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Ecrit Litteraire

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ECRIT LITTERAIRE

CYCLE 1
MOBILISER LE LANGAGE DANS TOUTES SES DIMENSIONS

Séquence : RAFARA conte populaire africain

1. Découverte de la couverture de l’album.

2. Lecture de l’histoire sans les images.


Objectifs : observer l’album et en tirer des hypothèses, Ecouter une histoire attentivement.
3. Lecture de l’histoire (découverte des illustrations)
4. Lecture de l’histoire + arrêt sur le vocabulaire qui pourrait poser problème.
Objectif : Apprendre et comprendre du nouveau vocabulaire.
5. Discussion : les images cadres, Que représentent-elles ? A quoi cela fait-il penser ? A quoi servent-
elles ?
Objectifs : Donner son opinion et savoir expliquer pourquoi.
6. Les marionnettes racontent l’histoire mais se trompent parfois, les élèves doivent se rendre
compte de l’erreur et donner la suite correcte de l’histoire.
Objectif : Compréhension orale d’une histoire.
7. Les élèves racontent l’histoire dans l’ordre chronologique, sans les images.

Séance 6 :

Objectif : Comprendre un texte lu


Objectif spécifique : Connaitre un conte suffisamment pour reprendre le récit et le corriger quand
celui-ci est erroné.

Aujourd’hui, on va raconter à nouveau l’histoire de Rafara. Ça fait longtemps qu’on n’a pas raconter
l’histoire. Je vais raconter l’histoire avec les marionnettes. Si vous entendez que dans l’histoire je me
trompe, vous levez le doigt.
Rafara est très méchante : elle est très gentille et ses sœurs méchantes.
Rafara décide de s’enfuir : c’est ses sœurs qui l’abandonnent
Elle se retrouve seule, elle est contente : elle a peur dans la forêt.
Pour la remercier, la souris donne a Rafara un chew-gum, un doudou, une poupée : un bout de bois,
un œuf et une pierre.
Pour semer Kimobe, Rafara lance un bout de bois : lac, un œuf
Bilan/réussite/remédiations
Prolongements : remettre les illustrations du livre dans l’ordre.

Qu’avez-vous pensez de votre séance ?


Bien aimé, bonne participation, ils levaient tous la main sur les passages erronés.
Structure de la séance : enrôlement, le dispositif des marionnettes
 Point d’appui : Mise en mémoire de l’histoire, par l’utilisation des marionnettes. Vous organisez
l’activité : Planification, cadrage, conduites langagières passent par la manière de parler de
l’enseignant. Vous vous assurez de la régulation relationnelle (Intonation de la voix, théâtralisation).
Quel était votre objectif ?
Pourquoi mettre en groupe classe ? La place du langage oral ? Comment s’assurer que tous les
élèves ont compris ?

Point d’appui, les leviers : voix, bienveillance, écoute, annonce du plan, bilan de l’entretien, prise de
note (1er micro), coconstruire, points d’appui énoncés

Les obstacles : face à la résistance du formé (comment s’en saisir) adaptabilité du formateur à faire
autrement, les questions successives, les choix du formé (album//liste de référence, travail en
groupe), redonner la parole à la fin du formé, apport didactique, temps de parole du formateur, est-
ce que…, poser l’écart entre la fiche de préparation et ce qui est fait réellement dans la séance.

Axes : Comment travailler le langage oral en maternelle (temps de parole du PE, des élèves) et
après aller sur les modalités (pédagogie) pour y répondre (travail groupe, ateliers…), compréhension
et connaitre à éclaircir. Éclaircir, apprendre à raconter, place de l’erreur.

Sur le plan pédagogique : Modalités (travail groupe /individuel), les supports.

En quoi le choix de raconter l’histoire avec des erreurs permet de s’assurer de la compréhension
des élèves ?
Elle veut évaluer la compréhension des élèves à travers cette activité. Avez-vous utilisez une grille ?
Combien d’élèves ont répondu ? 6
Ça induit quoi des erreurs ? Certains élèves se trompent, cela induit une histoire de contrat
didactique (à chaque fois qu’elle fait une intonation, les élèves disent le contraire).

Les élèves génèrent des interventions sur les erreurs qui n’y avaient pas.
Elle essaye d’enrôler les élèves. Mais un élève fait remarquer à plusieurs reprises que la maitresse
fait semblant de se tromper.
Pourquoi elle lui dit de se taire ? pour qu’il ne dévoile pas son action, qu’il ne sabote pas sa séance.
Dès le départ, elle aurait dû expliciter les objectifs de la séance et dire qu’elle faisait semblant pour
que tous les élèves comprennent son intention et l’enjeu de la séance. Eviter les inégalités sociales.

Inciter à la mise en réseau : continuer sur cette thématique (Ansel et Gretel).

Avoir son fil conducteur, annoncer ses axes et ne pas se laisser emporter par les réponses du formé.
Faire attention de rester sur les propos du PE. Demander les obstacles rencontrés.
On n’a pas insisté sur les choix de l’enseignante.
Décortiquer l’objectif pour l’éclaircir et amener le PE à se faire questionner sur l’objectif réel de sa
séance.
Puis questionner sur l’activité réelle des élèves.

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