphon inversé. L’évacuation du caniveau sera protégée en partie haute par une tôle
perforée (conforme à la réglementation en vigueur), interdisant l’envoi de déchets dans les
canalisations (en partie basse si présence d’un siphon inversé) SAUF DANS LE CAS DE RESEAUX
D’EVACUATION NON ACCESSIBLES.
- 2ème partie :
o Fond de cuve du caniveau, assurant la partie haute du siphon cloche. Réglable en hauteur et adaptée
à la hauteur de chape du projet (à voir lors de la synthèse pendant la phase de préparation de chantier).
Partie supérieure recevant la grille caillebotis et adaptée au revêtement de sol. Un joint spécifique sera
également mis en place entre cette partie de caniveau et la platine d’étanchéité.
- 3ème partie :
o Fournir filtre et cloche avec anse de manutention et adaptés au fond de cuve, ainsi qu’une ou deux
grilles caillebotis à maille crantée suivant dimensions des caniveaux.
24.3.1 Hottes de ventilation

Construction entièrement inox 18/10 (sauf dessus et arrière, possibilité tôles galvanisées).
Bandeau périphérique supérieur d’habillage inox depuis le dessus des capteurs et remontant jusqu’à 5cm au-dessus du faux-
plafond. Ce bandeau devra reprendre le même découpage que celui de la hotte.
Plénum de répartition et volets de réglage.
Dans le cas où la hotte serait accolée à un mur, le titulaire du présent lot devra prévoir l’obturation du vide, ainsi que le retour
de la plaque de protection murale en inox. De même, dans le cas où un poteau serait intégré dans la hotte celui-ci prévoira
un habillage total du poteau horizontalement et verticalement en inox 18/10 d’épaisseur 15/10 ème.
Les hottes devront s’adapter à la hauteur hors tout des matériels installés dessous et avoir le bas de celles-ci à 2m du sol
fini. Dans certains cas le bas des hottes pourra être aligné avec les bâtis de porte ou châssis vitrés. Les débits devront être
adaptés à la hauteur finie des hottes déterminée en synthèse entre le lot CVC et le lot équipements de restauration.
Elles seront suivant les prescriptions particulières : simple flux, à induction ou triple flux.
Cuisson :
Hotte simple flux pour les fours de remise en température.
Luminaires spéciaux haute température (uniquement partie « cuisson »), encastrés, étanches avec verre blindé, tubes T5
haute efficacité 2x28W tous les 2ml.
Volume utile de captation :
- 30cm par rapport à l’avant des fourneaux au minimum.
- 50cm par rapport à l’avant des fours au minimum.
- 20cm par rapport aux côtés des appareils au minimum.
Filtres à chocs et plaques d’obturation inox 18/10 (suivant besoins et implantation des équipements de cuisson) facilement
démontables et pouvant passer en machine à laver ; goulottes de récupération de condensats et graisses.
Laverie :
Hotte spéciale laverie, filtres à chocs ou filtres spécifiques sur la face avant de la hotte ; récupération des condensats par
ruissellement.
Volume utile de captation :
- 40cm utile au minimum par rapport à l’emprise d’une machine à laver à capot.

24.4 Matériels de cuisson
Sauf indication contraire ou détail sur les fiches techniques et plans de principe tout le matériel de cuisson sera mobile (sauf
les fours et autre matériel dont la manipulation s'avérerait dangereuse).
Le principe défini ci-dessous concerne les niveaux qualitatifs généraux des gammes de cuisson de profondeur 1000, 900,
800, 700, friteuse ou groupe friturier, cuisson indépendante, détaillé également par les fiches techniques de chaque appareil.
Les équipements fixes de l’ensemble de cuisson devront être solidaires entre eux avec un minimum de pieds (empattement
minimal : 700mm ; réalisation de platines inox avec un seul pied réglable et fixées sur les équipements côte à côte).
Dans le cas où des matériels de cuisson seraient accolés, ceux-ci devront être solidaires entre eux et ne comporter que 4
roulettes (possibilité de châssis inox) ; regroupement des équipements selon plan d’aménagement cuisine.
La gamme de finition des éléments neutres sera identique aux équipements environnants.
Détail de fabrication (à minima) :

- Construction entièrement en inox AISI 304 ; toutefois, et à titre exceptionnel, l’utilisation d’un autre acier
inoxydable sera toléré pour tout élément de finition ou de jonction demandant une dilatation particulière.
- Piétements équipés d’au moins 4 roulettes pivotantes. La mobilité des équipements ne devra pas
occasionner de risque de basculement pendant la manutention (regroupement éventuel, après accord de
la maîtrise d’œuvre, de plusieurs éléments).
- L’arrière de ces matériels devra être fermé par une tôle inox de même caractéristique que celle de
l’habillage.
- Aucune vis apparente.
- Buttoirs non traçant (quand le matériel de cuisson sera adossé à un portique de distribution de fluides, ces
butoirs devront être en inox, un schéma de principe et un échantillon devra être fourni pour approbation).
- Cordon d'alimentation électrique avec fiche mâle et femelle à fournir et à mettre en place (conforme aux
règles de sécurité en cours, le matériel devra être soumis au bureau de contrôle pour approbation).
- Câble de sécurité et mousqueton inox d'accrochage.
- Cf. : « Raccordement » et « Mobilité » des équipements repris ci-après.
Un écran thermique de 3cm d’épaisseur devra être prévu sur toute la longueur de l’ensemble de cuisson et jusque sous la
hotte (parement en inox 18/10 ; ép. 10/10ème ; âme en laine de roche (140kg/m3 et conductivité thermique de 0,042W/m°C)).
Cet écran thermique doit éviter toute déformation ou dégradation du revêtement mural en le protégeant d’une trop forte
élévation de température.
L'isolation thermique devra être assurée par un matériau imputrescible et hydrofuge, tel que laine de roche de 60mm à partir
de panneaux ou coquilles semi-rigides exclusivement.
La laine en vrac, quel que soit son mode de pose, est proscrite.
Les chambres de combustion en tôle seront protégées par des garnissages en matériaux réfractaires haute température.
Les bâtis des appareils auront une inertie suffisante pour assurer une rigidité satisfaisante des ensembles. En particulier,
une masse équivalente à 2 fois la masse de l'appareil en charge maximum, répartie uniformément sur la partie supérieure
de l'appareil ne devra conduire à aucune déformation permanente.
Tous les appareils fonctionnant à l'électricité seront munis d'une lampe témoin par élément chauffant. Les matériels et
équipements de cuisson (gaz ou électrique) mis en place devront être équipés de leur protection :
- Thermique : contre les risques de surcharge (moteurs), les réglages seront particulièrement soignés.
- Magnétique : contre les risques de courts circuits.
Ces protections seront adaptées à la puissance des équipements (résistances).
Tous les équipements de cuisson devront être équipés de thermostat de sécurité.

Les équipements de cuisson (fours de remise en température…) seront équipés de grilles inox ; la quantité sera fonction du
nombre de niveaux. Pour les fours, l’espace entre les niveaux devra respecter un pas de 65mm minimum.
Les fours mixtes seront livrés avec une dotation de :
- 1 chariot d’approche + 1 chargeur supplémentaire ou 1 chariot supplémentaire (20 niv.).
- Autant de bacs GN1/1 ou GN2/1 profondeur 55 pleins que de niveaux.
- Autant de bacs GN1/1 ou GN2/1 profondeur 55 perforés que de niveaux.
- Autant de bacs GN1/1 ou GN2/1 profondeur 100 perforés que de niveaux.
- Autant de plaques pâtissières, tôle noire, GN1/1 ou GN2/1 que de niveaux
Les matériels mis en place dans la zone cuisson auront un niveau acoustique inférieur à 65dB(A).
D'une manière générale, les caractéristiques phoniques des installations seront étudiées et réalisées de manière à ne pas
engendrer de vibrations. Ces installations ne devront pas transmettre aux parois et éléments d'équipement des locaux des
vibrations repérables.
24.5 Laverie
Chaque machine à laver la vaisselle sera dotée d’un nombre de casiers (à assiettes, verres, couverts, plateaux en
polypropylène et empilables, répartition suivant demande utilisateurs) dépendant de la longueur de celle-ci et de son
environnement à casiers (nombre de casier = longueur cumulée x 2).
Les casiers vaisselle devront être d’une marque recommandée par le fabricant de la machine à laver.
Les machines à laver devront disposer d’un minimum de pieds (empattement minimal : 700mm ; réalisation de platines inox
avec un seul pied réglable et fixées sur le châssis si nécessaire).
24.5.1 Machine à laver à capot

Les caractéristiques techniques de chaque matériel seront spécifiées sur la fiche technique.
25. RACCORDEMENT DES EQUIPEMENTS
25.1 Électricité
Le titulaire du présent lot aura à sa charge les raccordements des appareils en direct, sur les réservations (boite de
raccordement, câble en attente ou sur PC) demandées au titulaire du lot « électricité ».
Seuls les terminaux électriques équipant les structures de fluides seront en fourniture et pose du présent lot après approbation
du bureau de contrôle.
25.1.2 Les raccords

- Câbles souples type HO7RN-F ou U 1000 RO 2V
- Tous les appareils électriques (mobiles) alimentés en 240 V MONO, 400V TRI+T ou 400V TRI+T+N sont à
livrer avec leur fiche, adaptable aux PC étanches mis en attente par le lot Electricité.
- Le raccordement des matériels de grosse puissance électrique devra se faire, avec l’accord du bureau de
contrôle, au moyen d’un coffret de raccordement inox équipé d’un PE (description ci-après).
25.1.3 Mise à la terre des installations

L'entreprise assurera en coordination avec le titulaire du lot « électricité », la liaison pour mise à la terre de toutes ses
installations.

25.2 Plomberie
Les alimentations en eau froide et chaude seront laissées en attente à chaque point d'utilisation sur le type de raccord
demandé par le titulaire du présent lot et fourni par le titulaire du lot « plomberie ».
Le raccordement par flexibles aux couleurs conventionnelles à partir de ces attentes est à la charge du preneur.
Les finitions de ces raccordements seront réalisées soit par coffret de raccordement rapide, soit par plaque inox, soit tout
simplement par rosace de finition ou toutes sujétions équivalentes.
25.2.2 Coffret de raccordement

Coffrets destinés à la distribution d'eau sanitaire EFD, EFA, ECA (éventuellement électricité et gaz).
Ces coffrets fournis par le présent lot seront réalisés en acier inoxydable 18/10, épaisseur 15/10ème suivant description ci-
après et croquis éventuel du bureau d’études. Suivant le nombre de raccordement ils auront un, deux ou trois trous de
raccordement. Tous les matériels de cuisine nécessitant l’eau comme fluide pourront en être équipés.
La finition sera particulièrement soignée, finition des angles, ponçage, ébavurage, etc...
Ces coffrets seront fixés par 4 vis inox après accord du bureau d’études. L'ensemble sera posé et raccordé par l'adjudicataire
du présent lot.
Le repérage de chaque raccord, en fonction du fluide distribué, sera effectué sur le coffret par l’utilisation de bagues de
couleur (bleu, rouge, vert, …).
Nomenclature :
- Coffret tôle inox 18/10, épaisseur 15/10 ème, suivant
photos ci-après.
- Le coffret sera équipé de 1, 2 ou 3 raccords à la charge du
présent lot, soit de type raccords laiton à visser soit de type
raccord rapide avec clef suivant la mobilité du matériel.
25.2.3 Raccord rapide

Ces raccords seront utilisés à chaque fois qu’un équipement mobile devra être raccordé à un réseau d’eau ou lorsque les
boîtiers de raccordement (ci-dessus décrit) seront mis en œuvre.
Nomenclature :
- Double obturation.
- Utilisation de raccord spécifique pour traversées de cloison.
- Matière série ic.
- Joint standard pour eau chaude ou froide.
- Joint fluorocarbonne (fpm) pour la distribution de produit lessiviel.
- Raccord à encastrer pour tuyaux caoutchouc.
- Disque de couleur pour identifier le fluide (bleu, rouge, vert, …).
- Eventuellement clefs serrures de sécurité.
- EFD : (éventuellement code 6) couleur bleue.
- ECS : (éventuellement code 3) couleur rouge.
- EFA : (éventuellement code 45) couleur verte.
- ECA 7°TH : (éventuellement code 15) couleur violet.
- ECS+PL : (éventuellement code 9) couleur inox ou noire.
L’embout de raccordement sera couplé avec un clapet anti-retour.
La couleur des disques enjoliveurs sera en correspondance avec le code couleur des clefs.
Sertissage par collier de serrage inox à oreille type CL.
Particularité : pour les coffrets de raccordement rapide des postes de désinfection alimentés par un réseau de produit
lessiviel centralisé, les raccords rapides ne devront pas comporter de clefs pour permettre le branchement du flexible sur l’un
ou l’autre des raccords.
Un ensemble complet sera fourni, comme échantillon, à la Maîtrise d’Œuvre, dès la phase de préparation de chantier.

25.2.4 Plaques inox de sortie plomberie

En ce qui concerne la pose des robinetteries murales (fourniture et pose au présent lot) installées sur les cloisons isothermes
et dans le cas où les rosaces de finition ne satisferaient pas le bureau d’études, l’entreprise fournira des platines inox
(250x200mm), percées suivant l’entraxe de robinetterie. Les bords de ces platines seront légèrement incurvés de manière à
avoir une applique parfaite sur la cloison sans que la pose nécessite un joint en silicone ; la finition sera particulièrement
soignée, finition des angles, ponçage, ébavurage, etc...; ces platines seront fixées par 4 vis inox après accord du bureau
d’études.
- Néanmoins, à chaque fois que ceci sera possible, le titulaire du présent lot fixera les robinetteries à l’aide
de bobines spécifiques aux traversées de cloisons et, réalisera la finition à l’aide de rosace inox.
- Dès la phase de préparation, les entreprises du lot « plomberie » et du présent lot, proposeront au bureau
d’études la solution la mieux adaptée et satisfaisante à la maîtrise d’œuvre.
Tous les percements de cloisons dus à l’alimentation en eau des équipements de cuisine devront être réalisés sur le même
principe de finition (rosaces ou plaques inox, …).
25.2.5 Robinetterie
ROBINETTERIE GAMME GRANDE CUISINE, suivant les prescriptions ci-dessous :
- Débit à respecter sous 3 bars :
o Robinetterie murale gros débits 100 litres/mn minimum.
o Robinetterie mélangeuse 40 litres/mn minimum.
o Douchette 15 litres/mn minimum.
o Robinetterie mélangeuse avec douchette :
 Robinetterie : 40 litres/mn minimum.
 Douchette : 15 litres/mn minimum.
o Douchette automatique 15 litres/mn minimum.
- La douchette doit pouvoir fonctionner en même temps que la robinetterie.
- Construction en épaisseur de tube minimum de 1,5mm.
- Manettes de commandes à préhension aisée, tête à clapets à rampe hélicoïdale pour ouverture quart de
tour.
- Sièges de clapets interchangeables.
- Clapets anti-retour. Ces derniers pourront selon le type de robinetterie être installés en amont de la
robinetterie au niveau du réseau.
- Rosace de finition.
- Pour douchettes :
o Colonne en barre creuse, en laiton chromé, épaisseur 4mm.
o Flexible alimentaire résistant à une température de 90°C.
o Pression d’ouverture 15 bars (2 raccords tournant intégrés, évitant de vriller le flexible).
o Ressort de guidage en acier inox.
25.2.6 Flexibles d’alimentation en eau

Les raccordements seront réalisés par flexibles armés haute pression.
Les diamètres ou débits seront en correspondance avec le matériel alimenté.
Les flexibles en position raccordée, l'appareil étant en position de travail (butées contre le mur), ne devront pas toucher le
sol (garde au sol de 10cm). L'installateur déterminera la longueur du flexible en fonction des hauteurs de l'attente murale et
du point d'alimentation sur l'appareil, celle-ci devant être réalisée le plus haut possible à l’arrière de celui-ci. Il tiendra compte
du déplacement nécessaire de l'appareil de façon à pouvoir le débrancher facilement ou encore à pouvoir nettoyer son
emprise au sol sans à avoir à le débrancher.
Les extrémités des flexibles seront serties avec embouts (les colliers de serrage coupants sont proscrits) et pourront être
munies d'une poignée améliorant la manipulation.

Les flexibles comporteront au minimum un manchon thermo-rétractable de la couleur conventionnelle d'alimentation (même
couleur que les bagues des raccords rapides) au cas où le flexible ne serait pas initialement dans la bonne couleur. Un
échantillon sera proposé au bureau d’études et au Maître d'Ouvrage pour accord.
- Bleu = EFD.
- Rouge = ECS.
- Vert = EFA.
- Violet = ECA 7°TH.
- Noir ou inox = ECS+PL.
Dans le cas où un matériel mobile disposerait de plusieurs flexibles (EFD, ECS et GAZ), ceux-ci seront maintenus solidaires
entre eux sur une longueur suffisante permettant de les raccorder aisément.
L'installateur s'assurera que le flexible proposé est compatible aux températures, pressions, eau adoucie et eau destinée à
la consommation.
Les alimentations en eau, propre à chaque appareil, devront être situées dans la partie supérieure de leur façade arrière.
Ces alimentations solidaires de l’appareil et obligatoirement rigides (résistantes aux chocs) auront leur extrémité orientée
vers le bas pour permettre un raccordement correct des flexibles. Le boîtier de raccordement ci-dessus décrit pourra être
employé et fixé à l’arrière des équipements.
25.3 Vidange
Les réseaux d'évacuation, au-dessus de la dalle du niveau concerné et directement liés à l'implantation du matériel seront
fournis par le titulaire du présent lot.
Tous les écoulements, sauf les écoulements directs sur caniveaux de sol, doivent être siphonnés par l'installateur.
Les caniveaux de sol, en attente sous plonge ou matériels adossés, doivent être implantés (sauf contraintes constructives)
à 25cm des murs de cloisons.
25.3.2 Les raccords

Évacuation sur attente tamponnée (non siphonnée) :
L’adjudicataire du présent lot aura à sa charge la pose d'un siphon démontable (1 par appareil), le piquage étanche à l'eau
et aux odeurs en PVC ou cuivre peint sur l'attente à tamponnée.
Disconnection :
Les écoulements des matériels en contacts directs avec les aliments non protégés par un conditionnement (éplucheuse,
fours, fours vapeur, bain-marie, cellule de refroidissement, fontaines, self, …etc.) seront de type « disconnectés » de façon
à éviter toute contamination par refoulement. Le raccordement sera réalisé soit sur caniveau, soit sur entonnoir siphonné à
la charge du présent lot.
Évacuation sur caniveau de sol :

Les appareils mobiles et certains appareils fixes peuvent être évacués sur caniveaux de sol inox.
L'appareil devra être installé à sa position de travail par rapport au siphon (utiliser des coudes si nécessaire de façon à éviter
les projections horizontales hors du siphon).
Ces écoulements Ø40mm en inox (extrémité coupée en biseau) devront laisser 5cm libres au-dessus du caniveau de façon
à autoriser les manipulations de grille et panier à cloche sans avoir à déplacer l'appareil dont l'écoulement est solidaire.
L'écoulement sera solidement fixé à l'appareil. Dans tous les cas, ces installations autoriseront un déplacement facile de
l'appareil mobile concerné ou des appareils voisins.

Particularités des plonges :

Quel que soit les plonges 1 bac, 2 bacs, avec ou sans égouttoir, table avec bac, etc., la vidange des cuves de Ø40mm en
inox se fera obligatoirement sur l’arrière de celles-ci.
Les vidanges des plonges et tables du chef devront être axées par rapport aux caniveaux de sols prévus à cet effet et
posséder des vannes d'arrêt à clapet d’évacuation manœuvrable par levier rotatif courbe, facilitant une évacuation d’eau
rapide (Type Camloc).
Le système de trop plein en inox devra être raccordé sur le corps même de la vanne d'arrêt.
La poignée de commande de ces vannes devra obligatoirement se trouver à l'aplomb du bandeau avant cache cuve et être
facilement accessible par le personnel utilisateur.
L'accès aux commandes des vannes ne sera pas gêné par la face inox cache cuve.
Les vannes des plonges seront ouvertes verticalement en bas et fermées horizontalement ; dans le cas d'une plonge deux
bacs juxtaposés, la vanne du bac de gauche se fermera vers la gauche et celle du bac de droite vers la droite.
Dans le cas de plonges munies de plusieurs bacs, les tuyaux de vidange seront regroupés en un point de vidange unique
après les vannes d’arrêt. La liaison des tubes devra être soudée.
Si le caniveau était trop éloigné du mur pour que l'écoulement ne puisse être réalisé parfaitement vertical, l'installateur aura
la charge (après en avoir averti le bureau d’études) de prolonger les butées arrières de la plonge de façon à retrouver l'aplomb
parfait avec le caniveau.
26. MOBILITE DES EQUIPEMENTS
Certains des équipements proposés seront, dans les limites reprises aux descriptifs matériels, de types mobiles. Ce choix
résulte de différents facteurs et principalement de la facilité d'entretien.
L'installateur s'assurera que chaque appareil rendu mobile comporte des protections, des poignées de tirage et kit de retenue
nécessaires à son propre bon vieillissement, ainsi que celui de son environnement.
26.1 Roulettes
D'une manière générale, la mobilité du matériel sera rendue possible par l'adjonction de roulettes sous les piétements en
fonction du type de matériel.
En cas de risque de basculement de certains équipements mobiles, après accord de la maîtrise d’œuvre, il pourra être
envisagé de mettre en place une combinaison de roulettes fixes et mobiles.
26.1.1 Roulettes pour charges lourdes (matériels de cuisson, armoires froides, support de four,… etc.)
- Capacité de charge de 150 à 400kg.
- Diamètre 125mm (sauf spécification particulière).
- Construction entièrement en acier inoxydable AISI 304.
- Monture en tôle d’acier inoxydable emboutie.
- Pivotement sur deux couronnes de billes en acier inoxydable, graissées et protégées par un joint.
- Roue monobloc en polyamide blanc.
- Alésage lisse et axe inox démontable et boulonné.
- Frein réglable double action sur roue et pivotement.
Les matériels dits lourds, seront équipés de 4 roulettes, dont les 2 avants avec frein.
Les roulettes seront dimensionnées en nombre suffisant de façon à tenir compte des charges admissibles provoquées par
l'appareil ou les appareils à supporter ; d'un usage intensif, ainsi que d'un stationnement prolongé (déformation).

26.1.2 Roulettes pour autres matériels (tables, plonges, petits meubles, … etc.)
- Capacité de charge de 70 à 80kg.
- Diamètre 125mm (sauf spécification particulière).
- Construction entièrement en acier inoxydable AISI 304.
- Monture en tôle d’acier inoxydable emboutie.
- Pivotement sur deux couronnes de billes en acier inoxydable, graissées et protégées par un joint.
- Corps de roue en polypropylène copolymère gris.
- Bandage plein en caoutchouc thermoplastique de couleur non tachant adhérisé sur le corps de roue.
- Alésage lisse et axe inox démontable et boulonné.
- Frein réglable double action sur roue et pivotement.
- Pédale et lame de frein en acier inoxydable.
- Les couleurs des bandages seront identiques par catégorie ou par local suivant décision du Maître
d’Ouvrage.
- Les roulettes seront équipées de butoirs antichocs.
Dans le cas où les matériels devront se déplacer sous les hottes ou sous les passages de portes, le diamètre des roulettes
sera adapté à la hauteur hors tout de ces contraintes (diamètre minimum des roulettes de 80mm).
26.2 Butées et pare chocs
Tous les appareils mobiles doivent comporter des protections.
26.2.1 Butées arrière inox

Les matériels adossés rendus mobiles (équipements froids, cuisson, …) seront équipés de butées en tube inox 18/10 dont
l’extrémité est obturée par un bouchon PVC noir de même section que le tube de butée. Les butées seront soigneusement
soudées sur le châssis ou une partie suffisamment rigide de l’équipement.
Les butées garantiront l’alignement de façade aux équipements juxtaposés (il est conseillé à l’installateur de prévoir des
butées trop longues et de les faire recouper sur place pour éviter toute surprise.
A l’arrière des équipements de cuisson, mettre en place sur les cloisons à (850mm du sol fini), une barre inox (Ø30mm) pour
la protection mécanique des matériels et cloisons.
Les équipements froids et de cuisson seront suffisamment éloignés du mur pour éviter tout écrasement de câble et tout choc
du à une manipulation de l’équipement (ex: basculement de marmite).
26.2.2 Butées arrières caoutchouc

L’ensemble des matériels inox et mobiles devra être équipé de butées réalisées grâce à des pièces de coin et embouts (avec
bouchons obturateurs pour cacher les vis) conçus pour faire des raccordements optimaux sans interruption (matière :
caoutchouc gris clair). Dans le cas précis des tables mobiles et en général pour toutes les plonges, tables adossées, meubles,
etc…, l’entreprise privilégiera des protections annulaires larges de manière à éviter la pose de ces butées caoutchouc au
niveau des plans de travail.
Les tables seront écartées de 2cm du mur.
26.2.3 Pare chocs annulaires ou angulaires

Les équipements de manutention (échelles, chariots à vaisselle et de transports divers) seront équipés de pare chocs
annulaires ou angulaires sur chaque angle. Ces pare chocs seront en matériau amortissant et ne laissant pas de trace.
Ces pare chocs seront disposés de façon à ce qu’aucune partie de l’équipement ne dépasse de ces protections.
Dans le cas précis des tables mobiles et en général pour toutes les plonges, tables adossées, meubles, etc…, l’entreprise
privilégiera des protections annulaires larges de manière à éviter la pose de ces butées caoutchouc au niveau des plans de
travail.

26.3 Kit de retenue
Les équipements mobiles devant être raccordés directement en fluides (eau, gaz et électricité) seront systématiquement
installés avec un « kit de retenue ».
Le kit de retenue tout inox AISI 304 est composé de :

- Un œillet soudé sur platine (angles arrondis) fixé au mur par 4 vis à tête arrondie.
- Un câble aux deux extrémités serties et accroché à l’œillet mural.
- Un mousqueton accroché sur le câble à son extrémité libre.
- Un œillet soudé sur platine (angles arrondis) fixé au matériel par 4 vis à tête arrondie (sur une partie
suffisamment rigide telle que le châssis).
Le câble inox sera plus court que le flexible afin que la traction ne puisse pas détériorer ce dernier.
26.4 Accrochage des câbles et des flexibles
Les équipements mobiles devant être raccordés directement en eau, en gaz ou

en électricité seront systématiquement installés avec un « système d’accrochage
des câbles et des flexibles » (potence inox fixée en partie arrière de l'appareil)
permettant le déplacement de l’appareil sans que les câbles et flexibles ne
puissent gêner les mouvements.
Les flexibles et câbles débranchés des alimentations et mise en place sur le
système d’accrochage ne devront pas toucher le sol. Chaque extrémité de
flexible ou de câble comportera un anneau inox permettant l’accrochage sur la
fourche.
Les systèmes d’accrochage des câbles et flexibles seront réalisés en inox AISI
304.
27. MOBILIER DE SALLE A MANGER
27.1 Descriptif techniques
Les mobiliers de salle devront :

- Participer à l’embellissement de l’espace par leurs qualités esthétiques.
- S’inscrire en cohérence avec l’identité du site et les différents mobiliers.
- Avoir une exigence fonctionnelle (solidité, résistance, poids, confort d’usage, facilité d’entretien et de
remplacement) et esthétique.
- Chaise avec coque de type luge inversée, et de type empilable.
- Etre conformes aux normes en vigueur et applicables aux ERP.
Une salle à manger dédiée aux élémentaires et une seconde dédiée aux maternelles seront créées. Le choix du mobilier
devra permettre de dissocier les deux espaces.
La répartition primaire / maternelle sera de :
- 12 tables maternelles rondes de 8 places : soit 96 places assises.
- 20 tables élémentaires de 4 places et 4 tables élémentaires de 6 places : soit 104 places assises.

27.1.1 Tables basses

- Table basse octogonale de 8 personnes.
- Plateau en stratifié avec cœur en coupage de bois hydrofuge, épaisseur 24mm – Plateau finition
bois, chant assortis.
- Piètement acier ou autres matériaux munis de tampons non traçants et non marquants, couleur et
modèle au choix de la MO.
27.1.2 Chaises
- Piètement acier ou autres matériaux munis de tampons non traçants et non marquants, couleur et
modèle au choix de la MO.
- Confort de l’assise à privilégier.
- Coque de plusieurs types à soumettre au choix de la MO de type luge inversée.
- Répartition 96 chaises maternelles et 104 chaises élémentaires.
28. DIVERS
Une attention particulière est à apporter sur l’accessibilité des meubles de distribution, de salle à manger et de dépose
plateaux aux enfants primaires et maternelles.
L’armoire chaude du meuble chaud en salle à manger maternelle pourra être adaptée en terme de capacité suivant la hauteur
du meuble de distribution chaud.
Les meubles et échelles à plateaux devront être adaptés aux plateaux élèves.
- Maternelles :
 Plateaux compartimentés ; dim 250x210mm.
 Échelles : 350x350 ; hauteur adaptée aux élèves de maternelles et notamment petites sections.
- Primaires :
 Plateaux compartimentés ; dim 530x320mm.
 Échelles : 600x400 ; hauteur adaptée aux élèves élémentaires.
De façon à permettre éventuellement un service assisté sur le meuble self chaud, la rampe côté office sera escamotable et
le pare-haleine facilement démontable sans outil.

ANNEXE 1
ESTIMATIF PUISSANCES/LISTING DES EQUIPEMENTS
21-085 /SA - Septembre 2021

Annexe 1
BE INGECOR Restaurant Scolaire du Groupe scolaire DCE
à Clermont l'Hérault (34) Annexe 1
ELECTRICITE GAZ EAUX

Repère Désignation Etat Qté Alimentation Puiss. P. totale Type Puiss. P. totale Alimentation Ø Vid.
Réception
BA100 Balance électronique 100kg 1 Mono 240 V+T 0,4 0,40 kW PC 1,20m
C200 Caniveau 200x200 2 110mm
DI Désinsectiseur 1 Mono 240V+T 0,1 0,10 kW PC 2,10m
LMR Lave mains réglementaire à commande électronique 1 EF + ECS 40mm
PCS Prise de courant de service monophasé 240V+T H. LOT 2 Mono 240V+T PC 1,20m
PLD Poste de lavage et de désinfection 1
PUM Pupitre mobile 1
RPLD Robinetterie de poste de lavage et de désinfection 1 EF + ECS
SMP Support mobile poubelle 1
Bureau
ETMZM Terminal de gestion et d'enregistrement de température 1 240V + 2RJ 0,2 0,20 kW PC 1,20m
PTB Plan de travail bureau sur mesure (ml) H. MARCHE 2,2
RJ Prise informatique H. LOT 3 Réseau info PC 1,20m
Réserve
AFP1P Armoire froide positive 1 porte 1 Mono 240V+T 0,4 0,40 kW PC 2,10m
RR Rayonnage Réserve (ml) 6
Local entretien
PUIS Poste de puisage + vidoir H. LOT 1 EF + ECS 50mm
RAYRET Rayonnage 4 niveaux avec cuves de rétention 2,5
SBI Support balais inox 1
Chambre froide +
GCFP10 Ensemble frigorifique pour enceinte réfrigérée à t° positive >10 1 Tri 400V+T+N 3,5 3,50 kW En attente 40mm
RCF Rayonnage mobile (ml) 1
SRC Socle rouleur casiers avec rampe de manœuvre 8
Septembre 2021 Lot n°13 : Equipements de Restauration et Cloisonnements Isothermes Page 1 / 4

21-085-SA

Local déchets
CDP330 Conteneur à déchets 330 litres (voirie) H. MARCHE 3
GCFP10 Ensemble frigorifique pour enceinte réfrigérée à t° positive >10 1 Tri 400V+T+N 3,5 3,50 kW En attente 40mm
SBI Support balais inox 1
Déconditionnement
OBM Ouvre boîtes manuel 1
PL12 Plonge 2 bacs 1200mm 1 EF + ECS Sur caniveau
RCF Rayonnage mobile (ml) 1,5
TA10 Table adossée 1000mm 1
Office de remise en température
AFP2P Armoire froide positive 2 portes 1 Mono 240V+T 0,8 0,80 kW PC 2,10m
ASC5 Armoire de stérilisation des couteaux 1 Mono 240 V+T 0,015 0,02 kW PC 2,10m
BALT Balance de table 1 Mono 240 V+T 0,1 0,10 kW PC 1,20m
FRT141/1 Four de remise en température 14 niveaux GN1/1 2 Tri 400 V+T+N 13 26,00 kW Bte. 0,40m EFA
HA Hotte de ventilation adossée (ml) 2 Mono 240 V+T 0,1 0,20 kW Att. Plaf.
MN15 Meuble neutre 1500mm 1
MTAR20 Meuble de travail en ambiance réfrigérée 2000mm 1 Mono 240V+T 1,2 1,20 kW PC 1,20m
PM15 Placard mural 1500mm 1
TA20 Table adossée 2000mm 1
TAB18 Table adossée avec bac 1800mm 1 EF + ECS Sur caniveau
TM18 Table mobile 1800mm 1

21-085-SA

Self / salle à manger / dépose plateaux
085-CCP Chariot de débarrassage 12 plateaux enfantsdi 27
085-HABMCHRT Habillage menuisé chariot (sur-mesure) 1
085-MSC20C Meuble self chaud 2000mm central 1 Tri 400 V+T+N 6 6,00 kW Att. Plaf.
085-MSCVTSVP Meuble self distributeur couverts / verres / plateaux / pains (sur 2
085-MSDS Meuble de salle à manger 5
085-MSSB Meuble self salad'bar 2 Mono 240 V+T 0,5 1,00 kW Att. Plaf. 40mm
085-TTSAM Table de tri en salle à manger enfants 4
ACM1P61/1 Armoire chaude mobile 1 porte 1 Mono 240V+T 0,5 0,50 kW PC 1,20m
CDBM3B Chariot de distribution bain-marie 3 bacs 1 Mono 240 V+T 3,5 3,50 kW PC 1,20m
CHAE Chaise enfant PSE 3 200
CNCP Chariot à niveau constant pour plateaux 2
CPM Conteneur poubelle mobile 12
FR80E Fontaine réfrigérée 80l/h à encastrer 1 Mono 240V+T 0,3 0,30 kW PC 1,20m EF 40mm
TABSAM4 Table de salle à manger 4 places PSE 3 20
TABSAM6 Table de salle à manger 6 places PSE 3 4
TABSAMR8 Table de salle à manger ronde 8 places (maternelles) PSE 3 12
Local ménage
CNPM Chariot de nettoyage (PM) H. MARCHE 1
LAVSOL Autolaveuse 1 Mono 240 V+T 1,5 1,50 kW
PUIS Poste de puisage + vidoir H. LOT 1 EF + ECS 50mm
RAYRET Rayonnage 4 niveaux avec cuves de rétention 1
Stock temporaire
ACM1P1/1 Armoire chaude mobile 1 porte 17 GN1/1 1 Mono 240V+T 3 3,00 kW PC 1,20m
AFPT Armoire froide positive de transfert 15GN2/1 1 Mono 240V+T 0,5 0,50 kW PC 1,80m
AN10 Armoire de rangement 1000x500 1
MNB14-F Meuble neutre avec bac 1400mm 1 EF+ECS 40mm
PM10 Placard mural 1000mm 1

21-085-SA

Laverie
C250G Caniveau 250x250 à grille (ml) 2 110mm
CB Casier batterie (ml) 1,5
CDV Chariot de débarrassage vaisselle 1
CNCP Chariot à niveau constant pour plateaux 3
CNCV Chariot à niveau constant pour casiers à verres 2
CPM Conteneur poubelle mobile 1
EST Etagère de stockage et de triage (ml) 1,2
HASL Hotte de ventilation adossée spéciale laverie 2 Mono 240V+T 0,5 1,00 kW Att. Plaf.
MAL6EF Machine à laver à capot 60 casiers/h 1 Tri 400 V+T+N 10 10,00 kW Bte. 0,40m EFA Sur caniveau
PL20 Plonge 2 bacs 1 égouttoir 2000mm 1 EF + ECS Sur caniveau
SR Socle rouleur casiers H. MARCHE 3
TEMBS+TVO Table d'entrée machine avec bac suivant plan et TVO (ml) 1,6 EF + ECS Sur caniveau
TSMRV Table de sortie machine à rouleaux ventilée (ml) 1,6 Sur caniveau
Vestiaires-Sanitaires Hommes
AVSB Armoire vestiaire sans banc sur piètement 3
C200S Caniveau 200x200 spécial 1 110mm
LMRM Lave mains réglementaire à commande électronique avec miroi 1 EF + ECS 40mm
SS Siphon de sol douche 1 50mm
Vestiaires-Sanitaires Femmes
AVSB Armoire vestiaire sans banc sur piètement 3
C200S Caniveau 200x200 spécial 1 110mm
LMRM Lave mains réglementaire à commande électronique avec miroi 1 EF + ECS 40mm
SS Siphon de sol douche 1 50mm

21-085-SA
ANNEXE 2
DESCRIPTIF DES EQUIPEMENTS DE RESTAURATION
21-085/SA - Septembre 2021

Annexe 2
Désignation du matériel Code : 085-CCP
Chariot de débarrassage 12 plateaux enfantsdi Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
510 mm x 630 mm x 1100 mm
-Réalisation en acier inoxydable
-Structure en tube de 25 mm.
-Chariot de débarrassage 10 plateaux mini de self sur 1 colonne.
-Espacement 100mm minimum.
- Dimension à adapter à celles des plateaux.
-Support en fil inox Ø6mm ou en polypropylène chargé et blocage des plateaux durant le transport.
-Habillages latéraux.
-Piétement équipé de roulettes pivotantes.
Désignation du matériel Code : 085-HABMCHRT
Habillage menuisé chariot (sur-mesure) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1900 mm x 1100 mm x 1400 mm
- Elément menuisé venant habillé les chariots à plateaux.
- Dimensions à adapter à celles des échelles.
-Construction sur-mesure en "H" avec panneaux latérales et centrale
-Construction en panneaux stratifié, d'épaisseUr suffisante pour permettre une solidité de l'ouvrage.
-Structure piètement inox avec vérins de réglages.
- Plan de farbication à transmettre.
- Coloris et finition au choix de la maitrise d'ouvrage.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : 085-MSC20C
Meuble self chaud 2000mm central Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
2000 mm x 1450 mm x 850 mm

Puissance électrique : 6,00 kW Tri 400 V+T+N
-Meuble centrale en libre service.
-Construction entièrement inox 18/10.
-Décaissé comprenant 5 plaques vitro cérame GN1/1.
-Superstructure avec pare-haleine adapté au self service.
-Armoire chaude en soubassement à adapter à la hauteur du meuble.
-Habillage sur les 4 façes.
-Piétement équipé de vérins de réglage.
Désignation du matériel Code : 085-MSCVTSVP
Meuble self distributeur couverts / verres / plateaux / pains Dimensions indicatives :

(sur mesure) (Lg x Prof x Ht)
2600 mm x 900 mm x 1450 mm
-Meuble en stratifié compact sur-mesure.
- Capacité 300 verres et 300 plateaux
- Partie rabaissé de présentation verres, pains et couverts comprenant:
- Superstrucutre 6 casiers à verres incliné.
- Superstructure pour 2 bac polycarbonate GN 2/1, 2x 3 bacs GN1/3 pour couverts.
- Partie libre en dessous des superstructures pour disposer 200 plateaux.
- Partie pour emplacement chariot à niveaux constant à plateaux. Porte stratifiée sur charnière
inox. Intérieure du meuble avec protection inox au niveau des traces de chocs du chariots.
-Livré avec housse de protection polyamide.
-Piétement équipé de vérins de réglages.
- Plinthe inox.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : 085-MSDS
Meuble de salle à manger Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1600 mm x 600 mm x 900 mm
-Construction en inox 18/10.
- Dosseret
-Plan de travail inox.
-Habillage sur les 4 côtés identiques aux meubles de self ou mobilier de salle à manger au choix du
maître d'Œuvre.
-Dessous du meuble :
- 2 portes côté façade avec serrure et 1 étagère intermédiaire réglable.
-Si besoin, arrière du meuble permettant l'encastrement des PC nécessaires avec passe câble.
Désignation du matériel Code : 085-MSSB
Meuble self salad'bar Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
2000 mm x 800 mm x 850 mm

Puissance électrique : 0,50 kW Mono 240 V+T
-Meuble central ; disposition suivant plan.
-Capacité 5 bacs GN1/1.
-Cuve réfrigérée décaissée de 40mm, bords arrondis, pointe de diamant et vidange.
-2 tablettes pour stockage des assiettes ou ramequins.
-Rampe glisse plateaux.
-Superstructure de forme identique à la cuve.
-Superstructure tube rond, embase arrondie, support étagère verre bombée formant un niveau et
servant de pare-haleine.
-Groupe frigorifique.
-Dessous baie libre.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : 085-TTSAM
Table de tri en salle à manger enfants Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1500 mm x 560 mm x 750 mm
Construction entièrement inox 18/10 (y/c l'arrière du meuble).
-Bord relevé sur les 4 côtés.
-Epaisseur 15/10ème.
-Logement pour 3 poubelles mobiles en sous face (fournir 3 bacs mobiles ronds de 75l en
polyéthylène).
-Rampe à plateaux.
-3 TVO avec collerettes élastomères de couleurs différentes.
-Habillage sur trois cotés + trois portes sur la façade avant (ou arrière suivant implantation).
-Signalétique de tri de déchets au choix du maître d'ouvrage (panneaux plastifiés lessivables au
format A3).
-4 roulettes dont deux avec freins
Désignation du matériel Code : ACM1P1/1
Armoire chaude mobile 1 porte 17 GN1/1 Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
600 mm x 850 mm x 1600 mm

Puissance électrique : 3,00 kW Mono 240V+T
-Construction entièrement acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome).
-
Isolation 60mm d’épaisseur.
-Capacité 17 niveaux GN 1/1 au pas de 60mm minimum.
-Parois équipées de glissières embouties.
-Température +60°C à +90°C.
-Chauffage par air pulsé.
-Régulation électronique avec affichage digital.
-Thermostat de sécurité.
-
Système d’humidification.
-Ouverture de porte suivant plan.
-
Poignées de mobilité à l’arrière.
-
Câble d’alimentation spiralé et support de la fiche électricité pendant le transport.
-Protections renforcées sur la périphérie du matériel.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : ACM1P61/1
Armoire chaude mobile 1 porte Dimensions indicatives :

6 GN1/1 (Lg x Prof x Ht)
750 mm x 765 mm x 730 mm

-
Isolation 60mm d’épaisseur.
-Capacité 6 niveaux GN 1/1 au pas de 60mm minimum.
-Parois équipées de glissières embouties.
-Température +60°C à +90°C.
-Chauffage par air pulsé.
-Régulation électronique avec affichage digital.
-Thermostat de sécurité.
-
Système d’humidification.
-Ouverture de porte suivant plan.
-
Poignées de mobilité à l’arrière.
-
Câble d’alimentation spiralé et support de la fiche électricité pendant le transport.
-Protections renforcées sur la périphérie du matériel.
Désignation du matériel Code : AFP1P
Armoire froide positive 1 porte Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
800 mm x 800 mm x 2100 mm

-Capacité 600 L minimum avec 17 niveaux GN2/1
-Température réglable +1°C à +15°C.
-Groupe frigorifique
-Piétement équipé de roulettes pivotantes dont deux avec freins.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : AFP2P
Armoire froide positive 2 portes Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1400 mm x 800 mm x 2100 mm

-Groupe frigorifique
Désignation du matériel Code : AFPT
Armoire froide positive de transfert 15GN2/1 Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
780 mm x 920 mm x 1900 mm

-Groupe frigorifique en partie basse.
-Câble d'alimentation spiralé avec système d'accrochage de la fiche.
Désignation du matériel Code : AN10
Armoire de rangement 1000x500 Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 500 mm x 2000 mm
-Châssis tubulaire inox assurant la rigidité.
-Portes coulissantes suspendues avec poignées de portes ergonomiques encastrées et fermeture
à clé.
-3 étagères intermédiaires sur crémaillères.
-Piétement équipé de roulettes pivotantes

21-085-SA
Désignation du matériel Code : ASC5
Armoire de stérilisation des couteaux Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
500 mm x 150 mm x 550 mm

-Capacité 10 couteaux minimum.
-1 porte en plexiglas.
-
Fermeture magnétique avec dispositif d’interruption du tube UV à l’ouverture de la porte.
-Avec serrure.
-Barre aimantée support couteaux.
-Minuterie réglable de 0 à 2 h.
-Stérilisation par U.V.
-La PC sera obligatoirement à prévoir côté sortie de câble du matériel.
Désignation du matériel Code : AVSB
Armoire vestiaire sans banc sur piètement Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
400 mm x 500 mm x 1800 mm
-Construction tôle laquée, peinture Epoxy ou laminé stratifié haute pression (composite).
-Dessus penté.
-
Couleur au choix du Maître d’ouvrage.
-Ventilation haute et basse.
-2 compartiments (industrie salissante).
-1 étagère supérieure.
-1 porte battante avec système de fermeture par cadenas à combinaison chiffrée. (cadenas à
fournir).
-1 porte-étiquette.
-Piètement inox.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : BA100
Balance électronique 100kg Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
600 mm x 600 mm x 900 mm

-Construction entièrement inox 18/10
-Portée 100kg
-Précision 50gr
-Plate-forme 600x600
-Terminal sur colonne, solidaire du châssis
-Affichage digital rétro-éclairé
-Protection IP67
Désignation du matériel Code : BALT
Balance de table Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
300 mm x 280 mm x 80 mm
-Carter plastique alimentaire.
-Plateau inox amovible grande dimensions.
-Fonctionnement sur accumulateur (livrée avec chargeur).
-Portée 6kg.
-Graduation 2gr.
-Etanchéité IP54.
-Touche marche / arrêt et affichage digital.
-Livrée avec 1 housse de protection

21-085-SA
Désignation du matériel Code : C200
Caniveau 200x200 Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
200 mm x 200 mm x 70 mm
-Profondeur totale du caniveau de sol, hors cuve siphon : entre 50 et 60mm.
-
Garde d’eau supérieur ou égale à 50mm, conforme à la norme NF EN 1253.1
-Caniveau télescopique constitué en trois parties.
Divers :
-
Le titulaire du présent lot doit la fourniture, le traçage au sol de l’implantation du caniveau et le
contrôle de la mise en œuvre de ce dernier par les autres corps d’état ainsi que la protection durant
toute la phase du chantier à l’aide d’un panneau d’aggloméré de 22mm de même dimension que la
grille caillebotis (à fournir en même temps que les caniveaux). Il fournira une coupe aux divers lots
concernés dès la phase de préparation de chantier.
Désignation du matériel Code : C200S
Caniveau 200x200 spécial Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
200 mm x 200 mm x 70 mm
-
-Partie supérieure avec rosette de sécurité (percement 8mm maximum), système d'inviolabilité et
adaptée au revêtement de sol. (ventouse de préhension à fournir)
Divers :
-
grille (à fournir en même temps que les caniveaux). Il fournira une coupe aux divers lots concernés
dès la phase de préparation de chantier.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : C250G
Caniveau 250x250 à grille (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 250 mm x 100 mm
-Implantation et longueur suivant plan.
-
-Caillebotis de 77mm maxi. De large et en plusieurs parties suivant la longueur souhaitée (longueur
maxi 1m).
Divers :
-
grille (à fournir en même temps que les caniveaux). Il fournira une coupe aux divers lots concernés
dès la phase de préparation de chantier.

(Lg x Prof x Ht)
400 mm x 400 mm x 70 mm
-
Divers :
-

21-085-SA

(Lg x Prof x Ht)
800 mm x 400 mm x 70 mm
-
-Le caillebotis inox sera réalisé en deux parties égales.
Divers :
-
Désignation du matériel Code : CB
Casier batterie (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 550 mm x 1800 mm
-
4 niveaux d’étagères ajourées.
-Espacement entre niveaux 40cm, sauf pour le premier rangement : 55cm.
-1 longeron arrière supplémentaire par niveau pour le blocage des bacs.
-Livré avec housse lavable.
-
La longueur maximale d’un module ne pourra excéder 1500mm.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : CDBM3B
Chariot de distribution bain-marie 3 bacs Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1300 mm x 700 mm x 900 mm

-Chauffage bain marie ou air chaud.
-3 bacs gastro GN1/1 en inox avec couvercles (pf 100mm) fournis.
-Stucture inox sur toute la longueur pour la pose des assiettes dressées et couvercle rabattable.
-Système de stockage des couvercles des bacs GN
-Etuve avec trois enceintes chauffantes séparées de capacité 3 bacs GN1/1.
-Raccordement électrique par câble spiralé 240V mono.
-Les vidanges des bacs doivent être raccordées en un seul point de vidange à l'arrière du matériel.
-Piètement équipé de roulettes pivotantes.
Désignation du matériel Code : CDV
Chariot de débarrassage vaisselle Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1300 mm x 600 mm x 900 mm
-Construction entièrement inox 18/10, épaisseur 15/10ème.
-Anses de manutention.
-Plan de travail avec bord anti ruissellement intégrant :
-3 bacs GN1/3 prof. 100mm encastrés sur la largeur pour la dépose des couverts.
-Collerette caoutchouc et trou vide déchets pour le dérochage des assiettes.
-Etagère basse avec remontée de 20mm pour stockage des casiers à verres.
-Piètement équipé de roulettes pivotantes.
Désignation du matériel Code : CHAE
Chaise enfant Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
- Cf. CCTP généralités

21-085-SA
Désignation du matériel Code : CNCP
Chariot à niveau constant pour plateaux Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
800 mm x 500 mm x 750 mm
-Capacité 150 plateaux.
-Construction entièrement acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome)
-Adapté à tous types de plateaux.
-Possibilité de réglage de la tension du système de montée et descente.
-Equipé de roulettes pivotantes.
Désignation du matériel Code : CNCV
Chariot à niveau constant pour casiers à verres Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
760 mm x 720 mm x 900 mm
-Capacité minimale : 7 casiers 500x500mm.
-Niveau constant avec tension réglable.
-
Habillage inox pourvu de grilles d’aération.
-Couvercle en polycarbonate.
-
Poignée de manœuvre en inox 18/10.
-Equipé de roulettes pivotantes.
Désignation du matériel Code : CPM
Conteneur poubelle mobile Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
450 mm x 450 mm x 710 mm
-Construction inox 18/10 ou polyéthylène.
-Capacité environ 80 litres
-La hauteur sera adaptée aux tables, pour permettre leur positionnement sous les trous vide
déchets ou sous les tables en légumerie/déconditionnement.
-Piétement équipé de roulettes pivotantes de petit diamètre.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : DI
Désinsectiseur Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
650 mm x 150 mm x 250 mm

-Construction en aluminium anodisé.
-
Surface protégée jusqu’à 150 m².
-Appareil mural. Cheville adaptée au type de support et visserie inox.
-Bac de récupération des insectes.
-Filtre anti-parasites.
-Tube attractif UV actiniques (fournir 1 recharge).
-Grille électrifiée fixée par aimants.
-La PC sera obligatoirement à prévoir côté sortie de câble du matériel.
Désignation du matériel Code : EST
Etagère de stockage et de triage (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 550 mm x 500 mm
-Construction entièrement acier inoxydable 18/10, épaisseur 15/10ème.
-Tablette inférieure inclinée avec système de récupération des eaux et bord relevé sur 3 cotés
servant d'étagère de triage; vidange sur caniveau suivant prescription CCTP.
-Tablette constituée de tubes inox permettant le stockage des casiers verticalement. La prise et la
dépose des casiers doivent pouvoir se faire des deux côtés quand celle-ci est "traversante".
(suivant plan)
-Une attention toute particulière sera apportée sur la fixation de l'étagère. Si possible cette dernière
sera fixée sur le tapis de dépose ou la table afin d'éviter les piétements.
-Réglage de la hauteur des étagères par système de crémaillères. Réglage sans outils et tous les
50mm.
-Positionnée au dessus de la zone de triage.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : ETMZM
Terminal de gestion et d'enregistrement de température Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
Puissance électrique : 0,20 kW 240V + 2RJ

-Ecran tactile couleur haute résolution.
-Serveur Web mural de supervision.
-Port USB en façade pour récupération des données.
-Dispose d'un buzzer et d'une LED d'alarme.
-Raccordement sur poste informatique (y compris fourniture, installation et formation au logiciel
d'exploitation).
-Plage de fonctionnement de -40° à +40°C.
-Gestion différenciée des alarmes et envois de courriels.
-Commande des paramètres de consigne à distance (par internet).
-Gestion utilisateur avec différents niveaux d'autorisation.
-Relais d'alarme intégré.
-Modem interne, protocole PSTN V.34/33.6K.
-Transmetteur téléphonique pour renvoi d'alarmes sur une cascade de numéros.
-L'équipement devra être raccordé sur une ligne analogique.
-Fourni avec un onduleur si l'alimentation n'est pas secourue.
Désignation du matériel Code : FR80E
Fontaine réfrigérée 80l/h à encastrer Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
400 mm x 500 mm x 700 mm

-Production 80l/h minimum.
-2 postes de distribution à commande manuelle accessible aux PMR (interrupteur 3 positions).
-Groupe frigorifique.
-Système anti-éclaboussures
-Prévoir un goulotte inox pour cacher les alimentations électriques et plomberie. La goulotte aura
une face facilement démontable.
-Cette équipement devra être impérativement accessible aux personne à mobilité réduite.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : FRT141/1
Four de remise en température 14 niveaux GN1/1 Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
750 mm x 700 mm x 1550 mm

-Construction tout inox 18/10.
-Capacité : 14 niveaux GN1/1.
-Espace entre niveau 60mm minimum.
-Structure intérieure amovible.
-Enceinte de remise en température à angles rayonnées et oura.
-Chauffage par résistances blindées.
-Régulation par thermostat.
-Humidificateur.
-Tableau de commande avec affichage de la température.
-Livré avec chariot de chargement.
Désignation du matériel Code : GCFP10
Ensemble frigorifique pour enceinte réfrigérée à t° positive Dimensions indicatives :

>10m3 (Lg x Prof x Ht)
Puissance électrique : 3,50 kW Tri 400V+T+N

Fourniture et pose d'une installation frigorifique complète, voir descriptif du CCTP, y compris
accessoires de régulation et de finition.
Désignation du matériel Code : HA
Hotte de ventilation adossée (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 0 mm x 550 mm
-Construction entièrement inox 18/10 (sauf dessus des capteurs pouvant être en acier galvanisé).
-Collecteur d'extraction.
-Aucune vis et rivets apparents.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : HASL
Hotte de ventilation adossée spéciale laverie Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
0 mm x 1500 mm x 500 mm
-Hotte spéciale laverie, filtres sur la face avant de la hotte.
-Collecteur d'extraction.
-
La hotte devra s’adapter à la hauteur hors tout du matériel installé dessous et couvrir la sortie d'air
du condenseur (tout en respectant les généralités du CCTP).
Désignation du matériel Code : ING-EXE
Etudes d'exécution Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
-
Réalisation des études d'exécution et/ou plans d’atelier.
-L'entreprise devra :
- remettre à la MOe tous les éléments d’étude nécessaires à l’exécution et à la compréhension
de ses ouvrages,
- participer aux réunions et à l’élaboration des plans de synthèses,
- apporter toutes les réponses techniques aux demandes formulées par les divers intervenants
sur l’opération (Bureau de Contrôle, SPS, OPC, Synthèse, autres corps d’états, etc …).
Désignation du matériel Code : LAVSOL
Autolaveuse Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
550 mm x 850 mm x 500 mm

-Largeur de travail 380mm.
-Moteur d'aspiration 1000W.
-Appareil tracté marche avant/arrière.
-Réservoir de solution : 21l.
-Réservoir de récupération extractible : 15l.
-Matériel fonctionnant sur batterie rechargeable.
-Timon repliable.
-
Livré avec un kit tube d’aspiration et une brosse de rechange.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : LMR
Lave mains réglementaire à commande électronique Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
400 mm x 500 mm x 850 mm
-Cuve cylindrique.
-Commande électronique, pile lithium.
-Commande E.F/E.C avec réglage de la température par deux robinets munis de clapets anti-
retour et vis de réglage de débit.
-Doseur savon intégré au bac avec poussoir et réservoir de 0,5 litre minimum.
-Dosseret arrière inox
-
Avec distributeur d’essuie-mains. ABS transparent Ø 270 (le type de distributeur sera confirmé
avec les utilisateurs).
-Brosse à ongles avec chaînettes et support.
-Poubelle ABS ou INOX crochetable sous la cuve et adaptée au profil de cette cuve.
-Si alimentations visibles, prévoir piétements inox 18/10.
-Une attention toute particulière sera apportée sur la fixation du lave-mains.
-Les fixations seront assurées par des chevilles adaptées à la nature du support et visseries inox.
-
Après fixation, procéder à la mise en œuvre d’un joint silicone translucide périphérique.
-
Les alimentations et l’évacuation se feront au plus prés en dessous du lave-mains, de façon a ce
qu’elles soient cachées par le matériel.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : LMRM
Lave mains réglementaire à commande électronique avec Dimensions indicatives :

miroir (Lg x Prof x Ht)
400 mm x 500 mm x 850 mm
-Cuve cylindrique.
-Commande électronique, pile lithium.
-Commande E.F/E.C avec réglage de la température par deux robinets munis de clapets anti-
retour et vis de réglage de débit.
-Doseur savon intégré au bac avec poussoir et réservoir de 0,5 litre minimum.
-Dosseret arrière inox
-
Avec distributeur d’essuie-mains. ABS transparent Ø 270 (le type de distributeur sera confirmé
avec les utilisateurs).
-Brosse à ongles avec chaînettes et support.
-Miroir de courtoisie 600x400.
-Poubelle ABS ou INOX crochetable sous la cuve et adaptée au profil de cette cuve.
-Si alimentations visibles, prévoir piétements inox 18/10.
-Une attention toute particulière sera apportée sur la fixation du lave-mains.
-Les fixations seront assurées par des chevilles adaptées à la nature du support et visseries inox.
-
Après fixation, procéder à la mise en œuvre d’un joint silicone translucide périphérique.
-
Les alimentations et l’évacuation se feront au plus prés en dessous du lave-mains, de façon à ce
qu’elles soient cachées par le matériel

21-085-SA
Désignation du matériel Code : MAL6EF
Machine à laver à capot 60 casiers/h Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
800 mm x 650 mm x 2100 mm

-Débit minimum 60 casiers/heure en vitesse maximale.
-Alimentation eau froide adoucie.
-Hauteur de passage 430mm minimum.
- 3 cycles de lavage pré-réglés.
-Possibilité de laver les bacs GN1/1 en position verticale (Ht. 325mm). (fourniture de 2 casiers en fil
inox spécifique au lavage des bacs)
-
Enclenchement automatique du cycle à la fermeture du capot, avec sécurité d’ouverture.
-Fonction pré-lavage et lavage continu.
-Fonction détrempe ou rinçage forcé.
-Bras de lavage supérieur et inférieur en matériau inoxydable.
-Cuves à angles arrondis.
-Pompe auto vidangeable.
-Double filtre.
-Surchauffeur de rinçage inox avec résistances blindées anticorrosion.
-Résistance de cuve en chauffage alterné.
-Auto-rinçage intérieur de fin de cycle.
-Doseur de produits séchants incorporé.
Désignation du matériel Code : MN15
Meuble neutre 1500mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1500 mm x 700 mm x 900 mm
-Dosseret.
-1 étagère intermédiaire.
-Portes coulissantes suspendues avec poignées de portes ergonomiques encastrées.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : MNB14-F
Meuble neutre avec bac 1400mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1400 mm x 700 mm x 900 mm
-Dosseret.
-Bac 400x400x250 implantation selon plan.
-Robinetterie mélangeuse murale avec col de cygne.
Désignation du matériel Code : MTAR20
Meuble de travail en ambiance réfrigérée 2000mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
2000 mm x 700 mm x 1100 mm

-Dessus épaisseur 15/10, cuve de 100mm, équipé sur le dessus d'une plaque polyéthylène
amovible.
-Capacité 4 grilles GN 1/1 à fournir.
-Rafraichissement par flux laminaire du plan de travail ( hauteur 150mm).
-Protection avant amovible en verre trempé.
-Groupe frigorifique à air.
-Dégivrage et ré-évaporation automatique des condensats.
-Affichage digital de la température.
-Piétements équipés de roulettes pivotantes.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : OBM
Ouvre boîtes manuel Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
780 mm x 220 mm x 120 mm
-Construction en acier inoxydable 18/10.
-Lame et molette en acier trempé, traitées contre l'oxydation.
-Adapté à tous types de boîtes.
-Aimant de retenue.
-Fixation par serre-joint.
-Livré avec jeu de molette et lames de rechange.
Désignation du matériel Code : PL12
Plonge 2 bacs 1200mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1200 mm x 700 mm x 900 mm
-Plan de travail épaisseur 15/10, bords tombés 45mm, contre-pli de 10 renforcé par panneau
hydrofuge.
-Dosseret de 100x20mm.
-Cache cuve inox sur les 4 côtés.
-2 bacs 500x510x365 à fond penté et angles arrondis.
-Robinetterie mélangeuse murale avec col de cygne et douchette.
-Piétement équipé de roulettes.
Désignation du matériel Code : PL20
Plonge 2 bacs 1 égouttoir 2000mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
2000 mm x 700 mm x 900 mm
-Dosseret.
-2 bacs 760x510x365mm à fond penté et angles arrondis.
-1 égouttoir suivant plan.
-Robinetterie mélangeuse murale avec col de cygne et douchette.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : PLD
Poste de lavage et de désinfection Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
350 mm x 110 mm x 480 mm
-Construction en ABS et inox.
-Fixation murale, par chevilles adaptées à la nature du support et visserie inox à tête bombée.
-
Dosage du produit par système venturi pouvant s’adapter à tous types de pression et débit d’eau.
-Tuyau de qualité alimentaire de 15m avec pistolet réglable monté sur raccord rapide inox simple
obturation. Le pistolet devra être accessible, en position rangement, sur la partie avant de
l'enrouleur et à une hauteur de 1500mm à partir du sol fini.
-Support inox pour bidon de 5 litres.
-Enrouleur automatique pivotant :
- corps en polypropylène,
- flexible en PVC renforcé,
- mécanisme d'enroulement type ressort d'horloge,
- tension d'enroulement réduite pour faciliter le tirage,
- loquet à deux positions permettant un dévidage par mètre ou en course libre.
-positionnement de l’enrouleur juste au-dessous du faux-plafond.
Désignation du matériel Code : PM10
Placard mural 1000mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 400 mm x 600 mm
-Poignées de portes ergonomiques encastrées.
-Une attention toute particulière sera apportée à la fixation du placard. Les fixations seront
assurées par des chevilles adaptées à la nature du support ; visserie inox. Hauteur de pose à
définir avec les utilisateurs et par défaut à 1,40m du sol.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : PM15
Placard mural 1500mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1500 mm x 400 mm x 600 mm
-Une attention toute particulière sera apportée à la fixation du placard. Les fixations seront
assurées par des chevilles adaptées à la nature du support ; visserie inox. Hauteur de pose à
définir avec les utilisateurs et par défaut à 1,40m du sol.
Désignation du matériel Code : PUM
Pupitre mobile Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
600 mm x 600 mm x 1700 mm
-Plateau incliné formant pupitre avec rangement sous abattant (fermeture à clé).
-Etagère basse.
-Superstructure avec système porte fiches.
Désignation du matériel Code : RAYRET
Rayonnage 4 niveaux avec cuves de rétention Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
960 mm x 460 mm x 1800 mm
-
Echelles et longerons d’étagères en duralinox anodisé.
-
4 niveaux d’étagères réglables en hauteur (sans outillage).
-Capacité de rétention minimale de 20 litres par niveau, avec cuve en PVC.
-Espacement entre niveau : 500mm minimum.
-Portée minimale de 200kg par niveau.
-Clayettes amovibles ajourées en polypropylène résistant à une température de -30°C.
-Support de traverse vissé en alliage moulé.
-Dimensions à adapter au local.
-Matériel à fixer aux murs ou cloisons avec fixations spécifiques (inox).
-Pieds réglables et équipés de protection anti poinçonnement.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : RCF
Rayonnage mobile (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 500 mm x 1800 mm
-
-
-Portée minimale de 240kg par échelle.
-Clayettes amovibles ajourées en polypropylène résistant à une température de -30°C.
-Dimensions à adapter à la CF (longueur maximum : 1500mm par module).
-Piétement équipé de roulettes pivotantes
Désignation du matériel Code : RPLD
Robinetterie de poste de lavage et de désinfection Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
200 mm x 50 mm x 150 mm
-Alimentation EC/EF assurée par robinet mélangeur mural avec raccordement du poste de lavage
et de désinfection par le haut de celui-ci.
-
Equipé d’un système anti-pollution double clapet protégeant le réseau d’eau potable.
-Positionnement suivant plan de principe.
Désignation du matériel Code : RR
Rayonnage Réserve (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 460 mm x 1800 mm
-
-
-Portée minimale de 200kg par niveau.
-Clayettes amovibles pleine lavable en machine.
-Dimensions à adapter au local.
-Matériel à fixer aux murs ou cloisons avec fixations spécifiques (inox).
-Pieds réglables et équipés de protection anti poinçonnement.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : SBI
Support balais inox Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
500 mm x 5 mm x 5 mm
-Fixation murale compris vis de fixation, inox.
-3 supports de manches en inox et galets PVC.
-Diamètre des manches de 19 à 31mm.
-Hauteur de pose : 1,70m du sol fini.
Désignation du matériel Code : SMP
Support mobile poubelle Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
400 mm x 400 mm x 850 mm
-Porte-sac avec couvercle commandé par pédale.
-Capacité des sacs : 120 litres.
-Fixation du sac par élastique.
-Couvercle en ABS.
-
2 roulettes fixes Ø 80 à l’arrière et tampon fixe en caoutchouc non traçant à l’avant.
-
Tampon caoutchouc non traçant en partie haute à l’arrière pour atténuer les chocs.
Désignation du matériel Code : SRC
Socle rouleur casiers avec rampe de manœuvre Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
570 mm x 630 mm x 900 mm
-Construction en acier inoxydable (minimum 17,5% de Chrome)
-Plateau épaisseur 15/10.
-
Rampe de manœuvre en tube inox.
-Pour casier de lavage 500x500.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : SS
Siphon de sol douche Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
150 mm x 150 mm x 70 mm
-Siphon téléscopique ajustable en hauteur
-Construction inox 18/10
-Partie supérieure avec rosette de sécurité (percements 8mm)
-Adaptable à tout type de revêtement
-Garde d'eau de 50mm conforme à la norme NF.EN 1253.1
-Vidange diamètre 50mm
-Profondeur totale hors cuve et siphons: entre 15 et 50mm
-Divers:le titulaire du présent lot doit la fourniture, le traçage au sol de l’implantation des siphons et
le contrôle de la mise en œuvre de ces derniers par les autres corps d’état. Il fournira un détail
précis d’installation aux divers lots concernés dès la phase de préparation de chantier.
Désignation du matériel Code : TA10
Table adossée 1000mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 700 mm x 900 mm
-Dosseret.
-Tiroir.
Désignation du matériel Code : TA20
Table adossée 2000mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
2100 mm x 700 mm x 900 mm
-Dosseret.
-Tiroir.

21-085-SA
Désignation du matériel Code : TAB18
Table adossée avec bac 1800mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1800 mm x 700 mm x 900 mm
-Plan de travail inox équipé d'un bac 400x400x250 implantation selon plan.
-Dosseret.
-Tiroir.
-Robinetterie mélangeuse murale avec col de cygne.
Désignation du matériel Code : TABSAM4
Table de salle à manger 4 places Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1200 mm x 800 mm x 750 mm
Désignation du matériel Code : TABSAM6
Table de salle à manger 6 places Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1600 mm x 800 mm x 750 mm
Désignation du matériel Code : TABSAMR8
Table de salle à manger ronde 8 places (maternelles) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1200 mm x 800 mm x 750 mm

21-085-SA
Désignation du matériel Code : TEMBS+TVO
Table d'entrée machine avec bac suivant plan et TVO (ml) Dimensions indicatives :
(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 800 mm x 900 mm
-Table de soyage avec dosseret de 200x10mm.
-Bord anti-ruissellement sur 3 côtés.
-Bac, dimensions 500x450x250mm, trop plein intégré et panier filtre.
-Trou vide déchets.
-Robinetterie mélangeuse mono-trou avec douchette.
-Conception suivant plan
Désignation du matériel Code : TM18
Table mobile 1800mm Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1800 mm x 700 mm x 900 mm

21-085-SA
Désignation du matériel Code : TSMRV
Table de sortie machine à rouleaux ventilée (ml) Dimensions indicatives :

(Lg x Prof x Ht)
1000 mm x 580 mm x 900 mm
-Plateau inox épaisseur 15/10. En cas de positionnement en angle par rapport à la MàL, celui-ci
sera décalé de 10cm (positionnement d'un casier capot fermé ; conception suivant implantation sur
plan).
-Table comprenant un dessus ouvert (création d'un flux d'air), soit 2 glissières assurant le maintien
des rack à rouleaux (vide de 420mm de large) et un bac de rétention des eaux d'égouttage. Ce bac
est incliné vers la machine et positionné à environ 20cm sous les glissières des casiers vaisselle.
-Rack à rouleaux amovibles Ø40, monté sur axe inox.
-Raccordement de l'évacuation vers le caniveau de sol.
-Accrochage à la machine à laver avec profilé parfaitement adapté.
-Prévoir support bidons inox adapté aux récipients de produits lessiviels.
-Lorsque la table est raccordée à une machine à laver à capot en angle, le positionnement des
piétements de cette table devra permettre aisément l'accessibilité aux commandes de la machine à
laver (piétement déporté).

21-085-SA
ANNEXE 3
NOMENCLATURE CLOISONS
21-085/SA – Septembre 2021

Annexe 3
Repère Désignation
BPB Bande de protection basse PVC rigide (ml)

BPH Bande de protection haute PVC rigide (ml)
CSV15 Châssis vitré longueur 1500mm
CSV5 Châssis vitré longueur 500mm
DCS120 Double cloisons séparatives - Epaisseur 120mm (m²)
PBP Protection basse de porte en PVC rigide (unité)
PI2F80 Panneau isolant deux faces - Epaisseur 80mm (m²)
PI2FCF80 Panneau isolant deux faces coupe-feu 1 heure - Ep 80mm (m²)
PICFP90 Porte isolante chambre froide positive (ouverture 90cm)
PID40 Panneau isolant de doublage - Epaisseur 40mm (m²)
PID60 Panneau isolant de doublage - Epaisseur 60mm (m²)
PIPCFP Panneau isolant de plafond chambre froide positive (m²)
PPH90VV Porte polyéthylène avec hublot passage 900mm
PSI90 Porte semi-isolée passage 900mm
PSIH100 Porte semi-isolée avec hublot passage 1000mm
PSIHCF100 Porte semi-isolée avec hublot passage 1000mm coupe-feu 1/2 heure
PSIHCF90 Porte semi-isolée avec hublot passage 900mm coupe-feu 1/2 heure

21-085-SA
ANNEXE 4
PLANS DE PRINCIPE
21-085/SA – Septembre 2021

Annexe 4
Dalle haute
Faux-plafond
Robinetterie
Mélangeuse
1500mm
1100mm
RESTAUCONCEPTEUR
PLAN DE PRINCIPE INGECOR
Poste de lavage et de désinfection INGECOR
Immeuble le Tertiel
113 Quai Jean Péridier - 34070 Montpellier
Tel: 04 67 13 86 86
e-mail : be.ingecor@ingecor.fr
Attention ce schéma n'est en aucun cas un plan d'exécution
Protection inox dimensions
symétriques Hauteurs des cadres
alignées
Préparation
Froide 12°
et
e nature
de mêm al
e porte te du loc
Butée d ss e h a u
que la li
couleur
130
ction
95
de prote CCTP)
Bandes es (voir
le u rs n ormalisé
cou
115 de la p
linthe
us
au dess
on juste
de protecti
Bandes
me couleur
d e p o r te de mê
n
Protectio es du local
li ss
que les
RESTAUCONCEPTEUR
Détails portes, châssis, protections INGECOR
Immeuble le Tertiel
113 quai Jean Péridier - 34070 Montpellier
Tel : 04 67 13 86 86
Dalle haute
Faux-plafond
Robinetterie
Mélangeuse
1500mm
1100mm
RESTAUCONCEPTEUR
Poste de lavage et de désinfection INGECOR
Immeuble le Tertiel
113 Quai Jean Péridier - 34070 Montpellier
Tel: 04 67 13 86 86
Protection inox dimensions
symétriques Hauteurs des cadres
alignées
Préparation
Froide 12°
et
e nature
de mêm al
e porte te du loc
Butée d ss e h a u
que la li
couleur
130
ction
95
de prote CCTP)
Bandes es (voir
le u rs n ormalisé
cou
115 de la p
linthe
us
au dess
on juste
de protecti
Bandes
me couleur
d e p o r te de mê
n
Protectio es du local
li ss
que les
RESTAUCONCEPTEUR
Détails portes, châssis, protections INGECOR
Immeuble le Tertiel
113 quai Jean Péridier - 34070 Montpellier
Tel : 04 67 13 86 86

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MAITRE D'OUVRAGE

VILLE DE CLERMONT L'HERAULT

Indice Description de la révision Date

2 929 Avenue Etienne Mehul | Zac Garosud | 34 070 MONTPELLIER

Ville de Clermont l’Hérault

CCTP PHASE DCE

DIAG APS APD PRO DCE MARCHE EXE

1.1. CONSISTANCE DES TRAVAUX 5

1.2. DESCRIPTION SOMMAIRE DU PROJET 5

1.3. LISTE DES LOTS : 6

1.4. CARACTERE FORFAITAIRE DU PRIX 6

1.5. C.D.P.G.F. (CADRE DE DECOMPOSITION DU PRIX GLOBAL ET FORFAITAIRE) ET B.P.U. (BORDEREAU

1.6. MISSION DU MAITRE D’OEUVRE 7

1.7. MISSION DU CONTROLEUR TECHNIQUE 8

1.8. MISSION OPC (ORDONNANCEMENT - PILOTAGE - COORDINATION) 8

1.9. MISSION SPS (SECURITE – PREVENTION – SANTE) 8

1.10. MISSION SSI (SYSTEME DE SECURITE INCENDIE) 8

1.11. ORDONNANCEMENT DES TRAVAUX 8

1.12. PERIMETRE D’INTERVENTION - ACCES 8

1.13. CONSTAT D’HUISSIER - REFERE PREVENTIF 9

1.14. RESEAUX EXISTANTS 9

1.15. PRISE DE POSSESSION DU TERRAIN 10

1.16. REMISE EN ETAT - RESTITUTION D’EMPRISE 10

1.17. CONSERVATION DES VOIES PUBLIQUES 10

1.18. PRESCRITIONS ENERGETIQUES 10

2. DOCUMENTS DU MARCHÉ ................................................................................................... 11

2.1. PLANS DU MARCHÉ 11

2.2. DOCUMENTS TECHNIQUES DU MARCHE 11

2.3.6. PRESENTATION DU DOSSIER DES OUVRAGES EXECUTES 13

3. DONNÉES DE BASE - PRESCRIPTIONS TECHNIQUES............................................................ 15

3.1. SÉCURITÉ ET PROTECTION INCENDIE 15

3.4. RENOUVELLEMENT D’AIR- DESENFUMAGE – DEBITS D’EXTRACTION 16

3.5. FACTEURS SOLAIRES 16

3.6. TAUX D’OCCUPATION DES LOCAUX 16

3.7. CONTRAINTES DE CHANTIER 16

3.8. CHARGES A PRENDRE EN COMPTE 16

4. ETUDES D’EXECUTION ........................................................................................................ 18

4.1. MODALITÉS GÉNÉRALES 18

4.2. CHAMP DES ETUDES 19

4.4. FORMAT DES DOCUMENTS - DÉLAIS DE PRÉSENTATION ET D’EXAMEN 19

4.5. MODIFICATION DES DISPOSITIONS DU MARCHE PROPOSÉE PAR UN ENTREPRENEUR 20

5. CONDITIONS D'EXECUTION DES TRAVAUX .......................................................................... 21

5.1. OBLIGATIONS GÉNÉRALES 21

5.2. DISPOSITIONS DES LIEUX – SERVITUDES 21

5.3. DÉPOTS ET APPROVISIONNEMENTS 21

5.4. PANNEAU DE CHANTIER 21

5.5. INSTALLATIONS DE CHANTIER - CLOTURES - PORTAILS 22

5.6. AUTORISATIONS ADMINISTRATIVES 23

5.7. EMPLOI D’ENGINS MECANIQUES 23

5.8. PROTECTION ET SÉCURITÉ DU PERSONNEL ET DES RIVERAINS 23

5.9. VISITES ET INVESTIGATIONS 24

5.10. SOLIDITÉ, STABILITÉ ET PROTECTION DES OUVRAGES EXISTANTS OU A CONSTRUIRE 24

5.11. OPERATIONS DE CONTROLE ET ESSAIS 24

5.13. TOLERANCES ENTRE CORPS D'ETAT – RECEPTION DE SUPPORT 25

5.14. IMPLANTATIONS ET TRAITS DE NIVEAUX 26

5.15. RESERVATIONS ET PERCEMENTS - INCORPORATIONS 26

5.16. SAIGNÉES – ENCASTREMENTS ET DIVERS 26

5.17. FOURREAUX POUR PASSAGE DES CANALISATIONS ET GAINES 26

5.18. FIXATIONS ET SCELLEMENTS - REBOUCHAGES - RACCORDS 26

5.19. PROTECTION DES OUVRAGES - VOLS ET DEGRADATIONS 27