Amina Ghezali 2021
Amina Ghezali 2021
Amina Ghezali 2021
Mémoire
Présenté en vue de l’obtention du Diplôme de Master
Thème:
Etude et maintenance d’une boite de vitesse d’un tour
parallèle « 16D25 »
Jury de Soutenance :
Président
Encadrant
Examinateur
Année Universitaire : 2020/2021
Remerciement
I Introduction…………………………...……………………………………………………………….4
I.1.2 Historique………………………………………………………………………………………….4
1) Le bâti…………………………………………………………………………………….....12
2) Le banc………………………………………………………………………………………12
3) Glissières…………………………………………………………………………………….13
4) Poupée fixe…………………………………………………………….………………….…13
5) Poupée mobile………………………………………………………………………………13
6) Chariot transversal…………………………………………………………………………..13
7) Chariot porte-outil…………..………………………………………………………………13
8) Tourelle………………………………………………………………………………………13
9) La boite des avances…………………………………………………………………………13
I.3.2.1 Chariotage………………………………...……………………………………………………14
I.3.2.2 Dressage………………………………………………………………………………………..14
I.3.2.7 Tronçonnage……………………………………………………………………………………16
I.3.2.8 filetage………………………………….………………………………………………………16
I.5.3 Définitions des principaux types de matériaux pour les outils de coupe ……………………….20
I.5.3.1 ARS (acier rapide supérieur)……………………………………………..……………………20
I.5.3.6 Céramique………………………………………………………………………………………22
II Introduction …………………………………………………………………………………..…….24
1) Engrenage intérieur/extérieur…………………………………………………………29
2) Denture droite /hélicoïdale……………………………………………………………29
3) Engrenage cylindrique/conique/roue-vis …………………………………………….30
1) Principe ………………………………………………………………………………………32
2) Conséquence………………………………………………………………………………….33
3) Caractéristique ……………………………………………………………………………….33
4) Fonctionnement ……………………………………………………………………………...33
5) Condition d’emploi des dentures hélicoïdales ……………………………………………….34
1) Principe……………………………………………………………………………………….34
2) Représentation et mise en ouvre ……………………………………………………………..35
1) Principe ……………………………………………………………………………………..36
2) Caractéristique………………………………………………………………………………36
3) Représentation………………………………………………………………………………37
4) Cascade d’engrenage………………………………………………………………………..37
1) Cercle de base……………………………………………………………………………….38
2) Ligne d’engrènement ou ligne de poussée …………………………………………………39
3) Angle de pression …………………………………………………………………………..39
4) Le nombre de dent ………………………………………………………………………….40
5) Le module…………………………………………………………………………………...40
6) Cercles primitifs ……………………………………………………………………………40
7) Cercles de tête……………………………………………………………………………….40
8) Cercles de pied ……………………………………………………………………………..40
9) Saillie ha…………………………………………………………………………………….41
10) Creux hf……………………………………………………………………………………..41
11) Hauteur……………………………………………………………………………………...41
12) Largeur de dent……………………………………………………………………………...41
13) Entraxe………………………………………………………………………………………41
III.1 Introduction…………………………………………………………………………………….46
III.3.1 Définition…………………………………………………………………………………….53
IV.4 Nettoyage………………………………………………………………………………………69
1) Maintenance systématique…………………………………………………………………..71
2) Maintenance conditionnelle…………………………………………………………………71
a) L’analyse temporelle………………………………………………………………………..72
b) L’analyse fréquentielle ……………………………………………………………………..73
FigureI.10Tour conventionnel…………………………………………………………………………..9
Figure I.11 Tour automatique………………………………………………………………………….10
Figure III.3 Dessin d’ensemble d’une boite de vitesse d’un tour parallèle « 16D25 »………………..50
Figure III.4 Schéma cinématique indiquant le corroie, la chaine et l’engrenage …………………….53
Figure III.5 Exemple d’un schéma technologique d’une boite de vitesse automobile………………...54
Figure III.6 Schéma cinématique de la boite de vitesse de tour parallèle « 16D15 »…………………55
ra : rayon de tête.
rf : rayon de pied.
rb : rayon de base.
α :angle de pression.
P1:puissanced’entrée.
Rusumé :
En mécanique industrielle, la fabrication d'une pièce à partir d'une quantité de matière livrée sous
forme de produits semi-finis (tôles, barres, etc.) requiert la mise en oeuvre d'un ensemble de
techniques. L'une d'entre elles est l'usinage, c'est-à-dire un enlèvement de matière par un outil coupant.
L'usinage d'une pièce se décompose en une succession d'opérations, définie par la gamme d'usinage
établie par le bureau des méthodes à partir du dessin de définition issu du bureau d'études. L'usinage
traditionnel s'effectue, en respectant les règles de la coupe des métaux, sur des machines-outils
classiques ou automatisées. Ces machines outils sont conçues pour atteindre des performances
cinématiques et dynamiques plus élevées, l’amélioration de performance de ces machines-outils
demande une bonne métrise et un bon fonctionnement de la machine.
Mon travail consiste une approche de modélisation cinématique sur les changements de vitesses et les
combinaisons des baladeurs adopté sur notre tour prallèle. Puis une gamme variée sur les différentes
vitesses utilisées, ainsi que d’autres calculs sur les caractéristiques de la boite à vitesse. Et nous avons
conclu notre travail par l’élaboration d’une gamme d’entretien adopté sur notre tour parallèle.
Mots clés tour parallèle, Usinage a grande vitesse, chaine cinématique, boite à vitesse d’un tour
parallèle et maintenance industrielle.
Introduction
Générale
Introduction générale :
Historiquement, la recherche sur l’usinage s’est concentrée sur deux aspects: le premier
aspect concerne le développement technologique qui permet d’améliorer la productivité ainsi
que la qualité des pièces finies, le deuxième aspect est la modélisation qui permet la
prédiction des efforts de coupe, des champs de température et des propriétés des surfaces.
Cependant, le processus de fabrication, en particulier l’usinage sur les tours parallèles, joue un
rôle important sur la qualité et l’intégrité des surfaces réalisées.
Le but de ce travail est l’étude d’une boite de vitesse d’un tour parallèle de type
« 16D25 », les boites de vitesses et les transmissions en générales, sont très diversifiées par
leur nature et leur principe de fonctionnement suivant le type d’engins et le genre des travaux
à exécuter. Puis définir les exigences générales de tour parallèle en considère les conditions de
travail et faire le choix d’une transmission afin de satisfaire le mieux ces exigences. La boite
de vitesse mécanique est actuellement la solution la plus approprié et la plus convenable, soit
sur le plan technique, soit sur le plan économique.
Puis définir une approche de modélisation cinématique sur les changements de vitesses
et les combinaisons des baladeurs adoptés sur notre tour classique. En considèrent les
conditions de travail et faire le choix d’une transmission afin de satisfaire le mieux ces
exigences.
Le premier chapitre porte sur une recherche bibliographique sur les différentes machines-
outils, leurs structures, différents outils et formes obtenues sur les machines-outils classiques.
Par la suite définir les paramètres de la transmission à partir des données de la machine. On
tenant compte des caractéristiques de l’ensemble des organes qui constitué la boite à vitesse
de notre tour parallèle type « 16D25 ».
Puis faire un choix de type de denture et calculs des différents éléments constituant la boite de
vitesse.
Et au dernier chapitre nous présentons une approche sur la maintenance industrielle adoptée
sur la machine-outil ainsi que les différents entretiens préférés sur la machine-outil.
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Chapitre I
Généralité sur
Les machines-outils
Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I Introduction
En mécanique industrielle, la fabrication d’une pièce à partir d’une quantité de matière livrée
sous forme de produits semi-finis (tôles, barres, etc…) requiert la mise en œuvre d’ensemble
de techniques. L’une d’entre celle est l’usinage, c’est-à-dire un enlèvement de matière par un
outil coupant. L’usinage d’une pièce se décompose en une succession d’opérations, définie
par la gamme d’usinage établir par le bureau des méthodes à partir du dessin de définition issu
de bureau d’études. L’usinage traditionnel s’effectue, en respectant les règles de la coupe des
métaux sur des machines-outils classiques et automatisées.
I.1 La machine-outil
I.1.1 Définition « Une machine-outil est un appareil destiné à faire fonctionner des outils
mécaniquement, le mouvement étant d’ailleurs transmis à la machine soit à la main, soit par
l'intermédiaire d'un moteur. Les machines-outils employées pour le travail des métaux sont
très diverses et très répandues, et de nos jours les exigences de la construction ont amené à
produire des types d'une grandeur vraiment colossale. Les machines employées dans les
ateliers de fabrication comprennent : Les tours établis avec des dispositions et des dimensions
variables selon les formes et les dimensions des pièces, Les machines à percer employées
pour le perçage et l’alésage des pièces les plus diverses, Les machines à fraiser employées très
utilement pour le façonnage des pièces détachées, Les machines à aléser destinées à l’alésage
des cylindres, Les machines à raboter appliquées au dressage de pièces, telles que les bâtis de
machines, plaques de fondation, etc. Les limeuses sont d’un emploi très répandu dans les
ateliers d’ajustage, pour le rabotage des pièces détachées. » [1]
I.1.2 Historique
L’origine des machines-outils, tout commence 3500 ans avant Jésus-Christ avec les potiers.
Ils se servent de tour pour façonner l’argile et créer des vases. De manière précise et rapide.
Ils pilotent à l’aide de pédale et manivelle la « machine ».Ils réalisent alors des quilles et
autres objets à partir d’un tour à bois.
L'usinage s'effectue dans le but de donner aux pièces brutes la forme, les dimensions et la
précision nécessaire demandée par le concepteur dans son dessin de définition, par
enlèvement de copeau (surépaisseur) sur des machines-outils appropriées. En fonction de la
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
forme à donner à la surface et du type de la machine-outil, on distingue les opérations de
coupe suivantes : le tournage, le perçage, le fraisage, ………etc. [2]
I.1.4.1 Les fraiseuses : Les fraiseuses sont des machines-outils par enlèvement de copeaux,
caractérisées par l’utilisation d’outils tournants, appelés forets de précision .Ils sont conçus
pour usiner des surfaces planes, cylindriques, coniques, et /ou hélicoïdales .Le mouvement de
travail l’outil est toujours en rotation autour de son propre axe, tandis que la pièce un
mouvement de translation ou de rotation combiné.
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.1.4.1.2 Fraiseuse par apprentissage : Elle permet de mémoriser les mouvements exécutés
par l’opérateur et de les reproduire ensuite automatiquement.
I.1.4.1.3 Fraiseuse à commande numérique (CNC) : Elle dispose d’un organe de contrôler
informatique (automate programmable ou base de PC) où sont enregistrés les différentes
ordres nécessaires à la fabrication d’une pièce. Lorsque le programme est lancé, la machine
effectué automatiquement toutes les opérations.
I.1.4.1.4 Fraiseuse à banc fixe/ fraiseuse à portique : Lorsque les pièces à usiner sont de
très grandes dimensions et par conséquent la table fraiseuse également, des fraiseuses à banc
fixe ou à portique sont utilisées.
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.1.5 Les perceuses : Perçage est une opération d’usinage consistant à faire un trou dans une
pièce. Ce trou peut traverser la pièce de part en part, on l’appelle trou débouchant ou bien ne
pas la traverser, c’est alors un trou borgne. Ce trou peut être effectué par un foret, par découpe
à l’aide d’un poinçon (trou débouchant), par électroérosion, par laser, par brochage, etc. Ce
trou peut servir à faire passer une pièce ou un fluide, il peut être lisse ou tarauder pour
recevoir un rivet ou une vis d’assemblage. L’étude est limitée au perçage de trous
cylindriques lisses réalisées à l’aide d’un outil rotatif coupant appelé foret. Le perçage est
l’opération d’usinage la plus courante dans l’industrie mécanique.
I.1.5.1 La perceuse à colonne : est une perceuse à moteur. Elle se retrouve souvent dans les
ateliers où elle est fixée au sol, sur un établi ou sur un bâti. Cette forme de perceuse est
capable de percer des matières très dures comme l’acier. Aussi, cette perceuse dispose d’une
bonne puissance et peut effectuer des trous d’un diamètre pouvant atteindre 30 millimètres.
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.1.5.2 La perceuse radiale : C’est l’outil idéal pour percer des matériaux qui possèdent
différentes formes. Il est aussi utile pour effectuer des trous dans des directions diverses et
avec plus de précision. La perceuse radiale est semblable à une perceuse à colonne à la
différence qu’elle est une machine mobile.
I.1.5.3 La perceuse à multibroche: C’est une forme de perceuse fixe. Elle est très utile pour
effectuer au même moment plusieurs trous sur le même matériau. Ces trous peuvent être
identiques ou de dimensions différentes selon le besoin de l’utilisateur de la machine. Cela est
possible, car cette perceuse est équipée de nombreux porte-forets.
I.2 Les tours : Les tours permettent de fabriquer principalement des pièces révolution
même ces certaines machines peuvent réaliser des formes très complexe (tours de décolletage)
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
.Ces pièces peuvent être : métalliques ou en parallèle plastique (tour mécanique) ; en bois
(tour à bois) : en terre (tour verticale de potier).la pièce est tune par le mandrin et tourne
autour d’elle –même , l’outil se déplace par rapport à la pièce en translation suivant deux
directions perpendiculaires entre elles, l e périmer mouvement de translation est parallèle à
l’axe de la bouche , le deuxième mouvement perpendiculaire.
I.2.1.Tour conventionnel : Ce sont les tours de base. Les opérations sont réalisées par un
opérateur qui doit régler les différents paramètres et lancer les opérations.
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.2.2 Tour automatique (mono-broche ou multibroche) : le tour automatiques permet
d’usiner des pièces suivant un réglage. Sans aucun intervention de la part de l’opérateur ;
lorsqu’il est multibroche, le tour automatique peut réaliser plusieurs pièces en même temps.
I.2.3 Tours CNC : Le tour CNC est équipé d’une commande numérique qui pilote la
machine en suivant un programme réalisé manuellement.
La structure d’un tour CNC est plus complexe et dépend de la machin (Figure I.12), se trouve
l’intérieur d’un tour CNC Bi-broche. Les pièces à usiner sont placées dans les mandrins des
broches principales et secondaires. La commande numérique gère la rotation des deux
broches, le choix des outils coupants (en commandant la rotation des tourelles supérieurs et
inférieures). Les mouvements des outils coupant (en commandant les déplacements des
tourelles).
Les tours CNC sont donc caractérisés par (les éléments suivants) :
Nombre de tourelles
Tourelles motorisées ou non
Nombre d’outils sur la tourelle
Type de la commande numérique
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.2.4 Tours verticaux : Les tours verticaux sont utilisés pour usiner des pièces très lourdes et
de gros diamètre (de moins d’un mètre jusqu’à 10 mètres).
Dans ce cas, la pièce est posée sur plateau tournant et l’usinage s’effectue par l’intermédiaire
d’un ou deux chariots qui se déplacent. Ces machines peuvent également être équipées d’une
commande numérique
Un tour parallèle est une machine-outil permet de réaliser des opérations de tournage sur des
pièces de révolution autour d’un axe horizontale.
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
Figure I.14 Un tour parallèle 16D20 Figure I.15 Un tour parallèle 16D25
La pièce à usiner est placée dans le mandrin et par l’intermédiaire des mors. Un moteur
permet la mise en rotation du mandrin fixé sur la broche. L’outil coupant, est positionné dans
un porte-outil et serré à l’aide de vis. Le porte-outil est mis en place sur une tourelle porte-
outil. Le chariot transversal et le longitudinale assurent ainsi les mouvements de l’outil par
des moteurs d’avance. Le contrepoint permet de réaliser des opérations de pointage, centrage,
perçage et alésage en bout de pièce.
I.2.5.2 Organes d'un tour parallèle: Les organes d’un tour parallèle sont :
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
3) Glissières : Elles sont de profil prismatique et assurent un guidage précis du trainard
et de la poupée mobile. Elles sont rageusement planes. Il ne faut rien déposé sur les
glissières. [3]
4) Poupée fixe : Elle est fixée sur le banc de manière à que l’axe de la broche soit
parallèle aux glissières. Elle tient les mécanismes de commande de la broche et des
chariots (longitudinale et transversal). [3]
5) Poupée mobile : Ses fonctions sont suivantes :
Supporter la pièce à usiner,
Support d’outil (fortes,….),
Le traînard : Il repose sur le banc par une portée prismatique de forme identique à
celle du banc. Il se déplace sur le banc moyen du système engrenage et
crémaillère. [3]
6) Chariot transversal : positionnée perpendiculairement par rapport
7) Chariot porte-outil : Il peut s’orienter sur 360°.Il sert au déplacement de l’outil pour
de longueurs (90 mm). [3]
8) Tourelle : Elle s’oriente elles aussi sur 360°. Elle sert à maintenir le porte-outil ou
directement l’outil lui-même.[3]
9) La boite des avances : située en-dessous de la poupée fixe. Elle commande par un
mouvement d’engrenages, la vitesse de la vis mère et de la barre de chariotage. [3]
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.3 Tournage mécanique
I.3.1 Définition de tournage : Le tournage est une technique d’usinage qui consiste à enlever
la matière, à l’aide d’outils coupants, de la matière sur une pièce initiale cylindrique pour
obtenir une pièce finale.
I.3.2.1 Chariotage : le chariotage est l’opération qui consiste à usiner une surface cylindrique
ou conque extérieure. [4]
I.3.2.2 Dressage : le dressage est l’opération qui consiste à usiner une surface plane
(extérieure ou intérieure) perpendiculaire à l’axe de la broche. [4]
14
Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.3.2.3 Perçage : le perçage est l’opération qui consiste dans la pièce (débouchant ou borgne)
à l’aide d’un foret. Souvent l’axe du trou est confondu avec celui de la pièce. [4]
I.3.2.4 Alésage : l’alésage est l’opération qui consiste à usiner une surface cylindrique ou
conique de qualité à l’intérieur d’une pièce.[4]
I.3.2.5 Rainurage : le rainurage est l’opération qui consiste à usiner une rainure (association
de 3 plans) intérieur ou extérieur. Celle-ci peut servir par exemple pour le logement d’un
circlips ou d’un joint torique. [4]
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.3.2.7 Tronçonnage : Le tronçonnage est l’opération qui consiste à usiner une rainure
jusqu’à l’axe de ce afin de détacher un tronçon. [4]
I.4.1 La vitesse de coupe : Lorsque le mouvement de coupe est circulaire, dans le tour la
fréquence de rotation est déterminée par la formule :
N= donc Vc=
Avec :
Vc : vitesse de coupe, elle exprime la distance parcourue par une dent en une minute ; en
m/min
D : diamètre du foret en mm
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.4.2 La vitesse d’avance et avance : L’avance par tour, exprimé généralement par la lettre f,
permet le calcul de la vitesse d’avance(Vf). Lors des opérations de tournage, la vitesse
d’avance est donnée par la formule :
Vf= N×f
L’avance par tour à une incidence sue l’état de surface appelée aussi la rugosité. Pour obtenir
un bel état de surface, il est nécessaire de réduire cette avance. A ce stade, l’outil utilisé a lui
aussi son importance.
La puissance de la machine
Les tolérances géométriques à tenir
Le type de matériau
L’outil
Ebauche ou finition
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.5.1Composition d’outil : les outils répandus sont constitués d’une plaquette amovible
montée sue corps d’outil.
Pour la réalisation des diverses opérations de tournage on dispose des outils suivants :
I.5.2.1 Les outils à charioter : Une seule direction de travail possible pour la réalisation de
cylindres ou cônes extérieures. Si la pièce comporte un épaulement on obtient une surface en
travail d’enveloppe et une surface en travail de forme. [5]
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.5.2.2 Les outils à dresser : Une seule direction de travail possible perpendiculaire à l’axe
de la pièce pour la réalisation de surfaces extérieures. Si la pièce comporte un épaulement on
obtient une surface en travail d »enveloppe et une surface en travail de forme. [5]
I.5.2.5 Les outils à tronçonnage : Pour la réalisation des opérations de tronçonnage. [5]
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Chapitre I Généralité sur les machines-outils
I.5.2.6 Les outils à fileter : Pour la réalisation des opérations de filetage. [5]
I.5.2.7 Les outils de tarauder (filetage intérieur) : Pour la réalisation des opérations de
filetage intérieur. [5]
I.5.3 Définitions des principaux types de matériaux pour les outils de coupe
I.5.3.1 ARS (acier rapide supérieur) : Ce sont des aciers fortement alliés qui contiennent
plus de 0,7% de carbone et des éléments d’addition susceptibles de former des carbures :
Ils ont la propriété de pouvoir acquérir, après trempe, une dureté très élevée, et de la conserver
jusqu’à une température de l’ordre de 600 °C.
I.5.3.2 Carbures métalliques : Ils sont fabriqués selon la technique de métallurgie des
poudres par frittage. Ils sont constitués :
20
Chapitre I Généralité sur les machines-outils
De substances liantes qui donnent la ténacité au carbure. La plus employée est le cobalt(Co)
car il dissout facilement les différentes carbures (phase β).
I.5.3.3 Carbures micro grain : Ils sont caractérisés par une structure granulométrique très
fine du carbure de tungstène (0.2à1µm), lié par du cobalt (6à13%). Ils ont une ténacité plus
élevée pour une dureté constante et de fait peuvent entrer dans le domaine des applications
des matériaux tels que l’acier rapide. Cette nuance permet des arrêtes beaucoup plus fines par
suite, l’obstination d’angles de coupe très positifs. [6]
I.5.3.4 Aciers et carbures revêtus : Les aciers rapides et les carbures existent de plus en plus
sous forme revêtus. Ce revêtement en couches de quelques micros (1 à 20µ) est constitué,
selon les applications :
Ces revêtements améliorent très nettement les possibilités des outils, en particulier la durée
de vie, grâce à une réduction importante du frottement copeau /outil et pièce/outil.
Les résultats sont surtout spectaculaires sur les aciers rapides (certains fabricants de fraises
annoncent une augmentation de la durée de vie de 500 ans). [6]
I.5.3.5 Cermets : Il s’agit de matériaux à base de titane avec un liant de nickel, de cobalt ou
des deux à la fois. Ils sont une très bonne résistance à l’usure et une excellente stabilité
chimiques. Ils sont surtout réservés aux opérations de finition. Ils donnent de bons résultats en
21
Chapitre I Généralité sur les machines-outils
tournage de finition pour les aciers, en particulier pour les aciers inoxydables. Ils peuvent être
revêtus(PDV) de TiN et Ti (C1N). [6]
I.5.3.6 Céramique : Les céramiques se présentent sous forme de plaquettes frittées, il existe
deux grandes familles céramiques :
les céramiques à base d’alumine sous deux aspects : les céramiques pures de
couleur blanche composée d’oxydes métalliques mixtes de couleur gris composée
d’oxydes d’alumine métalliques.
Les céramiques à base de nitrure de silicium : ce sont des matériaux nouveaux,
les plus connus étant les sialons. Elles sont de couleur noire, composée de nitrure
de silicium et d’oxydes métalliques. En pratique, les céramiques sont prévues
pour supporter des vitesses de coupe élevées à des températures importantes.
Elles résistent bien à l’usure mais mal aux chocs. Elles souvent utilisées sur des
machines puissantes pour l’usinage des métaux ferreux. Elles ne conviennent pas
pour les alliages légers et pour les alliages de titane (problèmes chimiques). Elles
peuvent être revêtues de TiN et Al 203.
Diamant poly cristallin est composé de cristaux à grain, fins de diamètres compris entre 5 et
30µµm. Les plaquettes de coupe sont électroérosion dans un disque de diamant poly cristallin.
Il est recommandé pour la finition et la semi-finition métaux non ferreux (aluminium, cuivre,
plomb) et pour les matières non métalliques telle que le graphite et les composites. [6]
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Chapitre II
II Introduction
II.1 Définition
La boite de vitesse est un dispositif très nécessaire dans la machine-outil, c’est élément qui
transmet et modifier le couple et la vitesse de rotation entrante d’une source d’alimentation en
rotation à l’aide d’une chaine d’engrenages de différentes tailles. Les changements de la boite
de vitesse peuvent être effectués manuellement ou automatiquement.
La boite de vitesse contient des déférents baladeurs et pignons, et leur combinaison fournit
différents rapports de transmission permettant la rotation de la broche à différent vitesses.
Le choix des vitesses est guidé par l’intermédiaire d’un tableau des vitesses qui se trouve sur
la poupée fixe, ce tableau comprend toutes les positions disponibles des bras de levier avoir
toutes vitesses convenables.
24
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Vue que les engrenages ont pour but de transmettre le mouvement d'un arbre moteur à un
autre récepteur alors que ces deux arbres peuvent occuper des positions différentes les quelles
influent considérablement sur le choix du type d'engrenage.
En général dans les boites de vitesses les axes de l'arbre moteur et récepteur sont parallèles et
l’engrenage le plus commode choisi est un engrenage cylindrique à denture droite ou
hélicoïdale d'où nous avons le choix entre les deux.
Les engrenages cylindriques à denture droite sont utilisés pour des faibles vitesses, car sont
très bruyant par contre question d'usinage est d'une facilité relativement aux engrenages
cylindriques à denture hélicoïdale, ce type d'engrenage présente aussi des difficultés pour le
changement de vitesse en marche.
Pour notre boite dont la vitesse de rotation de l'arbre moteur est moins élevée (N max =4000
tr/min). Nous choisissons un engrenage à denture droite.
II.6.1 Introduction :
Les engrenages sont des organes mécaniques couramment utiliser pour transformer et
transmettre à un organe récepteur le couple et le mouvement de rotation générés par un
moteur .Ils constituent en général le meilleur choix technologique lorsqu’on veut transmettre
un mouvement de rotation à vitesse élevée avec une bonne précision, ce type de mécanisme et
préféré par aux autres solutions technologique. Les engrenages sont exploités dans de
nombreux domaines et en particulier dans celui des moyens de transport (Air, Mer, terre).
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Les engrenages jouent un rôle vital dans l’industrie et surtout dans les boites à vitesses. Les
engrenages sont utilisés comme moyen de transmission de puissance dans les boites de
vitesses et d’avances des machines où ils réalisent les vitesses, les couples et les sens de
rotation des éléments de machines. Ces transmissions peuvent être simples ou composées. Ces
engrenages doivent réaliser des rapports de transmission qui sont égaux au rapport des
nombres de dents des roues qui constituent la chaîne cinématique. Pour en arriver là il faut
calculer les nombres de dents des roues dentées qui doivent réaliser les différents rapports de
transmission. Le problème de détermination du nombre de dents pour une paire de roues
dentées qui doit réaliser un rapport de transmission .Mais ces méthodes ne considèrent que le
cas de la transmission simple. Maintenant, si la transmission est composée et que l’on veuille
garder l’entraxe invariable et éviter la correction de denture, il faut envisager une autre
méthode de calcul. Notre travail consiste à apporter plus de détails à cette méthode et à
considérer le cas des engrenages droits, où le module de l'engrenage varie d'une simple
transmission à l'autre. Comme nous avons considéré le cas des engrenages hélicoïdaux
cylindriques avec le même module et des angles d'hélice différents.
II.6.2Définition :
Un engrenage est un mécanisme composé de deux roues dentées mobiles autour d'axes de
position fixe et dont l'une entraîne l'autre par l'action de dents successivement en contact et on
dit que les deux roues sont conjuguées. La plus petite roue est appelée pignon, la plus grande
est la roue.
Les engrenages sont utilisés dans toutes les branches de la mécanique pour transmettre des
mouvements, de l'horlogerie jusqu'au réducteur de l'industrie lourde. La transmission se fait
27
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
avec un très bon rendement énergétique. La variation de vitesse obtenue entre l'entrée et la
sortie ne dépend que du nombre de dents des pièces en contact. [7]
Pendant le fonctionnement d’une transmission, le contact d’une dent de la roue menant avec
une dent de la roue menée s’amorce au pied de la dent menant et au sommet de la dent menée.
L’rengrènement s’effectue sur toute la largeur des dents à la fois. Pour que la transmission de
la rotation à l’arbre menée soit continue, l’attaque de couple de dents suivant doit se produire
avant la fin de prise de couple précédent. Dans les sections perpendiculaires aux axes des
roues à l’hélicoïdale, le contact s’établit de la même façon que dans le cas des roues à
dentures droites, mais de fait que les dents roues hélicoïdales sont disposés suivants des
hélices, la phase de leur engrènent varie dans les sections parallèle, contrairement aux
engrenages à dentures droites ou cette phase est la même sur toute la largeur des roue.
A la différence d’un engrenage droit, dans un engrange hélicoïdale le contact des dents
s’établit non pas simultanément sur toute leur largeur, mais progressivement. L’engrènent
d’un couple de dents s’amorce à la racine de la dent menant et sue l’arrêt de la dent menée.
Engrenage extérieur
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Engrenage intérieur
L’engrènement se fait entre un pignon et une couronne dentée. Le sens de rotation reste la
même.
Les dents des deux pignons sont profilées parallèlement à l’axe du pignon.
Les dents des deux pignons forment une hélice autour de l’axe du pignon. Cela permet de
diminuer le bruit et les chocs entre les dents (entrée en contact progressive des dents entre
deux pignons)
29
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Les deux pignons qui engrènent ensemble ont leurs axes parallèles.
Les deux pignons qui engrènent ensembles ont leurs axes non-parallèles mais concourants.
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Le pignon est entraîné par une vis. Leurs axes ne sont ni concourants, ni parallèles
(généralement perpendiculaire). Dans la majeure partie des cas, ce mécanisme est irréversible
sur fait des frottements (la vis peut entraîner la roue, mais généralement pas l’inverse).
Dans tous les cas, les profils de dentures sont basés sur le principe de la développante de
cercle, avec taillage par génération, qui est largement développé dans le cours sur les
engrenages cylindriques à dentures droites.
31
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Rappelle
1) Principe: Le taillage se fait avec les mêmes outils que les dentures droites, à ceci près
que l’outil est incliné d’un angle 𝛽 par rapport à la roue à la roue à tailler.
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
3) Caractéristiques :
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
1) Principe : Appelés souvent (renvoie d’angle), ces engrenages permettent d’entraîner par
des roues de forme conique des arbres qui sont dans la plupart des cas perpendiculaires et
concourants. Les dentures peuvent être de différentes formes : droites, hélicoïdales,
spirales, ou hypoïdes (axes non concourants)
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
35
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
2) Caractéristiques :
Le rapport de transmission obtenu peut être très important, avant un faible
comblement.
Le rendement est assez faible (beaucoup de pertes de puissance, et échauffement)
Le mécanisme peut être irréversible. (En pratique en dessus d’un angle d’hélice de
roue de 10° environ) c'est-à-dire que la roue ne peut pas entrainer la vis, ce qui
peut présenter un avantage pour la sécurité de fonctionnement de certains systèmes
(la charge ne peut pas faire tourner le moteur).
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
3) Représentation :
4) Cascade d’engrenage :
r=
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Les pignons fous n’ont pour fonction que d’inverser les sens de rotation ou d’éloigner les
roues motrice et réceptrice l’une de l’autre.
Si les axes des roues dentées ne sont pas fixés par un bâti ou un carter du mécanisme, alors il
s’agit d’un train épicycloïdal.
La géométrie des engrenages est entièrement décrite par un ensemble de paramètres qui sont
également utilisés pour leur normalisation :
1) Cercle de base : Cercle tangent à la droite normale tangent à la droite normale aux
points de contact sur les dents (appelée droite de pression).
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Elle est tangente aux deux cercles de base. Elle est le support permanent de l’effort de contact
s’exerçant entre le pignon et la roue. Elle est toujours inclinée d’un angle α par rapport à la en
(I) à la droit.
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
4) Le nombre de dent :
Le nombre de dent est noté(Z). C'est-à-dire (Z1) pour l’élément(1) et (Z2) pour l’élément (2).
5) Le module : Chaque denture possède son propre module, le module permet de définir
la taille des dents. Deux roues dentées de même module peuvent engrainer
parfaitement quel que soit leur nombre de dent. Le module est notée (m), il est
exprimé en mm, ses valeurs sont normalisées
6) Cercles primitifs : Cercle sur lequel se trouvent les points de contact des engrenages.
7) Cercle de tête : Cercle correspondant au diamètre maximal de l’engrenage.
8) Cercle de pied : Ce sont des cercles passant par les pieds des dents.
Le cercle primitif sert de référence pour la définition des dimensions de la dent et d’autres
paramètres :
40
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
12) Largeur de dent : Largeur de la partie dentée d’une roue mesurée suivant une
génératrice de cylindre primitif notée (b)
41
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Ce tableau représente les formules des engrenages cylindriques à denture droite référence
42
Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Avec :
Type d’engrenage.
Vitesse de rotation.
Résistance à la rupture et l’usure.
Dimension de l’engrenage.
Fonctionnement silencieux.
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Chapitre II Boite de vitesse d’une machine-outil
Les aciers spécieux sont de plus utilisé pour la fabrication des engrenages car ils
permettent une augmentation très sensille de la capacité de charge.6
44
Chapitre III
III.1 Introduction :
Le tour conventionnel, également connu sous le nom de tour parallèle, est sans aucun
doute la machine-outil d’enlèvement de matière la plus populaire au monde, c’est donc la plus
utilisée dans l’industrie de l’ingénierie.
Depuis avril 1942, après avoir fusionné avec la fonderie et l'usine mécanique "20
Octobre ", évacuée de Lougansk, elle est devenue connue sous le nom d'usine mécanique
d'Alma-Ata N21 du nom du 20e anniversaire de la révolution d'octobre du Commissariat du
peuple de l'URSS à la machine moyenne Immeuble.
Le tour parallèle « 16D25 » en peut utiliser dans les ateliers de tournages dans la
production petite série ou dans la production des pièces unitaire.
La figure III.1 Nous montre cette machine « tour parallèle 16D25 », et dans la figure III.2
on représenter son dessin d’ensemble.
46
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
47
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
48
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
La boite de vitesses comprend plusieurs roues, selon le nombre de vitesses qu’on peut
obtenir. La transmission du mouvement à partir de la boite de vitesses s’effectue par un
engrenage des écrous dentés coniques, puis le mouvement et transmit à l’arbre de la broche
d’un autre engrenage des roues dentées.
49
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Figure III.3 Dessin d’ensemble d’une boite de vitesse d’un tour parallèle « 16D25 » [8]
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Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
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Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
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Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
III.3.1 Définition
Le schéma cinématique est un outil d’analyse fonctionnelle qui a pour vocation de modéliser
les mouvements entre les différentes classes d’équivalence préalablement identifiées.
Ce schéma cinématique prend appui sur le graphe des liaisons, ainsi que sur l’analyse des
géométries de contact de chacune des liaisons, qui permettent d’identifier le nom des liaisons.
Un mécanisme est composé de plusieurs sous-ensembles reliés entre eux par une ou plusieurs
liaisons, en vue de réaliser une fonction, mais la lecture des plans d’ensembles n’est pas
toujours aisée et il est utile d’en simplifier la représentation.
Une liaison mécanique est une relation entre deux solides par contact. En réalité cette
notion est étendue aux classes d'équivalence. Chaque liaison restreint l'espace des degrés de
liberté des pièces du mécanisme. L'ensemble des liaisons d'un mécanisme et leur disposition
relative dans l'espace constituent la définition de celui-ci.
Il existe plusieurs formes de transmission de puissance, les Courroies, les chaines et les
engrenages sont des éléments de transmission de puissance souvent représentés sous leur
forme compilée. Les crabots, les verrous et les embrayages sont des éléments technologiques
qui permettent des liaisons temporaires.
53
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Figure III.5 Exemple d’un schéma technologique d'une boîte de vitesses automobile.
Le shéma cinématique est montrée pour comprendre les laisions et les interactions des
principaux élements de la machine.
La broche est entrainée en rotation à partir du moteur éléctrique réversible (Ml) via la boite de
vitesse et la boite à coloisons reliées par des entrainements à courroie poly. La boite de vitesse
instalée sur la machine dispose 6 embrayages.Eléctromgnétiques , dont l’inclusion dans
certain ordre vous permet d’obtenir 9 vitesse et de frenier la broche de la machine . La boite
de cloison donne , au moyen des inclusions des engrenages 3,5,7 et 8 le permier étage , les
engrenages 10,6,4 et 12 le deuxième étage , les engrenages 13,11,9 et 12 , le troisiéme étage
de vitesse .
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Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
RégLe tour « 16D25 » a un moteur électrique d’une puissance et d’une vitesse de rotation
égale à:
55
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Tel que :
(III.3)
=0.80 (III.4)
K12=Rs/e= ou bien
RAPPORT= (III.5)
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Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Roue dentée Nombre des dents Roue dentée Nombre des dents
Z1 36 Z7 24
Z2 36 Z8 30
Z3 30 Z9 42
Z4 42 Z10 15
Z5 24 Z11 58
Z6 48
Le tableau ci-dessus représente les nombres des dents de chaque pignon dans la boite de
vitesse de la machine « tour parallèle type 16D25 »
En appliquant la règle (III.5), on peut trouver toutes les vitesses de sortie (vitesses de la
broche)
(III.6)
On peut calculer le couple C1 car la puissance d’entré P1 est donnée, donc on applique la loi
suivante :
= (III.7)
= . = (III.8)
Les calculés des rapports des transmissions, les vitesses de sortie et les couples de sortie, les
résultats sont comme suit :
57
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Tableau III.2 Rapport, vitesse et couple dans le cas d’un accouplement à engrènement.
Transmission 1
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
0.129 20.253 193.5 543.61
Transmission 2
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
0.183 28.731 274.5 382.86
Transmission 3
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
0.258 40.506 387 271.56
Transmission 4
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
0.357 56.049 535.5 196.25
Transmission 5
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
0.51 80.07 765 137.37
Transmission 6
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
0.714 112.098 1071 98.12
Transmission 7
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
1 157 1500 70.06
Transmission 8
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
1.428 224.196 2142 49.06
Transmission 9
Rapport Vitesse W2 Vitesse N2 Couple C2
2 314 3000 35.03
L’engrenages utilisé dans cette boite de vitesse est cylindrique à denture droite. Le tableau
III.5 suivant represente les caractériqtique de tous les pignons contenants dans la boite de
vitesse à étudier.ces caractériqtique sont calculés en utilisant les formules mentionnés dans le
chapitre II « tableau II.3.caracteristique des engrenages à denture droites » .
58
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Z m D da Df Hf Ha h p b K s
Z1 24 3 72 78 64.5 3.75 3 6.75 9 .42 20 6.67 4.71
Z2 42 3 126 132 118.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z3 58 3 174 180 166.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z4 36 3 108 114 100.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z5 15 3 45 51 37.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z6 42 3 126 132 118.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z7 30 3 90 96 82.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z8 48 3 144 150 136.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z9 24 3 72 78 64.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z10 30 3 90 96 82.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Z11 36 3 108 1145 100.5 3.75 3 6.75 9.42 20 6.67 4.71
Les modules « m » et les largeurs des roues « b » et la matiére sont données dans le catalogue
de la machine « 16D25 »
b=20 et m=3
Nous avons vérifié nos calculs pour éclaircir les informations données sur ce catalogue, et
pour cela nous avons consulté les dimensions des engrenages standards. Par exemple le
pignon dont le nombre de denture est 24 et le module égale à 3 dans nos calcule on a trouvé le
diamètre de tète égale à 78 (da=78, voir tableau III.3), c’est la même valeur dans les
dimensions standard.
59
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
Nous avons six contacts entre les pignons dans tous les transmissions, de la poulie jusqu’à
arbre de sortie, le tableau III.4 représente tous les entraxes d’engrenages :
60
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
L’action de contacte F d’une dent sur l’autre est porté par la droite d’action incliné α=20° par
rapport à la tangente commune au cercle primitif. Ses composantes sont les efforts T
(tangentiel) et R (radial), l’effort tangentiel FT est à l'origine du couple transmis, L’effort
radial est perpendiculaire à FT, il est obtenu en projetant F2/1 sur O1O2 .il ne participe pas à
la transmission du couple.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⁄ =
⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗ (III.9)
⃗⃗⃗ = ⁄ = (III.10)
= ⁄ (III.11)
61
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
h : hauteur de la dent.
Au moment du flexion il y a des fibres qui se comprime et des fibres qui se tend, et il reste le
plan neutre qui contient des fibres non déformées.la fibre la plus sollicitée est également la
plus éloignée du plan neutre.
62
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
= (III.14)
(III.15)
La matière utilisée dans la fabrication de ces pignons est « un acier 40X GOST 4543-71 »
dont la résistance maximale à la traction est : Re=980 MPA.
Pour qu'une pièce résiste aux sollicitations, il faut être certain de rester dans la zone de
déformation élastique. On fixe donc un seuil à ne pas dépasser, à l'aide d'un coefficient de
sécurité « u ». Selon le type de contrainte, ce seuil est appelé « contrainte admissible », ou
encore Résistance pratique à l'extension (Rpe).
(III.16)
Tel que : 1< 𝒖 < 6 ,et puisque les charges, les contraintes sont connues et selon la matière des
pignons donc on prend le coefficient de sécurité u=2.
(III.17)
63
Chapitre III Etude de la boite de vitesse D’un tour parallèle « 16D25 »
(III.18)
(III.19)
(III.20)
64
Chapitre IV
Maintenance et Entretien
MI ou service entretien est placé le plus souvent sous la responsabilité des services
de production et dont le principalement rôle est d’assurer le dépannage des
machines.
Avant de mettre en évidence la fonction de MI, on se dotait de service entretien où
son rôle était d’intervenir dans une atmosphère de tension.
Sous l’effet de la crise économique et du progrès technologique, les capacités des
équipements de production sont maintenant calculer au plus juste.
Le cout de possession des stocks est tellement élevé que la plupart des
gestionnaires cherchent actuellement à les réduire au minimum pour alimenter
l’entreprise
Les méthodes utilisées et les taches couvertes par le service d’entretien ont subies
de profondes modifications [10]
Assurez-vous que toutes les protections sont en place et fonctionnelles et que la machine est
posée sur une surface plane, de manière stable.
Avant chaque mise en route de la machine, vérifiez que la pièce et l'outil sont
parfaitement serrés dans le mandrin ou contre-pointes et dans la tourelle pour le
tour, ou dans l'étau ou par bridage et dans les pinces pour la fraiseuse. Vérifiez que
la rotation complète de la pièce ou de l'outil n’est pas gênée.
Pour le tournage, ajustez les outils dans la tourelle, chaque fois avant de les
utiliser,pour les placer à la hauteur de pointes. Vérifiez, également avant la mise en
route et en faisant tourner la pièce manuellement, que la tourelle dégage
suffisamment.
Sélectionnez la vitesse de rotation qui est appropriée à l’usinage que vous allez
réaliser, en fonction notamment de la matière et du diamètre de la pièce ou de
l'outil et de la matière de l’outil. Attendez que la machine atteigne complètement
cette vitesse avant de commencer l’usinage.
Ne changez jamais le sens de rotation de la broche quand le moteur tourne.
66
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
Ne tentez pas d’arrêter la machine avec vos mains, sur la pièce ou l'outil par
exemple.
Ne laissez jamais la machine fonctionner sans surveillance quelle qu’en soit la
raison.
Ne laissez pas la clé du mandrin sur le mandrin du tour ou sur le mandrin de
perçage dans la broche de la fraiseuse.
N’usinez pas avec une machine endommagée ou dont certaines pièces sont usées.
Conservez votre machine en parfaites conditions de travail. Inspectez
fréquemment et faites les petites réparations quand c’est nécessaire. Retirez les
outils (clés, tournevis) après utilisation.
AVERTISSEMENT : Aucune liste de consignes de sécurité ne peut être complète.
Chaque lieu de travail est différent. Pensez d’abord et toujours à votre propre
sécurité et à vos conditions de travail. Utilisez cette machine ainsi que toute autre
avec précaution et intelligemment. Tout manquement aux règles d’usage peut
conduire à de mauvais résultats d’usinage, à endommager le matériel ou encore à
des blessures graves. Comme pour tous les outils électriques, il y a un risque à
utiliser une machine-outil. Les accidents sont souvent dus à un excès de familiarité
ou un manque d’attention. Utilisez cette machine avec respect et attention pour
diminuer l’éventualité de blessures. Si les consignes de sécurité, pour un raison ou
pour une autre, sont outrepassées ou ignorées, de graves accidents peuvent se
produire.
MISE A LA TERRE : Dans le cas d’un court-circuit, la mise à la terre réduit le
risque d’électrocution en fournissant une résistance moindre qui permet au
courant électrique de se disperser. Le branchement extérieur doit être proprement
réalisé selon les normes en usage.
NETTOYAGE : La machine est recouverte d’une graisse pour la protéger contre la
rouille.
Nettoyez cette graisse à l’aide d’un solvant ou d’un dégraissant (nous
recommandons du gazole, ou du produit de fontaine de lavage). Pour bien
nettoyer, quelques pièces devront être retirées. Pour d’excellentes performances de
la machine, prenez soin de nettoyer toutes les parties mobiles et les glissières qui
sont recouvertes. Evitez les dissolvants à base de chlore qui endommageraient les
peintures. Suivez les instructions du fabricant du produit avant de l’utiliser.
67
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
Seules les personnes aptes à utiliser la machine peuvent être autorisées à y accéder.
Toute personne n'ayant pas les capacités requises ne doit pas avoir la permission
de mettre en route la machine et présente un danger flagrant de risques pour elles-
mêmes et pour la machine Toute fausse-manoeuvre entraînant des dégâts matériels
ne sera évidemment pas pris sougarantie.
Faites une vérification périodique, selon l'utilisation de la machine, des éléments
mobiles, de serrage de celle-ci et des outils. Toute pièce ou outil détériorés doit
impérativement être changé, même si le travail à effectuer nécessite peu d'effort ou
un temps d'usinage court. Appelez votre vendeur pour toute information.
Utilisez les accessoires de protection appropriés, lunettes (attention des lunettes de
vue NESONT PAS des lunettes de protection), bouchons d'oreilles, casque,...
Ne mettez jamais votre main sur l'outil dans la broche ou sur l'attachement lorsque
la machine est sous tension ou lorsqu'elle risque d'être mise en route.
Utilisez uniquement la machine quand la porte de protection est fermée et le
verrou de sécurité activé et en état de fonctionnement. Les outils en rotation
peuvent causer des blessures importantes. En cours de programme la table et donc
ce qui se trouve dessus peut se déplacer à très grande vitesse et dans n'importe
quelle direction.
Le bouton d'arrêt d'urgence (également appelé bouton de mise hors tension
d'urgence) est le gros bouton circulaire et rouge situé sur le panneau avant de la
tête de la machine. Un appui sur ce bouton arrêtera immédiatement l'alimentation
électrique de tous les contacteurs et donc arrêtera le fonctionnement des moteurs
de broche, de pompe, d'axes,... N'utilisez donc ce bouton qu'en cas d'urgence
extrême pour éviter toute casse machine ou pièce inutilement.
Prenez un maximum de précautions lors du serrage de la pièce à usiner, un
mauvais blocage peut provoquer une éjection de la pièce et provoquer des dégâts
ou des accidents graves.
68
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
IV.4 Nettoyage
Avant l’expédition du tour, celui-ci est recouvert d’une graisse pour empêcher les pièces
métalliques de rouiller. Après l’inspection et la mise en place de la machine, nettoyez cette
graisse à l’aide de gazole. N’hésitez pas à démonter certaines parties et accessoires
(mandrin,tourelle, chariots,…) pour accéder aux endroits les plus difficiles.
69
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
Après avoir préparé le béton au sol pour recevoir le tour et après avoir posé puis vissé celui-
ci, placez un niveau de précision (0,02 mm sur 1000 mm) sur le chariot transversal. Ajustez
d’abord le niveau dans le sens longitudinal puis dans le sens transversal, en vissant ou en
dévissant les vis de fixation au sol. La tolérance pour une bonne mise à niveau est de 0,04 mm
sur 1000 mm. Serrez les écrous à chacun des six pieds du tour puis contrôlez à nouveau le
niveau. Il est possible qu’un réglage soit à nouveau nécessaire et prenez le temps de le faire.
La boîte de vitesse de la broche est lubrifiée par barbotage. Un circuit d’huile par gravité à
l’intérieur de la boîte permet d’alimenter les roulements de la broche et finalement l’huile
coule au fond de la boîte. Pour ajouter de l’huile, retirez le bouchon de remplissage en façade
puis versez à travers le trou en vérifiant le niveau grâce au voyant. Pour vidanger la boîte,
retirez le bouchon situé sur le côté droit de la poupée, vers le mandrin. Prenez l’habitude de
vérifier le niveau d’huile de la boîte grâce au voyant, avant toute mise en route. Si le niveau
n’est pas atteint, complétez-le. Nous recommandons de faire une première vidange après 10 à
15 heures d’utilisation puis deux fois par an.
Ces deux boîtes sont en bain d’huile et assurent la lubrification des pignons et des roulements.
Il est recommandé de faire une première vidange après 10 à 15 heures d’utilisation puis une
fois par an. Si le niveau d’huile est insuffisant, complétez-le.
IV.8 Graisseurs
A l’aide de la burette ou d’une pompe à graisse, lubrifiez tous les points (G) indiqués ci-
dessus avant chaque première mise en route quotidienne. Vous pouvez utiliser de l’huile ou
de la graisse.
70
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
IV.9.1 Introduction :
Objectifs financiers :
Objectifs opérationnels :
1) Maintenance systématiques : Elle est définie par les loi de conception par le
constructeur et remplie par l’éxperience des agents de la maintenance . C’est la plus
simple et la plus utilisée jusqu’à présent.
2) Maintenance conditionnelle : Qui demande au préalable déffectue un diagnostic
avant de remplacer l’organe en question . Elle s’appliqué particuliérement aux
machines tournantes. Elle est basée sue l’analyse :
Externe des machines ( corrosion , ancrages , ……).
Des paramètres de procès ( tempèrature, préssion débit , …..).
Des huiles de lubrification et étanchéité .
Des températures d’organes des machines .
Des vibrations et des bruits au neveau des organes .
Ce type de maintenance sera facilité par une bonne maintenabilité ( aptitudes à maintenir ou à
rétablir un dispositif ,dans un état , lui permettant d’accomplir sa fonction ). Il pourra
71
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
Systématique Conditionnelle
IV.10.1 Introduction
Le contrôle vibratoire est outil performant de diagnositc des modes de déffaillence des
machines tornantes : elle sert notamment à détecter les défauts d’engrénements et
d’engrenages . Ces défauts se caractérisant par une fréquence (feng) , appelée fréquence
d’engrénements , égale à la fréquence de rotation multipliée par le nombre de dents . Pour
étudier ces défauts nous optons deux techniques d’analyses : [11]
a) L ’analyse temporelle :
Les méthode temporelle sont basées sur l’analyse statistique du signl recueilli . Ces
méthodes utilisant des indécateurs scalaire qui permettant de suivre l’évolution d’une
grandeur dérivant de la puissance ou de l’amplitude crete du signal . L’indécateur le
plus courant est sans doute la valeur éfficace ou couramment appelée RMS ( Root
Mean Square ) elle est donnée par :
√ ∑
Notons égalements l’utilisations des indicateurs cretes qui sont issus des valeurs crets
du signal temporel mesuré . Le facteurs de cretes qui est défine comme étant le rapport
72
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
entre la valeur certes et la valeur éffecace , il est signe d’une évantuelle des gradations
si sa valeur dépasse six [12] .
a) L’analyse fréquentielle :
Les méthodes fréquentielles sont les plus utilisées poue l’analyse vibratoire . Elle se
paratiquent à l’aide de la Transformée de Fourier . La Transformée de Fourier permet
de convertir un signal temporel en un signal fréquentiel et donc d’obtenir une
représentation amplitude / fréquence de signal [13] . Les mesures ansi éffectues sont
analysées du point de vue spectral ; les spectres sont comparés à ceux obtenus pour un
point de fonctionnement et un état donné . La sensibilité de cette méthode et
relativement élevée [14 ] .
IV.11 Entretien-Réglage
IV.11.1 Introduction
L’entretien est l’ensemble des actions qui garantissent le bon fonctionnement et la durée
de vie de la machine. Le but de ce chapitre de réaliser une gamme d’entretien à un tour
paralléle à fileter de type « 16 D 25 » Cette gamme permet de réduire les pertes de production
ainsi que la conservation des pièces d’usure qui s’usent rapidement.
IV.11.2 Graissage
73
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
74
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
IV.11.3 Interventions
75
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
76
Chapitre IV Maintenance et Entretien de la Machine-outil type « 16D25 »
FigureIV.5Pictogrammedemiseengarde
77
Conclusion
générale
Conclusion générale :
Dans ce modeste travail, nous avons abordé un choix réfléchi de type de dentures droites qui
permettent de transmettre le mouvement de rotation entre les arbres parallèles avec un couple
important, et un sélectionneur des vitesses pour notre tour parallèle.
Par la suite définir la résistance des dentures et d’autre calcul pour l’étude de la chaine
cinématique de la boite de vitesse de notre tour et les différentes méthodes de calcul des
organes de la boite. Ce type de machines est utilise en particulier en usinage a grande vitesse
de formes simples et complexes
Après l’achèvement de ce travail, nous avons adopté une gamme d’entretien préventif de tour
prallèle «16D25», cette gamme assure pour nous une durée de vie considérable pour notre
machine et en même temps les outils de coupes dans des bonnes conditions d’utilisation. On
conclue que la maintenance, n’est pas que la réparation, et que la maintenance n’est pas
forcement un bon homme à combinaison tachés de graisse, mais tout une fonction
compliquées qui nécessite une organisation parfaite et une connaissance de la machine outil.
Malgré les nombreuses difficultés rencontrées durant la réalisation de ce travail, les résultats
m’ont permets de ce familiariser avec les modules enseignés durant notre cursus universitaire.
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Références bibliographiques
[3] Fabrication mécanique tournage les organes d’un tour parallèle, 2016. Consulté Avril 2021
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[6] Les matériaux pour outils de coupe en usinage, le magazine technique des équipements de
production industriel, « http://www.equip-prod.com » consulté Mai 2021
[7] Gearing basics, Power transmission Design, July 1994 p.p 49-53}. Il existe quatre types
d'engrenages différents.
[10] Maintenance basée sur la fiabilité ; Guide pratique d’application ; Hubert M.B, édition 1995.
[11] Article Surveillance et détection des défauts d’engrenage par analyse vibratoire Bouchra Abou
EL Anouar Laboratoire Electronique et systèmes Faculté des sciences Université Mohamed Oujda,
Maroc. Consulté juin 2021.
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