Rapport D'évaluation: Licence Professionnelle Management Des PME-PMI
Rapport D'évaluation: Licence Professionnelle Management Des PME-PMI
Rapport D'évaluation: Licence Professionnelle Management Des PME-PMI
Rapport d'évaluation
Licence professionnelle
Management des PME-PMI
● Université d’Angers - UA
Pour le HCERES,1
alinéa 5)
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Évaluation réalisée en 2015-2016
Présentation de la formation
Établissement(s) cohabilité(s) : /
L’objectif de cette licence professionnelle (LP) Management des PME–PMI est de former des adjoints de direction
pour les petites et moyennes entreprises et industries (PME-PMI), à savoir des cadres généralistes capables d’assister des
dirigeants de PME-PMI. Le contenu de formation a été élaboré en concertation avec les milieux professionnels et plus
particulièrement avec la Confédération Générale des PME et PMI (CGPME), le Mouvement de Entreprises de France (MEDEF)
Choletais, l’Association des Experts Comptables Choletais (EXPERC), le Centre des Jeunes Dirigeants de Cholet (CJD) et la
jeune chambre économique.
Les débouchés de cette formation sont les métiers liés aux fonctions principales d’une entreprise, à savoir : gestion,
finance, commercial, ressources humaines, communication interne et externe, développement à l’export, administratif,
gestion de l’environnement. Le programme de formation a été construit pour répondre à la finalité que les étudiants aient
une bonne connaissance de l’entreprise et de son environnement pour être, plus tard, le bon binôme du dirigeant.
La licence, localisée à l’Institut Universitaire de Technologie (IUT) de Cholet, est ouverte depuis 2005, est en
partenariat avec le lycée La Providence de Cholet et a été délocalisée entre 2011 et 2013 à l’IFTIC Sup’ à Yaoundé
(Cameroun). L’effectif est actuellement d’une trentaine d’étudiants dont une petite dizaine en contrats de
professionnalisation.
La structure générale de la formation est de 415h au total auxquelles viennent s’ajouter 150h de projet tuteuré et
14 à 20 semaines de stage pour les formations initiale et continue. La formation est organisée autour de huit unités
d’enseignement – UE - (UE 1 : Management, gestion administrative et ressources humaines, UE 2 : Gestion financière et
fiscale, contrôle de gestion, UE 3 : Management des opérations commerciales, UE 4 : Communication, UE 5 :
Entrepreneuriat et culture d’entreprise, UE 6 : Economie et Droit européens, UE 7 : Projet tuteuré, UE 8 : Stage).
Synthèse de l’évaluation
L’adéquation du cursus aux objectifs de la formation est bonne. Les objectifs de la formation sont exprimés de
façon claire et concise et les différents enseignements proposés répondent à ces objectifs. Ainsi les quatre premières UE
permettent aux étudiants d’acquérir un ensemble de compétences dans la gestion administrative, financière et
commerciale. Les UE 4 et 5 concernent la communication et l’esprit entrepreneurial et l’UE 6 l’environnement européen.
Les deux dernières UE (UE 7 et UE 8) se concentrent sur la dimension entreprise et professionnelle de la formation.
Au niveau régional, il n’y a pas de formation directement concurrente. Certaines formations sont axées sur le
management des organisations mais avec des spécificités métiers (agricole, équestre et culturelle).
La formation a tissé de nombreux partenariats formalisés avec des organisations professionnelles (CGPME, CJD,
EXPERC, MEDEF) et des établissements de formations (le lycée la Providence en France et l’IFTIC Sup’ à Yaoundé). Les
partenariats avec les organisations professionnelles ont permis de définir les besoins en emploi, de construire un
programme de formation conforme aux besoins des entreprises et de faire participer certains membres à la formation par
des visites d’entreprises et/ou des conférences. Mais, il n’est pas fourni d’informations précises sur le bassin d’emploi.
Concernant le partenariat académique français, le lycée La Providence accueille la formation au sein de ses locaux,
participe aux enseignements, au conseil de perfectionnement et au comité de pilotage pédagogique. Il en est de même
pour l’IFTIC agréé par l'Etat à Yaoundé. Le directeur des études est également un enseignant de ce lycée. Il semble donc
que le partenariat soit très fort entre ces deux institutions. Le lycée La Providence semble être bien orienté entreprises.
Le réseau est précieux. Toutefois, la répartition des rôles et des responsabilités en termes de gestion de l’alternance reste
à préciser. Il conviendrait de préciser ce point d’autant plus qu’il apparaît que l’alternance est un élément vers lequel la
formation souhaite encore plus s’engager en développant les contrats de professionnalisation. Il est important, outre de
travailler la polyvalence des étudiants, de capitaliser sur les acquis en entreprise pour valoriser la théorie.
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Le recrutement se fait en deux temps : dossier et entretien. Avec plus de 300 dossiers de candidature pour 30
places ouvertes, la sélection est très forte. Ainsi, la motivation et le projet professionnel sont deux éléments clés de la
sélection. La provenance des étudiants reste très large (Brevet de Technicien Supérieur (BTS), Diplôme Universitaire de
Technologie (DUT), Deuxième année de licence (L2) et autres). Dix heures de mise à niveau dans certaines UE ont été
instituées. Depuis 2010, la classe est au complet. Sur le site de Yaoundé, on ne dispose pas d’effectif cible mais sur la
promotion 2011-2012, il était décompté 17 étudiants et sur la promotion 2012-2013, il était décompté 41 étudiants. Il
serait bon d’avoir un écho sur la pédagogie voire un échange de bonnes pratiques. Le taux de réussite sur le site de Cholet
est bon. Il avoisine les 100 %. Par contre, sur le site de Yaoundé, il n’est que de 79 %. Il serait utile de sécuriser le
processus de sélection des dossiers et de recrutement.
Le taux de répondants aux enquêtes d’insertion professionnelle est bon sur le site de Cholet (90 % promotion 2013-
2014) mais l’est moins sur le site de Yaoundé (55 % promotion 2012-2013). Par contre, il est difficile d’avoir un historique
de progression de ce taux d’insertion car il n’existe pas de suivi des diplômés mis en place de manière systématique. Il y a
des retours sur les promotions 2009-2010 et 2010–2011 mais comme les deux promotions entières n’ont pas répondu, les
chiffres ne sont pas forcément exploitables. Il n’existe pas d’association des anciens diplômés.
L’équipe pédagogique est constituée de trois enseignants de l’université (un enseignant chercheur - EC), un Maître
de conférences – MCF - associé et un PRAG - Professeur agrégé), d’enseignants du lycée la Providence (cinq enseignants) et
de professionnels (cinq professionnels). Force est de constater que l’équipe pédagogique est très restreinte (13
enseignants) avec assez peu d’enseignants de l’université et un seul enseignant-chercheur. On s’explique mal cette faible
participation des enseignants et des EC de l’université alors même que les enseignements ne sont ni spécifiques ni
techniques. Par ailleurs, on s’interroge, concernant les professionnels, sur leur adéquation avec la formation étant donné
les structures dans lesquelles ils ont travaillé (grande entreprise telle que Rhône Poulenc par exemple). Enfin, il existe des
différences entre le nombre d’heures d’enseignement effectif fourni par le responsable de formation et celui fourni par
l’université.
Il existe un conseil de perfectionnement et un comité d’évaluation. Par contre, on ne dispose pas d’informations
quant à leur mode de fonctionnement ; Il n’existe apparemment pas de processus formalisé d’autoévaluation même s’il est
mentionné que la LP a évolué au cours des années (suppression de la langue vivante). Le pilotage et la structure
d’accompagnement des projets et des stages (20 crédits européens - ECTS) occupent une place importante dans la
formation. Il a été mis en place un suivi personnalisé des projets (compatibilité stage/projet tuteuré/contenus de
formation) pour chaque étudiant. Les suivis des sujets de stages et projets tuteurés sont effectués par un enseignant et un
professionnel. Par contre, il n’existe pas de livret d’alternant ou de convention d’engagement de l’entreprise. Il n’est pas
fourni d’information sur les modalités de suivi de la montée en compétences et des acquis à avoir en fonction du degré
d’avancement de l’étudiant (lien théorie et pratique). Il manque le calendrier de l’alternance.
En conclusion, un certain nombre de points forts et de points faibles permettent d’aboutir à des recommandations.
Tout d’abord, la LP est très attractive pour les étudiants (taux de pression de 10) et répond aux besoins des entreprises
grâce à la mise en place de nombreux partenariats (non formalisés) avec les organisations professionnelles et une diversité
de modalités d’intervention des professionnels. Force est de constater toutefois que le nombre de professionnels reste
insuffisant et que leur profil n’est pas toujours en adéquation avec les objectifs de formation. Le positionnement de la LP
est également exprimé de façon claire et est en adéquation avec les compétences délivrées. La volonté de développer
l’alternance, notamment l’apprentissage, s’inscrit dans cette perspective. Toutefois, l’augmentation du nombre
d’étudiants alternants au sein de la formation pose le problème d’un groupe unique mixte et questionne la gestion de ce
dispositif qui doit être réalisée de façon plus rigoureuse et plus formalisée. Ce suivi de l’alternance est aujourd’hui
insuffisant comme l’est également le suivi des diplomés qui nécessite plus de régularité. L’équipe pédagogique est, par
ailleurs, très restreinte et montre une faible participation d’EC et d’enseignants de l’Université d’Angers. Un effort doit
être fourni pour impliquer plus d’EC et/ou enseignants et ainsi étoffer l’équipe. Enfin, il est surprenant de constater que
certains aspects de l’entreprise ne sont pas abordés dans les cours dispensés comme le management industriel et logistique
et que le numérique reste marginal. A cet égard, l’introduction de cours de système d’information orienté PME-PMI tels
que celui de la CEGID (Compagnie européenne de gestion par l'informatique décentralisée) pourrait être proposé dans la
formation pour coller au plus près des besoins des entreprises.
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Analyse
Les débouchés de cette formation sont les métiers liés aux services d’une
entreprise, à savoir : gestion, finance, commercial, ressources humaines,
communication interne et externe, développement à l’export,
administratif, gestion de l’environnement. Au regard du programme des
modules dispensés, l’ensemble est cohérent par rapport à la finalité que les
élèves soient généralistes et être le bon binôme du dirigeant plus tard.
Il n’existe aucun enseignement sur les systèmes d’information PME-PMI,
alors qu’ils sont essentiels en entreprise.
Adéquation du cursus aux
objectifs Il n’y a aucun enseignement en gestion industrielle, logistique et qualité
alors même que certains stages et emplois nécessitent ce genre de
compétences (gestion des stocks, lean management, adjoint logistique).
Par ailleurs, une UE complète (UE6) est dédiée à la problématique
européenne (50h). Il est possible de s’interroger si cela correspond à un
besoin réel des entreprises.
Ce besoin d’enseignement plus industriel doit être questionné en rapport
avec le milieu socio-économique (type de PME) pour lequel nous n’avons
aucune information précise et chiffrée.
Les effectifs sont stables au cours des années sur le site de Cholet (30
étudiants). Les deux années d’ouverture à Yaoundé les effectifs ont été de
17 (2011-2012) et 41 (2012-2013). La formation est très attractive, ce qui
Effectifs et résultats permet au responsable de formation de sélectionner les candidats en
adéquation avec les objectifs de la formation (en moyenne plus de 300
dossiers).
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Les résultats sont bons (en moyenne près de 90 % de réussite et 100 % en
2013-2014).
L’insertion professionnelle est également de bon niveau puisque près de
90 % des personnes ayant répondu aux enquêtes sont en emploi après leur
stage (proche de cet environnement de stage) dans des postes d’adjoint.
Toutefois, nous ne disposons pas d’information concernant le nombre de
réponses ayant permis d’obtenir ce chiffre. On constate d’ailleurs au
niveau de l’université que moins de 50 % des étudiants répondent aux
enquêtes sur le suivi des diplômés.
Les projets et les stages occupent une place importante dans la formation
(20 crédits européens - ECTS). Il a été mis en place un suivi personnalisé
des projets (compatibilité stage/projet tuteuré/contenus de formation)
Place des projets et stages pour chaque étudiant.
150 heures de projet tuteuré permettent aux étudiants par groupe de
trois ou quatre de traiter de problématiques types de PME-PMI telles que
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la création d’entreprise ou le business plan. Les projets tuteurés donnent
lieu à la rédaction d’un dossier et sont soutenus en juin. Mais on ne sait
cependant pas s’il y a un suivi des projets tuteurés durant leur
déroulement et qui s’en charge.
Le stage d’une durée de 14 à 20 semaines suit les mêmes modalités
d’évaluation. En ce qui concerne son suivi, les étudiants sont encadrés
par un tuteur en entreprise et un tuteur universitaire. Chacun
accompagne l’étudiant dans la réalisation de son stage. De nombreux
échanges sont organisés entre les trois parties. Les soutenances se font en
juin. La grille d’évaluation permet une évaluation du mémoire, de la
soutenance et du stage.
Pour les étudiants en alternance, nous savons que l’alternance s’organise
de septembre à fin août (les soutenances de l’alternance ont lieu en
septembre), qu’ils sont dans l’entreprise à plein temps à partir de février.
Si cette modalité d’alternance s’explique par le mixage des deux groupes,
on peut se demander si on est vraiment dans de l’alternance (notamment
dans la seconde partie de l’année). On n’a aucune information en ce qui
concerne le suivi de ces étudiants et s’il est identique aux étudiants en
formation initiale ? Ceci semble confirmé par le fait qu’il n’y a pas de
livret de suivi de l’alternance. Il serait souhaitable que ce livret soit
développé dans le futur.
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L’Université d’Angers réalise le suivi des diplômés (à 10 et 30 mois). Le
responsable de formation fait ce suivi à 0, 3 et 6 mois. Les chiffres
montrent un taux d’insertion de 90 % en 2013-2014 à l’issue de la
Suivi des diplômés formation.
Concernant les enquêtes de l’université, le taux de réponses est de plus
en plus faible (moins de 50 % en 2011-2012, exception faite de la
formation délocalisée).
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Observations de l’établissement
Evaluation des formations
Identification de la formation
Synthèse de l’évaluation
Points faibles
Observations Pas de livret d’alternant et de convention d’engagement de l’entreprise
Les "Recommandations" relatives à la méthodologie du mémoire de stage et de projet
tuteur sont présentées et expliquées pour tous les étudiants. Elles sont contenues dans un
document remis aux alternants et à leurs tuteurs.
Il définit notamment le rôle de l'étudiant, alternant, ainsi que du tuteur et engage ces
derniers.
Analyse
Environnement de la formation
Observations Répartition des rôles et des responsabilités en termes de gestion de l’alternance
Le traitement et le suivi administratifs sont assurés par le service de formation continue de
l'IUT.
Le suivi pédagogique relève de la compétence notamment du responsable de la formation et
du directeur des études (Voir ci-dessous).
Effectifs et résultats
Observations La licence accueille en moyenne 30 étudiants tous les ans.
Les résultats aux examens varient entre 95 % et 100%. Nous effectuons, en interne, un bilan
statistique des résultats et de l’insertion des étudiants tous les ans. Les études d’insertion
dépendent du taux de répondant variable d’une année sur l’autre, souvent compris entre 18
et 25 répondants (sur 30) à 3 mois avec un taux de répondant diminuant au fur et à mesure
du temps
Equipe pédagogique
Observations Actuellement, plus de 42% des enseignements de la formation sont assurés par des
professionnels. Ces contacts avec les professionnels sont renforcés par des conférences, des
visites d’entreprises, des salons (de l’entrepreneuriat, en particulier), des colloques auxquels
toute la promotion participe.
Question : combien de professionnels devrions nous avoir ?
La remarque concernant Mr John Davis est inappropriée. En effet, si celui-ci est ancien
directeur commercial de Rhône Poulenc, vice-président de la communauté d’agglomération
choletais, en charge des questions économiques, il est également membre de cercles de
réflexions patronales, impliqué dans la plupart des organisations et des actions de
développement local. De plus, il n’a jamais été avare ni du temps qu’il consacre à la
formation, à son rayonnement, aux étudiants, ni de ses liens pour des mises en relation
fructueuses.
Nous entendons bien le besoin de faire intervenir plus d’EC en management d’entreprise.
Nous avons jusqu’ici privilégié l’intervention de professionnels sur ces domaines.
Place de la professionnalisation
Observations Les professionnels assurent plus de 42% des enseignements (voir ci-dessus).
Deux réunions sont organisées avec les tuteurs entre octobre et avril afin d'exposer
notamment la méthodologie de réalisation du mémoire et de déterminer le rôle de
l'enseignant et du tuteur et d'échanger à ce sujet.
Place de l’international
Observations La possibilité d'effectuer le stage à l'étranger est communiquée aux étudiants dès le mois de
septembre, notamment grâce au programme Erasmus+, dans le document contenant
recommandations relatives au stage.
- Suivi de l'Alternance:
Sur le plan administratif, le suivi est assuré par le service de formation continue de l'IUT.
Sur le plan pédagogique, deux rencontres avec les tuteurs des alternants sont organisées
dans l'année.
La première permet une prise de contact avec ces derniers auxquels nous présentons la
formation et discutons de projets que les alternants sont chargés de traiter et de valider
ceux-ci.
Une deuxième réunion permet de faire le point sur chaque projet et de remédier aux
difficultés éventuelles exposées.
Ensuite, à partir de janvier, les enseignants chargés d'encadrer les alternants effectuent au
moins deux visites d'entreprise afin d'examiner avec l'alternant et son tuteur l'avancement
du projet.
De même, le suivi est permanent grâce aux contacts réguliers avec ces derniers, par
téléphone ou par mails.
Une association des anciens diplômés de la LP MPP existe et est active. Elle organise, par
exemple, le jeudi 9 juin 2016, le 10ème anniversaire de la LP MPP au Domaine Universitaire
de Cholet.
Au programme de la soirée : Table ronde et Business Meeting avec une Table ronde animée
par M. John DAVIS (Rhône Poulenc) sur « Les entreprises familiales » et avec la participation
de M. Serge Pasquier (Brioche Pasquier), M. Laurent Morillon (Morillon SAS) et M. Guillaume
Ageneau (Ageneau Transport SAS)
Observations de l’UM
Observations générales
Cette évaluation, éclairage extérieur, nous a permis de percevoir de nouvelles pistes de réflexion.
Soyez en remercié.
Christian ROBLEDO