Le Droit Pour Les Nuls (French Edition) by Nicolas GUERRERO
Le Droit Pour Les Nuls (French Edition) by Nicolas GUERRERO
Le Droit Pour Les Nuls (French Edition) by Nicolas GUERRERO
Inc.
« For Dummies » est une marque déposée de Wiley Publishing,
Inc.
© Éditions First, un département d’Édi8, 2015. Publié en accord
avec Wiley Publishing, Inc.
12, avenue d’Italie
75013 Paris
Tél. : 01 44 16 09 00
Fax : 01 44 16 09 01
Courriel : firstinfo@efirst. com
Internet : www.editionsfirst.fr
ISBN : 978-2-7540-6051-6
ISBN numérique : 9782754073202
Dépôt légal : janvier 2015
Pourquoi s’intéresser au
droit aujourd’hui ?
Dans ce chapitre :
Un rôle capital dans l’histoire
Une place croissante dans notre société
La Mésopotamie
La Grèce
Rome
La construction de l’État
Au niveau de la société
Dans ce chapitre…
Où et comment s’enseigne le droit en
France ?
Une palette de métiers variés
Hors de l’université
Le cas pratique
La fiche d’arrêt
Le commentaire d’arrêt
Le commentaire de texte
La dissertation juridique
Le droit objectif
Dans ce chapitre…
Une première approche
Les caractères de la règle de droit
L’application du droit
La morale
La courtoisie
Un monde spécifique
Un langage spécifique
Un exemple :
Dans ce chapitre :
La personnalité juridique
Droits patrimoniaux et droits
extrapatrimoniaux
L’absence
La disparition
Le majeur protégé
l’État ;
les collectivités territoriales, ou collectivités
locales : régions, départements, communes,
collectivités en outre-mer ;
les groupements d’intérêt public (GIP), par
exemple les maisons départementales des
personnes handicapées (MDPH) ;
les établissements publics, qui couvrent un
champ très large et qui se répartissent,
traditionnellement, en deux catégories :
• les établissements publics à caractère
administratif (EPA), qui disposent d’une certaine
autonomie administrative et financière afin de
remplir une mission d’intérêt général autre
qu’industrielle et commerciale : on y trouve
notamment les chambres consulaires
(chambres de commerce et d’industrie – CCI –,
chambres de métiers et de l’artisanat – CMA –,
chambres d’agriculture), Pôle emploi, les
hôpitaux, les collèges, les lycées, les
universités, le Collège de France, des
établissements d’enseignement ou de
recherche (École nationale d’administration,
École nationale de la magistrature), la
Bibliothèque nationale de France, des musées
(musée du Louvre, Centre national d’art et de
culture Georges-Pompidou), l’établissement
public du château, du musée et du domaine
national de Versailles,
• les établissements publics à caractère
industriel et commercial (EPIC), qui soit ont
pour objet de répondre à un besoin qui pourrait
être rempli par une entreprise industrielle ou
commerciale mais qui ne pourrait être
correctement satisfait par une entreprise privée
soumise à la concurrence, soit sont relatifs au
contrôle de secteurs sensibles : on y trouve
notamment la SNCF (Société nationale des
chemins de fer français), la RATP (Régie
autonome des transports parisiens), l’Opéra de
Paris, la Comédie-Française, la Réunion des
musées nationaux et du Grand Palais des
Champs-Élysées, le Domaine national de
Chambord, le Centre national d’études spatiales
(Cnes), le Commissariat à l’énergie atomique
(CEA), l’Agence française de développement
(AFD), l’Institut national de l’audiovisuel (INA).
Un ensemble hétérogène
Il existe d’autres catégories d’établissements
publics, comme :
les établissements publics à caractère
scientifique, culturel et professionnel
(EPSCP), qui regroupent notamment les
universités, les écoles normales supérieures
(ENS), le Conservatoire national des arts et
métiers (Cnam) ou encore le Collège de
France ;
les établissements publics à caractère
scientifique et technologique (EPST),
comme le Centre national de la recherche
scientifique (CNRS).
On distingue également les établissements
publics nationaux, les établissements publics
locaux et les établissements publics de
coopération intercommunale. Chaque
établissement public est rattaché à une
administration qui le contrôle : l’État ou une
collectivité territoriale.
l’électricité ;
le fonds de commerce (qui désigne
l’ensemble des éléments corporels et
incorporels placés au service de l’activité d’un
commerçant), considéré par le droit comme un
bien incorporel distinct de ses éléments
constitutifs ; de même, le fonds artisanal
appartenant à l’artisan et le fonds libéral
appartenant au professionnel libéral ;
les offices ministériels dont sont propriétaires
les notaires, les avocats au Conseil d’État et à
la Cour de cassation, les huissiers de justice ou
les commissaires-priseurs ;
l’information, qui peut revêtir des formes
variées (savoir-faire, logiciel) ;
le secret ;
les droits intellectuels : droits de propriété
littéraire et artistique (droits d’auteur), droits de
propriété industrielle protégés auprès de
l’Institut national de la propriété industrielle
(INPI) (brevets d’invention, dessins et modèles,
marques de fabrique, de commerce et de
service, appellations d’origine, obtentions
végétales, logiciels) ;
les sites internet.
Quels sont-ils ?
Le droit privé
Dans ce chapitre…
Les composantes du droit privé
Les juridictions associées
Le Code civil
L’entrepreneur individuel
Le régime fiscal
Le droit à l’information et à la
communication s’entend du droit de
communication et d’information sur les
comptes annuels préalablement à la tenue des
assemblées générales, du droit d’interroger les
dirigeants, qui sont tenus de répondre, sur la
politique générale de la société et sur les
documents fournis durant les assemblées, du
droit de se rendre, au moins une fois par an et
assisté d’un expert au choix, au siège de la
société afin d’obtenir communication et copie
de l’ensemble des documents sociaux.
Propriétaire de parts sociales ou d’actions de
la société, l’associé détient également des
droits pécuniaires et patrimoniaux. Il peut
demeurer associé dans la société aussi
longtemps qu’il le souhaite, une fois qu’il y est
entré librement, sachant qu’aucune décision
majoritaire ne peut l’en exclure, sauf stipulation
statutaire contraire. Il est libre de quitter la
société à sa convenance et peut donc, s’il le
souhaite, céder ses actions ou ses parts
sociales, sauf dans les SNC, où la cession
requiert l’agrément unanime des associés, ou
dans l’hypothèse de clauses statutaires
d’agrément relatives au choix du cessionnaire.
Il a également le droit de percevoir un
dividende en cours de vie sociale si la société a
réalisé un bénéfice distribuable, sous réserve
d’une décision de distribution en totalité ou en
partie par l’assemblée générale, ainsi qu’un
boni de liquidation en cas de faillite de la
société, s’il reste quelque chose, après
remboursement des créanciers. Il dispose aussi
d’un droit préférentiel de souscription à de
nouvelles actions ou parts sociales lors
d’augmentations de capital.
Enfin, les associés disposent de droits de
vote liés à la détention de parts sociales ou
d’actions de la société, qu’ils peuvent exercer
lors des décisions collectives qui relèvent de la
compétence des associés. Le droit de vote de
chaque associé est, en principe, proportionnel
au montant de sa participation au capital social.
Qu’est-ce qu’un pacte
d’associés, ou pacte
d’actionnaires ?
Ce sont des conventions conclues entre
associés ou entre actionnaires, selon la forme
de la société, qui figurent dans les statuts (on
parle alors de « pacte statutaire ») ou non (on
parle alors de « pacte extrastatutaire »).
Certains pactes portent sur la répartition du
capital et les droits pécuniaires des associés,
d’autres ont pour objet d’organiser le pouvoir
au sein de la société. Ils contiennent
fréquemment des clauses d’interdiction de
cession des parts sociales, des clauses
d’agrément, des clauses de préférence ou de
préemption, ou des clauses d’exclusion.
Le tribunal nomme :
Le droit du travail
Le décès du salarié.
La force majeure (cataclysme naturel, état
de guerre).
La liquidation judiciaire de l’entreprise.
Le départ en retraite du salarié.
La démission du salarié.
Le licenciement du salarié par l’employeur :
soit un licenciement pour motif personnel, en
raison d’une faute suffisamment importante
(elle peut être simple, grave voire lourde, mais
ne peut être légère) ou d’une insuffisance
professionnelle, soit un licenciement pour motif
économique, c’est-à-dire effectué pour un ou
plusieurs motifs non inhérents à la personne du
salarié, résultant d’une suppression ou d’une
transformation d’emploi, ou d’une modification,
refusée par le salarié, d’un élément essentiel du
contrat de travail, consécutives à des
« difficultés économiques » ou à des
« mutations technologiques » (article L. 1233-3
du Code du travail).
La rupture conventionnelle, possible
également avec un salarié protégé (délégué du
personnel, délégué syndical, membre élu du
comité d’entreprise, notamment) : cette
procédure, d’un commun accord, exige un
entretien entre l’employeur et le salarié, suivi
de la rédaction d’une convention fixant
notamment le montant de l’indemnité pour le
salarié et la date de rupture du contrat. La
convention doit ensuite être homologuée par la
direction régionale des entreprises, de la
concurrence, de la consommation, du travail et
de l’emploi (Direccte) dont dépend l’entreprise.
Le droit de la consommation
Le droit de l’informatique
En matière civile :
• le tribunal d’instance (TI) tranche toutes les
affaires civiles pour lesquelles la demande
porte sur des sommes inférieures à
10 000 euros. En outre, le tribunal d’instance a
une compétence exclusive pour certains litiges
quel que soit le montant de la demande, tels
que les litiges entre propriétaires et locataires
relatifs au logement d’habitation, les
contestations en matière de funérailles ou
relatives aux frais de scolarité ou d’internat, les
litiges relatifs à l’élagage des arbres et des
haies et les actions en bornage pour fixer les
limites de deux propriétés ou les contestations
en matière d’élections politiques (établissement
des listes électorales) et d’élections
professionnelles au sein des entreprises. Il
traite également les litiges relatifs aux crédits à
la consommation d’un montant inférieur ou
égal à 75 000 euros. Les affaires sont toujours
jugées par un seul juge d’instance qui préside
les audiences et prend seul sa décision, assisté
d’un greffier ;
• le tribunal de grande instance (TGI)
tranche les litiges civils opposant des
personnes privées qui ne sont pas spécialement
attribués par la loi à une autre juridiction, telle
que le tribunal d’instance, le tribunal de
commerce ou le conseil de prud’hommes, ainsi
que les litiges civils qui concernent des
demandes supérieures à 10 000 euros. En
outre, le tribunal de grande instance a une
compétence exclusive pour de nombreuses
affaires quel que soit le montant de la
demande : état des personnes, famille, droit
immobilier, brevets d’invention et droit des
marques, actions dites « possessoires » visant à
faire respecter la possession ou la détention
d’un bien comme le respect d’une servitude de
passage. En principe, le tribunal de grande
instance statue en formation collégiale,
composée de trois magistrats du siège (juges
professionnels), assistés d’un greffier. Pour
certaines affaires, le tribunal statue à juge
unique : tel est le cas du juge des affaires
familiales, du juge des enfants, du juge de la
mise en état et du juge de l’exécution.
Dans des matières spécialisées :
• le tribunal de commerce tranche les litiges
entre commerçants ou qui portent sur les actes
de commerce. Parmi les litiges dont le tribunal
de commerce a à connaître (pour employer une
tournure toute judiciaire !), on peut évoquer les
litiges entre les sociétés commerciales en droit
commercial, boursier ou financier, les litiges
relatifs à une lettre de change, les contestations
entre les associés d’une société commerciale,
les procédures dites « collectives », qui
concernent le traitement des difficultés des
entreprises : procédure de sauvegarde,
procédure de redressement judiciaire,
procédure de liquidation judiciaire ;
• le conseil de prud’hommes règle les litiges
d’ordre individuel qui naissent entre les salariés
ou apprentis et leurs employeurs à l’occasion
du contrat de travail, qu’il s’agisse d’un contrat
à durée indéterminée (CDI), d’un contrat à
durée déterminée (CDD) ou d’un contrat
d’apprentissage. Il est compétent pour
reconnaître l’existence ou la validité d’un
contrat de travail, pendant l’exécution du
contrat et lors de la rupture du contrat
(licenciement, clause de non-concurrence,
durée légale du préavis de départ, notamment).
Le conseil de prud’hommes est composé de
quatre juges non professionnels : deux
conseillers élus par les employeurs et deux
autres par les salariés. Un président et un vice-
président sont élus tous les ans pour gérer
chacune des sections, qui correspondent à
différents secteurs d’activité. Ces fonctions sont
occupées alternativement par un conseiller
salarié puis par un conseiller employeur. Le
contentieux en matière sociale est éclaté : le
tribunal d’instance est compétent pour trancher
les litiges qui surviennent dans le cadre de
l’élection des représentants du personnel. Les
juridictions pénales sanctionnent les infractions
au droit pénal du travail (travail dissimulé, délit
d’entrave). Les juridictions administratives
traitent des conflits avec l’inspecteur du travail.
Enfin, le tribunal des affaires de Sécurité sociale
est compétent pour tous les litiges relatifs à la
Sécurité sociale (voir plus bas) ;
• le tribunal des affaires de Sécurité
sociale (Tass) connaît des litiges qui opposent
les assurés sociaux et les caisses de Sécurité
sociale. Il est compétent en cas de contestation
portant sur l’assujettissement, le calcul et le
recouvrement des cotisations et des prestations
sociales, le remboursement des frais médicaux,
par exemple ;
• le tribunal paritaire des baux ruraux juge
les litiges opposant un propriétaire et
l’exploitant de terres ou de bâtiments agricoles,
par exemple un litige portant sur l’existence
d’un bail rural ou sur le montant du loyer du
fermage. Le tribunal paritaire des baux ruraux
est composé du juge d’instance, qui préside les
audiences, et de quatre juges non
professionnels élus : deux représentants des
propriétaires (bailleurs) et deux représentants
des exploitants (preneurs).
Les cours d’appel
Les cours d’appel, composées de chambres
spécialisées, connaissent des appels interjetés contre
les décisions rendues en première instance.
La Cour de cassation
La Cour de cassation est la juridiction suprême de
l’ordre judiciaire.
Le droit public
Dans ce chapitre :
Les acteurs du droit public
Les composantes du droit public
La justice administrative
l’État ;
les collectivités territoriales, ou collectivités
locales : régions, départements, communes,
collectivités en outre-mer ;
les établissements publics ;
les groupements d’intérêt public (GIP).
Le pouvoir exécutif
Le pouvoir législatif
Le pouvoir judiciaire
l’administration d’État ;
les collectivités territoriales, qui constituent
l’administration publique décentralisée ;
les établissements publics ;
d’autres institutions spécialisées telles que les
ordres professionnels (ex. : ordres d’avocats,
ordres de médecins) ou les administrations de
Sécurité sociale, organismes de droit privé
chargés d’une mission de service public.
L’administration d’État
Qu’appelle-t-on la décentralisation ? La
décentralisation s’entend du processus par lequel
l’État central transfère aux collectivités territoriales,
ou « collectivités décentralisées », par la loi, des
compétences précédemment dévolues aux autorités
étatiques, qu’il s’agisse des administrations centrales
ou des services déconcentrés, dont il considère
qu’elles seront plus efficacement exercées par des
élus locaux.
La fonction publique
Il convient de distinguer :
La police administrative
La responsabilité administrative
Le droit de la construction
Le recours en interprétation ou en
appréciation de légalité : le juge
administratif peut, à la demande du juge
judiciaire ou d’un particulier, préciser le sens et
la portée d’un acte administratif, en apprécier
la légalité.
Le recours en répression permet au juge
administratif de réprimer les infractions
commises à l’encontre des lois et règlements
qui protègent le domaine public : ce sont les
« contraventions de voirie » sur le domaine
public.
Devant quelles
juridictions
administratives la
représentation par un
avocat est-elle
obligatoire ?
Quelle que soit la juridiction, le recours pour
excès de pouvoir est dispensé du ministère
d’avocat.
Le droit pénal
Dans ce chapitre :
Une première approche
Les infractions
Les sanctions
Les juridictions compétentes
En route !
Une première approche
Le droit qui punit
Il peut y avoir :
Attention au vocabulaire !
l’interdiction de séjour ;
l’interdiction du territoire français ;
la suspension, le retrait ou l’annulation du
permis de conduire ;
la publication ou la diffusion de la décision,
voire l’affichage de la décision ;
l’interdiction d’émettre des chèques.
Qu’est-ce que le sursis ?
Le sursis dispense une personne qui a été
condamnée à exécuter tout ou partie de la
peine qui a été prononcée contre lui. Il existe
différentes formes de sursis :
le sursis simple dispense la personne
condamnée d’exécuter tout ou partie de la
peine prononcée ;
le sursis avec mise à l’épreuve dispense le
condamné d’exécuter tout ou partie de la
peine prononcée tout en le soumettant à
certaines obligations (ex. : se rendre à ses
convocations, justifier d’une contribution
aux charges familiales, ne pas exercer une
activité impliquant un contact habituel avec
des mineurs, ne pas entrer en relation avec
certaines personnes, ne pas se rendre dans
certains lieux, suivre une cure de
désintoxication, ne pas conduire un
véhicule, ne pas engager de pari).
Le sursis peut être assorti de l’obligation
d’accomplir un travail d’intérêt général (TIG).
Cinq catégories de peines
Quels sont les types de peine que le juge pénal peut
prononcer ?
Ainsi :
Et l’appel ?
Et le pourvoi en cassation ?
Dans ce chapitre…
Les normes constitutionnelles
La place de la Constitution dans la hiérarchie
des normes
Le contenu de la Constitution
Dans ce chapitre :
L’introduction du droit international en droit
interne
La place des engagements internationaux
dans la hiérarchie des normes
Le cas particulier de la Convention
européenne de sauvegarde des droits de
l’homme et de la Cour européenne des droits
de l’homme
Le droit de l’Union
européenne
Dans ce chapitre :
L’organisation institutionnelle de l’Union
européenne
Le système juridique et judiciaire de l’Union
européenne
Que se passe-t-il en cas de contradiction entre
une norme française et une norme du droit de
l’Union européenne dérivé ?
Les lois
Dans ce chapitre :
Les différents types de loi
Le « domaine » de la loi
Inflation législative et dégradation de la
qualité de la loi
Les ordonnances
Dans ce chapitre :
De quoi s’agit-il ?
Que se passe-t-il si les administrés ne
respectent pas les décisions de
l’administration ?
Les règlements
Dans ce chapitre :
La coutume
La jurisprudence
La doctrine
la constance de la solution ;
la forme qu’elle revêt ;
la publicité donnée à la solution ;
l’accueil de la solution par la doctrine (voir
plus bas) ;
la solennité de la formation de jugement qui
rend la solution (l’Assemblée plénière de la
Cour de cassation est une formation plus
solennelle que le tribunal de grande instance
siégeant à juge unique !).
Dans ce chapitre :
Charles Dumoulin (1500-1566)
Jacques Cujas (1522-1590)
Jean Domat (1625-1696)
Robert-Joseph Pothier (1699-1772)
Jean-Étienne-Marie Portalis (1746-1807)
Rudolf von Jhering (1818-1892)
Édouard Laferrière (1841-1901)
Hans Kelsen (1881-1973)
Jean Carbonnier (1908-2003)
Georges Vedel (1910-2002)
Dans ce chapitre :
Le respect de la dignité humaine
La liberté personnelle et le respect de la vie
privée
La liberté de conscience et de culte
La liberté d’expression et de communication
La liberté de réunion et la liberté d’association
Le droit de propriété
La liberté d’entreprendre
La liberté du travail
Les libertés collectives : le droit de grève et la
liberté syndicale
Le droit à un procès équitable
Dans ce chapitre :
La loi Le Chapelier (14 juin 1791)
La loi Ollivier instaurant le droit de grève
(25 mai 1864)
Les lois Jules Ferry rendant l’enseignement
primaire public gratuit (16 juin 1881) et
obligatoire (28 mars 1882)
La loi sur la liberté de la presse (29 juillet
1881)
La loi Waldeck-Rousseau légalisant les
syndicats professionnels (21 mars 1884)
La loi reconnaissant la liberté d’association
(1er juillet 1901)
La loi de séparation des Églises et de l’État
(9 décembre 1905)
La loi portant abolition de la peine de mort
(9 octobre 1981)
La loi relative aux droits et libertés des
communes, des départements et des régions
(2 mars 1982)
Dans ce chapitre :
La Charte des Nations unies (26 juin 1945)
Le traité de l’Atlantique nord (4 avril 1949)
Les conventions de Genève sur le droit de la
guerre (12 août 1949)
La Convention européenne de sauvegarde des
droits de l’homme et des libertés
fondamentales (4 novembre 1950)
Le traité sur l’Antarctique (1er décembre
1959)
Le Pacte international relatif aux droits civils
et politiques (16 décembre 1966)
Le Pacte international relatif aux droits
économiques, sociaux et culturels
(16 décembre 1966)
Le Traité sur la non-prolifération des armes
nucléaires (1er juillet 1968)
La convention de Vienne sur le droit des
traités (23 mai 1969)
La convention de Vienne sur la vente
internationale de marchandises (11 avril 1980)
De la Charte des Nations unies (1945) à la convention
de Vienne sur la vente internationale de marchandises
(1980), découvrez ou redécouvrez dix traités
internationaux majeurs qui unissent un grand nombre
d’États sur la scène internationale.
La Charte des Nations unies (26 juin
1945)
La Charte des Nations unies est le texte fondateur de
l’Organisation des Nations unies, signé le 26 juin 1945
à San Francisco par les représentants de 50 pays. Il
est entré en vigueur le 24 octobre 1945.
Dans ce chapitre :
Affectio societatis
Fraus omnia corrumpit
In solidum
Nemo auditur propiam turpitudinem allegans
Nullem crimen nulla poena sine lege
Pacta sunt servanda
Prorata temporis
Ratione loci, ratione materiae, ratione
personae
Res mobilis, res vilis
Sui generis
Affectio societatis
Si l’article 1832 du Code civil, qui définit la société, ne
fait pas mention de l’affectio societatis au titre des
éléments constitutifs de la société, la validité du
contrat de société est subordonnée à l’existence de
cet élément psychologique.
Annexes
Ouvrages
Il existe, dans le commerce, un nombre considérable
d’ouvrages de droit. Voici quelques indications de
manuels clairs et précis sur les principales branches
du droit et les principales thématiques que nous
avons vues.
Liens utiles
Institutions professionnelles
Conseil supérieur de la magistrature
www.conseil-superieur-magistrature.fr
École nationale de la magistrature
www.enm-justice.fr
Les huissiers de justice
www.huissier-justice.fr
Notaires de France
www.notaires.fr
Ordre des avocats
au Conseil d’État et à la Cour de cassation
www.ordre-avocats-cassation.fr
Ordre des avocats de Paris
www.avocatparis.org
Conseil national des barreaux
cnb.avocat.fr
Conférence des bâtonniers
www.conferencedesbatonniers.com
Juridictions
Conseil constitutionnel
www.conseil-constitutionnel.fr
Cour de cassation
www.courdecassation.fr
Conseil d’État
www.conseil-etat.fr
Cour d’appel de Paris
www.ca-paris.justice.fr
Cour administrative d’appel de Paris
paris.cour-administrative-appel.fr
Cour de justice de l’Union européenne
curia.europa.eu
Cour européenne des droits de l’homme
www.echr.coe.int
Cour pénale internationale
icc-cpi.int
Chambre de commerce internationale/
International Chamber of Commerce (ICC)
www.iccwbo.org
Ressources gouvernementales,
législatives, réglementaires et
européennes
Assemblée nationale
www.assemblee-nationale.fr
Sénat
www.senat.fr
Ministère de la Justice
www.justice.gouv.fr
Service-Public.fr
www.service-public.fr
Légifrance
www.legifrance.gouv.fr
Journal officiel de la République française
www.journal-officiel.gouv.fr
Journal officiel de l’Union européenne/Eur-Lex
eur-lex.europa.eu
Ressources académiques relatives au
droit