Silo - Tips - Livre Prof fr5 Chap03
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3 Bandes de jeunes !
3 Bandes de jeunes !
Présentation du chapitre
Place dans le cycle et dans les programmes
❱ Ce chapitre permet d’aborder le deuxième enjeu littéraire et de formation personnelle › Françoise Dolto, Paroles pour
du cycle 4 : « Vivre en société, participer à la société » qui, pour la classe de 5e, a pour adolescents ou Le complexe
Bibliographie
thème : « Avec autrui : familles, amis, réseaux ». du homard, Gallimard jeu-
nesse, 1999.
❱ Il fait écho à l’un des enjeux du cycle 3 (niveaux CM1-CM2) : « Se découvrir, s’affirmer
dans le rapport aux autres ». On envisagera donc qu’à son entrée en cycle 4, l’élève a déjà ›N ora Fraisse, Marion, 13 ans
abordé des récits d’apprentissage (relevant de la littérature jeunesse et patrimoniale), pour toujours, Calmann-Lévy,
« mettant en scène l’enfant dans la vie familiale, les relations entre enfants, l’école ou 2015.
d’autres groupes sociaux », ce qui lui aura permis de « s’interroger sur la nature et les ›M arie-Rose Moro, Enfants d’ici
difficultés des apprentissages humains » (programmes, novembre 2015, p. 123). venus d’ailleurs, Hachette,
2002.
Présentation générale ›M arcel Rufo, Frères et sœurs,
une maladie d’amour, Le livre
❱ Le chapitre « Bandes de jeunes ! » questionne la relation de l’individu au groupe à
de poche, 2002.
travers un groupement de textes extraits de récits d’enfance et d’adolescence. Il est
complété par le chapitre 4, consacré à l’étude d’une « comédie du XVIIe siècle (lecture › L . Clédat, Dictionnaire étymo-
intégrale) », en l’occurrence Le Malade imaginaire. logique de la langue fran-
çaise, Hachette, 1912.
❱ Ce dernier chapitre se concentrant davantage sur les relations familiales, nous avons
souhaité, dans le chapitre « Bandes de jeunes ! », mettre l’accent sur les relations entre › J ean Dubois, Henri
l’adolescent et les groupes d’amis. Mitterrand, Albert Dauzat,
Dictionnaire étymologique
❱ Par le jeu de l’identification, nous espérons que le choix du personnage adolescent saura
et historique du français,
trouver des résonances chez les élèves de 5e, eux-mêmes en pleine évolution physique et
Larousse, 2006.
psychique. L’adolescence étant une période riche en changements, elle est un terreau lit-
téraire fertile pour questionner les relations complexes de l’individu au groupe, son désir
d’appartenance aussi bien que sa conquête d’autonomie.
à acquérir une culture littéraire et artistique. Le chapitre 4 (« En famille : Le Malade le ministère de la Défense,
imaginaire) faisant la part belle à une grande œuvre patrimoniale, nous avons souhaité est téléchargeable sur ce
faire découvrir des auteurs encore peu médiatisés (Maylis de Kerangal), sans pour autant site.
délaisser les écrivains incontournables de la littérature française (Guy de Maupassant). › Ce site présente un ensemble
❱ Ce chapitre trouvera un prolongement naturel dans la suite du cycle 4, à travers le ques- de courts-métrages qui
tionnement « Individu et société : confrontation de valeurs ? » en classe de quatrième. permettent de lutter contre
la discrimination et les
préjugés.
› Films : › Livres :
• Jérôme Robbins et Robert Wise, • Fred Uhlman, L’Ami retrouvé,
West Side Story, 1961 1971
• Randal Kleiser, Grease, 1978 • John Green, Nos étoiles
• Bouli Lanners, Les Géants, 2011 contraires, 2013
• Rudi Rosenberg, Le nouveau, 2015
• David Fincher, The social
network, 2010
TEXTES ET IMAGES
1. Guy de Maupassant, « Le Papa de Simon » p. 70 - 71
Le chapitre s’ouvre sur un auteur patrimonial, Guy de Maupassant. Dans le cadre de ce chapitre, nous avons retenu le passage où Simon,
le jeune protagoniste, est rejeté, raillé par les autres élèves à la sortie de l’école. Le Papa de Simon étant une nouvelle courte, elle peut
également être étudiée dans son intégralité.
Bandes de copains
❱ Ce dossier d’Histoire des arts complète le travail mené sur les bandes de jeunes dans les textes littéraires. De plus, il est l’occasion de découvrir
et de comparer des œuvres relevant de différents champs artistiques : la photographie, la musique et le cinéma.
❱ Ce dossier permet de travailler plusieurs compétences ciblées par les programmes :« Décrire une œuvre d’art en employant un lexique simple
adapté », « Associer une œuvre à une époque et une civilisation à partir des éléments observés » et « Proposer une analyse critique simple et
une interprétation d’une œuvre » (Programmes cycles 2, 3, 4, septembre 2015, p. 286).
❱ L’étude de ces œuvres s’inscrit dans la huitième thématique préconisée par les programmes : « Les arts à l’ère de la consommation de masse (de
1945 à nos jours) ». Le travail sur le phénomène de bande permet d’étudier la mise en scène des « nouveaux modes de vie » et « les métissages
artistiques à l’époque de la globalisation » (Programmes cycles 2, 3, 4, septembre 2015, p. 289).
❱ Lexique
Les exercices de lexique invitent à reconstituer des familles de mots, des champs lexicaux, et à différencier des niveaux de langue. L’élève
doit être capable d’élargir son lexique en mettant les mots en réseaux.
❱ Langue
Les points de langue abordés offrent une révision de la ponctuation dans le discours direct, et de la formation de certains temps et modes
verbaux. Le dernier exercice demande de corriger l’orthographe fautive d’un extrait des Enfants de Timpelbach.
❱ Expression écrite
Les exercices de lexique et de langue trouvent leur aboutissement dans les sujets d’expression écrite, eux-mêmes articulés aux extraits
littéraires. Ainsi, l’élève est invité à s’inspirer des œuvres étudiées pour écrire divers types de textes, narratifs et discursifs.
❱ Expression orale
Dans ces exercices, l’élève est invité à débattre et à argumenter, à présenter une recherche et à improviser un dialogue à partir d’images
de films.
PARCOURS CITOYEN p. 86 - 88
3 Bandes de jeunes !
Propositions de corrigés
OUVERTURE
Pour entrer dans le chapitre
1. a) Une « bande de jeunes » est un groupe unissant des enfants des Cinq, la série des Kamo (Daniel Pennac), le film Le Nouveau. On
ou des adolescents qui partagent les mêmes activités, les mêmes peut aussi envisager que certaines émissions de téléréalité consti-
valeurs ou les mêmes passions. tuent une nouvelle représentation de la bande de jeunes.
b) Ils sont le plus souvent unis par des liens d’amitié, ils partagent 3. ❱ Avantages :
les mêmes valeurs et les mêmes codes sociaux. On peut parfois › le jeune peut trouver dans la bande un soutien, une solidarité
distinguer un chef de bande, qui aura un rôle plus important au en cas de problème
sein du groupe puisque c’est lui qui prend les décisions. › faire partie d’une bande apprend à des adolescents parfois
c) Certains membres de la bande peuvent être mis à l’écart parce réservés à se socialiser
qu’ils ne souhaitent pas suivre le groupe dans un projet, parce ❱ Inconvénients :
qu’ils ont trahi les idéaux et les valeurs du groupe, ou encore parce › il est difficile pour un jeune d’affirmer sa propre personnalité
qu’ils refusent d’accomplir une action que les autres membres du lorsqu’il fait partie d’une bande
groupe approuvent. › un adolescent fragile et influençable peut être amené, au sein
2. On pourra penser aux séries de type « sitcom » (Dawson), Le Club de la bande, à commettre des actes qu’il ne cautionne pas.
Image d’ouverture
1. Les personnages présentent quelques différences (sexe, vêtements), mais ils semblent avoir davantage de points communs. Ils paraissent
tous appartenir à la même classe sociale, leurs vêtements témoignant d’une certaine aisance. Ils partagent également les mêmes loisirs
(le surf et les activités de plage) et leur attitude témoigne du plaisir qu’ils ont à être tous ensemble.
2. Réponse laissée à l’appréciation du professeur.
TEXTES ET IMAGES
4. « Exsangue » vient du latin ex, « hors de », et sanguis, qui la fille et que, puisqu’elle a réussi l’épreuve qui lui était imposée, ils
signifie « sang ». Ce terme signifie « qui n’a pas de sang ». La l’accepteront comme l’une des leurs, malgré tout ce qui les oppose.
jeune fille est exsangue - c’est-à-dire pâle car elle a peur de sauter 8. Maylis de Kérangal a un style bien particulier, qui peut dérouter
du haut du rocher. à la première lecture, notamment parce qu’aucun signe de ponc-
5. Nous pouvons imaginer que différentes raisons se mêlent : l’or- tuation ne distingue les passages au style direct du récit, si bien
gueil, la peur du ridicule, le désir toujours présent de faire partie que l’on a parfois du mal à discerner immédiatement qui parle, s’il
du groupe, la présence rassurante d’Eddy, le désir de lui plaire, de s’agit d’un personnage ou du narrateur : « Eddy coupe court à la
l’impressionner, le désir d’accomplir cet exploit avec lui. conversation, se racle la gorge et annonce d’une voix ferme ouais,
6. Nous pouvons tout d’abord remarquer qu’à la fin de l’extrait, ouais, alors on est pareils, t’as qu’à me suivre, t’as qu’à faire comme
Eddy et la fille sont réunis par le pronom personnel « ils ». La moi » (l. 20-25). En outre, elle mêle dans ce texte une langue orale,
dernière phrase montrent ainsi qu’ils font les mêmes actions au familière, et une langue plus soutenue (« il sait aussi que ceux qui
même moment (« Ils prennent leur respiration, décomptent les l’observent comme on s’obsède du chef ne seront pas dupes », l.
secondes [...] se précipitent »), ce qui est renforcé par la présence 77) et plus poétique (« se précipitent alors dans le ciel, dans la
de l’adverbe « ensemble » (l. 53) et l’adjectif « même » (l. 53). mer, dans toutes les profondeurs possibles [...] accueillis soudain
plus vivants et plus vastes dans un plus vaste monde », l. 51-54).
7. On peut imaginer qu’ils seront surpris, admiratifs du courage de
BLOC 4.
1. Le personnage de Marianne tient un rôle plus important dans le livre que dans le film ; si, dans les deux œuvres, elle sait se montrer
maternelle et protectrice envers les plus petits, dans le film, elle est un peu « garçon manqué » : elle fait preuve d’un caractère intrépide
et n’hésite pas à se battre contre les garçons.
2. a) La sœur d’Oscar s’appelle Mireille. b) Elle n’appartient à aucun clan.
3. On pourra choisir le personnage de l’institutrice Corbac, ou encore celui du général Igor. Corbac est excentrique et n’hésite pas à
humilier les écoliers pendant ses cours ; le général Igor ne maitrise pas bien le français, il est charismatique et parvient même à effrayer
les parents de Timpelbach.
4. a) Il s’agit de Barnabé. b) Il est muet. c) Barnabé est le cousin de Thomas.
5. On pourra souligner la fidélité des décors et des costumes de l’adaptation cinématographique par rapport au livre ; cependant, certains
élèves pourront soulever la présence d’un grand nombre de personnages qui n’existent pas dans le livre.
Bandes de copains
1. a) Il y a quatre garçons dans cette bande d’amis. 6. Il est intéressant de représenter une bande de copains en train
b) Il est difficile de compter les garçons qui font le poirier contre de danser car la danse souligne leur complicité. De plus, quand un
le mur car leurs bras et leurs jambes sont comme mélangés. Cela même groupe exécute une chorégraphie, cela souligne leur cohé-
montre bien l’unité de ce groupe d’enfants. sion et donne l’impression qu’on n’est plus face à une multitude
c) Le petit garçon aimerait surement faire partie de la bande et d’individus mais face à un seul corps.
jouer avec les garçons plus grands. 7. Le texte de Grand Corps Malade insiste sur la complicité qui
2. a) Grand Corps Malade utilise le langage familier (« les barres existe entre les membres d’une bande. Or, cette complicité est
de rire et les galères », « mes frangins [...] mes frérots », etc) et parfaitement illustrée dans les différentes photographies, les
le langage courant. b) Entre eux, les jeunes utilisent le langage membres des bandes faisant tous des actions identiques.
familier ; ce niveau de langue ne peut être utilisé qu’avec des Voici les associations entre les images et le texte que l’on peut
personnes dont on se sent proche. L’artiste utilise donc ce lan- proposer (mais on sera ouvert aux autres propositions des élèves
gage pour établir une adéquation entre la forme de son texte et le du moment qu’elles sont argumentées) :
thème abordé dans cette chanson.
Document 1 « c’est rassurant d’évoluer avec ses potes »
3. a) Plusieurs éléments montrent que les garçons font partie
d’une même bande : à l’exception de celui qui est au premier plan, « Ils sont devenus mes frangins, mes copains,
en noir, tous les garçons portent des tenues argentées similaires. mes frérots
Document 3
Ils ont tous le même type de coiffure. Enfin, ils dansent en rythme, L’amitié c’est une autoroute avec de belles
faisant le même mouvement avec leurs bras. b) Le garçon vêtu de destinations »
noir semble être leur chef. D’abord, il est placé au premier plan « Et puis c’est en équipe qu’on a traversé les
(comme pour être le guide. Ici, il guide la chorégraphie). La diffé- hivers
Document 4
rence entre sa tenue et celle de ses comparses est aussi un signe Et les étés ensoleillés, les barres de rire et les
qu’il se démarque des autres, qu’il est leur chef. galères »
4. a) L’amitié entre les deux filles est soulignée par les similitudes « Ça ressemble un peu à l’amour mais en moins
Document 5
que l’on observe entre elles : d’une part elles dansent en rythme, dur »
tapant dans leurs mains en même temps. Ensuite, elles portent le
même type de débardeur et ont la même coupe de cheveux (carré 8. a) Les bandes représentées dans les documents 1 et 3 sont
long). b) Oui, les filles à l’arrière-plan font partie de la même des bandes de garçons. À l’inverse, celles représentées dans les
bande. Preuve en est le fait qu’elles exécutent la même danse (cela documents 4 et 5 sont des bandes de filles. On peut rapprocher les
est particulièrement visible pour celle placée à gauche et celle bandes des documents 3 et 4 qui semblent unies par la pratique
habillée en jaune). de la danse et par le fait qu’à chaque fois, les membres des bandes
portent des tenues similaires.
5. Leur complicité est soulignée par l’échange de sourires et de
b) Cette question s’appuyant sur la subjectivité de l’élève, il n’est
regards complices.
pas possible de proposer un corrigé type.
LEXIQUE
LANGUE
Exercice 1 : 1. La négation est écrite de manière incorrecte : il Nissim résume : « C’est une tireuse de portable cette meuf, j’l’ai
faudrait écrire « on n’a rien à dire ». serrée, faut qu’elle se casse d’ici sans ça je vais la…. » - et, d’un
2. a) on n’a b) on a c) on n’a d) on a - on n’a e) on a - on n’a poing serré, il frappe la paume de son autre main.
Exercice 2 : 1. Le plus-que-parfait de l’indicatif est employé pour Exercice 5 : ENFANTS DE TIMPELBACH !
parler d’une action antérieure à une action passée. Venez tous sur le marché aux chèvres où vous recevrez du lait et
2. a) je m’amusais b) elle s’était amusée c) je lui avais prêté d) des petits pains ! Nous discuterons sur ce que nous devons faire
elle empruntait e) vous m’aviez dit puisque nos parents ont disparu ! Ne perdez pas courage : nous
Exercice 3 : a) présent d’actualité b) présent de vérité générale c) sommes tous dans le pétrin mais nous nous tirerons d’affaire ! A
présent de narration d) présent d’actualité bas Oscar ! Il est responsable de tout et il est incapable de vous
Exercice 4 : Alors, ceux qui étaient sur le Cap reviennent au pas donner à manger et à boire ! Ne faites surtout plus de bêtises…
de course, ils ont vu l’attroupement y a embrouille, ils veulent Tous avec nous !
savoir, [...]. « Quoi quoi, quoi ? ». C’est Eddy qui a parlé. La fille se Signé : les membres du comité de salut public
frotte le poignet, n’a toujours pas prononcé une seule parole, mais
EXPRESSION ÉCRITE
Exercice 1 : On attend que l’élève soit capable de respecter les Exercice 3 : L’élève doit montrer qu’il a lu et compris l’extrait du
codes de la lettre (mention de l’expéditeur et du destinataire, for- Papa de Simon et doit donc éviter de faire des anachronismes. Il
mules d’appel et de politesse, signature). Le niveau de langue, s’agit également de travailler la ponctuation du dialogue (présence
sans être soutenu, devra éviter les familiarités. L’élève doit éga- des deux points et des guillemets, retours à la ligne) et de varier
lement montrer qu’il maitrise le système des temps du récit au les verbes introducteurs de parole. Comme dans l’exercice 1, on
passé (étant donné le contexte d’écriture, on attendra plutôt le travaillera aussi la diversité du lexique de l’émotion.
passé composé que le passé simple comme temps de référence) Exercice 4 : Une fois encore, l’élève doit éviter toute incohérence
et qu’il est capable de réemployer le champ lexical de l’amitié et par rapport au texte de départ (l’extrait de No et moi). Il doit éga-
des émotions. lement maitriser les temps de la narration au présent ou au passé,
Exercice 2 : Cet exercice fait appel à la capacité d’invention de selon son choix. En fonction de l’aisance des élèves, le professeur
l’élève, qui doit imaginer un « rite intiatique » inédit. On attend pourra choisir lui-même de les faire écrire aux temps du présent
qu’il sache s’inspirer d’un texte existant sans le parodier. La mai- ou du passé.
trise de la ponctuation et du présent de vérité générale est essen-
tielle à la réussite de cet exercice.
EXPRESSION ORALE
Exercice 1 : › Le niveau de langue est le point le plus travaillé dans l’élève doit donc éviter les incohérences.
cet exercice : l’élève doit maitriser l’emploi d’un langage familier Exercice 3 : La consigne de cet exercice laisse une grande liberté
dénué de grossièretés. Le travail en groupe exige également que à l’élève, qui peut sélectionner le texte de son choix. Le profes-
l’élève soit autonome et sache planifier ce qu’il a à faire. seur pourra donc être plus exigeant sur la construction d’un rai-
› Selon le niveau d’aisance des élèves, ils pourront soit rédiger le sonnement argumenté et structuré par des connecteurs logiques.
dialogue puis le jouer devant la classe, soit jeter quelques idées au Cet exercice permet également de travailler le résumé de texte :
brouillon puis improviser devant la classe. en effet, les élèves ont souvent du mal à formuler un propos de
Exercice 2 : Une gestuelle particulière est attendue dans cet exer- manière synthétique.
cice, qui se rapproche d’un exercice de théâtre ; seul en scène, Exercice 4 : Cet exercice se rapproche de l’exercice 3, mais il
l’élève doit être capable de convaincre son auditoire par ses mots, demande une préparation plus importante : l’élève doit donc être
mais aussi par ses gestes. On attend également qu’il sache utiliser capable d’autonomie dans son travail ; il doit savoir l’anticiper
les connecteurs logiques afin de structurer autant que possible et le planifier. La mention des sources de l’exposé est également
son raisonnement. Enfin, l’exercice s’appuie sur un texte existant : essentielle à la réussite de cet exercice.